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mael

Homme Dominateur. Vit à Provence-Alpes-Côte d'Azur, France. 73 ans. mael est en couple.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 03/09/21
Le commandant Besov est un mélange génétique entre un grizzly du Yellowstone, un ours polaire du Spitzberg et un mammouth laineux de Sibérie. Il est de ces hommes dont la seule présence fait peur. Il faut dire que c'est un tueur professionnel. Colonel et pilote d'essai dans l'armée de l'air russe, il s'est vite ennuyé. Besov aime le risque et le combat. Il a demandé à rejoindre le service des actions spéciales et il a été affecté à l'ambassade de Russie en Corée du Nord. C'est là qu'il a tout appris, auprès des pires assassins et experts en arts martiaux interdits de la planète. C'est dans ce froid petit pays que se trouve les plus grands maitres, ceux qui terrorisent les dirigeants les plus puissants de la planète et n'hésitent pas à les faire chanter, à les mettre à l'amende, comme de simples putes de trottoirs. Même le Roi Soleil, Louis XIV, avait du payer pour ne pas être assassiné, et ce n'est pas son fameux d'Artagnan qui aurait pu le protéger. Comme le milliardaire américain qui construit les Big Fucking Rocket, cherche toujours les meilleurs en tout et pour tout, c'est ainsi qu'il a été engagé pour commander cette mission lunaire privé, celle qui ouvre la conquête du système solaire. Et toutes les portes se sont ouvertes devant le milliardaire américain pour réaliser ce projet fou, et ce grâce aux talents de "négociateur" du commandant Besov. Ce dernier a en outre été chargé de recruter l'équipage pour cette première mission test, très périlleuse. Un saut dans l'inconnu, même avec l'assistance des meilleurs ingénieurs du monde. C'est ainsi qu'il a désiré s'adjoindre la collaboration d'Anna, une superbe italienne, très racée, de la plus haute bourgeoisie de Milan. Une tronche cette Anna, trois doctorats, un en médecine, un en physique et un en robotique. Une femme d'une intelligence exceptionnelle et pour ne rien gâcher, toujours célibataire et vierge. Les mecs, c'est pas son truc, du moins elle le croyait avant de rencontrer ce timbré de Besov. Elle travaille dans une grande industrie familiale et son bureau est bien gardé. Pourtant, un jour, Besov est là devant elle et un frisson de peur l'envahit aussitôt. Comment est il entré? Elle ignore tout des techniques secrètes apprises en Corée du Nord. Elle veut crier mais elle sent une force qui la paralyse. Elle ne peut plus bouger. Elle est parfaitement consciente et elle sait aussitôt que ce tueur qui est devant elle va la violer. Besov la plaque sur son bureau, la trousse, lui arrache sa culotte et la sodomise d'un coup violent. Elle veut hurler sa douleur mais aucun son ne peut sortir de sa bouche. elle est terrifiée. Et ce timbré de Besov lui empoigne les poils de sa chatte et les tire à lui faire très mal par devant aussi. Il prend son temps, la pilonne en cadence. Et tout à coup Anna sent l'orgasme monter, son premier. C'est si violent qu'elle se met à pisser sur la grosse main qui lui empoigne la chatte. Elle jouit encore et encore, elle est en proie à une sorte de crise d'extase. Comment avait elle pu se passer de cela, pendant toutes ces années d'études. Et ce barge de Besov se répand dans son cul désormais tout ouvert et même offert. Anna jouit de nouveau, tétanisée, empalée, embrochée comme une oie sur une rôtissoire. C'est divin! Besov, se retire, la retourne et l'embrasse. Elle aime ses lèvres chaudes, sa langue qui caresse la sienne. Elle sent qu'elle est la femme de ce malade mental, qu'elle est devenue sienne pour toujours. Besov la demande en mariage et c'est folie, elle accepte aussitôt d'épouser son violeur. Sa famille, de richissimes industriels milanais s'y oppose catégoriquement. Alors elle plie bagage et part se marier avec lui à Las Vegas, là ou les formalités sont simplifiées. Besov , la bête de Sibérie se révèle d'une grande douceur. Il prend son temps pour la dépuceler. Son original de mari l'emmène camper dans le Wyoming pour leur voyage de noces. Ils passent leur temps à faire l'amour et Anna, la sublime et chic bourgeoise se révèle vite être une bombe sexuelle. Elle a envie partout et tout le temps. C'est aussi une femme fontaine, généreuse en cyprine odorante. Besov, s'il peut être tendre aime aussi dominer sa femme. Parfois il la prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée et il sait faire très mal. Après, il l'attache à un arbre et la laisse méditer. C'est un fou. il adore la suspendre nue à des branches pendant qu'il fait rôtir des viandes près du feu de camp. Cela fait longtemps qu'Anna a compris qu'elle devait lâcher prise et obéir en tout et pour tout à son homme. C'est ce qui la rend le plus heureuse. Elle est la totale propriété de son Maître. Anna a vitre trouvé sa place dans l'équipage. Elle est le médecin et la navigatrice. C'est déjà beaucoup. Et pour une mission de six mois, il faut savoir tout faire à bord du gigantesque vaisseau d'acier, le Starship. Anna déteste les combinaisons spatiales et ne renonce pas au chic de jolie bourge milanaise, aux bas de soie fine, aux robes élégantes, à la lingerie qui rend fou d'elle son primate d'époux caverneux. Besov l'aime en jupe. il adore voir ses longues et si belles jambes, alors elle lui fait plaisir et aime se faire belle pour lui. Même en apesanteur, elle se maquille légèrement et cela rend dingue d'amour tous ceux qui sur Terre suivent cette téléréalité dans l'espace, retransmise plusieurs fois par jour. La beauté d'Anna est sidérale. Pendant le vol vers la lune, elle adore se lover dans les bras de son homme, sentir son érection contre ses reins, flotter dans la cabine, être bien, ne penser à rien. Avec son dom de mari elle se sent en totale sécurité. C'est comme cela, il est des hommes qui savent se sortir de toutes les situations dangereuses et les femelles se sentent toujours bien avec eux. Peut être parce qu'ils sont plus calmes et sereins, d'un courage en acier trempé. Besov n'a pas besoin de commander, c'est naturel chez lui. Il ordonne et tout le monde obéit. Et chaque fois qu'Anna obéit à son homme, elle mouille. Recevoir des ordres est un plaisir, cela la repose. Lorsque son époux la corrige, ce n'est jamais pour asseoir son autorité, il n'en a pas besoin. Non, c'est juste par plaisir. Ils aiment faire cela tous les deux. Besov ne se sert que des ses mains puissantes, il n'a besoin d'aucun artifice et il sait faire très mal. Anna aime sentir la douleur devenir plaisir. Elle coule facilement, une vraie fontaine. C'est à ce moment là qu'elle adore se faire empaler sans ménagement. Cela glisse tout seul en elle. Le grand fauve de Sibérie peut la dévorer toute crue dans les grands vides de l'espace. Elle se donne complètement. Elle est sienne pour toujours. La morale de cette histoire, c'est que pour soumettre une femme, et le Marquis de Sade a raison sur ce point, il faut d'abord la sodomiser.
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Par : le 31/08/21
Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts. Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un. C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse. Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir. La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune. Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour. @+
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Par : le 23/01/21
Jasmine est subliment belle. Pourquoi? Parce qu'elle est nature. Elle déteste l'apparence, les maquillages et artifices. Elle n'a pas besoin de cela. Plus les femmes sont belles et plus elles savent qu'elles n'ont besoin de rien, pas même de quelques gouttes de parfum. Les males se retournent, les admirent, les désirent, elles ont le choix. Ce n'est pas si facile d'être subliment belle et de n'avoir besoin de rien d'autre. C'est un cadeau de Dieu ou des Dieux qui aiment se moquer des désirs des hommes pour l'éphémère. Ce qui dure et c'est la plus belle beauté, c'est ce qui se trouve à l'intérieur, c'est cette grâce interne qui rayonne et illumine, le reste n'est qu'illusions. Jasmine est de tous les combats féministes. Elle milite pour les droits des minorités, les gays, les bi, les trans, les lesbiennes, les indiens d'Amazonie, les gorilles d'Ouganda. On peut admirer ses longues jambes si bien galbées au devant des manifestations. Des journalistes la flashent tellement elle est sublime lorsqu'elle revendique. Elle est vite repérée par une agence de mannequins et cela devient sont métier. Vendre sa beauté sur des réclames. Elle gagne fort bien sa vie et celui qui lui demande de coucher se prend une baffe. Seulement voilà, l'amour est un mystère. Jasmine rêve du grand amour. Elle ne veut pas d'aventures. Elle est toujours vierge et se réserve pour son homme. Elle n'en veut qu'un seul pour toute la vie. C'est son choix et elle l'assume. Elle est impitoyable avec tous ses prétendants qui se jettent à ses pieds. Elle sait que lorsqu'elle rencontrera son homme, ils n'auront pas besoin de mots pour se déclarer leur amour, le premier regard suffira. Mourat est un émigré tchétchène. Il s'est battu contre les russes dans le Caucase. Sa tête a été mise à prix et il a du fuir loin de son pays et loin des tueurs à sa recherche. Il a fini à Paris. Il a facilement trouvé du travail dans une agence de sécurité. C'est un expert dans de la maniement du Kindjal ce long couteau qui ressemble un peu au gladius des légionnaires romains. il est efficace, discret et fort apprécié pour ses talents. Il aime sa nouvelle vie. Un jour par hasard, dans un salon, son regard a croisé celui de Jasmine, ils se sont accrochés et ils ont su de suite, tous les deux que leurs âmes étaient liées. Ils se sont éloignés, chacun occupé à ses taches. Mourat a tout fait pour la retrouver et lui parler. Il sait qu'elle est la femme de sa vie. Il n'a eu aucun mal à savoir qui elle était et ou elle vivait. La deuxième rencontre a été magie. leurs lèvres se sont trouvées, leurs corps se sont serrés. Ils ont voulu être un. Depuis ils ne se quittent plus. Mourat, le tueur, est si doux, si prévenant, si respectueux avec sa femme. Un contraste qui n'a rien de surprenant. C'est Jasmine, la féministe pure et dure qui est devenue une surprise. C'est elle qui a voulu devenir l'esclave de son homme. C'est elle qui a voulu recevoir la fessée sur ses genoux. -Je ne suis pas sage, dit elle, corrige moi sept fois par jours, tu sais combien j'aime cela. Et Mourat a su faire et combler son épouse. -attache moi et prend moi ainsi, comme ton esclave. Je n'ai qu'un désir, te servir et t'obéir. C'est cela qui me fait jouir. Et son époux a su récompenser son épouse. -cadenasse ma chatte et porte la clé autour de ton cou. C'est mieux qu'une alliance au doigt. Mourat a sorti son kindjal et à percé son épouse comme il fallait. Depuis Jasmine est heureuse et en paix. Son vœux le plus cher s'est accompli.
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Par : le 03/01/21
Allez zou, une petite histoire pour bien commencer 2021. ...l'effet tunnel... Je travaille comme ingénieur dans une zone secrète en Arizona. Nous préparons les prochaines bases qui vont être implantées sur la Lune, Mars et autres corps de notre système solaire. Ma chef de service, Wira est une jeune indonésienne, toujours voilée, membre d'une secte musulmane très pieuse. Je n'ai jamais vu que ses yeux mais dès le premier regard, le jour où j'ai été affecté sur cette base, je suis tombé amoureux dingue de Wira. C'est con ce truc, aucune explication, j'ai su de suite que Wira était ma femme. Nos âmes étaient liées et cela depuis toujours, même par delà la naissance et la mort. Cette étrange impression que vous connaissez cette personne, qu'elle vous connaît parfaitement aussi et que tout devient si simple, si naturel. Un peu comme ces vieux couples qui ont usés les années ensemble, patiné leurs âmes et que plus rien ne peut séparer. Wira n'est pas intelligente, non, c'est une génie. A 21 ans, elle avait déjà trois doctorats en poche et publié des thèses fort innovantes. Résultat, les services secrets américains lui ont mis le grappin dessus et elle s'est retrouvée dans cette base, à bosser comme une malade sur des recherches qui la passionnent. Elle est d'une énergie incroyable. Pour ma part, j'ignore comment je me suis retrouvé dans ce lieu futuriste, tout d'acier et de verre et je ne sais même pas quel est mon job véritable. J'ai certes un diplôme d'ingénieur, mais ici, entouré de tous ces savants émérites, on se sent un peu comme un cantonnier avec sa pelle qui regarde passer des voitures de course. Un jour le général qui commande la base m' a convoqué dans son bureau meublé à l'ancienne, style 1800, sans doute pour se reposer le cerveau. -Alors, il parait que vous ne savez pas pourquoi vous êtes sur cette base, m'a t'il dit en me regardant droit dans les yeux avec ce regard délavé, typique des très hauts gradés de west point. Un regard à la Westmorland. Cela m'a fait sourire. -C'est exact. Je me pose la question tous les jours. -Nous vous avons fait venir, ...un peu de force...j'en conviens car vous êtes le mari de Wari. Ne le savez vous donc pas? Je n'ai pas su quoi répondre. Cela se voit tant que cela que je suis amoureux fou de Wari? -C'est une savante d'exception. Elle a besoin de son homme et nous savons que c'est vous, alors ne perdez plus de temps et demandez lui sa main. C'est un ordre ! Visiblement le général aux yeux à la Westmorland décide de tout. Rien que pour le faire chier j'ai envie de dire non et puis....je vois les yeux de Wari et je craque. -Ce sera fait avant ce soir. Je me suis pointé dans le bureau de Wari. Elle porte son voile islamique comme toujours. Ses yeux...quelle merveille. -Oui, de quoi s'agit il? je n'ose répondre. Elle me regarde. Je devine son fin sourire sous son voile. Visiblement je l'amuse. J'espère qu'elle ne va pas me prendre pour son animal de compagnie, son labrador. Puis non, zut, je suis trop amoureux. -Wira, voulez vous m'épouser. Elle se lève et viens vers moi. Elle semble flotter dans ses voiles. C'est comme si elle glissait sur le sol. Elle me prend la main et pose un baiser dessus. -Oui Ce simple mot m'a électrocuté. Je ne sais ni pourquoi ni comment mais nos lèvres se sont touchées, nos langues se sont cherchées, nos corps se sont lovés. J'ai senti ses seins lourds contre ma poitrine. J'ai eu envie d'elle, de lui faire l'amour. Mais Wari me connaît parfaitement. Elle a su calmer mon ardeur. -Après le mariage et tant que tu voudras. Le mariage a été célébré sur la base par le général pour le civil et un imam de sa secte. Wari n'a pas voulu prendre de vacances. Nous avons baisé toute la nuit et le matin j'ai retrouvé le lit vide. Elle était déjà retournée à son labo. Depuis, elle bosse, bosse et bosse. Je passe la voir quand je veux et je la tringle. Elle ne dit jamais non. Elle sait me faire jouir très fort en elle, prendre une douche avec moi et puis zou, de nouveau au boulot. Parfois, c'est elle qui vient. je me laisse faire. Elle dégrafe mon jean, sort mon sexe épais et s'empale dessus. Elle me couvre de baisers, m'inonde de cyprine parfumée. Elle sait se faire jouir sur mon sexe tendu, elle sait m'aspirer et me vider de ma semence. J'adore la laisser faire. Parfois, je me pose la question. Suis je son époux ou son labrador? C'est pas le général aux yeux à la Westmorland qui va me donner la réponse cette fois.
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Par : le 13/11/20
Ayana est une jeune et fort jolie japonaise, venue faire ses études en France. Elle est passionnée d'art , de littérature et elle aime Paris. Son père est un très riche industriel de Yokohama qui adore sa fille et veut le meilleur pour elle. Pourtant Ayana s'ennuie dans son univers hyper protégé. Son garde du corps, Naoto, est un expert en arts martiaux. Un très beau jeune homme qui en pince pour Ayana, sauf que cette dernière l'ignore complètement. Elle est même presque insupportable et souvent très désagréable avec lui. C'est son toutou, son jouet. sauf qu'il n'a pas le droit de toucher Ayana, sans quoi son père qui fait partie des Yakusas a promis de le castrer. Ayana se désespère. 26 ans et toujours vierge à cause de la jalousie maladive de son père. Contrainte à se caresser sous la douche ou sous la couette pour se détendre et se faire du bien. Elle a refusé tous les prétendants au mariage présentés par son père. A chaque fois elle a hurlé: -Occupe toi de ton entreprise mais laisse moi choisir moi même mon époux ! Un bon tempérament de fille de Yakusa, ???. Résultat, elle est célibataire et toujours vierge et toujours sous la surveillance de Naoto qui renifle en douce ses petites culottes qu'elle laisse exprès trainer pour le faire souffrir. Ayana rêve d'un male puissant qui la domine et l'embroche profond. Elle n'aime pas les petits sexes asiatiques, non, elle rêve d'un beau sexe d'homme, comme ceux qu'elle admire dans certains musées ou sur des sites pornos. Comme toutes les japonaises, elle surfe et fait dans le virtuel. Elle a beaucoup d'amants sur le net mais aucun amant concret, un de ceux qui posent les mains sur elle. Elle verrouille parfois la porte de sa chambre, avec Naoto qui se désespère derrière la porte, et s'amuse avec sa webcam à montrer sa chatte à ses amants virtuels et à jouir devant eux. Les autres sont trop content de se branler devant leurs écrans et d'écrire des cochonneries qui font rires Ayana. Il en faudrait bien plus pour déranger une fille de Yakusa, avec un père au petit doigt gauche tranché net dans la tradition du yubitsume (doigt coupé) et de l'irezumi (tatouage japonais). Seulement voilà, à force de trainer sur des sites peu sûrs, un jour Ayana a eu un choc en regardant sa souris se déplacer seule sur son écran. Elle n'avait plus le contrôle de son ordinateur. Un autre l'utilisait à sa place. Mais qui et où? Pas ce crétin de Naoto. A part faire des katas, il n'a pas les couilles pour cela. Non, un parfait inconnu ! Ayana aurait pu tout débrancher et faire désinfecter son ordi, pourtant cela l'amuse. Elle laisse faire cette souris baladeuse. Des fichiers s'ouvrent, se referment. La souris cherche ses photos intimes. C'est vrai qu'Ayuna est très belle et qu'elle aime se mettre en scène sur des photos. La souris ne s'intéresse qu'à celles ou elle est nue. C'est un peu comme un viol. La souris se ballade partout, explore son disque dur, enclenche la caméra, les micros et installe ce qu'elle veut comme programmes. Ayana laisse faire. Son ordinateur n'est plus à elle mais a un ou une inconnue... La voix a claqué. Une voix française de mâle. -Allez debout salope, fous toi à poil et magne ton cul ! Ayana a obéi. Elle a senti sa chatte s'ouvrir, son clitoris se dresser et un peu de cyprine couler le long de ses cuisses. Elle a chaud. Les pointes de ses seins se dressent. -Mais c'est vrai que tu es une salope, a dit la voix sèche et rauque ! Cela fait des semaines que je t'observe, pétasse. Allez, montre ta chatte et ton cul. Ouvre. Mieux que cela ! Ayana a obéi et elle a jouit très fort. L'inconnu a installé un programme d'hypnose. Il a forcé Ayana a regarder l'écran et ses spirales mouvantes et à écouter sa voix. Elle a fini par s'endormir. L'inconnu a prit le contrôle de son cerveau. Il s'est installé dans la vie d'Ayana en la suivant partout via son ordinateur ou son téléphone portable. Le pire, c'est qu'elle sent qu'il est aussi "en elle". Pourtant elle n'a pas peur. Elle aime sentir être devenue l'entière propriété de cet inconnu. Elle garde ses caméras ouvertes, elle en porte une en permanence à sa boutonnière, avec des écouteurs à ses oreilles. Son inconnu peut voir ce qu'elle voit et elle peut l'entendre, mais elle n'a pas le droit de lui parler. Elle doit obéir et se taire. En bonne japonaise, cela, elle sait faire. Un jour, elle reçoit l'ordre d'aller aux toilettes d'un restaurant, qui sont mixtes avec une vaste pièce, avec un lavabo, qui ferme à clé. Naoto reste à la porte. L'inconnu est là ! Ayana n'a pas le droit de lever la tête et de le regarder. L'inconnu la trousse, la retourne et l'encule d'un coup sec. Elle éprouve une douleur terrible. L'inconnu l'empêche de crier en lui fermant la bouche d'une poigne de fer. Il reste fiché en elle sans bouger. La douleur passe. Il commence les va et vient. Ayana se cambre. Enfin un homme qui la baise en vrai pour de bon. L'inconnu lâche son sperme dans ses reins. Ayana ne sait toujours pas qui il est. Naoto qui a entendu sa Maitresse gémir frappe à la porte. -Tout va bien, Maitresse ? -Oui, reste à la porte et me casse plus les couilles, a répondu Ayuna ! L'inconnu a demandé à sa soumise de lui laver le sexe. Puis il l'a regardé dans les yeux. Un fort beau jeune homme, très viril et imposant. Ayana a baissé la tête et joué à la soumise. Il l'a dépucelée et prise par sa chatte poilue de japonaise. Il a joui en elle. - A présent, nous sommes Mari et Femme, a dit Ayana en remettant sa petite culotte et en rajustant sa jupe plissée. Viens, allons boire un verre pour fêter cela. Ils sont sortis main dans la main sous le regard médusé de Naoto. Ayana lui a fait signe de se taire et de rester tranquille. Il a obéi en faisant une courbette de profond respect. Cette fois, ce n'est plus l'inconnu qui a la main, mais Ayana. Cette dernière a senti son clito se dresser. L'inconnu, bientôt son époux, va devoir filer droit et bien lui faire l'amour pour le reste de ses jours....Et pas d'incartades, sans quoi elle le castre elle même avec son kaiken ?? .
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Par : le 10/11/20
Lamia est franco libanaise, toute en très jolies rondeurs pour son époux qui en est fou. Lui , Sergeï, est presque malingre à coté, 1m75 pour 65 kg mais il est monté comme un Taureau, un bon 20 cm bien épais et endurant. Elle, c'est 1m 65 pour 145 kg de pur bonheur. Il ne faut pas parler à Sergeï des programmes minceurs qui passent en boucles dans les réclames TV. Quelle horreur cette idée de vouloir mincir. Pour Sergeï, rien n'est plus beau qu'une femme bien ronde.. Les maigres ne l'ont jamais fait bander. Avec Lamia il est au nirvana. Lorsqu'il va à l'Eglise il prie: "Mon Dieu, si je dois aller au Paradis, faites que mes 72 vierges soient bien rondes, sans quoi expédiez moi directement aux enfers, là où on s'amuse et baise. " Lamia est amoureuse folle de son "petit " Sergeï. Lorsqu'elle le serre dans ses bras elle se demande toujours où il est, c'est à dire dans quel pli et repli de son corps voluptueux il s'est enfoui. Le problème avec cette pandémie c'est que le toubib de Lamia a poussé des cris. -travailler, n'y songez même plus. Vous êtes en sur-risques avec votre surpoids. Je vous confine d'office. Elle a donc du rester à la maison et passer au télétravail. Elle est secrétaire et son boss a été très conciliant. Par contre Sergeï qui est routier doit lui bosser en extérieur et se lever tôt. La nuit Lamia ne peut dormir que si elle serre le pénis de son époux qui adore cela, lover sa belle queue dans la grosse paluche de sa femme. Elle ne le branle pas mais s'amuse à le garder en érection toute la nuit. Sergeï se laisse faire. C'est trop bon de sentir les rondeurs si douces de sa femme, sa chaleur, dans son dos. Le matin vers 4h, il est à point. Toute sa sève ne demande qu'à sortir. Lamia le suce et l'aspire goulument. Il se libère dans sa bouche et donne à son épouse sa ration de vitamines et d'énergie pour la journée. Lamia adore laver son époux sous la douche. Elle ne peut pas avoir d'enfant, alors c'est un peu son bébé. Elle le savonne, le rince, le talque, l'habille et Sergeï aime cela, se faire bichonner par sa femme. Après un bon petit déjeuner, il file retrouver son camion le cœur heureux. Il n'a qu'une hâte, à peine parti, c'est de vite retourner à la maison pour pilonner la chatte de son épouse. Le soir est enfin là. Lamia a préparé le repas. Elle s'est faite belle. Sergeï est trop impatient. Il l'a bien grosse et il veut se vider les couilles. Vite le canapé! Une levrette pour commencer. Ah ce cul superbe et généreux. Il s'enfonce d'un coup. C'est vraiment très jouissif. Lamia ruisselle. Il explose. Il n'a pas pu se retenir. Ce n'est pas grave, il sait qu'ils vont vite remettre cela. Lamia ne dit jamais non à son homme. Sergeï allume une gitane sans filtre...rires. Il fume et laisse échapper: -Tu es trop bonne Lamia. Je t'aime Lamia ne dit rien et lui donne ses seins magiques a sucer et caresser. Le sexe de sergeï se dresse à nouveau....
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Par : le 07/11/20
Kikou est comptable dans une grande société du quartier d'affaire. Il vit seul depuis qu'il a rencontré Maitresse Anaïs, une dominatrice de grande beauté qui l'a réduit en esclavage, marqué au fer rouge et obligé à ne vivre que pour elle. Maitresse Anaïs décide de tout, pense pour lui. Il n'a qu'une chose à faire, c'est obéir et faire diligence pour servir. Avec le confinement, Kikou a été contraint au télétravail. Maitresse Anaïs lui a imposé de venir se confiner dans son luxueux pavillon dans le quartier résidentiel chic. Elle a les moyens, ceux de ses esclaves. Kikou a le numéro 36 marqué sur sa fesse droite. Il obtempère. Etre reçu par Maitresse Anaïs est un signe de grande faveur. Arrivé chez sa Maitresse , il doit se doucher, se mettre nu, passer son collier d'esclave. Il est déjà sous cage de chasteté et pluggé. Il prend son service et ses ordres d'une assistante de Maitresse Anaïs. Une lesbienne fort jolie, nue et toute dévouée comme lui. Tout se passe dans un grand silence et une propreté de clinique. Tout est impeccable. Kikou est en stage de recyclage. Il sait qu'il va souffrir. C'est une autre assistante lesbienne qui lui impose le programme défini par Maitresse Anaïs. Cela a commencé par de dures séances de fouet. Kikou est lacéré. Son dos le brûle. A présent il doit nettoyer le parquet à quatre pattes, nu. Tout le monde l'ignore. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son éponge et son seau. Maitresse Anaïs le reçoit. Il lui baise les pieds. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son superbe mollet. Elle n'est pas contente de son esclave et donc lui impose des punitions. Son assistante note et ne manquera pas de les lui administrer. Kikou remercie et se retire comme un chien, avec son plug bien visible dans les fesses et sa cage de chasteté qui pend. Il n'est plus que le numéro 36... plus un humain...même plus un esclave...Numéro 36 dans le cheptel de Maitresse Anaïs. Il est définitivement castré. Il n'a plus droit aux orgasmes. Son moi a disparu dans un grand calme intérieur. Il est dans la paix du non désir.
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Par : le 05/11/20
Caro et Anna sont deux copines de fac, lesbiennes et fort jolies toutes les deux, au désespoir de tous les males qu'elles font craquer et qui ne pourront jamais les sauter. Elles ont sauté de joie, justement, à l'annonce du confinement. Les parents de Caro possèdent une petite maison en province, loin de tout et l'ont laissée à disposition pour leur fille et cette retraite imposée. Elles sont vite parties en train. Déjà elles avaient du mal à ne pas se rouler des pelles sur la banquette. Mais masque et covid oblige, elles sont restées sages. Puis il a fallu prendre un bus et au final continuer à pied. La maison n'est qu' à un kilomètre du dernier village, mais elles n'ont pas pu attendre jusque là. Caro a plaqué Anna contre un grand arbre et l'a embrassée goulument. Elle a baissé son jean et son mini slip et fourré sa langue dans les plis intimes de sa compagne tétanisée de plaisir. Anna a joui très fort et Caro a bu son plaisir avec délectation. Le confinement est un plaisir. La petite maison est agréable, sans voisins autour. Elles peuvent se bronzer nues au soleil, faire l'amour devant la cheminée le soir et bosser tranquillement les cours via internet. Elles aiment étudier et aussi les longues promenades à vélo ou à pied dans la campagne drapée de superbes couleurs d'automne. C'est Caro qui a eu envie de jouer au bdsm et qui s'est improvisée dominatrice. Anna a été un peu rétive au début et puis elle s'est révélée très douée. Une parfaite soumise. Caro a commencé par l'attacher, la fesser, puis la flageller. Anna a trouvé du plaisir à être sévèrement punie et à devoir dire merci. Maitresse Caro a pris de plus en plus d'assurance. C'est la soumise qui fait la maitresse. Le joli petit cul d'Anna est vierge et Maitresse caro s'est fait un plaisir de le sodomiser avec un doigt, puis deux et enfin sans le moindre ménagement au god ceinture. Depuis c'est devenu une pratique quotidienne. Anna obéit bien mieux après avoir été sodomisée par sa Maitresse. Les suspensions, la cire chaude et le fouet c'est pour bientôt. Pourvu que le confinement dure jusqu'à Pâques ou à la Trinité.
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Par : le 03/11/20
Maurice est un prof de philo à la retraite. Cela fait plus de 40 ans qu'il est marié avec Paulette, une prof de français, retraitée aussi. Un long bonheur conjugal sans jamais la moindre incartade, un amour passionné depuis le début. La raison en est que Maurice et Paulette appartiennent à ces couples qui ont besoin de baiser tout le temps. Les autres n'existent pas. Ils baissent n'importe où, n'importa quand. Ils ne se lassent jamais, ne comptent pas, n'ont aucune arrière pensée, c'est physique, c'est comme cela depuis le premier regard. Maurice a vu Paulette, ils se sont plus, elle l'a eu de suite dans le cul. Maurice est un dominant. Paulette adore lui obéir et le servir. Cela aussi c'est naturel entre eux. Ils sont trop heureux de se confiner à nouveau, rien que pour le plaisir d'être ensemble et de baiser à tout va. Ils vivent dans un appartement cossu avec un joli balcon qui domine les toits de la grande ville. Ils ne veulent plus sortir, se font tout livrer à domicile. Le matin Maurice aime glander au lit. Paulette lui prépare son café, des viennoiseries chaudes, et lui porte tout cela avec les journaux, livrés eux aussi. Maurice aime lire au lit pendant que Paulette fait le ménage. C'est une méticuleuse. L'appart est très agréable à vivre, d'une propreté incomparable, lumineux, bien aéré, chaud et très confortable. Maurice se lève. Il regarde le beau cul de Paulette qui s'affaire en cuisine. Il la tronche en passant. C'est si bon de la baiser pendant qu'elle bosse. C'est une femme fontaine. Elle mouille toujours beaucoup. Elle sent si bon. Elle adore être prise ainsi, à l'improviste, sans cesser ses occupations. Elle aime laisser son homme aller et venir en elle comme il lui plait. Elle aime sentir être son entière propriété. A Midi Maurice met les pieds sous la table et déguste les excellents repas préparés par son épouse. Ce sont deux épicuriens. Ils aiment faire bonne chère et déguster de bons vins. Après ils jouent à la belotte, style belotte de comptoir et c'est toujours Paulette qui gagne. Sa récompense c'est une bonne fessée sur les genoux de Maurice. La fessée fait toujours jouir Paulette. Elle est punie et mise au piquet, cul nu, culotte sur les chevilles. Son cul est trop beau. Maurice ne peux jamais résister au plaisir de bien la pénétrer et la remplir de sperme. Ils n'ont pas besoin de sortir. Le sport en chambre leur suffit. Le soir Paulette fait la lecture à son époux. Ils commentent, discutent, philosophent. Les bons livres c'est une passion pour eux. Cela les repose et leur redonne envie de baiser. Le lit conjugal est là, chaud et accueillant. Maurice adore s'enfoncer dans la chatte ruisselante de son épouse adorée. Ils hurlent des orgasmes. Ils sont heureux, s'endorment dans les bras l'un de l'autre. Les rondeurs de Paulette sont un si doux coussin. C'est beau la vie. Ils aiment le confinement et son calme.
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Par : le 01/11/20
Trop contente jolie ginette d'être confinée avec son petit copain Gégé, un handicapé mental qui fout rien de la journée à part bouffer des pops corns et regarder la télé. Pourtant Ginette adore son Gégé et surtout sa belle bite dont il se sert si bien. Jamais Ginette ne pouvait s'imaginer sortir un jour avec Gégé et ses trois neurones, son intelligence qui doit se trouver entre celle de l'amibe ou celle d' une salade de jardin. Et peut être même que l'amibe ou la salade sont plus intelligentes. Pourtant cet idiot est celui qui a fait la nique à tous les prétendants au joli cul de Ginette. Oh, il a fait simple. Il a coincé Ginette en pleine rue et l'a tronchée debout contre un platane. Gégé est imposant, il fait peur. Ginette n'a pas eu le temps de crier que déjà une main puissante lui fermait la bouche et une autre lui arrachait le slip. Déjà un pieu puissant la violait d'un coup. Gégé ne saura jamais ce que peut être un préliminaire. Et Ginette a jouit très fort. Les passants, qui regardent en coin mais n'osent pas s'interposer. Et puis c'est vite venu visible que Ginette adore cette forme d'amour sauvage et brutal. C'est ainsi qu'elle est devenue accro puis addic complète à la bite de Gégé. Elle a vite trouvé son compte à être avec un handicapé qui vit des allocs, ne fout rien et baise si bien. Lorsque son employeur a proposé le télétravail. Ginette a de suite accepté. Etre confinée avec le gros calibre de Gégé c'est trop bon. Alors elle se ballade en nuisette dans l'appart. Elle passe devant le canapé ou son homme regarde les dessins animés pour enfants. On voit qu'il a du mal à suivre mais il rigole tout seul, c'est déjà cela d'après la psy. Ginette montre son joli cul et zou. Le cerveau de gégé court circuite ses trois neurones et il se précipite pour violer ce joli cul qui s'offre. Elle ne sait jamais quel trou il va défoncer. Peu importe. Ginette hurle. Son handicapé de petit copain ne fait jamais défaut. Un vrai marteau pineur. C'est trop bon. Tout l'immeuble est au courant plus de dix fois par jours, sans compter les longues nuits. Les cris de plaisirs de Ginette sont si forts qu'ils s'entendent même jusque dans la rue. Heureusement qu'elles sont désertes avec le confinement.
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Par : le 12/10/20
J'ai toujours aimé lire Guerre et Paix de Léon TolstoÏ, J'aime sa conception amusante de l'histoire où les grands hommes ne sont rien d'autres que des étiquettes sur des évènements historiques que personne ne comprend vraiment tant ils sont complexes. Sur ces évènements, l'auteur greffe des personnages fictifs qui vivent leurs vies. Seulement voilà, Tolstoï a ses bons et ses mauvais. C'est trop simple et je n'aime pas. De toute façon la fin de vie de Tolstoï avec son épouse a quelque chose de dramatique. Je veux donc réhabiliter certains personnages imaginaires crées, les décrire autrement. C'est libre. Parlons par exemple de celle que Tolstoï décrit comme une garce, Hélène kouraguine devenue Hélène Bezoukov après son mariage. Tolstoï veut décrire une femme intéressée uniquement par la fortune de son époux, Pierre Bezoukov. Je ne crois pas à cette version. Je crois que si l'on offre à une femme le choix entre l'amour et l'argent, la femme choisira toujours l'amour et n'en aura rien à faire de l'argent. Un mariage arrangé, voulu par son père, un mariage sans amour, bref un désastre pour les deux. Cela me fait penser à Lady DI et le Prince Charles. Un mariage arrangé sans amour véritable. Il ne sert à rien de jeter la pierre à l'un ou l'autre, cela n'a pas de sens. Non, la femme du Prince Charles c'est depuis toujours Camilla et depuis qu'ils sont ensemble, c'est un fleuve paisible. Pourquoi vouloir faire d'Hélène une garce alors qu'elle subit un mariage sans amour. Hé bien elle prend des amants, mais cela ne lui convient pas totalement. C'est un canon. Elle fait bander. Elle n'a aucun mal à multiplier les conquêtes mais elle est toujours insatisfaite. Elle a besoin comme toutes les femmes de l'amour total, complet, celui qui donne vraiment la paix et le bonheur, celui qui permet de construire. Ce n'est pas avec ceux qui veulent juste la sauter qu'elle peut trouver cela. Et Tolstoï en fait une garce, ce qu'elle n'est pas. Je n'aime pas Hélène, mais elle ne mérite pas l'opprobre. Le fait qu'elle ne soit pas heureuse, l'oblige presque à cette fuite en avant. De même, je n'aime pas Lady Di, mais elle ne mérite pas ce sort funeste. Hélène est belle, c'est une des plus jolies femmes de Russie. Avec Pierre Bezoukov elle devient immensément riche. Ceux qui ont arrangé ce mariage ont cru faire bien. Jeune belle et riche mais pas heureuse pour autant. Alors oui, le sexe, les amants. Les beaux jeunes hommes des régiments. Ce n'est pas une garce pour autant. Voilà c'est dit. N'en déplaise à l'illustre Tolstoï.
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Par : le 10/10/20
Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu. Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes. Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres. Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser. -Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble. Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers. Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre. Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit: -frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu. Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux. -il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ? -Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps. -Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme. -Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir. -Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien. Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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