tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin....
Sauf qu'Ahmed, n'a que cela en tête, se troncher la boulangère, avec ses gros nichons bien lourds au balcon, son cul énorme. Ahmed adore les grosses, et sa boulangère est trop belle pour lui, avec tous ses bijoux en or, ses longs cheveux blonds. Elle est à la caisse et fait marcher le tiroir ou les biftons s'entassent. Jamais un regard pour Ahmed et ses yeux amoureux. Un petit con de flic de quartier, avec une paye de sous of, bref, pas assez pour la boulangère. Une belle garce qui tue son mari à la tache. Le pauvre, toujours à marner aux fourneaux, il doit plus bander beaucoup, trop épuisé.
Et voilà le covid 19 est arrivé et Ahmed a de suite compris que c'était sa chance. Il s'est posté devant la boulangerie et a sorti son carnet de contredanses.
-une seule baguette de pain, c'est pas conforme madame. 135 euros pour ne pas respecter la règlementation.
-Mais c'est ma seule sortie de la journée, j'aime le pain frais;
-circulez ou je vous verbalise encore, et directement pour rentrer chez vous.
La boulangère sort outrée.
-Mais à ce rythme nous allons crever de misère pas du covid 19.
-adressez vous à votre député, moi j'applique la loi.
La boulangère et son mari sont brisés, ils ont peur du lendemain. les charges s’accumulent. La propagande dans les médias fait croire qu'ils vont être aidés. Que de l'intox.
C'est le moment pour ceux qui ne prennent aucun risques de se mettre en chasse aux bonnes affaires. La belle boulangère a du ravaler sa morgue et venir sucer Ahmed, puis se faire sodomiser. Et finalement elle a aimé cela et compris que c'est Ahmed qui tenait le bâton. Elle est devenue sa poule et le mari cocu, croulant sous les dettes a du fermer les yeux de crainte de contrôles à répétition.
Ahmed a même poussé le bouchon jusqu'au ménage à trois. Il saute la boulangère chez elle où il a pris ses quartiers. Le mari a du se contenter d'une chambre de bonne sous l'escalier. Sa femme lui donne la fessée s'il ne bosse pas assez pour bien l'entretenir. Et finalement la boulangère prend son pied.
Ne cherchez pas la morale de l'histoire, il n'y en a aucune, comme bien souvent.
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L'avion perso de Billy survole l’Himalaya désert. Sous les ailes argentées de son super jet d'affaires privé, c'est un océan de cimes enneigées qui défile. Des milliards d'humains sont confinés pour soit disant les protéger d'un mal étrange. La nature reprend ses droits. Ce sera bientôt le domaine réservé des survivants de l'apocalypse. Les confinés sont eux en phase d'extermination douce. Ils ne le savent pas. Bientôt ils vont être marqués du signe de la bête, une puce liquide à l'intérieur d'un vaccin obligatoire pour les protéger. Une fois pucés et traçables, ...bah ils ne sentiront rien et ne s'en rendront même pas compte.
Billy savoure. C'est beau la vie, c'est beau ce monde qui retrouve toute sa splendeur. C'est lui qui a eu l'idée et il a presque tout fait seul avec son cerveau. Ah combien les humains sont bêtes et prêts à gober les mensonges.
Il boit un bourbon et admire les montagnes majestueuses. Il faudra qu'il vienne s'installer par là, une fois la dépopulation achevée. Amanda, s'est glissée à quatre pattes et commence à lui sucer la bite. Une jeune femme d'une beauté et d'une intelligence exceptionnelle. Amanda a bien compris que pour survivre elle devait obéir en tout et pour tout à son seigneur et maitre, Billy, l'homme au regard froid de serpent.
Et Amanda ne fait pas que lui sucer la bite, elle fait tout ce que demande Billy, vraiment tout. Et ce serpent à sonnettes en a des fantasmes dans son cerveau malade. Pourvu qu'elle ne donne pas naissance à des lézards. Des fois elle se demande si Billy n'est pas un alien. On dirait qu'il lit toutes ses pensées. Il prend même plus de plaisir à lui trifouiller le cerveau que la chatte.
Le serpent froid vient de gicler son sperme dans sa bouche. Amanda avale et finit d'astiquer le membre de son Maitre. Puis en bonne chienne elle se couche à ses pieds.
Le jet survole les hauts plateaux du Tibet. Il glisse dans l'air glacé au dessus des pics enneigés. Billy est heureux. La terre est vraiment à ses pieds.
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PS: c'est mon article 74, il est donc marqué du signe de la bête...9 fois 74 égale 666....Rires
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Putains de féministes de merde, c'est ce que pense Jacob, mais en fait il devrait dire merci. Grâce à ces connes, il se tape les plus belles femmes du coin. L'a vite compris le Jacob, un fut fut, que les femelles étaient devenues en gros manque de bonne baise avec leur manie à vouloir castrer les hommes, à les saigner et les laisser exsangues. Alors il en a fait son job. Enculeur de femelles en manque et il a un succès fou. Mais chut...il n'a pas trop besoin de pub.
Il a posé un vieux camping-car bien retapé, tout confort, très clean à l'intérieur, sur un bout de rue très calme, sous de grands arbres, il a sorti sa table pliante, son pastis bien frais, sa chaise, ses glaçons et il a attendu qu'elles se pointent. C'est curieux les femelles. Il n'a pas attendu longtemps. Elles sont venues avec petit toutou en laisse, mine de rien, histoire de le promener et de regarder ailleurs. Jacob leur a juste fait un sourire bien canaille et elles sont venues causer. Et Jacob les a toutes enculées dans son camping car tout mignon à l'intérieur. Jamais de préliminaires, de bonnes saillies à sec, bien profond dans les reins, pour leur donner les frissons du viol. Quelques bonnes tapes sur le cul pour faire circuler le sang, elles adorent.
Avec Jacob, l'orgasme est garanti. Pas contre, pas de chichis, de blas blas. Jacob n'embrasse pas, ne se fait pas sucer, ne pistonne pas les minous. Non, lui c'est fessée érotique et sodomie et qu'avec des femelles. Et ilse lave au savon de marseille avant et après. Par contre il n'utilise pas de préservatif. Il donne généreusement son sperme aux femelles qui en ont bien besoin par ces temps de pénuries. Cela doit leur faire beaucoup de bien car ce sont des fidèles.
Devant son succès, il s'est déclaré autoentrepreneur en soins ambulants aux personnes fragiles, tout un programme. C'est vrai que les femelles, surtout les féministes, sont bien fragiles de la tête. Avant Jacob, les meufs en manque devaient partir se faire troncher en Afrique. A présent les devises restent dans le pays d'origine. Les femelles doivent payer mais le tarif est libre. Il a mit une boite en fer avec une fente dessus pour glisser les biftons. D'après Jacob ce n'est pas de la prostitution de la sorte puisqu'il ne reçoit pas d'argent de la main à la main. Les femelles sont généreuses avec ceux qui les baisent bien, c'est pas un souci. De toute façon, Jacob vire les pingres en tout.
Des maris cocus l'ont bien dénoncé aux flics, mais comme la commissaire et la juge se font troncher par Jacob régulièrement, ce sont les cocus qui ont été emmerdés. Encore des crétins qui n'ont pas compris que ce sont les femmes qui ont les droits. Dans la vie courante, ce sont les hommes qui se font mettre profond par les femmes. On comprend mieux les envies secrètes de ces dernières.
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Pas facile d'être au chomdu de nos jours. Bob, voulait des allocations, La femme de Pole Emploi, lui a dit:
-non, non,et non. Vous passez votre temps au chômage, il faudrait être sérieux et bosser un peu. Vous n'avez plus de droits. Pourquoi ne pas créer une autoentreprise? Vous savez bien faire quelque chose de vos mains.
Bob a bien regardé la poule de Pole Emploi, avec son tailleur strict, ses grosses lunettes, son alliance de femme mariée. Une coincée du cul? Non, Bob est un observateur. Le coin de ses lèvres à cette poule à lunettes trahit son secret, encore une belle garce qui ne demande qu'à être forcée un peu. Et bob sait lire les secrets.
-Ouais, c'est pas con. Je vais créer une autoentreprise de laveur de chattes. Ya bien des laveurs de carreaux, des laveurs d'autos, pourquoi pas un laveur de chattes.
Et la poule de Pole Emploi a enfin levé les yeux sur lui. Ils brillent. Bob a vu juste.
-Vous voulez pas que je vous montre mon idée? Et il n'a pas laissé le temps à la poule à lunettes de répondre. Il a fait le tour du bureau et Bob l'a chopée par les hanches et soulevée comme si elle ne pèse rien. Un gros costaud ce bob. Dans la rue personne pour lui casser les burnes.
Il assoit la poule à lunettes sur le bureau et pose sa main sur sa bouche pour la faire taire. Il connait bien les femmes mariées qui disent non non et perdent du temps, alors qu'elles n'ont qu'une envie brûlante, se faire troncher. . Il lui enlève sa culotte et il l'enfile dans sa belle bouche. Elle pourrait essayer de recracher...mais non, elle se laisse faire.
Bob, commence à lui caresser la chatte et à lui lisser les poils, doucement. La poule s'offre et mouille.
-Tu bouges pas, je vais chercher de quoi te laver la chatte.
La poule obéit avec sa petite culotte dans la bouche, les jambes écartées, le minou rose bien ouvert. Elle est vraiment très belle comme cela, bien ouverte et offerte.
Bob trouve ce dont il a besoin dans le local technique et revient avec un seau d'eau chaude, des produits détergents, des gants. Il se met au travail aussitôt. Bob, aime son nouveau job. Il fait cela bien. La poule voudrait jouir, se faire prendre. Mais non, Bob est un pro désormais, il refuse les avances et continue son lavage de minou expert.
La poule n'en peut vraiment plus. Elle explose un orgasme terrible, inonde le bureau et hurle son plaisir. Tout pôle emploi est secoué par ses spasmes sonores. Une attaque terroriste? appeler le samu ou la gendarmerie? Une secrétaire se pointe et assiste au lavage de chatte. Toutes viennent voir leur collègue qui se fait laver le minou et jouit à répétition.
-C'est trop bon dit elle. bien mieux que la petite baise avec mon mari le samedi soir.
Toutes les autres secrétaires de pôle emploi veulent essayer mais Bob les refroidit vite.
- heu mesdames, c'est mon job de laveur de chattes. Il faudra prendre rendez vous. Pour l'instant occupez vous bien de mon dossier d'autoentreprise.
La poule à lunettes, toute rouge et transpirante renfile sa petite culotte sur sa chatte toute propre et qui sent bon la jouissance.
-Bon, bon, monsieur . Je m'en occupe de suite.
Bob, pince sans rire est parti en disant:
-la démonstration était gratuite mais la prochaine fois....Ah faudra me dire le taux le tva pour les lavages de chatte. Histoire de faire les choses en règle. Et trouvez la bonne catégorie, soins à la personne, entretien des pelouses, toilettage d'animaux....? Vous me direz.
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Merci à Coronavirus qui a amené le grand calme sur la ville et le feu dans mon membre. Avec le couvre feu justement, je sors le soir me taper mon harem. Je passe par les allées sombres, les cages oubliées d'escaliers. Mes femelles sont bien chaudes. C'est un devoir d'aller les astiquer. Elles peuvent se laver les mains, mais pas la chatte, c'est interdit. Je les aime bien poilues et parfumées à la cyprine naturelle. Le lavage de chatte au savon de Marseille c'est mon job, avant et après. Culottes interdites, cela va de soi. De belles chattes doivent pouvoir bien respirer.
C'est cette conne de Lorette qui a du me le refiler. Aussi qu'elle idée de bosser par ces temps où il fait bon rester chez soi et ne sortir que la nuit quand tous les chats sont gris. Putain de Lorette avec son cul d'enfer. Chaque fois que je vois Lorette, je bande et il faut que je la trousse et que je l'encule. Jamais de préliminaires, c'est pour les tapettes. Cette conne a voulu continuer de bosser. Cadre à la poste , cela aurait pu être une bonne planque. Mais non, Lorette faut qu'elle mouille le maillot et pas que et donc elle a chopé ce virus et en la baisant comme un sauvage, je l'ai chopé aussi. Pas grave, j'ai mon stock de plaquénil et d'azithromicine, suivant le protocole de l'expert marseillais qui l'avait dévoilé avant ....Une de mes meufs, la belle Aïcha des urgences m'avait averti pour que je puisse prendre mes précautions. Et cela a marché très vite. J'ai niqué ce coronavirus en quelques jours. J'avais en fait suivi le protocole d'Aïcha, Le choper, le niquer à la chloroquine, être immunisé.
Aussi, il faut bien remercier cette grosse salope d'Aïcha pour ce beau service, être immunisé. Une bombe sexuelle sur pattes, cette Aïcha, avec ses seins pointés comme des obus, ses lèvres de prédatrice sexuelle, ses longues jambes musclées. Faut être con pour mourir aux urgences entre les mains d'Aïcha. Surtout qu'elle ne dit jamais non et qu'elle ne porte jamais rien sous sa blouse.
Je me suis pointé ce soir, devant sa cage d'escalier. J'ai attendu qu'elle rentre de son boulot. La pauvre, elle est cassée avec tous ses patients en mal d'oxygène. J'ai posé mes grosses mains dessus. Elle a dit:
_ah c'est toi.
Une bonne femelle reconnait toujours son mâle. J'ai pas répondu, je l'ai embrochée d'un coup dans les reins. Aïcha a tellement aimé qu'elle s'est mise à me pisser dessus. Elle s'est vidée. Nous avons jouit très fort tous les deux. Nous avons fumé un pétard et je l'ai laissée avec son cul bien ouvert et bien rempli de sperme. Sa dose de vitamines en injection directe pour l'aider à tenir.
La nuit ne fait que commencer. Je n'aime pas laisser mes femelles hurler comme des chattes en chaleur. C'est un devoir d'aller les calmer.....
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Cool, c'est pour écrire une fake news sur les pyramides de pouvoir, un sujet qui est la base pour moi de l’œuvre du Marquis de Sade. Astérix...et le Coronavirus qui avance masqué. C'est amusant. L'album a plus de deux ans. L'idée de ce Coronavirus qui avance masqué était donc "en l'air", en l'air de rien, mais elle était bien là. Derrière le masque se cache César. Là au moins les choses sont dites clairement.
Alors allons y de ma petite fake news. Cesar c'est environ 2 000 familles qui dirigent ce monde. Une dépopulation massive est programmée. Une guerre? Non, un virus c'est plus efficace.Un vaccin contre un ou des virus, c'est encore plus efficace car c'est masqué. Cette histoire fait penser à un jeu d'illusions. Au départ il faut créer une diversion massive, créer une peur et une attente. Créer aussi une dictadémocratie qui agira pour le "bien" de tous, un peu comme dans "le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley. Après il faut proposer un vaccin "sauveur". Les humains se précipiteront pour se faire "piquer". Les récalcitrants seront "internés" car dangereux pour les autres. Et voilà, plusieurs milliards d'humains en moins. Jusqu'où? Disons 500 000, guère plus. La terre redeviendra vite un paradis. Et les robots seront là pour faire toutes les taches, sans se plaindre et disponibles en permanence.
Hé oui, les pyramides de pouvoir....et si ceux tout en haut voulaient faire disparaitre la base, aérer la pyramide. César avance masqué mais il est peut être un des cavaliers de l'Apocalypse? Allez, cool, c'est une fake news.
Le dessin ci dessus est extrait de l'album: Astérix et la transitalique. Je trouve très intéressant que des auteurs de fictions, peu importe le genre et le style, puissent se projeter dans des histoires. Dans la bd dont il est question, le but est de nous détendre, nous faire rire, nous faire passer un bon moment et c'est réussi. Par contre ce n'est jamais un jeu innocent. Les créateurs de fictions ont des capacités de "voyages".
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Pour mon histoire N° 69, je ne pouvais pas ne pas aborder ce sujet. C'est l'histoire de Célia, une fort jolie fille aux longues jambes bien galbées, au corps souple et soyeux. Célia a connu son premier orgasme, fort violent et à répétition, sur le vélo archaïque de son oncle. Allez savoir pourquoi, la selle de ce vieux biclou rafistolé appuyait bien sur son clito et comme il fallait forcer sur les pédales et serrer les cuisses, Célia avait vite commencé par tremper sa petite culotte avant de devenir toute rouge et de se convulser dans des spasmes de plaisir. La ballade avait duré longtemps. Et depuis Célia empruntait souvent le vieux biclou de son oncle.
Elle s'était mise au vélo, s'était musclée. Elle en faisait en club et en compétition. Elle adorait les collants en llycra, les peaux de chamois sur sa chatte épilée et talquée. Tout était très jouissif pour elle dans le vélo. Et bien sûr elle avait un succès fou. D'abord ses copines de club, qui voulaient toutes lui brouter le minou sous la douche. Elle se laissait faire et y prenait beaucoup de plaisir. Mais elle sentait bien qu'elle n'était pas lesbienne.
Puis elle rencontra Tony, un bien baraqué et bien monté, qui était complètement fou des jolies jambes de Célia. Tony n'avait qu'une envie, s'est de se la sauter. Il était monté comme un taureau de Camargue. Mais Célia refusait toujours. Elle ne supportait pas l'idée d'être pénétrée. Mais pour satisfaire Tony, elle lui faisait un 69, elle dessus, et lui donnait bien à lécher et à boire avec son si joli minou. Elle adorait empoigner Tony et le sucer. Elle adorait le goût de son sperme dans sa bouche. C'était bon parait il avant les compétitions. Aussi Tony se laissait vidanger en continu jusqu'à épuisement.
Mais Tony, n'en pouvait plus. Il voulait pénétrer Célia. Cette dernière lui imposa la cage de chasteté pour le calmer. Dans le 69 elle avait le dessus et dans la vie aussi. Ainsi mis sous contrôle Tony devint vite parfaitement obéissant. Il fut chargé de laver les petites culottes portées de Célia, de lui repasser ses jupes, de bien nettoyer ses vélos et d'accomplir avec dilligence toutes les taches qui plaisaient à sa maitresse de lui imposer; Un vrai bon toutou lécheur . A califourchon sur lui, Célia serrait sa tête entre ses cuisses et se lachait, lachait les grandes eaux parfumées de sa divine cyprine. Tony devait tout absorber, ne rien laisser, ne pas en perdre la moindre goutte.
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Rome avait botté le cul à bien des peuples, étendu son empire partout autour du Mare Nostrum. IL fallait bien qu'un jour elle tombe sur une bête humaine. Il ne savait pas parler. Pour se moquer les légionnaires qui firent sa capture dans les sombres montagne de la Thrace amère lui donnèrent le nom de Caïus, leur général , une brute bien épaisse. Ce dernier jugea bon de le vendre comme esclave dans la meilleure école de gladiateur de Sicile.
Caïus la bête humaine ne trouva pas d'adversaire à sa meusure. Il avait fallu une centurie entière pour le capturer, alors c'est pas un simple gladiateur adverse qui pouvait l'arrêter. Et Caïus aimait le goût du sang. Il tuait par plaisir.
Il fut envoyé à Rome où il fit un tel carnage que plus personne ne voulait l'affronter. Même les lions se débinaient depuis qu'il avait brisé le cou de l'un d'entre eux d'un simple coup de poing.
Par contre toutes ces putes de femelles de Rome faisaient la queue pour se faire ramoner la chatte par cette bête humaine. C'était pas un pieu, pas une pénisule qu'il avait entre lés jambes, mais un bêlier pour briser les portes et murailles des forteresses. Ces putes de romaines jouaient à se faire peur. Elles se la jouaient libérées de la chatte et du cul, mais une fois bien embrochées, elles hurlaient toutes à la mort. Mais impossible d'arrêter la bête humaine et comme il était long à jouir, les cris de ces salopes de notables romaines ressemblaient vite à de longs râles d'agonie, pas à des cris de louves. Certaines y restaient pour de bon, éventrées dans un orgasme plus de douleur que de plaisir.
Caïus était fou. il n'avait que trois neurones...deux peut être...pas plus. Le premier c'était bouffer, le second tuer, le troisième empaler les femelles. Toutes les pires salopes de l'Empire venaient à Rome pour se faire ramoner la chatte. C'était une compétition informelle, juste un concours entre salopes. Laquelle tiendrait le plus longtemps par exemple. Elles s'échangeaient les conseils luibriques. L'une disait:
-Avant qu'il te perfore, pisse lui dessus pour lubrifier.
L'autre disait qu'elle préférait par les fesses, c'était moins dangereux, encore que (queue...), vu les risques d'éventration.
Caïus était devenu une légende, une attraction de foire secrète. Les patriciennes romaines adoraient venir lui caresser le gland ou les burnes. cela portait chance. Et puis s'était si beau un monstre en cage.
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Les agences spatiales du monde entier étudient des voyages dans l'espace de plus en plus longs. Les voyages vers Mars se feront en trois ans, ceux vers les satellites de Jupiter ou Saturne se feront sur une ou deux décennies, avec les technologies actuelles. Bien sûr, avec les progrès, on ira plus vite, mais au mieux ce sera quelques mois. Et donc les spationautes devront baiser ou se faire du bien. Rires. C'est bien beau de faire pousser des germes de blé, des salades, des radis, d'étudier le comportement d'insectes ou de souris. Il existe des programmes secrets spécial X. Secrets parce que les contribuables prendraient cela très mal.
-Oui, voilà, avec nos impôts on envoie des salopes se faire sauter dans l'espace.
-Avec tout le chômage, la pauvreté dans le monde, ils ont rien d'autre à foutre que d'étudier le sexe dans l'espace.
-Chaque tir de fusée pollue énormément. Tout cela pour des branleurs.
etc, etc...Ces recherches sont donc secrètes mais les agences spatiales ne manquent ni de moyens, ni d'idées, ni de bon chercheurs ou chercheuses. Il existe même des clubs ultra fermés de spationautes lesbiennes ou gays. « La NASA aurait même été en rapport avec une scientifique américaine, Elaine Lerner, pour définir et adopter un système de harnais destiné à faciliter les rapports sexuels en gravité zéro. »... Ken Jenks, un ingénieur du Space Biomedical Research Institute, aurait signé un document intitulé Cosmic Love. « Il y décrit comment, en 1996, l’agence américaine aurait conduit une série d’expériences destinées à déterminer les meilleures positions à adopter pour un rapport sexuel dans le vide ». Rires. La Nasa ne reconnait pas tout cela.
Alors c'est comment l'amour dans l'espace? Surement génial, sans la moindre apesanteur. Dimitri 120 kg peut se sauter Amanda 47 kg toute mouillée dans la position qu'il ou qu'elle veut, sans la moindre contrainte. Il ne risque plus de l'écraser sous sa graisse. En plus les va et vient sont plus ludiques. Les lesbiennes peuvent vraiment s'éclater en se broutant le gazon ou en s’emmanchent avec des gods. Les gays ou les hétéros doivent aussi bien prendre leur pieds, au propre comme au figuré. Il existe des précédents: la mission STS-47, en septembre 1992 avec Mark Lee et Jan Davis qui étaient jeunes mariés. Ou encore « en 1991, à bord de la station Mir, entre la jeune cosmonaute britannique, Helen Sharman, et l’un des deux cosmonautes russes qui l’accompagnaient ».
Et les pratiques bdsm? Je pense que les agences spatiales dans leurs programmes X secrets ont du tout essayer. Pas facile de fouetter dans un module. Il faut un fouet spécial, adapté à apesanteur. Attacher ne pose pas de problèmes, des velcros suffisent. La cage de chasteté est amusante dans l'espace.
Les scénarios de domination soumission doivent avoir soigneusement été étudiés. Surtout avec les grades. Qui commande qui à bord? En plus, comme les équipages sont parfois internationaux, la langue du cul à un avantage, elle est connue de tous. On sait vite dans des espaces aussi confinés qui est qui et quelle est sa sexualité.
Des vidéos pornos ont probablement été tournées là haut, mais tout doit rester confidentiel. C'est domage, j'aurais aimé voir la belle Valentina passer un collier de chien à,George, le fouetter et le prendre au god ceinture en lui disant de faire ouaf, ouaf. Je pense que la belle jeune anglaise a du bien s'éclater dans Mir. Il existe toutefois un problème pour les hommes. La bandaison ne vient pas comme cela, cela demande une adaptation. Les flux sanguins ne sont pas les mêmes.
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Il est des femmes dont le seul nom incite au respect. Point donc d'image de cul pour parler de l'illustre Théano, l'épouse de Pythagore (étymologiquement, Pyth-agoras : « celui qui a été annoncé par la Pythie »), le grand initié. Cette femme d'exception avait réussi à faire interdire à Crotone les violences faites aux femmes. Elle avait des millénaires d'avance.
Ce qui peut être le plus beau chez une femme, ce ne sont pas ses jambes, son cul, ses seins, sa bouche, ses lèvres (toutes), ses chevilles, sa chatte, et j'en passe...non, ce qui peut être le plus beau c'est son intelligence; Cela force toujours au respect. C'est si vrai que lorsque la secte de Pythagore sera détruite et passée par le feu, Théano sera épargnée. Même les foules en furie sont intimidées par une femme dont on peut voir, elle porte cela sur elle, qu'elle est d'une intelligence exceptionnelle. On imagine pas lapider ou guillotiner une Marie Curie par exemple. Par contre un Lavoisier, un Pythagore, une Marie Antoinette.....
Ceci dit, l'histoire de Théano est mal connue, parfois contradictoire et donc, je préfère me laisser guider par mes doigts qui courent sur le clavier. J'ignore ce que je vais écrire. Cela me permet de "voir". Et j'admire la beauté de cette secte crée par l'illustre Pythagore, à Cortone (Crotone), dérivée de l'orphisme, végétarienne, tournée vers la mystique pure, les sciences, les nombres, la philosophie, l'étude et dont le seul tord a été de faire de la politique.
Théano aime son époux. On voudra faire d'elle la femme fidèle et modèle de soumission. D'autres en feront une des premières féministes; c'est plutôt cette version qui me semble la bonne, car l'intelligence est une forme de supériorité et donc de liberté, d'affranchissement.
Dans ce couple entre un gourou et sa disciple, qui est vraiment celui qui domine l'autre? Les contradictions sont fréquentes. Pythagore voit une mystique dans les nombres, tandis que Théano ne voit que des outils mathématiques, elle semble très moderne, presque galoisienne ou abélienne. Sur bien des questions le couple se confronte et s'oppose. En politique par exemple, Théano est femme et mère, elle est dans la réalité de la vie et de ses compromis nécessaires, pas dans l'illusion des idées sectaires oligarchiques, pas dans les théories exclusives au profit de l'élite. Pythagore, si l'on replace cela dans le contexte actuel, considère la démocratie comme une erreur. La foule ne peut se gouverner. Ces idées seront reprises par Platon dans "La République".
Dans ce couple, personne ne parvient à soumettre l'autre. La relation est faite d'échange, d'amour, de respect mais pas de fusion par l'entente complète comme Auguste et Livie, par exemple. Théano va survivre à la secte des pythagoriciens. Elle sera respectée, et aimée dans cette cité de Crotone qui vient pourtant de bruler son époux. Pourquoi? Parce que Théano domine sa propre cité par sa noble origine et par son intelligence qu'elle rayonne comme un phare au dessus du golfe de Tarente. Elle ne prône pas comme son époux un gouvernement par un petit nombre de la cité. Non, là encore, elle semble très moderne, comme Descartes et sa raison partagée par le plus grand nombre. On dirait de nos jours. c'est une femme d'influence.
On prête à Théano bien des propos, comme ceux ci:
"Combien de jours après avoir fait l'amour à un homme, une femme redevient-elle pure ?"
La réponse prêtée à Théano fut: -"S'il s'agit du sien, tout de suite, sinon jamais!"
Je crois que sa réponse véritable, pour une passionnée des sciences et des nombres, c'est: "on s'en fout complètement".
Oui, souvenez vous de cela, vous les soumis qui aimez que le fouet vous cingle les fesses. Il est d'autres lanières, celles de l'esprit, qui peuvent vous faire bien plus mal. Elles ne vous botteront pas le cul, mais vous ferons bien sentir votre condition de soumis et vous forceront au respect.
C'est une réelle dominatrice. Elle semble avoir interdit à Crotone le fait qu'un homme puisse frapper une femme quelque soit son statut et surtout pas une épouse. C'était il y a plus de 2500 ans ....
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Gylippe a un point commun avec Jeanne (d'Arc), il sait pratiquer la guerre psychologique. Ce général spartiate arrive en Sicile avec son seul manteau et son bâton. Plutarque se moquera en disant que les syracusains assiégés se lamentèrent, croyant que Sparte les avait abandonnés et se moquait d'eux, faute de renforts conséquents. Gylippe leur répliqua qu'ils n'avaient pas besoin de plus qu'un général pour les commander vraiment et les conduire à la victoire. Et comme Jeanne qui écrivait aux anglais pour leur dire de foutre le camp de France, Gylippos envoya un héraut dans le camp des athéniens, avec un message simple et clair: "je vous laisse cinq jours pour évacuer la Sicile, sans quoi vous allez être anéantis".
Les Athéniens éclatèrent de rire:
-c'est pas une gonzesse de Sparte qui va nous dire ce que nous devons faire. Nous avons plus d'une centaine de spartiates qui croupissent dans nos prisons (défaite de Sphactérie).
Ils auraient du écouter Gylippos. La première bataille pour le contrôle des Epipoles, le plateau au dessus de Syracuse fût un échec. Ses troupes n'étaient pas assez disciplinées. Alors Gylippos sortit son bâton et il botta bien des culs, y compris d'officiers Syracusains incapables.
-Vous allez avoir plus peur de mon bâton que des glaives athéniens.
C'est vrai que c'était particulièrement humiliant de se faire rougir le cul devant la troupe et lorsque Gylippos cognait, il ne faisait pas semblant. Les hurlements du supplicié glaçaient les soldats alignés qui étaient dans l'obligation d'assister. Et Gylippe hurlait:
-On ne se dérobe pas devant l'ennemi, on reste bouclier contre bouclier, on garde sa ligne. Et chaque fois que vous pouvez frapper, vous frappez, vous tuez!
La bataille suivante sur les Epipoles fut une victoire éclatante. Plus aucun Syracusain ne voulait subir l'humiliation de se faire bastonner cul nul devant la troupe.
Je ne vais pas raconter ici, toute cette bataille de Syracuse, mais les athéniens au final furent bel et bien exterminés.
Sparte n'aime pas les généraux trop glorieux. Gylippe fut accusé d'un vol et du s'enfuir après le siège d'Athènes. Il retourna s'installer en Sicile où il s'était fait beaucoup d'amis et vécu heureux et caché. Ses meilleurs amis étaient ceux qu'il avait bastonnés lors de la première bataille des Epipoles, ceux qui avaient pu ou su surmonter l'humiliation publique. Gylippe leur expliqua que la bastonnade était chose courante à Sparte, histoire de ne plus avoir peur de rien et d'avoir de jolies fesses, bien musclées. Gylippe leur expliqua les techniques d'ondes de chocs. En frappant d'une certaine façon, on crée une onde qui se propage dans tout l'organisme. C'est très vite insupportable pour la personne qui subit cela.
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On nait soumis ou dom, on ne le devient pas, c'est ainsi. C'est du moins ce que je crois et l'histoire de Marc Antoine montre bien cela. Il était fait pour obéir et servir comme tous les soumis. Cela il savait bien le faire et s'illustrer auprès d'un grand dom comme César. Mais livré à lui même, il a accumulé les désastres jusqu'à devoir se suicider. Un soumis peut être brave et courageux, comme un bon chien de garde, mais il n'est pas le maître.
On peut voir ce coté soumis de Marc Antoine au choix de ses épouses. Elles sont quelconques au début. Avec Octavie, la soeur d'Auguste, c'est autre chose. Octavie est une dom mais Marc Antoine la délaisse pour tomber sous le joug d'une autre dominatrice, Cléopâtre VII, qui va savoir le mener par le bout du nez et plus.
Plutarque donne une image similaire : « Doué d'un tel caractère, Antoine met le comble à ses maux par l'amour qu'il conçoit pour Cléopâtre, amour qui éveille et déchaîne en lui beaucoup de passions encore cachées et sommeillantes, et qui éteint et étouffe ce qui peut, malgré tout, persister chez lui d'honnête et de salutaire ».
A l'inverse de la relation bdsm saine entre Auguste et Livie, celle entre Antoine et Cléopâtre est un désastre qui les conduira tous les deux au suicide. Le portrait qu'en dresse par exemple Dion Cassius est sans appel : « Cléopâtre, quant à elle, insatiable de jouissance, insatiable de richesses, montre souvent une louable ambition et souvent aussi un arrogant dédain ; elle acquiert le royaume d'Égypte par l'amour et, après avoir espéré s'emparer par ce moyen de l'Empire romain, elle n'obtient pas celui-ci et perd celui-là. Elle domine les deux Romains les plus grands de son époque et se tue à cause du troisième».
Je dirais de Cléopâtre qu'elle avait la couleur d'une grande dominatrice sans en avoir la consistance. Comme Reine d'Egypte, elle en avait bien le port et la prestance mais en réalité, elle n'était que la soumise de ce roublard de César qui en avait fait sa maitresse. "Cléopâtre - brillante, vive, parlant couramment neuf langues, mathématicienne et femme d'affaires avisée - éprouve un véritable respect et une authentique admiration pour Jules César...tout est là....derrière le vernis de l'illusion c'est en réalité une fausse dom et bel et bien une soumise.
La morale de cette histoire c'est que les soumis doivent rester à leur place. Les laisser vagabonder et se prendre pour des doms c'est les laisser aller au désastre. Mais comme un chat joue à la souris, Auguste savait cela et il a prit son temps pour assouvir sa victoire, et en dom implacable, il a su fermer toutes les portes aux soumis entre ses griffes.
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Jules César en avait fait par testament son fils adoptif. Il faut rendre à César ce qui est à césar et d'abord son incroyable génie militaire et politique. Et César avait vu juste. Caius Octavius Thurinus (Auguste) s'est révélé être lui aussi un génie politique et militaire tel que les mois de Juillet et Août sont là pour nous rappeler cette histoire.
Auguste est pourtant de santé fragile, mais à l'intérieur c'est un roc inébranlable. Intelligence, ruse, grande habilité, ...tout cela au service de sa propre ambition et pour la grandeur de Rome. En privé c'est un Dom qui a trouvé après plusieurs mariages sa soumise, celle avec qui il se détend et pratique. Livie est belle et se prête à tous ses jeux. Elle est son équilibre. Bien sur , elle vient d'une grand famille, mais entre eux c'est le coup de foudre. Ils divorcent tous les deux pour se marier. Une passion qui n'attend pas. Ils n'auront pas d'enfants de cette union.
Ils sont fous amoureux,complices en tout. Auguste ne prend plus de décisions sans la consulter. Livie par devant montre l'image de la femme romaine vertueuse et chaste. Mais dans les secrets des amours conjugales ils s'éclatent et jouent. Auguste aime lui donner la fessée et il se sert souvent des fines canes romaines qui cinglent bien et font très mal. Livie adore cela.
Ce qui est plaisant dans cette histoire c'est l'intelligence d'une relation bdsm saine.Bien que soumise en tout et pour tout, Livie ne renonce pas à son intelligence pour servir Auguste, le conseiller. ils s'écrivent, se parlent, se comprennent et c’est cela un véritable couple. Ensemble ils peuvent traverser toutes les tempêtes politiques. ils sont forts. Leur amour les rend forts.
Après, comme toujours, cela fait jaser. Bien que soumise à son dom, Livie est une femme de pouvoir, et les mauvaises langues vont bon train, surtout dans la Rome antique.
J'aime cette histoire car un dom implacable comme Auguste et une soumise très intelligente comme Livie peuvent faire de grandes choses ensemble et d'abord beaucoup s'aimer.
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Méfiez vous, méfiez vous des trop charismatiques, des trop hypnotiques, ils conduisent parfois à des impasses. L'écriture, c'est comme la bandaison, cela ne se commande pas. Et j'écris comme cela me vient. Je n’exclus aucun sujet, surtout pas s'ils sont tabous. Mais comment parler de ce mec, le Che, ce monument, cet homme dont le poster était dans bien des chambres d'ados. pour moi, c'est une dangereuse illusion.
Ernesto faisait des études de médecine, jouait au rugby malgré sa fragilité et voulait épouser une fille bien comme il faut de la haute société argentine. Mais il ne fut pas accepté dans ce monde de luxe et d'argent. Cet échec le marque profondément et comme pour l'oublier, c'est la fuite en avant dans les voyages, les guérillas, les aventures.
Il ne faut pas se fier à ses yeux de rêveur. Ernesto sait commander et se faire obéir. Sartre dira que "ce mec" était l'homme le plus complet de la création". Rien moins...mais Sartre s'est tellement trompé. L'homme nouveau fait plutôt penser à Nietzsche et à Ainsi parlait Zarathoustra. C'est une illusion criminelle.
il se marie deux fois, il semble bon père et pourtant il est toujours en fuite, toujours en guérilla quelque part....comme s'il fuyait quelque chose. Quoi? Une homosexualité refoulée? D'où ce besoin de se montrer avec arme, barbe et cigare. De se montrer avec jolie femme et enfants alors qu'il n'est jamais à la maison. Un médecin qui n'a pas su se soigner lui même et qui en est mort. Les révolutions sont un peu comme des mythes. les choses changent puis tout redevient comme avant;
Pourquoi je parle de ce mec sur bdsm? C'est pour attirer l'attention sur les faux doms, c'est à dire sur ceux qui sont esclaves de pulsions qu'ils ne comprennent pas et donc qu'ils ne maitrisent pas. Il faut aussi se méfier des fuites en avant. Un dom qui en voudra toujours plus est un danger pour lui même et les autres. La domination ne doit pas être une fuite, mais une pratique saine.
Oui, méfiez vous des idolâtries et des illusions. Le Che pour moi en est une. Comme pour fidel, et comme le décrit très bien le Marquis de sade, il ne faut pas confondre les pratiques sexuelles et les pyramides de pouvoir. Pour moi le Che, c'est un double échec. Il n'assume pas sa véritable sexualité, et il fuit le combat mortel à l'intérieur des pyramides de pouvoir. il a un coté Rimbaud en lui, ce qui le rend attachant, mais c'est un psychopathe de la guérilla. Comment le classer, dom ou soumis? je dirais soumis....et d'abord soumis à tout ce qu'il refoulait en lui même;
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Un dom qui en avait une grosse et qui savait bien s'en servir. Ce n'est pas tout d'en avoir une bien grosse, encore faut il savoir chasser les femelles, les choper et les emmancher. Cela Fidel a toujours su faire. C'est le matador. Mais c'est un matador attachant qui aime vraiment les femmes, et qui aime aussi les engrosser à l'occasion.
Un dom impitoyable qui aimait Robespierre, un avocat comme lui, et sa terreur. Cela aussi, il a toujours su faire, commander et se faire obéir.
Un dom fidèle juste le temps que dure l'amour...c'est à dire, pas toujours très longtemps. Mais bon nombre de ses femmes lui restent fidèles et très attachées...rires. C'est en cela que l'on voit un dom qui sait y faire avec ses femelles.
Ce qui me fait rire chez Fidel, c'est qu'il n'a pas besoin de baguettes, de fouets ou autres pour dominer. Sa grosse bite lui suffit. Ses larges mains en battoirs peuvent compléter. Et puis après, un bon cigare. Histoire de se détendre comme un homme. La compagnie des femelles est parfois bien casse couilles. Rires.
Comme dictateur par contre, il est nul. C'est dommage qu'il ait loupé sa révolution et qu'il se soit bien rempli les poches sur le dos de son pays. Il existait dans l'antiquité un sens grec au mot dictateur qui était positif pour la cité. Mais rares ont été les doms qui ont su faire cela, diriger d'une main de fer dans l’intérêt d'un pays à un moment donné de son histoire.
Le coté dom, prédateur sexuel au charisme certain de Fidel me faisait rire. Ce qu'il a fait de son pays pas du tout. Au final, je dirais qu'il n'a pas su faire l'amour à Cuba. Cette histoire montre que le bdsm n'est pas forcément des pratiques saines. Il existe aussi de dangereux psychopathes chez les doms et d'autant plus dangereux qu'ils exercent des pouvoirs sur des masses. Le Marquis de sade l'avait bien compris et c'est ce qui lui a valu autant d'années de prison. Le coté sexuel de ces choses a peu d'importance par rapport aux pyramides de pouvoir. Et pour monter dans ces pyramides, il faut le faire en marchant sur la tête des autres. Certains n'hésitent pas à aller jusqu'aux éliminations physiques. Le Marquis de Sade a bien posé le problème dans sa description des perversions.
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Quels yeux! Quel sourire flamboyant! J'ai toujours aimé comme tant d'autres, Iouri Gagarin, le héros!
Des yeux de rebelle. Il ne voulu pas être charpentier comme son père mais viser le plus haut possible et donc aller vers les étoiles. Il voulait être gymnaste; il sera aviateur. Il impressionne par son talent et rencontre la belle Valentina, une infirmière. Il l'épouse et l'aime beaucoup. Gagarin rejoint le programme spatial. sa petite taille qui l'empechait d'être un gymnaste d'exception est un avantage cette fois.
Le 12 avril 1961, il ne se rase pas...Cela porte malheur. Cela fait partie de son humour. Et il réussit l'exploit, il est le premier homme à aller dans l'espace! Titov le suivra peu après.
C'est la gloire planétaire...l'alcool...les filles.Et iouri avec son beau sourire adore les jolies filles. Valentina est jalouse. Mais comment iouri pourrait il résister à la tentation? il se blesse même à la tête en voulant sauter d'un étage pour échapper à la furie de sa femme alors qu'il découchait.
Pas facile d'être un héros, surtout avec toutes ces jolies femmes qui tournent autour de lui comme des abeilles à la recherche du divin nectar. Pas facile d'être un héros lorsque son propre pays lui interdit presque de "voler". Il lui reste, les excès de vitesse en voiture, l'alcool, et toujours les femmes. Et Valentina .
Les agences spatiales ont constaté que les hommes ou les femmes mariées ou en couples étaient plus "fiables" pour des missions dans l'espace. Plus calmes, plus modérés que des personnes célibataires. Visiblement quelque chose n'allait pas entre Iouri et Valentina, sans quoi le beau héros n'aurait pas eu besoin de courir les jupons.
C'est en cela que l'on voit la supériorité des relations bdsm. Si valentina s'était comportée en domina et pas en jalouse, elle aurait probablement gardé à ses pieds l'homme qu'elle aimait. Mais une femme jalouse aime t'elle vraiment? La jalousie est peut être la pire façon de vouloir garder une compagne ou un compagnon de vie. Le fouet me semble plus efficace. Rires.
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Dès que Marie Madeleine a vu Jésus, elle est tombée amoureuse et elle a eut envie de pleurer sur elle même. Elle a su dès cet instant qu'il était son Maître, son époux, son Dieu fait chair. Il n'est plus possible de parler d'amour pour décrire cela. Ce mot est trop utilisé, trop simple. Là, il s'agit d'autre chose. Le besoin d'union est total. Marie madeleine veut que Jésus soit en elle, mais en disant cela, on ne peut imaginer le sexe de son Maître dans son vagin. Non, c'est d’extase mystique qu'il s'agit.
Les thèses qui ont prétendu qu'elle aurait été l'épouse terrestre et physique de son Rabbi n'ont aucun sens pour moi. Le fait que certains auteurs ont même été jusqu'à lui inventer une descendance, fruit de cette union, me semblent sans aucun rapport avec la réalité. Non, l'amour transcendé, totalement sublimé existe bel et bien et c'est la forme la plus pure et il se suffit à lui même. Le consommer en chair c'est le détruire.
Jésus sait qu'il va être crucifié. Il n'a aucun besoin de descendance physique. Il veut ressusciter et donc vaincre la mort. Marie Madeleine, comme Jean ou Marie, assiste à tout cela. Jésus refuse qu'elle le touche après la résurrection. C'est lui le Maître, celui qui est en charge de sa soumise. il sait ce qui est bon pour elle.
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Pourquoi faudrait il toujours du sexe dans des relations Maitre esclave? Jésus aimait Jean et il l'aime toujours. Jean n'est peut être pas ce que l'on croit. Si Jésus était totalement platonique dans ses amours, totalement mystique, je n'ai aucun doute là dessus, je "sens" que Jean aimait les jolies femmes et que ces dernières le lui rendaient bien.
Jean était l'esclave de Jésus. Une sexualité totalement transfigurée avec son Maître. Une sexualité faite de présence seulement, une sexualité en esprit. C'est la forme la plus belle. Il n'est plus besoin ni de mots ni de caresses. C'est une sexualité par sublimation totale du désir, une sexualité qui oblige à donner le meilleur de soi même. Par un paradoxe c'est une sexualité sans efforts, une sexualité qui donne sans compter, une sexualité qui oublie qu'elle est une sexualité.
Jean aime Jésus d'un amour sans limites. Il est le seul qui ne se dérobera pas, le seul des apôtres qui assistera à la crucifixion. Les autres eurent peur, ils se cachèrent ou pire se renièrent. Mais Jean ne fit rien de tout cela car il aimait. Et l'amour pur ne craint jamais la mort. L'amour pur est la vie.
Jésus aime Jean pour cela. Le toucher, avoir une relation sexuelle physique, ce serait comme altérer cet amour. Ils n'eurent jamais besoin de s'aimer en chair. L'amour en esprit se suffisait à lui même.
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Lana est assurément la pire salope à l'ouest de Vladivostok, et peut être même de la galaxie. Non, non, je n'exagère en rien. Laissez donc moi vous conter un peu son histoire et vous pourrez vous faire une idée.
L'empire bâti par le "camarade" Stalin et son arme secrète, la terrifiante Maria, venait de s'effondrer. Les héritiers n'étaient que de piteux fonctionnaires inaptes. Kroutchev et Gorbi, des incapables, Brejnev, une coquille vide, Eltsine une barrique de vodka, non, personne n'avait été à la hauteur. Le KGB devenu FSB avait du reprendre les choses en main et placer son meilleur élément, Vladimir, à la tête de ce qui restait de l'Empire, bien moins que ce que possédaient les Tsars. Mais Vladimir est un teigneux rusé et patient, il avance à coups sûrs.
Vladimir ne pouvait ignorer l'histoire de Maria, nom de code Katiousha. Mais voilà, impossible de retrouver un élément aussi exeptionnel, plus efficace que bien des bombes atomiques. Vous croyez là encore que j'exagère? Mais regardez bien ce qu'avait réussi à faire le "camarade" Stalin, le véritable vainqueur de World War II, la façon dont il avait écrasé toutes les armées allemandes sur le front de l'Est. Comment? Grâce à Maria et son incroyable don de mind control à distance. Dès 1941, Adolph était passé sous les ordres et il ne prenait plus que des décisions imbéciles, toutes en faveur de l'armée rouge. L'offensive de décembre 1941, contre Moscou, l'immobilisation de ses troupes à Leningrad, le piège mortel de Stalingrad, la suicidaire opération citadelle et la défaite de Koursk. Même Von Paulus était tellement passé sous mind contrôl qu'il n'hésita pas à trahir et à sacrifier la VIe armée.
Stalin offrit même le crâne d'Adoph récupéré dans Berlin en ruine à Maria. Il trônait sur son bureau dans sa datcha, pendant que Stalin se moquait et faisait croire qu'Adolph s'était enfui, histoire de faire tourner l'occident en bourrique.
Mais Maria et Stalin étaient morts à leur tour, emportant bien des secrets et quelques décennies plus tard, l'héritage avait été dilapidé. Vladimir voulu se retrouver une autre Maria, mais il ne trouva pas un tel phénomène, non, il découvrit une autre surdouée dans les pouvoirs étranges, la sublime Lana, la pire salope à l'ouest de Vladivostok.
Lana, le mind contrôl, elle sait faire, mais pas que...Elle n'a jamais eu la prétention d'égaler Maria. Mais elle a placé une grande photo de cette dernière dans son bureau, devant elle, pour s'en inspirer. Le truc de lana, c'est les photos. Elle arrive à "rentrer " dedans. C'est fou tout ce qu'elle peut lire dans une simple photo. Un autre truc de Lana, ce sont les voyages en ondes psy. Elle peut aller presque partout. Les blindages, brouillages, cages de Faraday ont du mal à la stopper. C'est une intrusive particulièrement coriace.
Avec Vladimir, elle rigole bien. Comme Maria, dont elle a hérité et du poste et de la datcha, elle est hors cadre et invisible. Personne ne la connait à part Vladimir et quelques experts du FSB. Toutefois si Maria était complètement asexuée, Lana elle est une hypersexuée et le mot est faible. Elle a besoin de sexe pour que ses dons deviennent excellents. C'est une assoiffée de belles bites, de chattes bien poilues et de jolis petits culs. Plus elle s'envoie en l'air et meilleure elle est dans son boulot si spécial. Ses esclaves sexuels, ne savent pas avec qui ils font l'amour, mais ils savent qu'ils n'ont pas d'autre choix que de satisfaire cette "dingue" et de se plier à tous ses fantasmes. Cela amuse beaucoup Vladimir, qui ne participe jamais. Ce que préfère Lana, c'est les pilotes de chasse, les tankistes, les bien membrés des forces spéciales. Elle a assez de choix avec les militaires, hommes ou femmes et tous tenus au devoir de réserve. Et bien satisfaire la sublime Lana est....un ordre spécial du FSB. Il est préférable de bien obéir à ces ordres là, surtout avec cette salope de Lana qui donne des notes. Une bonne note peut vous faire monter en grade où vous octroyer une belle permission sur les rives ensoleillées de la Mer Noire; une mauvaise et c'est la Sibérie et ses moustiques.
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C'est le "camarade" paranoïaque Joseph Vissarionovich Stalin qui eut l'idée. Seul un démon pouvait avoir pareille idée mais pour le camarade Stalin le mot démon était faible. Peu d'êtres portant le titre d'humain peuvent se féliciter d'avoir assassiné plus d'un million de personnes et ce depuis que le monde existe. Le camarade Stalin est lui proche du record absolu en ce domaine. Comme tous les paranoïaques au pouvoir, il a toujours voulu tout savoir, tout contrôler, tout diriger. C'est pour cela qu'il lança, dès sa nomination au poste de secrétaire général du parti, c'est à dire dès qu'il eut les pleins pouvoirs, l'opération ultra secrète du nom de code "Katiousha".
En bon démon, le camarade Stalin savait que son cerveau ne fonctionnait pas comme celui des autres, les moutons, les brebis. Non, lui, il "sentait" les autres et reniflait les complots. Un démon terrifiant et presque invincible car dans le doute, il tuait toujours d'abord et réfléchissait après. Le camarade Stalin sentait bien qu'il devait exister d'autres démons comme lui sur le sol de la sainte Russie, des démons aux pouvoirs étranges, qu'il était préférable de connaitre, d'utiliser ou d'éliminer. Il organisa donc en douce une détection systématique. Mais comment expliquer cela à de stupides moutons fonctionnaires à colliers? Il créa donc lui même des tests qui semblaient anodins et demanda une prospection générale dans toutes les écoles de l'Empire. Les professeurs ne comprirent rien aux tests et pensèrent qu'il s'agissait d'une lubie administrative de plus. Mais Stalin en recordman du crime savait très bien ce qu'il faisait. Seules deux ou trois personnes pourraient répondre à ce qu'il recherchait d'après ses propres calculs de probabilité. Ils ne cherchait pas de simples démons, ceux là pullulaient, il en existait même bien plus que des humains. NOn, il cherchait un ou une super démon, une exception. Et en suivant son intuition, une seule personne fut capable de réunir toutes les conditions des tests. Ce fut Maria, une orpheline qui vivait dans un petit hameau perdu de la sombre taïga et profonde Sibérie.
Il la fit convoquer aussitôt au Kremlin. Maria parlait peu mais elle n'en avait pas besoin. Les autres comprenaient toujours très vite ce qu'elle désirait qu'ils comprennent et obéissaient....personne pour lui résister. Et Stalin n'eut besoin que d'un regard. Il sentit un flot d'ondes psy essayer d'envahir son cerveau. Il tira sur sa pipe et se mit à sourire à Maria.
-Enfin, je t'ai trouvée, lui dit il et il la serra contre son cœur. Et je ne te laisse pas 5 mn. Où tu m'obéis en tout et pour tout où ta vie s'arrête ici. Il n'avait pas besoin de revolver. Ses mains puissantes pouvaient briser le cou de Maria en un instant. Le geste était non équivoque.
Maria éclata de rire. Elle n'eut pas besoin d'ouvrir la bouche. Elle se rependit dans le cerveau de Stalin en ondes amicales.
Elle n'eut pas besoin de bureau, ni de secrétaires, ni de gardes. Elle reçu juste un traitement de membre de la plus haute nomenklatura et une datcha en dotation juste à coté de celle de Stalin.
Ce dernier venait souvent la voir et boire le thé, fumer sa pipe et se détendre avec Maria. Oh jamais de sexe entre eux, d'ailleurs Maria était complètement asexuelle, non, juste des rencontres de travail au calme. Et quel travail.....
J'espère que vous aurez compris ce dont je voulais parler dans cet article....
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Lilly est une schizoïde depuis qu'elle est ado, c'est du moins à ce moment là que c'est devenu visible pour tous, sauf pour elle. A une autre épooque elle aurait pu finir sur un bûcher, brûlée comme une sorcière. Là elle a eu droit a un psychiatre et un traitement. Mais lilly déteste les médocs. Elle n'a gardé que le suivi régulier avec son psychiatre. Les médocs eux finissent toujours à la poubelle.
Lilly a compris qu'elle devait dissimuler. Ne plus rien dire. Voix, apparitions, poltergeists, elle en parlait seulement à son psychiatre qui l'aidait beaucoup à vivre et accepter cette différence. ET puis elle aimait ses apparitions. Il y avait de tout. Des justes décédés, des âmes errantes, des djinns, et puis il y avait Anthony, ce beau crétin quii voulait la sauter tous les matins.
ILs adoraient se retrouver sur cette plage au sable si chaud, pleine de soleil et de calme. Anthony bandait comme un âne chaque fois qu'elle prenait plaisir à lui apparaître. Ce crétin rêvait de se la violer mais hop hop, chaque fois elle lui échappait. Elle sentait juste son gros gland congestionné contre sa rondelle ou à l'entrée de sa chatte et hop hop, Anthony restait la bite en l'air....Cela faisait beaucoup rire Lilly.
Surtout qu'elle avait appris à,disparaître et donc à voir, sans être vue. Elle adorait regarder Anthony se branler en pensant se taper son joli cul. Elle lui massait la nuque et le regardait exploser.
Quel crétin cet Anthony. Il avait des dons, mais pas assez, pas comme Lilly. Sans quoi ils auraient vraiment pu faire l'amour en apparitions l'un pour l'autre. C'est l'amour Divin il parait.
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Anthony est une usine à dopamine à lui tout seul. Son cerveau en fabrique trop, il baigne dedans depuis sa naissance. Il est toujours heureux. On pourrait dire Anthony le bien heureux. Sauf que...
Anthony est confronté à tous les phénomènes étranges qui vont avec. L'un d'eux est une apparition qui vient le voir tous les matins après son café bien sucré. Il est bien, détendu et comme au nirvana, comme toujours, avec son fin sourire au coin des lèvres. Un sourire qui ne le quitte jamais. On ne sait pas s'il se moque, s'il est ironique ou heureux. Il aime se vautrer dans son canapé et déguster du café à fines gorgées. Et là zou maï son apparition du matin.
Cela commence par des lumières grises et jaunes, une sensation de chaleur dans le ventre. Tout devient cotonneux. Tout s'estompe. IL flotte, ne sens plus ni ses bras ni ses jambes. Cela tourne un peu, tangue et il est sur une belle plage au sable doré. Un beau soleil bien chaud et jaune sur une mer turquoise. Des palmiers et là devant lui, lilly, toute nue, si belle. Anthony se croit sur un tableau de Gaugin. Lilly a des formes généreuses de vraie femme, pas de celles qui font pitié avec la peau et les os. Non, lilly est toute en volupté et Anthony bande dur chaque fois que lilly apparait. Il n'a qu'une envie c'est de se la troncher tranquille sur cette plage. Lui mettre sa grosse bite tendue dans tous les trous, y compris le nez et les oreilles. Il aime tout en lilly, surtout ses belles grosses fesses.
Oui, mais comment se sauter une apparition? Lilly le sait et se moque. Elle joue la taquine.
-Je te fais bien bander mais tu mettras pas ton pieu dans mon cul !
Et tous les matins Anthony essaie de se la faire. Il arrive parfois à la coincer sous un palmier. IL sent ses grosses fesses chaudes, sa chatte qui dégouline. Il est prêt et pouf...Lilly se dérobe, se moque et apparait plus loin.
Chaque fois c'est pareil Anthony se finit à la main. heureusement que son apparition ne peut pas lui poser une cage de chasteté. C'est son sport du matin, une bonne branlette et courir après la belle lilly sur une plage perdue on ne sait où. Et toujours cette dopamine qui coule à flots dans son cerveau.
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Achille est un tueur. Il ne sait même plus combien de vaillants guerriers il a expédié dans l'Hadès. Peu importe, il tue et tue encore. Sa lance et son glaive sont insatiables. Et il aime, le butin, villes, esclaves, richesses, femmes. Il ne sait en apparence faire que cela, tuer et piller, un boulot de Seigneur de guerre. Il n'a pas d'adversaire à sa mesure. Il tue le roi Mynès et ses trois fils. S'empare de Lymessos, une petite ville prospère, alliée de Troie et fait main basse sur un précieux butin. Ses hommes, les fameux mymidons , capturent la femme du roi Mynès qu'Achille vient de transpercer de sa lance et l'offrent à leur seigneur et maitre. Et là, allez savoir pourquoi, c'est le coup de foudre instantané entre l'illustre guerrier et la sublime Briséis, la reine de lymessos, prêtresse d’Apollon, aux belles joues ( c'est ainsi que la décrit Homère).
Achille est bi. Il préfère se taper les culs des mecs, surtout des guerriers, c'est plus jouissif car plus serré et musclé qu'une chatte. Pourtant il se tape aussi ses femmes esclaves, ses captives. Mais c'est plus un devoir, comme pour les honorer si elles sont de sang noble. Il se tapera même la reine des amazones avant de la tuer et d'en tomber amoureux. Cela ne coute rien de tomber amoureux d'une femme qui se meurt par sa main. Mais là, avec l'épouse du roi Mynes, c'est autre chose. Ce n'est pas de l'amour, c'est du désir sexuel à l'état brut, une sorte de folie, de transe, d'extase. Et chez un tueur comme Achille, le désir après de rudes combats c'est une totale inversion de l'instinct de mort. C'est la pulsion de vie, éros à l'état pur.
Dès qu'Achille voit Briseis. Il bande comme un âne d'Achaie. Il bande si fort que cela se voit de tous, un bon 30 cm droit devant, pointé comme le canon géant de Navarone. Et chose étrange, chose magique. Briseis éprouve la même chose, la même pulsion folle. C'est bestial. Elle n'a qu'une envie c'est de se faire défoncer sur place par cette bite énorme et gorgée de désir pour elle.
Ces choses là ne s'expliquent pas. C'est magie. Un simple regard et c'est une pulsion irrésistible de sexe partagé. Une pulsion terrible terrible, qui se fout de tout, de toutes les règles et conventions, de tous les protocoles. Une envie de baiser si furieuse que les amants sont prêts à se jeter dessus pour assouvir ce besoin sans se soucier des autres. Ils sont seuls, avec leurs sexes congestionnés par le besoin de faire l'amour.
Achille se tringle Briseis. Il la laboure, l'encule, la rempli de sperme, encore et encore. il lui bouffe son cul, ses seins, ses lèvres, ses oreilles, ses pieds, sa chatte et Briseis fait de même. Achille vient de tuer et son époux, et ses trois frères, peu importe, elle est folle de désir pour son nouveau seigneur et maitre. Elle lui suce la bite, lui mange sa rondelle, mord ses lèvres, griffe son dos, ses cuisses. Briseis s'empale encore et encore sur cette bite énorme toute dégoulinante de sperme. Après chaque orgasme, c'est à peine s'ils prennent le temps de souffler que déjà l'envie de baiser encore les reprend. Et chaque fois Achille hurle si fort, que son cri est comme celui d'un troupeau de buffles affamés.
Agamemnon a vite vent de cette folle passion et pense s'en servir comme moyen de pression sur Achille. Cela l'illustre Homère l'a raconté et chanté comme aucun humain ne pourra plus jamais le faire. Mais vous aussi, vous avez peut être connu cette passion folle et inexplicable, cette envie furieuse de baiser et partagée dès le premier regard. Si oui, racontez nous cela, c'est si amusant, si mystérieux. Cela va bien au delà du seul désir physique. C'est comme un besoin de fusion totale.
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Maurice ne supportait plus les femmes, ni en couleur, ni en odeur, ni en peinture, ni en rien même. Il les avait en horreur et le mot est faible tant était devenue grande son aversion. Il avait commencé par détester sa propre femme. Comme beaucoup il s'était laissé prendre au piège d'un joli cul, bien galbé sur de longues jambes. Oui, mais voilà, le joli cul avait vite fini par le faire débander. Il fallait bosser, remplir la marmite, et....obéir aux désirs de l'épouse qui avait très vite su le mener par le bout de la queue et finalement presque le castrer. Maurice regardait autour de lui. Partout c'était la même désolation. Des vies de couples transformées peu à peu en cauchemars. Encore, il avait de la chance, sa femme n'était pas devenue un thon. Ses potes mataient encore son joli cul, même s'il commençait à pendre un peu.
Son seul plaisir c'était avec ses potes, lorsqu'il n'y avait aucune femme pour leur casser les couilles avec des fait pas ci, fait pas ça, ou pire avec les gros yeux pour dire ce qu'il était bien de penser ou pas. Là, ils pouvaient se détendre, blaguer entre mecs, jouer aux boules ou aux cartes, échanger grivoiseries et refaire le monde. C'est là que Maurice eut l'idée. Le féminicide était exclu. Alors restait la fuite. Tout plaquer et se barrer, au loin, au large, fuir ces sinistres prisons tenues par des femmes qui appelaient cela, vies de couples.
C'est ainsi qu'ils eurent l'idée de s'acheter une ile très loin dans les vastes océans, une ile ou aucune femme ne pourraient les retrouver. Ils y allèrent avec leur propre voilier, un beau bateau qui fendait joyeusement les vagues au dessus des noirs abîmes insondables. Il avait fallu plus d'un an pour s'organiser dans le plus grand secret. Ils avaient acheté leur ile aux anglais, un coin glacé et perdu dans le grand sud, où ne vivaient plus que les baleines et les oiseaux.
Ils partent d'un coup, traversent l'océan et rejoignent leur île pelée et battue par les vents. Il reste de vagues installations de baleiniers du siècle passé. Ils retapent, bricolent, et se construisent une belle demeure. Là Maurice, proclame l'indépendance de son territoire avec une seule loi. Cette ile est interdite aux femmes. Ils vivent heureux. Boivent, fument, rotent, pètent, et pissent debout comme ils veulent. Adieu les pouffiasses qui croient détenir un diamant entre les cuisses, les mégères qui hurlent pour un oui ou un non, les repeintes qui courent après une beauté perdue, les castratrices, les chiantes, les emmerdeuses, ah que la liste pourrait devenir interminable...laissons là ce sinistre descriptif.
Sauf que voilà, deux fois l'an, ils doivent aller sur le continent pour se ravitailler et faire commerce. Ils vont toujours dans le même port, dans un pays de latinos machos, où personne ne leur pose de questions. Sauf que voilà, Paulo, un des potes à Maurice, parle trop lorsqu'il a un coup dans le nez. Il n'a pas pu s’empêcher de parler de son ile sans femmes, un paradis d'après lui. Et allez savoir comment, les femelles l'ont vite su. Elles doivent avoir des antennes dans tous les ports.
-Comment un territoire où les femmes sont exclues ! Les green féministes acariâtres se sont vite mobilisées. Il était intolérable de laisser le moindre espace de liberté aux hommes. Non mais ! Des fois que ce besoin de liberté ne devienne contagieux.
Pauvre Maurice et ses potes. Ils étaient allés près des pôles pour trouver refuge, fuir les femmes qui dirigeaient ce monde, fuir les femmes cause de malheur et voilà qu'elles arrivaient en force. Un navire de la Royal Navy commandé par une femme, capitaine décorée, tourna trois fois autour de l'ile, fiers canons pointés. La capitaine avait hissé sa petite culotte de soie rose en guise de drapeau. Le message était on ne peut plus clair. Un commando de Royal Marines composé uniquement de lesbiennes débarqua. Maurice et ses potes durent obéir, se laisser menotter et conduire à bord du navire de guerre. La capitaine les attendait en jupe moulante et jambes bien écartées, histoire de dire que c'est elle qui commandait sur ce bateau car c'est elle qui avait le petit clitoris vengeur bien dressé entre les jambes.
Maurice et ses potes furent conduit à Londres pour s'expliquer devant un tribunal. La cour n'était composée que de femmes. La procuratrice les menaçait d'un doigt terrible, faute de mieux, d'un pénis entre les jambes par exemple. Pour avocate, une femme fut commise d'office. Aucun homme ne voulait les défendre de peur de représailles. Maurice et ses potes furent condamné lourdement pour "outrage aux femmes". Ils reçurent tous, cent coups cinglants de cane anglaise, culs nus face à une foule de mégères en furie, sur la grande place de l'horloge. Les policières qui exécutèrent cette sentence étaient plus grosses que des vaches du Whyoming avec des bras si lourds que Maurice et ses potes ne purent plus marcher pendant longtemps. Les femmes, en reprenant tous les pouvoirs dans le monde avaient aussitôt rétablit tous les châtiments corporels pour faire marcher droit les hommes.
Heureusement la Reine qui avait beaucoup d'humour accorda en douce, une grâce à Maurice et ses potes . Leur ile dans l'océan fut toutefois confisquée, On a su bien plus tard que la Reine leur avait trouvé une autre petite ile, lui appartenant, du coté des Shetlands où les salades poussent comme nulle part ailleurs et où ils reçurent les titres de "gardiens" de cette ile. Une façon très féminine de dire "les hommes avec un collier". Maurice et ses potes devaient encore et toujours dépendre d'une femme et de son bon vouloir pour espérer un peu de liberté ou d'esclavage consenti ce qui était presque devenu la même chose en ces temps là.
Il se dit que même après la mort...Dieu est une femme....oh horreur des horreurs...il n'existe aucune ile dans l'au delà pour fuir la domination féminine.
Rires.
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Un milliardaire japonais vient de réserver le premier vol privé autour de la lune. Il pense inviter des amis artistes pour compléter son vol. Mais les artistes c'est bien sauf qu' une bonne femelle à bourrer dans l'espace c'est mieux. Notre milliardaire a passé une annonce avec un questionnaire très précis. Il sait ce qu'il veut ou croit le savoir, en bon machonaute qui a réussi.
Plus de 20 000 femmes ont répondu en très peu de temps et il a du fermer son annonce. Il a assez de candidatures de prétendantes, du moins pour la première partie de la sélection. Notre brave milliardaire commence par dégager son pénis et par se branler devant toutes les fiches des candidates. Lesquelles l'excitent le plus, font bien monter sa sève? Il en reste mille possible. Il organise un second tour avec ces mille, un nouveau questionnaire plus précis, il veut tout savoir. Nouvelle série de branlettes et il en reste 300, les plus bandantes d'après lui et son pénis. Là il utilise les services d'une agence privée de détectives pour faire des enquêtes discrètes, voler des photos etc...Il se branle encore devant toute cette documentation et il en reste 10 seulement, dix perles rares, sublimes, qui ont toutes, les dons requis. Il a beau se branler, il ne peut choisir. Aussi il les invite dans le centre spatial où il doit s'entrainer, chaque jour. Notre milliardaire ne lache rien, il suit ses idées jusqu'au bout. Ses dix perles se présentent dans la même combinaison bleu, en coton, style salopette avec une fermeture sur le devant. Il les met de suite en compétition.
Laquelle pourra écraser les autres et devenir sa femelle? Toutes n'ont qu'une envie, c'est d'écarter les cuisses pour le rendre définitivement accro. Toutes, sauf une, Yoko, le garçon manqué, cheveux courts, regard perçant, toute en muscles. Le milliardaire se saute toutes les autres, mais lorsqu'il veut écarter les cuisses de Yoko, il se prend une dérouillée monumentale. De rage il veut la virer sur le champ mais il n'a pas le temps de donner quelque ordre que ce soit. Yoko, experte en arts martiaux l'a déjà maitrisé, attaché et bâillonné.
-c'est toi pauvre con qui va faire la femelle.
Yoko lui administre une fessée à la main si terrifiante que notre milliardaire a ses cheveux qui blanchissent d'effroi. Comment cette folle avait elle pu le faire bander et passer les sélections? Il n'a pas le temps de connaître la réponse. Déjà la folle a enfilé un god énorme et se place derrière son cul rouge sang et encore tout tremblant. Elle le viole d'un coup et le pilonne avec rage, Les 30 cm rentrent jusqu'à la garde à chaque fois. Le milliardaire tombe vite dans les pommes, sa seule façon de fuir la douleur. De bonnes baffes et un seau d'eau froide le réveillent vite.
-mais t'es une petite crevette toi. Et c'est avec un con pareil que je dois faire le tour de la lune.
Les neuf autres femelles attirées par les cris arrivent. Yoko les attend avec un fouet.
-cassez vous les pouffiasses ou je vous explose à votre tour.
Aucune n'insiste. Toutes savent que même à neuf, Yoko peut vite les réduire en pâtée ron ron pour chatonnes castrés des ovaires. Là le milliardaire a vraiment peur. Il va se retrouver seul avec une dingue.
-t'as fini de bander et de te branler pauvre carpette immonde. Voici une petite cage pour ta petite bite et un bon cadenas. Et si tu n'obéis pas, je te la coupe à raz. Et baisse les yeux. Une carpette comme toi n'a le droit que de me regarder les pieds. Les chevilles c'est la limite. Au delà tu dérouilles. Et tu m’appelles Maitresse. Toi t'es plus rien, pas même un chien. D'ailleurs donne ton cou que je te passe aussi ton collier de dressage avec des pointes contre ta gorge. Crois moi, tu as intérêt à obéir en tout et pour tout.
Yoko enferme son milliardaire dans la centrifugeuse, à genoux et à l'envers, avec un gros plug acier bien lourd dans le cul. Elle lance la machine et s'installe confortablement dans une chaise longue. Elle sirote une vodka bien glacée. en croisant ses longues jambes bien galbées. Comme cela elle peut serrer son clito et se donner de délicieux orgasmes.
La centrifugeuse commence à tourner. La milliardaire a compris ce qui l'attend. Le plug très lourd commence à pousser. Il implore. Appelle sa mère, se maudit d'avoir passé cette annonce. Il est trop tard. Cette folle de Yoko va détourner tout le matériel d'entrainement, pour former les spationautes, en instruments de torture. Le pire c'est qu'elle a beaucoup d'idées. Il se souvient de ce détail sur sa fiche....
Yoko lève son verre et éclate de rire.
-Jouit pauvre con !
Et c'est ce que fait le milliardaire, il obéit. Il tapisse de sperme la centrifugeuse et enchaine les orgasmes. La cage de chasteté ne les empêche pas. A partir d'un certain nombre de tours, il ne sent plus rien. Il lui semble être au nirvana. Yoko est bien la bonne. il l'aime. Pour son malheur son cœur le brule ...Cela c'est le pire de ses supplices....
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Pour mon article 50, par plaisir d'écrire, et pour rire, une petite étude sur les pratiques sexuelles cachées dans Tintin.
Ce qui saute aux yeux, mais c'est pareil dans Asterix, peu ou pas de femmes et toujours caricaturées de façons grotesques. Normal, il faut en rire.
Dans Tintin, Aussi bien la Castafiore que la femme d'Alcazar, sont des dominatrices. La Bianca est plus subtile que la mégère qui fait faire la vaisselle au général. Le professeur Tournesol est un soumis, une cage de chasteté lui irait fort bien. La Bianca peut tout faire avec lui. Avec Haddock c'est une relation dominant dominant mais elle a toujours le dessus au final. Le capitaine se débat mais la Bianca est plus dominante car plus élégante.
Le capitaine Haddock et mademoiselle Tintin. Je vois bien ce dernier en travelo ou gay femelle avec un capitaine gay dominant. il est en couple gay avec le capitaine et tintin c'est la femme dans ce couple.
Chang a tout d'une petite sissy, copine de mademoiselle Tintin.
Abdallah a le feu au fesse et aimerait se faire mettre comme mademoiselle tintin par le capitaine Haddock.
Les deux Dupond, sont gays, style cuir moustache , chaines, canes, menottes.
Nestor le valet est assexué. Il bande plus ou peu. Il se paluche seul et obéis en tout et pour tout à son capitaine.
Voilà, Tintin c'est des histoires gays. Rires
On pourrait penser que Tintin, Astérix, Luky lucke et leurs sexualités soit un sujet ou une question qu'il ne faut pas se poser. Pourtant tout le monde ou presque a ri avec ces albums. Et derrière se cache (en mode subliminal?) des descriptifs de sexualités d'hommes célibataires. C'est amusant d'imaginer....
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C'était le temps où cette île de Patmos n'était habitée que par des chèvres sauvages, et toutes sortes de gibiers délicats. C'est là que venait chasser la belle déesse à l'arc et son groupe de femmes servantes et esclaves....
Elles sont là, sur la plage, nues, si belles! Aucun homme ne peut les contempler sous peine de mise à mort immédiate. Elles se broutent le gazon, se caressent, se donnent mille plaisirs délicats. Elles mangent les viandes rôties et les herbes amères. On entend leurs rires de fort loin. Il court sur les vagues. Poséidon l'entend, il vient et regarde. Il tombe d'un coup sous le charme d'Artémis. Il sort des flots, son royaume, et se dresse face à la déesse avec une érection incroyable.
Artémis est folle de rage. Elle veut saisir son arc mais Poséidon lui donne une baffe sonore. Son harem de femelles est glacé de peur. il les chasse d'un autre revers de main. C'est Artémis qu'il veut. La déesse se saisit de son glaive court et fonce sur Poséidon pour lui couper les couilles. Elle n'a pas le temps, une autre baffe l'envoie rouler dans le sable. Elle ne fait pas le poids.
Artémis sent que ses deux joues lui brûlent, sent la douleur et cela produit un effet incroyable. Elle se dilate, s'ouvre, mouille. Cela la rend encore plus folle de rage. Elle se redresse et fonce sur un Poséidon qui n'a aucun mal à la maitriser de ses bras puissants. Et d'une main, il lui pétrit ses si jolies fesses bien musclées. Il fouille et lui enfonce un doigt dans l'anus. Artémis se cabre, pousse un cri sauvage. Poséidon passe son doigt devant ses narines et se délecte des odeurs intimes de sa prisonnière.
-Mais tu mouilles, salope!
Artémis ne répond pas. Elle ne peut cacher le trouble qui l'envahit. Poséidon est bien le plus fort. Elle ne peut lutter et ce gros porc balourd va la violer. Il ne va pas se contenter de lui masser le cul. Soit elle continue à se débattre dans une lutte perdue d'avance et sera et la violée, l'humiliée, la vaincue, soit elle se donne et garde une chance de castrer ce mastodonte des vastes mers et océans. Elle choisi la ruse et se laisse peloter.
Poséidon la couvre de baisers. Il l'empoigne et lui bouffe d'un coup sa chatte et ce gros con la fait jouir comme aucune des femmes de son harem n'a jamais pu le faire. Elle coule encore et encore dans la bouche de son violeur qui se délecte de sa cyprine de déesse.
-Mais t'es vierge ma salope. Attends un peu, je vais te faire gouter de ma grosse bite. Tu pourras plus t'en passer.
Il empoigne Artémis par les cheveux et la force à sucer son énorme pal bien tendu. La déesse croyait avoir un dégoût pour les sexes mâles, mais là, elle se surprend à aimer astiquer le gland de son violeur. Elle ne fait pas la gorge profonde mais se découvre un don inné de déesse pour bien caresser avec sa langue, là ou cela procure des éclairs de plaisir capables de griller des neurones. Poséidon hurle et explose. Artémis avale tout et se délecte. C'est la première fois et elle aime vraiment le goût âpre du sperme chaud de Poséidon.
Ce dernier se relâche. Elle tient sa victoire et pourrait lui couper les couilles par surprise, mais horreur, elle se sent complètement vaincue, souillée, humilié, et ...le pire, c'est qu'elle tremble et adore cela.
Poséidon se reprend vite. Sa vigueur se dresse à nouveau entre ses jambes. Adieu la virginité d'Artémis. Il la défonce, l'écartèle, la bourre aussi bien par la chatte que par le cul. Il l’inonde de son sperme et cette salope d'Artémis jouit comme jamais elle ne pensait pouvoir jouir. Elle brame pire que cent cerfs en rut. Poséidon n'est pas en reste chaque fois qu'il éjacule entre ses reins. Il est pire que le chant de toutes les baleines de l'océan.
-Une chatte et un cul de salope vierge et bien musclée, c'est bien serré et divin. Cela change des grosses pouffiasses au cul béant.
Toujours le mot délicat ce Poséidon. Artémis se love contre lui. Elle vient de trouver son Maitre, son amant.
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Annie adore tailler des pipes et déguster du sperme bien chaud. Elle a commencé dans les toilettes du lycée, une tailleuse de pipes redoutable. Les garçons finissent tous sur les rotules, vidés, vidangés, revidés, Annie est insatiable. Elle adore les bites, les grosses, les petites, les joufflues, les tordues et même les molles. Elle se moque jamais d'un garçon qui ne bande pas. Elle suce encore et encore et obtient toujours ce qu'elle veut. Par contre pas touche. Elle déteste qu'on lui touche les nichons et a horreur de la pénétration.
Tous les spermes ont un goût différent. Elle n’appelle pas les garçons par leurs prénoms mais par le goût de leur semence.
-tiens voilà framboise, bonjour thé vert, ciao caramel mou. Elle se comprend.
Mais celui qu'elle préfère c'est Anis. Celui là elle le suce plusieurs fois par jours. Le pauvre garçon était tout fier au début, mais à présent il se cache. Mais peu importe. Annie finit toujours par le trouver, à lui ouvrir sa braguette et à le déguster. Elle est sans gène. elle suce dans le bus scolaire, les couloirs, les salles d'études, les cours de récréation.
La liste des bites qu'elle a sucées est interminable mais rien ne vaut la belle pine d'Anis. Celui là, il sent tellement bon que souvent elle lui bouffe aussi le cul et astique sa feuille d'anis anale.
Certains disent que c'est une pute, une folle, une nymphomane. Non, non, c'est juste la très jolie Annie, la fille qui aime faire des sucette à Anis.
Rires et merci à Serge pour sa belle chanson qui fait toujours rire.
https://www.youtube.com/watch?v=-1_OPtNyCqc&list=RD-1_OPtNyCqc&start_radio=1
J'adore, chanté par France Gall
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Markus trouve que toutes les femmes puent. Elles puent des aisselles. Elles puent de la chatte et encore plus du cul. Elles sont pas propres, se lavent peu ou mal, et s'aspergent de produits nauséabonds. Pour Markus, quand Dieu a crée la femme, ce n'a été que pour empester le paradis, une autre façon de chasser l'homme, plus crédible d'après lui, que l'histoire de la pomme.
Sa phobie fait qu'il n'est pas facile pour lui de vivre, circuler, travailler, faire ses courses. Les femmes sont majoritaires, c'est pour cela que les villes sentent si mauvais.
Il va consulter un chirurgien.
"-pouvez vous m'enlever les odeurs? Je ne supporte plus l'odeur des femmes." Tout le monde le prend pour un fou et aucun chirurgien n'accepte.
Et puis Markus est tombé sur Berthe, une vraie femme, une moche, une conne, avec des gros nichons qui pendent, une qui pue plus que toutes les autres et allez savoir pourquoi, le coup de foudre, le coup de massue. C'est Berthe qui a eu l'idée. Elle aussi ne supporte pas l'odeur des mecs. Ils se sont rencontré sur le net, un lieu immatériel et sans odeurs, ont papoté et La grosse Berthe a eu un éclair de génie.
-Et si on faisait l'amour au karcher!!!!
Markus a été enchanté. Ils ont échangé beaucoup. Buses, plates, rondes, rotatives à deux ou trois têtes. Pression et distances de sécurité. Filtres sur buses. Comme ils sont bricoleurs tous les deux. Ils sont parvenus assez vite à trouver les bons réglages. Il faut pouvoir baiser au karcher mais sans se blesser.
Il se rencontrent avec chaqu'un leur propre karcher modifié et adapté au corps humain (faites surtout pas cela sans le bon matos, l'eau sous pression c'est hyper dangereux). . Ils portent des pinces à linge sur le nez, histoire de se moquer de leurs propres phobies des odeurs.
Ils se foutent à poil et branchent leur pistolets haute pression, mettent toutes les sécurités qu'ils ont conçues. C'est vite l'extase, le nirvana. Ils se lavent à tour de rôle.... mais gardent les pinces à linge sur le nez, au début..par prudence.ou par humour..sait on jamais.
Au bout d'un heure de jets et jeux d'eau, ils essayent de se renifler et oh surprise, ils peuvient se sentir sans envie de vomir. Les jeux reprennent. Markus attache la grosse Berthe sur une chaise avec du scotch de bricolage. Elle peut plus bouger. Il la nettoie à fond. Bien tous les trous, bien sous les aisselles, toutes les raies, fentes et replis, c'est pas ce qui manque chez Berthe. ils connaissent de la sorte leur premier orgasme, en même temps. Le massage du clito avec de l'eau sous pression c'est pire que de vouloir se branler sous les chutes du Niagara. et tenir une lance pour Markus, c'est plus excitant que de s'astiquer le gland. Alors....
Berthe n'aime pas le sperme qui coule. Elle attache Markus qui se laisse faire et elle le nettoie aussi, partout, partout, à très forte pression même. et zou maï , nouvel orgasme pour les deux. Il se sont pourtant jamais touchés. Berthe nettoie de nouveau la verge qui a coulé. Markus hurle, On ne sait si c'est de plaisir ou de douleur.
-Ta gueule gros putois.
Des deux, c'est Berthe qui a le plus les idées....Elle lui enfonçe la lance dans le cul et vise la prostate.
-non, pas cela hurle Markus.
-ta gueule, le mâle qui pue, et t'inquiète, j'ai la bonne buse. ...et je sais faire la buse.
Quelques petites pression sur la gâchette et Markus , hurle, brame, se révulse. Sa bite coule encore et encore. Chaque jet sur la prostate le fait hurler, jouir et éjaculer.
-arrête, arrête, j'en peux plus.
-Non mais tu vas la fermer le putois !
C'est ainsi sur chaque zone érogène du corps. Elles le sont toutes au karcher!
Ils se quittent sans aucun bisou, les bisous cela pue, juste un rencard pour remettre cela. et de nouveau les pinces à linge sur le nez pour sortir dans les rues sombres et nauséabondes de la grande ville. .
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Greda ne supportait pas les bites, encore moins les mâles, alors un mâle en érection, je vous dit pas. La vue de ce spectacle la rendait folle de rage. L'hyperviolence montait du fond de sa chatte en feu. Il fallait que celui qui lui avait manqué de respect et osé bander devant elle, soit mis à nu, attaché, suspendu et fouetté jusqu'au sang. Il avait beau pleurer, supplier, promettre qu'il ne banderait plus, qu'importe, le fouet sifflait encore et encore. Greda ne connaissait ni pitié, ni compassion, c'était la pire gynarchiste à l'ouest du grand fleuve, là ou tous les cris se perdent dans les vastes forêts sombres.
Le pire c'est que les mâles accouraient pour se faire massacrer au fouet. C'est vrai que Greda était sublimement belle avec ses longues jambes musclées, ses seins fermes en obus, ses yeux de panthère des neiges. Elle ne portait jamais de sous vêtements et adorait laisser sa chatte à l'air, disponible pour son harem de femelles brouteuses. Elles aussi accouraient pour lui manger son si joli minou, bien tondu, à la française. Elles seules avaient droit, à condition de devenir ses esclaves servantes.
Ainsi régnait la sublime Artémis des grandes forêts sombres, cette chasseuse à l'arc qui tuait les grand cerfs et sangliers mâles mais épargnait toujours les femelles. Une fois abattus d'un trait vengeur dans le cœur, elle leur coupait les attributs. Elle aimait que la bête vive encore et voit cela quand elle les émasculait. Ce dernier instant était pire que la mort.
Pour les esclaves mâles de sa cour, les règles étaient simples. A la première érection, le fouet jusqu'au sang. A la deuxième, elle coupait les couilles. A la troisième, parce que même sans couilles une verge peut encore bander, elle émasculait complètement. Et c'est fou tous ces mâles qui voulaient devenir ses esclaves.... Certains pensaient échapper à l'émasculation en portant des cages en acier, mais la sublime Greda savait les exciter et ensuite les obliger à ôter les piteuses cages. S'ils bandaient, ils connaissaient le tarif. Et elle sortait son couteau japonais, à la lame si fine que les castrés ne sentait rien quand elle passait, juste comme un froid. Elle poussait le vice jusqu'à les obliger à remettre leur cage d'acier. La lame passait au raz.
Son harem de femelles assistaient toujours à une émasculation. Greda jouissait beaucoup à se faire brouter le minou en contemplant le petit panier d'osier sanguinolent qui contenait la bite du supplicié. Elle riait.
"-voilà, je t'ai rendu service, te voilà eunuque pour le Royaume des Cieux"
Cette garce de Greda ne se privait de rien, pas même d'un blasphème pour bien faire jouir son petit clito vengeur.
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Liam méprisait ces connes de femelles et plus il les méprisait, plus ces connes lui couraient après. Allez savoir pourquoi. Il faisait mouiller les femmes depuis qu'il était ado. C'est sa prof de français, une rousse à lunettes, qui avait craqué la première. Il n'avait que quatorze ans. Était il beau, je ne saurais le dire, mais il faisait mouiller les chattes et ce don était inné en lui. C'était une sorte de magnétisme animal aussi inexplicable que sauvage et incroyablement puissant. Sa prof à lunettes, toute sage et toute rouge avait avoué.:
-Je mouille Liam, je mouille, je n'en peux plus, cela me brûle entre les jambes.
Liam lui avait filé une bonne paire de baffes et lui avait mangé le minou sur le bureau. Ils étaient seuls mais cette conne avait hurlé en jouissant comme une truie que l'on égorge. Pas moyen de la faire taire. Et ils s'étaient fait renvoyer du bahut.
Cette conne de prof venait miauler sous sa fenêtre le soir et liam lui balançait tout ce qu'il trouvait sous la main.
-dégage, tire toi,
Mais une chatte qui hurle, pas moyen de la faire taire, Il sortit un soir et lui enfonça son pieu dans les fesses, ignorant sa vulve qui ruisselait. La prof à lunettes, connu un tel orgasme que cette fois il fallu appeler les pompiers. Ils étaient pris comme des chiens et elle serrait si fort son cul en feu qu'il était impossible de les dés-souder. C'est aux urgences, en administrant des calmants à cette conne de prof que l'interne, une jolie jeune femme, brunette et garce à souhait, parvint à libérer enfin liam qui se demandait s'il n'allait pas perdre son gland tétanisé et violacé.
-Non, non, fit l'interne en le massant, tu ne vas pas le perdre. Encore une conne qui tombait sous le charme et qu'il dut sauter pour qu'elle le laisse partir.
Mais qu'avait donc de si spécial ce Liam pour les faire craquer ainsi. Et puis la réputation aidant, elles accouraient de partout, chatte en avant, jupes relevées, sans culottes et prêtes pour de délicieuses saillies. Liam ne pouvait donner suite à toutes et plus il se refusait et plus ces connes lui couraient après. Pourtant Liam constatait que jours après jours il devenait fou lui aussi de ces splendides chattes qui s'offraient. Peu importait pour lui que ces connes de femelles soient moches, ou belles, grosses ou menues, vierges ou bien poilues. il était complètement fou de leurs minous et ces derniers le savaient bien. Autonomes et indépendants. Et ces connes de femelles hurlaient dans la nuit, sous le ciel étoilé et la pleine lune argentée.
Ce que craignait le plus Liam, c'était l’enlèvement et la séquestration. Elles étaient capable de tout, il le sentait bien....
La suite une prochaine fois.
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J'avais trouvé mon rythme de croisière dans ma vie de couple avec Jean Michel. J'étais comblée, je me croyais heureuse. Certes ma sexualité de dominatrice avec mon époux était bien spéciale, je n'avais aucun rapport sexuel avec lui, mais cela nous allait très bien à tous les deux, pourvu que je le domine de façon impitoyable. J'aime voir ses poils se hérisser et sa peau frémir lorsque je m'approche à pas de louve avec mes redoutables badines à la main. Je ne manquais pas d'imagination pour lui trouver des scenarii qui lui procurent des feux d'artifices de plaisirs au fond de ses reins, sans jamais me servir de mon gros clito. Je suis une femme hybride lesbienne et pas gay du tout. Je sais que mon époux a envie que je le prenne, mais non, c'est niet, il y a les gods pour cela. Un cul de mec ne me fait pas gonfler le clito même si Jean Michel a un très joli cul à force d'être bien fessé et donc bien irrigué. Mais voilà, le destin est étrange et l'amour une chose incompréhensible. J'étais allé voir mon époux dans son étude de notaire. Il discutait avec un fort charmant couple en prenant un verre avec eux dans son bureau. Mon époux aime traiter ses affaires ainsi, , de façon détendue. C'est toujours plus facile de faire passer ensuite ses notes d'honoraires bien salées. Soumis au lit mais redoutable au boulot. Un contraste qui me plait beaucoup. Ce couple était étonnant, comme mal assorti. L'homme semblait coincé, étriqué, maniéré. Comment pouvait-il avoir une femme aussi belle? L'argent sans doute. C'est un banquier d'affaires, un gestionnaire de fonds, un parfait crétin pour moi. C'est lorsque sa femme s'est approchée que le magnétisme animal s'est déclenché. Une chose électrique, comme une onde de plaisir entre nous deux. Nous nous sommes frôlées et j'ai senti les vibrations dans mon ventre; elle est devenue rouge. -Tu te sens pas bien, Otavie, a dit son banquier de mari. -Oui, oui, tout va, ce doit être ce bon whisky qui me chauffe les joues. Il est si bon que j'en reprendrai bien. Elle disait cela pour masquer son trouble. Je me fis un plaisir de la servir et je plongeais mes yeux dans les seins. Là j'ai su de suite qu' Octavie était ma femelle, que j'allais la troncher et qu'elle était déjà mon esclave. Jean Michel n'osait pas me regarder, c'est interdit pour lui, mais je sentais qu'il avait compris. Le banquier était encore plus nul que prévu. Il jouait l'important avec ses chiffres, ses "affaires". Je l'ai regardé avec un sourire carnassier. Il a vite baissé les yeux. une petite carpette. Le soir même je le faisais cocu. Je ne pensais pas tomber amoureuse un jour. je pensais me suffire à moi même avec les deux sexes en moi, hé bien non, Octavie se jeta complètement à mes pieds et ce fut le nirvana. J'ai vite adoré lui faire lâcher les grandes eaux en trifouillant sa chatte avec mon gros clito. Elle non plus ne pensait pas pouvoir jouir comme cela. Elle ne lâchait plus prise, non, elle s'abandonnait complètement, comme seules peuvent le faire les femmes folles d'amour.
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Le week end, avec mon époux, le notaire Jean Michel, nous aimons aller sur les champs de courses pour passer du bon temps avec des gens du même monde que nous. J'adore jouer à la pimprenelle, hyper féminine, maquillée comme il faut, couverte de bijoux étincelants. Mon époux est fier de me montrer et je prend plaisir à onduler de la croupe sous des robes légères. Mais pas touche. je montre bien mon alliance pour que l'on me foute la paix. Je viens pour jouer et le pire c'est que je gagne. j'ai une sorte d'instinct pour trouver les bons tocards, ceux qui rapportent et cela m'amuse beaucoup. Pour jouer à l'aise, sans mon mari à coté, j'ai trouvé un moyen de lui procurer de délicieux weekend comme il aime.
Je me suis entendue avec deux filles lesbiennes, des filles des écuries, avec des grosses mamelles et qui sentent bien le cheval. Je les paye très confortablement pour qu'elles s’occupent de mon époux pendant quelques heures. Je lui ai fait confectionner tout un équipement en beau cuir. Elles le mettent nu, et l’arnachent comme un bon poulain à dégrossir. Je lui enfile son god à crinière dans les fesses et je l’accroche solidement à son harnais pour qu'il ne puisse plus sortir. Je suis certaine que Jean Michel va jouir à répétition avec ce massage forcé de la prostate.
Les deux lesbiennes commencent son dressage, des tours de manège au fouet. Elles s'amusent beaucoup à faire siffler les cordes sur ses fesses déjà bien rouges. Je regarde un peu puis je m'en vais. en prenant bien soin d'onduler ma croupe devant mon époux.
-Faites lui bien mal, dis-je aux deux lesbiennes. c'est un poulain un peu rétif cette semaine. Elles rigolent et et enfilent des bottes de cuir, une casquette. C'est tout un rituel. Mon époux est très riche et je veux ce qu'il y a de mieux pour lui. Je vérifie tous les détails. Je sais comment le faire bien jouir. Il henni un peu pour me dire qu'il est heureux. Je prend bien soin de fermer la porte de cette petite écurie. Je sais que bientôt il va hurler, alors autant bien ménager son intimité avec ses deux lesbiennes impitoyables.
Ce jour là j'ai bien gagné dans la troisième avec Crazy Jhon, un tocard famélique qui semblait pleurer la misère . J'avais deviné de suite que c'était un redoutable compétiteur. Quand je gagne, j'ai mon gros clito qui durci, cela me fait toujours rire.
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Lilou est née ainsi, avec un popotin d'enfer, incroyablement gros, bien galbé et beau. Un popotin a défroquer tous les moines d'Abyssinie. Ado, elle était une provocation permanente au viol. Jeune femme, on criait à l’émeute sur son passage. Oui, il existe des culs si beaux que même le pape pourrait en avaler son crucifix, toutes ses hosties et le vin de messe en sus. C'est ainsi, le sex appeal est une chose qui ne peut s'expliquer et le sexe appeal d'un beau cul dépasse tous les autres.... Les gays disent que seuls les hommes ont de jolies fesses, que celles des femmes sont flasques et tombent faute de muscles suffisants pour bien les tenir. Lilou n'en a rien à foutre de ce que pensent les gays, son popotin a de quoi rendre fou.
C'est un appel au stupre, à toutes les fornications, à toutes les dépravations. Un cul qui fait baver et fantasmer. Pourtant Lilou est si sage. Pour protéger son fessier elle a choisi king kong en personne pour bien s'occuper d'elle. King kong n'est pas humain avec son front large et bas, ses petits yeux durs, ses dents de crocodile, son nez de gorille. Il est si massif et imposant qu'il doit se baisser pour passer les portes et toujours de coté. On sent qu'il peut tuer un bœuf d'un coup de poing sur la tête. Le mari idéal pour lilou et son cul de rêve. Surtout que king Kong, comme les gorilles est doté partout sauf au zizi, presque ridicule vu la masse du reste. Mais c'est assez pour donner bien du plaisir à lilou, surtout que son King kong adore lui bouffer le cul. Elle ne se sert jamais de papier toilette. Elle appelle son monstre et il prend plaisir à la nettoyer goulument.
Que voulais je dire avec cette histoire? Je ne sais plus vraiment. ah oui, c'est que peu importe ce que crée la nature, il existe toujours un principe complémentaire. La nature ne semble pas aimer que nous soyons seuls.
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Toute la magie de cette chose étrange que sont les mots et l'écriture. Il est possible de faire de façon instantanée d'incroyables voyages. Juste associer des mots et notre cerveau fait le reste, il "rentre" dans les fictions générées. C'est amusant. Vous trouverez le début de cette histoire dans "mes articles". Je continue avec ce "je" qui est un autre, une autre dans cette histoire ci.
Après avoir rossé ce con de prof de judo et en avoir fait mon toutou dévoué, j'ai persévéré dans l'étude des arts martiaux. Pour assumer librement le fait d'être une femme dans un corps hybride, mi femme, mi homme, je devais savoir me défendre. C'est dans le quartier chinois que j'ai rencontré Maitre Liu. Au début, il ne voulait pas de moi. Il est difficile de trouver plus macho et raciste qu'un chinois...cool, je blague, c'est une fiction. La famille de Maitre liu tenait un restaurant, j'ai du y bosser comme serveuse, en tenue sexy à la chinoise, ce qui faisait sourire Maitre Liu. Et puis un jour j'ai du rosser son fils, le gérant du restau. Ce crétin avait envoyé sa main dans mon entrejambe pour savoir si j'étais une fille ou un garçon. Je l'ai expédié d'un coup dans un kO si profond qu'il a du finir aux urgences. Maitre Liu a caressé sa moustache et fait ....hummm. Dès le lendemain, j'abandonnais le service en salle et rejoignait son temple secret dédié aux arts marttiaux occultes chinois. Ah si la police savait se qui se cachait dans certains entrepôts textiles. L’entrainement devint impitoyable, des trucs de fous. Pourtant je devins vite une experte. Mes doigts fins et durs savaient frapper les points vitaux, de façon plus rapide et précise que ne peut le faire un homme. Pour maitre Liu, il n'y avait que le combat de rue qui comptait, qui montrait vraiment la valeur. alors le soir, je me faisais le plus sexy possible, mini moulante au raz, mes petits seins naturels bien en avant et zou, la virée des boites à bastons. J'étais embauchée comme videuse de salle et j'adorais. apprendre le respect à ces cons de mâles en rut. Je passais entre les tables ou sur la piste de danse et gare aux malotrus qui ne savaient pas apprécier une femme sans envoyer ou les mains ou des propos salaces. Mes baffes faisaient si mal qu'elles dissuadaient de suite toute envie de riposte. Cela me faisait rire. A force ils s'étaient tous passé le mot. On m'appelait la hérissonne. Personne ne savait si j'étais fille ou garçon. Je ne couchais pas. C'est pas que j'aimais pas le sexe, non, mais je préférais me donner du plaisir seule, surtout depuis que je connaissais bien des circuits d'énergie et autres centres nerveux et la façon de les masser pour les utiliser.
Et puis Maitre Liu est mort. J'étais jeune, jolie, pour ceux qui aiment les femmes androgynes, un peu plate mais bien musclée. J'avais du succès. Je me suis cherché un époux bien riche pour être entretenue. Je suis tombée sur Jean Michel, un bon notaire de province, rondouillard et soumis à souhait. Il cherchait une dominatrice, il a été servi. Sa nuit de noce, il l'a passée nu au pied du lit, avec un collier d'acier et une cage de chasteté. Tout les soirs, lorsqu'il rentrait du boulot, il avait droit à sa séance de domination. Après quelques bonnes raclées, il était bien, tout heureux de me servir en bonne sissy bien dévouée. Je ne manquais pas une occasion de le rabaisser et de l'humilier et il m'adorait pour cela. Il était passé du statut d'époux à celui de simple objet, comme le bon esclave qu'il était.
Quant à moi, je ne cherche ni amant , ni amante. J'ai fini par sombrer dans la pure mystique et ne plus m’intéresser qu'au Royaume des Cieux. J'ai compris qu'avoir les deux sexe en soi est la vraie plénitude, le vrai calme, la vraie liberté. Je vis tout le temps en apparence femme, mais mon pénis est beau et fort entre mes jambes. Une blague des dieux. Parfois je recueille mon sperme dans une cuillère en or et je la donne à lécher à jean Michel. Rien ne peut lui faire plus plaisir, surtout qu'après il a droit au fouet arabe, celui pour dresser les mules.
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Au sortir de son bain bouillant, à la japonaise, juste après son viol en pleine rue, Jenny prend une décision rapide. C'est une évidence. Elle ne peut pas perdre la face en parlant de viol aussi elle décide de devenir la Maitresse dans les deux sens du terme de Skhor, le seigneur de guerre des quartiers nord. Elle retourne à son bureau et fait comme si rien ne s'était passé. Les deux policiers péteux qui ne sont pas intervenus la regardent en biais. Ils ont honte de leur propre peur. C'est vrai que Skhor n'a pas d'état d'âme. Il coupe un homme en deux avec sa hache plus coupante qu'un rasoir et discute après avoir uriné sur ses victimes. Jenny elle n'a pas peur, ce crétin de viking l'a bien faite jouir et après tout, elle sait qu'il a prit son pied. Ses affaires réglées, elle décide le soir même de se rendre chez Skhor, dans sa hutte en bois sur un toit d'immeuble.
Elle est pour le moins fort mal accueillie par ses deux guerrières lesbiennes qui gardent sa demeure. Mais Jenny ne les craint pas. Elle ne peut s’empêcher de sourire comme un félin rusé. . Skhor m' a baisée et me baisera encore et pas vous, grosses connes, et c'est moi qui bientôt vais commander ici, pense t'elle en montrant ses dents coupantes et luisantes. Le Viking la reçoit, Il est bien emmeché à la bière forte qu'il boit par litres. Il est nu et se prélasse dans un amas de couvertures soyeuses, de coussins, de tentures chatoyantes. Deux femmes nues superbes sont avec lui. Jenny les toise et écarte les jambes. elle ne craint pas la concurrence.
-Ah c'est toi la pétasse que j'ai enculée tout à l'heure?
-Oui, Seigneur Khor, merci pour cet acompte mais j'ai encore envie.
Les yeux noir de prédateur du viking sont sur elle. Il l'a sonde en esprit. il voit à l’intérieur d'elle. Il esquisse un sourire et essuie sa barbe d'un revers de main. Jenny est la pire salope des quartiers nord, elle n'a pas froid au yeux et il aime cela. Il chasse les deux autres femmes superbes de sa couche et invite la Commandante en uniforme tirée à quatre épingles à le rejoindre.
Jenny sait qu'elle vient de gagner. un autre combat commence, tout en finesse. dompter ce fauve, cette brute criminelle, en faire sa chose, son objet, sa propriété. Un jeu passionnant pour elle commence. Tous ses neurones sont en éveil. Tout cela stimule son intelligence. C'est elle qui chasse à présent. Les muscles du Viking, sa bite bien grosse et bien tendue, cela l'amuse. Elle a soif de pouvoir. Les quartiers nord sont à elle. Et skhor, ne sera bientôt plus qu'un molosse bien obéissant.
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