Des fois j'envie les bd japonaises et Laura.
Bon dominer demande du self contrôle, du respect. Mais dès fois c'est dur, dur de garder son calme.
J'aimerai bien me servir de la masse de 100 T. Surtout lorsqu' il m'arrive de regarder les pseudo infos à la télé. Envie d'ecrabouiller le poste.
Apres, dans la rue, les mecs qui se la pètent un peu trop, style bandes. De ceux qui matent un peu trop le cul des nanas qui passent et sont provocs agressifs. 200 tonnes c'est pas assez pour eux.
Ceux qui sont un peu trop lourds dans la drague. Même à la retraite, on trouve de vieux grigous qui ne bandent plus ou mal , mais qui reluquent de trop et ont un regard malsain. Une bonne masse de 100 T au moins.
Je vais faire un hôtel chez moi à Maîtresse Laura qui se supporte son Nicky Larson coureur de jupons.
-Sainte Maitresse Laura, vous êtes de bon conseils. Rien de tel que la masse de 100 tonnes !
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En coller une bonne, cela me demange parfois. Je sens que cela bouillone en moi et après tout, une bonne claque pour calmer tout le monde, cela fait son effet.
La baffe, bien sonore, bien claquante, qui fait très mal, c'est terriblement humiliant pour ceux qui la reçoivent en public. Parfois ils ne s'en remettent pas, cela leur laisse des traces longtemps sur le plan psy.
Il est préférable de frapper avec la paume, l'intérieur de la main, c'est moins dangereux. Côté revers c'est redoutable mais plus dangereux avec les os de la main.
Avec de l'exercice, une gifle sans élan, directe peut faire très très mal. C'est le but recherché. Ne pas blesser. Claquer une belle joue et la laisser bien rouge, c'est suffisant.
Celui qui l'a reçoit comprendra vite qu'il a affaire à une experte et qu'il vaut mieux qu'il n'aille pas plus loin. Car les suivantes pourraient ne pas être ...disons correctives.
Il s'agit d'un article pour publier en vidéos de belles gifles en commentaires. Une belle baffe, bien donnée, je trouve cela joli.
Bises et sadiquement votre.
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J'en ai ressenti le besoin très tôt. Depuis, je n'ai plus peur de personne, même maous costaud. Non je ne roule pas en Harley, mais je sais me battre grâce au wing chun.
Pourquoi ai je choisi cet art martial si fin? Parce que la légende dit qu'il a été conçu par une femme yim wing chun, qui ne voulait pas se marier avec un gros balourd. Comme ce dernier la trouvait fort belle et qu'il insistait de trop, elle lui a proposé un combat à mains nues. S'il gagnait alors il pourrait l'épouser.
Le gros balourd en salivait déjà en pensant à la chatte étroite de Yim. Une vierge qui s'était vu refuser l'accès au temple Shaolin, réservé aux hommes.. il pensait n'en faire qu'une bouchée.
Un crétin ! Il pensait qu'il suffisait d'attraper Yim par les cheveux et la coucher dans l'herbe, lui écarter les cuisses et l'embrocher histoire de lui faire comprendre que comme mari et mâle il avait tous les droits.
A sa grande surprise c'est Yim qui fonça sur lui. Elle paraît facilement tous ses coups et chaque fois lui en collait une directement au visage. Plus il devenait fou de rage, et plus il morflait. Et les directs de Yim finirent par porter. L'un d'eux mis le prétendant orgueilleux KO.
Il se réveille et à sa grande surprise se retrouve ligoté solidement. Il se débat, enrage; rien à faire, les liens sont très solides.
Yim baisse son pantalon, elle s'habillait toujours en garçon et lui montre sa chatte bien velue.
-Tu voulais la voir et bien regarde et ouvre la bouche je vais te la laver.
Elle lui pusse dessus. Elle prend un grand plaisir à faire cela. Puis elle sort un fin couteau et coupe les vêtements de son prétendant. Il est nu comme un vers. Elle joue avec la lame de son couteau avec sa verge qui gonfle et se met à bander.
' Et si je te la coupais pour me manquer ainsi de respect.
Le prétendant n'en bande que plus fort. Il est fou amoureux de cette folle qui le martyrise et se refuse à lui.
Yim fabrique un fouet avec des cordes et retourne le prétendant pour qu'il présente ses fesses bien musclées. Les coups pleuvent. Il hurle tellement elle lui fait mal. Elle frappe et frappe encore. Le prétendant repart dans les pommes.
Yim lui pisse à nouveau dessus pour le réveiller. L'urine lui brule ses plaies sanguinolentes. Cette fois le prétendant ne bande plus. Il a très peur.
Yim coupe une branche d'arbre et en façonne un gros sexe mâle avec son couteau habile. Une bien grosse.
-Je vais te violer ton petit cul. Tu vas la sentir passer.
Elle l'embroche. Le prétendant hurle de tous ses poumons. Une douleur terrible. Il est empalé pour de bon avec ce god monstrueux.
Yim le laisse la, avec cette grosse bite en bois dans le cul. Le prétendant ne sera libéré que quelques heures plus tard par un groupe de paysans. Sa honte était telle que plus jamais on ne le vit dans le pays.
Yim se choisit elle même son mari des années plus tard et fut très heureuse avec de beaux enfants.
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C'est quoi un satyre? Un homme? Un bouc? Les deux? En tout cas c'est un sexe tendu et qui a envie de forniquer.
Déjà dans la Grèce Ancienne, des siècles et des siècles avant le christianisme, il existait ces légendes sur les satyres, ces bois secrets où les rencontrer. Des lieux de rencontres pour pucelles, épouses délaissées, travestis et aussi jeunes garçons.
Des lieux aussi pour les androgynes, les trans, les non binaires et j'en passe qui existent depuis toujours. Des lieux cachés pour la fornication, les adultères, les vices. Les bois de Boulogne de l'époque et ce n'est pas les satyres qui devaient manquer.
Des soupapes dans des sociétés dites civilisées? De lieux pour réveiller les instincts des bêtes qui sont en nous. C'est gentil les bêtes, cela ne pense pas à mal. Le satire lui, pense t'il à mal? Non, il ne pense qu'à enfoncer son pieux bien tendu qui se dresse entre ses jambes. Peu importe si c'est dans un chatte ou un petit cul Avec un satyre, la panne n'existe pas et dans les bois, un satyre peut en cacher un autre.
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J'adore la lutte. D'accord, je suis une nana piégée dans un corps de mec. Depuis toute petite j'ai du essayer de le féminiser. Je pense que les mecs piéges dans des corps de filles font l'inverse. Et ce combat pour l'identité, c'est des le début, bien avant les jupes ou les hormones. Un refus de genre qu'ils disent. Bref un truc chiant à vivre.
Alors j'aime la lutte au sol avec les femmes. Je ne sais pas d'où me vient cela? Mais avec mes 65 kg toute mouillée il me faut trouver des filles de poids supérieur et bien musclées, sinon c'est pas du jeu. La testostérone naturelle m'a donné du muscle. J'ai un avantage. A force, j'ai trouvé une vraie copine, même passion. Une superbe africaine. Dans son peuple, la lutte est un rite obligatoire pour les garçons. C'est une ftm exactement à l'inverse de moi. Et question combat, c'est kif kif.
Alors pour mettre du piment, celle qui gagne bouffe le clito de l'autre à la fin. Et comme nous adorons faire cela, les luttes au sol sont vraiment sans cadeaux aucun.
Ma copine noire a les cheveux courts, porte toujours des pantalons et se comporte en vrai mec. On en dirait vraiment un d'ailleurs dans la rue avec ses épaules larges. Je suis la seule à savoir qu'elle a une chatte et un superbe clito, à cause des hormones mâles qu'elle prend.
Alors on se bagarre bien à fond chez elle. Pas de pitié. C'est à celle qui obligera l'autre à abandonner. Après on prend la douche et il ya une gagnante et une perdante. Celle qui suce et celle qui se fait sucer. On inverse après.
Au final, c'est bière pour mon ami. J'enlève le e du féminin. Cela va lui faire plaisir. Et un thé pour moi, minceur oblige. Cette fois, j'ai gagné. J'ai dévore le beau clito de mon ami et je l'ai faite jouir comme une nana. Après, elle a du faire pareil avec moi. Que du sport, du plaisir, du lâcher prise. J'adore.
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Avec cette canicule, c'est agréable de rester chez soi, au frais.
Maso fait le ménage, tout nu. Il me prend l'envie d'aller le branler. Je m'approche par derrière, me colle dans son dos puissant et empoigne son sexe de ma main droite. Son penis de toute façon est ma totale propriété. Je fait coulisser la peau et il gonfle et durcit de suite. Un bon gros 22 cm par 6 de large, oui, j'ai mesuré. Et j'aime que ce penis soit bien entretenu,.
Maso se laisse faire. Ses fesses durcissent, il se contracte. Je le branle très souvent. Je refuse une cage de chasteté pour lui. Quelle horreur ! De toute façon c'est ma propriété et c'est moi qui fait l'entretien. Il bande et durcit de plus en plus. Il va gicler. Je lui mord le dos et il ejacule. De beaux jets de sperme que je recueille dans ma main.
J'aime lui faire avaler son sperme. C'est bon pour sa santé. Je m'en sert aussi comme crème pour mes jambes.
Je griffe la poitrine de Maso. Lui pince les tetons. Lui masse les burnes. On ne fait plus l'amour depuis qu'il a voulu que je devienne sa domina. Mais comme je le veux très fort je l'astique souvent. Il n'est pas en manque. Par contre il n'a plus droit aux fellations non plus. Toute penetration de sa Maitresse par voie orale ou anale lui est absolument interdite. Et il n'a pas le droit de se masturber lui même. S'il veut du plaisir c'est uniquement par moi et par ma main qu'il peut l'obtenir. Un excellent moyen pour le tenir sous contrôle. Il devient totalement psycho dépendant et comme c'est son choix, il respecte parfaitement ces règles.
Et puis j'adore branler sa belle bite et la faire gicler. Avant, lorsque j'étais sa femme, il voulait très souvent me faire l'amour. Et j'adorais cela. Devenir sa domina a coupé complètement le désir d'être pénétrée par lui. Cela s'est fait tout seul. Je l'ai alors branle et branle pour qu'il soit bien, après chaque séance de plus en plus hard. C'est moi qui me suis retrouvée en manque.
Pas simple les relations SM .
Avant, mais ça c'était avant à peine il rentrait du boulot qu'il voulait me sauter. Peut être à cause du stress, de la pression. ? Il me culbutait partout où il avait envie. A présent c'est moi qui le masturbe partout où il me plaît de le faire.
Peut être regardait il du porno et se branlait il au bureau ? En regardant des domina exercer leur art ? Quand il m'a demandé de faire cela, j'ai hésité. Cela avait déjà été si dur de réussir ma transition. Repartir dans autre chose. J'étais pas chaude.
Mais Maso est hyper intelligent. Il avait du remarquer que j'avais cela en moi. A présent il prend son pied dans la douleur. Et non seulement je respecte, mais j'aime aussi beaucoup qu'il aie eu le courage déjà de vivre avec une trans, et ensuite de faire de cette trans sa domina quasi exclusive.
Le branler c'est pour associer aussi douleur et récompense. Je le finis très très souvent ainsi.
Voilà, c'est tout un art de bien masturber son homme. Faire monter et gicler sa sève de vie.
Décidément nous n'irons pas au paradis. Déjà des amours transexuelles, c'est un interdit. La branlette aussi. Alors heureusement que l'inquisition n'est plus là. J'aurais été brûlée depuis longtemps.
Le paradis, c'est ici et maintenant.
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Toujours à la recherche de nouvelle idées pour pigmenter mes jeux avec Maso. C'est un balèze et un guerrier. Je ne pèse que 65 kg mouillée. Cette statue de l'Égypte ancienne me donne des idées.
Bien sur Maso a les yeux bandes. Interdit pour lui de me voir nue. Je me déshabille entièrement et monte m'assoir sur sa tête. Bon, ça va il est costaud. Au debut je tiens des appuis. Il est bien stable.
C'est agréable de l'avoir entièrement sous moi. Il tient mes chevilles. C'est amusant. Bon j'insiste pas. Je pense à ménager ses vertèbres. C'est juste un essai
Maso est soulagé....pas pour longtemps. Avec cette canicule j'ai envie d'un bon bain à l'eau froide. J'empoigne son sexe et le mène de la sorte à la salle d'eau. Mener un homme par sa queue. Cela aussi c'est amusant.
Maso me lave à l'eau froide. J'adore sentir ses grosses mains sur moi. Il me masse fermement. C'est si bon.
Comme Maso est un excellent bricoleur, je vais me détendre dans le frigirarium. Une pièce bien fraîche à côté du Caldarium. J'ai pompe les idées sur des revues d'archéologie.
Maso adore que je sois toujours pleine d'idées amusantes. Il a voulu que je devienne sa domina, et bien il l'a !
Belle soirée. 💋💋💋
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Une petite promenade culturelle par ces fortes chaleurs, nue chez soi, volet tirés. J'aime pas les clims. Rien sur la peau, c'est encore le mieux. C'est ainsi que je suis tombé sur un des premiers nus à taille humaine de la Grèce Ancienne. Aphrodite, la déesse du sexe plus que de l'amour.
C'est un peu une évidence pour moi, tant je me retrouve dans les descriptifs de cette sublime déesse, la plus belle de toutes, suivant le choix de Paris, grand amoureux des femmes.
Un choix surprenant, une déesse transexuelle, qui compte un hermaphrodite dans sa descendance, qui participe à des fêtes ou hommes et femmes doivent changer leurs vêtements, une fête bien amusante qui devrait être rétablie. Une journée ou les femmes s'habilleraient en hommes et les hommes en femmes. Cela permettrait de lutter contre toutes les pratiques sexistes et aussi d'aller vers plus de respect entre sexes et surtout d'amour.
Les divinités grecques décrivent ce que notre psyché contient de plus profond, de plus descriptif de nos comportements humains. Une façon amusante de faire de la psy des milliers d'années avant Jung ou Freud.
Aphrodite n'est pas seulement déesse de l'amour, du sexe, du porno, de la prostitution, de tous les vices charnels, de toutes les passions amoureuses, c'est aussi une guerrière fort honorée à Sparte et Troie, sa cité chérie qui donnera Rome.
Elle peut se transformer en dominatrice impitoyable.
J'aime cette déesse androgyne, la plus belle de toutes.
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Dominer en privant Maso du regard. C'est magique. Lui interdire de me voir nue. Lui interdire de regarder plus haut que les genoux au quotidien. J'adore.
Toccare ma non guardare.
Le laisser toucher, pour me laver dans le bain, me masser, mais uniquement les yeux bandes.
C'est une forme de gynarchie redoutable. Yeux bandes, aveugle, il perçoit mieux au bout des doigts.
Le laisser imaginer. Ne lui laisser que le désir.
Est ce une façon de le pousser à grandir au fond de lui même?
La domination par une forme de mystique repose sur des privations. Le silence est une règle d'or. Priver du regard est ce ouvrir les yeux de l'âme ?
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Clara est somptueuse, toute en blanc. La regarder aussi rayonnante et lumineuse est un ravissement. On dit que l'amour donne des ailes. Je crois surtout qu'il rend beau tout ce qu'il touche.
Ce qui est extraordinaire dans une relation avec une pure maso, c'est que tout est clair et limpide, direct. Ce sont des femmes qui savent exactement ce qu'elles veulent ou pas et qui sont capable de se donner à fond sans limites, sans barrières. Rien n'est plus beau pour moi qu'une pure maso. Son oui est plus pur qu'une améthyste couverte d'or.
A suivre....j'écris depuis mon tel quand l'envie me vient. Histoire de partager pour le plaisir de le faire. :kiss:
Il me vient une question. Quelle pourrait être la meilleure définition d'un mariage SM ?
Sur Wiki:
Le mariage est une union conjugale contractuelle et/ou rituelle, à durée illimitée, déterminée ou indéterminée.
On pourrait dire union conjugale rituelle sans limite de durée. Je déteste les contrats de papier.
Pour un rituel, il sont faibles. Le lien par le sang des amérindiens c'est bien plus fort par exemple pour un rituel. Mélanger les sangs?
"Dans le judaïsme, le mariage est considéré comme un engagement contractuel devant Dieu, dans lequel un homme et une femme s'unissent pour créer une relation où Dieu est directement impliqué. Cependant, le judaïsme admet légalement le divorce."
Je suis d'accord avec ce concept. C'est peut etre le seul sacrement que l'on se donne soi même. Il n'est besoin de personne d'autre. Ni prêtres ni témoins. Et plus ce sera épuré plus ce sera fort.
"Du point de vue de la Kabbale, le mariage signifie que le mari et la femme se fondent dans une seule âme. "
Une seule âme...non pas réunir masculin et féminin mais dominant et domine en un seul. Cela ne fait pas trois. Non, cela fait un.
Le mariage n'est donc pas seulement un rituel mais un sacrement.
"Rite sacré institué par Jésus-Christ, pour produire ou augmenter la grâce dans les âmes."
Si l'on enlevé la référence au christianisme, il reste que le but n'est ni la famille, ni la procréation, mais bien la grâce.
Que serait la grâce en mode SM?
"En français, le nom « mariage » provient du verbe latin maritare, issu de maritus, qui dérive, d’après une explication traditionnelle, de mas / maris, le mâle. "
Amusant mas...comme maso. Faut il être un peu maso pour se marier? Un mas-riage? Et non pas un maris-iage ?
Mâle et mal...c'est très proche. Un mal-iage ?
Affronter à deux ses propres démons. Pour grandir, avoir besoin du regard intérieur de l'autre? Maso est un miroir.
A suivre....:kiss:
Pour réussir mon mariage avec Clara, cette sublime maso qui s'est offerte d'elle même, je me rend compte que je dois me lâcher en tout. Devenir passionnelle diabolique. Mangeuse de chair. Dévoreuse de foie. Sorcière. Satanique. Bref jamais sage ni retenue. Non folle de passion. Folle d'envie de dominer. Folle d'envie de jouir de ma femme, offerte et maso dingue elle aussi. Une passion sous le signe du feu.
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Pénis, mon beau Pénis ! Dresse toi et deviens dur et fort.
Pénis, mon beau Pénis ! Honore la femme! Retiens ta semence et fais moi jouir!
Ce sont les paroles que j'ai apprises à Clara pour se servir de la superbe verge de Maso.
Il a les yeux bandes, les mains liées dans le dos, son gros penis au gland bien rouge et gonflé de désirs pointe bien droit devant.
Clara est en manque. Comme toutes les femmes trop belles et trop intelligentes, elle vit seule. Elle a du mal à se trouver un homme pour vivre avec. Alors comme elle souhaité devenir mon esclave, je lui prête Maso comme je lui prêterais un sex toy.
Maso est debout, il ne peut rien voir. Clara appuie ses coudes sur la table du salon et offre son superbe fessier. Elle mouille et dégouline, la chatte en feu. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas fait l'amour. La quarantaine, pas d'enfants. Tout pour sa carrière de militaire et son job qu'elle adore. Elle sent bon la cyprine.
Je lui ecarte ses petites lèvres et attire le splendide penis de Maso. Lui aussi, cela fait longtemps qu'il n'a plus pénétré une femme depuis que je refuse de faire l'amour avec lui. Je suis sa Domina, plus du tout son amante.
Son gros gland a un peu de mal à entrer tellement Clara est étroite. Voilà ça y est! Il est bien au fond. Le vagin serré doit être incroyablement jouissif pour les deux. Une vague de plaisir semble les tétaniser.
Penis mon beau Pénis, jouissance tu n'auras que lorsque je te l' ordonnerai !
Je les laisse à présent. Clara sait ce qui lui reste à faire pour arriver aux orgadmes à répétition. C'est elle qui mène le jeu et les va et viens comme elle en a envie.
Je vais me servir un verre et ferme la porte pour les laisser seuls.
....un récit que je vais continuer. Il n'est pas fini. En attendant la suite un petit rappel sur la fête du Penis au Japon.
Au Japon, Kanamara Matsuri est un festival annuel organisé dans la ville de Kawasaki Kanamara Matsuri se traduit littéralement par "Festival du pénis d'acier en érection".Il s'agit d'une tradition exprimant la reconnaissance pour le don de la création de cet organe corporel important
Après cette parenthèse, reprenons ce récit.
Une demi heure après, j'ouvre la porte du Salon. Maso et Clara sont toujours en train de forniquer. Le carrelage, sous eux, est couvert de sécrétions vaginales et autres et de sperme. Maso n'a pas pu se retenir. La chatte étroite et qui a peu servi doit être incroyablement jouissive.
Maso s'excuse aussitôt. Il est trop tard. Un ordre non respecté mérite la plus sévère correction. Je les prends par l'oreille tous les deux, pince très fort et les mène ainsi à la salle de torture. Ils ont très peur de moi à présent. Même Clara n'en mène pas large. Je les attache à côté l'un de l'autre sur le chevalet. Deux belles paires de fesses bien offertes.
Je prend un outil de frappe en bois que j'ai fait faire par un ébéniste. Un fort bel objet, avec une surface de frappe très large qui couvre tout le fessier. Cela fait horriblement mal. Au bout de trois frappes la douleur est insupportable.
Maso en prend cinq d'entrée. Il n'a pas le droit de hurler sa douleur. Il est tétanisé et débranche.
C'est au tour de Clara. A la troisième frappe elle supplie. L'erreur a ne pas faire avec moi.
- tu veux être mon esclave alors tu la fermes et tu assures.
Et elle prend trois frappes de plus. Elle débranche à son tour.
j'éteins la lumière et les laisse récupérer dans le noir.
Une heure après, je viens les libérer. D'un geste sans un mot je leur fait comprendre d'aller nettoyer le salon. Mzso le fait avec la langue. Clara l' imite. J'ai toujours mon terrible instrument de torture à la main. Cela a intérêt de briller.
Je saisi Clara par les cheveux et lui flanque deux gifles hallucinantes de jet kune do. Les gifles à la Bruce Lee. Clara ne s'étendait pas à une telle douleur.
Maso à fait une faute, il paie. Il sait pourquoi. Toi c'est pour le plaisir.
-Maîtresse je vous aime.
-Veux tu m'épouser ?
-Oui, je le veux
Je tire ses cheveux en arrière et l'embrasse à pleine bouche. La langue de Clara est si douce.
-Ok, tu repères ton engagement devant mon témoin et toi le tien, qui choisi tu?
Clara répond Maso sans hésiter. Ce dernier en est tout fier. Il n'ose pas lever la tête. Pourtant je sens qu'il est complètement détendu, parfaitement bien comme un homme après avoir fait l'amour. Je devine qu'il doit être devenu complètement dingue de la chatte si étroite et si jouissive de Clara.
-on fera cette cérémonie ce soir. En attendant je vais aller faire un jogging en forêt. J'ai besoin de prendre l'air. Toi Clara tu files t'acheter ce qu'il faut pour être toute en blanc ce soir. Et pas de chichis et frous frous. Du très simple et classe. Et toi Maso tu files préparer les anneaux. Il en faut trois. Tu sais pourquoi.
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Une voiture de gendarmerie se gare devant chez moi. Une superbe femme en sort, athletique, bronzée, en tenue civile, élégante et pleine de charme. Surprise, je reconnais mon adjudante préférée, celle qui aime me contrôler chaque fois que je la croise et qui s'amuse avec mes papiers où il est marqué "sexe masculin", ce qui ne correspondant pas du tout à ce que je suis, une femme trans. Elle tape.
Maso est tout nu, il fait le ménage. Je l'envoi ouvrir la porte. L'adjudante rit en le voyant. Maso baisse les yeux et la fait entrer.
-Bonjour, fait l'adjudante. Alors vous m'adressez des bisous de la main au carrefour. Cela la fout mal devant mes hommes. J'apprécie pas beaucoup.
-Bienvenue, vous prendrez bien un thé ou un café. Veuillez m'excuser, mais c'est plus fort que moi lorsque je vous vois. Je vous trouve si belle. J'ai adressé un bisou à la vie. Comment vous appelez vous? Moi c'est Toinette pour les intimes.
-Clara. J'accepte volontiers un café. J'ai eu une rude journée.
Nous papotons comme deux amies. Maso fait le service, toujours tout nu. Clara s'en amuse de plus en plus, surtout qu'il n'a pas le droit de regarder plus haut que nos genoux. Un service impeccable. Je l'envoie au piquet, mains sur la tête. Il nous montre ses superbes fesses bien musclées.
-Je suis domina Clara. C'est mon homme qui a voulu cela. Au debut j'ai fait cela pour lui faire plaisir et maintenant c'est notre quotidien.
Clara me regarde troublée. Elle est vraiment très belle, avec de tres belles formes. Je croyais que c'était une femme phallique. Non, pas du tout, sans son uniforme, c'est une femme tout court. Je devine qu'elle est celibataire et en manque de calins. Ce doit pas etre facile de diriger une brigade. Beaucoup de stress, des heures et des heures de boulot.
-Tu as envie de te détendre et d'essayer.
Clara est de plus en plus troublée. elle écarte doucement les jambes. Je lui empoigne les cheveux et je l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres sont si douces. Mes mains descendent sur ses beaux seins biens lourds. Elle se déshabille. Elle est encore plus belle nue. Je lui ecarte les jambes et lui empiogne ses belles fesses charnues. Sa chatte est offerte. Je lui mange le clitoris. Elle jouit très fort dans ma bouche plusieurs fois. Je masse ses seins.
Et puis voilà, l'instinct de la domination ressort. Je la retourne et commence à lui claquer les fesses. Je sais faire très très mal. elle gémit.
-plus fort, c'est trop bon.
-une gourmande je vois. Allez zou, à coté de Maso et mains sur la tête.
Je vais chercher un tube de pvc. Un truc que m'a montré mon amant, Mael, et qui fait horriblement mal sans laisser de traces. Une vraie torture ce truc.
J'attache clara sur la table de la cuisine. Je devine que Maso est hyper excité de tout ce qu'il entend. Je vais donc le voir et lui flanque quelques coups de tube. il se contorsione aussitôt sous la douleur.
-On ne bande pas quand Maitresse reçoit ! compris !.
Cela rassure Clara que Maso ne puisse pas la voir, ni etre en erection pour elle. Elle n'est pas lesbienne, juste célibataire en manque.
-Tu n'aimes pas trop les hommes, je vois et tu trouves les femmes casse couilles. Je me trompe.
-Non Maitresse.
-Tu as des fesses superbes tu sais. Je vais bien te faire circuler le sang. Mais avant un baillon car tu vas hurler. Ici, il faut hurler en silence et pas me demander d'arreter. Tu es toujours ok, Clara.
Elle tend les fesses. Elle meurt d'envie. Je commence par la caresser. Sa chatte dégouiline de douce cyprine qui sent très bon.
Les coups pleuvent à présent. Clara se tord de douleur. C'est dingue ce truc de Mael pour faire si mal sans marquer. Juste de superbes rougeurs. Clara pleure. Larmes ou plaisir ? Ca y est, elle est prête pour la deconnection, lorsque le cerveau débranche pour ne plus sentir la douleur. Je vais toujours au bout. inutile de m'implorer. c'est ce moment là que je guette.
J'arrete enfin et laisse Clara récupérer. Elle tremble. elle est secouée de vagues ou douleurs et plaisirs s'emmelent. Une maso. et moi qui ne voulait plus prendre de nouveau partenaire de jeu. Je suis très fidele. Je ne cherche pas d'aventures. Mais là, comment refuser cette femme si belle et qui s'offre d'elle même.
Je vais voir Maso.
-Tu vois, avec une femme c'est pas te tromper. Avec mon unique amant non plus. Allez tu vas nous servir des rafraichissements. De bons jus de fruits ou de légumes. Zou !
Je détache Clara qui se love aussitôt dans mes bras. je lui caresse la nuque. Elle se rhabille. Nous papotons à nouveau comme de vielles amies en dégustant de délicieuses boissons, très vegan, très saines.
Je propose à Clara de rester pour dîner. Elle accepte. Maso fait le service, nu, debout derrière nous, très heureux de son sort. C'est un excellent cuisinier.
Un bip. Clara décroche. Elle doit partir. Son boulot et son devoir qui l'appele.
Je la racompagne à sa voiture.
-repasse quand tu veux ma chérie. tu seras toujours la bienvenue chez nous.
Elle doit repartir, très préssée, les yeux humides. Je souris en pensant qu'elle va avoir mal aux fesses toute la nuit.
-ok, plus de bisous de la main au carrefour. Discrétion totale de rigueur à présent.
Clara apprécie beaucoup ma remarque. Je la sens heureuse et en confiance. Il n'y a pas de mal à prendre son pied dans les douleurs bien cuisantes. Je garde mon bisou dans ma main.
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