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ViktorLyon

Homme switch. Vit à Lyon, France. 53 ans. est en couple et c'est compliqué.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/08/18
Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants. Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué. Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique. Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme. Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée  sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends  plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire.  Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière. Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève. "Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi." Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix. "Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..." Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..." Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..." Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins. "J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main. Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....". Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir. Chapitre Deux Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache. "Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... " "Quand peux tu être libre aujourd'hui ?" Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?" "Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard". Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler. Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur. "Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier". Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non. "Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!" Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis. "Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant". "Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça.  Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager". "C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant". Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité. Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!! Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses  seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi. Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie. Et moi je suis fasciné.
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Par : le 08/09/20
Le retour à une situation normale, c'est à dire une Maîtresse et ses deux soumis, a pris encore un mois. Les deux dernières semaines de juin et les deux premières de juillet. Ennia va bien. Je dirais même qu'elle va très bien, du moins en apparence. Plus de séquelles physiques. Reste l'empreinte psychologique de cette terrible épreuve. Nous n'avons toujours pas fait l'amour. Elle ne supporte pas encore l'idée d'être prise par la queue d'un homme. Elle a cependant retrouvé le goût du sexe entre les mains de Maîtresse Caroline. Offerte sous mes yeux à son gode-ceinture. Maîtresse se montre douce et attentionnée avec elle et c'est un sublime spectacle que de les voir faire l'amour, gémir, jouir. Ma queue a retrouvé sa cage depuis une semaine déjà, et j'avoue avoir du mal à le supporter. Maîtresse l'a remarqué, plusieurs fois, et s'est contentée de sourire sans un mot. Si elle se montre douce avec Ennia, elle compense en se montrant plus dure avec moi, souvent avec l'aide d'Ennia qui la seconde. Je suis cravaché régulièrement et Maîtresse a entrepris d'allonger mes tétons. J'ai droit à une séance quotidienne d'élongation, soit à l'aide de pinces lestées soit à l'aide d'une pompe à vide. Je suis de plus en plus sensible et mes Maîtresses s'amusent à me faire gémir de douleur en jouant avec. Nous ne voyons plus les complices de Maîtresse Caroline, je ne sais pas pourquoi. Sans doute juge-t-elle qu'Ennia a besoin d'un certain calme pour retrouver une vie "normale", si notre trio peut être considéré ainsi. L'annonce qui va bouleverser notre vie arrive quelques semaines plus tard. Ennia a peu à peu retrouvé sa joie de vivre et elle se montre plus entreprenante avec moi. Plus douce. Plus amoureuse aussi. Comme si rien ne s'était passé. Maîtresse Caroline lui laisse un peu plus de liberté et mon amour en joue délicieusement. Notre déesse a décidé de nous préparer pour quelque chose de spécial. Elle se montre très mystérieuse et le laisse filtrer aucune information, tout juste de quoi nous rendre fous d'impatience. "Il est temps, je crois. Sachez que j'y pense depuis un certain temps. Ma décision a été longuement mûrie. Ce soir, vous saurez mes petites chiennes, ce soir... En attendant, je vais vous mettre en condition". Maîtresse Caroline nous ordonne ne nous préparer, respectivement. Epilation parfaite, lavement, tenues imposées. Nous passons deux longues heures dans la salle de bains, sans surveillance. Sauf pendant le laps de temps où je suis débarrassé de ma cage pour me rendre parfaitement lisse. Maîtresse surveille Ennia qui s'amuse à m'agacer. Je bande instantanément bien sur, et mon amour est d'une douceur qui me rend fou. "Je t'ai dit de le préparer, pas de le branler ! Il a toujours interdiction de jouir je te rappelle. A moins que tu ne cherches ma cravache peut-être, ma petite pute ? " Sa cravache, elle l'utilise justement.... mais pas sur Ennia. "Maintiens ses cuisses écartées, cette queue dressée va retourner dans sa cage. Et je connais un bon moyen de la calmer ! Mon soumis, je ne veux aucun bruit. Tu encaisses et tu débandes, sinon je double la mise... compris ?" Je ne puis que laisser échapper un faible et résigné "Oui Maîtresse Caroline". Le premier coup s'abat sur mon gland offert. Je m'y attends mais la douleur est trop forte et je laisse échapper un cri. Le regard de Maîtresse se durcit, et les suivants s'enchaînent, sans aucune pitié. Gland, hampe et pour finir, mes couilles gonflées. Je m'écroule sur le carrelage. Maîtresse me laisse une minute pour récupérer et ordonne à Ennia de m'aider à me relever. Elle a atteint son but, je ne bande plus... "Voilà qui est mieux. Remets lui sa cage maintenant... j'en ai marre qu'il bande sans autorisation. Il va falloir que je le fasse travailler là dessus. Je veux un esclave qui bande sur demande, et qui sache se retenir. Je crois que je ne vais jamais y arriver avec toi... tu es une cause perdue. Tu es bien trop obsédé par le cul." Ennia et moi finissons de nous préparer. J'ai mal. Ma queue, de nouveau emprisonnée, me fait terriblement souffrir et la frustration me maintient au bord des larmes. Ennia le sent, et se montre particulièrement tendre. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons comme au premier jour. Elle laisse échapper un "je t'aime" qui me fait rendre les armes. Je pleure dans ses bras et je lui dis mon amour pour elle, mon besoin d'elle.... je ne veux plus jamais être séparé d'Ennia. Je ne le supporterai pas. Nous enfilons les tenues préparées par Maîtresse Caroline. Latex noir pour moi, bas et serre-taille à jarretelles, longs gants, cagoule et large collier de cuir. Des anneaux fixés à mes poignets et mes chevilles, pour des entraves à venir. Tenue identique pour Ennia, mais de latex blanc. Elle est sublime ainsi recouverte de cette peau si spéciale. Maîtresse Caroline m'a révélé mon fétichisme pour cette matière. Je crois que je pourrais vivre ainsi habillé chaque jour. Nous rejoignons notre déesse dans le salon. Elle est assise dans un fauteuil et nous ordonne de nous agenouiller face à elle... "Mes petites chiennes.... vous savez que j'ai une grande annonce à vous faire. Je le ferai ce soir. Dans 3 heures exactement. Et croyez-moi, l'attente va être terrible !" Maîtresse nous attache, debout, bras au dessus de nos têtes, face à face. Assez éloignés pour que nos corps ne puissent se toucher. Puis elle nous bande les yeux. "Maintenant, la touche finale mes petites chiennes. Je vous veux en feu !" Elle pose un casque sur nos oreilles. Et lance la bande-son. Des cris, le claquement des fouets, des soupirs, une femme qui jouit... je ne sais pas où Maîtresse a trouvé cet enregistrement mais il est d'une efficacité redoutable. Je sens ses mains retirer ma cage et ma queue se dresse instantanément. L'effet de la privation sensorielle, de ces cris de jouissance et de douleur, me plonge dans un état d'excitation terrible. L'attente va être longue. Très longue en effet. Je perds rapidement la notion du temps. Les femelles torturées et jouissant sous la cravache ou je ne sais quel instrument de plaisir se succèdent. Il n'y a aucune parole, juste des soumises travaillées, hurlant ou haletant, une jouissance sonore qui semble sans fin. Je n'entends absolument rien de ce qui se passe dans le salon. Il me semble que quelqu'un bouge autour de nous. Maîtresse Caroline sans doute, qui prépare je-ne-sais-quoi. Nous n'allons pas tarder à le savoir.... Et cela va bouleverser nos vies, à jamais.
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Par : le 18/08/20
« Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. » Ces mots résonnaient dans ma tête. Sonner. Monter. Me déshabiller. Frapper. Attendre. Je suis nu, ou presque. Je ne porte que mes bas et ma cage. Je suis anéanti. Incapable d’une pensée rationnelle. N’importe qui peut monter l’escalier. Un voisin, une voisine. Maîtresse Caroline le sait. Que vais-je faire si quelqu’un arrive ? Nul part où me cacher. Me rhabiller ? Même pas la peine d’y songer. Je suis juste là, sur le palier de ma Maîtresse. Terrorisé, soumis humilié, au bord des larmes. En ces quelques minutes, le bilan se dresse. Ce que j’ai trouvé, ce que j’ai perdu ou vais perdre. Le plaisir, la concrétisation de mes fantasmes les plus inavouables, Ennia et l’amour, Maîtresse Caroline et le désir insondable qu’elle m’inspire. En face, mon couple qui n’en était plus un, ma dignité – mais ne pourrais-je pas la retrouver, ou plutôt en trouver une autre dans la servitude de Maîtresse ? Et au fond, ma dignité a t-elle encore une importance ? Pour qui ? – je suis brisé et soulagé. Je crois que je n’arriverai jamais à expliquer ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonce plus je renais. Plus je me perds, plus je me trouve. Moins j’existe, plus je vis. Des pas qui montent. Je frappe de nouveau. J’entends du bruit derrière la porte. Un froissement. Maîtresse Caroline m’observe. Elle doit lire ma détresse sur mon visage. Suffisamment pour éprouver quelque pitié. Les pas montent et montent encore. Un palier de différence. Maîtresse ouvre et m’assène une gifle magistrale qui m’achève. Je me tombe à ses pieds et j’explose en larmes. -Maîtresse…. pitié…. Caroline… je t’en supplie ! Mais la fureur ne peut être apaisée par les jérémiades de la lope, du soumis humilié que je suis en cet instant. Caroline claque la porte, et hurle en me cravachant : -SALE PUTE !!!! SALE SOUS MERDE !!! MAIS COMMENT TU OSES ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI PAUVRE CHIENNE DE MERDE, HEIN ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI ??? Les coups pleuvent, je suis recroquevillé au sol. Je me protège comme je peux et j’encaisse, en criant à chaque coup. D’abord frappant au hasard, sa cravache se fait plus précise, mon cul, mon dos, mes cuisses. Maîtresse Caroline tourne autour de moi sans cesser de m’insulter. Je hurle lorsque le cuir rencontre mes couilles. Chloé, qui assiste à la scène depuis le début, sans broncher, retient le bras de Caroline. -Dis, tu y vas un peu fort non ? -Cette salope, cette truie n’a que ce qu’elle mérite !!!! Jamais, JAMAIS une pute ne m’a humiliée comme ça… Monsieur veut jouer le petit prof ??? Hein sale merde ??? Mais putain.. tu vas morfler, fais moi confiance. Je vais te passer l’envie de me faire une remarque, devant toute la classe. Tiens, j’ai une idée, je vais tous les inviter pour une petite projection privée. Un petit film bien trash, avec une truie qui se fait enculer… tu crois que ça leur plaira ??? -Pitié Sublime Maîtresse Caroline, pitié, pas ça ! Je ne le ferai plus, je ferai tout ce que vous voulez Maîtresse, mais pas ça je vous en supplie ! Je me jette à ses pieds et je les baise, je les embrasse comme si ma vie en dépendait. Maîtresse Caroline peut tout. Je ne suis que son soumis, sa pute, sa chienne ou tout ce qu’elle voudra. Je n’ai d’autre option que de m’humilier, me rabaisser, aussi bas qu’elle le désirera. Aller loin, aussi loin qu’elle l’exigera. Obéir, subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser, me donner. Voilà me seules perspectives. Aux pieds de Maîtresse Caroline, je rends mes armes, moi le soumis humilié. Je pleure en suppliant, mais Caroline n’en a cure. Sans l’intervention de Chloé, je crois qu’elle m’aurait fait très mal tant sa fureur est intense. -Sale pute, debout au milieu du salon, mains dans le dos, cuisses écartés…. TOUT DE SUITE !!! Je m’exécute, sans broncher. Je prends la pause ordonnée, et je suis rapidement rejoint par Maîtresse Caroline. Elle me passe une paire de menottes et immobilise mes bras dans mon dos. Puis elle pose deux bracelets sur mes chevilles et y fixe une barre d’écartement. -Maintenant, je vais pouvoir te corriger tranquillement ma sous-merde. Tu vas bien prendre sale pute…. Tiens Chloé, voici la clé de sa cage. Libère le et…. tu veux bien le faire bander s’il te plaît ? Remarque, cette salope est tellement en chaleur, à mon avis, tu ne vas pas avoir grand chose à faire…. Tiens, qu’est-ce que je te disais ?!!! Il bande déjà comme un âne… En effet, à peine Chloé m’a t-elle libéré que je me mets à bander. Très dur. Maîtresse Caroline s’approche et empoigne mes couilles. Elle les presse et m’arrache un cri…. -TA GUEULE LA TRUIE !!!! TES COUILLES SONT A MOI ET J’EN FAIS CE QUE JE VEUX. T’AS PIGE SALOPE ? -Oui Maîtresse, je suis à vous. -Maintenant en position, sur la table basse… et t’as intérêt à bien offrir ton cul !!! Je me mets à genoux comme un bon soumis humilié puis pose mon torse sur la table. Mes cuisses sont maintenues ouvertes par la barre et je me cambre du mieux que je peux. -Tiens Chloé, prends ça et chauffe lui le cul pendant que je vais chercher quelques jouets…. Maîtresse Chloé s’empare du martinet et m’assène quelques coups, plutôt légers. Caroline revient sur ses pas…et lui arrache des mains. -Mais vas-y, t’as oublié ce que cette sale pute nous a fait ??? Elle nous a viré du cours je te rappelle… Elle doit payer. Alors vas-y, fais la bien chauffer. Je veux entendre le claquement des lanières sur son cul de salope en chaleur… Vas-y, ne te retiens pas, elle adore ça j’en suis sûr. Chloé frappe avec plus d’ardeur, je tente de contenir mes gémissements, mais j’ai de plus en plus de mal. Elle y prend goût et frappe de plus en plus fort. Lorsque des lanières touchent mes couilles, je ne peux retenir un cri de douleur. Loin de calmer Chloé, ce cri la galvanise… et elle se prend au jeu de la Dominatrice. -Sale chienne… t’aime ça hein ???? Hmmm si tu savais comme ça me fait mouiller de te dresser, je coule comme une folle… tout à l’heure tu vas bien me nettoyer ma petite lope. Hein ma pute… Tiens, prends ça… Elle frappe encore et encore.. . je ne sens plus mon cul, je gémis sans discontinuer lorsque Maîtresse Caroline fait son retour dans le salon. -Hmmm tu l’as bien chauffer. Bravo… cette truie n’a que ce qu’elle mérite. On va encore bien jouer avec, et bien la punir pour lui passer l’envie de recommencer…. Tiens, la salope ne bande plus…. Les coups m’ont fait débandé. Maîtresse Caroline qui a enfilé des gants de cuir s’empare de ma queue et commence à me branler sans ménagement. -Allez ma pute, bande pour tes Maîtresses, c’est un ordre. Chloé, je crois qu’il a besoin d’être dopé. Et je ne connais rien de mieux pour les putes dans son genre que la mouille de sa Maîtresse. Je t’ai entendu dire que tu étais trempée, t’as pas envie de te faire nettoyer en profondeur ? -Hmmm si, avec plaisir. Allez sale chienne, tu vas bien enfoncer ta langue, et me nettoyer la chatte. Lèche moi bien la pute, lèche ta Maîtresse… Chloé se met à genoux sur la table et empoigne mes cheveux pour fourrer mon visage entre ses cuisses. Elle ruisselle littéralement, et trempe mon visage. Je lèche, fouille, aspire, bois sa mouille…. Maîtresse Caroline avait raison, le parfum et le goût de Chloé me font bander immédiatement. Maîtresse Caroline est passé derrière moi et entreprend de lier mes couilles et ma queue avec une fine cordelette. Très serrées. Je deviens dur, je crois que je n’ai jamais bandé à ce point. Elle en profite pour me branler sans aucun ménagement, pendant que de son autre main elle presse et tord mes couilles. Je gémis de douleur, gémissements étouffés entre les cuisses de Chloé qui s’approche rapidement de l’orgasme. -Sale pute, fais jouir ta Maîtresse, allez lèche là encore mieux que ça… T’es juste bonne à nous lécher, et à te faire baiser le cul sale truie. Je fais faire de toi un sac à foutre… tu vas avaler des kilomètres de queues bien dures et juteuses crois-moi. Je vais te droguer à la queue et au foutre. Je vais te faire baiser par des blacks pendant qu’on se branlera en regardant…. Hmmmm allez fais jouir mon amie Chloé !!! Chloé explose de plaisir en inondant mon visage. Je la bois et je me régale, malgré la douleur que Maîtresse Caroline m’inflige en jouant durement avec mes couilles gonflées à exploser. J’ai entendu tout ce qu’elle vient de me dire… mais dans un état second, concentré sur le plaisir de Chloé. Je sais qu’elle est capable de me faire subir tout cela. Je sais aussi qu’au fond de moi, dans les méandres les plus sombres de ma perversité, je le désire. Je veux être tout cela pour Maîtresse Caroline. Je veux être son soumis humilié. Et elle le sait.
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Par : le 08/08/20
Avant-propos: Ce récit est celui d’une naissance, d’un apprentissage, d’un dressage mais aussi celui d’une descente aux enfers pour connaître le paradis. Puissent ces mots faire voyager votre imaginaire, puissent-ils vous exciter, que vous soyez Maîtresse ou soumis. Vécu ou fantasme, vous choisirez. Chapitre 1 Cela faisait maintenant deux mois que, chaque semaine, je gagnais la capitale pour 2 jours. Deux mois que j’avais enfilé mon costume de professeur au sein de l’Ecole Supérieure de Journalisme et que j’enseignais, ou plutôt tentais d’enseigner à mes élèves l’art du commentaire sur image. Deux mois que j’essayais aussi de les déformater, d’ôter de leurs esprits jeunes et déjà si conformistes ces clichés et certitudes qui font de notre profession une des plus détestées du grand public. J’étais moi-même journaliste, issu de cette école, et j’avais retrouvé avec plaisir ce quartier du XIIIème, Tolbiac et cette Asie parisienne qui m’avait fait si souvent voyager vers un ailleurs plus fantasmé que réel. J’avais en charge deux classes, que je voyais chacune 3 heures par semaine. 30 élèves par classe, une majorité de jeunes filles qui rêvaient pour la plupart de marcher dans les pas de Claire Chazal. Quelques élèves brillants, une majorité qui ne deviendrait jamais de bons journalistes, et quelques uns qui arrêteraient sans doute en cours d’année. Deux mois avaient été suffisants pour avoir mes préférences. Ma préférée aussi. Caroline. Brune au teint mat, pas la plus belle, mais celle qui dégageait le plus d’énergie, la seule dont j’avais du mal à soutenir le regard. Un regard dur, brûlant, qui semblait me sonder, plonger en moi pour mettre au jour mes secrets les plus inavouables. C’était aussi, à mon sens, la plus brillante, sachant écrire et raconter, captiver par ses mots toujours justes. Caroline avait son acolyte, Ennia. Sa colocataire d’après ce que je savais. Rousse au corps de rêve et au minois d’actrice porno un brin vulgaire, qui venait souvent peupler mes masturbations solitaires, le soir, dans ma chambre d’hôtel lorsque je l’avais eue en cours l’après-midi. Leur duo, assis au second rang, me faisait fantasmer. Et je les imaginais dans les tenues les plus sensuelles. Le plus souvent, elles finissaient vêtues de cuir ou de latex, et je jouissais alors qu’elles faisaient de moi, professeur soumis, leur esclave sexuel lors de face-sitting très humides. Mais cela n’était que rêve, et du haut de mes 40 ans, je savais n’avoir aucune chance, malgré ma belle gueule et mon look « petit journal », de les avoir un jour dans mon lit et de pouvoir les honorer de ma langue. Après mes cours, je rejoignais un café-restaurant où j’avais autrefois mes habitudes. Je me posais une heure ou deux pour y lire ou appeler ma famille avant de rejoindre mon hôtel. Cette routine dura jusqu’à la mi-décembre, jusqu’à ce jeudi où ma vie bascula dans un monde que je croyais jusqu’alors inaccessible. J’avais achevé 3 heures de cours plutôt intenses à disserter sur la liberté des médias en France, puis discuté longuement avec le directeur, un vieil ami, et j’avais gagné, sous une pluie battante, mon café préféré. -Monsieur, vous pouvez vous asseoir avec nous si vous voulez. C’est Ennia qui avait parlé, Caroline se contentant de me sonder du regard, comme à son habitude, affichant un petit air narquois. -Vous êtes trempé on dirait. Je bredouillais un vague merci, et prenais place sur la banquette, à côté d’Ennia, juste en face de Caroline. J’étais un homme sûr de moi. Séducteur invétéré, j’aimais les femmes et cela se voyait m’avait-on souvent dit. Mais là, je me sentais presque mal à l’aise, ou plutôt intimidé. Les deux jeunes filles avaient visiblement commencé à travailler sur le devoir que je leur avais donné pour la semaine suivante. Le grand sac de Caroline, posé sur la table, vomissait feuilles de cours et stylo, et un livre à la couverture grise que je remarquais immédiatement : « Scéances ». Un titre d’une belle écriture rouge sang, au dessus d’un fouet de cuir noir. J’avais sans doute bloqué quelques secondes de trop sur la couverture et lorsque je croisai le regard de Caroline, celui-ci se fit plus intense, et son sourire très particulier. Pour masquer mon trouble, je leur proposai de renouveler leurs consommations et me levai pour aller commander au bar. Je ne pensais plus qu’à une seule chose, la couverture de ce livre dépassant de son sac, ce titre évocateur et ce fouet. Avais-je mal vu ? Je n’étais plus sûr de rien. Et je redoutais mon retour à leur table, me demandant comment j’allais bien pouvoir dissimuler mon trouble. Ennia vînt à mon secours, involontairement, en se faisant la plus bavarde, m’interrogeant sur le métier, les débouchés, la difficulté de trouver un stage. Caroline était moins loquace, mais elle me scrutait, et à chaque fois que je croisais son regard, elle affichait toujours le même sourire. Et ce sourire ne disait qu’une chose : je sais ce que tu as vu. La nuit tombait déjà bien que l’horloge n’afficha que 17 heures, et je songeais à prendre congé de ces demoiselles. Sans doute pour échapper au regard inquisiteur de Caroline, qui me troublait de plus en plus. Mais avant que je n’ouvre la bouche, Caroline planta son regard dans le mien. – Nous habitons juste à côté, venez prendre un verre, nous pourrons continuer cette conversation et j’aimerais vous montrer l’article sur lequel je travaille, vous savez, l’enquête que vous nous avez imposée pour la rentrée. Une invitation qui ne souffrait aucun refus, refus dont j’étais d’ailleurs incapable. – Avec plaisir, je vous suis. Elles habitaient effectivement à quelques minutes. Elles étaient bien colocataires d’un appartement assez spacieux, au 5ème étage d’une des tours de l’avenue de Choisy. Un appartement meublé avec goût, teintes sombres, tapis, bougies un peu partout. – Mettez-vous à l’aise, je vais chercher quelque chose à boire. Ennia prenait visiblement les choses en mains, jouant les maîtresses de maison accomplies, pendant que Caroline s’installait dans le canapé. Ennia revînt rapidement avec les boissons et Caroline l’apostropha, d’une voix que je trouvai assez dure : -allume les bougies, et vas te changer. Je ne montrais rien de ma surprise, mais mon trouble se fit plus intense. D’ordinaire volubile, je gardai le silence. Caroline tapota le canapé à côté d’elle : – Venez vous asseoir ici, je vais vous montrer ce que j’ai déjà écrit pour l’enquête. Ma respiration s’était accélérée lorsque je pris place à côté d’elle. Elle colla immédiatement sa cuisse contre la mienne, en étalant ses feuilles. -Lisez, et vous me direz ce que vous en pensez. Je me plongeai dans la lecture, trop content d’avoir de quoi distraire mes pensées qui divaguaient du côté de mes fantasmes secrets. La lecture me prit quelques minutes. Je sentais toujours la cuisse de Caroline contre moi, mais cela n’avait pas l’air de la gêner, elle. – C’est, disons, un très bon début. Mais il y a des passages qu’il faudrait retravailler. Ce n’est pas assez argumenté et vous vous embrouillez un peu dans votre démonstration. Il vous manque un fil conducteur….. Le regard de Caroline ne cachait pas sa contrariété, et je me sentis presque mal à l’aise. J’avais été professionnel, honnête, et je craignais d’avoir été un peu trop dur. Le retour d’Ennia au salon me stoppa net dans mes réflexions. Elle avait troqué son jean contre une juppe noire, ultra courte, qui laissait apparaître des dim-up. Talons aiguilles à ses pieds, haut noir quasi transparent, sans soutien-gorge, ses cheveux réunis en une longue tresse rousse. J’en restai sans voix, fasciné par sa beauté, et l’érotisme qu’elle dégageait. -Je… euh….. je vais peut-être vous laisser. Je dois travailler sur mon cours de demain et il se fait tard dis-je sans quitter des yeux la déesse sexuelle qui venait de faire son apparition. -Tu devrais rester répliqua Caroline, en posant sa main sur ma cuisse. Ma petite chienne s’est faite belle pour toi.
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Par : le 08/08/20
Sur ce canapé de cuir, la main de Caroline, mon étudiante dominatrice, sur ma cuisse, Ennia face à moi, j’étais simplement tétanisé. Je ne pouvais détacher mon regard de la créature sexuelle qui s’exhibait face à moi. Je ne pouvais pas non plus ignorer la main de la plus excitante de mes étudiantes remontant vers ma queue déjà tendue. Ma réflexion était anesthésiée par l’afflux massif d’hormones, de fantasmes, d’interdits entre un professeur et ses élèves… La bouche de Caroline s’était rapprochée de mon oreille et c’est sa voix qui me ramena parmi elles : – Je te vois la regarder, depuis le début de l’année. Je sais qu’elle t’excite, et tu dois sûrement te branler en l’imaginant. Cette petite chienne est ma soumise, depuis 6 mois. Elle m’appartient. Je te l’offre. A une condition. J’avais retrouvé un semblant de réflexion et je savais que si j’avais encore une chance de partir, c’était maintenant. Si je ne voulais pas mettre ma carrière de professeur en danger, et sans doute mon couple et ma famille, je devais me lever et partir. Maintenant. -Laquelle ? m’entendis-je répondre. Je te l’offre si tu t’offres à moi. Elle t’excite mais moi, c’est toi qui m’excite. Je te veux. Tu vas devenir ma pute mâle, mon soumis, mon objet sexuel. Je suis une Dominatrice, et je te veux. Je ne pense qu’à cela depuis que je t’ai vu. Je veux te dresser et je vais te dresser. Sa main était remontée se poser sur ma queue, accentuant si il en était encore besoin mon érection. Caroline affermit sa prise, serrant plus fort à travers mon pantalon de costume. Cette divine manipulatrice me masturbait, très lentement, alors que mon regard ne quittait pas Ennia des yeux. – Ma chienne, excite le un peu… montre lui ce que tu as à lui offrir…. fais moi honneur ma petite pute, allez !. Ennia obéissait sans rechigner. Elle avait fait glisser sa jupe à ses pieds, apparaissant en dim-up, sexe nu, avec son petit haut transparent qui ne cachait rien de ses seins. Elle commença à onduler en se rapprochant. Une danse qui me fascinait et me faisait bander plus fort sous les doigts de Caroline. -Allez ma pute…. caresse toi pour ton professeur. Montre lui que tu es une vraie chienne en chaleur. Ennia faisait glisser ses mains sur son corps. Pinçant et étirant ses pointes à travers le voile, caressant ses lèvres, cuisses écartées, se tournant pour prendre ses globes à pleines mains, les écarter et m’offrir une vue directe sur son sillon, son oeillet mauve et sa chatte que je devinais trempée. Caroline avait extrait ma queue de mon pantalon et je sentais ses doigts chaud me serrer, de plus en plus fort, ce qui me fit gémir. J’aimais ça. Elle devait l’avoir deviné, je ne voyais pas d’autre explication. Elle devait savoir que je ne protesterais pas, que je resterais, que je me soumettrais parce que je rêvais de cela. Ennia serait le cadeau qui scellerait le pacte, mon pacte avec une diablesse. Oui, elle l’avait certainement senti, et je me foutais de savoir par quel super pouvoir elle m’avait eu. J’étais un homme, et avec ma queue bandée entre ses doigts, elle me dirigeait. Je percevais toute ma misérable condition de mâle dominé par ses pulsions, par son envie de sexe, par sa queue. Un pauvre mâle qui ne pensait qu’à cela, le cul, les culs. Un mâle qui ne pensait qu’à baiser. Elle allait devenir ma drogue et ma dealeuse. Elle l’était déjà du reste, et elle le savait. Je fixais les doigt d’Ennia qui branlaient sa chatte et j’entendis à peine la voix de Caroline lui ordonner d’approcher et de les porter à ma bouche. – Goûte sa chatte, lèche son miel. Tu vois comme elle est déjà trempée…. tu vas la baiser, pas tous les trous. Tu vas l’enculer, baiser sa chatte, tu vas la bouffer, la sucer, et vas enfoncer ta queue dans sa bouche… tu vas voir comme elle suce bien, une vraie pro. Tu vas jouir comme un dingue. Après cela, tu seras à moi, et ton dressage commencera. Ta queue de mâle en rut sera à moi, et elle ne jouira plus que quand je t’en donnerai l’autorisation. Ennia continue à te branler, ne t’arrête pas, il a adore ça. Nous on va adorer quand il devra se branler pour nous. Ennia est ma chienne, mais c’est une femme. Quand toi tu seras ma chose, ma pute mâle, elle deviendra aussi ta Maitresse. Bien que soumise, elle est supérieure à tous les mâles, tous ces chiens qui ne pensent qu’avec leur queue, comme toi. Sa voix était devenue dure. Elle serraient plus fort ses doigts sur ma queue et je commençais à souffrir sérieusement. J’apprendrais plus tard que cette douleur n’était rien, et que je connaîtrais bien pire. Mais pour l’heure, j’avais mal, mais j’aimais ça et elle le savait. Caroline me fit me lever en me tirant par la queue. – Déshabille toi…. et baise cette pute, baise la autant que tu veux, elle est à toi, tant que je l’ordonne. Je ne réfléchissais plus. Pilote automatique. Désir de baiser. Chatte, cul, seins, son goût sur ma langue, l’odeur de sa liqueur, sa langue dans ma bouche, la mienne dans sa chatte, entre ses fesses sur son anneau, ma queue dans sa bouche, dans son cul, ses doigts dans le mien, ses seins sous mes mains, sa bouche soudée à la mienne pendant que je m’enfonçe dans son ventre. Je suis une machine, une queue, plus rien qu’une queue qui baise, s’enfonce, ressort s’enfonce encore et ailleurs. Frénésie, folie sexuelle. Ennia me semble atteinte elle aussi. Nous ne sommes que cris, gémissements, mots crus, peaux luisantes de sueur, bras et jambes emmêlées, langues sorties, insatiables. Je remarque à peine Caroline qui tourne autour de nous, son téléphone à la main. Je m’en fous, je me fous de tout sauf de la chatte d’Ennia qui vient s’écraser sur ma bouche. Je la bouffe encore et encore et elle me suce encore et encore. Nous jouissons à nouveau dans ce dernier 69 qui nous laisse morts, repus de sexe et de plaisir. Nous reprenons notre souffle lentement, Caroline nous mitraillant toujours de son objectif. Je la regarde, conscient de ce qui vient de se jouer, mais comme détaché, fataliste. J’ai perdu, elle a gagné. Je n’ai été qu’un mâle faible, dominé par sa queue, comme je l’ai toujours été. Je pourrais encore me relever, lui arracher son téléphone et partir. J’en ai peut-être la force, mais plus la volonté. Ses images ne lui serviront à rien. Elle n’en aura pas besoin pour me faire chanter. Je veux être à elle, je veux être dressé, devenir sa pute, sa chienne. Elle m’a confronté à mon désir profond, à mon fantasme absolu. Je sais en cet instant que je n’aurai jamais qu’une Maîtresse, et que ce sera Caroline. Maîtresse Caroline, mon étudiante dominatrice.
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Par : le 11/08/20
– Vous êtes vraiment deux chiennes en chaleur… vous ne pensez qu’à baiser, de vraies putes. Caroline avait troqué son téléphone contre une cravache noire et fine, avec laquelle, elle caressait nonchalamment le divin postérieur d’Ennia, avant de la faire claquer sur sa peau. – Debout sale chienne… tu me dégoûtes, une vraie traînée, tu seras punie pour ta jouissance, tu n’as pas pensé une seule fois à ta Maîtresse quand tu te faisais baiser comme une truie, je l’ai vu. Crois-moi tu vas prendre. TU ES A MOI ET A MOI SEULE, TU NE PENSES QU’A MOI, TU NE JOUIS QUE POUR MOI. Dégage de ma vue, va te laver, tu pues le foutre !. Caroline avait hurlé, visiblement dans une colère noire dont je ne savais si elle était feinte ou non. En tous cas, la trace de la cravache se voyait parfaitement sur la peau blanche du cul d’Ennia. Pour ma part, j’étais toujours allongé par terre, la queue pendante, et je ne me sentais vraiment pas à mon avantage. Je n’avais qu’une envie, me tirer. Mais je me doutais que Caroline avait d’autres projets pour moi. Elle s’approcha et posa directement son pied sur ma queue, appuyant assez pour m’arracher un gémissement, sans réellement me faire mal. -Désormais tu es à moi. Tu as accepté mon offrande, cette pute d’Ennia, donc tu as accepté de devenir mon soumis. C’était le deal. Et j’ai tout filmé, et tout sauvegardé déjà. Je ne te conseille pas d’essayer de te défiler, je ne pense pas que le directeur apprécie de te voir baiser une de tes élèves…. -Caroline, je ne.. -Maîtresse Caroline rectifia t-elle en appuyant un peu plus fort sur ma queue. Tu m’appartiens désormais. Ne l’oublie pas. C’est Maîtresse Caroline chaque fois que tu t’adresses à moi. Et tu ne parles que si tu y as été invité, est-ce que je suis assez claire ma petite lope ? – Oui Maîtresse Caroline, très claire. Je ne savais plus quoi penser. Je vivais ce que j’avais tant désiré, rêvé, fantasmé depuis des années. Mais j’avais peur. Peur de tout ce que cela pouvait bouleverser dans ma vie. Peur de perdre ce que j’avais, mais si tenté par ce que j’avais à gagner, à savoir une somptueuse Maîtresse et la possibilité d’être enfin ce que j’étais au fond de moi, un soumis, un homme désirant obéir et servir sa divinité. Caroline retira son pied, et recula pour s’asseoir dans un fauteuil, face à moi. -Approche la lope. Vous voir baiser comme des porcs ça m’a excitée. Viens, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue. J’ai envie de jouir. Et tu as intérêt à t’appliquer. Je ne supporte pas les mauvais lécheurs. Je m’approchai à quatre pattes, les yeux rivés sur la plus sublime vision du monde, le sexe de celle qui était maintenant ma Maîtresse. Lisse, humide, simplement beau. J’aimais profondément lécher une femme, et j’espérais que Caroline aimerait mon savoir-faire. Je commençai doucement à embrasser et donner des petits coups de langue sur le pourtour de sa vulve, mais Caroline empoigna mes cheveux et colla ma bouche sur ses lèvres. – Je t’ai ordonné de me bouffer la chatte petite merde, pas de me déguster du bout des lèvres. Lèche moi, et fais moi jouir. Je lui obéis, faisant de mon mieux pour lécher, enfoncer ma langue le plus profond possible, aspirer son clitoris entre mes lèvres, lécher encore. Elle maintenait sa prise et je n’existais plus que par ma langue. Elle appréciait visiblement mon travail, haletait de plus en plus fort, et m’exhortait à continuer, sans m’arrêter. De sa cravache elle venait de temps en temps claquer mon cul, légèrement, en me traitant de tous les noms. Je sentais son plaisir monter, et je me concentrais sur son clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant et en m’abreuvant de son nectar. Elle repoussa mon visage, et je restai à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos, à la regarder reprendre ses esprits. -Pas trop mal, mais il va falloir que je t’apprenne ce que j’aime. Tu vas devenir un parfait chien lécheur que je pourrai prêter à mes amies. -Merci Maîtresse Caroline. La réponse fut fulgurante. Une gifle sonore et assez douloureuse que je ne vis pas venir. -Je t’ai autorisé à parler sale pute ? Dis moi, t’ai-je demandé une réponse ? T’ai-je demandé de ponctuer ? -Non Maîtresse Caroline. Je vous demande pardon Maîtresse Caroline, cela ne se reproduira plus Maîtresse Caroline. -Tu as vraiment besoin d’être dressé. Je vais prendre mon pied, tu n’as pas idée de ce que je vais t’apprendre ma chienne. Ennia était de retour. Vêtue seulement de bracelets de force, aux chevilles et aux poignets, et d’un collier large et noir. Elle vint se mettre à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Caroline se pencha et saisit la pointe d’un sein de sa soumise. -Regarde ma petite lope, regarde bien ma soumise et le résultat de mon dressage. Elle est maintenant capable de la fermer quand il faut. Même pas un gémissement. En disant cela, elle étirait et tordait la pointe entre ses doigts. Je regardais Ennia se raidir, mais elle encaissait. Caroline joua près d’une minute à torturer cette pointe. Le visage d’Ennia se crispait. Je voyais sa mâchoire se serrer, et une larme perler. Elle souffrait, mais en silence. -Tu vois, elle endure, mais elle ferme sa gueule, comme je lui ai appris. Toi aussi tu vas apprendre, apprendre à te taire et à souffrir crois-moi. Sinon tu souffriras encore plus. Il n’y a que comme ça que ça rentre dans la tête des lopes comme toi. En force ! dit-elle en riant. Maintenant, tu vas aller à ton tour te nettoyer. Tu sens la chatte à plein nez. Ma chienne, accompagne le, et veille à bien le laver en profondeur. J’avais l’impression que Caroline avait ponctué ses derniers mots d’un clin d’oeil à Ennia. Je n’en étais pas sûr, mais je n’étais pas tranquille quant à ce qui m’attendait à la salle de bains.
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Par : le 18/08/20
Maîtresse Caroline, dominatrice cruelle, nous laissa de longues minutes seuls. A force de baisers, de caresses tendres, Ennia apaisa mes larmes et la chaleur de son corps contre le mien finit par me faire rebander. Quand Caroline revînt, Ennia se caressait lentement sur ma tige, sans cesser de m’embrasser. Elle cria lorsque la cravache s’abattit sur ses reins. – Mais regardez moi ces animaux en rut. Je ne peux pas vous laisser 3 minutes !!! Vous ne pensez qu’à baiser ! Vous mériteriez que je vous mette à l’abattage, dans une cabane de chantier, pour vous faire baiser par un tas de mecs aux couilles bien pleines. Vous n’êtes que deux putes en chaleur ! Toi la chienne, tu retournes à ton hôtel. Et tu attends mon message, demain matin. Mais pour que tu penses à moi, je vais t’équiper. Debout, mains sur la tête, maintenant ! J’étais vaincu. Maîtresse Caroline, dominatrice cruelle, avait définitivement pris l’ascendant et je n’avais plus aucune envie de me rebeller. Elle empoigna mes couilles à pleines mains et les tordit, ce qui m’arracha un cri de douleur. -Silence sale truie… Je t’interdis de te branler jusqu’à demain. Mais je n’ai aucune confiance, donc il n’y a qu’une solution pour m’assurer de ton obéissance. Je suis obligée de t’engager! -Maîtresse Caroline, s’il vous plaît, pas ça ! La gifle fut aussi instantanée que ses doigts broyant mes couilles. -Ta gueule sale pute. Tu n’es qu’une salope en chaleur, une traînée qui ne pense qu’au cul. Ta bite m’appartient maintenant. A moi seule, c’est clair ? C’est clair ma pute ??? -Oui Maîtresse Caroline! J’avais parlé dans un souffle, les yeux embués de larmes sous la douleur de sa main serrant mes couilles. Je n’avais plus du tout envie de bander, et Caroline n’eut aucun problème pour me poser la cage de chasteté. Le clic du cadenas me condamnait. Et j’étais envahi par la peur. Demain, je devais rentrer chez moi. Et si Maitresse ne me libérait pas ???? -Une bonne pute doit toujours porter des dessous de putes. Tiens ma salope, enfiles ça! Une paire de dim-up et un string rouge, bien trop petit, qui ne cachait presque rien de ma cage. Je me sentais ridicule et Maîtresse Caroline en rajouta : -On dirait un pauvre travelo. T’es trop vulgaire ma pute… Vulgaire comme une vraie salope bonne à foutre sur le trottoir. Un jour je te ferai tapiner ! Sa dernière réplique m’acheva. -Allez, dégage de ma vue maintenant ! Toi ma pute d’Ennia, tu files te préparer. Ce soir tu vas être la reine… je t’ai préparé une petite surprise, j’espère que tu n’as pas oubliée ! Tu vas prendre cher crois moi ! Le trajet jusqu’à mon hôtel fut terrible. Le cul ouvert par le plug, mes jambes gaînées de bas, ma queue prisonnière, mon string rouge… j’avais l’impression que tous les passants que je croisais, tous ces gens dans la rame de métro ne voyaient que ça. Qu’ils savaient. Je devinais leurs petits sourires méprisants. Bien sûr, c’était impossible, mais je me sentais nu, et ma démarche, cul plein et cage entre les cuisses, n’avait rien de naturel, du moins me semblait-il. La soirée fut aussi terrible. Entre un coup de fil à ma famille, mes efforts pour paraître naturel, le film de l’après-midi en boucle dans mon esprit, mon envie de sexe exacerbée par le plug et ma cage me privant d’érection… Je trouvais difficilement le sommeil, en dépit de mon corps épuisé par ses épreuves. Des coups frappés à ma porte me tirèrent de mes rêves agités. Je ne savais plus où, ni qui j’étais. 5h34. L’heure d’une surprise totale en laissant entrer Ennia dans ma chambre. Son visage marqué par les larmes, maquillage ravagé, odeur de cul…. et regard glacial. Pas un mot, juste une enveloppe qu’elle me tendit. Une lettre de Maîtresse Caroline. -Ma pute…. Ennia m’appartient. Elle est ma chienne, ma chose. Mais elle est aussi ta Maîtresse en mon absence. Tu lui es inférieur, et tu lui dois obéissance. J’espère pour toi qu’elle t’a trouvé avec le plug dans le cul, et ton string toujours sur toi… ou tu seras puni durement. Cette nuit, la salope rousse a été offerte à une assemblée de mâles. Elle s’est faite défoncée le cul et la chatte. Elle a hurlé de douleur, très longtemps. Et j’ai bien pris garde qu’elle ne jouisse pas. Il y a moins d’une heure, des queues se vidaient encore dans ses trous et sur son corps. Elle pue le cul, le foutre. Tu vas la nettoyer, bien en profondeur. Et elle a le droit jouir, cette fois. Le regard d’Ennia ne soufrait aucun refus. -Mains sur ma tête…. maintenant tu es ma pute à moi. Et j’ai envie de te faire mal! Elle avait pris ma ceinture, sur le dossier de la chaise… et elle m’en cingla les fesses. Assez fort pour m’arracher un gémissement. -Tu as le droit de crier… j’aime, et ça m’excite… Mais pas trop fort, n’oublie pas où nous sommes. Les coups s’abattirent sur mon cul. Ennia tournait autour de moi, frappant mes fesses, parfois mon torse ou mes cuisses. Je résistais tant bien que mal à la douleur, gémissant le moins fort possible. J’étais épuisé. Trop d’émotions, de sensations, trop peu de sommeil. Mais je pensais à ce qu’Ennia avait enduré. Bien pire que moi si j’en croyais les mots de Caroline…. Les coups cessèrent. -Allongé par terre la chienne, tu vas me nettoyer! Je suis remplie de foutre encore chaud… tu vas bien me lécher. Elle vint s’asseoir sur mon visage. Un facesitting gluant, odorant. Elle puait la baise, le sperme… Elle coulait de la chatte et du cul… et ses cuisses étaient maculées de longues traînées de jouissance masculine. Je dus surmonter mon dégout, enfoncer ma langue, lécher, avaler, nettoyer…. elle se frottait sur ma bouche, ouvrait ses fesses à pleines mains… -hmmm enfonce bien ta langue ma pute, suce moi la rondelle… aspire le sperme… hmmm tu aimes ça hein… lèche ta Maîtresse, nettoie là bien… hmmmm ouiiiiiii continue ma chienne… tu vas me faire jouir…. Ahhhhhhhhhh! Ennia jouit plusieurs fois. Elle délirait, m’appelait son amour, sa pute, sa salope de plaisir… se branlait sur ma bouche, dirigeait ma langue… ma belle rousse me dominait et mon amour pour elle explosait. Qu’importe l’avilissement, le sperme qui la souillait, peu importe qu’elle se fasse baiser par d’autres… En cet instant, j’étais à elle, rien qu’à elle. C’est moi qui la faisait jouir. Mon dégoût était loin, mes tabous tombaient les uns après les autres. Je voulais tout, aucune limite… juste être à elle, être avec elle. Ma queue diffusait une douleur continue, enfermée dans sa cage. La frustration que cela engendrait était nouvelle pour moi. Et j’en pleurais en serrant Ennia dans mes bras, en baisant sa bouche, en léchant ses seins couverts de traînées blanchâtres. Elle me quitta sans un mot, à 7h15. Et je m’effondrais sur le sol de ma chambre, pleurant encore sur mon sort, sur ce que j’allais devenir, anéanti par les doutes, les questions…. et par dessus tout, le manque d’Ennia, la douleur de son absence. Je n’avais cours qu’à 13h30. L’attente allait être insupportable. En attendant, j’étais brisé.
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Par : le 05/09/20
Sa queue me semble hors norme. J’ai déjà sucé deux beaux membres, ceux des deux livreurs à qui m’avait offert Maîtresse Caroline. Mais là c’est un autre calibre. Je l’embrasse du bout des lèvres, le lèche à petits coups pour en appréhender toute la grosseur. Je ne saurais décrire le désir trouble qui m’étreint à ce moment là, accroupi dans les toilettes, habillé comme une chienne bonne à baiser, enchaîné aux tuyaux par mes étudiantes dominas. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue qui s’offre à ma bouche. Et la Maîtresse du soumis que je suce ne manque pas de le remarquer : -Mais c’est que tu as bien progressé dis-moi. J’avais vu que tu aimais ça sur la video. mais là je suis impressionnée. Tu es devenue une vraie pro de la suce… !!! Christelle, c’est bien sa voix que j’avais reconnue. Ma Maîtresse, ou plutôt mes Maîtresses, mes étudiantes dominas, c’est une chose. Mais elle…. Peut-être est-ce parce qu’elle appartient au personnel administratif de l’école, peut-être parce qu’inconsciemment je la considère plus comme une adulte. Je ne sais pas, mais le fait qu’elle me domine, et surtout qu’elle sache qui je suis vraiment m’humilie avec une intensité inégalée. Ses mots me brûlent et me transpercent. Et si les larmes perlent à mes yeux, ce n’est pas uniquement à cause de la colonne de chair qui me fouille la gorge. Je me concentre entièrement sur ma fellation, comme pour oublier mon humiliation, la chasser de mon esprit. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue, je veux la faire jouir. Je veux son miel, comme une victoire pour la petite salope en chaleur que je suis devenue grâce à mes Maîtresses, mes étudiantes dominas. Mais ma Domina perverse n’est pas de cet avis. Christelle ordonne à son soumis de se retirer de ma bouche et à moi de me redresser, face au mur, cul bien offert et cambré : -Il est temps de donner du plaisir à sa petite chatte… Vas-y, encule là, elle n’attend que cela, n’est pas la chienne ? Silence. Ma réponse tarde. Quelques secondes de trop pour Maîtresse Christelle. Ainsi, elle attrape mes couilles entre mes cuisses et serre : -Je t’ai posé une question salope…! Je gémis de douleur. -Tu as envie de te faire enculer ? J’articule difficilement un -"Oui Maîtresse ! " -Demande-le mieux que cela au mâle qui va te baiser la chatte. Tiens retourne toi, frotte toi contre lui comme une bonne femelle en chaleur. Montre lui que tu en crèves d’envie. Caressez-vous et embrassez vous les putes, j’ai envie de vous regarder. Excitez moi bien mes salopes !!! Son soumis m’attire à lui et fourre sa langue dans ma bouche. Les hommes ne m’attirent pas. Ne m’excitent pas. Et je n’ai jamais ressenti le désir d’embrasser un homme, de caresser amoureusement, avec un désir intense, leur corps. Seule l’idée de soumission à une queue m’excite. Toucher, caresser, embrasser, sucer une queue cela fait bouillir mes sens. Me comporter avec un homme comme je sais me comporter avec une femme, j’en suis incapable. Aussi, j’ai un mouvement de recul qui n’échappe pas à Maîtresse Christelle. La réaction est cinglante, sous la forme d’un coup de cravache brutal sur mes fesses. Suivi par sa voix, dure bien que murmurante, à mon oreille : -Si je veux que tu sois sa femelle amoureuse, tu deviens sa femelle amoureuse… ne m’oblige pas à enlever ta cagoule et à te laisser visage nu pour l’heure qu’il te reste à passer ici. Tu as vraiment envie que tout le monde sache ? -Non Maîtresse, pitié, s’il vous plaît…. -Alors à toi de jouer ma chienne ! Je pose mes mains sur la taille de mon « amant » et je viens me coller à lui. Maladroitement, je pose mes lèvre dans son cou. Ensuite, je laisse mes mains descendre sur ses fesses, je frotte ma queue contre lui. J’ai envie de sexe, vraiment envie. Et cette envie s’ajoute à la peur que j’ai de voir mon identité révélée. Elle la dépasse même, rapidement. Les encouragement de Maîtresse Christelle m’y aident beaucoup : -Hmmmm bien… frotte toi bien contre lui, embrasse-le… suce ses tétons pendant que tu le masturbes, il adore ça…. c’est bien ma salope, laisse toi aller totalement. Tu es une femelle qui a envie de son étalon black. Dis-lui….. Je suis en plein délire sexuel. Envoûté par la voix de Maîtresse, submergé par mon désir de cul, par mon besoin de cul. J’embrasse à pleine bouche, je joue de la langue avec la sienne, je la laisse descendre sur sa poitrine, je caresse ses fesses, ses couilles, je branle sa queue tout en lui disant mes envies. -Baise moi… je veux ta queue dans ma chatte, encule moi… hmmm viens, je veux te sentir… je suis ta pute… fais moi jouir, ouvres moi… remplie moi de sperme… j’ai trop envie. J’entends vaguement Maîtresse Christelle gémir de plaisir. Elle doit se caresser en se délectant du spectacle. Je me retourne et je tends mon cul vers son soumis, une main appuyée au mur, l’autre tenant sa queue maintenant recouverte d’un préservatif pour venir caresser mon œillet avec son gland. Il est si gros. J’ai peur d’être déchiré mais j’ai besoin de me faire baiser. Avec la cagoule qui préserve mon anonymat, mes Maîtresses me permettent de plonger au plus profond de mes fantasmes. Je n’aurais jamais été capable de leur avouer, de vive voix, face à elles. Mais là, plus rien ne me retient. Je peux les vivre, mettre à terre toutes les barrières psychologiques et morales qui sont encore en moi. J’ai réellement envie de lui. Le contact de la douceur de son gland sur mon anus m’électrise. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va me pénétrer, mais le désir est si fort. -Baise-moi ! Ses mains ouvrent mes globes et je sens sa pression. Lentement il m’ouvre. Je gémis de douleur, laisse échapper un cri. Maîtresse Christelle approche son visage du mien. J’entends ses halètements qui s’accélèrent. -Prends-le.. allez ma chienne, tu en as trop envie… ouvre toi pour lui ! Son gland franchit le barrage de mon anneau. Et il me pénètre lentement, jusqu’à la garde, encouragé par mon long gémissement ininterrompu. De douleur et de plaisir, je ne sais plus. J’entends le plaisir de Maîtresse Christelle qui augmente. Au fur et à mesure que son soumis me baise plus vite, plus profondément. Ma Domina l’exhorte à me pilonner sans aucune retenue. En appui, les deux mains contre le mur, je subis cette sodomie violente, cette possession totale. Maîtresse jouit longuement alors que mon amant se déchaîne. Elle reprend son souffle et lui dit de se retirer. Sensation unique de vide. Elle lui arrache sa capote et lui ordonne de se branler pour décharger sa semence sur le sexe délicat de ma Maîtresse. Il jouit rapidement en grognant de plaisir. Puis Maîtresse plaque ma bouche sur ses lèvres maculées de foutre : -Nettoie-moi, et fais moi jouir encore !
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Par : le 02/09/20
Suite à cette séance je dormis aux pieds du lit de mes Déesses. Le réveil était programmé sur 6h. Après avoir préparé leur petit-déjeuner, je dus les réveiller chacune à leur tour en leur prodiguant un long cunnilingus. Maîtresse Christelle, prétextant que le matin était la meilleure heure pour faire du sport, entreprit de me chauffer au martinet. Elle s’amusa à me rougir le cul pendant que je léchais Maîtresse Chloé. Puis je dus également la faire jouir avec ma langue. Je ne portais toujours pas ma cage de chasteté, selon le désir de Maîtresse Chloé. Ainsi, je bandais dur, comme toujours à la vue du corps de mes sublimes Déesses et surtout de leur miel qui agissait sur moi comme le plus puissant des aphrodisiaques. La veille, je n’avais pas joui. 6 jours déjà, sans jouissance. Mes Maîtresses n’avaient aucune idée de la douleur que l’abstinence, doublée d’une excitation quasi permanente, pouvait engendrer. Je ressentais une douleur sourde, permanente, lancinante, qui vous prend tout le bas du ventre. Rien, sans doute, comparé à la douleur d’un accouchement. Je me souviens avoir lu un article sur la douleur des contractions. Une douleur qu’aucun homme ne connaîtra jamais, et que sans doute peu seraient à même de supporter. Aussi ce que je ressentais n’était rien, même si cela occupait pour l’heure tout mon esprit. Je fis jouir mes Maîtresses plusieurs fois, uniquement avec ma langue. Pendant que Maîtresse Christelle occupait la salle de bains, Maîtresse Caroline me fit m’agenouiller aux pieds du lit, face à elle. Cuisses ouvertes, mains dans le dos, regard baissé… position de présentation que j’adoptais depuis un certain temps mécaniquement, sans même y réfléchir. Maîtresse Caroline aimait à dire qu’elle m’éduquait comme un chien, qu’elle programmait mon cerveau d’esclave. Elle avait raison. Peu à peu j’avais acquis certains réflexes. Une routine finalement reposante. Nul besoin de réfléchir, juste obéir. Et c’est de cette routine, justement, dont Maîtresse Chloé voulait me parler…. -Petite chienne, il est temps de casser un peu nos habitudes. Cette fois tu vas servir en dehors de cet appartement. On va t’exposer !!! Tu vas voir, tu n’es pas au bout de tes surprises crois moi…. Allez, après moi tu passeras à la douche. Je t’ai préparé tes dessous. Tu vas avoir l’air d’une bonne salope, une bonne pute en chaleur. Par dessus, costard, comme d’habitude. N’oublies pas que tu as cours tout à l’heure. Maîtresse Chloé avait prononcé ces derniers mots sur un ton très ironique et je redoutais le pire. Jamais encore mes Maîtresses ne m’avaient exposé en dehors de l’appartement. Sauf une fois, dans ce garage au sous-sol froid, lorsque Maîtresse Caroline m’avait fait venir chercher à la gare par une de ses amies dominatrices. Ce fut la seule fois. Depuis, je servais toujours sur le terrain douillet et protecteur de son appartement, son univers qui était maintenant le mien. Etre exposé en dehors de ce cocon m’effrayait énormément. J’avais peur même si je faisais confiance à mes Maîtresses. 10h50, l’heure de gagner l’école. Sous mon costume noir, une tenue de pute, Maîtresse Chloé avait bien choisi : bas noirs à couture, corset porte jarretelles en latex, de couleur rose, plug… et dans un petit sac, une cagoule aveuglante également en latex, de même couleur ainsi que deux longs gants. Elle avait rajouté un gode-ceinture, de très bonne taille, ainsi que du lubrifiant, un collier de cuir lui aussi rose, une chaîne et deux cadenas. Mon esprit tournait à pleine régime. Pourquoi devais-je emmener tout cela à l’école ? Où allait-elle m’emmener après mes 2 heures de cours ? J’avais pour consigne, à 13h, de rester dans ma salle après le départ de mes élèves. J’appréhendais la suite. Maîtresse Chloé me rejoignit à 13h05, accompagnée par Christelle, dans sa tenue de secrétaire stricte, tailleur gris, chemisier blanc. C’était un uniforme qui lui allait merveilleusement bien et qui me faisait bander à chaque fois que je la croisais. -Ma salope, cet après-midi tu vas servir… Tu vas être réellement un esclave de plaisir. Tu vas prendre ton sac, avec tes jouets et me suivre. J’obéis, m’attendant à sortir de l’école pour me rendre dans un autre lieu. Mais Maîtresse Chloé se dirigea vers les toilettes des femmes. Elle m’y fit entrer discrètement, un sourire amusé sur son visage face à mon incompréhension totale. -Ma salope, entre là-dedans : me dit-elle, en me désignant les toilettes pour handicapés. -Déshabille toi, dépêche ! -Mais Maîtresse….! Une gifle me fit taire immédiatement. -Ta gueule, tu obéis, c’est tout. Je ne t’ai pas autorisé à parler que je sache ! Je m’exécutai rapidement. Maîtresse Chloé fit disparaître mon costume dans son sac puis elle m’enfila la cagoule, posa le collier sur mon cou et y fixa la chaîne, cadenassée à la fois à l’anneau de mon collier et à la tuyauterie des toilettes. -Voilà, tu ne vas pas te sauver comme ça… A genoux, regarde moi ! A partir de maintenant, et jusqu’à ce que l’on vienne te chercher, tu es à la disposition de quiconque pénètre dans ces toilettes. Tu obéis, sers, exécutes ! Tu lèches, suces, nettoies et surtout tu te tais ! Avec Christelle, nous avons prévenu un certain nombre de filles qu’un esclave sexuel serait à leur disposition, aujourd’hui. Tu n’imagines pas le nombre que cette nouvelle a excité ! Tu ne vas pas t’ennuyer à attendre la cliente je crois. Rassures toi ma petite salope qui bande déjà, Christelle a réussi à se procurer une clé. Tes utilisatrices n’auront qu’à se la passer entre-elles, ainsi pas de risque que tu sois découvert par hasard. Nous ne voulons pas de scandale, et nous tenons à ce que notre petite chienne personnelle reste à son poste de professeur…. Allez, je te laisse… Et attention, tu as intérêt à les satisfaire… Et qui sait, va savoir, tu auras peut-être d’autres surprises…. je sais que ces toilettes sont réservées aux femmes, mais… Je restai sans voix. Ainsi, elles me mettaient à la disposition des élèves, comme une salope qu’on emmène sur un chantier, pour qu’elle vide tous les ouvriers. Avant de sortir, Maîtresse Chloé avait disposé le gode-ceinture et le lubrifiant bien en évidence sur le lavabo. Et elle avait scotché une pancarte au dessus des toilettes : Pute à votre service. Abusez-en ! Elle me quitta, refermant à clé la porte derrière elle. Mon calvaire n’allait pas tarder à commencer. Je perdis rapidement la notion du temps. Ma première « cliente » arriva seulement quelques minutes après le départ de Maîtresse Chloé. Impossible de deviner qui était entré dans ces toilettes. Impossible de reconnaître sa voix. La cagoule déformait les sons et me privait de ma vue. -Wouahouh….. putain mais c’est dingue ! Elle avait murmuré et semblait ne pas croire ce qu’elle voyait. Elle s’approcha de moi, toujours à genoux, dans ma posture de présentation, cuisses ouvertes, mains derrière le dos, queue bien bandée. Maîtresse Chloé m’avait posé un cockring très serré, pour que je sois apte à bien satisfaire une cliente, selon ses propres mots, si l’une d’entre-elles avait envie d’une queue. Ou simplement de me travailler un peu. Toujours en murmurant, ma visiteuse m’ordonna de me relever. Ensuite, elle tourna autour de moi, laissant ses mains parcourir mon corps. Elle n’en revenait pas. -Et si je t’ordonne quelque chose, tu le fais ? Tu le fais vraiment ? -Oui Mademoiselle ! -Voyons voir…. dos contre le mur, branle-toi, très lentement ! Je m’exécutai pendant que je l’entendait se déshabiller. Je savais que je n’avais pas le droit de jouir, sauf ordre express d’une cliente. Elle se rapprocha lentement et, toujours en murmurant, m’ordonna de me mettre à genoux. -Lèche moi, fais moi jouir avec ta langue ! Elle m’offrit mon premier orgasme de cette journée de travail à la chaîne. Les sexes juteux s’enchaînèrent durant deux heures. Peu de ces jeunes femmes osaient ordonner autre chose que de les faire jouir avec ma langue. L’une m’avait même sucé, mais sans me permettre d’atteindre la jouissance. Ma queue me faisait terriblement souffrir. En effet, elle était gonflée à bloc, ultra sensible. Une autre s’était enhardie à me donner une fessée, et à jouer avec le plug qui remplissait mon cul. Aucune n’avait encore utilisé le gode-ceinture. J’étais surtout une langue obéissante, et mon visage avec ma cagoule de latex rose, était maculé de mouille. Dans l’ensemble elles avaient été plus surprises que vraiment perverses, mais je savais que cela ne durerait pas. A 15h, la sonnerie de fin de cours retentit. 15 minutes de pause. J’entends des voix, plusieurs, qui résonnent dans l’espace toilette réservé aux Dames. J’entends la serrure jouer, et plusieurs personnes entrer. Rires, commentaires, surprise… -On peut vraiment lui faire ce que l’on veut ? Lui donner des ordres ? -Essaye, tu verras… -Tiens, regarde, il y a une cravache, J’ai toujours eu envie de tester sur mon ex…. il l’aurait bien mérité. Soph, tiens-le par la queue, qu’il ne puisse pas bouger. Debout, mains dans le dos, enchaîné par le cou à la tuyauterie, aveuglé, je ne vois pas comment je pourrais fuir. On me retourne contre le mur, cul offert. Une main saisie la base de ma queue, et me maintient fermement. -Chuttt… ne bouge pas petite chienne… Ma copine va donner sa première fessée, et à la cravache en plus… j’espère que tu vas aimer! Avec une main inexpérimentée, il n’y a que deux possibilités : soit elle hésite et caresse, soit elle ne maîtrise pas sa force et fait mal, très mal. Cette Sophie, que je ne pensais pas avoir comme élève, appartenait à la deuxième catégorie. Grisée par la situation et par la présence de ses amies qui l’encourageaient, elle m’asséna une dizaines de coups, rapides, secs, forts. Je ruai et tentai de maîtriser mes cris de douleurs, avec plus ou moins de succès. -Ta gueule… tu veux qu’on se fasse choper ou quoi ? Vas-y, encore quelque uns, pour qu’il apprenne à la fermer. Et puis moi j’aime bien les marques que ça laisse… ça m’excite. Tu vas bientôt goûter ma chatte, esclave, je coule comme une fontaine ! Je n’avais pas reconnu la voix de celle qui me tenait maintenant par les couilles. Mais visiblement, elle avait un peu d’expérience en matière de domination, ou alors elle était faite pour cela. -A moi maintenant… il y a un truc que j’ai envie de faire depuis que j’ai vu son petit cul. Je meurs d’envie de le baiser. De l’enculer bien à fond. Céline, passe moi le gode-ceinture s’il te plait. Et le lubrifiant ! Céline. Si je ne me trompais pas, elle suivait mes cours, en deuxième année. Petite, menue, plutôt jolie avec un regard qui ne laissait pas indifférent. Si elle était là, ses deux amies, Sophie et celle qui me tenait fermement, devaient aussi être parmi mes élèves. Je n’avais qu’une hantise… qu’elles me reconnaissent. Pour l’instant, aucune n’avait eu l’idée de retirer ma cagoule. Peut-être que Maîtresses Chloé et Christelle les avaient briefées. Je sentis des mains écarter mes fesses, une autre retira le plug… -Hmmm regarde, j’hallucine, son cul reste bien ouvert ! Vas-y, doigte-le bien et remplit le de gel, je vais le défoncer ! Éclats de rire, trois doigts qui m’ouvrent. Je sens le gel froid qui coule. Ensuite, elles me remplissent directement en introduisant l’embout du flacon. Puis le gland qui se pose sur ma rondelle. -Allez… ma petite pute, je suis ton mâle, tend ton cul vers moi ! Dis nous que tu as envie de te faire enculer… Allez ! -Oui Maîtresse, j’ai envie de me faire enculer. Baisez moi le cul Maîtresse s’il vous plaît ! Putain, c’est une vraie chienne ! je crois que je n’ai jamais été excitée comme ça ! Ses mains sur mes hanches, le gode-ceinture s’enfonce d’un coup, jusqu’à la garde. Je crie mais une main posée sur ma bouche étouffe mon hurlement. Ma cliente me baise bien à fond, sans ménagement. Ainsi, elle se retire presque entièrement puis replonge entre mes reins. La sodomie brutale dure plusieurs minutes avant qu’elle ne cède la place à Céline. -Ta nouvelle Maîtresse est plus petite. Vas y ma salope, plie les jambes pour bien te mettre à niveau, offre ton cul mieux que ça ! Toujours cette voix que je ne réussis pas à identifier. La meneuse du groupe. C’est elle qui décide. Céline est donc plus petite, je dois avoir raison : c’est bien l’élève à laquelle je pense. Un intense sentiment d’humiliation s’empare de moi, moi le professeur soumis, je suis devenu la pute de l’école. Je suis attaché dans les toilettes pour filles et une de mes élèves est en train de m’enculer. Céline le fait avec douceur. Je la sens coulisser en moi, ses mains me caressent le dos, les hanches pendant qu’elle rythme sa pénétration. Une main se pose sur ma queue et me branle doucement. Je sens le plaisir monter. Ensuite, je me tends vers le gode et la Maîtresse du groupe le remarque : -Hmmm regardez les filles, elle vient se baiser elle-même sur ton gode Céline. Regardez comme elle aime ça… une vraie chienne en chaleur !!! Nad, tu veux la baiser toi aussi ? Nad. Pour Nadia, sans aucun doute. Deuxième année elle aussi. Grande, brune, un peu forte. Assez effacée comme élève. -Non… par contre je meurs d’envie de me faire lécher la chatte… A genoux esclave ! Nouvel éclat de rire général. Nadia m’ordonne ne m’accroupir, dos au mur, et vient coller son sexe contre ma bouche. Elle m’abreuve de son miel, abondant, et jouit rapidement. La troisième participante prend aussitôt sa place, suivie par Sophie. -Moi, j’ai surtout envie de pisser ! Tu dois avoir soif, la lécheuse, non ? Ouvre bien grand, et avale ! Son jet m’inonde la bouche, et j’ai du mal à surmonter mon dégoût. Son urine coule sur mon visage, mon torse…. -Hmmmm j’espère que tu apprécies mon champagne. Allez, maintenant, fais moi jouir. Et dépêche toi, on a cours ! La porte se referme. Je pue la pisse et le cul. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer, la serrure joue à nouveau et deux personnes pénètrent dans les toilettes. -Lave-le ! La voix est féminine et je crois la reconnaître, sans certitude. La main armée de lingettes nettoyantes, qui passe et repasse sur mon corps, mon visage cagoulé, qui s’attarde sur ma queue, entre mes fesses, sur ma rondelle laissée nue par l’absence du plug, je ne sais pas. Aucun mot n’est échangé. J’entends une fermeture éclair, quelques gémissements. Deux mains appuient sur mes épaules pour me faire m’accroupir. -Vas-y, baise lui la bouche. Interdiction de jouir ! Aucun doute. C’est une Maîtresse et son soumis. Élève ou non ? Dans ma classe ou non ? Un gland énorme se pose sur mes lèvres, et ma langue, docile, vient à sa rencontre.
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Par : le 30/08/20
Après le repas, Maîtresse Chloé passa au salon. Elle me fit m’agenouiller à ses pieds, pour que je puisse les masser longuement. Selon ses envies, elle les portait à ma bouche et me faisait comprendre d’un regard que je devais lécher ou sucer ses orteils. Un pied entre mes lèvres, l’autre jouant avec ma queue et mes couilles, j’étais libre de bander. Maîtresse Chloé m’avait faire jurer de garder cela secret. Caroline n’apprécierait sans doute pas qu’elle m’ait ôté ma cage. Maîtresse Chloé fumait tout en discutant par sms avec une amie lorsque son téléphone sonna. J’étais persuadé que c’était Maîtresse Caroline prenant des nouvelles de son professeur soumis. Cependant, j’étais loin de me douter que ce coup de téléphone m’emmènerait encore plus loin dans l’humiliation et le don de moi. -Oui oui, il est juste à me pieds… Tu le verrais, une vraie bonniche, bien salope avec son petit tablier blanc, ses bas et son porte-jarretelles. Et je lui ai mis un bon collier de chien. Oui c’est exactement ça ! Il bande comme un âne… Non bien sûr, interdiction de jouir…. Tu crois ? Hmmmm tu me donnes des idées tu sais…. Cela m’excite à mort… oui, une vraie pute tu n’imagines pas ! Mais à qui pouvait bien parler Maîtresse Chloé ? J’avais beau retourner la question dans tous les sens, rien. Aucun indice. J’avais l’impression que ce n’était pas Maîtresse Caroline, ni Ennia. Or elles n’étaient que trois à connaître mon état de professeur soumis, Caroline, Chloé et Ennia. Et bien sûr les deux livreurs, mais la voix que je devinais à travers le haut parleur du téléphone me semblait féminine. Je sentais mon anxiété monter. Qui pouvait bien être dans la confidence encore ? Je n’allais pas tarder à être fixé. -Tu passes comme prévu ? … Hmmmm oui, avec plaisir, j’adore…. T’inquiète, je vais le préparer et il sera tout à toi…. A tout à l’heure. Fais vite ! Je me concentrai sur les pieds de Maîtresse Chloé. Suçant un par un, délicatement et avec dévotion, ses orteils, je n’osais lever mon regard, même si je sentais parfaitement le sien posé sur moi. -Patience ma pute ! Dans moins de 30 minutes, tu vas avoir une belle surprise, crois-moi ! En attendant, j’ai envie que tu me lèches un peu ! Cette conversation m’a bien fait mouiller. Viens nettoyer ta Maîtresse ! Allez, respire mon parfum de plaisir ! Maîtresse Chloé jouit rapidement, ma langue sur son anneau mauve pendant que ses doigts virevoltaient sur son clitoris. Puis elle me prépara. Elle me fit d’abord me déshabiller entièrement, puis passer un ensemble en latex noir, bas, serre-taille à jarretelles. Ce dernier me marquait bien et faisait ressortir mes hanches de pute selon elle. Il y avait, également, des longs gants, une cagoule, un rouge à lèvres brillant et très… rouge pour ma bouche à pipes. Enfin, elle termina par la pose d’un large collier de cuir duquel pendaient deux mousquetons. -Voilà, tu es prête à accueillir notre visiteuse. Une belle salope ! viens, approche ! que je te fasse bander encore un peu plus dur. Maîtresse Chloé me fit avaler une pilule bleue puis me masturba lentement, d’un geste ample le temps que le viagra fasse effet. Lorsqu’elle me jugea assez gonflé, elle me posa un cockring en cuir, très serré ce qui eut pour effet immédiat de faire saillir mes veines. J’étais gros, gorgé de sang, ultra sensible. -Hmmm parfait pour te travailler la queue ! Ce soir, j’ai envie de te faire mal ma salope ! Je veux t’entendre couiner. On veut t’entendre couiner ! Maîtresse Chloé avait à peine prononcé sa phrase que la sonnette retentissait. -Va ouvrir ! et fais moi honneur ma chienne ! J’ouvris la porte, le regard baissé, les yeux fixés sur deux magnifiques pieds chaussés d’escarpins à bride puis sur des jambes gainées de bas noirs. -Madame, puis-je vous prier d’entrer s’il vous plaît ? Je m’agenouillai immédiatement pour venir baiser ces divins pieds, comme Maîtresse Caroline m’avait appris à le faire. Il s’agissait d’une marque de déférence envers toute femme pénétrant dans son appartement. L’inconnue m'interpella d’une voix dure : -Debout petite pute ! débarrasse moi de mon manteau ! Je connaissais cette voix. Trop bien même. C’était celle de Christelle, la responsable des programmes de l’école dans laquelle j’enseignais. Nous avions eu une petite aventure, deux semaines environ après mon arrivée dans l’équipe enseignante. Une aventure d’un soir. Nous étions restés bons amis, enfin sans plus. Des rapports très cordiaux. Je n’osais pas lever les yeux. -Hmmm si j’avais su…. Je t’aurais prise en main dès le premier soir. Et tu serais maintenant ma petite chienne personnelle ! Regarde moi, allez ma salope ! J’étais tétanisé. Je tardais un peu trop au goût de Christelle. La gifle fut immédiate. -J’ai dit regarde moi !!! Chloé, tu permets qu’il enlève sa cagoule ? J’ai envie de le voir sans. Je suis sûr qu’il se sent un peu protégé sous ce latex. Allez ! Montre moi ton vrai visage ! Sous la menace d’une seconde gifle, j’obéis sans rechigner. Et je plantais mon regard dans celui de Christelle. Elle était belle, hautaine, et son sourire méprisant me fouillait le fond de l’âme, martyrisant ce qui me restait de fierté masculine. Mais c’était ses mots qui m’humiliaient le plus ! -J’adore… ça joue les mâles séducteurs dans le couloirs, mais ça bande quand on la traite comme une petite pute soumise ! Je me demande encore comment j’ai pu ne pas le deviner! Christelle empoigna mes couilles et les tordit brutalement. -Regarde moi salope !!! La douleur et l’humiliation me mettaient au bord des larmes. -Pour une surprise, tu m’as bien eue Chloé, bravo ! Je ne m’y attendais vraiment pas…. Hmmmmm petite pute, ta vie va changer à l’école, j’espère que tu en es bien conscient ! Finis de jouer les petits profs ! tu es une pute, et il me plairait assez que cela se sache pour que tu sois traitée en tant que telle. Une belle chienne… Dis moi Chlo, elle a goûté la queue déjà ? -Oui, bien sûr. Et elle a adoré je te promets. Tu veux voir la video ? On en a fait un montage avec Caro. Tu vas aimer j’en suis certaine. Maîtresse Chloé projeta ma séance avec les deux livreurs sur le grand écran du salon. Christelle, ou plutôt Maîtresse Christelle se régala du spectacle, sans être avare de commentaires. -Dis donc petite pute, mais c’est que tu aimes ça !!! Une vraie suceuse pro… Wouhaouh !!! Je n’y crois pas… tu la prends en entier ???? T’es un vrai garage à bite ! Quelle salope… elle en redemande, mais t’as vu ça Chloé, elle s’encule elle même sur la queue du black ! J’hallucine ! Vous en avez fait une super pute. C’est génial ! J’ai hâte de l’essayer…. je suis super excitée maintenant ! Tu vas prendre cher ma petite salope ! Pendant toute la durée du visionnage, j’avais servi de repose pieds pour mes deux Maîtresses. A quatre pattes, le visage tourné vers l’écran pour bien voir mes prestations de chienne en chaleur selon les propres mots de Chloé. Je bandais. J’étais une pute, mes Maîtresses avaient raison, et me voir sucer, me faire enculer, lécher, embrasser, avaler le foutre de mes Maîtres livreurs, cela me rendait fou de désir. Mes Maîtresses dominatrices se levèrent et m’ordonnèrent de m’agenouiller, face à elles, cuisses écartées. Maîtresse Chloé s’adressa à son amie : -J’ai envie de le rendre dingue, pas toi ? Regarde, il bande déjà bien ! Le petit film l’a bien excité je crois. Et la pilule que je lui ai fait avalé tout à l’heure a l’air de bien faire son effet. Il va bander pour nous pendant plusieurs heures, comme ça on va bien en profiter. Je t’avais dit que je t’offrirai un jouet pour ton anniversaire, le voilà…. une petite pute docile, une salope à baiser sans retenue ! Maîtresse Christelle enlaça Maîtresse Chloé et déposa un baiser sur ses lèvres. -Hmmm ! j’adore ton cadeau Chloé ! Regarde, la pute, regarde tes Divines Maîtresses. Tu vas te branler sans nous quitter des yeux, mais interdiction de jouir. Si tu désobéis, je te fais souffrir, t’as bien compris salope ?!! -Oui Maîtresse Christelle, à vos ordres ! -Regarde bien, et profite du spectacle de tes deux magnifiques Maîtresses ! -Magnifiques ? Sublimes tu veux dire ma chérie ! : répliqua Maîtresse Chloé en éclatant de rire avant d’embrasser, très sensuellement, son amie. Mes Maîtresses s’embrassèrent et se caressèrent longuement face à moi. Spectacle saphique divin, le plus excitant qu’il m’ait été donné de contempler. Deux femmes aux corps sublimes, à la sensualité extraordinaire. La beauté, la féminité à l’état pur. Comment ne pas désirer servir, vénérer, adorer. Comment ne pas comprendre qu’un mâle n’atteindra jamais un tel niveau de perfection ? Alors que je me branlais très lentement, en me concentrant pour ne pas me faire jouir, je dévorais des yeux ces deux sublimes jeunes femmes. Je les aimais je crois, j'étais fier d’être autorisé à les regarder, fier d’être à leurs pieds. Mais mon corps réclamait son dû. Et sans y faire attention, le rythme de mes doigts accélèrait. J'étais grisé par ce que je voyais, hypnotisé par leurs langues qui jouaient, par leurs mains qui effleuraient, caressaient, par leurs soupirs de plaisir. J'étais dans un état second, et ma frustration sexuelle prenant le contrôle de mon esprit. J’oubliais les ordres, l’interdiction, je redevenais la salope assoiffée de jouissance, je me branlais, queue tendue vers mes Maîtresses, je gémissais, râlais et accélèrerais encore le va-et-vient de mes doigts sur ma hampe. Mais le plaisir refusait de monter. L’effet du viagra sans doute combiné à celui du cockring que je portais très serré. J'étais dur comme je ne l’avais jamais été, mais je n’arrivais pas à jouir. Je crachais dans ma main pour mieux me lubrifier. Dans mon délire sexuel je remarquais à peine que mes deux divines Maîtresses me regardaient. Maîtresse Chloé mis un quart de seconde à réagir. Elle saisit la cravache et se précipita vers moi avant que je ne réalise vraiment ma désobéissance. Le premier coup s’abattit dans le mouvement, directement sur ma main. Je lâchai ma queue et poussai un cri. -Sale truie, qui t’a autorisé ??!!! Hein ??? Sale pute !!! Je comprends pourquoi Caro te laisse en cage ! Garde ta position, tends ta queue vers moi… Salope, je vais t’apprendre à chercher à jouir sans autorisation ! J'étais à genou, je me penchai en arrière, prenant appui sur mes mains et je tendis mes hanches vers Maîtresse Chloé. Mon hypnose s’était évanouie. J’eus peur soudain, et je bredouillai des excuses : -Pardon Maîtresses, je vous supplie… vous êtes si belles… je.. La cravache s’abattit directement sur ma queue tendue. Je hurlai de douleur. -Ta gueule sale truie ! T’as oublié que tu n’es pas autorisé à parlé ?!!! En position ! Je vais te faire passer l’envie de te branler ! A ton avis Chris, comment pourrait-on la calmer notre salope en rut ? -Hmmm je pense qu’il faut lui faire très mal. Je ne vois que ça… Vas-y, 10 coups pour commencer. Ensuite 10 pour moi. Non, 20 pour moi. C’est moi qui lui ai donné l’ordre de se branler, sans jouir. C’est à moi qu’il a désobéi, et j’ai trop envie de le voir souffrir pour payer. Tiens, on va lui mettre le bâillon-boule. Comme ça on pourra le corriger sans retenue. Attends, j’ai une idée… Lèves toi la pute, et allonge toi sur le banc ! Vite ! Je me plaçai allongé sur le petit banc recouvert de cuir, sur le dos. Mes Maîtresse m’attachèrent rapidement poignets et chevilles. Maîtresse Christelle pris une cordelette et l’attacha à l’anneau fixé sur mon cockring, puis elle tira de façon à ce que ma queue, toujours bandée au maximum, reste bien droite, tendue vers le plafond. -Voilà, maintenant on va pouvoir le punir tranquillement. Tu n’es qu’une petite salope qui mérite d’être corrigée. Peut-être que la douleur va te faire comprendre… Vas-y Chlo, à toi l’honneur ! Maîtresse Chloé tenait toujours la cravache dans sa main. Elle s’approcha et commenca à caresser ma hampe avec la pointe de son instrument de dressage, qui glissa sur mes couilles, douloureuses et gonflées à exploser. J’avais mal. La pression exercée par le cockring, la jouissance réfrénée, ma queue dure était devenue la source d’une douleur diffuse mais constante. Je hurlai lorsque Maîtresse Chloé frappa un premier coup sur mon gland offert. Elle frappa sèchement. Je me tordis, ruai solidement fixé au banc. -Calme toi salope, c’est juste le début ! Allez, on enchaîne…. couilles, gland… couilles, gland….! Maîtresse alterna les coups. Vifs, durs. L’objectif était la souffrance du soumis. La punition. La douleur comme moyen de dressage. Je hurlai sans cesse, mon corps tendu, mes larmes coulant. En fait, je subis la correction sans aucun moyen de fuite. Je repris difficilement ma respiration lorsque Maîtresse Chloé annonça victorieusement : -Et de 10 !!! A toi Chris… vas-y, lave l’affront que t’a fait cette petite truie obsédée. Fais la bien souffrir, qu’elle comprenne…! Je ne cessai pas de bander. La douleur irradiait tout mon bas ventre mais ma queue restait obstinément dure, gorgée de sang. Les coups de cravache sur mon gland m’avaient rendu ultra sensible. Quant à mes couilles, la douleur que je ressentais me coupait presque le souffle. Je n’avais jamais connu ce niveau de douleur. Même lors des solides corrections que m’avait déjà infligées Maîtresse Caroline. J’essayai de me contrôler, tant bien que mal, pour pouvoir encaisser la suite. Maîtresse Christelle enfila une paire de gants en latex. -Je vais d’abord le faire durcir encore un peu, enfin si c’est possible ! Dis Chlo, tu lui as donné une dose de cheval ou quoi ? Normalement, une bonne correction, ça les fait toujours débander les petites salopes dans son genre ! C’est parfait. La punition sera plus efficace. Allez petite chienne… c’est mon tour de te faire souffrir ! Maîtresse fit couler du lubrifiant sur ma queue et mes couilles et m’empoigna sans aucun ménagement. Elle me branlait d’une main, en me serrant très fort et en insistant bien sur mon gland. Son autre main pressait et étirait mes couilles. Je hurlai. Ses caresses étaient dures et dans mon état de sensibilité, elles ne firent que relancer la douleur qui s’apaisait un peu. Maîtresse Christelle éclata de rire et accélèra sa masturbation, en concentrant ses caresses sur mon gland. -Hmmm je le sens durcir, je te jure. Un vrai morceau de bois… allez, encore un peu…. hmmm je sais que tu aimes ça, souffrir pour ta Maîtresse. Moi ça m’excite, tu ne peux pas savoir à quel point… Allez, assez joué, je suis obligée de te punir. Enfin, non, j’ai envie de te punir ! Nouvel éclat de rire. Maîtresse Christelle lâcha mon sexe et enlèva ses gants. Elle pris une des bougies allumées sur la table basse et l’amèna au dessus de mon bas-ventre. -J’adore jouer avec ça… ! Je me tendis de toutes mes forces dans mes liens lorsque Maîtresse versa une bonne dose de cire chaude sur mon gland. Elle tint la bougie assez près de ma queue. La cire n’eut pas le temps de refroidir lorsqu’elle entra en contact avec la peau fine et ultra sensible. Je hurlai à travers mon bâillon, mais cela sembla exciter encore plus Maîtresse Christelle. Elle pris tout son temps pour recouvrir entièrement mon gland. La cire coula le long de ma hampe. Maîtresse se recula un peu pour admirer son œuvre. -Bon, maintenant que j’ai fait la tige, passons aux couilles ! Chlo, tu peux me passer une autre bougie s’il te plait ? La grosse là, elle est bien pleine ! Maîtresse Christelle versa la cire en une seule fois. Mon hurlement, difficilement étouffé par le bâillon, n’eu pas de fin. Mes couilles se recouvrirent d’une gangue de cire… Je perdis presque connaissance sous la douleur. Dans un état second, je perçevais à peine ce qui se passait autour de moi. Je ne voyais plus le sourire sadique de satisfaction de Maîtresse Christelle. -J’avais dit combien déjà ? 20 coups c’est ça ? Maintenant, faut enlever la cire ma salope. Tu vas déguster. Je commence par quoi à ton avis Chloé, couilles ou queue ? -Attends, j’ai envie de bien profiter du spectacle…! Maîtresse Chloé enlèva mon bâillon et le remplace par un bâillon-god. Une petite partie, courte et large vint se loger dans ma bouche. L’autre, un beau sexe noir, veiné, se dressa au dessus de ma bouche…. Maîtresse Chloé vint s’empaler sur le god, m’offrit une des vues les plus sublimes de Paris. -Voilà, maintenant je suis aux premières loges. Je vais pouvoir me faire jouir pendant que tu finis la punition… prends ton temps Chris ! Tout ton temps… et commence par les couilles. On garde le gland pour le final ! Maîtresse Christelle mania la cravache avec précision. Plusieurs coups furent nécessaires pour enlever la carapace de cire qui recouvrait mes couilles. Je hurlai, ruai, solidement attaché à mon banc de torture. Maîtresse Chloé chevauchant mon bâillon-god. Son miel de plaisir coulait sur mon visage. Maîtresse Christelle avait suivi sa demande… elle espaçait les coups de cravache, pour permettre à son amie de faire grimper son plaisir palier par palier. Je n'étais que douleur. Mes couilles martyrisées provoquant une décharge électrique continue, insupportable. Maîtresse Christelle saisit la base de ma queue et se réjouit : -Il me reste 13 coups…hmmm bien plus qu’il n’en faut pour débarrasser toute cette cire…. Vas-y Chlo, baise toi bien sur cette belle queue. Et toi la pute, jouis du spectacle, le cul de ta Divine Maîtresse et sa chatte bien ouverte… regarde… respire son parfum… tu as de la chance tu sais ! Maîtresse Christelle compta à voix haute, et frappa. Avec précision. Chaque coup m’arracha un hurlement étouffé. En dépit de la douleur fulgurante chaque fois que le cuir venait me frapper, je bandais. De plus en plus dur j’aavsi l’impression. Mon corps ne répondait plus, je ne comprenais plus rien. Je souffrais atrocement mais je bandais et j'étais excité. Dans un état second, je subissais, et….. j’aimais cela. Serait-ce ça le « subspace », cet état presque de transe, provoqué par la douleur lors de jeux Sm ? J’avais déjà lu à ce sujet… jamais encore je ne l’avais expérimenté. -Et de vingt ! Maîtresse Christelle était radieuse. Elle contemplais ma queue débarrassée de sa cire, mon gland torturé, gonflé à éclater. Maîtresse Chloé avait joui au 11ème coup, inondant mon visage de sa liqueur. Elle restait empalée sur le god, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Maîtresse Christelle vint s’empaler sur ma queue, d’un seul coup. Face à son amie. Elles s’embrassèrent longuement. Je sentais Maîtresse Christelle coulisser sur ma hampe. La chaleur de son ventre, de son désir, apaisait un peu ma douleur. Comme une anesthésie. J’avais mal, mais ce que je ressentaiss, emprisonné par les chairs brûlantes de celle qui fut mon amante d’une nuit, était au delà. Au delà du plaisir pur, au delà de la douleur. Un autre état. Maîtresse Chloé recommença à s’empaler sur le bâillon god, suivant le rythme de Christelle baisant ma queue. Les deux Maîtresses laissèrent monter leur plaisir, s’y abandonnèrent et jouirent ensemble en unissant leurs cris. Je n’existais plus en cet instant. Je n'étais rien. Un simple objet de plaisir. Ni vivant ni mort, la question n’avait aucune importance, juste un ustensile dont elles se servaient pour se rejoindre dans l’orgasme.
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Par : le 03/03/22
Je suis debout, face au soumis de Maîtresse Rachelle. Les Reines de la soirée sont assises autour de nous et ont fait silence. Ennia et la soumise s'activent pour remplir les verres vides. Je ne sais pourquoi, mais cela me soulage qu'Ennia ait autre chose à faire que d'assister à mon supplice. Je me sens meurtri, ce soir. Je ne me l'explique pas. Particulièrement humilié, comme s'il restait en moi une part de mâle, fier, dominant. Une part qui refuse encore son état, sa soumission. Et cette part masculine rebute à donner du plaisir à un homme, à devenir sa femelle. Je croyais cette part effacée, à jamais. Enterrée sous le plaisir d'obéir, de servir mes Déesses, de vivre mes fantasmes aussi, aussi loin que possible. Mais ce soir, cette part se réveille et Maîtresse Caroline le perçoit. Je ne sais comment. Peut-être possède t-elle un sixième sens ou bien me connaît-elle bien mieux que je ne me connais. Ma divine Maîtresse se lève, empoigne ma cage de chasteté et me tire vers mon "amant" avant de me murmurer à l'oreille "excite moi, je veux être fière de toi ma chienne... laisse une fois de plus la femelle s'exprimer, se libérer... je sais qu'elle est en toi. Et je veux la voir se déchaîner". Ses mots ont un effet immédiat. Je me sens libéré, libre d'être ce que ma Reine désire. Une femelle amoureuse, avide de plaisir, avide de se donner, avide de se sentir un instrument de plaisir pour le mâle qui me fait face. La honte que je ressentais s'évanoui. Je sais qu'Ennia s'est agenouillée aux pieds de Maîtresse Caroline et qu'elle me regarde. Je sais qu'elle sera fière elle aussi. Je sais que me voir me donner, être prise par ce soumis va la rendre folle de désir. Et je me sens protégé derrière ma tenue de latex, ma cagoule qui me rend anonyme et m'affranchit de devoir assumer à visage découvert. Cette sensation de protection achève de briser mes barrières, mes derniers tabous. Maîtresse Rachelle se lève à son tour et vient murmurer à l'oreille de son serviteur "Baise la, c'est ta pute, ton esclave sexuelle. Amuse-toi... et amuse-nous !" Mon mâle m'attire à lui et me plaque contre son torse. Je sens sa queue, dure, contre mon ventre. Sa bouche vient à rencontre de la mienne et sa langue ouvre mes lèvres. Je lui rends son baiser, profond, et nous nous embrassons à pleine bouche. Ses mains pétrissent mes fesses, les ouvrent, un doigt vient caresser mon anneau. Je caresse son corps, comme je ne l'ai jamais encore fait avec un homme. Je lui offre ma bouche sans retenue, ma langue, je l'embrasse dans le cou, je lèche... ma bouche descend sur ses tétons et mon mâle semble apprécier ma caresse. Il m'encourage même. "hmmmm vas-y, occupe toi de me seins j'adore ça... montre moi que tu en as envie...je vais te baiser, te faire hurler ma petite pute...". Je continue ma descente, embrasse, lèche son ventre plat et musclé, sans cesser de le regarder. Je tombe à genoux et mon regard se fixe sur sa hampe. Grosse, dure... je l'avoue, j'ai envie de cette queue. Envie de lui donner du plaisir, de la sentir vibrer sous mes doigts, sous ma langue. Envie qu'elle me prenne aussi. Oui, en cet instant, je suis une femelle amoureuse, dévouée au plaisir de son mâle. Baisers le long de sa hampe, effleurements de mes lèvres sur son gland, mes doigts qui l'enserrent doucement, caressent ses couilles... j'entends mes Maîtresses commenter, sans vraiment comprendre leurs mots, je les entends applaudir et rire. Je suis ailleurs, dans un autre monde, où seul le plaisir et la jouissance de la queue qui coulisse entre mes lèvres m'importe. La jouissance de mon mâle. Celui-ci a posé une main sur ma nuque, et me presse contre lui. Il me pilonne de plus en plus fort, s'enfonçant au maximum ce qui m'arrache des hauts le coeur mais semble beaucoup faire rire mes Déesses qui l'encouragent : "Vas-y, gave le bien... baise lui la bouche plus fort... allez la chienne, avale-le...". J'ai les yeux noyés de larmes, et je ne suis plus qu'un instrument de plaisir, totalement déshumanisé. J'avais envie de prendre mon temps, de montrer mon désir de faire jouir cette queue, lui montrer ma dévotion de femelle amoureuse. J'avais juste oubliée que je suis sa femelle, sa soumise, son esclave... et que lui est mon Dominant. Et il est déterminé à me le faire sentir. Il se retire de ma bouche et me gifle "Petite pute, c'est tout ce que tu sais faire ???" Je ressens une profonde humiliation, incontrôlable. Mais je n'ai pas le temps de m'y appesantir. Lécher ses couilles, sucer, le masturber, le sentir de nouveau pilonner le fond de ma gorge... le temps n'existe plus. Il quitte ma bouche pour me forcer de nouveau à l'embrasser, pendant qu'il claque mon cul et m'ouvre avec ses doigts, sans aucun ménagement. Il me retourne et me pousse à quatre pattes avant de s'enfoncer d'un coup dans mes reins ce qui m'arrache un hurlement, aussitôt puni par une fessée musclée. Je le sens se retirer plus replonger en moi, m'ouvrir. Mes Maîtresses rythment ses coups de reins en tapant dans leurs mains. Je subis ses assauts, sans aucun plaisir. Je ne suis qu'un objet, un instrument qu'on utilise. Position différente, pénétration brutale, sa langue dans ma bouche, ses seins sous ma langue. Puis mon mâle s'allonge et m'ordonne de venir m'empaler sur sa hampe. Je me sens vulnérable à le chevaucher ainsi. D'ailleurs je le suis. Et Maîtresse Christelle ne se prive de jouer avec sa cravache sur mes reins. Je gémis de douleur à chaque coup, mais je me surprends aussi à gémir de plaisir en m'empalant sur cette queue toujours aussi dure et grosse. Maîtresse Rachelle a dû lui faire prendre du viagra pour qu'il soit aussi endurant. Je me sens observé, totalement nu malgré ma peau de latex rose. Je traverse ce moment comme une épreuve supplémentaire, presque un défi que je dois relever pour l'honneur de Maîtresse Caroline. Je veux qu'elle soit fière, et je me lâche totalement. Le rythme s'accélère, et mes gémissements, mes suppliques de plaisir redoublent. Je stimule mon amant pour qu'il me baise encore plus fort...Je ressens son plaisir qui monte, sa queue qui vibre de désir.. ses halètements me grisent. Il est prêt à jouir, je le sens. Sa Maîtresse aussi le sait. "Retire toi, je veux que tu te vides dans sa bouche, que ta petite salope puisse te déguster... nourris la ! " Je suis à genoux. Mon mâle se masturbe frénétiquement pendant que je lèche ses couilles. Râles de plaisir, langue sortie, il se vide dans ma bouche, me nourrit de son fluide, épais, abondant. Mes Maîtresses se sont levées et nous entourent. Maîtresse Caroline s'adresse à moi : "N'avale pas ! Garde le bien en bouche.... Ennia ma pute, approche ! Un nectar pareil, ça se partage ! Allez, on déguste !" J'échange un long baiser gluant avec mon amour, nous jouons avec son sperme, elle l'aspire dans sa bouche avec de le faire de nouveau couler sur ma langue puis de m'embrasser profondément. Je presse son corps contre moi. Enfin, enfin je peux de nouveau la prendre dans mes bras, caresser ses courbes, me nourrir de sa chaleur. Elle me fait tout oublier. Comme elle l'a toujours fait. Dans ses bras plus rien ne peut m'atteindre. J'y suis heureux, simplement. Nous jouons ainsi de longues minutes, puis nous nettoyons la hampe de mon mâle, toujours dressée. Sa jouissance ne l'a pas fait débander et Maîtresse Caroline a encore envie de jouer... "Puisque tu bandes encore, tu peux encore baiser. Mon autre pute aime la queue elle aussi, tu vas voir ! Et elle adore être enculée ! Vas-y, fais la souffrir un peu... ça m'excite !" "Toi viens là, j'ai envie". C'est Maîtresse Chloé qui a parlé. Elle plaque ma bouche contre son sexe et ne me donne qu'un ordre : "Avale !" Et elle se soulage dans ma bouche. Son champagne est abondant, et je manque de m'étouffer. J'avale comme je le peux, en laissant une partie s'écouler sur moi. "Tiens, moi aussi j'ai envie !" Maîtresse Christelle prend aussitôt sa place pour continuer à m'abreuver. Je n'arrive plus à avaler. Maîtresse Sophie s'est approchée et patiente jusqu'à ce que Maîtresse Christelle est fini de se soulager. "Moi aussi j'ai envie.... mais de jouir ! Ce spectacle m'a fait mouiller comme une folle ! Allonge toi le chien !" Je m'exécute et Maîtresse Sophie vient aussitôt s'asseoir sur mon visage. Elle coule littéralement et se frotte sans ménagement sur ma bouche. Je lèche, aspire, respire son parfum, goûte son divin nectar. Elle jouit rapidement, remplacée aussitôt par Maîtresse Céline. "Moi aussi je veux jouir ! Allez, on lèche bien sa Maîtresse !" La tête enserrée entre les cuisses de Maîtresse Sophie, j'entends vaguement des gémissements. Plus de douleur que de plaisir. Et des voix qui haranguent : "défonce-la, fais rougir son cul, encule-la plus fort, fais-la hurler !" Maîtresse Cécile met plus de temps à jouir. Elle a envie de faire durer le jeu du plaisir. M'ordonne de me consacrer à son anneau, avant de m'offrir à nouveau son calice délicieux, puis de m'abreuver de sa liqueur. Je sens des mains qui me redressent, et je suis à genoux. Devant mes yeux, mon amour se fait prendre, violemment. La queue du soumis enfoncée dans sa bouche, et Maîtresse Rachelle, harnachée d'un énorme god-ceinture, ouvrant ses reins au rythme de la cravache qui vient frapper le cul d'Ennia. Je vois les marques rouges qui se croisent. J'entends les cris d'Ennia, étouffés par la colonne de chair qui la bâillonne. J'entends le cri de libération, de jouissance du mâle qui se vide dans sa bouche. Et le god qui se retire de ses reins. Mon amour s'effondre au sol, ravagée. Je ne sais si c'est de douleur ou de plaisir. Mais le doute ne subsiste pas longtemps. Le sourire de bonheur qui irradie son visage et son regard qui accroche le mien répondent à mon interrogation. Je l'aime. Et ce soir, nous sommes fiancés.
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Par : le 20/02/22
Nous ne prêtons pas attention à la dernière phrase de Maîtresse Caroline. Et ma queue dure a déjà trouvé le chemin de son ventre. Nous sommes collés l'un à l'autre, nous fusionnons, nous sommes l'un et l'autre à la fois. Notre bulle est indestructible, enfin c'est sans compter la puissance de notre Maîtresse et de ses invitées. Il nous faut à Ennia et moi de longues minutes avant de réaliser que le silence nous entoure. Nos Reines font cercle autour de nous et nous regardent sans un mot. Maîtresse Caroline a convié Chloé, Christelle, Sophie et Cécile. Et je découvre avec effroi trois autres invités. Une Maîtresse d'une quarantaine d'années, très élégante, hautaine au regard glacial, et visiblement un couple de soumis. Une femelle et un mâle, tous deux harnachés de cuir noir, sexe nu. Le soumis est particulièrement bien membrés. Ils sont jeunes me semble-t-il. 25, peut-être 30 ans maximum. Bien faits. Ils sont agenouillés au pied de la Maîtresse hautaine, tenus en laisse. Nous stoppons nos ébats mais restons nos corps soudés. Maîtresse Caroline a le regard dur, mais j'y décèle cependant une grande tendresse. "Mes putes.... vous avez entendu ce que j'ai dit ???? On ne baise pas avant le mariage !!! Christelle, s'il te plaît, débrouille toi comme tu veux mais fais le rentrer dans sa cage. Si on continue à le laisser en liberté, la queue à l'air et dressée, il va finir par vouloir nous baiser toutes !!! Je suis terrorisé. Non seulement ne ne désire plus qu'une chose, faire l'amour à Ennia, encore et encore, mais je sais aussi que la crème dont m'a enduit Maîtresse Caroline me fait bander malgré moi. Et je ne vois pas comment Maîtresse Christelle va pouvoir me poser ma cage de chasteté... "Toi, ma salope, pendant que Chris s'occupe de ton futur mari, tu va nous servir. J'ai soif !!! Et j'ai faim ! Allez la chienne, au boulot, tes Maîtresses s'impatientent" dit Maîtresse Caroline en riant. "Mes amies, que la fête commence vraiment. Célébrons leur union. Mes deux esclaves sont à vous, sans restriction. Que cette nuit soit une nuit de luxure, de jouissance, de douleur, de perversion... Je suis heureuse que vous soyez là. Alors profitez de tout, et profitez de mes deux salopes comme il vous plaira !" Pendant qu'Ennia s'affaire pour servir ces dames, Maîtresse Christelle m'empoigne par la queue et me tire sans ménagement dans la cuisine. "Enfile ça" m'ordonne-t-elle en me jetant un shorty de cuir très moulant. Elle se dirige ensuite vers la partie congélateur du frigo et en sort un sac en plastique rempli de glaçons. "Voyons voir si c'est efficace.... Dans ton état, c'est vraiment impossible de te remettre ta cage. Et je crains que la cravache ne soit pas suffisante. Je risquerais de te l'abîmer sérieusement avant d'obtenir un résultat. Approche petit obsédé ! " Je m'exécute et Maîtresse Christelle empoigne mon shorty pour y fourrer le sac de glaçons, directement sur ma queue tendue. "Bien.... maintenant tu ne bouges plus. Ecarte un peu plus tes cuisses, mains sur la tête !". J'obéis, mais je commence à me trémousser. Le froid est saisissant, et l'effet ne tarde pas à devenir douloureux. Très douloureux même. Rapidement, j'ai l'impression de ne plus sentir ma queue. Remplacée par une douleur sourde, qui s'accentue au fil des minutes. J'ai de plus en plus de mal à tenir la position imposée par Maîtresse Christelle. Et cette dernière est tout sourire en me regardant lutter. Un coup de cravache vient cingler mes reins... "Je t'ai dit de ne pas bouger !" Au bout de 15 minutes, je ne tiens plus, j'ai trop mal. Je tremble en essayant maladroitement de garder ma pose. Maîtresse Christelle s'approche et retire les glaçons. "Et bien, je savais que le froid faisait rétrécir les couilles et la queue, mais je ne pensais pas que c'était aussi efficace". En effet, je ne bande plus. Ma queue, très pâle sous l'effet du froid, pend lamentablement. Maîtresse fait glisser mon shorty le long de mes cuisses et me remet sans difficulté ma cage de chasteté. Les larmes coulent sur mon visage quand j'entends le "clic" du cadenas. "Et voilà ! Plus question de bander ou de baiser ta promise ! Maintenant, tu es juste bon à te faire baiser ! N'est-ce pas ma petite chienne ? Dis moi que tu en as envie..." Je lui réponds, résigné : "Oui Maîtresse Christelle. J'ai envie de me faire baiser". "Bien, allez, retour au salon, je crois que tu as des prétendantes, et un beau prétendant, qui ont très envie de te prendre... Allez petite femelle !" J'ai pourtant une certaine habitude de ces remarques, de ces humiliations. Souvent même, elles m'excitent. Mais là, je me sens meurtris, rabaissé. Et cela me touche bien plus qu'à l'accoutumé. Je me sens brisé... alors que je rêvais de n'être qu'avec Ennia. avec elle, en elle. Ne plus jamais la laisser s'échapper de mes bras, et ne plus quitter les siens. Dans le salon, c'est une scène surréaliste qui s'offre à moi. Les Maîtresses entourent Ennia et la soumise, imbriquées dans un magnifique 69. Maîtresse Sophie et Maîtresse Cécile ont un cravache à la main, et frappent ici et là, pour ponctuer les invectives des autres spectatrices "Allez les putes, on se lèche, on se doigte.... de bonnes petites gouines.... On veut du spectacle !!! " Les cris peinent à couvrir les gémissements de plaisir qui s'échappent des deux corps. Ennia est au dessus, et encaisse la majorité des coups de cravache sur son cul ouvert par les doigts de la soumise qui lui bouffe littéralement la chatte. Elles ne tardent pas, l'une comme l'autre, à atteindre leur plaisir et à jouir bruyamment. "Stop, assez joui !!! A genoux, en offrande ! " Maîtresse Caroline adore cette position. Lorsque sa soumise et son soumis sont ainsi, à genoux, cuisses écartées, mains posées paumes vers le ciel sur chaque cuisse, regard baissé et reins cambrés.... Ma Reine et ses invitées se tournent vers nous. "Voilà, cette chienne lubrique est retournée dans sa cage" clame Maîtresse Christelle. "La glace, il n'y a que ça d'efficace !" "Merci Christelle, bien joué ! Redonne moi la clé.... que je la remette là où elle est en sécurité, entre mes seins.... Elle n'en sortira que le jour du mariage ! A ces mots, je fonds en larmes....des sanglots incontrôlables. Tout, n'importe quoi, mais pas ça.... J'implore en silence ma Maîtresse. Je prie le ciel est l'enfer pour que ce ne soit qu'un jeu de sa part, et non sa réelle intention. Mais je n'ai pas le temps de me perdre en conjectures... "Allez, après les gouines, place aux salopes mâles ! Enfin, mâle et femelle devrais-je dire...car il y en a une qui a très envie de se faire prendre, n'est-ce pas ? " Je prends une gifle car je tarde à répondre ..." oui, Maîtresse Caroline. Votre chienne a très envie de se faire saillir". "Bien..... il te faut une tenue adéquate.... approche et fous toi à poil". J'obéis, et je me dévêts rapidement de mes atours de latex noir. "Pour une femelle, il faut du rose, hein les filles ??!!" Leurs rires achèvent de me meurtrir. Maîtresse Caroline me tend ma nouvelle tenue. Cagoule en vinyle rose, serre-taille en satin rose, très large, bas rose, longs gants. Plus une nuisette, en satin de même couleur, pour parfaire ma tenue. J'aime le contact de cette matière. Et j'aime être habillée en dessous sexy, je l'avoue. Cela m'excite. Mais ce qui m'attend, et la cage qui m'empêche de bander, atténuent considérablement mon excitation. "Hmmm approche, pute !" C'est la Maîtresse la plus âgée, dont je ne connais pas encore le nom, qui a parlé. Je me tourne vers elle et je lui obéis. Maîtresse Caroline fait les présentations : "Voici Maîtresse Rachelle. C'est à son côté que j'ai fait mes premières armes de Domina. Elle m'a appris les bases, et nous sommes restées amies. Considère, bien sûr, que tu lui dois obéissance, une obéissance totale. Ce soir, tu lui appartiens autant qu'à moi". Maîtresse Rachelle dégage un magnétisme rare. Une assurance qui force l'obéissance. Elle tourne autour de moi, m'observe, joue à m'effleurer de sa cravache. "Nous avons là une belle femelle.... Mon soumis a de la chance. Il va se régaler. Petite pute, je veux que tu te comporte comme son amoureuse. Tu n'as qu'un objectif : son excitation, son plaisir, sa satisfaction.... C'est ton mâle, et tu vas l'honorer comme il se doit. Allez les filles, asseyez vous ! Le spectacle va vous plaire, j'en suis sûre !"
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