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ViktorLyon

Homme switch. Vit à Lyon, France. 53 ans. est en couple et c'est compliqué.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/08/20
Sur ce canapé de cuir, la main de Caroline, mon étudiante dominatrice, sur ma cuisse, Ennia face à moi, j’étais simplement tétanisé. Je ne pouvais détacher mon regard de la créature sexuelle qui s’exhibait face à moi. Je ne pouvais pas non plus ignorer la main de la plus excitante de mes étudiantes remontant vers ma queue déjà tendue. Ma réflexion était anesthésiée par l’afflux massif d’hormones, de fantasmes, d’interdits entre un professeur et ses élèves… La bouche de Caroline s’était rapprochée de mon oreille et c’est sa voix qui me ramena parmi elles : – Je te vois la regarder, depuis le début de l’année. Je sais qu’elle t’excite, et tu dois sûrement te branler en l’imaginant. Cette petite chienne est ma soumise, depuis 6 mois. Elle m’appartient. Je te l’offre. A une condition. J’avais retrouvé un semblant de réflexion et je savais que si j’avais encore une chance de partir, c’était maintenant. Si je ne voulais pas mettre ma carrière de professeur en danger, et sans doute mon couple et ma famille, je devais me lever et partir. Maintenant. -Laquelle ? m’entendis-je répondre. Je te l’offre si tu t’offres à moi. Elle t’excite mais moi, c’est toi qui m’excite. Je te veux. Tu vas devenir ma pute mâle, mon soumis, mon objet sexuel. Je suis une Dominatrice, et je te veux. Je ne pense qu’à cela depuis que je t’ai vu. Je veux te dresser et je vais te dresser. Sa main était remontée se poser sur ma queue, accentuant si il en était encore besoin mon érection. Caroline affermit sa prise, serrant plus fort à travers mon pantalon de costume. Cette divine manipulatrice me masturbait, très lentement, alors que mon regard ne quittait pas Ennia des yeux. – Ma chienne, excite le un peu… montre lui ce que tu as à lui offrir…. fais moi honneur ma petite pute, allez !. Ennia obéissait sans rechigner. Elle avait fait glisser sa jupe à ses pieds, apparaissant en dim-up, sexe nu, avec son petit haut transparent qui ne cachait rien de ses seins. Elle commença à onduler en se rapprochant. Une danse qui me fascinait et me faisait bander plus fort sous les doigts de Caroline. -Allez ma pute…. caresse toi pour ton professeur. Montre lui que tu es une vraie chienne en chaleur. Ennia faisait glisser ses mains sur son corps. Pinçant et étirant ses pointes à travers le voile, caressant ses lèvres, cuisses écartées, se tournant pour prendre ses globes à pleines mains, les écarter et m’offrir une vue directe sur son sillon, son oeillet mauve et sa chatte que je devinais trempée. Caroline avait extrait ma queue de mon pantalon et je sentais ses doigts chaud me serrer, de plus en plus fort, ce qui me fit gémir. J’aimais ça. Elle devait l’avoir deviné, je ne voyais pas d’autre explication. Elle devait savoir que je ne protesterais pas, que je resterais, que je me soumettrais parce que je rêvais de cela. Ennia serait le cadeau qui scellerait le pacte, mon pacte avec une diablesse. Oui, elle l’avait certainement senti, et je me foutais de savoir par quel super pouvoir elle m’avait eu. J’étais un homme, et avec ma queue bandée entre ses doigts, elle me dirigeait. Je percevais toute ma misérable condition de mâle dominé par ses pulsions, par son envie de sexe, par sa queue. Un pauvre mâle qui ne pensait qu’à cela, le cul, les culs. Un mâle qui ne pensait qu’à baiser. Elle allait devenir ma drogue et ma dealeuse. Elle l’était déjà du reste, et elle le savait. Je fixais les doigt d’Ennia qui branlaient sa chatte et j’entendis à peine la voix de Caroline lui ordonner d’approcher et de les porter à ma bouche. – Goûte sa chatte, lèche son miel. Tu vois comme elle est déjà trempée…. tu vas la baiser, pas tous les trous. Tu vas l’enculer, baiser sa chatte, tu vas la bouffer, la sucer, et vas enfoncer ta queue dans sa bouche… tu vas voir comme elle suce bien, une vraie pro. Tu vas jouir comme un dingue. Après cela, tu seras à moi, et ton dressage commencera. Ta queue de mâle en rut sera à moi, et elle ne jouira plus que quand je t’en donnerai l’autorisation. Ennia continue à te branler, ne t’arrête pas, il a adore ça. Nous on va adorer quand il devra se branler pour nous. Ennia est ma chienne, mais c’est une femme. Quand toi tu seras ma chose, ma pute mâle, elle deviendra aussi ta Maitresse. Bien que soumise, elle est supérieure à tous les mâles, tous ces chiens qui ne pensent qu’avec leur queue, comme toi. Sa voix était devenue dure. Elle serraient plus fort ses doigts sur ma queue et je commençais à souffrir sérieusement. J’apprendrais plus tard que cette douleur n’était rien, et que je connaîtrais bien pire. Mais pour l’heure, j’avais mal, mais j’aimais ça et elle le savait. Caroline me fit me lever en me tirant par la queue. – Déshabille toi…. et baise cette pute, baise la autant que tu veux, elle est à toi, tant que je l’ordonne. Je ne réfléchissais plus. Pilote automatique. Désir de baiser. Chatte, cul, seins, son goût sur ma langue, l’odeur de sa liqueur, sa langue dans ma bouche, la mienne dans sa chatte, entre ses fesses sur son anneau, ma queue dans sa bouche, dans son cul, ses doigts dans le mien, ses seins sous mes mains, sa bouche soudée à la mienne pendant que je m’enfonçe dans son ventre. Je suis une machine, une queue, plus rien qu’une queue qui baise, s’enfonce, ressort s’enfonce encore et ailleurs. Frénésie, folie sexuelle. Ennia me semble atteinte elle aussi. Nous ne sommes que cris, gémissements, mots crus, peaux luisantes de sueur, bras et jambes emmêlées, langues sorties, insatiables. Je remarque à peine Caroline qui tourne autour de nous, son téléphone à la main. Je m’en fous, je me fous de tout sauf de la chatte d’Ennia qui vient s’écraser sur ma bouche. Je la bouffe encore et encore et elle me suce encore et encore. Nous jouissons à nouveau dans ce dernier 69 qui nous laisse morts, repus de sexe et de plaisir. Nous reprenons notre souffle lentement, Caroline nous mitraillant toujours de son objectif. Je la regarde, conscient de ce qui vient de se jouer, mais comme détaché, fataliste. J’ai perdu, elle a gagné. Je n’ai été qu’un mâle faible, dominé par sa queue, comme je l’ai toujours été. Je pourrais encore me relever, lui arracher son téléphone et partir. J’en ai peut-être la force, mais plus la volonté. Ses images ne lui serviront à rien. Elle n’en aura pas besoin pour me faire chanter. Je veux être à elle, je veux être dressé, devenir sa pute, sa chienne. Elle m’a confronté à mon désir profond, à mon fantasme absolu. Je sais en cet instant que je n’aurai jamais qu’une Maîtresse, et que ce sera Caroline. Maîtresse Caroline, mon étudiante dominatrice.
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Par : le 12/08/20
La séance de nettoyage dura longtemps. J’eus droit à trois lavements, administrés par Ennia. Elle prit soin ensuite de me doucher, longuement. Ses mains savonneuses sur mon corps me firent retrouver une certaine vigueur, et la belle rousse ne se privait pas de quelques va et vient sur ma queue de nouveau bandée. Elle termina en épilant soigneusement ma raie culière et ponctua : -Maîtresse adore une raie bien lisse. Et je crois qu’elle te réserve une belle surprise pendant ton dressage. Enfin, peut-être pas pour tout de suite… mais je t’avoue que j’ai hâte de voir ça. Je plongeai mon regard dans le sien et elle se rapprocha jusqu’à presser son corps contre le mien. Nous venions de baiser comme des fous, mais nous avions visiblement encore envie l’un de l’autre. Elle posa sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un long baiser profond pendant lequel elle empoigna ma queue et me masturba très lentement. J’étais sur un nuage. Caroline avait raison. Ennia me faisait fantasmer depuis le début de l’année et jamais je n’aurais pensé vivre ces moments avec elle. Elle se recula un peu, me tenant toujours par la queue. – Tu as entendu ce qu’a dit Maîtresse Caroline. Je suis sa soumise, mais je suis aussi ta supérieure, et tu me dois respect et obéissance. Je sais que je te plais, beaucoup même. Tu me plais aussi, et j’espère avoir souvent l’occasion d’abuser de toi. A genoux ma chienne. Lèche moi un peu… Je lui obéis immédiatement, trop content de la goûter encore. Ennia debout, un pied sur le rebord de la baignoire, moi à genoux sur le carrelage, j’enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la dégustai très lentement. C’est dans cette position que Maîtresse Caroline nous surpris : – Mais vous êtes obsédés ou quoi ? La lope, debout, au milieu du salon, mais sur la tête, immédiatement. Quant à toi, ma chienne, en position, sur le fauteuil !!!. Caroline n’avait pas crié. Nul besoin. Sa voix dure et autoritaire suffisait à nous faire obéir. Je pris la pose ordonnée, et Ennia s’installa, le ventre sur le dossier du fauteuil de cuir, cuisses écartées, cul offert. Maîtresse Caroline s’approcha très lentement. – D’habitude, je te punis sans t’attacher. Mais là, entre tes cris de chienne obscène de tout à l’heure, et le fait que tu te fasses lécher comme un truie sans mon autorisation, je crois que tu mérites une vraie correction, qu’en penses tu ma chienne ? – Comme vous voulez Maîtresse Caroline. Je suis votre chienne, punissez moi, je le mérite. Caroline prit plusieurs cordes et lia Ennia au fauteuil, comme sur un cheval d’arçons, avant de lui poser un bâillon boule. Ennia me faisait face et je pouvais lire une certaine appréhension dans son regard. La situation m’excitait terriblement. Je n’avais jamais assisté à une punition, en réel. Je me contentais de vidéos trouvées sur le net. -Tu as le droit de crier ma chienne. Tu vas te retenir comme d’habitude, mais je vais te faire craquer tu vas voir. Le premier coup de cravache tomba. Le corps d’Ennia se tendit dans ses liens, et la douleur et la surprise emplirent ses yeux. Un deuxième lui arracha un bref gémissement. Caroline frappait fort. Le bruit, la vision d’Ennia attachée et de Caroline maniant la cravache, mon érection devenait incontrôlable. J’aimais ce que je voyais, ce que je ressentais. Et je remerciais en silence Caroline de m’offrir la concrétisation de mes fantasmes. Trois, quatre, cinq… Ennia gémissait à chaque coup. De plus en plus fort. Je ne voyais pas ses fesses, sans doute marquées sérieusement par la cravache vu l’intensité des coups. Mais je voyais son visage. Six, sept, huit, neuf…. Au dixième, elle hurla et rua dans ses liens. Les larmes coulaient et son visage était défait. Elle avait lutté, mais elle craquait. Maîtresse Caroline avait gagné. Onze, douze, treize, quatorze…. Ennia criait sans discontinuer, à moitié étouffée par son bâillon. Caroline prenait son temps. Aucun coup ne s’abattait au même rythme. Elle ménageait le suspens. Caressait la peau du bout de sa cravache, ou le passait entre les cuisses d’Ennia, pour venir tapoter sa chatte. Ennia s’apaisait un peu et Caroline frappait à nouveau, provoquant un autre hurlement de sa soumise. Je souffrais pour elle, et je croisais les doigts de ne jamais subir une telle punition. La douleur me faisait peur. Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf….. -Je vais te passer l’envie de te faire baiser comme la dernière des salopes. Ton cul va te chauffer demain, en cours. Le vingtième s’abattit,le baillon étouffant un dernier hurlement. Ennia, le visage ravagé, semblait irradier la douleur. Et moi je bandais encore plus fort, fasciné par la scène qui venait de se dérouler sous mes yeux. Caroline posa la cravache et plaqua sa main sur la chatte de sa soumise. – Mais c’est qu’elle mouille cette chienne !!! Je te corrige et toi tu dégoulines. Tu es vraiment une pute en chaleur. Tu ne penses qu’à cela…. La prochaine fois, c’est ta chatte que je vais travailler. Ça te fera peut-être passer l’envie !. Caroline n’avait pas retiré sa main. Et je la devinais aller et venir sur les lèvres d’Ennia. Sans doute avait-elle enfoncé ses doigts pour la branler plus profondément. Je voyais le poignet de Caroline bouger d’un bon rythme, et Ennia gémissait de plus en plus fort. – Hmmmm laisse toi aller ma chienne, tu as bien enduré la cravache, je vais t’accorder une petite récompense express. Tu as 1 minute pour jouir. Pas une seconde de plus. Caroline accéléra encore le rythme de ses doigts. Ennia soufflait, criait à travers son bâillon, et elle jouit rapidement, en un nouveau hurlement. De plaisir cette fois. Son visage, bien que marqué par la correction, rayonnait. Elle semblait totalement ailleurs. Caroline retira sa main et me regarda. – A genoux la lope. Puisque tu aimes tellement le goût de sa chatte, viens nettoyer mes doigts. Je me précipitai aux pieds de Caroline, et pris soin de bien lécher et sucer chacun des doigts qu’elle présentait à ma bouche. -Hmmm c’est que tu aimes vraiment ça dis donc…. Tu as besoin d’un bon dressage. Je vais t’entraîner encore un peu, et je pourrai peut-être louer tes services de lécheur. Tu ferais des passes et tu lécherais des chattes pour me ramener un peu de fric, comme une vraie pute. Peut-être même que tu aimes aussi sucer des queues ? Hein ? Tu as déjà sucé une queue ma petite lope ? -Non Maîtresse Caroline, jamais Maîtresse Caroline. Cela me dégoûte. -Ca te dégoute ?!!! Parce que tu crois que c’est toi qui décides ? Tu te rappelles des vidéos ? Du directeur ? Je ne savais plus ou me mettre. Je sentais que je rougissais, et l’idée même de sucer la queue d’un homme me révulsait vraiment. -Je vous en supplie Maîtresse Caroline, pas ça. Je ne pourrai pas ! La gifle fut immédiate. – Tu parles si je t’autorise, sale pute. Tu suceras des queues si j’en ai envie. Je fais faire de toi une vraie lope, qui réclamera du foutre et des queue dures pour lui défoncer le cul !. Les mots de Caroline m’avaient ramené brutalement à la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais pas d’autre choix que de lui obéir. Même si le jeu allait trop loin à mon goût, elle avait les moyens de me contraindre à ce qu’elle désirait. Si elle voulait que je suce des queues, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir y échapper.
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Par : le 13/08/20
Caroline vînt se placer derrière moi. Ses mains caressant mon cul, jouant à écarter mes globes, s’égarant sur ma queue tendue pour quelques rapides va-et-vient. Elle prenait son temps, savourait sa prise de possession à venir. -Hmmmm j’adore cet instant. Déflorer un petit cul quasi vierge, cela me grise ma lope. Je vais te baiser, t’ouvrir, te dilater. Je vais t’apprendre à jouir par le cul, ma chienne. Je vais te faire aimer la sodo tu vas voir. Ennia, va te mettre devant lui, et branle toi un peu pour l’exciter. Même si visiblement il n’en a pas besoin. La petite pute bande comme un âne !. Ennia s’installa dans le fauteuil qui me faisait face. Une jambe passée sur chaque accoudoir, j’avais la plus belle vue qui soit sur sa chatte humide où elle faisait déjà courir ses doigts. Elle se releva, rapprocha le fauteuil et me murmura en plantant ses yeux dans les miens : – Regarde moi… ne lâche pas mon regard. J’ai envie de vivre ta première sodomie dans tes yeux s’il te plaît. Offre moi cela mon coeur…. Elle reprit sa position. Sa chatte trempée à 20 cm de mon visage. Elle m’avait appelé « mon coeur ». Et je sentais une vague d’amour pur me submerger. Comment pouvais-je ressentir cela, maintenant, nu, à quatre pattes sur une table basse, le cul graissé de lubrifiant, un énorme god s’apprêtant à me baiser ? Je ne maîtrisais plus rien et certainement pas mes émotions. Je plantais mon regard dans celui d’Ennia lorsque Maîtresse Caroline posa son gros gland sur mon anneau. -Pousse bien ma lope, tu vas le prendre. En douceur, parce que c’est ta première fois. Profites en, je ne serai pas toujours aussi arrangeante. J’aime baiser mes petites putes sans ménagement. Allez, pousse bien, ouvre toi pour moi ». Maîtresse saisit mes hanches et accentua sa pression. Je sentis ma résistance s’effacer et le gland me pénétrer. Je criai sous la douleur. Je me sentais ouvert, sûr que j’étais déchiré, que je saignais déjà. J’avais le souffle court. Seule l’intensité du regard d’Ennia me permettait de tenir. Maîtresse Caroline poursuivit sa possession, millimètre par millimètre. -Hmmmm tu as passé le plus dur ma pute. Je t’ai ouvert. Oh putain que j’aime ça…. baiser un mec. Je crois que c’est le truc qui me fait le plus mouiller au monde. Allez ma chienne… doucement…. tu vois, je coulisse déjà mieux. Tu t’assouplis bien. Je haletais, gémissais, mes yeux embués de larmes. J’avais mal, mais je ne voulais pas renoncer. J’avais attendu, espéré ce moment depuis si longtemps. Je l’avais rêvé tant de fois. Et je ne pouvais imaginer un meilleur scénario, de meilleures conditions pour perdre mon pucelage. Intérieurement, je remerciais Caroline, Ennia, le ciel et l’enfer. Je remerciais le monde entier de me permettre de vivre cela. Maîtresse Caroline faisait de lents et courts va-et-vient. Elle avait raison, la douleur s’éloignait un peu et je sentais le god coulisser plus facilement. Doucement, elle pénétrait à chaque fois un peu plus profondément. Ses mains caressaient mes fesses, mes hanches. Je me surprenais à tendre mon cul vers ce pieu qui me fourrait, à aller au devant de lui. Et Maîtresse Caroline appréciait. -Hmmm mais c’est que tu aimes ça !! Je le savais, tu es une lope à queue. Bonne à te faire enculer par de belles tiges bien dures. Tu aimes… regarde, tu viens t’enculer toi même ! Une vraie salope en chaleur. Allez… je suis presque à fond. Viens…. pousse encore un peu !. Elle me motivait par quelques claques bien sonores sur mes globes. Je gémissais, et je me sentais totalement parti. J’étais ailleurs. Je n’étais plus moi même, ou alors si, j’ETAIS moi même. Je me faisais baiser, sans aucune retenue. Ce ne sont pas des gémissements de douleurs qui sortaient de ma bouche. Enfin plus tout à fait, et de moins en moins. Le plaisir, plus cérébral que physique en cet instant, gagnait du terrain. Maîtresse le sentait, le savait. Elle en jouait, me possédait. J’étais heureux de pouvoir offrir la victoire à Caroline, heureux de ce que je lisais dans le regard d’Ennia. Elle me souriait, elle aussi avait les yeux embués. Elle me confiera plus tard que mon dépucelage l’avait bouleversée. Que l’émotion que j’avais vécue était si intense qu’elle la ressentait elle aussi à travers mes yeux. -Hmmm ma chienne, je te baise bien. Tu es bien ouvert. Allez, cambre toi mieux que ça ma pute. Offre toi à ta Maîtresse. Caroline me baisait avec plus d’ardeur. Elle se retirait totalement (j’avais alors l’impression d’avoir le cul béant) et s’enfonçait à nouveau avec de moins en moins de douceur. Je gémissais sans discontinuer, oscillant entre douleur et un plaisir physique qui s’alliait de plus en plus à mon plaisir cérébral. Les claques pleuvaient sur mon cul, pas vraiment douloureuses, et je faisais de mon mieux pour m’offrir à ma Maîtresse. Son god me fourrait complètement. Caroline glissa ses mains sous mon torse et attrapa mes tétons. Elle pinça et m’attira à elle, redressant mon buste tout en étirant et faisant rouler mes pointes entre ses doigts. J’adorais cette caresse. Et je laissais échapper un vrai gémissement de plaisir. Maîtresse Caroline m’amenait peu à peu vers la jouissance, en baisant mon cul !!! – La chienne, tu arrêtes de te branler et tu viens sucer sa queue. On va le faire bien jouir. Allez la lope, laisse toi aller, apprécie de te faire enculer et montre moi que tu aimes ça !!!. Ennia tomba à genoux et enfourna ma queue tendue dans sa bouche. Ce contact brûlant manqua de me faire gicler. Maîtresse Caroline me baisait de plus en plus fort, sans lâcher mes tétons qu’elle torturait entre ses doigts. La langue d’Ennia, ses doigts qui me masturbaient, caressaient mes couilles, sa bouche qui allait et venait au rythme du god-ceinture qui me fourrait.. tout cela me fit exploser dans un long cri de plaisir et je me vidais sur la langue de ma déesse rousse. Un orgasme ravageur, d’une intensité que je n’avais encore jamais connu. Maîtresse se retira de mon cul et je tombais sur la moquette. Ennia vient se coucher sur moi, et lentement colla sa bouche pleine de mon sperme sur la mienne pour un long jeu de langue, un baiser d’une tendresse inouïe. – J’ai joui, j’ai joui en même temps que toi, sans avoir besoin de me toucher. Quand tu as déchargé, quand tu as crié, ce que j’ai ressenti était si fort, que je suis partie complètement. Tu sais, je crois que je…. » Je l’interrompis dans un souffle… murmurant à mon tour, mes yeux plongés dans les siens : – Chuuuttt…. je t’en supplie… ne le dis pas… pas maintenant. Moi aussi. Mais je n’ai pas la force de l’entendre, s’il te plaît Ennia…. Et je fondis en larme. Un flot de larmes que je ne pouvais arrêter. Je n’avais jamais pleuré comme cela. C’était comme si toute mes frustrations, mes interrogations, mes inquiétudes… tout ce poids que j’avais traîné depuis tant d’années s’évacuait. Je me libérais et cela faisait si mal. Ennia me serrait dans ses bras, caressait mes cheveux, me murmurait des paroles apaisantes. Sa chaleur me faisait du bien et je savais que je pouvais me laisser aller. Il FALLAIT que je me laisse aller. Que je meurs, pour mieux renaître, ici et maintenant.
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Par : le 08/08/20
Avant-propos: Ce récit est celui d’une naissance, d’un apprentissage, d’un dressage mais aussi celui d’une descente aux enfers pour connaître le paradis. Puissent ces mots faire voyager votre imaginaire, puissent-ils vous exciter, que vous soyez Maîtresse ou soumis. Vécu ou fantasme, vous choisirez. Chapitre 1 Cela faisait maintenant deux mois que, chaque semaine, je gagnais la capitale pour 2 jours. Deux mois que j’avais enfilé mon costume de professeur au sein de l’Ecole Supérieure de Journalisme et que j’enseignais, ou plutôt tentais d’enseigner à mes élèves l’art du commentaire sur image. Deux mois que j’essayais aussi de les déformater, d’ôter de leurs esprits jeunes et déjà si conformistes ces clichés et certitudes qui font de notre profession une des plus détestées du grand public. J’étais moi-même journaliste, issu de cette école, et j’avais retrouvé avec plaisir ce quartier du XIIIème, Tolbiac et cette Asie parisienne qui m’avait fait si souvent voyager vers un ailleurs plus fantasmé que réel. J’avais en charge deux classes, que je voyais chacune 3 heures par semaine. 30 élèves par classe, une majorité de jeunes filles qui rêvaient pour la plupart de marcher dans les pas de Claire Chazal. Quelques élèves brillants, une majorité qui ne deviendrait jamais de bons journalistes, et quelques uns qui arrêteraient sans doute en cours d’année. Deux mois avaient été suffisants pour avoir mes préférences. Ma préférée aussi. Caroline. Brune au teint mat, pas la plus belle, mais celle qui dégageait le plus d’énergie, la seule dont j’avais du mal à soutenir le regard. Un regard dur, brûlant, qui semblait me sonder, plonger en moi pour mettre au jour mes secrets les plus inavouables. C’était aussi, à mon sens, la plus brillante, sachant écrire et raconter, captiver par ses mots toujours justes. Caroline avait son acolyte, Ennia. Sa colocataire d’après ce que je savais. Rousse au corps de rêve et au minois d’actrice porno un brin vulgaire, qui venait souvent peupler mes masturbations solitaires, le soir, dans ma chambre d’hôtel lorsque je l’avais eue en cours l’après-midi. Leur duo, assis au second rang, me faisait fantasmer. Et je les imaginais dans les tenues les plus sensuelles. Le plus souvent, elles finissaient vêtues de cuir ou de latex, et je jouissais alors qu’elles faisaient de moi, professeur soumis, leur esclave sexuel lors de face-sitting très humides. Mais cela n’était que rêve, et du haut de mes 40 ans, je savais n’avoir aucune chance, malgré ma belle gueule et mon look « petit journal », de les avoir un jour dans mon lit et de pouvoir les honorer de ma langue. Après mes cours, je rejoignais un café-restaurant où j’avais autrefois mes habitudes. Je me posais une heure ou deux pour y lire ou appeler ma famille avant de rejoindre mon hôtel. Cette routine dura jusqu’à la mi-décembre, jusqu’à ce jeudi où ma vie bascula dans un monde que je croyais jusqu’alors inaccessible. J’avais achevé 3 heures de cours plutôt intenses à disserter sur la liberté des médias en France, puis discuté longuement avec le directeur, un vieil ami, et j’avais gagné, sous une pluie battante, mon café préféré. -Monsieur, vous pouvez vous asseoir avec nous si vous voulez. C’est Ennia qui avait parlé, Caroline se contentant de me sonder du regard, comme à son habitude, affichant un petit air narquois. -Vous êtes trempé on dirait. Je bredouillais un vague merci, et prenais place sur la banquette, à côté d’Ennia, juste en face de Caroline. J’étais un homme sûr de moi. Séducteur invétéré, j’aimais les femmes et cela se voyait m’avait-on souvent dit. Mais là, je me sentais presque mal à l’aise, ou plutôt intimidé. Les deux jeunes filles avaient visiblement commencé à travailler sur le devoir que je leur avais donné pour la semaine suivante. Le grand sac de Caroline, posé sur la table, vomissait feuilles de cours et stylo, et un livre à la couverture grise que je remarquais immédiatement : « Scéances ». Un titre d’une belle écriture rouge sang, au dessus d’un fouet de cuir noir. J’avais sans doute bloqué quelques secondes de trop sur la couverture et lorsque je croisai le regard de Caroline, celui-ci se fit plus intense, et son sourire très particulier. Pour masquer mon trouble, je leur proposai de renouveler leurs consommations et me levai pour aller commander au bar. Je ne pensais plus qu’à une seule chose, la couverture de ce livre dépassant de son sac, ce titre évocateur et ce fouet. Avais-je mal vu ? Je n’étais plus sûr de rien. Et je redoutais mon retour à leur table, me demandant comment j’allais bien pouvoir dissimuler mon trouble. Ennia vînt à mon secours, involontairement, en se faisant la plus bavarde, m’interrogeant sur le métier, les débouchés, la difficulté de trouver un stage. Caroline était moins loquace, mais elle me scrutait, et à chaque fois que je croisais son regard, elle affichait toujours le même sourire. Et ce sourire ne disait qu’une chose : je sais ce que tu as vu. La nuit tombait déjà bien que l’horloge n’afficha que 17 heures, et je songeais à prendre congé de ces demoiselles. Sans doute pour échapper au regard inquisiteur de Caroline, qui me troublait de plus en plus. Mais avant que je n’ouvre la bouche, Caroline planta son regard dans le mien. – Nous habitons juste à côté, venez prendre un verre, nous pourrons continuer cette conversation et j’aimerais vous montrer l’article sur lequel je travaille, vous savez, l’enquête que vous nous avez imposée pour la rentrée. Une invitation qui ne souffrait aucun refus, refus dont j’étais d’ailleurs incapable. – Avec plaisir, je vous suis. Elles habitaient effectivement à quelques minutes. Elles étaient bien colocataires d’un appartement assez spacieux, au 5ème étage d’une des tours de l’avenue de Choisy. Un appartement meublé avec goût, teintes sombres, tapis, bougies un peu partout. – Mettez-vous à l’aise, je vais chercher quelque chose à boire. Ennia prenait visiblement les choses en mains, jouant les maîtresses de maison accomplies, pendant que Caroline s’installait dans le canapé. Ennia revînt rapidement avec les boissons et Caroline l’apostropha, d’une voix que je trouvai assez dure : -allume les bougies, et vas te changer. Je ne montrais rien de ma surprise, mais mon trouble se fit plus intense. D’ordinaire volubile, je gardai le silence. Caroline tapota le canapé à côté d’elle : – Venez vous asseoir ici, je vais vous montrer ce que j’ai déjà écrit pour l’enquête. Ma respiration s’était accélérée lorsque je pris place à côté d’elle. Elle colla immédiatement sa cuisse contre la mienne, en étalant ses feuilles. -Lisez, et vous me direz ce que vous en pensez. Je me plongeai dans la lecture, trop content d’avoir de quoi distraire mes pensées qui divaguaient du côté de mes fantasmes secrets. La lecture me prit quelques minutes. Je sentais toujours la cuisse de Caroline contre moi, mais cela n’avait pas l’air de la gêner, elle. – C’est, disons, un très bon début. Mais il y a des passages qu’il faudrait retravailler. Ce n’est pas assez argumenté et vous vous embrouillez un peu dans votre démonstration. Il vous manque un fil conducteur….. Le regard de Caroline ne cachait pas sa contrariété, et je me sentis presque mal à l’aise. J’avais été professionnel, honnête, et je craignais d’avoir été un peu trop dur. Le retour d’Ennia au salon me stoppa net dans mes réflexions. Elle avait troqué son jean contre une juppe noire, ultra courte, qui laissait apparaître des dim-up. Talons aiguilles à ses pieds, haut noir quasi transparent, sans soutien-gorge, ses cheveux réunis en une longue tresse rousse. J’en restai sans voix, fasciné par sa beauté, et l’érotisme qu’elle dégageait. -Je… euh….. je vais peut-être vous laisser. Je dois travailler sur mon cours de demain et il se fait tard dis-je sans quitter des yeux la déesse sexuelle qui venait de faire son apparition. -Tu devrais rester répliqua Caroline, en posant sa main sur ma cuisse. Ma petite chienne s’est faite belle pour toi.
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Par : le 13/08/20
– Tu sais, ça m’excite vraiment de voir un mec se faire dominer par un autre mec. J’adore regarder ce genre de vidéos. Avec toi, je vais pouvoir avoir ça en vrai ! Un bon suceur, un bouffeur de queue qui se fera bien dilater le cul. Je vais te choisir des amants hors normes ma pute. Je vais me régaler. Rien que d’y penser je mouille ! Mais comme je suis une bonne Maîtresse, je vais te préparer t’inquiète pas ma pute. Tu vas voir, je suis très gentille en fait. Je restai dans ma position, à genoux, yeux baissés. Les mots de Maîtresse Caroline m’avaient fait débander. Je ne m’imaginais absolument pas offert à des gays dominants qui feraient de moi leur lope. Mais je savais aussi que je n’avais pas vraiment les moyens de négocier avec Caroline. -Ennia, ma salope en chaleur, va chercher de quoi travailler ma nouvelle lope. Il va falloir qu’on la prépare. J’ai vraiment envie de réaliser mon fantasme, et pas dans trois mois. Ennia disparut à la salle de bains et revînt rapidement avec un plateau qu’elle déposa sur le guéridon, à côté de Caroline. Je n’osai lever les yeux pour regarder mais j’imaginais sans peine qu’elle allait vouloir assouplir mon cul. Je ne lui avais pas dit que c’était là un des mes fantasmes les plus intenses. Je me sentais profondément hétéro. Les hommes ne m’avaient jamais attiré. Au contraire. Mais je voulais découvrir le plaisir anal avec une femme, me faire prendre par un god ceinture. Si possible celui de ma Maîtresse. J’en avais vraiment envie, et je me mis à rebander immédiatement. Maîtresse Caroline le remarqua. – On fait sa mijaurée mais quand je parle de te fourrer le cul tu bandes bien dur ma lope. Tu vois que tu en as envie. Tu vas aimer. Mais pas autant que moi !. Elle pris un collier, large, noir, et me le passa autour du cou. Elle y attacha une laisse et me tira brutalement. – Allez la lope, en position. A quatre pattes sur la table basse. Je n’avais pas vu qu’elle avait aussi empoigné sa cravache. – Tu es une pute à baiser maintenant, alors offre toi bien. Cambres toi mieux que cela sale chienne. Ma dominatrice perverse ponctua son ordre d’un coup de cravache sur mes fesses. Je laissai échapper un cri, plus de surprise que de douleur. – Je t’ai à peine touché. Tu te fous de moi ou quoi ? Cinq coups, pour t’apprendre à la fermer. Compte et remercie moi. -Schlaaack. Un, merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack. Deux. Merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack Trois. Merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack Cinq. Merci Maîtresse -C’EST MAITRESSE CAROLINE PETITE PUTE DEBILE. Tu viens d’en gagner un sixième ! Et elle frappa plus fort. J’étouffais tant bien que mal un cri de douleur. J’avais l’impression d’avoir le cul en feu, et je savais qu’elle avait frappé moins fort que tout à l’heure, avec Ennia. Elle avait vraiment du souffrir le martyr. Je n’aimais pas la cravache, et j’avais mal. – La salope, prépare le. Et mets la dose. Je suis énervée maintenant. J’ai besoin de me calmer. Tant pis pour lui ! Tu as 5 minutes, je reviens. Je sentis les doigts d’Ennia se poser sur mon anus. Ma seconde Maîtresse me caressait doucement, étalant un liquide froid que je savais être du lubrifiant. Elle me pénétra d’un doigt, le faisant coulisser. J’adorais cette sensation, pour l’avoir souvent expérimenté par moi-même. – Détends toi…. je vais te dilater un peu plus. Elle enfonça un deuxième doigt. J’essayais de me cambrer au maximum, et de bien lui offrir mon trou. Je venais même à la rencontre de ses doigts, pour lui signifier qu’elle pouvait y aller. Elle se retira et remplaça ses doigts par une canule fixée sur la bouteille de lubrifiant. Elle m’en injecta une bonne dose puis repris son massage anal, en ajoutant un troisième doigt, plus difficilement. -Tu es étroit je trouve, tu as vraiment besoin d’être assoupli, sinon tu vas morfler. Tu sais, je n’ai jamais enculé un mec, mais c’est mon fantasme. Maîtresse m’a promis qu’elle me permettrait de te baiser, un jour prochain. Baisé par ma déesse rousse. L’idée d’appartenir à Ennia me fit bander instantanément. Et je me mis à rêver, sans plus aucune retenue, l’imaginant avec un god ceinture énorme, la suppliant de me baiser, de faire de moi sa femelle. L’appelant mon amour, ma chérie. Je tombais amoureux d’elle. Et cette évidence me bouleversait. Je vivais. J’exaltais. Je brûlais de ce feu auquel je ne pensais pas me réchauffer à nouveau. J’avais 20 ans, et j’étais emporté par cet élan de liberté et de sentiments. J’avais besoin d’elle. Besoin de la sentir, de pouvoir la regarder, de son sourire, de son corps. J’étais accro. Dès la première prise. Pire qu’un pipe de crack. Et si pour avoir ma dose, je devais devenir la pute, la chienne de Maîtresse Caroline et accepter d’aller loin, très loin dans la soumission aux désirs de ma Maîtresse, j’en acceptais par avance les conséquences. Servir Caroline était la concrétisation de mes fantasmes. Aimer Ennia et pouvoir vivre cet amour était bien au delà. J’étais sans doute fou de penser tout cela. Caroline devait m’avoir drogué pour que je délire à ce point. J’étais un homme marié, un père de famille, et je redevenais un ado transi d’amour pour une déesse aux cheveux rouges. Je ne savais plus rien. Je ne savais qu’une chose. Alors que les doigts d’Ennia me fouillaient le cul, j’étais en transe et j’en voulais plus. -Alors, ma lope est prête ?. Caroline revenait. Plus sublime dominatrice encore que dans mes rêves les plus érotiques. Corset de latex, longs gants, cuissardes aux talons aiguilles vertigineux. Une créature surgit d’internet où pullulent les Maîtresses aux physiques parfaits, dignes de l’objectif de Christophe Mourthé. Elle était belle, attirante, et la plus excitante femme qui soit au monde. Du moins à mes yeux et en cet instant. Mon désir de me soumettre atteignait son apogée. (NDLA: Le désir sexuel, au risque de déplaire à nombre de Maîtresses et de paraître d’un égoïsme typiquement masculin, a toujours alimenté mon désir de soumission. J’ai besoin de désirer une femme pour me donner à elle et pour la servir. Ce désir physique est indispensable pour moi, même s’il est aussi, et je le sais parfaitement, ma plus grande faiblesse. En le maîtrisant, une femme dominatrice possède le moyen le plus sûr de s’assurer mon obéissance. Sans ce désir, je ne suis qu’un gentleman, respectueux des femmes. Mais si une Maîtresse me séduit, si elle sait jouer de mon désir, alors je deviens le plus dévoué des esclaves.) -Hmmm tu n’y es pas allée de main morte ma chienne. Tu l’as gavé de lubrifiant. On dirait qu’il mouille de la chatte. Tu as peur que je lui fasse mal ou quoi ?. En prononçant ses derniers mots, Maîtresse Caroline posa la pointe d’un plug sur mon anneau et poussa d’un coup. Je laissai échapper un bref gémissement, de surprise plus que de douleur. Caroline avait du utiliser le plus petit de ses plugs et je n’avais pas souffert. Etonnée par la facilité avec laquelle elle m’avait pénétré. Sans doute les doigts de ma déesse rousse m’avaient-il bien préparé, avec la douceur qu’elle me témoignera toujours lorsque nous serons ensemble, et ce encore aujourd’hui. -Et bien ma pute…. on dirait que ton cul est fait pour ça. Tu es étroit mais très souple…. on va essayer avec un plus gros calibre. Regarde ! Maîtresse Caroline me présentait un plug beaucoup plus gros. Conique et d’un noir luisant. -Il fait 5 cm à sa base. Celui-là, tu vas le sentir passer. Elle pesa d’abord doucement sur ma rondelle. M’ouvrant petit à petit. Il était effectivement beaucoup plus large, et même si j’étais bien graissé, la dilatation devint rapidement douloureuse. -Pousse ma chienne… je suis sûre que tu peux le prendre. Maîtresse Caroline appuya plus fort et mon anneau céda, m’arrachant un cri de douleur, aussitôt ponctué d’une claque sur mon cul. – Chuuuut ma lope. Tu souffres en silence ou je te corrige à la cravache. Tu es bien rempli. On va le laisser un peu en place, que tu t’habitues. Je veux que tu te dilates au plug chaque jour. Je te donnerai un programme d’entrainement, progressif. Je veux que ma lope soit bien ouverte, et toujours prête à se faire enculer. La truie, passe moi mon god-ceinture. C’est pas le tout de lui entraîner le cul, il faut aussi entraîner sa bouche et sa langue, si je veux en faire un bon suceur de queue. Ennia aida Maîtresse Caroline à passer un très beau god-ceinture noir. Je le trouvais énorme, avec un gros gland, et des veines saillantes. Un magnifique objet, et aussi effrayant. Elle le présenta à ma bouche. – Allez ma lope, sors ta langue et montre moi ce que tu sais faire. Toi, ma petite salope, continue à lui travailler le cul avec le plug. Je tirais ma langue et commençais à lécher le gland, doucement, à petits coups. Je l’enfonçais entre mes lèvres, léchai à nouveau, en pensant à la façon dont moi j’aimerais être sucé. Je pensais bien faire, mais ce n’était pas du goût de Maîtresse Caroline. Elle arracha le god à mes lèvres et me gifla. -Trainée, tu suces comme une godiche. T’as vraiment besoin d’être dressée ma lope. Tu ne penses pas faire jouir un mec comme ça quand même ? Allez… appliques toi, et regarde moi dans les yeux. C’est MA queue que tu suces. Donne moi du plaisir, excite moi, montre moi que tu es une vraie chienne en chaleur qui aime la queue. J’étais vexé. Et j’avais honte de l’être. Je ne suçais pas bien aux dires de ma Maîtresse, et même si imaginer sucer une vraie queue me dégoûtait, j’étais pourtant vexé de ne pas y arriver. Il faudrait que je réfléchisse à ce sentiment, plus tard. Pour l’heure je repris ma fellation, essayant au mieux de satisfaire les désirs de Maîtresse Caroline. Aspirant, suçant le gland, léchant les couilles, l’enfonçant le plus profond possible entre mes lèvres, à la limite du haut-le-coeur, accélérant, ou au contraire ralentissant, très lentement, juste en léchant le gland. Et je regardai Maîtresse dans les yeux. Cette situation m’excitait. Je me sentais humilié mais j’aimais ce sentiment d’humiliation, que Maîtresse Caroline me transforme en suceuse me faisait bander comme un âne. Les sensations du plug dans mon cul n’y étaient pas étrangères bien sûr. Mais regarder Maîtresse Caroline, avoir l’impression qu’elle ressentait vraiment les caresses de ma langue, de ma bouche sur son god-ceinture, cela me transportait, ailleurs. Quelque chose d’intense passait par nos regards soudés. Je ressentais toute la force de ma Maîtresse. Tout son désir aussi. Je m’en nourrissais. Caroline avait peut-être raison. J’étais une pute à queues qui s’ignorait, une chienne qui aimerait sucer et se faire baiser aussi. -Allez, débouche son cul. Tu l’as assez préparé. A mon tour de bien l’enculer.
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Par : le 19/08/20
La pause de fin d’année fut à la fois un calvaire et une libération. Les aveux à ma femme, l’ambiance de Noël, en famille, alors que la décision de nous séparer était prise. Les contacts réguliers avec Maîtresse Caroline, qui acceptait de m’héberger dès la rentrée, en attendant que je trouve un logement. J’avais réussi à négocier plus d’heures de cours dès janvier. J’exercerai désormais mon rôle de professeur quasiment à plein temps, et vivrai donc à Paris, aux pieds de ma Maîtresse, totalement soumis à elle. J’étais à la veille de repartir pour Paris. Au fond du trou même si je savais que ma libération, ma renaissance se ferait par mon appartenance à Maîtresse Caroline, par ma soumission à ses envies, par l’assouvissement de mes pulsions profondes. Je quittais la plus grande partie de ma vie. Cela me laissait un goût amer, un goût d’échec personnel et j’avais du mal à encaisser. Me donner entièrement à Maîtresse Caroline, lui confier ma destiné, la gestion de mon temps à son service, cela m’aiderait à passer le cap. Ne plus réfléchir, mais juste obéir et m’en remettre à elle, en fait être totalement soumis à elle. Durant ces deux semaines, je n’avais pas osé interroger Maîtresse sur l’absence d’Ennia. Je souffrais du manque d’elle. Et ce manque me consumait de l’intérieur. Besoin d’elle, de son regard, de sa peau, de sa chaleur, de son odeur…. besoin. Soif. Faim. A en crever. Une vraie obsession. Si Maîtresse Caroline souhaitait repousser mes limites, je me savais d’ores et déjà capable de surpasser ses désirs, si cela me permettait de retrouver Ennia. Plus que quelques heures avant la gare de Lyon, et ma nouvelle vie. Maîtresse Caroline avait dit qu’elle serait là pour m’accueillir… "A moins que je n’envoie quelqu’un d’autre prendre livraison de ma petite pute. D’ailleurs, pour ce dernier voyage, tu porteras bas et string. Et ton plug bien entendu. N’oublie pas de t’épiler… tu es libre maintenant, alors j’exige que ma pute soit lisse". Ainsi, J’avais obéi. Et c’est en bas et string sous mon costume, le cul bien rempli par un plug, que le TGV me transportait vers ma seconde vie. Les kilomètres avalés par le serpent du rail me vidaient peu à peu de mon angoisse, de ma tristesse, de mes regrets. Pendant le voyage, je me pris à imaginer mon arrivée à la gare de Lyon, et surtout l’accueil de Maîtresse Caroline. Mes fantasmes divaguaient… mais rien ne se passa comme prévu. Personne n’était là sur le quai à ma descente du train. Cependant, un peu plus loin, une femme d’une quarantaine d’années attendait, tenant une pancarte avec mon prénom et le nom de famille « Lapute »… Les gens hilares, moquant cet inconnu au nom importable. Je réduisis donc l’allure de ma marche et je retardais au maximum ma rencontre avec celle qui m’attendait. Car je saivais que ce monsieur « Lapute », c’était moi. Maîtresse Caroline avait voulu frapper un grand coup pour mon arrivée, mon passage d’homme « libre » à « petite pute à pleine temps ».. J’approchai de la femme. Plutôt grande, un visage dur, et une classe qui fait se retourner sur elle les vrais hommes, dans la rue. Par vrais hommes, j’entends ceux sensibles à la vraie féminité, celle là même qui est le contraire de la faiblesse. Cette femme dégageait une telle assurance, une telle puissance oserais-je dire. J’arrivai à sa hauteur et prononca un discret « Bonjour Madame, je suis Victor », en regardant ses pieds. La réponse fut immédiate, une gifle cinglante qui fit se retourner les passagers encore sur le quai. « Tu es en retard Lapute… ta Maîtresse en sera avertie, compte sur moi ». Le TGV avait effectivement 10 mn de retard. Je voulus disparaître. J’entendais les moqueries des spectateurs de mon humiliation. « Suis moi la pute, et ne traine pas ». La surprise, le fait d’être humilié ici, en pleine gare de Lyon, le plug qui me remplissait le cul, les regards posés sur moi…. j'étais à la limite de la rupture. Cependant, je suivis Madame, sans un mot. Sortie de la gare pour rejoindre un véhicule garé dans une rue adjacente. Une berline noire, qui ressemblait un peu à une limousine sans en avoir la démesure. Un chauffeur en sortit, ouvrit le coffre et déposa ma valise. Puis il ouvrit la portière arrière. Madame se tourna vers moi et m’ordonna sèchement de monter à bord. La voiture démarra, et se glissa dans le flot de la circulation. Les vitres arrières étaient teintées, très foncées. « A poil la pute. Tu gardes tes bas et ton plug. Rien d’autre ». Je m’exécutai sans discuter. Madame ramassa mes vêtements et s’adressa au chauffeur : « Ouvre la fenêtre ! ». Je la regardai, tétanisé, balancer le tout sur la chaussée. J'étais en dim-up, le cul remplit, sans plus aucun vêtement, à l’arrière d’une voiture qui m’emmènait je ne sais où. J’avais peur et je me raccrochais comme je pouvais à la seule chose qui existait encore à mes yeux : la confiance que j’avais en Maîtresse Caroline, et mon désir d’être totalement soumis à elle. Madame me banda les yeux, puis m’ordonna de m’allonger sur le sol. Elle se positionna au milieu de la banquette arrière, ses talons se posés sur mon ventre. Le trajet dura. Je ne voyais rien et perdis la notion du temps. Madame joua de la pointe de son escarpin avec ma queue. La situation, le contact du cuir, mon désir sexuel frustré… tout cela me faisait bander, dur. « Tu es en rut… Ta Maîtresse va très vite te remettre en cage, crois-moi. Je vais devoir faire quelque chose, je ne permettrai pas que tu ne présentes à elle dans cet état. Tu ne voudrais pas non plus, n’est-ce pas, la pute ? ». Madame posa son escarpin sur ma queue, et elle accentua la pression, tout en m’interrogeant. Comme je tardai à répondre, la pointe de son talon s’enfonca un peu plus. Je gémis sous la douleur qui ne me faisait pas bander moins, bien au contraire… « Non Madame, je ne voudrais pas me présenter à ma Maîtresse comme cela Madame ». Elle fit rouler ma queue gonflée sous sa semelle, m’arrachant des gémissements de plus en plus intenses… « N’as tu pas appris à te taire la pute ? » Je cessai mes jérémiades et j’encaissai la douleur, par ailleurs délicieusement excitante. « Je ne vois qu’une solution, tu vas te branler. Allez…. tu as 3 minutes pour te vider les couilles et te ramollir… BRANLE TOI !!! Je veux que tu gicles sur mon pied, allez… C’est sans doute la dernière fois que quelqu’un t’autorise à le faire, avant longtemps. Peut-être même la dernière fois tout court ». Je m’exécutai immédiatement. Trop envie. Besoin. Désir… je ne réalisai pas immédiatement qu’elle dit peut-être vrai. Que je me branlais peut-être pour la dernière fois. Le plaisir monta rapidement. J’avais essayé de résister durant ces deux semaines, comme Maîtresse me l’avait demandé. Je ne m'étais caressé que deux fois, je n’avais pas tenu l’abstinence totale. Je me masturbai rapidement. Le plaisir vint…. en même temps que ma prise de conscience de l’abandon de ma sexualité, du contrôle de ma sexualité. Contrôle que j'allais remettre entre les mains de Maîtresse Caroline. Je rendais les armes. Par le renoncement à cette acte si simple, que je pratique depuis si longtemps, si animal… la masturbation… je rendais les armes. J’abandonnais, je m’abandonnais donc à ma Maîtresse. Je jouis alors que les larmes perlent à mes yeux. Explosion de plaisir, jets de foutre sur le cuir qui gainait le pied de Madame. « Branle toi encore…. vide toi complètement la pute… Voilà.. c’est mieux… presse tes couilles pour être sûr qu’il ne reste rien… » « Maintenant, sale petite pute, que tu as souillé mon bel escarpin, il va falloir le nettoyer…. LECHE ! » Madame écrasa son pied maculé de foutre sur ma bouche.. Je surmontai mon haut-le-coeur et le léchai… je n'étais plus qu’un esclave qui obéit. Je ne décidais plus de rien. Mon libre-arbitre à la poubelle. J’appartenais, j’obéisais, je servais. Rien d’autre. Je sentis le véhicule quitter la route. Ralentissement. Sans doute une rampe. Descente. « Voilà, nous sommes arrivés. Allez, descends la pute. Je dois te livrer à la Maîtresse. »
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Par : le 11/08/20
– Vous êtes vraiment deux chiennes en chaleur… vous ne pensez qu’à baiser, de vraies putes. Caroline avait troqué son téléphone contre une cravache noire et fine, avec laquelle, elle caressait nonchalamment le divin postérieur d’Ennia, avant de la faire claquer sur sa peau. – Debout sale chienne… tu me dégoûtes, une vraie traînée, tu seras punie pour ta jouissance, tu n’as pas pensé une seule fois à ta Maîtresse quand tu te faisais baiser comme une truie, je l’ai vu. Crois-moi tu vas prendre. TU ES A MOI ET A MOI SEULE, TU NE PENSES QU’A MOI, TU NE JOUIS QUE POUR MOI. Dégage de ma vue, va te laver, tu pues le foutre !. Caroline avait hurlé, visiblement dans une colère noire dont je ne savais si elle était feinte ou non. En tous cas, la trace de la cravache se voyait parfaitement sur la peau blanche du cul d’Ennia. Pour ma part, j’étais toujours allongé par terre, la queue pendante, et je ne me sentais vraiment pas à mon avantage. Je n’avais qu’une envie, me tirer. Mais je me doutais que Caroline avait d’autres projets pour moi. Elle s’approcha et posa directement son pied sur ma queue, appuyant assez pour m’arracher un gémissement, sans réellement me faire mal. -Désormais tu es à moi. Tu as accepté mon offrande, cette pute d’Ennia, donc tu as accepté de devenir mon soumis. C’était le deal. Et j’ai tout filmé, et tout sauvegardé déjà. Je ne te conseille pas d’essayer de te défiler, je ne pense pas que le directeur apprécie de te voir baiser une de tes élèves…. -Caroline, je ne.. -Maîtresse Caroline rectifia t-elle en appuyant un peu plus fort sur ma queue. Tu m’appartiens désormais. Ne l’oublie pas. C’est Maîtresse Caroline chaque fois que tu t’adresses à moi. Et tu ne parles que si tu y as été invité, est-ce que je suis assez claire ma petite lope ? – Oui Maîtresse Caroline, très claire. Je ne savais plus quoi penser. Je vivais ce que j’avais tant désiré, rêvé, fantasmé depuis des années. Mais j’avais peur. Peur de tout ce que cela pouvait bouleverser dans ma vie. Peur de perdre ce que j’avais, mais si tenté par ce que j’avais à gagner, à savoir une somptueuse Maîtresse et la possibilité d’être enfin ce que j’étais au fond de moi, un soumis, un homme désirant obéir et servir sa divinité. Caroline retira son pied, et recula pour s’asseoir dans un fauteuil, face à moi. -Approche la lope. Vous voir baiser comme des porcs ça m’a excitée. Viens, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue. J’ai envie de jouir. Et tu as intérêt à t’appliquer. Je ne supporte pas les mauvais lécheurs. Je m’approchai à quatre pattes, les yeux rivés sur la plus sublime vision du monde, le sexe de celle qui était maintenant ma Maîtresse. Lisse, humide, simplement beau. J’aimais profondément lécher une femme, et j’espérais que Caroline aimerait mon savoir-faire. Je commençai doucement à embrasser et donner des petits coups de langue sur le pourtour de sa vulve, mais Caroline empoigna mes cheveux et colla ma bouche sur ses lèvres. – Je t’ai ordonné de me bouffer la chatte petite merde, pas de me déguster du bout des lèvres. Lèche moi, et fais moi jouir. Je lui obéis, faisant de mon mieux pour lécher, enfoncer ma langue le plus profond possible, aspirer son clitoris entre mes lèvres, lécher encore. Elle maintenait sa prise et je n’existais plus que par ma langue. Elle appréciait visiblement mon travail, haletait de plus en plus fort, et m’exhortait à continuer, sans m’arrêter. De sa cravache elle venait de temps en temps claquer mon cul, légèrement, en me traitant de tous les noms. Je sentais son plaisir monter, et je me concentrais sur son clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant et en m’abreuvant de son nectar. Elle repoussa mon visage, et je restai à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos, à la regarder reprendre ses esprits. -Pas trop mal, mais il va falloir que je t’apprenne ce que j’aime. Tu vas devenir un parfait chien lécheur que je pourrai prêter à mes amies. -Merci Maîtresse Caroline. La réponse fut fulgurante. Une gifle sonore et assez douloureuse que je ne vis pas venir. -Je t’ai autorisé à parler sale pute ? Dis moi, t’ai-je demandé une réponse ? T’ai-je demandé de ponctuer ? -Non Maîtresse Caroline. Je vous demande pardon Maîtresse Caroline, cela ne se reproduira plus Maîtresse Caroline. -Tu as vraiment besoin d’être dressé. Je vais prendre mon pied, tu n’as pas idée de ce que je vais t’apprendre ma chienne. Ennia était de retour. Vêtue seulement de bracelets de force, aux chevilles et aux poignets, et d’un collier large et noir. Elle vint se mettre à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Caroline se pencha et saisit la pointe d’un sein de sa soumise. -Regarde ma petite lope, regarde bien ma soumise et le résultat de mon dressage. Elle est maintenant capable de la fermer quand il faut. Même pas un gémissement. En disant cela, elle étirait et tordait la pointe entre ses doigts. Je regardais Ennia se raidir, mais elle encaissait. Caroline joua près d’une minute à torturer cette pointe. Le visage d’Ennia se crispait. Je voyais sa mâchoire se serrer, et une larme perler. Elle souffrait, mais en silence. -Tu vois, elle endure, mais elle ferme sa gueule, comme je lui ai appris. Toi aussi tu vas apprendre, apprendre à te taire et à souffrir crois-moi. Sinon tu souffriras encore plus. Il n’y a que comme ça que ça rentre dans la tête des lopes comme toi. En force ! dit-elle en riant. Maintenant, tu vas aller à ton tour te nettoyer. Tu sens la chatte à plein nez. Ma chienne, accompagne le, et veille à bien le laver en profondeur. J’avais l’impression que Caroline avait ponctué ses derniers mots d’un clin d’oeil à Ennia. Je n’en étais pas sûr, mais je n’étais pas tranquille quant à ce qui m’attendait à la salle de bains.
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Par : le 06/09/20
Il est 4h30. Le silence. Apaisant mentalement. Pour la douleur physique, il faudra plus de temps. Je viens d’achever une grosse partie du ménage. Débarrasser les cadavres de bouteilles de champagne, les verres, la vaisselle, vider les cendriers, nettoyer et ranger les accessoires de tortures dont mes Maîtresses, de jeunes étudiantes dominatrices, ont usé sur moi durant des heures. Il ne me reste que l’aspirateur, impossible à passer à cette heure. Mes Dominas d’une nuit sont parties vers 3h. Maîtresse Chloé dort, j’ai ordre de ne pas la déranger. Elle n’a pas cours aujourd’hui. Journée pédagogique. La plupart des professeurs sont en formation. J’y échappe miraculeusement, et je dispose moi aussi d’une journée off. Elle ne sera pas de trop pour récupérer de cette nuit folle. Le dernier gage, celui non limité dans le temps, m’a laissé des marques. Pour plusieurs jours sans aucun doute. Je porte les stigmates de ma soumission, pour le plus grand plaisir de Maîtresse Chloé. C’est elle qui a utilisé la canne. Et mes fesses en portent les stries violacées. Toutes mes Maîtresses ont abusé de moi. Le dernier gage, sans limite de temps, consistait à m’utiliser pour leur jouissance, sans aucune restriction. Autrement dit, à me faire subir tout ce qui leur passait par la tête. J’ai léché, sucé, j’ai été utilisé comme god vivant, mes reins ont été violés sans ménagement, j’ai bu leur champagne, nettoyé leur liqueur, j’ai reçu la cravache, le martinet, la fessée, encore et encore lorsqu’elles ne me jugeaient pas assez performant. Et pour finir, j’ai du me masturber, face à elles, et jouir sur le string noir de Maîtresse Christelle qui avait eu la chance d’être tirée au sort. String que j’ai ensuite léché longuement pour le nettoyer. La fin de soirée n’a été que cris de plaisirs et d’excitation, gémissements, cris de douleur pour moi, humiliations, coups, utilisation sexuelle et jouissance finale tout en éclatant en sanglots. Je reste dans ce silence, dans le noir. en fumant une cigarette retrouvée sur une table. En fait, je sais que je n’ai pas ce droit, mais Maîtresse Chloé n’est pas prête de se réveiller, aussi je prends ce risque. Je n’ai aucune consigne pour la réveiller à une heure précise, aussi je dois me tenir prêt. Mais je suis certain d’avoir quelques heures devant moi, pour plonger dans un sommeil réparateur. Je suis à bout, épuisé physiquement et mentalement. Je sens le cul, la jouissance, je me sens sale, imprégné des parfums de mes Maîtresses. Mais j’aime cela. Je sais que cette nuit marquera un tournant dans ma condition de soumis, d’esclave. Je ne saurais l’expliquer mais je le sens. Tout à l’heure, en me réveillant, je ne serai plus le même. Je programme mon réveil à 10h. En espérant que Maîtresse Chloé ne se réveille pas avant moi, mais j’estime les chances assez faibles au regard de la quantité de champagne ingurgitée cette nuit. 5 heures 30 plus tard, douché, épilé, je suis en dessous sexy, bas et serre-taille en vinyle noir à jarretelles en train de passer l’aspirateur. Je n’ai pas entendu Maîtresse Chloé se lever. Elle m’observe sur le pas de la chambre lorsque je croise son regard. D’un geste elle m’ordonne de cesser. Elle s’approche sans un mot et tourne autour de moi en laissant aller ses doigts sur ma taille emprisonnée dans le vinyle. -Hmmmmm mais tu t’es faite belle ma petite soumise…. j’adore te voir travailler dans cette tenue… Viens, suis-moi, tu vas me laver. Je sens la baise et j’ai horreur de ça au réveil. Ensuite tu me prépareras un café. Allez… Maîtresse Chloé prend tout son temps son la douche. Je la lave, la masse longuement sous l’eau chaude puis la sèche le plus doucement possible. Nous sommes tous les deux dans un état de fatigue avancée. Et quelque chose de très spécial flotte dans l’air. Une certaine tendresse j’ai l’impression. Je sens son trouble et cela renforce le mien. Je ressens cette sensation étrange depuis que je l’ai surprise à m’observer. -Hmm merci ma petite chatte… j’aime quand tu es doux avec ta Maîtresse. Viens, à genoux, j’ai envie ! Je colle ma bouche à son sexe et boit son champagne. Cela me dégoutte de moins en moins et je suis presque fier que Maîtresse Chloé m’accorde ce privilège. -Lave toi gourmande…. et rejoins moi dans la cuisine. Vite ! Je rejoins ma Maîtresse et lui fait couler son café. Elle me regarde sans dire un mot. Presque amoureusement je trouve. Maîtresse Chloé déguste son nectar noir lentement, debout face à moi. Je garde le regard baissé, comme Maîtresse Caroline m’a appris à le faire. Maîtresse Chloé se rapproche, et tout en buvant, commence à caresser ma queue. Je porte encore quelques marques de cravache, bien rouges. Je suis très sensible et je gémis de douleur lorsque ses doigts, bien que très doux, me font bander très dur. Elle m’effleure à peine, s’amuse avec ses ongles sur mon gland, prend ma hampe à pleine mains pour quelques allers et retours lents. -C’est notre dernière journée, seuls tous les deux ma petite soumise. Maîtresse Caroline, TA Maîtresse, rentre demain. Elle ne sera pas seule. Je ne t’en dis pas plus. J’ai envie de profiter de cette journée, de vraiment en profiter tu sais. Je ne sais pas quand tu seras de nouveau à moi pour plusieurs jours. Aujourd’hui, je veux que tu sois totalement à moi. Ton corps et ton âme. Aujourd’hui je veux que tu m’aimes. Regarde moi petite soumise…! Je lève mes yeux et plonge mon regard dans celui de Maîtresse Chloé. J’y lis beaucoup de douceur, de tendresse… et cela me bouleverse. Sans doute l’effet de la fatigue. Je me sens à fleur de peau, rempli d’émotions incontrôlables. Son visage se rapproche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Un baiser infiniment doux. Nos langues se trouvent et nous nous embrassons passionnément. Je n’ose prendre ma Maîtresse dans mes bras, c’est elle qui attrape mes mains et les poses sur ses fesses. Je me laisse aller, redevient « homme ». Sans un mot, en nous embrassant, nous caressant, en riant aussi, Maîtresse Chloé m’entraîne vers la chambre. Je porte toujours mes bas et mon serre-taille, ainsi que mes longs gants de vinyle. Je suis allongé sur le dos, Maîtresse à mon côté, en appui sur un coude. Elle caresse mon corps lentement. Mon torse, mon ventre luisant et noir, ma queue dure. Nous nous embrassons encore et sa bouche quitte la mienne, descend, lèche, embrasse, effleure, agace…. je manque de jouir lorsque ses lèvres se posent sur mon gland, tant la sensation est intense. Je râle, gémis de plaisir sous la fellation douce, lente, de ma Maîtresse. -Chuuutttt doucement… résiste… aujourd’hui je veux faire l’amour… toute la journée…. retiens toi… ! Maîtresse Chloé replonge sur sa proie et l’engloutit. J’arrive à ne pas céder. Elle abandonne ma hampe et vient s’allonger sur moi. Sa main me saisie et me dirige, et lentement je sens la chaleur de son ventre m’absorber. Baisers lents et profonds, au rythme de ses va-et-vient sur moi. Je me laisse aller, et les larmes coulent sans que je puisse rien y faire. Je lui souris, je gémis de plaisir, de bonheur instantané, je l’embrasse, caresse ses fesses, les attrape pour mieux l’attirer sur moi. Nous faisons l’amour longuement, lentement. Maîtresse Chloé jouit la première. Je n’ose pas, pas sans son accord. Maîtresse reste empalée sur moi. Elle m’embrasse doucement, en retrouvant son souffle et me murmure… -Viens, jouis en moi… tu as le droit…! Elle recommence, très très lentement, à me chevaucher. Quelques va-et-vient suffisent tant je suis au bord de l’explosion et ultra sensible. Je jouis en elle, longuement. En cet instant précis, nous nous aimons, intensément.
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Par : le 07/09/20
La vie reprend et avec, mes habitudes de professeur soumis, aux pieds de Maîtresse Caroline. Plusieurs jours déjà, depuis son retour. Plusieurs jours qu’Ennia se repose. Et moi je deviens fou. Fou d’angoisse, fou d’amour… une angoisse permanente et tant d’interrogations. Je n’ose questionner Maîtresse Caroline. Elle aussi est marquée, silencieuse, et je surprends parfois de la tristesse lorsqu’elle sort de la chambre d’Ennia. Un calme certain s’est abattu sur nos vies, et j’avoue que cela n’est pas pour me déplaire. Maîtresse Caroline, Ennia et moi-même en avons besoin je crois. Moins de visite des amies de ma Maîtresse, de mes autres Maîtresses devrais-je dire, une certaine routine qui se révèle salvatrice. Déjà une semaine et la soirée s’annonce paisible, presque rituelle. Bain de ma Déesse, préparation du repas qu’elle prendra avec moi à ses pieds puis ensuite une longue séance de massage. Maîtresse Caroline n’a pas enlevé ma cage depuis que Maîtresse Chloé l’a remise en place, scellant ainsi la fin de notre parenthèse amoureuse. Je mesure ma chance d’être entouré de toutes ces femmes que j’aime profondément, chacune d’un amour particulier. Elles sont si belles, si grandes, si sublimes à mes yeux. J’en pleure de bonheur et je n’ai qu’un désir, les voir s’épanouir et être heureuses. J’ai trouvé ma place et ne n’en désire aucune autre. Les humiliations, les douleurs infligées, les frustrations ne sont rien comparées à l’honneur de les servir, de faire partie de leur intimité, de leur vie. Et puis j’aime souffrir… ma jouissance, lorsque l’on me l’accorde, n’en est que plus intense dans la douleur. Maîtresse Caroline a raison: je ne suis qu’une chienne assoiffée de sexe et je le resterai à jamais. Un jour, peut-être, je prendrai le temps de réfléchir sur ces désirs hors du commun, sur ce plaisir désormais associé à la douleur, l’humiliation et une certaine transgression. Désormais, mais peut-être que non. Entre les bras de Maîtresse Chloé, de Chloé simplement, lorsque je suis redevenu un homme amoureux dans les bras d’une femme amoureuse, sans rapport hiérarchique, sans soumission ni domination, mon plaisir fut tout aussi intense quoique différent. Un plaisir bien plus absolu, comme j’ai pu le connaître, avec une intensité inégalée, dans les bras d’Ennia. Lutte éternelle entre le plaisir physique trouvant ses racines dans les plus inavouables de mes désirs et le plaisir physique puisant sa force et son absolu dans l’amour le plus pur. Suis-je seul à m’interroger ? Mes pensées divaguent alors que je sers de repose pieds à ma Déesse pour sa cigarette du soir. Alanguie dans le canapé, Maîtresse Caroline garde le silence de longues minutes puis m’ordonne de m’agenouiller, face à elle. -Tu dois savoir ce qui est arrivé. Je pensais d’abord ne rien te dire, mais il est temps que tu la vois. Elle a besoin de toi. Tu ne pourras pas comprendre si tu ne sais rien. Et si tu ne comprends pas, ton amour seul ne suffira pas à l’aider. Je vais tout te dire… et ensuite, tu la rejoindras. Je ne dis pas un mot, mais l’intensité de mon regard soudé au sien vaut pour toute parole. J’ai le souffle court, j’attends, je tremble, j’ai peur. -Tu n’as certainement pas oublié la raison de son départ. Ce Maître qui me l’a achetée. J’ai abandonné tous droits sur elle, à sa demande. Je veux dire à la demande d’Ennia elle-même. Elle était comme envoûtée, attirée inexorablement par cet homme que je croyais respectable, que je croyais un bon Maître. Mais je l’avais juste cédée à un bourreau, un tortionnaire qui aurait pu la détruire, qui l’a presque détruite. C’est une autre soumise qui m’a alertée, en secret. Selon elle, Ennia risquait tout simplement sa peau, elle avait atteint les limites de sa résistance. Elle avait l’air vraiment inquiète c’est pour cela que je suis partie précipitamment. Je croyais que j’allais pouvoir la ramener avec moi, comme ça… la reprendre… mais… Les derniers mots refusent de franchir la barrière de ses lèvres et Maîtresse Caroline explose en sanglots. J’oublie une fois de plus ma condition d’esclave et je la prends dans mes bras, je la serre contre moi et ma sublime Déesse se laisse aller. -Si tu savais…. putain… si tu savais….. je… -Chutttt vous n’êtes en rien obligée de me le dire Maîtresse.. laissez-vous aller, vous êtes protégée ici. Vous l’avez ramenée, vous l’avez sauvée et je suis là, je suis là pour vous Maîtresse Caroline. Son corps se presse contre le mien, et Maîtresse Caroline continue son récit, entrecoupé de sanglots qu’elle ne peut maîtriser: -Comme je te l’ai dit, c’était un monstre, un bourreau. Elle était retenue dans les caves de sa maison bourgeoise. En fait, elle était réduite à l’état d’objet sexuel, servant à tous ses amis, aux amis de ses amis… battue tous les jours, fouettée, cravachée, mal nourrie… Elle ne réagissait même plus, ne hurlait plus, elle subissait, juste. Les séances de baise à la chaîne, la douleur des coups,… je ne comprends pas pourquoi.. pourquoi choisir une soumise, l’acheter et en faire cela… La première fois que je l’ai vue, je me suis précipitée vers elle. Mais ses deux sbires m’en ont empêché. Je me suis mise à hurler, à le menacer… Mais je n’étais pas de taille. Il m’a retourné une gifle qui m’a presque assommée alors que ses gros bras me tenaient. Puis il m’a parlé, sans crier, mais c’était glacial et à ce moment là j’ai eu peur, vraiment peur tu sais: Petite conne, tu te prends pour qui ??!!! Si tu la veux, je te la rends. Elle n’est plus bonne à rien de toute façon. Mais il va falloir que tu la gagnes sale petite pute bourgeoise qui se croit Maîtresse… tu la veux vraiment ? Je te donne 10 secondes pour répondre. Oui, on continue à discuter. Non, mes hommes te ramènent à la gare et je n’entends plus jamais parler de toi. Ni toi de cette salope que tu m’as vendue. Alors ? » 10, 9, 8, 7, 6, 5….4, 3….2….1….. -Oui -Oui quoi connasse ? Parle plus fort ! -Oui, je veux la reprendre ! Un autre gifle… -Répète après moi jeune idiote: oui Maître, je veux la reprendre et je ferai ce que vous voudrez pour cela… Maîtresse Caroline éclate d’un sanglot plus profond encore… -Et j’ai répété tu sais… mot pour mot…
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Par : le 07/08/18
Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants. Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué. Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique. Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme. Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée  sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends  plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire.  Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière. Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève. "Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi." Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix. "Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..." Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..." Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..." Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins. "J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main. Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....". Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir. Chapitre Deux Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache. "Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... " "Quand peux tu être libre aujourd'hui ?" Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?" "Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard". Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler. Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur. "Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier". Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non. "Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!" Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis. "Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant". "Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça.  Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager". "C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant". Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité. Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!! Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses  seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi. Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie. Et moi je suis fasciné.
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Par : le 21/08/20
Il fait frais, et la voix de Madame résonne. Sans doute un parking souterrain. -Avance la pute. Stop. A genoux, mains dans le dos ! J’ai toujours les yeux bandés. Ainsi, j’obéis à cette femme naturellement dominatrice. Ma séance de masturbation, puis de nettoyage de mon foutre, m’a fait débander. Je me sens vulnérable comme jamais je ne l’ai été. Aucune présence familière. Juste cette magnifique femme qui me dirige à la voix, et un chauffeur que je n’ai fait qu’apercevoir en montant dans la voiture. Est-ce que ma divine Maîtresse est là ? Est-ce qu’elle me regarde ? Pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, la voix de Madame se fait à nouveau entendre. -Lorsque l’on vous transporte gratuitement, la moindre des choses, c’est de remercier ses hôtes, ne crois-tu pas la pute ? -Oui Madame, vous avez raison ! -Et bien…. remercie donc celui qui t’a conduit jusque là. Paul, approchez… la pute va vous dire merci ! En même temps que les mots de Madame résonnent dans le parking, je sens la présence du chauffeur qui s’est rapproché de moi, très près. J’entends, alors, le bruit caractéristique d’une fermeture éclair. Tout se bouscule dans ma tête… les mots de Madame… dire merci…le bruit de braguette que l’on ouvre… je comprends, mais ne veux pas comprendre en même temps. Pas ça… s’il vous plaît, pas ça… je ne suis pas prêt. Pas un mot ne sort de ma bouche. Mes suppliques sont silencieuses. -Allez la pute, remercie le comme il se doit. Paul est gâté par la nature, et il aime particulièrement se faire sucer par des putes comme toi…. Trop. Je craque, tombe prostré au sol, aux pieds de ce Paul, et mes larmes jaillissent. A mes sanglots répond le rire de ma divine Maîtresse Caroline. Elle était là, elle a tout vu… je l’ai sans aucun doute déçue, je ne suis pas digne d’elle, je ne suis pas assez fort pour devenir sa pute, ce qu’elle désire que je devienne, elle va me rejeter… Mes larmes redouble, mon humiliation explose, et la peur m’envahit. J’entends sans vraiment entendre ma divine Maîtresse Caroline saluer et remercier Madame. Le temps est suspendu, et je ne suis plus qu’une loque, au sol, pleurant sur son sort. En fait, je suis brisé, totalement. Enfin, des pas se rapprochent et stoppent à quelques centimètres de mon visage. Une voix. SA voix. -Alors, 15 jours sans me voir t’ont fait oublié la façon dont tu dois saluer ta Maîtresse, ma petite pute pitoyable ? L’insulte me fait d’autant plus mal qu’en cet instant, c’est exactement ce que je suis. Pitoyable. Je me jette littéralement sur ses pieds. J’embrasse, je lèche, je délire…. -Divine Maîtresse Caroline…. pitié Maîtresse… ne m’abandonnez pas je vous en supplie… je deviendrai la pute que vous voudrez, je sucerai toutes les queues que vous me présenterez…Divine Maîtresse Caroline, s’il vous plaît, ma Maîtresse, je vous supplie… gardez moi divine Maîtresse Caroline…. Maîtresse me laisse supplier, pleurer et embrasser ses pieds divins pendant de longues minutes. Puis elle recule, sans un mot… je reste à genoux, totalement désemparé, ne sachant que faire. Mains liées dans le dos, yeux toujours bandés, je suis offert et sans espoir. En cet instant, je crois que mon sort m’indiffère complètement. Je me sens anéanti, vide. Mes larmes cessent de couler.Ensuite, j’attends sans boucher, les cuisses écartées, sans aucune conscience du spectacle que je peux offrir. Quelqu’un pourrait surgir, je m’en fous. Maîtresse Caroline se rapproche, toujours sans un mot. Elle me contourne et vient se placer dans mon dos. Je sens un collier autour de mon cou, Maîtresse qui en manipule le mécanisme de fixation. J’entends le bruit d’une chaîne, Maîtresse la fixe à mon collier…. et mon espoir renaît. Je renais, pour elle, par elle. Debout, cambré, cuisses écartées, tête droite, j’attends et je me laisse envahir par la joie, le bonheur même. Elle m’a mis un collier. C’est donc qu’elle veut toujours de moi. -Ma pute. Mon chien. Ma salope. Mon soumis….. Ce que tu viens de vivre était un test. Que tu l’aies réussi ou non, peu importe. Ce que je voulais, c’est te briser. Et je n’ai eu aucun mal. Maintenant tu vas m’écouter très attentivement. Ce que je vais te dire maintenant, je ne te le répéterai jamais. A toi de ne jamais l’oublier. Tu ES A MOI ! J’ordonne, tu obéis. Je t’offre, tu te donnes. Je t’humilie, tu me remercies. Tu vis pour moi, par moi. Tu n’es plus rien et moi je suis tout. Ta vie m’appartient, ton corps m’appartient. Tu ne décides plus, tu subis. -C’est maintenant que tout commence pour toi. A mes pieds, moi, ta Déesse, ta Reine ! Tu as une unique chance. Dis juste NON, et je te libère. Je te rends photos, vidéos, et liberté. Mais alors n’espère plus jamais rien de moi. N’espère pas revoir Ennia. Tu n’auras, tu ne seras plus rien pour moi…. Ou alors donne toi à moi. Décide de m’appartenir et de me vénérer, et saches qu’il n’y aura pas de retour en arrière possible. Tu choisis, maintenant. Ta Reine ou ta liberté ! Maîtresse Caroline a dosé les silences… ses mots m’ont transpercé, transporté… elle me donne espoir, force… et en cet instant, je suis un soumis fou amoureux de sa Maîtresse. Un sentiment d’une puissance que n’ai jamais connue. Enfin, je pleure doucement, bouleversé par l’émotion. -Divine Maîtresse Caroline…. je n’ai qu’un désir, au plus profond de moi : vous appartenir. Je choisis ma Reine, vous, Maîtresse Caroline. Ma Déesse s’est approchée. Puis, elle prend mon visage entre mains, et murmure, avant de m’embrasser avec une infinie tendresse… -Je le savais.
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Par : le 08/09/20
Le retour à une situation normale, c'est à dire une Maîtresse et ses deux soumis, a pris encore un mois. Les deux dernières semaines de juin et les deux premières de juillet. Ennia va bien. Je dirais même qu'elle va très bien, du moins en apparence. Plus de séquelles physiques. Reste l'empreinte psychologique de cette terrible épreuve. Nous n'avons toujours pas fait l'amour. Elle ne supporte pas encore l'idée d'être prise par la queue d'un homme. Elle a cependant retrouvé le goût du sexe entre les mains de Maîtresse Caroline. Offerte sous mes yeux à son gode-ceinture. Maîtresse se montre douce et attentionnée avec elle et c'est un sublime spectacle que de les voir faire l'amour, gémir, jouir. Ma queue a retrouvé sa cage depuis une semaine déjà, et j'avoue avoir du mal à le supporter. Maîtresse l'a remarqué, plusieurs fois, et s'est contentée de sourire sans un mot. Si elle se montre douce avec Ennia, elle compense en se montrant plus dure avec moi, souvent avec l'aide d'Ennia qui la seconde. Je suis cravaché régulièrement et Maîtresse a entrepris d'allonger mes tétons. J'ai droit à une séance quotidienne d'élongation, soit à l'aide de pinces lestées soit à l'aide d'une pompe à vide. Je suis de plus en plus sensible et mes Maîtresses s'amusent à me faire gémir de douleur en jouant avec. Nous ne voyons plus les complices de Maîtresse Caroline, je ne sais pas pourquoi. Sans doute juge-t-elle qu'Ennia a besoin d'un certain calme pour retrouver une vie "normale", si notre trio peut être considéré ainsi. L'annonce qui va bouleverser notre vie arrive quelques semaines plus tard. Ennia a peu à peu retrouvé sa joie de vivre et elle se montre plus entreprenante avec moi. Plus douce. Plus amoureuse aussi. Comme si rien ne s'était passé. Maîtresse Caroline lui laisse un peu plus de liberté et mon amour en joue délicieusement. Notre déesse a décidé de nous préparer pour quelque chose de spécial. Elle se montre très mystérieuse et le laisse filtrer aucune information, tout juste de quoi nous rendre fous d'impatience. "Il est temps, je crois. Sachez que j'y pense depuis un certain temps. Ma décision a été longuement mûrie. Ce soir, vous saurez mes petites chiennes, ce soir... En attendant, je vais vous mettre en condition". Maîtresse Caroline nous ordonne ne nous préparer, respectivement. Epilation parfaite, lavement, tenues imposées. Nous passons deux longues heures dans la salle de bains, sans surveillance. Sauf pendant le laps de temps où je suis débarrassé de ma cage pour me rendre parfaitement lisse. Maîtresse surveille Ennia qui s'amuse à m'agacer. Je bande instantanément bien sur, et mon amour est d'une douceur qui me rend fou. "Je t'ai dit de le préparer, pas de le branler ! Il a toujours interdiction de jouir je te rappelle. A moins que tu ne cherches ma cravache peut-être, ma petite pute ? " Sa cravache, elle l'utilise justement.... mais pas sur Ennia. "Maintiens ses cuisses écartées, cette queue dressée va retourner dans sa cage. Et je connais un bon moyen de la calmer ! Mon soumis, je ne veux aucun bruit. Tu encaisses et tu débandes, sinon je double la mise... compris ?" Je ne puis que laisser échapper un faible et résigné "Oui Maîtresse Caroline". Le premier coup s'abat sur mon gland offert. Je m'y attends mais la douleur est trop forte et je laisse échapper un cri. Le regard de Maîtresse se durcit, et les suivants s'enchaînent, sans aucune pitié. Gland, hampe et pour finir, mes couilles gonflées. Je m'écroule sur le carrelage. Maîtresse me laisse une minute pour récupérer et ordonne à Ennia de m'aider à me relever. Elle a atteint son but, je ne bande plus... "Voilà qui est mieux. Remets lui sa cage maintenant... j'en ai marre qu'il bande sans autorisation. Il va falloir que je le fasse travailler là dessus. Je veux un esclave qui bande sur demande, et qui sache se retenir. Je crois que je ne vais jamais y arriver avec toi... tu es une cause perdue. Tu es bien trop obsédé par le cul." Ennia et moi finissons de nous préparer. J'ai mal. Ma queue, de nouveau emprisonnée, me fait terriblement souffrir et la frustration me maintient au bord des larmes. Ennia le sent, et se montre particulièrement tendre. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons comme au premier jour. Elle laisse échapper un "je t'aime" qui me fait rendre les armes. Je pleure dans ses bras et je lui dis mon amour pour elle, mon besoin d'elle.... je ne veux plus jamais être séparé d'Ennia. Je ne le supporterai pas. Nous enfilons les tenues préparées par Maîtresse Caroline. Latex noir pour moi, bas et serre-taille à jarretelles, longs gants, cagoule et large collier de cuir. Des anneaux fixés à mes poignets et mes chevilles, pour des entraves à venir. Tenue identique pour Ennia, mais de latex blanc. Elle est sublime ainsi recouverte de cette peau si spéciale. Maîtresse Caroline m'a révélé mon fétichisme pour cette matière. Je crois que je pourrais vivre ainsi habillé chaque jour. Nous rejoignons notre déesse dans le salon. Elle est assise dans un fauteuil et nous ordonne de nous agenouiller face à elle... "Mes petites chiennes.... vous savez que j'ai une grande annonce à vous faire. Je le ferai ce soir. Dans 3 heures exactement. Et croyez-moi, l'attente va être terrible !" Maîtresse nous attache, debout, bras au dessus de nos têtes, face à face. Assez éloignés pour que nos corps ne puissent se toucher. Puis elle nous bande les yeux. "Maintenant, la touche finale mes petites chiennes. Je vous veux en feu !" Elle pose un casque sur nos oreilles. Et lance la bande-son. Des cris, le claquement des fouets, des soupirs, une femme qui jouit... je ne sais pas où Maîtresse a trouvé cet enregistrement mais il est d'une efficacité redoutable. Je sens ses mains retirer ma cage et ma queue se dresse instantanément. L'effet de la privation sensorielle, de ces cris de jouissance et de douleur, me plonge dans un état d'excitation terrible. L'attente va être longue. Très longue en effet. Je perds rapidement la notion du temps. Les femelles torturées et jouissant sous la cravache ou je ne sais quel instrument de plaisir se succèdent. Il n'y a aucune parole, juste des soumises travaillées, hurlant ou haletant, une jouissance sonore qui semble sans fin. Je n'entends absolument rien de ce qui se passe dans le salon. Il me semble que quelqu'un bouge autour de nous. Maîtresse Caroline sans doute, qui prépare je-ne-sais-quoi. Nous n'allons pas tarder à le savoir.... Et cela va bouleverser nos vies, à jamais.
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