La big Fucking Rocket, cette putain de plus grosse fusée jamais construite par cette espèce qui prolifère et se multiplie, les humains, est partie vers Mars. La Terre est devenue trop petite. A présent, ils veulent aller s'installer ailleurs, sur les autres corps célestes de notre vaste système solaire, et qui sait plus loin encore. C'est une caractéristique de cette espèce: proliférer, se multiplier et aller planter sa tente toujours plus loin. Pour l'instant, c'est la première mission vers Mars, la glacée et rouillée, un monde hostile, presque sans atmosphère. Un mission très périlleuse et entièrement privée. Tous les projets débiles des agences spatiales, se sont révélées être des gouffres financiers sans fin, comme toujours avec les fonctionnaires et administrations du monde entier. Les privés en ont eu marre et ont décidé de tout faire eux mêmes et ils se sont mis à gagner beaucoup de pognon dans l'espace là ou le public lui, pompait celui des contribuables, pour des échecs à répétition et une absence complète d'imagination.
Le problème c'est le danger, les radiations, l'isolement total. Le Pdg des big fucking rockets a prévenu d'entrée: "Je vous envoie peut être vers une mort assurée". Au moins cet ET, incarné dans un corps d'humain, je blague, ne cache pas la réalité. Pourtant les candidats ne manquent pas. Etre le premier...encore un délire psychiatrique qui caractérise les humains. Il fallait cette forme de courage pour ces humains qui se sont lancés sur des coquilles de noix sur le vaste Océan Pacifique, pour chercher des îles incertaines. C'est dans l'ADN humain ce genre de folie.
Big Jhonny, un colosse texan, a été choisi pour conduire cette mission. C'est un incroyable pilote d'essai, un timbré au cerveau étrange, capable de "voir" les solutions plus vite que n'importe quelle intelligence artificielle, capable de se sortir de n'importe quel danger. Un buveur de Whisky et un gros fumeur de havanes et de cette bizarrerie française, les gitanes mais sans filtres. Bref, il a fallu lui aménager un coin fumeur dans la BFR. Pour le reste de l'équipage, Big Jhonny a choisi lui même trois superbes salopes, des femelles made in USA, à gros nichons et bien ouvertes par tous les trous comme ce timbré les adore. Et comme il est seul maitre à bord de la BFR, il a instauré sa règle simple: Big Jhonny a tous les droits et ses trois femelles doivent obéir en tout et pour tout et adorer cela.
Le vol dure plusieurs mois. Big Jhonny pose sans problème les centaines de tonnes de la BFR près de l'équateur de la petite planète rouge. C'est encore plus froid et désertique que prévu. Pour Big Jhonny c'est même pas beau. Il tient à ce que ses femelles soient les premières à poser le pied sur ce monde rouillé. Histoire de faire croire qu'il n'est pas le pire macho de la galaxie.
Construire une base gonflable est vite réalisé. Big Jhonny fait boire ses femelles et les fait pisser sur du sol martien pour le fertiliser dans des serres. Des plantes poussent. Un lac souterrain d'eau liquide se trouve sous le point d'atterrissage choisi. Un forage est mis en place et une eau fraiche et très pure en sort. Les serres deviennent luxuriantes, bien chauffées par une mini centrale nucléaire très puissante. Big Jhonny a décidé de vivre nu dans ses serres, avec ses trois femelles en tenues d'Adam. Il dit que c'est son jardin d'Eden. Et il tringle ses femelles partout pour bien les féconder. La gravité divisée par trois multiplie ses ardeurs. Des bébés arrivent. De jolis petits humano martiens bien joufflus. Là était peut être la volonté des Dieux.
Parfois Big Jhonny en a marre de tout, de la connerie de la vie, de ses trois femelles casse couilles, de mars, de la terre, ...Alors il prend son rover, une bonne bouteille de whisky, quelques bons cigares et il se barre pour méditer dans un coin isolé. En fait il s'embrume bien l'esprit et s'endort paisible. Au réveil il a toujours une grosse trique et une envie furieuse de tringler. Ses femelles le savent. Depuis le temps elles connaissent bien Big Jhonny. Elles l'attendent en se cachant dans les serres. Elles savent que son fantasmes c'est de jouer à l'homme de cavernes. Il adore choper ses femmes par la chatte et les bourrer sans ménagement. Leurs plaisirs, il en a rien à foutre. Ce qu'il veut c'est se vider les couilles et la tête. C'est justement cela qui fait bien mouiller et jouir ses trois femelles, de la baise bien bestiale avec des grognement d'ours des grandes plaines.
A force d'aller méditer dans les déserts rouillés de Mars, Big Jhonny a fini par trouver un superbe filon de terres rares et très précieuses pour les humains. Des robots se mettent aussitôt au travail pour l'exploiter et remplir la BFR. Il est temps de la renvoyer sur terre en vol automatique avec ses trésors. Une nouvelle fusée arrive, un nouvel équipage. Le peuplement de la planète rouillée vient de commencer.
Big Jhonny va voir ses trois superbes salopes, pour lui, les plus belles de la galaxie.
-Je commence à me sentir un peu à l'étroit ici. Ca vous dirait d'aller planter la tente sur Encelade?
Ses femelles bien dressées baissent la tête et ne répondent pas, de toute façon c'est Big Jhonny qui décide.
Les réservoirs de la BFR sont remplis sur Mars. Le mastodonte d'acier décolle pour les lunes glacées de Jupiter et de Saturne avec pourtant des océans liquides sous les croutes de surface. Les mioches humano martiens sont laissés sur la planète rouge pour qu'ils puissent croitre et se développer sur ce monde rouillé où ils sont nés. Nul doute qu'ils vont le faire verdir. Big Jhonny est leur père dans les cieux....peut être reviendra t'il un jour?
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Depuis qu'il a rencontré Elvire, Paul plane dans le bonheur. Au début il a dit: ok une fois pour essayer. Elvire l'a monté comme elle sait faire, en fière amazone. Sa chatte est si tonique, si jouissive que Paul n'a pas pu se retenir. Il a pris des baffes. heureusement il a une grosse et belle bite, toujours prête à se mettre au garde à vous. Elvire l'a baisé plusieurs fois de suite, sans ménagement , en s'empalant sur lui. Elle a pris le contrôle très rapidement. Elle sait aspirer son sexe, faire monter la sève et comme Paul n'arrive pas à se maitriser, elle se retire à temps, presse le gland à lui faire mal, ce qui coupe l'éjaculation, lui file des baffes et reprend sa chevauchée endiablée sur sa bite gonflée de désir. Il est dans la position de la femme, en dessous, jambes levées, écartées. Il subit le rapport et cela lui procure un plaisir extrême, d'être ainsi dominé. Ce n'est qu'une fois bien rassasiée d'orgasmes qu'Elvire le laisse se répandre en elle. Une femme qui sait y faire pour rendre les hommes fous amoureux de sa chatte bien musclée et si jouissive.
Paul a du accepter les conditions d'Elvire pour faire partie de son harem de males montés comme des ânes et très endurants. Il a du signer un contrat de gardiennage de sa bite, moyennant contribution et mise sous cage. En échange Elvire le purge plusieurs fois par semaine. C'est elle qui décide quand et toujours chez elle. De toute façon c'est elle qui a les clés de leurs cages en acier avec deux anneaux solides en piercing pour bien les fixer. S'ils veulent jouir, ils doivent obéir et rester disponibles chaque fois qu'Elvire a envie, c'est à dire très souvent. C'est une vraie nymphomane qui adore les belles grosses bites bien dures et qui sait bien se faire jouir en s'empalant dessus. Elle ne pratique que la position de l'amazone. Elle aime sentir les gros glands frotter son point G de quoi la tétaniser dans des orgasmes à répétition.
Elvire a suffisamment de mâles dans son harem avec leurs bites en gardiennage pour ne pas avoir besoin de travailler. Comme ces connes de féministe ont interdit aux femmes de travailler avec leur chatte, elle s'est déclarée comme "services à la personne". Des femmes travaillent avec leurs mains dans des usines, d'autres femmes, les avocates par exemple, travaillent avec leurs bouches d'en haut, alors pourquoi ne pas pouvoir travailler avec la bouche d'en bas? Ainsi pense Elvire et elle ne réclame pas l'égalité avec les hommes. Non eux sont en dessous et ils sont dressés pour obéir. Pour Elvire la supériorité de son vagin bien musclé ne fait aucun doute. Ses mâles ont obligation de faire du sport, de manger sainement, si possible bio, pour avoir du bon sperme de qualité. Elle veut des grands crus de la meilleure semence male possible. C'est bon pour sa santé et son teint. Paul est directeur dans une banque. Avec sa cage il ne peut plus draguer. Il est en paix avec cela et comme Elvire le convoque plusieurs fois par semaine, il a juste le repos nécessaire pour recharger sa prostate jusqu'à la purge suivante. Il est comme un puceron bien dressé par une fourmi qui vient pomper son nectar et s'en délecter.
Elvire dort seule. Les males elle les déguste en journée. Elle aime le bon et doux sommeil. Tout le monde y trouve son compte. La nymphomane n'a plus à courir après des bites, elles sont bien dressées, sous cages et à disposition. Aucun male ne refuse jamais une purge, c'est dans le contrat d'entretien de sa bite. Il est prévenu à l'avance pour s'organiser. Les hommes qui ont eu la sagesse de mettre leur bite en gardiennage chez une experte sont en paix et très heureux. Ils sont comblés sexuellement, ils ne perdent plus un temps fou à palabrer et s'occuper de femmes casses couilles. Elvire les laisse libres pour bien bosser ou faire ce qu'ils veulent. Ils doivent juste avoir du sperme en abondance et un sexe bien dur, un sexe qui ne fait pas défaut, chaque fois qu'Elvire veut les saillir. C'est bien elle qui les baise et pas l'inverse mais cela leur convient. Paul est comblé, il vient d'être promu directeur général, ....une bite bien dressée par une experte cela donne des avantages. Rires.
La morale de cette histoire c'est que si les hommes veulent être heureux en amour, il doivent confier la saine gestion de leurs bites à leurs femmes.
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Elvire est une dominante, une sportive , une combattante. Elle a tout d'une amazone, sauf qu'elle n'a pas envie de se faire couper un sein et qu'elle n'est pas du tout lesbienne. Non, Elvire aime la bite, les belles grosses bites bien dures et bien juteuses. Son grand plaisir, ce qui la fait jouir, c'est de les dompter, à la cravache si besoin. Après tout pourquoi pas. Il existe bien des dresseuses de tigres ou d'éléphants, pourquoi n'y aurait il pas des dresseuses de bites et de façon amusante tout est dit, des femmes qui savent bien les faire dresser et les rendre bien dures pour s'empaler dessus avec plaisir. Des femmes qui savent en faire leurs propriétés exclusives, les apprivoiser pour les mettre en cages.
C'est son sport préféré. Elle repère les hommes bien bâtis, avec un bon cœur, un bonne pompe cardiaque bien solide. De quoi bien faire gonfler une grosse bite endurante. Après c'est elle qui domine. Le male doit se soumettre et se laisser faire. C'est toujours lui qui est dessous. C'est Elvire qui le trousse, l'allonge, dégage son membre et s'empale dessus. Elle adore chevaucher un mec, le baiser. interdiction pour ce dernier de jouir sans qu'elle en donne l'ordre. Elvire aime prendre son pied et elle a tout son temps. C'est de l'amour cosaque dans les grandes plaines d'Ukraine ou de Russie, c'est pas un concours de jumping.
La jouissance d'Elvire d'abord et si le mâle ne se retient pas, la redoutable cravache cosaque est là et ce con de mec morfle grave. Non seulement les males doivent avoir une superbe bite mais ils doivent obéir et se contrôler. C'est cela une bonne dresseuse de bites. Pas d'éjaculation prématurée mais que sur ordre et bien crémeuse et généreuse, le meilleur du sperme.
Elvire a son harem d'étalons. C'est elle qui choisit avec qui et quand. Pour que ses étalons soient plus calmes et bien obéissants, bien disponibles, ils sont tous sous cages de chasteté. C'est Elvire qui les a faites faire à leurs frais, sur mesure, en bon acier. C'est elle qui garde les clés. Si les males de son harem veulent se faire purger les couilles et la prostate, ils doivent baisser la tête et obéir en tout et pour tout à leur dresseuse experte.
La morale de cette histoire c'est qu'un trou inversé est un trou dominant. Rires.
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L' emission de téléréalité sur la Lune vient de faire un énorme carton sur Terre. Erika, la superbe naturiste allemande de l'espace et sa sissy Mattie se sont mariés à bord du starship posé sur la lune. C'est le commandant Besov qui a organisé le premier mariage civil interplanétaire. Erika a décidé de changer d'état civil, surtout pas de sexe, et c'est elle qui est devenu le mari et l'époux. Mathews devenu Mattie est lui déclaré comme épouse. La sublime Erika a jugé qu'une simple cravate noire entre ses lourds seins en obus suffisait. Une naturiste a ce don de toujours être à l'aise et donc, c'est comme un écran protecteur, cela na choqué personne ou presque sur Terre. Mattie est toute mignonne dans sa robe blanche. Un peu plate mais si resplendissante. Une bonne sissy soumise et encagée, toujours le regard baissé et qui file droit au moindre yeux sombres de son "homme". Une très belle cérémonie qui a révulsé tous les coincés de la Terre mais qui a plu aussi bien aux hommes qu'aux femmes. Je passe sous silence tous les commentaires salaces envoyés. Un tabac monstrueux et un grand souffle de liberté qui a surtout beaucoup fait rire.
Après une nuit de noces bien agitée ou Mattie s'est faite bien tringler sa chatte anale, le commandant Besov a chargé ce jeune couple d'une mission spéciale vers un cratère repéré depuis l'espace. Vous n'êtes pas sans ignorer que la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter est probablement le résultat de la collision de deux planètes telluriques. lorsque ces corps célestes tombent sur terre, une bonne partie est brûlée dans l'atmosphère, pas toujours, surtout s'ils sont trop gros. Les dinosaures s'en sont hélas rendu compte. Par contre sur la lune, qui n'a pas d'atmosphère, ils frappent direct. L'idée est que certains astéroîdes sont constitués par des éléments du cœur métallique des deux planètes entrées en collision. Et donc probablement de fer et de bien d'autres métaux, certains précieux comme l'or ou le platine. Avec les cratères plus ou moins gros, il est facile de faire des recherches et c'est ainsi aussi pour essayer de trouver de la glace d'eau.
Le voyage dans le rover conçu par le milliardaire des big fucking rockets est un enchantement. Erika qui est le mécano de la mission lunaire est au commandes. Mattie, bien sage, en tenue sexy et mini jupe, sert de navigatrice. Cela fait des heures qu'ils roulent et qu'ils admirent ce paysage désertique fabuleux. Erika a envie de pisser. Elle prend Mattie l'allonge dans la cabine et se sert de sa bouche comme d'un urinoir avec interdiction d'en perdre une goutte. Sa sissy se délecte et lui nettoie ensuite la chatte. l'époux se sent mieux. "putain que c'est bon de pisser ainsi et de se faire nettoyer après par sa femme". Il atteignent enfin le cratère qu'ils doivent explorer et le gros rover descend sans problèmes. C'est vrai que sur la lune il faut diviser tous les poids par six. lls campent dans le Rover. Le repas est vite expédié. Il est temps de dormir.
Mattie , l'épouse, se love dans les bras musclé de son homme. Elle est bien. Erika lui caresse sa cage bien serrée, ses petites fesses bien rebondies. Ensuite elle prend son gros god sans harnais et commence par se masser le fond de sa chatte. lorsqu'il est bien en place, elle relève les jambes de Mattie et elle l'empale d'un coup. Pas de préliminaires pour une sissy. De toute façon cette dernière s'enduit toujours de crème pour pouvoir être prise partout chaque fois que son époux la désire. Erika en a vraiment rien à foutre de la jouissance de sa femme! C'est un mec mécano et macho et qui jure. Elle cherche juste à se faire bien jouir en massant son point G avec la partie du god qui est en elle. Et quand l'orgasme est là, elle hurle comme un mec et mord les lèvres de son épouse au cul trempé de jouissance, au clito encagé qui coule en abondance. "Putain que c'est bon de troncher sa femme sur la lune" dit elle. Après elle va se servir une bonne bière et elle s'endort d'un coup. Mattie brûle d'amour pour son homme.
Le lendemain, Erika se résout à passer une combinaison spatiale. Mattie reste à bord pour la sécurité. Avec des appareils elle sonde et tout à coup elle hurle: "putain, ca y est j'ai trouvé!". Il faudra plusieurs jours pour extraire plusieurs centaines de kilo d'or très pur. Cette partie là au moins de la mission est déjà un franc succès. Mais chut...c'est une mission privée. Alors pas un mot pour la Terre.
La morale de cette histoire c'est que si tu veux trouver de l'or, va donc te marier sur la lune.
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Emma, la plus sublime descendante des vikings est une génie en mathématiques. Son cerveau étrange ne calcule rien, il voit les solutions et nage comme les orques carnassières dans le glacial océans des équations, des symboles, des nombres. C'est ainsi depuis toute petite, elle atomise les cours de maths. Son père l'a élevée seule. Un éboueur de Stockholm imbibé en permanence de vodka russe de contrebande frelatée. C'est simple il ne dessoule jamais. Il a recueilli Emma, bébé, dans une poubelle. Il n'a rien dit à personne et la prise chez lui et l'a sauvée en lui donnant des biberons de lait comme il aurait fait avec un petit chat ou un petit chien abandonné. Emma adore son père adoptif, qui ne parle pas mais grogne, ronchonne ou parle avec des mots d'une seule syllabe. Un jour, elle devait avoir quatre ans, son père lui ramène un carton qui contient un système de jeu vidéo complet, récupéré dans un poubelle du quartier et sans doute cassé par un caprice de jeune qui n'a pas été capable de s'en servir. Emma a su très vite le réparer et elle est vite devenue une championne en toucher de commandes et de consoles. Elle a vite su comment pirater des lignes téléphoniques pour se relier à internet et de là, comment apprendre seule à la maison. Son père ne l'a jamais déclarée, de toute façon, les formalités administratives et son taux d'alcoolémie sont incompatibles. A seize ans, Emma est une fille d'une beauté scandinave rare, de longs cheveux blonds qui lui descendent jusque dans les reins, d'interminables jambes fines et musclées, un corps très souple et tonique, une top canon modèle. C'est à ce moment là qu'elle a rencontré le gros Peter. Son père adoré vient de mourir, même son cercueil pue la mauvaise vodka frelatée. les autorités suédoises découvrent l'existence de cette jeune femme incroyablement belle, qui a vécu caché jusque là dans cette tanière d'ivrogne en marge de la grande ville. L'affaire est vite étouffée mais à des milliers de kilomètres de là, dans une secte mormone très stricte, qui délire à vouloir baptiser tout le monde, le gros Peter, avec ses grosses lunettes derrière son clavier a vite su l'existence de cette Emma trouvée dans une poubelle.
Le gros Peter est à l'informatique ce qu'Emma est aux mathématiques, ce sont deux génies. Ils n'ont pas besoin de se perdre en d'interminables réflexions, ils savent de suite voir les solutions se matérialiser dans leurs esprits. Dès les premiers échanges, ils savent qu'ils sont faits l'un pour l'autre et le gros Peter a de suite pris un billet d'avion pour la froide Suède et venir chercher la femme de sa vie. Ce spécialiste du piratage informatique a su bidouiller tous les fichiers administratifs pour "régulariser" Emma, l'épouser sans aucune cérémonie et lui obtenir un passeport. Emma s'est de suite sentie bien avec Peter, ce gros nounours à lunette, très timide qui comme elle adore jouer avec des consoles. Elle s'est de suite donnée entièrement à lui et surprise son époux, complètement inexpérimenté et puceau est monté comme un âne avec un énorme pieu de 30 cm entre les jambes. un héritage de son père polygame dans cette secte mormone. Après s'etre occupée de son père ivrogne, Emma a su prendre les manettes en douceur dans son couple et conduire le gros Peter au nirvana. Quelle chance incroyable pour lui, le puceau à grosses lunettes, se taper une des plus belles femmes du monde et l'aimer à la folie et comble de tout cela être aimé et chéri en retour.
C'est ainsi que tous deux ont rejoint la mission lunaire de ce milliardaire qui veut conquérir les étoiles. Ce dernier ne recrute que les meilleurs et gros Peter et Emma sont bien les meilleurs dans leur domaines respectifs. Comme le milliardaire, peut être un E.T. incarné, ne veut plus dépendre de ces gouffres d'incompétence et de dilapidation des impôts que sont toutes les administrations du monde, il faut financer cette mission lunaire de façon honnête, pas en volant les contribuables. Il existera bien l'exploitation des ressources minières sur les corps célestes, mais en attendant, l'idée c'est de faire de la téléréalité dans l'espace, de faire de l'audience et de vendre de la pub, histoire de gagner de l'argent pour payer des impôts. La mission lunaire ne doit pas couter, elle doit rapporter. C'est toute la différence entre le public et le privé. Et gros Peter et sa femme Emma sont en charge de cela, cette téléréalité dans l'espace, avec tout ce qu'il faut pour captiver des milliards de followers sur Terre. Et pas de programmes nuls à chier comme ceux des missions Apollo, non, des trucs qui donnent envie de rester scotchés devant un écran et de ne vouloir manquer aucun épisode.
Le commandant Besov réuni tout l'équipage dans son bureau. Là se trouvent Anna, le gros Peter et Emma, Erika et son épouse la sissy encagée définitivement Mat devenue Mattie. Il commence par foutre une bonne fessée à Mattie et à la mettre au piquet, cul nu, brûlant et d'un beau rouge tomate avec interdiction de se retourner. Ensuite il sodomise sans ménagement Erika, Emma et Anna dans cet ordre et il demande à Peter de faire de même. Les présentations ainsi faites, il oblige Mattie à nettoyer les femmes avec sa langue à genoux. Après cela, Erika empoigne son gros god pour lesbiennes sans harnais, enfile une partie dans sa chatte et défonce avec l'autre Mattie qui se met à hurler de plaisir et couler en abondance. Tout est allé très vite comme toujours avec le commandant Besov et personne n'a moufté un mot.
-Voilà, les présentations sont faites. A présent: objectif Lune !
Vous aurez compris que cette histoire de téléréalité et de pubs dans l'espace ne sont que des illusions, des façades pour duper toutes les administrations du monde et ce, même si cela cartonne. Tous les états de la planète ou presque sont en quasi état de faillite permanente avec leurs fonctionnaires pléthoriques et toutes ces règlementations pour justifier des emplois qui ne servent à rien ou presque. De plus toute liberté réelle a disparu, c'est le monde de la surveillance au motif de la sécurité. Pour faire tourner cela, les rotatives de planches à billets tournent en permanence. Un argent illusoire coule à flots. L'extraterrestre, je blague, le pdg des big fucking rockets a vite compris comment l'aspirer avec les cryptomonnaies. Il a su tout créer de façon invisible, mais chut...
Emma avec ses talents de mathématicienne de génie est vite devenue multimilliardaire et peut être même la femme la plus riche du monde, un comble pour une fille abandonnée à la naissance dans une poubelle. Le monde des cryptomonnaies n'a plus de secrets pour elle. Une incroyable siphonneuse. Elle fait profiter de ses talents tout l'équipage et le commandant Besov sait comment la remercier, avec une copieuse fessée devant tout le monde, cul nu sur ses genoux. Elle adore cela, être bien punie lorsqu'elle fait tout bien. La morale de cette histoire c'est que tout travail mérite un bon salaire.
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Le commandant Besov est un mélange génétique entre un grizzly du Yellowstone, un ours polaire du Spitzberg et un mammouth laineux de Sibérie. Il est de ces hommes dont la seule présence fait peur. Il faut dire que c'est un tueur professionnel. Colonel et pilote d'essai dans l'armée de l'air russe, il s'est vite ennuyé. Besov aime le risque et le combat. Il a demandé à rejoindre le service des actions spéciales et il a été affecté à l'ambassade de Russie en Corée du Nord. C'est là qu'il a tout appris, auprès des pires assassins et experts en arts martiaux interdits de la planète. C'est dans ce froid petit pays que se trouve les plus grands maitres, ceux qui terrorisent les dirigeants les plus puissants de la planète et n'hésitent pas à les faire chanter, à les mettre à l'amende, comme de simples putes de trottoirs. Même le Roi Soleil, Louis XIV, avait du payer pour ne pas être assassiné, et ce n'est pas son fameux d'Artagnan qui aurait pu le protéger. Comme le milliardaire américain qui construit les Big Fucking Rocket, cherche toujours les meilleurs en tout et pour tout, c'est ainsi qu'il a été engagé pour commander cette mission lunaire privé, celle qui ouvre la conquête du système solaire. Et toutes les portes se sont ouvertes devant le milliardaire américain pour réaliser ce projet fou, et ce grâce aux talents de "négociateur" du commandant Besov. Ce dernier a en outre été chargé de recruter l'équipage pour cette première mission test, très périlleuse. Un saut dans l'inconnu, même avec l'assistance des meilleurs ingénieurs du monde.
C'est ainsi qu'il a désiré s'adjoindre la collaboration d'Anna, une superbe italienne, très racée, de la plus haute bourgeoisie de Milan. Une tronche cette Anna, trois doctorats, un en médecine, un en physique et un en robotique. Une femme d'une intelligence exceptionnelle et pour ne rien gâcher, toujours célibataire et vierge. Les mecs, c'est pas son truc, du moins elle le croyait avant de rencontrer ce timbré de Besov. Elle travaille dans une grande industrie familiale et son bureau est bien gardé. Pourtant, un jour, Besov est là devant elle et un frisson de peur l'envahit aussitôt. Comment est il entré? Elle ignore tout des techniques secrètes apprises en Corée du Nord. Elle veut crier mais elle sent une force qui la paralyse. Elle ne peut plus bouger. Elle est parfaitement consciente et elle sait aussitôt que ce tueur qui est devant elle va la violer. Besov la plaque sur son bureau, la trousse, lui arrache sa culotte et la sodomise d'un coup violent. Elle veut hurler sa douleur mais aucun son ne peut sortir de sa bouche. elle est terrifiée. Et ce timbré de Besov lui empoigne les poils de sa chatte et les tire à lui faire très mal par devant aussi. Il prend son temps, la pilonne en cadence. Et tout à coup Anna sent l'orgasme monter, son premier. C'est si violent qu'elle se met à pisser sur la grosse main qui lui empoigne la chatte. Elle jouit encore et encore, elle est en proie à une sorte de crise d'extase. Comment avait elle pu se passer de cela, pendant toutes ces années d'études. Et ce barge de Besov se répand dans son cul désormais tout ouvert et même offert. Anna jouit de nouveau, tétanisée, empalée, embrochée comme une oie sur une rôtissoire. C'est divin! Besov, se retire, la retourne et l'embrasse. Elle aime ses lèvres chaudes, sa langue qui caresse la sienne. Elle sent qu'elle est la femme de ce malade mental, qu'elle est devenue sienne pour toujours.
Besov la demande en mariage et c'est folie, elle accepte aussitôt d'épouser son violeur. Sa famille, de richissimes industriels milanais s'y oppose catégoriquement. Alors elle plie bagage et part se marier avec lui à Las Vegas, là ou les formalités sont simplifiées. Besov , la bête de Sibérie se révèle d'une grande douceur. Il prend son temps pour la dépuceler. Son original de mari l'emmène camper dans le Wyoming pour leur voyage de noces. Ils passent leur temps à faire l'amour et Anna, la sublime et chic bourgeoise se révèle vite être une bombe sexuelle. Elle a envie partout et tout le temps. C'est aussi une femme fontaine, généreuse en cyprine odorante. Besov, s'il peut être tendre aime aussi dominer sa femme. Parfois il la prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée et il sait faire très mal. Après, il l'attache à un arbre et la laisse méditer. C'est un fou. il adore la suspendre nue à des branches pendant qu'il fait rôtir des viandes près du feu de camp. Cela fait longtemps qu'Anna a compris qu'elle devait lâcher prise et obéir en tout et pour tout à son homme. C'est ce qui la rend le plus heureuse. Elle est la totale propriété de son Maître.
Anna a vitre trouvé sa place dans l'équipage. Elle est le médecin et la navigatrice. C'est déjà beaucoup. Et pour une mission de six mois, il faut savoir tout faire à bord du gigantesque vaisseau d'acier, le Starship. Anna déteste les combinaisons spatiales et ne renonce pas au chic de jolie bourge milanaise, aux bas de soie fine, aux robes élégantes, à la lingerie qui rend fou d'elle son primate d'époux caverneux. Besov l'aime en jupe. il adore voir ses longues et si belles jambes, alors elle lui fait plaisir et aime se faire belle pour lui. Même en apesanteur, elle se maquille légèrement et cela rend dingue d'amour tous ceux qui sur Terre suivent cette téléréalité dans l'espace, retransmise plusieurs fois par jour. La beauté d'Anna est sidérale. Pendant le vol vers la lune, elle adore se lover dans les bras de son homme, sentir son érection contre ses reins, flotter dans la cabine, être bien, ne penser à rien. Avec son dom de mari elle se sent en totale sécurité. C'est comme cela, il est des hommes qui savent se sortir de toutes les situations dangereuses et les femelles se sentent toujours bien avec eux. Peut être parce qu'ils sont plus calmes et sereins, d'un courage en acier trempé. Besov n'a pas besoin de commander, c'est naturel chez lui. Il ordonne et tout le monde obéit. Et chaque fois qu'Anna obéit à son homme, elle mouille. Recevoir des ordres est un plaisir, cela la repose. Lorsque son époux la corrige, ce n'est jamais pour asseoir son autorité, il n'en a pas besoin. Non, c'est juste par plaisir. Ils aiment faire cela tous les deux. Besov ne se sert que des ses mains puissantes, il n'a besoin d'aucun artifice et il sait faire très mal. Anna aime sentir la douleur devenir plaisir. Elle coule facilement, une vraie fontaine. C'est à ce moment là qu'elle adore se faire empaler sans ménagement. Cela glisse tout seul en elle. Le grand fauve de Sibérie peut la dévorer toute crue dans les grands vides de l'espace. Elle se donne complètement. Elle est sienne pour toujours.
La morale de cette histoire, c'est que pour soumettre une femme, et le Marquis de Sade a raison sur ce point, il faut d'abord la sodomiser.
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Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts.
Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un.
C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse.
Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir.
La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune.
Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour.
@+
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Jasmine est subliment belle. Pourquoi? Parce qu'elle est nature. Elle déteste l'apparence, les maquillages et artifices. Elle n'a pas besoin de cela. Plus les femmes sont belles et plus elles savent qu'elles n'ont besoin de rien, pas même de quelques gouttes de parfum. Les males se retournent, les admirent, les désirent, elles ont le choix. Ce n'est pas si facile d'être subliment belle et de n'avoir besoin de rien d'autre. C'est un cadeau de Dieu ou des Dieux qui aiment se moquer des désirs des hommes pour l'éphémère. Ce qui dure et c'est la plus belle beauté, c'est ce qui se trouve à l'intérieur, c'est cette grâce interne qui rayonne et illumine, le reste n'est qu'illusions.
Jasmine est de tous les combats féministes. Elle milite pour les droits des minorités, les gays, les bi, les trans, les lesbiennes, les indiens d'Amazonie, les gorilles d'Ouganda. On peut admirer ses longues jambes si bien galbées au devant des manifestations. Des journalistes la flashent tellement elle est sublime lorsqu'elle revendique. Elle est vite repérée par une agence de mannequins et cela devient sont métier. Vendre sa beauté sur des réclames. Elle gagne fort bien sa vie et celui qui lui demande de coucher se prend une baffe.
Seulement voilà, l'amour est un mystère. Jasmine rêve du grand amour. Elle ne veut pas d'aventures. Elle est toujours vierge et se réserve pour son homme. Elle n'en veut qu'un seul pour toute la vie. C'est son choix et elle l'assume. Elle est impitoyable avec tous ses prétendants qui se jettent à ses pieds. Elle sait que lorsqu'elle rencontrera son homme, ils n'auront pas besoin de mots pour se déclarer leur amour, le premier regard suffira.
Mourat est un émigré tchétchène. Il s'est battu contre les russes dans le Caucase. Sa tête a été mise à prix et il a du fuir loin de son pays et loin des tueurs à sa recherche. Il a fini à Paris. Il a facilement trouvé du travail dans une agence de sécurité. C'est un expert dans de la maniement du Kindjal ce long couteau qui ressemble un peu au gladius des légionnaires romains. il est efficace, discret et fort apprécié pour ses talents. Il aime sa nouvelle vie.
Un jour par hasard, dans un salon, son regard a croisé celui de Jasmine, ils se sont accrochés et ils ont su de suite, tous les deux que leurs âmes étaient liées. Ils se sont éloignés, chacun occupé à ses taches. Mourat a tout fait pour la retrouver et lui parler. Il sait qu'elle est la femme de sa vie. Il n'a eu aucun mal à savoir qui elle était et ou elle vivait. La deuxième rencontre a été magie. leurs lèvres se sont trouvées, leurs corps se sont serrés. Ils ont voulu être un. Depuis ils ne se quittent plus.
Mourat, le tueur, est si doux, si prévenant, si respectueux avec sa femme. Un contraste qui n'a rien de surprenant. C'est Jasmine, la féministe pure et dure qui est devenue une surprise. C'est elle qui a voulu devenir l'esclave de son homme. C'est elle qui a voulu recevoir la fessée sur ses genoux.
-Je ne suis pas sage, dit elle, corrige moi sept fois par jours, tu sais combien j'aime cela. Et Mourat a su faire et combler son épouse.
-attache moi et prend moi ainsi, comme ton esclave. Je n'ai qu'un désir, te servir et t'obéir. C'est cela qui me fait jouir. Et son époux a su récompenser son épouse.
-cadenasse ma chatte et porte la clé autour de ton cou. C'est mieux qu'une alliance au doigt. Mourat a sorti son kindjal et à percé son épouse comme il fallait. Depuis Jasmine est heureuse et en paix. Son vœux le plus cher s'est accompli.
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Allez zou, une petite histoire pour bien commencer 2021. ...l'effet tunnel...
Je travaille comme ingénieur dans une zone secrète en Arizona. Nous préparons les prochaines bases qui vont être implantées sur la Lune, Mars et autres corps de notre système solaire. Ma chef de service, Wira est une jeune indonésienne, toujours voilée, membre d'une secte musulmane très pieuse. Je n'ai jamais vu que ses yeux mais dès le premier regard, le jour où j'ai été affecté sur cette base, je suis tombé amoureux dingue de Wira. C'est con ce truc, aucune explication, j'ai su de suite que Wira était ma femme. Nos âmes étaient liées et cela depuis toujours, même par delà la naissance et la mort. Cette étrange impression que vous connaissez cette personne, qu'elle vous connaît parfaitement aussi et que tout devient si simple, si naturel. Un peu comme ces vieux couples qui ont usés les années ensemble, patiné leurs âmes et que plus rien ne peut séparer.
Wira n'est pas intelligente, non, c'est une génie. A 21 ans, elle avait déjà trois doctorats en poche et publié des thèses fort innovantes. Résultat, les services secrets américains lui ont mis le grappin dessus et elle s'est retrouvée dans cette base, à bosser comme une malade sur des recherches qui la passionnent. Elle est d'une énergie incroyable. Pour ma part, j'ignore comment je me suis retrouvé dans ce lieu futuriste, tout d'acier et de verre et je ne sais même pas quel est mon job véritable. J'ai certes un diplôme d'ingénieur, mais ici, entouré de tous ces savants émérites, on se sent un peu comme un cantonnier avec sa pelle qui regarde passer des voitures de course.
Un jour le général qui commande la base m' a convoqué dans son bureau meublé à l'ancienne, style 1800, sans doute pour se reposer le cerveau.
-Alors, il parait que vous ne savez pas pourquoi vous êtes sur cette base, m'a t'il dit en me regardant droit dans les yeux avec ce regard délavé, typique des très hauts gradés de west point. Un regard à la Westmorland. Cela m'a fait sourire.
-C'est exact. Je me pose la question tous les jours.
-Nous vous avons fait venir, ...un peu de force...j'en conviens car vous êtes le mari de Wari. Ne le savez vous donc pas?
Je n'ai pas su quoi répondre. Cela se voit tant que cela que je suis amoureux fou de Wari?
-C'est une savante d'exception. Elle a besoin de son homme et nous savons que c'est vous, alors ne perdez plus de temps et demandez lui sa main. C'est un ordre !
Visiblement le général aux yeux à la Westmorland décide de tout. Rien que pour le faire chier j'ai envie de dire non et puis....je vois les yeux de Wari et je craque.
-Ce sera fait avant ce soir.
Je me suis pointé dans le bureau de Wari. Elle porte son voile islamique comme toujours. Ses yeux...quelle merveille.
-Oui, de quoi s'agit il?
je n'ose répondre. Elle me regarde. Je devine son fin sourire sous son voile. Visiblement je l'amuse. J'espère qu'elle ne va pas me prendre pour son animal de compagnie, son labrador. Puis non, zut, je suis trop amoureux.
-Wira, voulez vous m'épouser.
Elle se lève et viens vers moi. Elle semble flotter dans ses voiles. C'est comme si elle glissait sur le sol. Elle me prend la main et pose un baiser dessus.
-Oui
Ce simple mot m'a électrocuté. Je ne sais ni pourquoi ni comment mais nos lèvres se sont touchées, nos langues se sont cherchées, nos corps se sont lovés. J'ai senti ses seins lourds contre ma poitrine. J'ai eu envie d'elle, de lui faire l'amour. Mais Wari me connaît parfaitement. Elle a su calmer mon ardeur.
-Après le mariage et tant que tu voudras.
Le mariage a été célébré sur la base par le général pour le civil et un imam de sa secte. Wari n'a pas voulu prendre de vacances. Nous avons baisé toute la nuit et le matin j'ai retrouvé le lit vide. Elle était déjà retournée à son labo.
Depuis, elle bosse, bosse et bosse. Je passe la voir quand je veux et je la tringle. Elle ne dit jamais non. Elle sait me faire jouir très fort en elle, prendre une douche avec moi et puis zou, de nouveau au boulot. Parfois, c'est elle qui vient. je me laisse faire. Elle dégrafe mon jean, sort mon sexe épais et s'empale dessus. Elle me couvre de baisers, m'inonde de cyprine parfumée. Elle sait se faire jouir sur mon sexe tendu, elle sait m'aspirer et me vider de ma semence. J'adore la laisser faire.
Parfois, je me pose la question. Suis je son époux ou son labrador? C'est pas le général aux yeux à la Westmorland qui va me donner la réponse cette fois.
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Ayana est une jeune et fort jolie japonaise, venue faire ses études en France. Elle est passionnée d'art , de littérature et elle aime Paris. Son père est un très riche industriel de Yokohama qui adore sa fille et veut le meilleur pour elle. Pourtant Ayana s'ennuie dans son univers hyper protégé. Son garde du corps, Naoto, est un expert en arts martiaux. Un très beau jeune homme qui en pince pour Ayana, sauf que cette dernière l'ignore complètement. Elle est même presque insupportable et souvent très désagréable avec lui. C'est son toutou, son jouet. sauf qu'il n'a pas le droit de toucher Ayana, sans quoi son père qui fait partie des Yakusas a promis de le castrer.
Ayana se désespère. 26 ans et toujours vierge à cause de la jalousie maladive de son père. Contrainte à se caresser sous la douche ou sous la couette pour se détendre et se faire du bien. Elle a refusé tous les prétendants au mariage présentés par son père. A chaque fois elle a hurlé:
-Occupe toi de ton entreprise mais laisse moi choisir moi même mon époux !
Un bon tempérament de fille de Yakusa, ???. Résultat, elle est célibataire et toujours vierge et toujours sous la surveillance de Naoto qui renifle en douce ses petites culottes qu'elle laisse exprès trainer pour le faire souffrir.
Ayana rêve d'un male puissant qui la domine et l'embroche profond. Elle n'aime pas les petits sexes asiatiques, non, elle rêve d'un beau sexe d'homme, comme ceux qu'elle admire dans certains musées ou sur des sites pornos.
Comme toutes les japonaises, elle surfe et fait dans le virtuel. Elle a beaucoup d'amants sur le net mais aucun amant concret, un de ceux qui posent les mains sur elle. Elle verrouille parfois la porte de sa chambre, avec Naoto qui se désespère derrière la porte, et s'amuse avec sa webcam à montrer sa chatte à ses amants virtuels et à jouir devant eux. Les autres sont trop content de se branler devant leurs écrans et d'écrire des cochonneries qui font rires Ayana. Il en faudrait bien plus pour déranger une fille de Yakusa, avec un père au petit doigt gauche tranché net dans la tradition du yubitsume (doigt coupé) et de l'irezumi (tatouage japonais).
Seulement voilà, à force de trainer sur des sites peu sûrs, un jour Ayana a eu un choc en regardant sa souris se déplacer seule sur son écran. Elle n'avait plus le contrôle de son ordinateur. Un autre l'utilisait à sa place. Mais qui et où? Pas ce crétin de Naoto. A part faire des katas, il n'a pas les couilles pour cela. Non, un parfait inconnu !
Ayana aurait pu tout débrancher et faire désinfecter son ordi, pourtant cela l'amuse. Elle laisse faire cette souris baladeuse. Des fichiers s'ouvrent, se referment. La souris cherche ses photos intimes. C'est vrai qu'Ayuna est très belle et qu'elle aime se mettre en scène sur des photos. La souris ne s'intéresse qu'à celles ou elle est nue. C'est un peu comme un viol. La souris se ballade partout, explore son disque dur, enclenche la caméra, les micros et installe ce qu'elle veut comme programmes. Ayana laisse faire. Son ordinateur n'est plus à elle mais a un ou une inconnue...
La voix a claqué. Une voix française de mâle.
-Allez debout salope, fous toi à poil et magne ton cul !
Ayana a obéi. Elle a senti sa chatte s'ouvrir, son clitoris se dresser et un peu de cyprine couler le long de ses cuisses. Elle a chaud. Les pointes de ses seins se dressent.
-Mais c'est vrai que tu es une salope, a dit la voix sèche et rauque ! Cela fait des semaines que je t'observe, pétasse. Allez, montre ta chatte et ton cul. Ouvre. Mieux que cela !
Ayana a obéi et elle a jouit très fort. L'inconnu a installé un programme d'hypnose. Il a forcé Ayana a regarder l'écran et ses spirales mouvantes et à écouter sa voix. Elle a fini par s'endormir. L'inconnu a prit le contrôle de son cerveau. Il s'est installé dans la vie d'Ayana en la suivant partout via son ordinateur ou son téléphone portable. Le pire, c'est qu'elle sent qu'il est aussi "en elle". Pourtant elle n'a pas peur. Elle aime sentir être devenue l'entière propriété de cet inconnu. Elle garde ses caméras ouvertes, elle en porte une en permanence à sa boutonnière, avec des écouteurs à ses oreilles. Son inconnu peut voir ce qu'elle voit et elle peut l'entendre, mais elle n'a pas le droit de lui parler. Elle doit obéir et se taire. En bonne japonaise, cela, elle sait faire.
Un jour, elle reçoit l'ordre d'aller aux toilettes d'un restaurant, qui sont mixtes avec une vaste pièce, avec un lavabo, qui ferme à clé. Naoto reste à la porte. L'inconnu est là ! Ayana n'a pas le droit de lever la tête et de le regarder. L'inconnu la trousse, la retourne et l'encule d'un coup sec. Elle éprouve une douleur terrible. L'inconnu l'empêche de crier en lui fermant la bouche d'une poigne de fer. Il reste fiché en elle sans bouger. La douleur passe. Il commence les va et vient. Ayana se cambre. Enfin un homme qui la baise en vrai pour de bon. L'inconnu lâche son sperme dans ses reins. Ayana ne sait toujours pas qui il est.
Naoto qui a entendu sa Maitresse gémir frappe à la porte.
-Tout va bien, Maitresse ?
-Oui, reste à la porte et me casse plus les couilles, a répondu Ayuna !
L'inconnu a demandé à sa soumise de lui laver le sexe. Puis il l'a regardé dans les yeux. Un fort beau jeune homme, très viril et imposant. Ayana a baissé la tête et joué à la soumise. Il l'a dépucelée et prise par sa chatte poilue de japonaise. Il a joui en elle.
- A présent, nous sommes Mari et Femme, a dit Ayana en remettant sa petite culotte et en rajustant sa jupe plissée. Viens, allons boire un verre pour fêter cela.
Ils sont sortis main dans la main sous le regard médusé de Naoto. Ayana lui a fait signe de se taire et de rester tranquille. Il a obéi en faisant une courbette de profond respect. Cette fois, ce n'est plus l'inconnu qui a la main, mais Ayana. Cette dernière a senti son clito se dresser. L'inconnu, bientôt son époux, va devoir filer droit et bien lui faire l'amour pour le reste de ses jours....Et pas d'incartades, sans quoi elle le castre elle même avec son kaiken ?? .
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Lamia est franco libanaise, toute en très jolies rondeurs pour son époux qui en est fou. Lui , Sergeï, est presque malingre à coté, 1m75 pour 65 kg mais il est monté comme un Taureau, un bon 20 cm bien épais et endurant. Elle, c'est 1m 65 pour 145 kg de pur bonheur. Il ne faut pas parler à Sergeï des programmes minceurs qui passent en boucles dans les réclames TV. Quelle horreur cette idée de vouloir mincir. Pour Sergeï, rien n'est plus beau qu'une femme bien ronde.. Les maigres ne l'ont jamais fait bander. Avec Lamia il est au nirvana. Lorsqu'il va à l'Eglise il prie:
"Mon Dieu, si je dois aller au Paradis, faites que mes 72 vierges soient bien rondes, sans quoi expédiez moi directement aux enfers, là où on s'amuse et baise. "
Lamia est amoureuse folle de son "petit " Sergeï. Lorsqu'elle le serre dans ses bras elle se demande toujours où il est, c'est à dire dans quel pli et repli de son corps voluptueux il s'est enfoui.
Le problème avec cette pandémie c'est que le toubib de Lamia a poussé des cris.
-travailler, n'y songez même plus. Vous êtes en sur-risques avec votre surpoids. Je vous confine d'office.
Elle a donc du rester à la maison et passer au télétravail. Elle est secrétaire et son boss a été très conciliant. Par contre Sergeï qui est routier doit lui bosser en extérieur et se lever tôt.
La nuit Lamia ne peut dormir que si elle serre le pénis de son époux qui adore cela, lover sa belle queue dans la grosse paluche de sa femme. Elle ne le branle pas mais s'amuse à le garder en érection toute la nuit. Sergeï se laisse faire. C'est trop bon de sentir les rondeurs si douces de sa femme, sa chaleur, dans son dos. Le matin vers 4h, il est à point. Toute sa sève ne demande qu'à sortir. Lamia le suce et l'aspire goulument. Il se libère dans sa bouche et donne à son épouse sa ration de vitamines et d'énergie pour la journée.
Lamia adore laver son époux sous la douche. Elle ne peut pas avoir d'enfant, alors c'est un peu son bébé. Elle le savonne, le rince, le talque, l'habille et Sergeï aime cela, se faire bichonner par sa femme. Après un bon petit déjeuner, il file retrouver son camion le cœur heureux. Il n'a qu'une hâte, à peine parti, c'est de vite retourner à la maison pour pilonner la chatte de son épouse.
Le soir est enfin là. Lamia a préparé le repas. Elle s'est faite belle. Sergeï est trop impatient. Il l'a bien grosse et il veut se vider les couilles. Vite le canapé! Une levrette pour commencer. Ah ce cul superbe et généreux. Il s'enfonce d'un coup. C'est vraiment très jouissif. Lamia ruisselle. Il explose. Il n'a pas pu se retenir. Ce n'est pas grave, il sait qu'ils vont vite remettre cela. Lamia ne dit jamais non à son homme.
Sergeï allume une gitane sans filtre...rires. Il fume et laisse échapper:
-Tu es trop bonne Lamia. Je t'aime
Lamia ne dit rien et lui donne ses seins magiques a sucer et caresser. Le sexe de sergeï se dresse à nouveau....
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Kikou est comptable dans une grande société du quartier d'affaire. Il vit seul depuis qu'il a rencontré Maitresse Anaïs, une dominatrice de grande beauté qui l'a réduit en esclavage, marqué au fer rouge et obligé à ne vivre que pour elle. Maitresse Anaïs décide de tout, pense pour lui. Il n'a qu'une chose à faire, c'est obéir et faire diligence pour servir.
Avec le confinement, Kikou a été contraint au télétravail. Maitresse Anaïs lui a imposé de venir se confiner dans son luxueux pavillon dans le quartier résidentiel chic. Elle a les moyens, ceux de ses esclaves. Kikou a le numéro 36 marqué sur sa fesse droite. Il obtempère. Etre reçu par Maitresse Anaïs est un signe de grande faveur.
Arrivé chez sa Maitresse , il doit se doucher, se mettre nu, passer son collier d'esclave. Il est déjà sous cage de chasteté et pluggé. Il prend son service et ses ordres d'une assistante de Maitresse Anaïs. Une lesbienne fort jolie, nue et toute dévouée comme lui. Tout se passe dans un grand silence et une propreté de clinique. Tout est impeccable.
Kikou est en stage de recyclage. Il sait qu'il va souffrir. C'est une autre assistante lesbienne qui lui impose le programme défini par Maitresse Anaïs. Cela a commencé par de dures séances de fouet. Kikou est lacéré. Son dos le brûle. A présent il doit nettoyer le parquet à quatre pattes, nu. Tout le monde l'ignore. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son éponge et son seau.
Maitresse Anaïs le reçoit. Il lui baise les pieds. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son superbe mollet. Elle n'est pas contente de son esclave et donc lui impose des punitions. Son assistante note et ne manquera pas de les lui administrer. Kikou remercie et se retire comme un chien, avec son plug bien visible dans les fesses et sa cage de chasteté qui pend. Il n'est plus que le numéro 36... plus un humain...même plus un esclave...Numéro 36 dans le cheptel de Maitresse Anaïs. Il est définitivement castré. Il n'a plus droit aux orgasmes. Son moi a disparu dans un grand calme intérieur. Il est dans la paix du non désir.
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Caro et Anna sont deux copines de fac, lesbiennes et fort jolies toutes les deux, au désespoir de tous les males qu'elles font craquer et qui ne pourront jamais les sauter. Elles ont sauté de joie, justement, à l'annonce du confinement. Les parents de Caro possèdent une petite maison en province, loin de tout et l'ont laissée à disposition pour leur fille et cette retraite imposée. Elles sont vite parties en train. Déjà elles avaient du mal à ne pas se rouler des pelles sur la banquette. Mais masque et covid oblige, elles sont restées sages. Puis il a fallu prendre un bus et au final continuer à pied. La maison n'est qu' à un kilomètre du dernier village, mais elles n'ont pas pu attendre jusque là. Caro a plaqué Anna contre un grand arbre et l'a embrassée goulument. Elle a baissé son jean et son mini slip et fourré sa langue dans les plis intimes de sa compagne tétanisée de plaisir. Anna a joui très fort et Caro a bu son plaisir avec délectation.
Le confinement est un plaisir. La petite maison est agréable, sans voisins autour. Elles peuvent se bronzer nues au soleil, faire l'amour devant la cheminée le soir et bosser tranquillement les cours via internet. Elles aiment étudier et aussi les longues promenades à vélo ou à pied dans la campagne drapée de superbes couleurs d'automne.
C'est Caro qui a eu envie de jouer au bdsm et qui s'est improvisée dominatrice. Anna a été un peu rétive au début et puis elle s'est révélée très douée. Une parfaite soumise. Caro a commencé par l'attacher, la fesser, puis la flageller. Anna a trouvé du plaisir à être sévèrement punie et à devoir dire merci. Maitresse Caro a pris de plus en plus d'assurance. C'est la soumise qui fait la maitresse.
Le joli petit cul d'Anna est vierge et Maitresse caro s'est fait un plaisir de le sodomiser avec un doigt, puis deux et enfin sans le moindre ménagement au god ceinture. Depuis c'est devenu une pratique quotidienne. Anna obéit bien mieux après avoir été sodomisée par sa Maitresse.
Les suspensions, la cire chaude et le fouet c'est pour bientôt. Pourvu que le confinement dure jusqu'à Pâques ou à la Trinité.
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Maurice est un prof de philo à la retraite. Cela fait plus de 40 ans qu'il est marié avec Paulette, une prof de français, retraitée aussi. Un long bonheur conjugal sans jamais la moindre incartade, un amour passionné depuis le début. La raison en est que Maurice et Paulette appartiennent à ces couples qui ont besoin de baiser tout le temps. Les autres n'existent pas. Ils baissent n'importe où, n'importa quand. Ils ne se lassent jamais, ne comptent pas, n'ont aucune arrière pensée, c'est physique, c'est comme cela depuis le premier regard.
Maurice a vu Paulette, ils se sont plus, elle l'a eu de suite dans le cul.
Maurice est un dominant. Paulette adore lui obéir et le servir. Cela aussi c'est naturel entre eux.
Ils sont trop heureux de se confiner à nouveau, rien que pour le plaisir d'être ensemble et de baiser à tout va. Ils vivent dans un appartement cossu avec un joli balcon qui domine les toits de la grande ville. Ils ne veulent plus sortir, se font tout livrer à domicile.
Le matin Maurice aime glander au lit. Paulette lui prépare son café, des viennoiseries chaudes, et lui porte tout cela avec les journaux, livrés eux aussi. Maurice aime lire au lit pendant que Paulette fait le ménage. C'est une méticuleuse. L'appart est très agréable à vivre, d'une propreté incomparable, lumineux, bien aéré, chaud et très confortable.
Maurice se lève. Il regarde le beau cul de Paulette qui s'affaire en cuisine. Il la tronche en passant. C'est si bon de la baiser pendant qu'elle bosse. C'est une femme fontaine. Elle mouille toujours beaucoup. Elle sent si bon. Elle adore être prise ainsi, à l'improviste, sans cesser ses occupations. Elle aime laisser son homme aller et venir en elle comme il lui plait. Elle aime sentir être son entière propriété.
A Midi Maurice met les pieds sous la table et déguste les excellents repas préparés par son épouse. Ce sont deux épicuriens. Ils aiment faire bonne chère et déguster de bons vins. Après ils jouent à la belotte, style belotte de comptoir et c'est toujours Paulette qui gagne. Sa récompense c'est une bonne fessée sur les genoux de Maurice. La fessée fait toujours jouir Paulette. Elle est punie et mise au piquet, cul nu, culotte sur les chevilles. Son cul est trop beau. Maurice ne peux jamais résister au plaisir de bien la pénétrer et la remplir de sperme.
Ils n'ont pas besoin de sortir. Le sport en chambre leur suffit.
Le soir Paulette fait la lecture à son époux. Ils commentent, discutent, philosophent. Les bons livres c'est une passion pour eux. Cela les repose et leur redonne envie de baiser. Le lit conjugal est là, chaud et accueillant. Maurice adore s'enfoncer dans la chatte ruisselante de son épouse adorée. Ils hurlent des orgasmes. Ils sont heureux, s'endorment dans les bras l'un de l'autre. Les rondeurs de Paulette sont un si doux coussin. C'est beau la vie. Ils aiment le confinement et son calme.
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Trop contente jolie ginette d'être confinée avec son petit copain Gégé, un handicapé mental qui fout rien de la journée à part bouffer des pops corns et regarder la télé. Pourtant Ginette adore son Gégé et surtout sa belle bite dont il se sert si bien. Jamais Ginette ne pouvait s'imaginer sortir un jour avec Gégé et ses trois neurones, son intelligence qui doit se trouver entre celle de l'amibe ou celle d' une salade de jardin. Et peut être même que l'amibe ou la salade sont plus intelligentes. Pourtant cet idiot est celui qui a fait la nique à tous les prétendants au joli cul de Ginette. Oh, il a fait simple. Il a coincé Ginette en pleine rue et l'a tronchée debout contre un platane. Gégé est imposant, il fait peur. Ginette n'a pas eu le temps de crier que déjà une main puissante lui fermait la bouche et une autre lui arrachait le slip. Déjà un pieu puissant la violait d'un coup. Gégé ne saura jamais ce que peut être un préliminaire. Et Ginette a jouit très fort. Les passants, qui regardent en coin mais n'osent pas s'interposer. Et puis c'est vite venu visible que Ginette adore cette forme d'amour sauvage et brutal. C'est ainsi qu'elle est devenue accro puis addic complète à la bite de Gégé.
Elle a vite trouvé son compte à être avec un handicapé qui vit des allocs, ne fout rien et baise si bien. Lorsque son employeur a proposé le télétravail. Ginette a de suite accepté. Etre confinée avec le gros calibre de Gégé c'est trop bon. Alors elle se ballade en nuisette dans l'appart. Elle passe devant le canapé ou son homme regarde les dessins animés pour enfants. On voit qu'il a du mal à suivre mais il rigole tout seul, c'est déjà cela d'après la psy. Ginette montre son joli cul et zou. Le cerveau de gégé court circuite ses trois neurones et il se précipite pour violer ce joli cul qui s'offre. Elle ne sait jamais quel trou il va défoncer. Peu importe. Ginette hurle. Son handicapé de petit copain ne fait jamais défaut. Un vrai marteau pineur. C'est trop bon. Tout l'immeuble est au courant plus de dix fois par jours, sans compter les longues nuits. Les cris de plaisirs de Ginette sont si forts qu'ils s'entendent même jusque dans la rue.
Heureusement qu'elles sont désertes avec le confinement.
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J'ai toujours aimé lire Guerre et Paix de Léon TolstoÏ, J'aime sa conception amusante de l'histoire où les grands hommes ne sont rien d'autres que des étiquettes sur des évènements historiques que personne ne comprend vraiment tant ils sont complexes. Sur ces évènements, l'auteur greffe des personnages fictifs qui vivent leurs vies. Seulement voilà, Tolstoï a ses bons et ses mauvais. C'est trop simple et je n'aime pas. De toute façon la fin de vie de Tolstoï avec son épouse a quelque chose de dramatique. Je veux donc réhabiliter certains personnages imaginaires crées, les décrire autrement. C'est libre. Parlons par exemple de celle que Tolstoï décrit comme une garce, Hélène kouraguine devenue Hélène Bezoukov après son mariage.
Tolstoï veut décrire une femme intéressée uniquement par la fortune de son époux, Pierre Bezoukov. Je ne crois pas à cette version. Je crois que si l'on offre à une femme le choix entre l'amour et l'argent, la femme choisira toujours l'amour et n'en aura rien à faire de l'argent. Un mariage arrangé, voulu par son père, un mariage sans amour, bref un désastre pour les deux. Cela me fait penser à Lady DI et le Prince Charles. Un mariage arrangé sans amour véritable. Il ne sert à rien de jeter la pierre à l'un ou l'autre, cela n'a pas de sens. Non, la femme du Prince Charles c'est depuis toujours Camilla et depuis qu'ils sont ensemble, c'est un fleuve paisible.
Pourquoi vouloir faire d'Hélène une garce alors qu'elle subit un mariage sans amour. Hé bien elle prend des amants, mais cela ne lui convient pas totalement. C'est un canon. Elle fait bander. Elle n'a aucun mal à multiplier les conquêtes mais elle est toujours insatisfaite. Elle a besoin comme toutes les femmes de l'amour total, complet, celui qui donne vraiment la paix et le bonheur, celui qui permet de construire. Ce n'est pas avec ceux qui veulent juste la sauter qu'elle peut trouver cela. Et Tolstoï en fait une garce, ce qu'elle n'est pas. Je n'aime pas Hélène, mais elle ne mérite pas l'opprobre. Le fait qu'elle ne soit pas heureuse, l'oblige presque à cette fuite en avant. De même, je n'aime pas Lady Di, mais elle ne mérite pas ce sort funeste.
Hélène est belle, c'est une des plus jolies femmes de Russie. Avec Pierre Bezoukov elle devient immensément riche. Ceux qui ont arrangé ce mariage ont cru faire bien. Jeune belle et riche mais pas heureuse pour autant. Alors oui, le sexe, les amants. Les beaux jeunes hommes des régiments. Ce n'est pas une garce pour autant.
Voilà c'est dit. N'en déplaise à l'illustre Tolstoï.
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Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu.
Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes.
Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres.
Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser.
-Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble.
Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers.
Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre.
Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit:
-frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu.
Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux.
-il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ?
-Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps.
-Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme.
-Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir.
-Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien.
Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires
La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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Margot est une des quatre femmes du Commandeur de classe D, qui commande l''Agamemnon et l'exploration du système planétaire U354 à plus de soixante années lumières de la Terre. Ce qui distingue les Commandeurs et leurs femmes, toujours au nombre de quatre, c'est la taille de leur cerveau. Il a fallu loger dedans toutes sortes de connexions et interfaces, sans compter les ajouts de mémoires et intelligences artificielles, et même avec des ultras nano technologies, il a fallu pousser un peu les parois du crane. Les commandeurs et leurs femmes ne font plus l'amour physique, ils pratiquent une sexualité très sophistiquée, purement par ondes mentales, sans aucun contact charnel. Il parait que c'est le must absolu. Pour ma part, je n'ai pas envie d'essayer, j'ai besoin du contact avec les chattes bien humides.
Le commandeur est venu faire une inspection à notre base de Khe sanh, je l'ai appelée ainsi parce que nous sommes entourés d'énormes prédateurs qui rôdent la nuit sur la planète Monstra. Il veut se rendre compte par lui même de l'excellent travail réalisé par le sergent chef Ramirez, avec l'espèce la plus évoluée de cette planète, de grosses crevettes absolument horribles selon nos critères de beauté, mais fort attachantes, et pleine d'humour. Grâce au sergent chef Ramirez, nous sommes devenus presque des amis de ces aliens, et ce, même si le QI de ces crevettes géantes dépasse rarement le 100.
Le sergent chef Ramirez fait de nombreux exposés au Commandeur. Elle explique le langage amusant des monstriens, c'est ainsi que nous avons appelé ces crevettes. Les mâles utilisent très peu de mots, dont presque tous, sont en apparence des insultes fort grossières et obscènes. Cela fait penser aux Marseillais avec des "putain con" ou des "con putain con" dans toutes les phrases et même sans phrases. De là à penser que nos chers marseillais ont des QI de crevettes...je blague. Les monstriens eux, c'est gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée....et avec cela, ils se comprennent très bien. Les femelles crevettes n'utilisent pas les insultes, jamais! Elles sifflent , façon de dire, cause toujours tu m'intéresses. L'étude Ramirez a montré des dons artistiques incroyables chez ces crevettes. Donnez trois cailloux à un enfant monstrien, il va en faire une oeuvre d'art avec un talent qui frise chaque fois le génie. Cela se retrouve partout dans leur culture. C'est aussi une forme de langage, plus complexe et subtile. les jeux amoureux reposent beaucoup sur les capacités de créations. Pour séduire il faut offrir une belle oeuvre, peu importe la forme et les matériaux utilisés. Le sergent chef Ramirez reçoit beaucoup de cadeaux fort jolis de la part des crevettes mâles. Allez savoir pourquoi?
J'ai été surpris que le Commandeur me propose un échange de femelles, le sergent chef Ramirez contre Margot, une de ses quatre femmes. J'ai bien évidement accepté. J'adore les échanges.
Le soir venu sur Monstra, nous avons dégusté le repas du soir préparé et servi par des crevettes géantes, invitées sur notre base, où nous avons beaucoup ri et surtout très bien mangé, la cuisine des crevettes est exceptionnelle de finesse et de saveurs. Là aussi ce sont des artistes. Le Commandeur a fait un signe au sergent Chef Ramirez qui ne s'est pas faite prier pour le suivre, passant bien devant moi et tortillant à l’exprès son cul de rêve et en jouant bien à la conne, comme elle sait que j'aime. Les crevettes mâles n'ont pas pu s'empêcher de dire: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée...et là encore Ramirez, toute sourire a ondulé sa croupe. Et c'est reparti de plus belle: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée..J'ai du débrancher le traducteur. Pour ma part j'ai pris par la main la superbe Margot pour la conduire vers mon logement près de la serre. Une main très douce et chaude. De très agréables vibrations. Le Commandeur et ses quatre femmes cachent leur masse crânienne beaucoup plus imposante sous de longs cheveux.
Dans ma chambre Margot m'a demandé si je voulais essayer le sexe sans contact physique. J'ai presque hurlé:
-Non, mais ça va pas! je vais d'abord bien te troncher par tous les trous et te remplir de sperme, après, on verra pour les expériences.
Je mes suis éclaté avec Margot et son corps de bombe sexuelle. Une belle salope avec des airs de sainte ni-touche, première de la classe. Je l'ai violée et re-violée, on a joué à cela pour commencer. Margot s'est retrouvée, vêtements déchirés, attachée, fessée hard, orifices ouverts de force et remplis de sperme. Au bout d'un moment, bien pinée et perforée de partout, elle a commencé à gémir, puis à bien se cambrer et à être secouée de spasmes, de plus en plus violents, de plus en plus fréquents. Elle a fini par partir en fontaine, à ruisseler les grandes eaux. Elle me pisse carrément dessus, cette belle salope, ne peut plus rien retenir.
-Ben toi ma Margot, quand tu lâches prise, tu lâches prise !
-C'est trop bon, j'adore être violée, prise de force, sodomisée , fessée.
Nous nous sommes reposés un peu, nous avons bu un verre et j'ai fait goûter à Margot un calumet spécial avec des herbes choisies et savamment mélangées par les crevettes. Un truc de ouf ! Un démonte pneu cérébral ! Cela sent très bon et l'envie de baiser revient aussitôt, brutale, avec une érection d'une vigueur incroyable. En voyant mon pieu dressé, Margot a remis cela:
-Voulez vous , Mon Maître, essayer le sexe sans contact.
-Ok, mais si cela ne me va pas, tu seras bien corrigée.
A peine ai-je dit cela que Margot m'a envahit de ses ondes cérébrales qui toutes puent le sexe le plus cochon qui soit. Je sent la sève qui monte, monte. Je vais exploser lorsque Margot stoppe l'orgasme, me laisse souffler un peu puis remet cela. Au bout de la dixième montée, j'en peux vraiment plus. Je me dis dans ma tête: "si cette salope de Margot m'arrête encore, je l'étrangle ! ". Elle a du entendre mes pensées car cette fois j'ai explosé un orgasme d'un violence inouïe. Je tombe dans les pommes tellement c'est fort. Lorsque je me suis reveillé, j'ai estimé que Margot méritait une bonne raclée pour m'avoir trop bien fait jouir. Je l'ai solidement attachée et baillonnée et elle a dérouillé à coup de ma grosse ceinture militaire en cuir épais. Son cul a vite été rouge feu. Et comme cela l'a fait jouir, elle a ruisselé de nouveau, lâché les écluses. Je me suis régalé à l'obliger à tout nettoyer à quatre pattes, bien ouverte et cambrée.
La nuit ne fait que commencer. Dans les habitations à coté, les râles du sergent chef Ramirez secouent presque la base. Ses orgasmes sont comme des ondes telluriques qui parcourent le sol et vont se perdre je ne sais où, très loin, dans les vastes plaines. Le Commandeur est sans doute un cérébral pur, on ne l'entend pas. Mais sur Monstra, les terriens baisent et ne se privent de rien.
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Voilà, c'est la fin de cette petite série de fictions sur fond de science fiction. J'espère qu'elles vous auront détendus. A ne jamais prendre au sérieux. C'est par plaisir d'écrire. Prenez soin de vous.
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Le sergent "chef" Ramirez est de retour dans mon harem après sa location échange contre Gina. J'aime ce moment où une soumise revient, où elle regarde de biais son Maître, où elle interroge de ses yeux humides. C'est le moment où elle comprend le mieux sa condition de soumise. Le sergent Chef Ramirez est ma propriété et j'en joui à ma guise, selon mon bon plaisir. Elle n'a rien à dire, juste obéir, et elle ne dit rien.
Depuis la dernière extinction massive sur Terre, les choses sont devenues très simples. Sans une intervention extérieure, il n'y aurait eu aucun survivant. Les humanoïdes, ils nous ressemblent beaucoup, qui sont venus à notre secours ont procédé à l'élimination directe de 99, 999% de l'humanité et ils ont tout recyclé dans le soleil. Ils n'ont gardé que 144 000 âmes et offert l'immortalité, les corps qui restent en parfaite santé plus de 800 ans, sans vieillir et que l'on change comme on change de véhicule. Ils ont séparés les hommes, en propriétaires et dominants, et les femmes, en propriétés et soumises, dans des proportions de un pour quatre ou un pour douze. Aucune homosexualité même entre femelles, justes des caresses et autres mais pas d'homosexualité ou bisexualité déclarée. Les hommes ont tous les droits, les femmes obéissent et servent leurs doms respectifs. C'est hiérarchisé entre doms, il existe des commandeurs et tout en haut un commandeur suprême. Aucune démocratie, c'est pyramidal et très organisé, chacun sait ce qu'il doit faire et où est sa place.
Le sergent chef Ramirez me regarde en biais et retourne à sa place dans mon Harem. Ce soir c'est le major Shirley qui partage ma couche, c'est son tour. L'Agamemnon est dirigé par un Commandeur de classe D, le commandeur suprême est le seul classe A. En tant que militaire c'est moi qui dirige toute la petite mission humaine sur Monstra. Les autres doms me doivent obéissance, mais tout se passe très bien. De toute façon, nous intervenons le moins possible, nous sommes plus des observateurs et des analystes qu'autre chose. Le rôle des militaires est de protéger les scientifiques et de les assister.
Le Commandeur de l'Agamemnon est très intéressé par les "exploits" du sergent chef Ramirez. Il propose de nous rendre visite dans quelques mois pour se rendre compte par lui même.
-Sergent Chef Ramirez, je vous dégage de vos missions de protection des scientifiques. Le Commandeur souhaite que vous poursuivez vos contact avec les Monstriens. Il va venir se rendre compte par lui même.
-Je peux prendre des initiatives, faire à mon idée, mon Maître ?
-Oui et si vous avez des besoins, je vous invite à les formuler.
Un magnifique sourire éclabousse le visage du sergent Chef Ramiez, ses yeux pétillent de malice. Elle me fait une révérence et s'éloigne. Elle a une idée en tête c'est sûr. Je la connais par cœur et je sais qu'elle va nous faire une jolie surprise.
Le Major Shirley se pointe. Avec ses seins pointés en avant et ses jambes écartées, elle a envie de se faire troncher et pue le sexe. Elle se déshabille et c'est nue qu'elle m'amène vers les bains. Nous nous sommes rendu la vie la plus agréable possible sur notre base de Khe Sanh. Shirley me masse le dos et les épaules. Elle me lave, me frotte, me bichonne. Nous allons boire un verre dans une serre vitrée au dessus des brumes de Monstra. Le soleil,de ce monde sauvage se couche et plonge dans les brumes grises et or. Je suis en érection. Shirley s'empale sur mon membre et commence ses succions avec son vagin très tonique et étroit.. Elle ruisselle de plaisir et parfois se tétanise...un orgasme qui passe. Elle peut jouir longtemps et je ne suis pas pressé. Je lui caresse ses seins magnifiques. Elle m'embrasse, m'offre sa bouche et sa langue. Elle se donne de plus en plus profond, je résiste à l'envie d'exploser. Il fait nuit à présent. On entend au loin les rugissements des énormes prédateurs de Monstra. Ils aiment sortir la nuit pour boire et chasser. Je n'en peux plus, je hurle à mon tour et je tapisse le fond de la chatte de Shirley de mon sperme. Je donne tout. Elle m'embrasse, s'allonge sur moi, se love. Je m'endors en paix. Encore une superbe journée sur Monstra.. Ma vie de pacha avec mes douze superbes femelles, c'est le paradis.
C'est le cri strident d'un énorme prédateur qui m'a réveillé. Un qui vient sans doute de se choper une belle proie. Le major Shirley dort pasiblement. Elle est divinement belle. Son cul est invitation. L'erection est là, puissante, impérieuse. Je la retourne m'allonge sur elle et pousse de toute mes forces avec mon pieu en avant. Mes douze femmes sont toutes des sportives de très haut niveau, des expertes en arts martiaux, elles ne sont pas pénétrables comme cela et j'adore cette sensation incroyable lorsque cela cède et s'ouvre devant mon pénis victorieux. C'est incroyablement jouissif. Shirley pousse un petit cri et je l'empale d'un coup. J'adore sodomiser mes femelles et bien leur claquer les fesses. J'empoigne la chatte poilue de Shirley et enfonce un doigt pendant que mon pénis lui défonce le cul. Elle part en fontaine de plaisir. Mais je me retiens et me retire. J'appelle un robot domestique et je lui ordonne d'attacher Shirley à un arbre dans la serre, suspendue, chatte et cul bien ouverts. Le robot domestique s'exécute et voilà Shirley qui pend sous son arbre. Elle adore cela. Elle aime méditer ainsi.
Je consulte mon bip bip à femelles, c'est une intelligence artificielle qui calcule qui doit être la suivante. Bien sûr je peux choisir qui je veux. Mais le bip bip c'est pour ne léser personne. Mes femelles ont droit à une forme d'équité. Tiens le bip bip appele le lieutenant Asthon qui arrive dans un grand tea shirt de nuit. Elle est ravissante et elle se caresse la chatte. Elle a une forte envie de se faire sauter par son Maitre.
-position 22
Asthon s'exécute et s'offre. Je la pénètre sauvagement. Elle pousse un cri qui fait trembler la serre. Un message pour les grands fauves et prédateurs qui rodent autour de la base. Le message d'une bonne femelle qui se fait bien troncher et qui le fait savoir.
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L'équipe des scientifiques vient de débarquer sur Monstra, Base de Khe Sanh, perdue au dessus des brumes poisseuses et des cris terrifiants des monstres des plaines, vallées et noirs marécages. Monstra est une planète qui regorge de vie et donc de prédateurs. Les "monstriens", de grosses crevettes d'un mètre quatre vingt de haut, sont l'espèce la plus intelligente et évoluée de ce monde inhospitalier. Avec un QI qui ne dépasse pas le cent, nos crevettes savent néanmoins, écrire quelques mots, compter, et faire du feu. La vie est facile sur monstra où il suffit de se baisser pour cueillir des baies délicieuses et ou le gibier abonde. Les Monstriens sont peu nombreux car les monstres terrifiants des brumes adorent croquer des crevettes. Pour se défendre, ils savent fabriquer des outres remplies de naphte qu'ils enflamment et jettent sur les prédateurs qui même s'ils font plus de quarante mètres de haut pour certains détalent vite par peur du feu.
Gina est à la tête d'une équipe de scientifiques sous les ordres d'un Maître. C'est ainsi, un homme dom pour douze femelles soumises qui adorent se faire sauter. Nous avons fait simple et efficace pour l'humanité terrestre. 144000 éternels, car nous avons trouvé la combine pour être éternels et donc environ douze mille hommes dom. Il nous arrive de nous échanger les soumises entre dom. Celles ci n'ont rien à dire. Elles sont l'entière propriété de leurs doms respectifs qui en disposent comme ils veulent.
J'ai échangé Le sergent Ramirez contre Gina, pour le cul seulement, pas le boulot. Hurtzman, le proprio de Gina, cela fait longtemps que j'avais remarqué qu'il en pinçait pour le cul de rêve du sergent ramirez. Lorsque cette dernière joue à la conne, elle peut foutre le feu à toute la base. Hurtzman en a une très grosse, il va bien s'amuser.
Avec Gina, je ne perd pas au change pour cet échange pour un mois tout au plus. La meilleure façon de mettre à l'aise une nouvelle soumise, c'est de la troncher de suite. Avec Gina j'ai envie d'une bonne branlette espâgnole avec celle qui a les plus beaux nichons de l'Agamemnon. C'est l'enfer. Elle me malaxe si bien la bite que j'ai du mal à retenir mon éjaculation.
-Dans la bouche et avale bien tout.
Gina ne se fait pas prier et j'explose dans sa gorge profonde. Elle me nettoie bien la verge à grand coup de langue chaude. Une experte.
Dans l'habitacle à coté, de longues protestations:
-non, non, pas le viol, pas le viol, votre bite est trop grosse....
C'est cette conne de sergent Ramirez qui s'amuse à rendre fou Hurtzman et sa pine d'âne. Il pousse un cri de fauve. Le sergent Ramirez ne dit plus rien. Étrange. Et tout à coup elle gueule son orgasme. Putain elle a du déguster avec cette bite d'amarrage de paquebots dans le cul. Une qui va pas marcher droit ce soir.
Gina en redemande. Je la retourne et je la sodomise d'un coup. C'est une vraie féline, elle feule de plaisir, se cambre. Je prend tout mon temps. Son cul est aussi beau que ses nichons, bien ferme et bien galbé. Gina sait serrer un pénis, elle est musclée des orifices. Elle sait aspirer et relâcher en cadence. Elle sait sentir son mâle et le guider vers des orgasmes d'une puissance inouïe. Elle sait y faire. Hurtzman est un bon Maître. Il l'a très bien éduquée. J'explose à nouveau, cette fois complètement vidé. Je m'endors de bonheur sur ses seins généreux. Trop bien cette Gina.
Les monstriens ont entendu le sergent Ramirez hurler en explosant son orgasme. Ils se sont approchés. Il faut dire que le sergent Ramirez est devenue presque une divinité pour eux. Allez savoir pourquoi, elle sait leur parler. Je crois que je vais la nommer adjudant. La façon dont elle a réussi à établir le contact avec ces aliens est vraiment une réussite. Sincèrement les conquistadors et Christophe Colomb sont des gros nazes à coté.
La morale de cette histoire c'est que soumises bien partagées sont soumises bien enculées.
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L'Agamemnon s'est placé en orbite furtive dans le système U454 après un voyage qui a duré plus de cent trente cinq années terrestres. On a eu beau faire, les bonnes vielles théories de la relativité sont restées incontournables. La première planète en zone habitable est un cauchemard, un condensé de tous les musées des horreurs de la galaxie. Un monde inhospitalier, glauque, couvert de brumes denses et poisseuses et peuplé de monstres terrifiants. Nos dinosaures sont des caniches à coté. Curieusement ce monde plait à ma ravissante capitaine, mon second dans l'escadrille de chasse, la sulfureuse Bana, une bombe sexuelle infatigable.
Nous avons survolé dans tous les sens cette planète avec nos superbes chasseurs Cobra et finalement J'ai choisi une base sur un plateau entouré de vertes collines avec un joli lac au centre. Nous sommes au dessus des brumes et nous avons placé des répulseurs pour dissuader les monstres d'approcher. J'ai appelé cette base "Khe sanh ", c'est mon humour, pour dire qu'autour, il faut faire attention, le danger est partout. Nous avons du séparer les eaux du lac pour empêcher des énormes sortes d'anguilles carnivores et très voraces d'approcher. Les filles montent le camp. Avec le capitaine Bana, je visionne nos survols d'explorations pour préparer nos prochaines missions. Une équipe de scientifiques doit nous rejoindre avec à sa tête la bombe Gina aux gros lolos qui pointent comme des obus de 120mm droit devant. La plus belle poitrine de l'Agamemnon. La vie à "Khe Sanh" va pas être triste.
Bana suit mes pensées et me sourit. Elle porte un short moulant, raz la chatte et putain je peux pas résister, il faut que je la nique. Elle comprend de suite et baisse son short. Je lui bouffe la chatte . Elle me ruisselle dans la bouche. Cette conne de Mimie arrive vite.
-Hé vous faites quoi là ? C'est mon tour !
Il existe un tour de rôle pour la distribution de sperme. Aucune de mes douze femmes ne doit être lésée. Effectivement c'est au tour de Mimie de recevoir sa giclée. Bana l'empoigne, l'embrasse et la déshabille. Mimie s’électrise et part dans un soixante neuf avec Bana. Cette dernière lui empoigne les fesses et les écarte. Cela me fait rire. Elle me désigne la cible. Je sodomise Mimie qui se tétanise dans un râle de plaisir. Putain que c'est bon de troncher mes femelles au bord de ce lac perdu. Je donne à Mimie sa giclée. Je pousse le plus au fond possible. Nous explosons un violent orgasme. Bana qui est dessous se délecte en mangeant le minou délicat de Mimie.
Shirley s'est pointée. Je suis sur le dos en train de récupérer. Elle se place debout au dessus de moi, écarte les jambes et me montre sa chatte bien poilue, histoire de me dire que c'est son tour à présent. Je recommence à bander lorsque nous entendons un brouhaha vers les clôtures invisibles et les répulseurs. Un groupe de "monstriens" fait un remue ménage pas possible. C'est le sergent Ramirez qui les provoque en jouant à la conne et en leur montrant son cul de rêve.
Les "monstriens" ressemblent à de grosses crevettes. Ils sont vraiment horribles mais je ne sais pas pourquoi, je les trouve sympathiques.
-Bana, branche le traducteur !
la machine n'a eu aucun mal à traduire
-Salope, pétasse, gros cul, pastèque???....
Je les trouve de plus en plus sympathiques ces "monstriens"
-allo l'Agamemnon, premier contact avec une intelligence extra terrestre sur Monstra, base de Khe Sanh. Contact amical pour l'instant.
Nous avons porté le traducteur sonore au sergent Ramirez qui s'est amusée comme une folle avec ses crevettes en rut. Elle a reçu 4 demandes en mariage. Les crevettes ont voulu voir sa chatte, ses nichons et ....ses oreilles, c'est très érotique pour elles.
J'aurais pu opter pour l'approche: "Nous sommes des Dieux", mais ce n'est pas mon truc. Nous avons sympathisé avec les monstriens et nous les avons invités sur notre base de Khe Sanh. Ils se sont montrés très respectueux et amicaux. Le soir nous sommes allé dans leur village de crevettes et le sergent Ramirez leur a fait la danse du ventre. Les femelles crevettes ont voulu apprendre. Nous avons beaucoup ri.
La morale de cette histoire c'est que le cul est la langue intergalactique.
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L'Agamemnon glisse sur les abîmes insondables des vastes cieux, en route vers deux exoplanètes fort lointaines où l'on est certain de trouver de la vie. Nous n'avons pas recours à l'hibernation pour ce voyage qui doit durer plus d'un siècle terrestre, pour une raison simple, c'est que la durée de vie d'un humain est d'environ Huit à neuf cent ans, en parfaite santé. Le corps n'est qu'un véhicule. L'homme ne meurt plus en fait, les femmes ne procréent plus. Lorsqu'il faut changer de véhicule corporel, l'âme est transférée dans une machine puis réimplantée dans un corps neuf et presque parfait. On peut choisir d'être homme ou femme. Les hommes sont peu nombreux et sont les maîtres absolus. les femmes obéissent à leur homme qui est souvent polygame.
C'est mon sort et j'ai mes douze femelles soumises, toutes des militaires et des pilotes émérites qui font partie de mon escadrille de chasse qui escorte l'Agamemnon. La mort violente est bien sûr possible pour nous car en combat, il n'est pas possible de transférer l'âme dans une machine. Il nous faut accepter la mort à l'ancienne, avec tous les risques qu'elle comporte, aussi loin de notre terre mère et de son champ magnétique de protection.
Nous approchons. La vitesse de l'Agamemnon ralentit et nous devrions pénétrer ce nouveau système avec son étoile centrale dans moins de dix ans. J'ai passé six cent ans dans ce corps et toujours en pleine forme. Il faut bien cela, avec mes douze femmes à honorer...et ce sont des gourmandes qui adorent la bite.
Là je m'occupe du lieutenant Asthon, une qui adore être attachée et bien fouettée. J'adore lui rougir son beau cul et quand il est bien chaud, je la sodomise d'un coup. Le viol de ses reins lui arrache des orgasmes incroyables. Sa cyprine coule le long de ses superbes jambes très musclées. Elle vibre et tremble sous les coups de fouet. Une dure qui râle son plaisir.
Après on s'allonge et ellese détend. C'est à ce moment que sa douleur se transforme en plaisir. Je la laisse méditer. Elle se love dans mes bras. Mes autres femmes viennent. Nous sommes bien ensemble, nous aimons être ensemble. Nous avons tout le temps. Mon sexe se dresse. Je regarde autour...une chatte s'offre et je la pénètre d'un coup. Je n'aime pas les préliminaires, j'aime défoncer de la chatte bien étroite et tonique. Mes douze femmes sont très pneumatiques. C'est chaque fois l'extase.
Le lieutenant Asthon émerge de sa méditation, de son subspace. Elle caresse ses fesses brûlantes.
-Allez les filles, on retourne sur simulateurs, allez, un bon entrainement au combat !
Toutes ont passé leurs combinaisons et sont allées dans les simulateurs tester des routines, procédures et combats. Elles sont adorables et très professionnelles. Je ne sais pas ce que nous allons rencontrer dans ces mondes nouveaux, mais nous sommes prêts.
La morale de cette histoire c'est que les hommes c'est fait pour vivre en pachas.
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Le sergent Ramirez est pilote de chasse en protection du vaisseau intergalactique Agammnon en direction de l'étoile U354 et ses deux planètes habitées et encore sans contact avec l'humanité. Celle ci a bien changé avec l'exploration de l'espace insondable. Fini les mystiques, les théories fumeuses, les postulats moralistes et autres inventions de l'humanité terrestre. A présent nous sommes dans l'hyper réalisme, sans morale ni état d'âme. Les morts sont recyclés dans les étoiles, et retournent ainsi à la poussière des origines.
-Sergent Ramirez au rapport !
Une bombe sexuelle se pointe. Une qui a du coucher et se servir de son joli cul pour être affectée dans mon escadrille. (Rires, allez un peu de "je" pour écrire). Une nouvelle, une blonde et qui sait jouer à la conne pour me plaire. J'adore les femmes très intelligentes mais pour la baise, les connes c'est pas mal. Et cette sergent Ramirez sait que nous partons pour une longue mission et l’inconnu des mondes nouveaux et donc, autant s'amuser. Elle se met au garde à vous et écarte légèrement les cuisses. Putain qu'elle est bandante. Et elle sait jouer. Une experte. J'adore sa petite lèvre supérieure légèrement retroussée, la marque des supers salopes qui savent foutre le feu dans les braguettes et pas que. Ses yeux brillent d’intelligence et elle sait bien faire la conne.
-Oui , mon Maitre. Aux ordres !
Et elle fait claquer ses talons. Son cul bombé trémousse. Putain la salope !
-On va tester le nouveau chasseur Cobra et vous allez me montrer ce que vous savez faire. Un petit vol de routine en suivant l'Agamemnon.
-Bien maître !
Elle c'est le sergent Raimrez, ne me parlez pas de la sergente et mon grade c'est "Maitre" d'escadrille, et comme les spartiates, j'ai rétabli tous les châtiments corporels pour que mes pilotes aient plus peur de mon bâton que des dangers extérieurs. Le commandant de l'Agamemnon nous fout la paix pourvu que le job soit fait et bien fait.
Le sergent Ramirez est une excellente pilote. Elle adore conduire à l’instinct (avec la force? rires), sans l'assistance des robots et intelligences artificielles. Une surdouée.
Nous nous posons sur un astéroïde, une grosse patate difforme de la ceinture de Kuiper. Là se trouve notre dernière base avant le plongeon vers les autres étoiles.
-On va se boire un bon cognac. Dans moins d'une semaine terrestre, ce sera le grand départ vers U354.
Notre soleil est si loin que ce n'est plus qu'une étoile quelconque. Magnifique ! Le sergent Ramirez a trinqué. Je n'ai pas pu résister à l'envie de bien la tringler aussi, de bien la remplir de sperme. Pour me faire plaisir, elle a joué à être la plus conne possible. J'ai pris mon pied. J'ai adoré la sodomiser et l'entendre couiner. Ici le Maitre à tous les droits. Je suis le Pacha a la tête d'une escadrille d'élite avec douze superbes femmes pilotes toutes bien dévouées, prêtes à se sacrifier corps et âme. J'adore ce métier. Elles adorent aussi.
La morale de cette histoire c'est que les connes sont les meilleures pour ce qui est de faire jouir un mâle.
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Oleg et Kathrin sont en couple. Ils adorent baiser. Ils se sont rencontrés dans un club de lutte Gréco Romaine de Moscou. Bien sûr,, ils ont voulu jouer à la lutte sexuelle où celui qui gagne domine l'autre. Interdit de pénétrer l'autre pendant la lutte, par contre pour compenser la différence de masse, Kathrin a droit à la saisie des couilles et du pénis. Une arme redoutable qui lui donne souvent l'avantage.
Oleg croit avoir gagner. Il écrase Kathrin de tout son poids et l'immobilise. Il protège ses couilles de la main droite. Kathrin est rusée. Cette fois elle glisse sa langue dans une oreille d'Oleg et le chatouille. Il se déconcentre. Trop tard, une main vient de le choper par les couilles...
-Alors mon doudou, on fait moins le malin.
-Salope, tu m'as encore baisé
-Tu abandonnes ou je te castre ?
-J'abandonne pardi, pas le choix. On devrait interdire les chatouilles dans les oreilles.
-Dis pas de conneries, t'as pedu, t'as perdu, on râle pas et tourne toi, je vais t'enculer au god ceinture, tu te sentiras bien mieux après.
-Salope ! ...putain pas si fort avec le god...Ouille...
-Mais t'es une vraie gonzesse mon doudou et tu aimes cela, regarde tu coules.
-Salope, tu me fais jouir.
-Allez, viens mon doudou, viens te finir dans ma chatte, tu l'as bien grosse à présent.
Oleg ne se fait pas prier, il défonce la chatte de Kathrin qui ruisselle et explose un orgasme de mammouth de Sibérie.
-Putain que c'est bon ! t'es la plus grosse salope des rives de la Volga !
La morale de cette histoire c'est qu'un enculé bande mieux après s’être bien fait mettre.
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