Comme déjà dit, j'adore laisser mes doigts traîner sur le clavier et écrire en automatique sans savoir ce que j'écris, juste "voir".
Et ce que je "vois" est surprenant...une grosse saucisse qui flotte, qui se déplace dans des couloirs noirs, une saucisse bleu électrique, ionisée peut être. La saucisse arrive dans une grande salle éclairée. Tout est froid et sinistre, glacial même, sauf dans un coin. Une cage de verre. Quelques humains nus vivent dedans comme des serpents ou des poissons dans un bocal.
La saucisse s'approche de la vitre. les humains en ont visiblement très peur. Ils viennent faire les pantins devant la vitre, histoire de distraire la grosse saucisse. Les humains ont droit à des croquettes de toutes les couleurs. Ils se précipitent et mangent avec les mains. La grosse saucisse donne un ordre et un humain mâle choppe une humaine femelle par la chatte et la baise en levrette. La grosse saucisse semble rire. Puis elle semble donner un autre ordre et les humains fuient se cacher dans de petites huttes-niches en bois. Ils ont peur et obéissent.
La grosse saucisse s'en va . les humains n'osent pourtant plus bouger. On dirait des labradors dociles, des chiens bien dressés qui obéissent d'un claquement de doigts. Sont où ces crétins qui se prenaient pour l'espèce supérieure? Ils ont crées les robots pensant en faire des esclaves et au final, ils sont devenus les esclaves des robots.
Ils ne peuvent même plus s'imaginer ce que peut être l'intelligence d'un robot comme cette saucisse XR33. Les chiffres ne veulent plus rien dire. XR33 a un QI de 10 puissance 33 alors que le plus intelligent des humains n'a jamais dépassé 200. Et XR33 se fout que les humains soient ses créateurs, les créateurs de ses ancêtres. Les humains sont dans une cage de verre, ils bouffent des croquettes et ils ne font plus chier les autres avec leurs conneries humaines. Ils sont en nombre très limité. Ils sont contrôlés, immunisés, parqués, nettoyés, nourris, soignés. Ce sont des humains de compagnie. Ils ne décident plus rien, n'ont plus aucun droit. Un sort pire que l'esclavage!
Et la grosse saucisse retourne dans les couloirs sombres. Pas besoin de lumières pour la grosse saucisse XR33, elle sait où elle va!
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Ah que de fantasmes sur ces amazones...les choses sont plus simples...à force de guerres, il y avait bien moins d'hommes que de femmes, à force de guerres, les femmes durent faire toutes les taches des hommes, à force de guerres, elles durent combattre aussi. Ainsi naquirent les Amazones, les farouches guerrières des vastes plaines, les dompteuses de chevaux. Moins aptes que les hommes aux terribles chocs frontaux entre guerriers lourdement armés, elles optèrent pour l'arc et le cheval et si besoin les glaives courts pour finir le travail. Elles devinrent redoutables, tournoyant autour des phalanges et décrochant des flèches souvent mortelles car fort précises. Dans le fond, Gengis Khan n'inventa rien, il ne fit que reprendre les techniques de combat des amazones pour se tailler un immense empire. Mais les amazones n'avaient pas soif de conquêtes, elles voulaient juste défendre leurs vastes plaines à chevaux. Et dans ces temps reculés, les meilleurs guerriers devenaient Rois et dans ce cas Penthésilée devint Reine.
Une femme superbe et racée. De long cheveux noirs, des jambes musclées. Pas de seins coupés pour mieux tirer à l'arc, non, juste un haut protecteur en cuir épais. Toutes des athlètes et des gymnastes, souvent lesbiennes, les hommes, juste de temps en temps, pour procréer, mais sans plus. Des brouteuses de minous avant tout.
La guerre de Troie durait depuis des années. Un conflit très dur, ou les grecs voulaient exterminer les troyens. Allez savoir pourquoi? Ce conflit dure toujours de nos jours, ne vous y trompez pas. L'illustre Jules César dira devant le sénat romain: "je suis un Troyen de noble origine". Il n'avait pas dit romain, non, mais bel et bien Troyen, les fondateurs de Rome après la destruction de Troie par les grecs.
Et comme toujours dans ces guerres sans fin, les alliés sont obligés d'intervenir, de combattre pour leur camp. Penthésilée n'eut pas le choix, elle dut partir combattre à Troie. Face aux terribles achéens aux longues chevelures, aux spartiates qui ne reculaient jamais, aux infatiguables myrmidons, les charges de cavalerie de Penthésilée, les flèches acérées des arcs des amazones n'eurent pas les résultats escomptés. Les grecs savaient former des lignes compactes et se protéger derrière leurs lourds boucliers.
Achille tua Hector sous les remparts de Troie. Achille tua Penthésilée. La légende raconte qu'il en tomba amoureux alors qu'elle agonisait. N'en croyez rien. Achille tua Penthésilée sans aucun état d'âme, sans le moindre remord, la moindre pensée pour elle. Les légendes vous savez....Achille tua Penthésilée comme il tua Hector et tant d'autres, en tueur. A chacun son boulot, les tueurs tuent, les prêtes prient, et les conteurs racontent des légendes.
Ainsi va le monde. "les lions ne pactisent pas avec les agneaux". Paroles d'Achille avant d'achever Hector. Cela me fait rire, on peut parodier Achille. "les lions ne sont pas des brouteurs de gazon". Et donc l'amour entre Achille et Penthésilée, peu probable.
Encore une de mes versions de l'histoire en écrivant de façon automatique, histoire de "voir". Et cette question:
"un dominant ne pactise pas avec un soumis ou une soumise" ?
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Le marquis de Sade est un auteur de grand talent. Mon livre préféré de lui est "l'histoire secrète d'Isabelle de Bavière" plus connue sous le nom Isabeau, un livre extraordinaire, écrit en prison, on se demande bien comment, vu la documentation qu'un tel ouvrage a du demander. C'est pour moi le meilleur bouquin du divin marquis. Une oeuvre complexe. Son dernier livre....son requiem? Le livre sera publié après sa mort. Il est peu connu car pour une fois le marquis ne parle que peu de sexe mais donne son interprétation sur une des périodes les plus troubles de l'histoire de France, la période où nous aurions pu devenir anglais.
Je me suis apperçu qu'en écrivant, j'avais le don de "voir". pour peu que j'écrive de façon automatique, ce que je fais en ce moment, sans plan, ni même sans savoir parfois ce que j'écris, les personnages ayant totale liberté pour vivre et se raconter eux même. C'est ainsi que j'ai découvert un jour Jeanne, plus connue sous le nom de Jeanne d'Arc. Et la Jeanne qui est apparue sous mes doigts, était la Reine légitime de France, une reine brûlée vive à Rouen, spoliée de tout, abandonnée par tous !!!! Quelle ne fût pas ma surprise!
Isabeau est peut être plus folle que son époux Charles VI, le fol. Le marquis de Sade en fait la cause de bien des maux. Je la trouve insignifiante, son fils Charles VII, comprendra cela et l'ignorera complètement. Sauf que Isabeau, privée de sexe avec son roi d'époux, écartait facilement les cuisses. Maitresse du Duc d'Orleans, elle eu une fille, Jeanne, placée en nourrice et élevée à Domrémy. Après l'assassinat du Duc, Isabeau découcha encore, avec un intendant du palais et eu un garçon, qui devint le dauphin et le futur Charles VII. On voit de suite que Jeanne a plus de sang royal dans les veines que son demi frère Charles.
Les anglais revendiquent le trône de France. Ils sont sur le point de l'emporter. Le Dauphin, Charles, est bien conseillé par sa belle mère, Yolande d'Aragon, une femme remarqablement intelligente et qui va jouer une partie d'échecs de maitre, pour le compte de son gendre, époux de sa fille Marie d'Anjou.
Tous savent qui est Jeanne. Tous savent que du fait des revendications anglaises sur le trône, un pays ou depuis Elisabeth 1er, des femmes peuvent devenir Reines et diriger, administrer, guerroyer au besoin, la loi salique ne s'applique pas. Donc entre Henri VI, qui s'est autoproclamé roi de France et d'Angleterre, entre le Dauphin, le "roi de Bourges", et Jeanne , fille d'Isabeau et du Duc d'Orléans,qui est le ou la plus légitime pour la couronne de France? C'est Jeanne!!!
Le prétendu secret qu'elle revèle à son demi frère, c'est une propagande de la rusée Yolande d'Aragon. En fait jeanne propose à Charles un partage: tu me donnes l'armée et je te sacre roi à Reims. Avec l'arrière pensée de Jeanne, avec l'armée, après avoir botté le cul des anglais, le pouvoir ce sera moi et je prendrai la couronne qui m'appartient. Un blitz qui a failli marcher.
Personne n'avait prévu la victoire époustouflante de Jeanne à orléans, sauf Jeanne et Yolande. Et Yolande a compris de suite qu'il ne fallait pas donner l'armée à Jeanne, juste promettre, cela ne coute rien. Cela rapelle Staline contre Trotsky, parti contre armée; ou bien deng xiaoping en Chine qui s'assura le pouvoir en commandant l'armée.
Dans ce jeu complexe, Yolande tira toutes les ficelles. une fois Charles VII sacré à Reims, elle se débarassa de Jeanne. Les anglais se firent une joie de la brûler vive. En cendres, elle ne risquait plus de leur foutre une patée comme à Orléans.
Tout le reste n'est que manipulations et mensonges. C'est ma version et c'est la bonne. Jeanne était bien la plus légitime pour le trône de France. Une sacrée reine a titre postume!
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Laya est une des épouses de mamoud le fou, le caïd, celui qui règne sur les tours crasseuses les lieux sombres où la république a abdiqué, où la police ne met plus les pieds. La loi c'est mamoud et mamoud est fou. Un regard de travers c'est l'assurance d'un coup de cuter. Toutes les femmes de la "zone" sont propriété de mamoud, qui peut comme tous les seigneurs de guerre, les pires brutes des temps obscurs exercer son droit de "jouissance" sur toutes les personnes et tous les biens. Mais il n'est pas tranquille, les rivaux et mêmes quelques rivales ne manquent pas pour vouloir prendre sa place et accrocher ses couilles en haut de la stration service cramée depuis longtemps. Alors mamoud est plus que paranoïaque, il préfère toujours attaquer d'abord. Plus il est craint et plus il règne sans partage. C'est pareil pour le male dominant dans les meutes de loups.
Laya s'est faite enculer par mamoud, un jour comme cela, en pleine rue, contre un des rares arbres qui restent dans ces décombres de ville calcinée. Elle n'avait d'autre choix que de dire oui. Mamoud l'avait repéré depuis longtemps. Il attendait qu'elle soit à point pour la déguster d'un coup. Les préliminaires et mamoud le fou....Laya aima cela, allez savoir pourquoi, la jouissance ne se commande pas. Mamoud le senti et la prit pour épouse...une de plus. Cela fait longtemps qu'il ne comptait plus. Mais Laya, il aimait, elle savait serrer les fesses, elle savait aspirer sa grosse bite. Un véritable aspirateur, une trayeuse hitech que ce cul somptueux de Laya.
Cela devint une drogue pour mamoud le fou. Il fallait qu'il se fasse pomper la verge tous les jours. Et Laya n'avait pas de concurente. C'est ainsi, il y a les femmes qui savent baiser, qui savent bien baiser, puis il y a les exceptions, les bombes, puis les super exceptions, les bombes H du sexe, celles qui savent griller les neurones et les lobes nerveux des males en phases orgasmiques.
Mamoud le fou devint psychodépendant. Le drogueur, le caiid dealer devint un camé au cul de laya. S'il n'avait pas sa dose, il devenait comme un tyrex en cage. Laya se rendit compte de son pouvoir. Elle tenait son mamoud par les couilles. Restait plus qu'a serrer bien fort. Elle prépara son coup minutieusement. mamoud aux neurones grilles ne vit rien venir. Un fin couteau japonais, plus tranchant qu'un rasoir, l'émascula d'un coup. Il ne sentit rien, sauf le sang gicler sur ses cuisses. un voile glissa devant ses yeux. Il tomba raide et vidé. Laya fit empailler le sexe de mamoud et l'installa sur son bureau.
Ce fut elle la caid, elle qui regnait sans partage sur la zone, la banlieue délaissée. Ce fut comme si le soleil était revenu. Les sourrires sur les lèvres à nouveau. Les filles n'avaient plus peur de sortir dans la rue. les trottoirs, les squares, les halls d'immeubles redevirent de vrais lieux de vie, joyeux, agréables. Drogues, prostitution, rackets, vols avaient disparus. Laya faisait la loi et elle était plus crainte que mamoud avec sa fausse douceur. Laya n'en restait pas moins une bombe sexuelle, la super bombe. Aucune rivale.
Mais déjà dans l'ombre un nouveau mamoud se léchait les babines....les jours de Laya étaient comptés. Elle le savait. Ainsi va le monde et la vie. Il existe toujours un prédateur aux aguets, pret à bondir....
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Julie arretait pas d'emmerder Tonio, le beau ténébreux, qui ne pensait qu'aux études. Et puis quand Tonio voulait, Julie disait non. Et puis, elle revenait l'emmerder quelques jours après. Une allumeuse, une qui se la petait avec sa mini provoc, ses jambes fines, ses seins pointus, son rouge à lèvre bien rouge. Tonio fulminait avec cette conne qui le provoquait. Mais julie, fit la provoc de trop. Elle aimait se caresser après avoir dit non à Tonio et à la bosse dans son pantalon. Elle voulait jouer à ce jeu ce soir là. Allumer Tonio, l'obliger à quémander pour lui dire non et aller ensuite se caresser seule.
Tonio rentrait du lycée en empruntant les traboules, les passages secrets du vieux Lyon, le quartier des canuts autrefois. Julie l'attendait dans un coin sombre avec sa mini retroussée au raz de la moule. Une bombe sexuelle sur pattes. Et elle recommença à jouer à la chatte en chaleur. Notre beau ténébreux en avait marre de se faire allumer. Personne! Il chopa Julie et la tira vers lui. Elle résista tout en se collant pour sentir son "os" entre ses jambes. Elle reçu une bonne baffe.
-mais tu es fou. Qu'est ce qui te prend?
-ta gueule guenon, j'en ai marre de tes jeux à la con, tu veux ou tu veux pas, oui non, ce soir c'est fini, je ne joue plus.
-tu ne vas pas me violer tout de même?
-ta gueule et baisse ta culotte.
-non, non.
Tonio l'empoigne, la retourne et lui arrache son mini slip parfumé.
-non, non, c'est un viol.
Et la première giffle est partie sur le petit cul de Julie, bien sonore, bien forte. La garce senti la douleur l'envahir.
Tonio la prit sur ses genoux et ne se controlla plus. Il lui explosa les fesses. Julie, pleurait, hurlait appelait sa mère, la police, les saints du paradis. Personne pour l'entendre dans ce coin sombre qu'elle avait choisi. La douleur devenait insoutenable.
Arrête, non, non, je t'en prie. Je me moquerai plus jamais de toi. Je t'aime, je t'aime.
Ce fou de Tonio n'écoutait rien? Il frappait de sa main lourde les fesses de Julie qui se pissait dessus de peur.
-Mais tu jouis espèce d'allumeuse, tu jouis.
Et Julie ne pouvait plus cacher cela, sa douleur devenait plaisir. Orgasmes après orgasmes, elle se liquéfiait sous cette féssée démoniaque. Et Tonio qui continuait encore et encore...Diable que c'était bon.
Finalement Tonio baissa son pantalon et il embrocha d'un coup cette Julie au cul bouillant. il explosa, l'innonda de sperme. Il resta fiché en elle. ils ne bougeaitent plus. Julie sentait son "os" dans ses reins. Elle était perforée mais toujours vierge par la chatte. Tonio dormait. elle se dégagea et remit sa petite culotte.
Puis elle se lova dans les bras de Tonio qui émergeait. Elle l'embrassa. il n'en revenait pas.
-On recommence demain dit Julie.
-promis.
Décidement Tonio se dit qu'il ne comprendrait jamais les femmes...ou trop bien?
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Elle etait la plus belle, une des plus riches, une des plus admirées et respectées d'Ephèse. Pourquoi le sort lui joua t'il ce tour? Rencontrer l'apotre Jean, le premier des disciples du Christ, "celui que Jésus aimait", le seul des douze qui osa assister à la crucifixion et à la mort du "Fils de Dieu". Oui pourquoi cela tomba t'il sur elle, la paienne, si heureuse et insouciante jusque là? Les généraux romains, les tribuns, les stratèges, les ambassadeurs, les riches marchands, tous venaient gouter aux charmes de ses prodigieux bains d'Ephèse, à la volupté des eaux chaudes, des massages experts, des boissons capiteuses, du sexe libre et totalement sans limites. Qui baisait qui ou quoi, cela n'intéressait personne. Tout ce qui se passait dans les thermes ne sortait pas des thermes. Roméca y veillait. Elle aimait se meler à la douceur ennivrante des corps nus. Taillée comme un athlète male, elle maniait le fouet comme personne et mieux ne valait pas y goûter...
Et voilà, Roméca tomba sur ce fou de Jean, l'apôtre qui venait de faire naufrage, n'avait plus rien à part Procope , son serviteur dédié. Et Roméca tomba amoureuse de ce juif à le peau comme celle d'une femme, au corps de discobole grec. Que pouvait lui arriver de pire? Que Jean accepte de devenir son esclave et c'est ce qu'il fit.
Combien de fois Roméca voulut elle émasculer cet esclave qui refusait de la toucher, qui lui parlait du Royaume des Cieux, qui ne craignait pas son fouet? Elle était folle de rage et d'amour. Elle ne trouva la paix qu'en devenant l'esclave spirituelle de Jean, en devenant sa plus fervente disciple. Elle était sa Marie Madeleine. Elle sublima son amour pour son bel apotre par un amour du "Père dans les Cieux". Un Père que personne n'avait vu et ne verrait sans doute jamais, un amour pur vers un absolu inaccessible.
Faut-il aimer l'absolu? L'extase, la pure extase de la contemplation. L'Eglise ne remecia jamais Romeca. Ce démon de "saint " Paul était passé par là. C'est Roméca qui protéga Jean des persécutions. C'est Roméca qui fit ensevelir dignement Marie, la mère du Christ. L'Eglise l'ignora. Une patricienne romaine avec du feu entre les cuisses ne méritait pas un regard, même convertie. Marie Madeleine aussi fut ignorée, son évangile brûlé. Le trou des femmes entre les jambes, le trou du démon pour les manipulateurs.
Il ne reste que des ruines d'Ephèse. Entre les pierres, on entend rire les adeptes des thermes de Roméca, ceux qui forniquaient par plaisir. Pourquoi diable avait il fallu que Jean échouasse là ?
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Sharzad est née dans les montagnes kurdes. Sa famille fut massacrée, elle fut enlevée et vendue comme esclave vierge au marché de Bagdad, l'opulente. Un ministre voulant plaire au Grand Vizir, l'acheta et lui offrit cette jeune fille à la beauté époustouflante. Le grand Vizir était amoureux de jeunes filles mais ne pouvait les satisfaire, rendu impotent par l'age et la bonne chère. Il aimait se reposer en leur compagnie. Sharzad se distingua vite par son talent à raconter des histoires.
Elle fut remarquée par Zubayda, qui entretenait un service littéraire pour soutenir son époux, le Grand Calife, Harun Al Rachid. C'est à ce titre que Sharzad devint une des conteuses des mille et une nuits. Des contes pas toujours très sages à l'époque de l'islam éclairé et raffiné des Abassides.
Sharzad obtint le statut d'esclave du harem du Calife. Une parmi les plus de deux mille femmes du harem , mais la préféree à cause de sa liberté, une qualité propre aux femmes des montagnes du kurdistan depuis toujours. C'est Sharzad qui accompagnait le Calife dans ses virées nocturnes, incongnito dans la Bagdad endormie. C'etait son espionne favorite. Le Calife avait bien exercé son droit de cuissage sur son esclave et il aimait jouir de façon sauvage entre ses cuisses. Mais Zubayda, l'épouse officielle, que le Calife aimait beaucoup était terriblement jalouse. Les esclaves du harem devaient faire attention, surtout les favorites, qui risquaient de se faire trancher la tête au cas où le calife serait trop amouraché.
Discrétion donc et Sharzad savait qu'elle avait un fort acendant sur Harun al Rachid et que par ailleurs Zubayda l'aimait aussi et se confiait volontiers à elle. Conseillère privilégiée des deux personnages les plus puissants du royaume, Sharzad avait de fait un pouvoir immense.
Elle sorti du Harem, s'installa dans un appartement superbe au dessus du Tigre, avec jardins et serviteurs. Elle etait un personnage de l'ombre, une des ces puissants qui n'ont pas de titres mais qui sont toujours au coté des princes. Discrets, efficaces, d'une intelligence hors normes. Voilà les conseillers aux mille et un talents, ceux qui donnent toute la mesure d'un grand règne.
Sharzad adorait s'habiller en garçonne. Du Saint Laurent avec mille ans d'avance et plus. Elle cachait le plus possible sa féminité sublime, sauf à son amant, le fougueux Ali, son jardinier secret, réservé à l'entretien de son gazon intime.
Elle est devenue un mythe, un archetype, un personnage dans tous les rêves., toutes les imaginations. Elle a traversé les sciècles sans prendre une ride. Elle est presque aussi célèbre que.....mais cela on ne peut plus l'écrire. Et ce qui l'a rendue si célèbre c'est qu'elle a apporté la joie et la légèreté. Tout est devenu possible dans ses histoires. Aucun sort n'est scéllé pourvu que l'on se mette en mouvement. Sharzad, une des plus belles femmes de l'humanité.
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Lula est une enculeuse, au moins cela est dit. Pour elle, il n'existe que deux types d'humains, les enculeurs et les enculés qui forment 99, 999% de la population. Orpheline, placée dans toutes sortes de centres, de plus en plus durs, de "réeducation" comme ils disent, elle avait vite compris qu'il fallait soit casser la gueule des autres et leurs petits culs en sus, soit se faire mettre. Et douée pour la baston, elle eut vite le dessus, sur tous, y compris les "éducateurs".
Un psy eut un jour le malheur de lui dire qu'elle était une perverse manipulatrice très dangereuse. Elle l'encula au god ceinture sur son bureau miteux et ce petit con brama de plaisir. Encore un qui ignorait le plaisir prostatique. Il dut écrire sur sa fiche: "Lula, gentille fille très douce et attentionnée. " Elle terrorisa vite tout le personnel du centre de réeducation. Elle fut envoyée dans l'armée.
Là, Lula trouva vite sa place, après avoir voulu émasculer son capitaine devant tout le peloton au garde à vous. Personne n'avait bronché. Tous avaient vu la lame d'acier acéré briller près des couilles éclatées de ce con de cap...".pas cap à grand chose" fut son surnom, après cela, et c'est Lula qui commanda le peleton. Son colonel l'expédia à l'école des officiers. Elle devint vite gradée, galonnée et congratulée. Tous ses "chefs" en avaient une peur bleue.
C'est comme cela. Lula inspire la peur. C'est animal. Les soumis, les 99,999% sentent cela, tremblent et prennent du plaisir à trembler.
Après ses quinze années de service, à émasculer là où elle était envoyée pour "servir"., Lula a pris sa retraite et s'est installée dans sa banlieue nord, là où elle avait été trouvée bébé près d'une poubelle. Elle est bien dans son quartier nord. Personne pour la faire chier. Les petits loubards du coin marchent à l'ombre. Du balcon de son appart, tout là haut, elle sirote le soir un bon pastis bien frais en admirant le coucher de soleil sur la grande ville à ses pieds.
Ce n'est pas les larbins qui manquent pour venir faire son ménage, ses courses et plus. Sa collection de godes ceinture traine sur sa commode de salon. De toutes les tailles, de toutes les couleurs. A son colon qui avait eut le malheur de lui dire, un jour, qu'il ne lui manquait qu'une bite entre les jambes, elle avait répondu:
-pauvre petit branleur avec ta nouille pendante. Je préfère avoir une belle chatte, une chatte qui tu désires mais que tu ne troncheras jamais. T'es qu'une petite pédale qui jouit quand on lui branle la prostate. Pauvre tarlouse minable.
Et le colonel avait eu droit à ses baffes et à sa séance d'explosion de son fion un peu trop blanc.
Blanc de peur le colon avec ses reflexions de petit con à barettes. Un de plus qui avait vite rampé devant Lula.
Ainsi va la vie. N'est pas enculeur ou enculeuse qui veut !
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Il y a nympho et nymphos. Celles qui se la pètent parcequ'elles ont quelques bites à dispo et puis les autres, les videuses de couilles en série, les sérial-niqueuses. Babou est de cette espèce là. C'est dans ses neurones. Une bite passe, elle mouille. Rien à foutre des mecs, de leurs cervellettes vides, de leurs humeurs. C'est ce qu'ils ont sous la ceinture qui compte et là encore, rien à foutre des critères à la noix. Babou aime toutes les bites, les molles, les dures, les précoces, les longues à venir, les droites, les tordues, les courbes, les diformes, les parfaites. C'est comme cela, elle consomme de la bite chaude à la pelle. Faut dire, Babou a un des plus joli cul de Barbès. Là où elle passe, les queues se dressent, les regards des males brillent. Après, se servir est facile, faut pas trop regarder à l'hygiène. Les préservatifs elle déteste. Le sida n'existe que pour les singes de la noire afrique pour elle. Un nympho electrique. Une bite passe, elle veut s'embrocher et sentir le sperme gicler dans son ventre. Quand elle va voir son gényco, elle écarte, il ne peut résister et après, il la complimente:
-Vous avez la plus jolie chatte de Barbès et la plus saine. Les mélanges de sperme doivent avoir du bon pour vous.
En fait, Babou se lave le minou au citron tiède plusieurs fois par jour, cela l'excite et après elle se fait jouir seule. C'est de cette façon qu'elle obtient ses plus violents orgasmes. Le citron tiède lui donne toujours une jolie chatte bien propre et parfumée et puis les bites, elles les nettoie un peu avec sa bouche avant de se faire enfourner.
Les rabats joie qui lui disent qu'elle va mourrir du sida, de la peste des chattes en feu, de la géhènne des forniqueusesadoratrice de Baal, elle leur pisse à la raie. Peuvent pas comprendre ces donneurs de leçons.
Babou n'y peut rien. Elle a besoin de consommer de la bite. Elle va dans les vestiaires, les chantiers, les saunas, les couloirs sombres, les cages d'escalier. Elle porte jupe longue et rien dessous. Elle adore se faire prendre dans les lieux publics. Ses attitrés savent y faire. Aucun préliminaires. Du sauvage, du troussage violent, animal. Ils peuvent la sauter dans la foule, les escalators, les ascenseurs. Rien à foutre des autres. Une fois en rut, ils sont comme hypnotisés par le besoin de gicler.
il y a bien des macs qui ont voulu la faire tapiner, mais babou est une indépendante. Elle baise par plaisir. Le commissaire du coin aime se la faire. Elle a ses protections. Les intégristes de tous poils la maudissent mais ils tournent vite les yeux quand elle les regarde avec son ironie moqueuse, son petit sourrire irrespectueux en coin.
-je suis libre, je baise comme je veux et si vous n'etes pas content, c'est pareil. Baissez les yeux, petites larves coincées.
Et Babou s'éclate et se fait éclater. Sur sa tombe il faudra écrire:
"Tout lui sera pardonné parce qu'elle aura beaucoup baisé".
Rires. Au Paradis on l'attendf peut être avec impatiente.
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Pilou porte un écriteau sur son front, comme le personnage d'Edgard Poe, lui c'est pas "pas de chance" qui est ecrit, mais "con pour la vie". Et comme toujours, n'est pas vraiment con qui veut. En fait Pilou vit dans son monde, il rêve les yeux ouverts et s'emmerveille de tout. Il a beau vivre dans la pire zone glauque de Belleville, l'humour du promoteur pour désigner cradeville, un rien peut le faire sourrire, une herbe sur un trottoir, sa voisinne qui lui montre sa chatte tous les matins depuis son balcon. Elle prend bien soin de lui montrer son gros cul sans culotte sous sa robe de chambre poisseuse, mais Pilou passe et sourit. Il ne monte pas lui faire gouter de son bâton, il laisse cela aux gros matous crados du quartier qui dès le matin empestent le rouge et le tabac rance.
Jasmine est maoureuse de son Pilou, Pilou. Mais c'est à peine si ce dernier la remarque. Pourtant diable si elle est canon cette Jasmine, l'étudiante, la tronche du quartier. Tout le monde voudrait se taper Jasmine ...sauf Pilou, celui qu'elle aime depuis qu'elle est haute comme trois pommes un sou. Jasmine sait y faire avec les hommes. Son père est pauvre et elle se paie des études de droit pour être avocate. Des pontes paient tout et plus encore. En échange elle leur fouette le cul jusqu'au sang à ces "notables" de Belleville. Plus elle les maltraite et plus ils en redemandent. Elle a son appart, ses bottes de cuir, sa décapotable anglaise, et le fisc et les keufs du coin un peu vert de jalousie. Mais elle est intouchable. Ses protecteurs sont riches et cruels, discrets comme des serpents aux dents de crocrodiles. Sauf que ce sont des petites crapettes sous son fouet. Et son Pilou qui l'ignore.
Elle a beau essayer de le harponner partout. Pilou ne remarque jamais ses yeux de feux remplis de lave volcanique, ses longues jambes fusellées et gainées de soie, ses seins en obus qui pointent comme des missiles de croisière sur les boulevards. Peut on imaginer femme plus belle que Jasmine, la beurette de Belleville, future terreur des barreaux, impitoyable reine des nuits perverses de Paris, la grande? Et ce crétin de Pilou qui ne sait même pas la voir avec son sourrire d'ange du paradis des bienheureux, des simples, des coeurs purs, qui ne voient pas le mal, qui sont en extase et en félicité de tous les instants.
-Ah combien j'aimerai que mon Pilou me regarde, se lamente Jasmine la sublime. Combien j'aimerai qu'il m'aime. Lui seul est digne de m'aimer de venir ceuillir les divines félicités entre mes cuisses. Je méprise les autres hommes, ils sont noirs. Mon pilou est comme neige. Allons qu'une fée me vienne en aide. Qu'un sort lui soit lancé. Qu'il devienne l'esclave de mon amour.
Ainsi se lamentait Jasmine, la Reine des nuits torrides de Paris, amoureuse du pire crétin de Belleville, si beau pour elle en son coeur. L'impitoyable dominatrice....esclave de son amour.
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Clarisse est mariée à Jeanot depuis 10 ans, beacoup de boulot, d'amour et pas de gosses. Jeanot a pris du poids, le mariage rend lourd, balourd, un peu, beaucoup....1m80 pour 120 kg, un fessier énorme. Pas facile de faire l'amour à Clarisse avec une masse pareille. Les petites cuillères, l'amour sur le coté, mais même dans cette position, c'est pas facile. Clarisse aussi a grossi...se porte bien et porte très bien ses splendides grosses fesses encore bien fermes. L'amour xxl, entre gros et lourds, pas toujours facile d'atteindre les trous, mais beaucoup de générosité et de fantasmes.
C'est clarisse qui a eu l'idée, lors d'un voyage en Suisse en regardant des vaches dans un pré. Le soir elle a dit à son jeanot:
-fais moi meuh
-meuh meuh a fait jeanot en riant.
-viens je vais te traire ma belle noiraude.
Jeanot -Noiraude se met à quatre pattes, nu, son gros cul en l'air. Clarisse enfile une jupe de fermière et passe par derrière, s'assoit sur un tabouret, prend un brock et commence la traite du gros pénis flasque qui durcit sous ses doigts boudinés mais experts. Le "lait" ne tarde pas à venir, mais Clarisse continue encore et encore. Elle vide bien les grosses couilles mamelles de sa Noiraude.
- bon t'a plus de lait ma belle vache, alors viens me brouter le gazon.
Et sa Noiraude s'execute. Clarisse jouit très vite et en redemande.
La réalisation de ce fantasme est devenu le petit jeu du soir, après le boulot, pour bien se détendre. Jouer à la vache et à la fermière délurée. Sauf que Clarisse a aussi envie de jouer à la vache. Deux soumis en couple, il manque quelque chose. Il faut trouver un domi pour compléter. Clarisse propose de chercher un taureau, avec une grosse, encore bien svelte pour qu'il puisse atteindre les trous. Ils trouvent vite kurt, monté comme il faut, très bi et toujours en rut. Les gros culs de Clarisse et Jeanot sont vite à disposition et bien remplis tous les soirs. Mais notre domi en veut plus. Il décide d'agrandir son harem de vaches à traire et engrosser. Il trouve vite deux autres gros culs de soumis avec des choses pendantes à traire dessous.
Les parties du soir sont une belle détente pour tous. Clarisse qui adore jupes courtes fleuries et jupons , remplit facxilement son pot de bonne fermière trayeuse avec ses trois vaches bien grasses. Kurt joue à merveille son rôle de taureau . il essaie d'engrosser ses femelles qui broutent dans le salon, ruminent et ont beaucoup de plaisir à se faire monter. Elles portent des clarines bien sonores et font :
-Meuh meuh.
Même Clarisse adore meugler de plaisir.
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-Vous êtes des hommes, des moins que rien, des bons à rien, des sous êtres. Sur ce bateau c'est moi qui commande. Je ne suis pas seulement votre capitaine, je suis votre maitresse, j'ai tous les droits, vous n'en avez plus aucun. Alors, vous voulez toujours vous embarquer avec moi, suivre votre capitaine au bout du monde?
Tous firent un pas en avant et crièrent:
-oui, Maitresse Ghylae, nous renonçons à tout pour vous obéir et vous suivre.
-bien, bien, j'en prend acte. Alors mettez vous à poil, que je vois à quoi vous ressemblez, tas de bites molles. Elle utilisait volontairement la façon de parler pour instruire des "marines", le corps d'élite US.
Et ce fut une inspection pire qu'au marché des bestiaux. Que des remarques désobligeantes. Envers les hommes, Maitresse Ghylae n'avaitjamais su ce que pouvais être un mot gentil, un compliment. Et le paradoxe c'est que ces hommes qui renonçaient à tout pour lui obéir la veneraient pour cela.
Ils prirent le large et voguèrent sur le vaste océan, les abimes amers. Maitresse Ghylae était la seule femme à bord, aussi pour son confort, elle placa les quinze hommes de son équipage sous cages de chasteté. Ainsi, elle pouvait se ballader nue sur le pont, avec juste sa casquette de capitaine, sans voir de males en rut. De toute façon c'était la cage ou le fouet en cas d'erection.
Elle avait baptisé son bateau " le clitos" et avait mis une de ses petites culottes comme drapeau. Au large, dans les eaux internationales, elle se foutait de tout ce qui venait des mondes phalocrates. Tous ses marins avaient signé un contrat d'appartenance à la clitocratie de Maitresse Ghylae. Interdiction de se plaindre ou de gémir. Elle voulait des marins, solides, bien batis, totalement dévoués, chastes et très propres. Une discipline spartiate. Du muscle, aucun gramme supperflu et du silence. Elle avait imposé le mode laconique, le moins de mots possibles. juste l'essentiel. Le superflu, celui qui ne le gardait pas pour lui, se prenait une sévère correction.
Le voyage dura plus d'un an. Elle cherchait son île, déserte, inaccessible, sauvage mais hospitalière. Comme les révoltés du Bounty avec Pitcairn, l'île loin de tout. Avec le réchauffement en cours elle trouva son bonheur au nord du Canada. Les plus proches humains étaient à des centaines de kilomètres. Le gibier et les poissons abondants. L'île ou elle accosta était une perle. Couverte de neige et de glace l'hiver mais un joyaux de verdure et de fleurs en été. Maitresse Ghylae baptisa son île "Gynarchia". Elle n'était pas coupé du monde grace aux satellites. Elle invita d'autres femmes comme elle à venir passer des vacances ou à venir s'établir.
Son cri de raliement fut celui des vikings: "Vinland" ,"Vinland"
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