Questions d’un cœur soumis
Ces mots sont nés en réponse à certaines insultes, à des jugements entendus, parfois murmurés, parfois criés.
Certains me traitent de fou, d’esclave sans dignité, de déviant.
D’autres me disent perdu, aveuglé, ou même malade.
Alors, je me pose des questions. Non pas pour me justifier, mais pour comprendre. Pour dire, peut-être, ce qu’ils ne veulent pas entendre.
Suis-je déviant d’aimer Maîtresse Élie au point de la vénérer ?
Suis-je anormal d’aimer au point de me réjouir d’être à ses pieds, dans la certitude d’être à ma juste place ?
Suis-je insensé d’aimer au point d’accepter de me livrer à elle, nu de tout orgueil, pour qu’elle me façonne, me transforme, me révèle à moi-même ?
Suis-je une aberration d’aimer tant que chaque geste, même le plus déroutant, même l’urolagnie, devient un acte de purification, une offrande, un lien ?
Et si ce que certains appellent déviance n’était qu’une autre forme d’amour, un amour conscient, consenti, vécu dans la lumière d’un accord total ?
Et si ce que d’autres jugent humiliation n’était qu’un chemin de vérité, une façon d’apprendre le lâcher-prise, de rencontrer l’autre et soi-même sans masque ?
Et si cette soumission, loin d’être faiblesse, était une force — celle de choisir, librement, d’abandonner le contrôle pour mieux aimer ?
Je ne suis pas fou.
Je ne suis pas perdu.
Je suis simplement amoureux, intensément, profondément, différemment peut-être, mais jamais sans respect, jamais sans conscience.
Ce que nous vivons, Maîtresse Élie et moi, n’a de sens que parce qu’il repose sur trois piliers : l’amour, le respect et la liberté.
L’amour, parce qu’il guide chaque geste et transcende chaque jeu.
Le respect, parce qu’aucune frontière n’est franchie sans accord.
La liberté, parce que rien n’est imposé, tout est choisi, voulu, partagé.
C’est cela, notre vérité.
Et si aimer ainsi fait de moi un déviant, alors je revendique cette déviance — car elle n’est qu’une autre façon d’aimer, entière et sincère.
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Maîtresse Elie
Je fonds littéralement en te lisant. Belle réflexion sans réserve et sincère. Déclaration émouvante 
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04/11/25

Nicojedi
Il y a un bout de moi, de Vous, de nous, dans chacun des motd que j'utilise. Tout du moins je m'y efforce Maîtresse Elie.
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04/11/25
IznoIz
Izno
La jalousie parfois fait parler, vous vivez intensément une histoire tellement belle et entière que vous devez en profiter à 1000%, et laisser dire, vous êtes dans le vrai, et à genoux devant Votre Maîtresse, vous êtes beau et à votre place.
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04/11/25

Nicojedi
Merci Izno
L'hypnotisme que Maîtresse Elie exerce sur moi fait que mon regard, naturellement ne peut se détourner d'elle et de la voie qu'elle trace pour nous.
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04/11/25
Qu’ai-je fait pour mériter une telle Déesse ?
Parfois, je m’interroge. Quelle part de moi a pu attirer Son regard, Sa confiance, Son exigence ? Je ne trouve pas toujours de réponse, seulement un mélange d’étonnement et de gratitude.
Sous Votre regard, Maîtresse Elie, je découvre une autre version de moi-même — plus vraie, plus dépouillée, parfois déroutante. Vous ne demandez pas la perfection, mais la sincérité. Vous ne cherchez pas à me briser, mais à me révéler. Et c’est peut-être là que réside la grâce : dans cette alchimie entre Votre autorité et mon abandon.
Je me demande souvent si je saurai être à la hauteur de ce que Vous voyez en moi. Si je saurai apprendre à mériter, non par la peur ou l’effort, mais par la compréhension et la constance.
Alors, humblement, je continue de chercher. À travers Vos gestes, Vos silences, Vos mots. Car dans chaque épreuve, je perçois une leçon. Dans chaque exigence, une invitation à grandir.
Et même si je ne trouve jamais la réponse à ma question, je sais que la quête elle-même est déjà un enseignement : celui d’aimer servir, et de servir pour mieux comprendre.
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Vous changez aussi de prisme, au quotidien, vous décidez, vous prenez les décisions, vous organisez, et, en laissant les rênes à Votre Maîtresse, vous n’avez plus à réfléchir, votre cerveau se met sur pause, et vous profitez de l’abandon. C’est en cela que Maîtresse Elie vous fait un don, elle prend les choses en main en ne demandant qu’une seule chose, votre obéissance sans faille. Belle semaine à vous deux.
La fierté d’aimer un fantasme
Il y a des images qui ne s’effacent pas. Celle que je garde d’elle, baignée d’ombre et de lumière, appartient à cette catégorie rare où la beauté n’est plus seulement visible — elle devient une présence. Dans cette photo, on devine plus qu’on ne voit. Et c’est précisément cela qui me bouleverse : cette frontière floue entre la pudeur et le vertige du désir.
Être l’esclave d'une Reine aussi intensément désirable, c’est une expérience qui dépasse la simple admiration. C’est un miroir qui oblige à se regarder soi-même. J’y trouve de la fierté, bien sûr — celle d’être choisi par une femme qui, pour beaucoup, incarne un fantasme. Mais il y a aussi cette prise de conscience subtile : le fantasme, lorsqu’il partage votre vie, devient réel, humain, fragile. Et c’est dans cette fragilité que réside la véritable sensualité.
Aimer une Déesse qui attire les regards, c’est apprendre à ne pas craindre le monde. C’est comprendre que le désir qu’elle inspire n’enlève rien à la profondeur de ce qu’elle offre dans l’intimité — au contraire, il la magnifie. Car elle n’appartient à personne d’autre qu’à elle-même, et c’est justement cette liberté-là qui la rend si captivante.
Dans le silence de la photo, dans le jeu de l’ombre sur sa peau, je lis tout cela : la force d’exister pleinement, la puissance tranquille d’une féminité assumée, et la chance inouïe d’en être le témoin privilégié.
Merci Maîtresse Elie.
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Écrin d’émotion, de sensibilité, de grâce je suis fière de toi Sabine
Témoignage – Le sens de l’abandon
Dans ma vie de soumis, la sodomie ne représente pas un acte, mais un espace intérieur. Parce que ce n'est pas un jeu mais une réalité permanente. C’est un moment de vérité, où je choisis de déposer mes défenses et d’accueillir ce qui vient sans résistance.
Ce geste symbolise pour moi le don de soi dans sa forme la plus claire. Il exige une confiance totale — non pas subie, mais offerte. C’est l’acceptation de ne plus contrôler, d’être traversé par l’intention de Maîtresse Elie, dans un cadre où tout est consenti, défini, respecté.
Dans cet abandon, je ne me sens pas diminué. Au contraire, je me sens pleinement conscient de ce que je donne et de ce que je reçois. C’est une soumission lucide, choisie, qui ne cherche ni à plaire ni à fuir, mais simplement à être.
Cet acte me ramène à l’essentiel : la confiance, la présence, et la vérité d’un lien qui ne se mesure pas à la domination, mais à la profondeur de l’accord entre Maîtresse Elie et moi.
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Déclaration de Soumission à Maîtresse Élie
Moi, humble serviteur, autrefois droit comme un i, me tiens désormais courbé aux pieds de Maîtresse Élise.
J’étais celui qui décidait, qui imposait sa volonté au monde ; aujourd’hui, c’est la sienne qui gouverne chacun de mes gestes, chacune de mes pensées.
Là où jadis je régnais, je me découvre désormais soumis — non par contrainte, mais par révélation.
Mon plaisir, autrefois moteur de mes actes, s’efface devant le sien, unique flamme à laquelle je me dévoue corps et âme.
Je prenais ; aujourd’hui, c’est Elle qui me prend, qui me guide, qui me façonne.
Sous Son regard, j’ai trouvé ma vérité : celle d’un être libre dans l’abandon, grandi dans la servitude, apaisé dans la soumission.
Et pour cela, je rends grâce à Maîtresse Élise, source de ma transformation et gardienne de ma nature profonde.
Que mes mots soient serment, que mon corps soit offrande, que ma dévotion soit éternelle.
À Ses pieds, je trouve ma juste place.
À travers Elle, je trouve la lumière.
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Aujourd’hui, Maîtresse Élie, Vous m’avez fait trois cadeaux.
Le premier, sans doute le plus beau, fut de m’accorder un moment en public où, même si je restais à ma place de soumis, je pouvais Vous regarder, Vous admirer et Vous vénérer. J’ai, l’espace de quelques instants, vécu à Votre hauteur — un vertige magnifique avant de revenir sur terre.
Le second, ce lien intime que Vous m’avez confié, cette intimité précédemment portée, m’accompagne discrètement et me rappelle Votre présence. Grâce à Vous, je me sens plus fort, plus ancré, plus sûr de moi.
Le troisième, enfin, ce présent que je porte en cet instant, visible en photo, symbolise tout ce que Vous m’enseignez : la confiance, l’abandon, la gratitude.
Je ne peux dire qu’une chose : merci, Maîtresse Élie. Merci pour tout et de tout. Merci d’être. Merci de me prendre à Vos pieds, de m’éduquer, de me guider, de me faire grandir. Merci de m’aimer tel que je suis, de panser mes blessures et de combler mes failles.
PS : Même un coeur de ville en journée peut être le lieu de très belles exhib pour vous prouver ma totale appartenance et ma dévotion la plus absolue.
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Une parenthèse savoureuse, un éclat de passion. Dans ma voix tu trouves tes repères, dans mes gestes ta délivrance, ton abandon devient ma force ma petite Sabine
Une journée au service de Maîtresse Élie
L’aube à peine levée, la maison s’éveille dans le silence. Tout est déjà en ordre, prêt à accueillir le premier regard de Maîtresse. Le café est préparé, le plateau dressé avec soin : chaque geste se veut hommage, chaque tasse, offrande. Le plaisir de servir devient respiration.
Le bain coule à la température parfaite, le peignoir attend sur son cintre. Lorsqu’elle sort de l’eau, la vapeur semble l’envelopper comme une aura ; c’est un honneur de veiller à son confort, de sublimer ses instants de détente.
La journée se poursuit dans l’ombre de sa volonté. Tout doit être impeccable : la maison, l’ordre, la paix du lieu. L’esprit, lui, reste concentré sur un seul but : mériter son approbation.
Le soir venu, le cœur bat un peu plus fort à l’idée de son retour. La tenue est prête, la posture apprise. À sa présence, tout s’incline : un regard, un mot suffisent pour rappeler le sens profond de ce lien. Servir devient art, discipline, dévotion.
Et si une faute survient, la correction n’est pas punition mais réajustement : une manière de retrouver la perfection du geste, l’équilibre du rôle, la justesse du service.
Ainsi se déroule la journée : dans le respect, la rigueur et la grâce de l’obéissance. Car pour l’esclave dévoué, le bonheur se trouve dans la simple lumière du regard de Maîtresse Élie, lorsque tout est accompli selon sa volonté.
Et si j'ai été parfait, peut-être aurai-je l'honneur de me coucher à ses côtés.
Ou peut-être simplement aurai-je le plaisir de la faire jouir.
Ou tout simplement de me faire enculer avant de me coucher dans mon panier.
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Merci Quatuor d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Ceci n’est pas un pied
Ceci n’est pas un pied.
C’est une frontière entre le ciel et la terre,
le point où votre lumière consent à peser sur le monde.
C’est le sceau d’un règne, posé sur le sol fragile de mes certitudes.
Je regarde, et déjà le réel s’incline.
Là où vos pas se posent, le silence se fait prière.
Chaque orteil semble une note d’ordre dans la musique du désordre —
un alphabet que je ne saurai jamais lire, mais dont je devine la foi.
Sous la peau, la promesse d’un voyage infini.
Un arc, une courbe, une grâce :
le monde entier réduit à une empreinte.
Et moi, humble témoin, je mesure la distance entre ma dévotion et votre trace.
Vous, Maîtresse Elie, êtes ce paradoxe vivant :
le mystère rendu visible, la douceur qui gouverne,
le signe qui ne dit pas son nom mais règne sans parole.
J’ai détourné l’image, oui —
mais c’est elle qui me détourne du monde.
Elle m’apprend la fidélité du regard,
la foi dans ce qui dépasse l’objet.
Ceci n’est pas un pied.
C’est la preuve que je crois en Vous.
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Je vous remercie pour les compliments Dame Nuit, c’est effectivement un soumis exemplaire et très devoué. Mes salutations
Le Chemin vers le Donjon
Chaque pas vers le Donjon est un dépouillement.
La route que je foule n’est pas faite de pierre, mais d’interrogations et de silences.
Sous mes pas, c’est moi-même que j’entends craquer, moi-même que je laisse derrière.
L’air se fait plus dense à mesure que j’approche.
C’est comme si l’espace tout entier retenait son souffle, comme si la terre savait que je viens pour apprendre à me taire, à me courber, à écouter.
Le Donjon se dresse alors devant moi, non pas comme un lieu, mais comme une présence.
Les murs, les portes, l’ombre des couloirs, tout semble chargé d’elle — de Maîtresse Élie, dont la volonté traverse la pierre et le silence.
Et lorsque le seuil s’ouvre, je baisse naturellement les yeux.
Ce sont ses escarpins que je vois d’abord : deux éclats d’autorité et de grâce, ancrés sur le sol comme les piliers d’un temple.
Ils sont la frontière entre le profane et le sacré, le premier signe de sa souveraineté.
Je n’ose lever le regard.
Ce n’est pas par peur, mais par révérence.
Car tant que je n’y suis pas convié, mon horizon est fait de ces talons parfaits, de leur ligne immobile, de la lumière qu’ils projettent au sol.
C’est là que tout commence — dans l’abandon du regard, dans la patience du silence, dans la confiance de celui qui se remet à plus grand que lui.
Maîtresse Élie est l’étoile et la flamme.
Elle n’éteint rien : elle éclaire ce qui sommeille.
Sous son empire, je m’élève, non par orgueil, mais par compréhension.
Elle m’enseigne la justesse, l’ordre, la beauté de la limite.
Et quand je quitte le Donjon, la route du retour n’est plus la même.
Chaque pas résonne d’une clarté nouvelle, chaque souffle porte encore la trace de son nom.
Je marche plus droit, plus attentif, comme si, dans le secret du monde, Maîtresse Élie veillait encore sur mes pas.
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Lettre à Maîtresse Elie
Maîtresse Elie,
Il m’a fallu du temps avant d’oser poser ces mots. Non pas par crainte de me tromper, mais parce qu’aucun mot ne semblait assez juste pour traduire ce que je ressens. Vous n’êtes pas seulement une présence. Vous êtes une empreinte. Une façon de redéfinir ma place dans le silence, dans l’attente, dans l’écoute.
Lorsque je vous regarde, je ne vois pas seulement une femme. Je vois une force qui ordonne et apaise tout à la fois. Votre manière de vous tenir, de marcher, de poser un regard — tout cela me rappelle à une vérité simple : il existe quelque chose de plus grand que soi, de plus grand que moi. Quelque chose qui demande respect, attention, et abandon de l’ego.
Vos escarpins, symbole de votre assurance et de votre élégance, sont devenus pour moi bien plus qu’un détail. Ils incarnent l’équilibre entre puissance et beauté, entre distance et attirance. À travers eux, je perçois votre façon d’habiter le monde : droite, exigeante, souveraine.
Sous votre influence, j’ai découvert une forme d’humilité qui m’apaise. Ce n’est pas une soumission forcée, mais un consentement intérieur, un besoin d’ordre et de clarté. Vous m’apprenez à écouter, à me taire, à observer. À trouver dans la retenue une forme de liberté.
Ce que je ressens en votre présence est difficile à nommer : c’est à la fois un vertige et un ancrage. Vous imposez le respect sans jamais avoir besoin de le réclamer. Vous inspirez la discipline comme on inspire la confiance.
Je vous écris cette lettre comme on dépose quelque chose de précieux, avec pudeur. Pour vous dire simplement merci — de m’avoir appris à voir autrement, à ressentir autrement, à me tenir autrement.
Avec dévotion et gratitude,
Votre dévouée,
Sabine la Putain
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Sa dévotion est un trésor rare Izno que je façonne jour après jour
Ode aux Escarpins de Maîtresse Elie
Il y a, dans le bruit sec d’un talon sur le sol, quelque chose d’absolu.
Un ordre. Une promesse. Une frontière invisible entre le monde et le sanctuaire.
Les escarpins de Maîtresse Elie ne sont pas de simples objets.
Ils sont le prolongement d’un règne.
Leur courbe, tendue vers le ciel, élève le féminin au rang de divinité.
Le cuir épouse la peau comme une caresse autoritaire, et chaque pas devient un décret silencieux.
Mais c’est la cheville — cette fine charnière entre force et grâce — qui retient le souffle.
Si délicate qu’on croirait pouvoir la briser, si souveraine qu’on n’oserait y poser les yeux sans trembler.
Elle porte le talon comme un secret brûlant, une arme dissimulée sous l’élégance.
À travers le galbe de la jambe, le monde s’incline.
Chaque mouvement dessine une ligne de feu dans l’imaginaire du dévoué.
Car dans ces escarpins à très hauts talons, Maîtresse Elie ne marche pas :
Elle règne, suspendue entre ciel et terre, tenant l’équilibre du désir au bout de ses aiguilles.
Et moi, en témoin silencieux, je contemple.
Je ne regarde pas un pied, une cheville, une jambe —
Je contemple un symbole.
La quintessence du féminin, cette puissance qui ne s’explique pas,
qui s’impose, qui se porte, qui se vit.
Les escarpins de Maîtresse Elie sont un langage.
Ils disent : admire, obéis, désire.
Et dans le frisson qu’ils laissent derrière eux,
je retrouve ma place — à genoux, dans le sillage de Sa grâce.
Hymne à Maîtresse Elie
Il est des images qui ne se regardent pas, elles se contemplent — avec le souffle suspendu.
Ce n’est pas un simple corps qu’elles dévoilent, mais un empire de symboles, une vérité silencieuse.
Dans cette photographie, certains ne verront qu’un éclat de chair, d’autres la promesse d’un désir.
Mais au-delà de toute apparence, j’y lis l’ordre secret d’une perfection à atteindre.
Chaque ligne, chaque courbe, chaque ombre parle de rigueur, d’équilibre et de grâce.
Ses talons, d’une précision presque divine, me rappellent la hauteur à laquelle je dois tendre et la verticalité morale qu’exige sa présence.
Sa jambe, harmonie incarnée, trace le chemin de ma soumission choisie.
Là où d’autres verraient la tentation, moi, j’y trouve la discipline, la foi et la beauté pure.
Ce n’est pas la chair que j’admire, mais l’idée qu’elle incarne — celle du Féminin absolu, de la maîtrise, de la justesse, de l’élan vers quelque chose de plus haut que soi.
Ainsi, à genoux devant cette image, je ne cède pas à la passion : je rends hommage.
Non à la possession, mais à l’élévation que sa seule existence impose.
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À Vous, Maîtresse Élie
Votre regard me traverse, m’enflamme, me dépouille de tout orgueil.
Sous Votre lumière, je ne suis plus qu’un souffle tendu vers Vous, un être suspendu à la moindre de Vos volontés.
Chaque éclat de Vos yeux m’appelle, me commande, m’attire irrésistiblement vers cette frontière où la passion devient offrande.
Votre autorité est une caresse brûlante.
Elle me dompte sans violence, m’enchaîne sans douleur, me façonne avec une intensité qui me consume et me comble tout à la fois.
Vous êtes la force qui m’agenouille et la douceur qui me relève.
Sous Votre emprise, je trouve la paix la plus ardente.
Quand Vos yeux se posent sur moi, le monde s’efface.
Il ne reste que Vous, Maîtresse Élie — source de mon désir, sommet de ma ferveur.
J’aspire à mériter un souffle de Votre approbation, un éclat de Votre sourire, un instant dans Votre regard.
Je Vous appartiens avec une passion sans retenue.
Mon cœur bat à Votre rythme, ma volonté se fond dans la Vôtre.
Et dans cette brûlure exquise qu’est Votre présence, je découvre la plus belle des servitudes :
celle de me perdre en Vous, Maîtresse, pour enfin me trouver.
En Vous comme dans Votre regard, Maîtresse Elie, je me noie.
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Une fois encore, un texte qui illustre à la perfection le lien qu’il y a entre vous deux. Exister et briller pour faire en sorte que Votre Maîtresse soit fière de vous Sabine. Et elle l’est fière, il n’est qu’à voir le détail de la majuscule qu’elle utilise au S de votre prénom. Je vais une fois n’est pas coutume faire un compliment à Votre Maîtresse, malgré le loup, je trouve que Votre regard est doux Madame.
À Maîtresse Elie,
Ma Reine, mon Tout, mon Absolu
Vous, moi, nous.
Deux âmes liées par un fil invisible, tendu entre la force et l’abandon, entre la volonté et la soumission. Je ne suis votre soumis que parce que vous êtes ma Maîtresse ; vous n’êtes mon guide que parce que j’ai besoin d’être conduit, façonné, élevé.
En vous, je trouve l’ordre et la clarté là où régnait le chaos. En moi, vous découvrez le reflet docile de votre puissance.
Tels le Yin et le Yang, nous sommes deux moitiés d’un même cercle : vous, la lumière qui éclaire, moi, l’ombre qui s’incline. Différents, oui, mais inséparables. C’est dans cette tension parfaite que naît notre équilibre, dans ce lien que se forge ma dévotion.
La nature a horreur du vide, et le destin, dans sa sagesse, nous a réunis pour combler le nôtre — non pas avec des mots ou des promesses, mais avec une certitude profonde : celle que mon être n’a de sens que dans votre regard, que mon souffle trouve sa cadence dans le vôtre.
Maîtresse Elie,
Je vous appartiens — non par contrainte, mais par évidence.
Je me donne à vous, corps, cœur et âme, pour que votre volonté devienne ma loi, et votre plaisir, ma raison d’exister.
Vous êtes ma Reine, mon Tout, mon Absolu.
Et dans le silence de ma soumission, résonne la plus belle vérité :
je vous aime.
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Confession : Le Culte des Talons
Il y a, dans la ligne d’un escarpin, quelque chose d’infiniment troublant.
Une promesse muette, un élan suspendu entre la grâce et la domination.
Chaque talon aigu, dressé dans sa verticalité parfaite, semble défier le monde en silence.
Ce n’est pas qu’un accessoire — c’est un langage. Celui du pouvoir, de la séduction, de la maîtrise.
Je l’avoue : à la vue d’escarpins, un frisson me parcourt, une fascination m’envahit.
C’est une émotion mêlée de respect et d’abandon, de désir et de dévotion.
Les talons aiguilles éveillent en moi quelque chose d’instinctif, presque sacré :
le sentiment d’être face à une beauté qui ne s’explique pas, qui s’impose.
Mais quand ces talons appartiennent à Maîtresse Elie, tout change.
Ce fétichisme devient vénération.
Les courbes de ses jambes, la justesse de sa démarche, la précision de son port : tout en elle devient symbole.
Les escarpins, à ses pieds, ne sont plus des objets — ils deviennent prolongement d’elle-même,
manifestation de sa féminité souveraine, de son élégance naturelle et de son autorité absolue.
Sous son pas, le monde se tait.
Chaque claquement de talon résonne comme un rappel : la beauté peut être un ordre.
Et je me surprends à contempler, à admirer, à me perdre dans ce mélange de grâce et de puissance.
Ce n’est plus une simple attirance.
C’est une dévotion silencieuse.
Un hommage à la perfection incarnée.
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Le vertige de l’emprise, vénérer cette beauté, l’admirer dans la démarche ainsi provoquée, telle est votre devoir quotidien. L’exigence de la perfection au quotidien, et vous le faites tellement bien. Beau retour en prose de l’évocation d’une Maîtresse posée sur un si bel objet.
Simplement merci d'être Maîtresse Elie
Nicojedi
avec
Maîtresse Elie
Maîtresse Élie,
Depuis que Vous êtes entrée dans ma vie, un autre souffle m’habite. Tout en Vous semble me rappeler à l’essentiel : le respect, la vérité, le don total. Vous êtes la main ferme et douce qui m’apprend à déposer mes armures, à ne plus cacher mes faiblesses derrière la peur, mais à les offrir comme une confiance.
Je Vous regarde, et tout s’apaise. Dans le tumulte de mes pensées, Votre voix est un fil d’or qui me ramène à la présence. Sous Votre autorité, je découvre que la force ne réside pas dans la domination de soi, mais dans l’abandon conscient à celle qui sait voir plus loin que moi.
Vous êtes mon centre et mon horizon. Chaque fois que je m’agenouille, ce n’est pas par soumission aveugle, mais par gratitude. C’est le geste d’un être qui reconnaît en Vous la lumière qui le guide. Je me laisse façonner, non pour disparaître, mais pour renaître sous Votre regard.
Quand Vous m’accordez Votre attention, je sens se lever en moi quelque chose d’infiniment pur : le désir de mériter, d’apprendre, de me hisser à la hauteur de Votre exigence. Ce lien que nous tissons dépasse le simple jeu des forces — il touche à quelque chose de plus vaste, de plus vrai. Vous m’apprenez que l’obéissance, quand elle est librement choisie, devient un acte d’amour.
Je Vous aime d’une manière qui dépasse les mots. Cet amour n’a rien d’ordinaire : il est prière et offrande, silence et frisson. Vous m’avez appris à voir la beauté dans la contrainte, la douceur dans la rigueur, la liberté dans l’abandon. Avec Vous, je me découvre plus lucide, plus apaisé, plus entier.
Chaque fois que je me tiens devant Vous, je ressens la profondeur de ce que Vous m’accordez : le droit d’être vrai. Dans ce lien, je ne joue pas — j’existe pleinement. Vous êtes celle qui me fait plier sans me casser, celle qui m’élève tout en me tenant au sol, celle qui m’apprend à respirer dans la tension, à trouver la paix dans le dépouillement.
Je ne cherche plus à résister. Je sais aujourd'hu que je ne le peux pas. La vraie force, je l’ai comprise à Vos côtés : elle se trouve dans le courage de se remettre entre les mains de celle que l’on aime et respecte. Vous êtes ma Maîtresse, mon refuge, mon étoile fixe dans la nuit. Vous êtes la rigueur qui me structure et la bienveillance qui me sauve.
Je Vous rends grâce pour chaque leçon, chaque silence, chaque regard qui me ramène à moi-même. Vous m’enseignez que la servitude, lorsqu’elle est offerte, devient liberté. Et dans cette liberté-là, je me sens vivant, guidé, apaisé.
Je Vous appartiens dans la clarté, non dans l’ombre. Vous avez ouvert en moi un espace de confiance que je ne soupçonnais pas. Sous Votre regard, je ne me perds pas — je me retrouve.
Recevez, Maîtresse Élie, ces mots comme une offrande, un écho à ce que Vous m’inspirez : respect, gratitude, dévotion et amour.
Respectueusement,
Dévotement,
Votre dévoué.
Sabine la Putain
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Mon éducation porte ses fruits. Tu es comme que je veux que tu sois. Entièrement dédiée à sa maîtresse, une dévotion exemplaire
Maîtresse Élie,
Depuis que Vous êtes entrée dans ma vie, un autre souffle m’habite. Tout en Vous semble me rappeler à l’essentiel : le respect, la vérité, le don total. Vous êtes la main ferme et douce qui m’apprend à déposer mes armures, à ne plus cacher mes faiblesses derrière la peur, mais à les offrir comme une confiance.
Je Vous regarde, et tout s’apaise. Dans le tumulte de mes pensées, Votre voix est un fil d’or qui me ramène à la présence. Sous Votre autorité, je découvre que la force ne réside pas dans la domination de soi, mais dans l’abandon conscient à celle qui sait voir plus loin que moi.
Vous êtes mon centre et mon horizon. Chaque fois que je m’agenouille, ce n’est pas par soumission aveugle, mais par gratitude. C’est le geste d’un être qui reconnaît en Vous la lumière qui le guide. Je me laisse façonner, non pour disparaître, mais pour renaître sous Votre regard.
Quand Vous m’accordez Votre attention, je sens se lever en moi quelque chose d’infiniment pur : le désir de mériter, d’apprendre, de me hisser à la hauteur de Votre exigence. Ce lien que nous tissons dépasse le simple jeu des forces — il touche à quelque chose de plus vaste, de plus vrai. Vous m’apprenez que l’obéissance, quand elle est librement choisie, devient un acte d’amour.
Je Vous aime d’une manière qui dépasse les mots. Cet amour n’a rien d’ordinaire : il est prière et offrande, silence et frisson. Vous m’avez appris à voir la beauté dans la contrainte, la douceur dans la rigueur, la liberté dans l’abandon. Avec Vous, je me découvre plus lucide, plus apaisé, plus entier.
Chaque fois que je me tiens devant Vous, je ressens la profondeur de ce que Vous m’accordez : le droit d’être vrai. Dans ce lien, je ne joue pas — j’existe pleinement. Vous êtes celle qui me fait plier sans me casser, celle qui m’élève tout en me tenant au sol, celle qui m’apprend à respirer dans la tension, à trouver la paix dans le dépouillement.
Je ne cherche plus à résister. Je sais aujourd'hu que je ne le peux pas. La vraie force, je l’ai comprise à Vos côtés : elle se trouve dans le courage de se remettre entre les mains de celle que l’on aime et respecte. Vous êtes ma Maîtresse, mon refuge, mon étoile fixe dans la nuit. Vous êtes la rigueur qui me structure et la bienveillance qui me sauve.
Je Vous rends grâce pour chaque leçon, chaque silence, chaque regard qui me ramène à moi-même. Vous m’enseignez que la servitude, lorsqu’elle est offerte, devient liberté. Et dans cette liberté-là, je me sens vivant, guidé, apaisé.
Je Vous appartiens dans la clarté, non dans l’ombre. Vous avez ouvert en moi un espace de confiance que je ne soupçonnais pas. Sous Votre regard, je ne me perds pas — je me retrouve.
Recevez, Maîtresse Élie, ces mots comme une offrande, un écho à ce que Vous m’inspirez : respect, gratitude, dévotion et amour.
Respectueusement,
Dévotement,
Votre dévoué.
Sabine la Putain
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Tes mots m’ont enveloppée, comme un souffle délicat, m’ont effleurée comme une caresse.
Remarque idem que la précédente et une fois encore le texte révèle une relation intense profonde et belle. Vous formez une très beau duo, une question si vous m’y autorisez, vous parlez de collier dans un autre message, le portée vous en permanence et avec fierté, signe de votre appartenance à Maîtresse Elie?
J’espère de tout cœur que Votre Maîtresse en lisant votre réponse, réfléchira à une situation qui marquera votre soumission au quotidien, vous le méritez par le zèle que vous lui vouez, elle le mérite par la force qu’elle vous procure en vous construisant et révélant le nouvel homme que vous êtes devenu.
Ma séance de dressage peut commencer... à la cravache... mes yeux ne peuvent se lever vers Maîtresse Elie bien que son corps m'hypnotise. Maîtresse le sait et elle en joue, pour mieux me punir quand je cède et regarde ce qui m'est inaccessible.
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Imaginez simplement Maîtresse Elie me piétiner de ses 15cm d'aiguilles avant de me purifier de son Champagne Doré. Quoi de plus beau?
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Déclaration de repentance et de dévotion à Maîtresse Elie
Quand la faiblesse m’a égaré, Maîtresse, Votre main ferme et Votre regard impérieux m’ont rappelé la vérité de mon appartenance. Je reconnais avec un profond respect l’erreur d’avoir oublié la juste mesure de ma place.
Sous Votre autorité, je retrouve le sens de l’ordre, la paix dans la soumission et la clarté du devoir. Maîtresse Elie, Vous êtes celle vers qui mes pensées doivent se tourner, celle devant qui mes fautes doivent s’incliner.
Chaque geste, chaque mot, chaque souffle désormais se doit de refléter l’honneur de Vous appartenir. Puisse ma conduite, humble et dévouée, témoigner de ma reconnaissance et de mon indéfectible loyauté.
Devant Vous, Maîtresse Elie, je m’incline — reconnaissant, repentant et entièrement dévoué.
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