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Scatophilie

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Tendre pervers
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Pour les amatrices & amateurs de déviances scatophiles. Un espace ouvert et bienveillant pour partager, discuter, déposer une annonce, faire des rencontres sur la scatophilie.

 
 

 

 

Miss Fabiola
CHAPITRE 1 J’avais rendez-vous avec Alexis que je devais rejoindre dans sa chambre, chez ses parents. Ils habitaient une maison de banlieue. Je vivais encore chez les miens et étais venue en scooter. J’entrai par le jardin qui donnait sur sa chambre. Je toquai discrètement à la porte-fenêtre et entrai sans y avoir été formellement invitée. Je surpris mon petit-ami torse nu face à une jeune fille en sous-vêtements, allongée sur le lit ! Je poussai un cri et le giflai avant qu’il ne prononce une seule parole. Ce geste me calma un peu et Alexis pu m’expliquer que la fille en question était sa sœur et que je ne devais pas m’emporter de la sorte. Je ne crus pas à cette histoire et j’ai exigé de voir la carte d’identité de la donzelle. Elle se plia à ma demande et je dû reconnaître ma méprise : la belle rousse dévêtue devant mon copain se prénommait Stéphanie, elle portait bien le même nom qu’Alexis, elle avait un an de moins que moi, il s’agissait bel et bien de sa sœur. Je bredouillais quelques excuses et la jeune fille s’éclipsa, nous laissant enfin seuls. Alexis m’expliqua qu’il était proche de sa sœur et qu’il arrivait qu’ils se côtoient dans la maison en petite tenue. Après tout ils étaient frère et sœur, il n’y avait aucun mal. Etant fille unique, je ne savais pas vraiment quel comportement pouvait être d’usage entre frère et sœur, je me dis que cette situation devait être tout à fait normale. Après cet incident, nous nous caressâmes par-dessus nos vêtements, puis nos mains glissèrent en-dessous, directement sur notre peau. Après quelques minutes, je m’appliquai à offrir une fellation que j’espérais adroit. J’essayais de prendre la plus grande longueur de son manche dans ma bouche, mais j’étais loin de parvenir à tenir toute sa verge. Néanmoins ses soupirs semblaient indiquer que j’étais à la hauteur. Il s’occupa ensuite de mes parties intimes avec sa langue, faisant monter mon plaisir en prenant garde à ne pas me faire atteindre l’orgasme. Puis il me pénétra alors que j’étais allongée sur le dos. J’eus alors la surprise de voir apparaître Stéphanie au travers de la porte-fenêtre. Elle était restée en sous-vêtements et nous matait sans se gêner, une main s’agitant dans sa culotte. Je pensais un instant me cacher sous la couette, mais une pulsion m’en empêcha. Toute à l’excitation que provoquait la pénétration, je me tus afin de ne pas interrompre nos ébats. J’exagérai même mes gémissements de plaisir, pour exciter encore plus cette petite dévergondée. Alexis changea de position. Alors qu’il m’embrassait amoureusement dans le cou je ne pus m’empêcher de souffler à mon amant que sa sœur nous observait. Je fus surprise de sa réponse : « Tu voudrais qu’elle nous rejoigne ? » Que répondre ? Mon copain me proposait une partie à trois avec sa sœur ! Je fus gagnée par ma perversion naturelle, que je découvrais à peine. Je répondis un timide : « Pourquoi pas ». Je regrettais déjà mes mots lorsque Stéphanie – à qui Alexis avait dû faire un signe – entra et s’installa à côté de nous, finissant de se déshabiller sans précipitation, le plus naturellement du monde, pendant qu’Alexis investissait à nouveau ma chatte ! Elle portait de longs cheveux roux qui tranchaient singulièrement sur sa peau très claire, parsemée de quelques taches de rousseur. Ses yeux bleus lui conféraient une innocence à l’opposé de son comportement vicieux ! Ses seins étaient plus généreux que les miens, ses hanches nettement plus larges que aussi. Elle continuait à se faire du bien en triturant son bouton du plaisir, sans aucune gêne apparente. Puis elle approcha sa bouche de mon visage et plaqua ses lèvres contre les miennes. J’ouvris naturellement ma bouche et sa langue s’y enfourna. Ce fut mon premier baiser lesbien, alors qu’Alexis continuait ses vas-et-viens dans ma chatte qui s’humidifiait de plus en plus ! Stéphanie agaçait mes seins avec ses doigts, sa langue. Elle jouait avec le piercing que je portais au nombril depuis peu. Elle me proposa ensuite de quitter la belle bite qui me donnait du plaisir pour qu’elle la remplace de sa langue habile. Intriguée par cette nouvelle expérience qui m’était proposée, j’accédai à sa demande. Que c’était bon d’être léchée par cette langue adroite et légèrement râpeuse après avoir été baisée par un beau dard ! Je ne tardais pas à jouir, libérant de gros flots de mouille qui ne semblaient absolument pas rebuter Stéphanie. Après cet orgasme, elle délaissa ma chatte, pour se tourner vers la bite raide de son frère. Lui jetant un regard complice, elle emboucha son gland et se mit à pomper le beau chibre de mon mec ! J’étais un peu interdite devant ce spectacle, mais j’étais surtout fascinée. Quelle perversité se dégageait du spectacle que m’offraient mon petit-ami et sa sœur. Stéphanie était plus douée que moi, elle prenait pratiquement la totalité du sexe de son frère en bouche ! Alexis s’allongea sur le lit, sa sœur devant lui, agenouillée parterre et aspirant profondément son membre dans sa gorge. Il m’invita à me mettre à califourchon sur son visage pour me prodiguer un nouveau cunnilingus, j’en éprouvais à nouveau un plaisir intense. Il cessa son jeu de langue avant que je ne jouisse à nouveau et me demanda de m’agenouiller sur le lit, ce que je fis volontiers. Il présenta alors sa queue raide et collante de la salive de sa sœur dans la raie de mes fesses et appuya sur mon anus. Cette pénétration pris un peu de temps. Stéphanie facilita les choses en caressant ma chatte et en humidifiant mon trou avec sa salive. Alexis fut suffisamment délicat pour que son intromission se fasse sans réelle douleur. Je me laissais aller et profitais de ces instants. Quel bonheur de se sentir bien prise… Je ne sais pas pourquoi les filles se disent tellement rebutées par le sexe anal. Personnellement cette pénétration me procurait un plaisir intense, différent des rapports vaginaux, mais tout aussi apte à me faire jouir. Dès qu’Alexis eut trouvé son rythme dans mon cul, Stéphanie s’allongea devant moi en écartant ses cuisses, elle voulait clairement que je lui retourne son cunnilingus. Malgré mon inexpérience et les pénétrations régulières dans mon fondement, je me mis à lécher – sans doute un peu maladroitement – son sexe orné d’une fine toison entretenue. Après plusieurs minutes de sodomie, Alexis accéléra le rythme et je jouis une seconde fois ! Lui, en revanche n’avait pas encore éjaculé. Alors que je m’effondrais après l’orgasme dévastateur, il planta sa bite trempée de mon jus dans la chatte de Stéphanie que je venais de préparer. Je matais mon mec en train de baiser sa propre sœur, quel spectacle immoral et délicieux ! Même si je ne participais pas directement, la vue d’une telle scène me faisait mouiller. Mes doigts glissaient naturellement dans ma fente d’amour. Il la pénétrait très fort et elle ne fut pas longue à venir, en poussant des cris de folle. Alexis sorti de son sexe trempé et d’instinct je m’approchais de sa verge pour la prendre en bouche. Excité comme un fou, il juta sur mon visage. Je n’étais pas encore bien habituée à recueillir du sperme avec ma bouche, mais cela ne me rebutait pas du tout. Stéphanie non plus ne semblait pas dégoûtée par le foutre, elle vint me rouler une pelle bien collante… Alexis nous félicita et nous dit qu’il recommencerait dès qu’on voudrait… J’échangeai un regard complice et lubrique avec Stéphanie, pour lui signifier que ce moment était bien proche… Après cet après-midi de débauche, j’aurais voulu rester plus longtemps chez Alexis, mais je devais rentrer pour préparer un prochain entretien d’embauche. Je retournais donc à regret chez mes parents. Après une soirée occupée à préparer l’entretien qui avait lieu le lendemain matin, j’allais me coucher. Je commençais seulement à réaliser l’immoralité de la scène à laquelle j’avais participé. Le premier partenaire de ma vie avec lequel j’envisageais une relation sérieuse niquait sa sœur sans aucune gêne et me demandait de participer ! Une partie de moi me disait de le plaquer sans délai. Mais j’avais accepté de coucher avec eux, personne ne m’avait forcé. Et puis, quel plaisir j’avais ressenti lorsqu’il me prenait pendant que je prodiguais mon premier cunnilingus. Que la sensation de la langue de Stéphanie sur ma chatte avait été forte ! J’avais beau tenter de me raisonner, je savais déjà qu’Alexis avait mis au jour mon instinct profond, celui d’une salope perverse. Dès que j’arrivais à cette conclusion, je me sentis mieux, je devais assumer ma nature et profiter de l’opportunité que m’offrait mon petit-ami et de sa tr ès belle sœur. Je me dis que j’avais une chance incroyable d’avoir rencontré un garçon et une fille aussi attirants et qui pourraient me permettre d’explorer le côté pervers de ma sexualité naissante. Je repensais à la scène et naturellement ma main glissait dans ma culotte déjà trempée. Je me donnais du plaisir avant de m’endormir. CHAPITRE 2 Le lendemain de cette première aventure, après avoir consacré la matinée à mon entretien, je retournai chez Alexis, espérant connaître de nouveaux plaisirs. Comme la veille je passai par le jardin, mais j’y trouvai porte close. Je sonnai donc à la porte principale et j’eus la surprise de voir ouvrir une femme blonde aux cheveux coupés au carré, âgée d’une petite quarantaine, portant une robe ajustée et largement décolletée, avec des chaussures à talons hauts. Elle m’invita à entrer avec un grand sourire et me fit la bise, en se présentant : « Je suis Annie, la mère d’Alexis et de Stéphanie. Tu dois être Hua. Sois la bienvenue à la maison ». Je vis qu’elle me détaillait. Elle appela Alexis, qui arriva rapidement. Après quelques banalités échangées, nous filâmes dans sa chambre. Je n’aperçus pas Stéphanie, je le regrettai. Dans ma tête j’avais déjà échafaudé un nouveau plan à trois et j’étais un peu déçue. Au risque de passer pour une dévergondée, je demandais à Alexis : « Stéphanie n’est pas là cet après-midi ? J’ai repensé à hier et j’ai dû me soulager plusieurs fois cette nuit… ». En tenant ces propos, je tentais d’afficher un rictus coquin pour chauffer mon amant. Il me répondit : « Non, elle est prise aujourd’hui, on ne la verra pas. T’es déçue ? -Oui, un peu. Mais j’espère que tu seras à la hauteur pour me la faire oublier… », dis-je. Je savais que ce comportement provocateur me faisait passer pour une fille très chaude, mais j’étais certaine que cela excitait Alexis, et ces mots qui sortaient de ma bouche déclenchèrent un frisson en moi. Alexis vint se coller à moi, palpa mon corps au travers de ma légère robe estivale. Excités par la situation mes tétons dardèrent immédiatement à m’en faire mal. Je sentais ma chatte s’humidifier et mon jus couler dans ma culotte. Alexis passa une main sous ma robe et pu constater mon excitation. Ses doigts frottèrent mon entre-jambe, puis firent descendre ma culotte. Ils furent vite remplacés par sa langue inquisitrice qui fouilla mon intimité en s’attardant sur mon bouton. Il faisait monter mon plaisir, mais n’allait pas jusqu’à me le faire atteindre. Dès que je commençais à frissonner, juste avant l’orgasme, il retirait sa langue et la faisait papillonner sur mon corps : mon nombril percé, mon ventre, mon cou… Puis il revenait petit à petit sur des zones plus érogènes, ma bouche, mes seins,…. Ce jeu dura longtemps. Je montais plusieurs fois au bord de la jouissance, sans l’atteindre. Alors que j’étais excitée comme une folle, Alexis libéra son sexe de son pantalon et j’entrepris de le masturber. Ma bouche rejoint rapidement ma main. Je suçais la belle bite du mieux que je pouvais, en regrettant de ne pas parvenir à en prendre plus en bouche, comme Stéphanie savait le faire. J’étais un peu frustrée, mais tentais de compenser mon manque d’habileté par une intense salivation et quelques propos salaces destinés à exciter Alexis : « Elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! J’ai hâte que tu la fourres dans ma chatte trempée et mon petit cul serré ! » Ma stratégie fonctionnait. Le membre était dur comme du fer et il ne tarda pas à m’allonger sur le lit, jambes écartées pour pénétrer mon vagin ruisselant. Il me pistonna un bon moment en titillant mes seins et en me roulant des pelles baveuses où nous langues s’emmêlaient. Cette fois encore il ne me laissa pas atteindre le plaisir…Alors que j’étais au bord de la jouissance, il se retira d’un coup et me fit mettre à genoux sur le lit. Il plaça son engin à l’entrée de mon anus et m’encula. Sa bite entra d’un mouvement lent mais continu dans mon cul, elle resta au fond quelques instants, puis il entreprit de lents mouvements pour habituer mon trou à son intromission et petit à petit il accéléra la cadence pour me défoncer le fion. Enfin il me pistonnait à fond et je pus prendre le plaisir dont j’avais besoin. Outre sa bite vigoureuse, mes doigts parachevèrent mon orgasme. Il changea de trou pour éjaculer dans mon sexe trempé. Je sentis les flots de sperme m’inonder, c’était chaud et délicieux ! Je m’écroulai sur le lit, Alexis allongé sur mon dos. Il resta longtemps fiché en moi. Me prodiguant de douces caresses et me donnant de petits baisers. Il se retira enfin et me dit qu’il devait satisfaire un besoin naturel. Je restais donc seule dans la chambre, un peu perdue dans mes pensées. Quelques instants après son départ la porte de la chambre se rouvrit, je pensais voir mon amant revenir, mais j’eus la surprise de découvrir sa mère dans l’entrebâillement de la porte ! Elle entra et referma derrière elle. Je me cachai comme je pus sous la couette. Elle me lança : « Mon fils m’a dit qu’il avait déposé quelque chose pour moi dans sa chambre. » Elle me toisait, perchée sur ses chaussures à talons hauts, dans sa robe moulante. Je balbutiai : « Je ne sais pas, je ne suis pas au courant. -Ah bon, il m’a dit qu’il t’avait confié un présent à mon intention. », dit-elle avec un grand sourire coquin. Elle s’approcha du lit et tira d’un coup sec la couette, découvrant mon corps nu, que je tentais maladroitement de dissimuler avec mes bras. Sa voix se fit soudain plus langoureuse. Elle murmura en approchant sa main de ma chatte que je tentais toujours de masquer : « Mais si, je suis sûre qu’Alexis a laissé du sperme bien chaud pour sa maman. Il doit être juste là… » Ses paroles me firent un curieux effet. Je sentais que l’intrusion de la mère d’Alexis était un plan – diabolique – pour que je me vautre encore un peu dans le vice, avec cette belle femme mûre… Cette idée m’intimida un peu, mais fit naître une vraie excitation en moi. Annie porta sa main jusque sur mon pubis que je découvrais à présent. Elle glissa un doigt dans ma fente et ce qu’elle sentit sembla lui plaire : « C’est tout humide par ici, bien chaud. C’est là qu’Alexis a dû laisser son foutre pour moi. Il sait que j’en raffole ! » Toujours un peu intimidée par ma belle-mère qui doigtait ma chatte, je ne répondis pas et la laissai faire à sa guise. Elle interpréta mon manque de réaction pour une invitation à poursuivre. Elle s’agenouilla sur le lit, se pencha pour venir titiller mon entre-jambe avec ses lèvres. Sa langue courrait sur mon clitoris et mes lèvres intimes. Petit à petit elle s’immisçait à l’intérieur. Elle avait une grande habileté, elle était au moins aussi douée que sa fille ! Alors qu’elle enfonçait sa langue de plus en plus profondément en moi, elle déclara : « Voilà, il est là le bon foutre de mon fils ! Il y en a plein, tu l’as bien fais juter, cochonne ! Petite salope tu voulais tout garder pour toi ! » Elle replongea dans mon intimité, en me procurant de divines sensations. Je ne pus me retenir de plaquer mes mains sur sa tête pour qu’elle lèche encore plus avidement ma chatte. Que c’était bon ! En rencontrant Alexis je ne me doutais pas que j’étais tombée sur une telle famille de pervers, quel bonheur ! Ils m’aidaient à explorer mes côtés les plus vicieux, qui surgissaient et mettaient à mal ma raison. Je n’entendis pas Alexis revenir dans la pièce, toute au plaisir que sa mère de donnait. Il était nu, la bite au garde-à-vous et approchait lentement du cul que sa mère avait relevé très haut en se penchant en avant pour lécher ma vulve. Il souleva sa robe brusquement et asséna une grande claque sur les fesses maternelles. Annie se retourna un instant et lança à son fils : « Alors, elle t’a bien fait jouir Hua, tu as laissé plein de bon foutre pour ta maman dans sa petite chatte ! Viens me baiser maintenant, je suis excitée comme une folle ! Niques-moi ! » Obéissant à sa maman, Alexis l’enfila sans préliminaire, tandis qu’Annie reprenait son traitement sur mon con. Comme son fils, elle savait faire monter mon plaisir sans me faire atteindre l’orgasme, me laisser en haleine, retomber légèrement, avant de reprendre ses mouvements, toujours plus excitants. D’une main ferme je maintenais la tête d’Annie contre ma chatte, tandis que de l’autre je triturais vigoureusement mes petits seins, en pinçant mes tétons durs et douloureux. Elle finit par libérer ma jouissance, après de longues minutes, pendant lesquelles elle était elle-même baisée à fond par la bite de son fils. Elle jouit juste après moi. Après ce nouvel orgasme, j’avais envie de voir de plus près la bite d’Alexis pénétrer sa mère. Je me dégageais d’elle et vint me positionner près de mon mec qui la fourrait toujours à grands coups. La claque qu’il lui avait asséné laissait une grande marque rouge sur la peau claire d’Annie. Il allait et venait dans son vagin par d’amples mouvements de bassin, sa bite ressortait presque totalement à chaque fois, avant de pénétrer à fond le sexe trempé qui lui avait donné le jour ! Après avoir fait jouir Annie, Alexis se retira. Sa mère se tourna face à son sexe, le prit en bouche avidement, avalant sans difficulté la totalité du membre. Ses mains empoignèrent les hanches d’Alexis et elle activa sa tête à un rythme très soutenu en gobant toute la longueur du membre vigoureux. Puis, elle me fit signe d’approcher pour que j’embouche à mon tour la pine dure. Malheureusement, je ne parvins pas à avaler plus du tiers de la tige de chaire qui déformait déjà ma bouche. Annie prit alors un ton d’enseignante patiente pour m’expliquer comment ingurgiter une grosse bite : « Il faut que tu fasses passer le membre sur ta langue, tires-là un peu pour aider, puis petit à petit la verge va passer ta luette et se faufiler dans ta gorge. Décontractes-toi pour éviter la régurgitation, détends-toi. Respires bien par le nez. Vas-y tranquillement… » Je manquai de m’étouffer aux premières tentatives, mais petit à petit je parvins à faire coulisser une longueur toujours plus importante du chibre dans ma gorge. Alexis était très patient avec moi. Il souhaitait que j’apprenne à lui tailler de bonnes pipes en gorge profonde à l’avenir. Au bout de cinq ou six tentatives je suis parvins à prendre la totalité du braquemart dans ma gorge. J’avais du mal à respirer, mais j’étais très fière de moi. Je sentais que je devenais une bonne salope, prête à tout pour satisfaire son amant et cela humidifiait ma chatte d’excitation. L’image que je renvoyais à Alexis, celle d’une petite asiatique menue dont la gorge était encombrée par son gros membre, dû l’exciter au plus haut point, car il déversa en moi de longues rasades de foutre. J’en avalais une partie, puis je fus prise d’une quinte de toux que j’eue du mal à maîtriser. Du sperme jaillit alors de ma bouche et inonda le bas-ventre d’Alexis. Sa mère se fit un délice de le lécher. Elle ne l’avala pas, mais attendit que je reprenne mon souffle pour me rouler une pelle et redéposer la semence de son fils dans ma bouche. Nous nous repassâmes plusieurs fois le délicieux nectar, jouant avec nos lèvres et nos langues, nous amusant à en laisser couler de manière obscène le long de nos mentons, avant de le reprendre par un adroit coup de langue. Nous finîmes par avaler chacune une petite quantité de foutre gluant, mélangé à nos salives. Le spectacle de sa copine et sa mère se gouinant en partageant son sperme redonna une vigoureuse érection à Alexis. Il me lança : « J’ai envie de te prendre par le cul ! Pendant ce temps tu vas donner du plaisir à ma salope de mère. » Même s’il baisait sa mère sans vergogne je fus choquée du ton et des mots crus qu’il osait employer pour parler d’elle, en sa présence. Mais elle souriait, les insultes faisaient partie du jeu et de l’excitation. Je m’agenouillai et écartai mes fesses de mes mains pour faciliter sa pénétration. Il intégra cette fois-ci mon fondement sans ménagement et m’asséna rapidement de grands coups de boutoir qui firent monter mon plaisir. Annie se mit devant moi, les jambes démesurément ouvertes, sa chatte dégoulinante de mouille et de désir sous mon nez. Je me régalai de ses jus et de son odeur de femelle en rut ! Je triturai son bouton, insinuai ma langue dans ses lèvres, la pointai à l’intérieur de son sexe, à la source de sa jouissance. Mes mains parcouraient son corps, s’attardant sur ses seins, qu’elle pétrissait elle-même, tordant ses tétons à s’en faire mal. Alexis ne mollissait pas dans mon derrière, il nous incitait à nous gouiner : « Oui c’est bon les filles ! Hua, bouffes la chatte de maman, fais la jouir, elle ne vit que pour ça cette grosse salope ! » Elle jouit avant moi et sa chatte libéra encore plus de cyprine, mon visage était trempé, elle exhalait de divines odeurs de femelle en chaleur. Sa jouissance provoqua la mienne. Mon anus se contracta autour de la queue d’Alexis qui s’immobilisa en moi quelques secondes. Je criai mon plaisir : « Putain que c’est bon ! Une bonne grosse bite dans le cul et une chatte trempée sous ma langue, c’est tout ce que j’aime ! » Alexis bandait encore comme un âne. Dès que mes sphincters se relâchèrent un peu, il sortit de mon fondement et il nous fit intervertir nos positions. Je m’allongeai sur le dos, jambes écartées, pendant que sa mère s’agenouillait prête à recevoir la bite de son fils au plus profond de son cul de mère incestueuse ! Il prit encore moins de précaution qu’avec moi et fourra immédiatement son chibre au tréfonds du cul maternel. Annie entreprit immédiatement un divin cunnilingus de sa langue experte, malgré les secousses provoquées par les mouvements violents de son fils. Annie me tenait au bord de l’orgasme sans me le faire atteindre. Elle finit par me libérer lorsqu’elle-même fut saisie par le plaisir. Quel pied de jouir sous les coups de langue de ma superbe belle-mère qui se faisait démonter le cul par son fils ! Alexis se retira et me tendit sa bite pour que je la prenne en bouche comme je venais de l’apprendre. Je m’appliquai et pris du plaisir à introduire profondément dans ma gorge son membre tout juste sorti du cul de sa mère ! Cette dernière me rejoint pour sucer son fils, qui éjacula à nouveau. Nous reprîmes notre jeu de langue autour de son sperme gluant, l’avalant à petites gorgées après qu’il soit passé plusieurs fois dans chacune de nos bouches. Quelle salope je faisais ! Je me laissai aller au plaisir, consciente du côté répugnant de mes actes, mais totalement soumise à mes vices et mes plaisirs, que me faisaient découvrir Alexis et sa salope de mère. L’après-midi était très avancé et je devais rentrer chez moi pour préparer un nouvel entretien qui se tenait le lendemain à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile. Après avoir finalisé l’organisation de mon déplacement, je me couchai et mon esprit fut immédiatement tourné vers ce que j’avais fait cet après-midi. Quelle débauche ! Je m’enfonçais dans le vice et craignais que cela ne prenne le pas sur ma vie, mais comment résister à de tels plaisirs ? Mon côté salope surgissait et je ne pouvais – ni ne voulais – le maîtriser. CHAPITRE 3 Mon entretien fut bref et je ne me fis pas d’illusion quant aux chances d’être embauchée. Prendre ce travail m’aurait éloigné d’Alexis et de sa famille, ce que je ne souhaitais alors absolument pas. Mon moral restait donc très bon, j’avais hâte de rentrer. En revenant chez moi, j’avais un message de Stéphanie que ma mère avait pris (à l’époque les téléphones portables n’étaient pas aussi répandus et mes communications passaient forcément par le téléphone fixe de mes parents). Stéphanie s’était présentée comme une copine d’école qui me donnait rendez-vous en tout début d’après-midi le lendemain à son travail, elle disait avoir peut-être une piste d’emploi pour moi. Ma nuit fut très agitée, troublée par l’excitation de la nouvelle rencontre que j’allais avoir avec Stéphanie. J’expédiais le déjeuner avec mes parents et sortis dès 13h en disant que j’avais un rendez-vous pour un potentiel emploi. Je retrouvais Stéphanie au lieu du rendez-vous, un restaurant. Elle était encore affairée avec quelques clients et me fit patienter. Je la regardais évoluer au milieu des tables vêtue d’une jolie robe d’été lui arrivant aux genoux, légèrement décolletée, souriante, sa longue chevelure rousse la rendait flamboyante. La salle se vida enfin et lorsqu’elle eut rangé le plus gros, elle vint s’assoir à côté de moi. Elle m’adressa un grand sourire et déposa un doux baiser sur mes lèvres, qui suffit à m’exciter. Elle me dit qu’elle pensait que sa patronne cherchait peut-être quelqu’un pour vendre ses produits auprès d’une clientèle de professionnels. Elle me conduisit auprès de cette dernière pour me présenter. Malheureusement, elle venait de trouver quelqu’un. Une nouvelle fois, ma quête d’emploi achoppait. Un peu déçue, je sortis avec Stéphanie. Sur le trottoir en face du restaurant, un grand garçon attendait. Il nous adressa un sourire et s’approcha. Stéphanie alla à sa rencontre et ils s’embrassèrent longuement, d’un baiser passionné. Elle fit ensuite les présentations : « Valentin, voici Hua, la petite amie de mon frère. Hua, voici Valentin, mon amoureux. » Il me fit la bise. Valentin était un beau garçon auquel j’aurai donné 25 ans. Grand, plutôt mince, à la peau noire foncée. L’espace d’un instant que je me serais bien vu en sa compagnie pour une séance de plaisir… Je n’avais jamais couché avec un noir et la vue de ce bel homme, m’émoustilla. Stéphanie reprit la parole et me sortit de mes pensées : « Valentin doit reprendre le boulot, il était juste passé me faire un coucou. Je rentre chez moi, si ça te dit tu peux venir, mais je ne sais pas si Alexis sera là. » Je décidais d’accompagner Stéphanie. A notre arrivée dans le jardin, Stéphanie me prit la main et m’attira près d’elle. Je sentais le doux parfum de ses cheveux. Sa main libre caressa mon bras et elle approcha ses lèvres des miennes. Nos langues se cherchèrent et jouèrent ensemble longuement dans nos bouches. Ce baiser m’excitait, je sentais mon sexe s’humidifier et mes tétons durcirent et pointer fièrement directement sous ma fine robe d’été puisque je ne portais pas de soutien-gorge. Ma compagne parcourait mon corps de ses mains douces, je lui rendais ses caresses, sentant son excitation monter également. Ses baisers quittèrent ma bouche pour venir titiller mon cou. Ses mains empoignèrent mes seins, jouant avec mes tétons. Un instant je me demandais si elle allait me déshabiller là, dans le jardin sous les fenêtres de ses voisins. Bien que cela me paraissait complètement fou, je suis sûre que je n’aurais pas protesté, elle aurait pu me baiser devant tout le quartier, que je l’aurais laissé faire ! D’ailleurs, j’acceptais qu’elle glisse une main sous ma robe, saisisse ma culotte et la fasse glisser jusqu’à mes genoux. A ce moment-là elle arrêta un instant ses attouchements et me dit d’une voie langoureuse : « On devrait peut-être entrer dans la maison, on serait plus tranquille. » Je la suivis vers la porte-fenêtre donnant accès à la salle à manger. J’étais tellement excitée à l’idée de coucher avec cette jolie fille, qui en plus se trouvait être la sœur de mon copain, que je ne prenais pas la peine de réajuster ma tenue, ni même de remonter ma culotte. Lorsque nous entrâmes dans la maison, nous fûmes accueillies par de grands soupirs et des cris de femme dont l’origine ne laissait planer aucun doute : un couple était en pleine action ! Déjà surprise par ces bruits, je le fus encore bien davantage lorsque je vis Alexis debout, face à nous devant la table de la salle à manger, nu, en train de baiser sa mère allongée, qui clamait son plaisir. Encore plus fort, sous elle un autre homme était également allongé sur le dos et semblait lui aussi besogner Annie ! La mère et le fils nous regardèrent, débraillées et excitées par nos préliminaires, surprises de les voir en pleine fornication. Ils cessèrent un instant, ce qui fit tendre le cou à l’homme couché sous Annie. Je mis quelques instants à comprendre qu’il s’agissait du père d’Alexis et de Stéphanie, le mari d’Annie. Cette salope était en train de baiser avec son mari et son fils en même temps ! Déjà excitée par mon désir pour Stéphanie, ma chatte coula à grands flots lorsque je compris l’incroyable perversité de la situation. Annie se faisait baiser la chatte par son fils et en même temps enculer par son mari, tandis que sa fille se gouinait avec la copine de son fils ! Quelle folie ! Même si j’avais conscience de la perversité de ce moment, je ne songeais pas un instant à quitter les lieux. Stéphanie nous jeta à tous un regard de braise, démontrant combien cette scène totalement folle l’excitait. Son père et son frère reprirent leur labeur dans les orifices d’Annie qui gémit à nouveau. Le père, nous regarda et déclara : « Venez, Alexis et moi on va s’occuper de vous comme vous le méritez, petites salopes ! » Comment un père pouvait-il parler de la sorte à sa fille ? Ma question trouva rapidement sa réponse, puisque Stéphanie, qui me tenais toujours la main, approcha du groupe et caressa les seins maternels, en pinçant les tétons gonflés d’excitation. Sa fille était bel et bien une salope, qui baisait avec son frère, sa copine, sa mère et sans doute son père ! Quant à moi, je ne méritais pas mieux, tant la situation me faisait mouiller ! Je n’avais encore jamais assisté à une scène de double pénétration, mais je compris vite le principe et l’idée de me faire enfiler simultanément par le vagin et l’anus éveilla en moi une excitation démesurée ! Stéphanie délaissa assez vite les nichons de sa mère, qui criait son plaisir sous les coups de boutoirs conjugués des deux queues, pour m’attirer vers le canapé situé à proximité de la table de la salle à manger. Presque comme si nous étions seules dans la pièce, nous reprîmes nos jeux sensuels, en nous embrassant et en caressant nos parties intimes, tout cela sous le regard du trio infernal qui baisait à quelques mètres de nous ! Nous nous dévêtîmes rapidement pour mieux profiter de nos corps respectifs. Stéphanie était vraiment belle, une taille fine, de beaux gros seins, des fesses rebondies, elle m’excitait follement. Nous nous installâmes en 69, moi allongée sur le dos levant ma nuque pour lécher vivement la chatte aux courts poils roux et humides qui me surplombait ; elle me rendant la pareille en s’activant dans mon entrecuisse. J’oubliai presque que je couchais avec la sœur de mon copain, à quelques mètres de ce dernier en train de fourrer le vagin de sa mère qui se faisait en même temps enculer par son mari ! Toutefois, les cris du trio me rappelaient régulièrement leur présence. Que c’était bon et excitant de baiser avec une belle minette tout en étant mâtée par un groupe de baiseurs endiablé ! Je m’appliquai à donner du plaisir à Stéphanie, qui me le rendait bien. Je fourrais ma langue aussi loin que je pouvais dans sa chatte trempée de plaisir, léchant l’intérieur de ses lèvres intimes jusque sur son clitoris gonflé. Ne maîtrisant pas encore totalement la jouissance de ma partenaire, je ne sus contrôler son plaisir et elle partit d’un orgasme dévastateur sous mes coups de langue. Je la suivis de près dans le plaisir. Sans que je ne m’en rende bien compte, Annie avait dû jouir également. Toujours doublement pénétrée, elle semblait presque inerte, allongée sur son mari. Les deux hommes quittèrent ses orifices distendus, sans qu’ils n’aient joui. Le trio se désassembla, je pus pour la première fois voir entièrement le père d’Alexis, un homme sans doute proche de la cinquantaine, très brun, grand, musclé et doté d’une superbe verge en érection ! Ce n’est pas commun de faire la connaissance de son beau-père dans de telles circonstances, mais avec une famille comme celle d’Alexis, je ne devais pas être surprise. Je vis passer une lueur d’excitation et de fierté dans le regard de mon beau-père alors qu’il me contemplait, regardant ostensiblement mes seins et ma croupe. Il se présenta rapidement, en me jetant un regard vicelard : « Salut ! Je suis Reynald, l’heureux papa d’Alexis et de Stéphanie. Sois la bienvenue dans la famille ! » Sur ces propos il m’embrassa sur la bouche, sa langue força le passage de mes lèvres, il me roula une pelle endiablée ! La surprise passée je me fis fort de lui rendre son baiser fougueux, toute émoustillée à l’idée d’être embrassée par un homme de son âge. Les deux mâles regardaient leurs femelles, nues, en chaleur, la chatte humide, prêtes à baiser avec eux… Stéphanie s’approcha de son frère et pris sa queue en main pour la masturber. Rapidement son père s’approcha d’elle. Elle s’agenouilla entre les deux hommes et les suça à tour de rôle, enfonçant profondément les bites dans sa gorge accueillante. A peine remise de sa double pénétration, Annie vint se coller à moi. Elle m’embrassa et pelota mes seins et mes fesses exposés. Je lui rendis ses caresses et ses baisers. Nous nous affalâmes sur le canapé alors que nos mains fourrageaient nos chattes trempées. Je perdis un peu de vue le nouveau trio qui baisait près de nous. Toutefois, je pus constater que comme sa mère avant elle, Stéphanie goûta à une double pénétration énergique, il me sembla que son père enfilait sa chatte tandis que son frère l’enculait ! Annie léchait ma cramouille en experte, faisant monter mon plaisir sans me faire atteindre la jouissance dont j’avais besoin. Je voulais qu’elle me libère, je plaquais mes mains sur sa tête la forçant à bouffer mon minou, je me permis même d’insulter ma belle-mère : « Putain, allez-y salope, faîtes-moi jouir ! » Mais elle parvenait à retenir ses coups de langue, me maintenant au bord de l’extase, sans me faire franchir le cap. Ce jeu dura un temps, puis elle inversa nos positions pour que je lèche sa chatte qui venait d’être défoncée par la queue de son fils. Je me retrouvai coincée entre ses cuisses chaudes, la bouche collée à son sexe dégoulinant que je lapais, provoquant ses gémissements. Je ne voyais pas Stéphanie se faire baiser, mais j’entendais les râles de plaisir poussés par le trio de baiseurs en pleine action à quelques centimètres de moi. Malgré les grands coups de bite qui avaient ravagé ses trous quelques minutes plutôt, ma langue encore novice parvint à procurer un orgasme à Annie qui se contracta d’un coup, plaqua ma tête contre son sexe et gueula sa jouissance en libérant des flots de cyprine que je m’efforçai d’avaler. Je me mis ensuite face à elle pour lui rouler une pelle rendue gluante par ses jus. Cette relation saphique me procurait de délicieuses sensations. Alors que Stéphanie prenait un plaisir visible à la double pénétration incestueuse qu’elle recevait, elle jouit en poussant de grands cris, qui aidèrent sans doute ses amants à jouir également. Ils donnèrent encore quelques coups de queue saccadés dans ses trous et vidèrent leurs couilles en feu dans ses entrailles. Ils se retirèrent et s’approchèrent d’Annie et moi. Alexis tendit sa bite encore dure à sa maman qui la prit immédiatement en bouche, tandis que Reynald me présenta la sienne. Je me mis à sucer –comme Annie me l’avait appris – le gros sexe de mon beau-père sortant de l’anus de sa femme et du vagin de sa fille. Ma fellation sembla plaire à Reynald car malgré sa récente éjaculation il ne débanda presque pas, sa bite fut bientôt dure comme du bois. Avec quelques efforts je parvins à prendre la quasi-totalité de son membre dans ma bouche et ma gorge, il me félicita : « C’est bien petite. » Puis il poursuivit à l’attente de sa femme et de ses enfants : « Regardez comme elle prend bien ma bite tout au fond cette garce ! » Lâchant une seconde le gros sexe, je répondis : « C’est grâce à votre femme qui m’a montré comment faire sur la bite de votre fils. » Il enfourna à nouveau son dard dans ma bouche et félicita sa femme, qui suçait toujours leur fils. Après quelques minutes de ces jeux buccaux, Stéphanie vint se coller à sa mère agenouillée devant Alexis. Elle se penchait et frottait l’entrecuisse maternel. A ce moment Reynald quitta ma gorge et proposa à son fils : « Bon, maintenant que les bouches nous ont redonné de la vigueur, on va pouvoir niquer à nouveau. » Il fit signe à Alexis qui s’allongea sur la table de la salle à manger et Reynald m’invita à m’allonger sur mon copain, de dos, mes fesses plaquées contre sa grosse queue bien dure. Il prit un peu de lubrifiant et frotta mon entrecuisse, insistant particulièrement sur mon anus. Je compris qu’il voulait qu’Alexis me sodomise pendant qu’il baiserait ma chatte. J’allais être doublement pénétrée à mon tour par mon copain et son père ! J’eus une petite crainte, mais les ayant vus faire avec Annie et Stéphanie j’étais surtout très excitée d’autant que la vue de ces deux belles bites qui ne m’avaient pas encore prise rendait ma chatte moite d’excitation. Alexis s’enfonça prudemment dans mon cul. Lorsqu’il fut bien fiché en moi, son père approcha sa bite à l’entrée de mon vagin et poussa régulièrement, rejoignant son fils en moi. Quel délicieux plaisir d’être ainsi fourrée par les deux trous en même temps ! Je me sentais remplie comme jamais, embrochée par deux beaux dards virils et puissants qui se mirent en mouvement pour me porter au septième ciel en quelques minutes. Après cet orgasme, je me détendis et profitai des coups de boutoirs portés en rythme coordonné en moi. J’entendis Annie et Stéphanie gémirent, elles devaient se gouiner sur le canapé, je suis sûre que la mère tentait de récupérer le sperme de son mari et de son fils, enfoui dans les trous de sa fille ! Les hommes poursuivirent longuement leur travail en moi. Jusqu’à ce qu’ils m’offrent une nouvelle jouissance. Peu après ils éjaculèrent dans mes trous. Annie vint un peu après laper le foutre qui occupait mes orifices. Elle était vraiment gourmande de sperme ! Nous étions tous repus de sexe et Reynald nous invita à prendre un apéritif. Nous restâmes nus dans le salon en bavardant un peu comme une famille normale. C’était assez étrange. Ce fut encore plus bizarre quand Valentin, le copain de Stéphanie passa la tête par la porte-fenêtre. Il entra, sans sembler surpris de notre nudité. Il embrassa Stéphanie longuement, serra la main de Reynald et d’Alexis, puis embrassa Annie sur la bouche, je crus voir leur langue se caresser rapidement. Il s’approcha de moi et plaqua ses lèvres contre les miennes, il glissa sa langue dans ma bouche, je le laissai faire et lui rendis son baiser. Je n’étais vraiment surprise de son comportement, sachant qu’il était le copain d’une salope comme Stéphanie. Après l’apéritif, nous profitâmes de la venue de Valentin pour reprendre notre partie de baise. Décidément les mecs étaient très endurants. Quant à moi, si je croyais être repue quelques minutes plus tôt, je sentis rapidement l’excitation reprendre le dessus lorsque je découvris la belle bite de Valentin. Je n’avais encore jamais eu l’occasion de voir une queue noire, la sienne était très appétissante. Pas forcément plus grosse que celle d’Alexis ou de son père, mais bien veinée et très douce. J’eus l’occasion de la sucer, puis de me faire prendre par tous les trous par ce beau chibre qui me provoqua plus d’un orgasme. Nous continuâmes à baiser tous les six pendant longtemps et je ne quittai cette maison des vices que tard dans la soirée. J’aurai aimé rester cette nuit-là, mais je n’avais pas l’habitude de découcher de chez mes parents sans les prévenir et préférai rentrer. J’étais fatiguée et avais besoin d’une bonne nuit de repos. Néanmoins, baiser avec tous ces gens m’avait énormément plu et je savais que je reviendrai au plus tôt me gaver de sexe et de plaisir. CHAPITRE 4 Pendant les semaines suivantes je passais beaucoup de temps avec Alexis et sa famille et de moins en moins à essayer de trouver un emploi. Je sortais souvent de chez mes parents en prétextant que j’avais une piste de boulot, alors que je me rendais chez Alexis. Je participais à de multiples orgies, je baisais sans me poser de questions sur la moralité de mes actes, je jouissais comme une folle sans me préoccuper du lendemain. J’arrivais généralement en début d’après-midi et repartais dans la soirée. Une fois, je dus partir pour trois jours de chez moi pour des entretiens situés dans des villes éloignées. J’étais à la fois contente de voir que mes recherches d’emploi avaient quelques résultats, mais je me sentais un peu déprimée à l’idée de passer trois jours sans pouvoir baiser. La veille de mon départ, je décidai de me rendre plus tôt chez Alexis. Comme d’habitude, je toquai à la porte-fenêtre de sa chambre. Je le réveillai, il m’ouvrit en bâillant, à poil. Je lui fis une gâterie buccale qui l’aida à se réveiller complètement. Avant qu’il ne jouisse, il me dit qu’une envie urgente l’obligeait à quitter la chambre quelques instants, étant aussi prise d’une envie, je le suivis vers les toilettes. En passant à proximité de la salle de bain notre attention fut détournée par des bruits suspects. Emoustillés par la pipe que je venais de prodiguer, nous nous approchâmes discrètement de la pièce d’eau, nous attendant à voir les parents d’Alexis en train de baiser, ou peut-être Valentin et Stéphanie. Je m’imaginais déjà les rejoindre pour une partouze bien hard. Effectivement Annie et Reynald occupaient la pièce en se donnant du plaisir, mais d’une manière bien spéciale. Annie était allongée par terre et Reynald accroupi au-dessus d’elle venait de déféquer sur sa poitrine nue ! Un gros étron maculait ses seins. Nous regardions cette scène, assez médusés de voir les parents d’Alexis jouer avec leur merde. Je savais que ces gens étaient pervers et baisaient en famille, mais je n’avais pas imaginé qu’ils pouvaient faire des trucs aussi dégueulasses. Apparemment Alexis ignorait également leurs penchants pour le scato. Nous restâmes à notre place sans faire de bruit pendant plusieurs minutes à mâter Annie et Reynald. Ce dernier s’était retourné, il regardait sa femme allongée sur le dos, partiellement couverte de sa merde, qu’elle étalait sur ses nichons, son ventre et petit à petit sa chatte, puis son visage, elle poussait des gémissements de plaisir. Reynald bandait comme un âne à regarder son épouse se vautrer ainsi dans les immondices. Lorsqu’elle fut largement couverte d’excréments, Reynald vint se coller à Annie. Il s’allongea et l’embrassa à pleine bouche, sur ses lèvres couvertes de caca ! Leur baiser était passionné, on voyait qu’ils aimaient sentir la merde dans leur bouche ! Puis il orienta sa queue partiellement bandée vers son épouse et se mit à lui pisser sur le corps ! Il l’aspergea des jambes au visage. Lorsque la source se tarit, il lui donna un nouveau baiser passionné. L’odeur qui envahissait la salle de bain devint difficilement supportable, nous décidâmes de quitter discrètement la pièce et de regagner la chambre d’Alexis, après être passés aux toilettes. Nous n’avons pas reparlé de ce que nous venions de voir. Nous avons fait l’amour, j’ai pris beaucoup de plaisir, mais j’étais troublée par le souvenir des pratiques immondes auxquelles nous venions d’assister. Plus tard nous avons retrouvé les parents d’Alexis, ainsi que Stéphanie. Nous nous sommes à peine salué et avons commencé à baiser tous ensemble, sans faire allusion aux pratiques sales que nous avions surprises le matin même. Valentin nous a rejoints en début de soirée pour une nouvelle partie à six des plus délurée. Comme à mon habitude, je regagnai le domicile de mes parents dans la soirée, heureuse du plaisir pris pendant cet après-midi de débauche et impatiente de retrouver mes compagnons quelques jours plus tard. Une fois dans mon lit je ne pus m’empêcher de repenser à la scène de laquelle j’avais été le témoin le matin : les parents d’Alexis baisant dans la merde. D’un côté je trouvais cela absolument dégoutant, comment était-il possible de supporter l’idée d’être recouverte de merde et même de la porter à sa bouche ? D’un autre point vue, de telles pratiques abolissaient un tabou et brisaient des interdits qui n’étaient peut-être pas plus absolus que de baiser avec plusieurs personnes de sexe différent en même temps et entre membres d’une même famille. Je ne savais pas trop quel raisonnement adopter vis-à-vis de ces déviances. Sans que je ne m’en rende compte, ces réflexions me firent porter ma main à mon sexe, que je branlais avec vig ueur jusqu’à l’orgasme. Comme prévu je partis pour passer mes entretiens. Là encore les résultats ne furent pas fameux. Inconsciemment je manquais probablement de motivation pour décrocher un emploi qui m’aurait éloigné d’Alexis et de sa famille. Sans que je ne me l’avoue réellement, je décidai de négliger ma toilette intime pendant ce voyage, je passai donc trois jours avec la même culotte. Lorsque je revins chez mes parents, ma culotte collait à mon entrejambe qui devenait poisseux. A peine couchée, je la retirai et portai ce morceau de tissu imprégné à mon nez. Je respirai de toutes mes forces mes odeurs intimes démultipliées par la très longue durée pendant laquelle j’avais porté mon sous-vêtement. L’odeur bien particulière, musquée et entêtante, m’excita et je dus me branler sauvagement pour me calmer. Je renfilai ma culotte sale le lendemain. J’étais très impatiente de retrouver Alexis, j’avais un peu peur de sa réaction lorsqu’il s’apercevrait que je portais une culotte sale, mais je ne pouvais pas me résoudre à la changer, son odeur était trop excitante. Je me rendis, en début d’après-midi dans la maison de ses parents et le trouvai dans sa chambre. Nous nous embrassâmes langoureusement, il posa ses mains sur mes fesses, puis en fit glisser une sur ma poitrine et l’autre sous ma jupe. J’étais inquiète, mais très excitée à l’idée qu’il découvre ma culotte et ma chatte sales. Je voulais qu’il lape mes jus poisseux. Je m’allongeai sur son lit en quittant ma jupe et mon chemisier et l’invitai à me faire du bien avec sa langue. Il ne se fit pas prier. Lorsqu’il posa la bouche sur ma chatte il s’exclama : « Putain, tu sens vraiment la femelle en chaleur ! Ta chatte est super bonne ! » Il replongea dans ma fente moite pour m’offrir un cunnilingus mémorable. Que c’était bon de sentir la langue de mon amoureux fourrager ma chatte trempée et sale. Les sensations de plaisir physique s’alliaient avec le plaisir cérébral de commettre un acte immoral et dégradant pour mon amant ! La langue d’Alexis me fit jouir rapidement. Je remplis sa bouche d’abondantes sécrétions intimes, qu’il avala sans rechigner. Nous nous embrassâmes ensuite langoureusement, je goûtai ainsi à mes jus corporels et m’en délectai. C’était un peu salé, musqué, entêtant. Après ces préliminaires brûlants, je pris en bouche la queue raide d’Alexis. Je l’enfonçai immédiatement au fond de ma gorge en la prenant entièrement, comme sa mère me l’avait enseigné. Je remarquai vite son goût particulièrement corsé, presque poivré. Tout comme moi Alexis avait dû rester sale en mon absence ! Même si la force du goût me surprit, je m’y habituai rapidement et le plaisir de transgresser les règles élémentaires de l’hygiène m’excitait follement. Je suçai avec passion ce membre chéri, souillé de plusieurs jours sans gant de toilette ! Je déclarai : « Hum, elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! » En regardant mon amoureux dans les yeux et avec un grand sourire. Après cette bonne pipe, Alexis pénétra ma chatte trempée. Depuis trois jours j’attendais impatiente ce moment incomparable : sentir un dard tendu et veiné s’enfoncer dans mon sexe gourmand et le pilonner pour me donner du plaisir ! Je prenais vraiment mon pied, mais je faisais également attention à ce qu’Alexis ne jouisse pas trop vite. Je voulais qu’il ait l’énergie nécessaire pour m’enculer ensuite. Aussi, je rompis assez vite notre rapport et m’agenouillai sur le lit, tendant mes fesses vers sa queue dure, l’invitant dans mon cul ! Il entra sa bite dans mon anus en faisant de lentes poussées. Il accéléra progressivement le rythme et me ramona le fion avec vigueur enfonçant sa queue entièrement dans mon rectum accueillant. Contrairement aux autres séances de sodomie que j’avais déjà pratiquées, je n’avais pas pris la peine de vider mes intestins avant. Aussi, mon anus était encombré de merde bien collante. Au début Alexis ne s’aperçut de rien, mais au fur et à mesure de ses pénétrations une odeur de merde de plus en plus prononcée envahit la pièce. Je la sentis, mais ne dis rien, continuant de gémir sous les coups de boutoirs dans mon derrière. Alexis non plus ne disait rien, mais il ne pouvait pas ne pas avoir remarqué l’odeur. Aussi, je pris son silence pour une acceptation de ma saleté intime. Il me défonça le cul jusqu’à sa jouissance. Je sentis à peine ses giclées de foutre dans mon boyau graissé de merde. Lorsqu’il se retira, sa bite était couverte de ma merde puante, une goutte de sperme perlait au bout. Excitée par la situation perverse que j’avais provoquée, je n’eus pas une hésitation, j’empalai ma bouche sur ce vît dégueulasse et nettoyai la bite couverte d’immondices. Je goûtai ainsi pour la première fois de ma vie à de la merde, celle qui sortait tout juste de mon cul. C’était tiède et très amer. Je pense que sans l’excitation de la situation j’aurais été dégoutée et aurais immédiatement recraché. Mais j’étais tellement chauffée à ce moment-là que je trouvai le goût acceptable et je pris le temps de nettoyer la bite d’Alexis ! Je devenais aussi sale que ma belle-mère dont les actes sales m’avaient repoussé à peine trois jours plus tôt ! Je pris encore davantage conscience de mon caractère vicieux et pervers. Alexis me regarda faire et ne rechigna absolument pas lorsqu’une fois son membre nettoyé de mes excréments, je vins l’embrasser à pleine bouche. Il gouta ainsi ma merde et déclara : « Tu es vraiment une grosse cochonne ! J’ai de la chance d’avoir trouvé une copine aussi chaude, aussi perverse et aussi mignonne que toi. » Je sus que je venais de franchir un nouveau palier dans la perversion. En quelque sorte ma vie bascula en même temps que je jouai avec ma merde. CHAPITRE 5 Après cette expérience de sexe sale je voulus provoquer rapidement l’occasion de la reproduire avec Annie et Reynald. Dès le surlendemain, j’arrivai chez eux sans avoir fait de toilette au préalable, espérant que mon manque d’hygiène intime serait prétexte à de nouvelles perversions ! Alexis n’étant pas dans sa chambre, je sonnais à la porte principale. C’est Reynald qui m’accueillit par un baiser passionné et m’invita à entrer en me disant qu’il allait appeler Alexis. Je lui dis que je devais au préalable passer par la salle de bain et m’y dirigeai directement. Arrivée dans cette très vaste salle d’eau, j’eus la surprise de voir Annie à califourchon au-dessus de l’immense baignoire jacuzzi, nue. Elle fut également surprise de me voir, elle semblait gênée, ce qui n’était pas dans ses habitudes, même quand je la surprenais nue. Une odeur entêtante me fit immédiatement comprendre qu’elle venait de se soulager dans la baignoire. Visiblement troublée, elle me lança : « C’est occupé. » Excitée par l’idée de surprendre ma belle-mère en train de faire des choses sales, je ne tins pas compte de ses propos et m’approchai d’elle pour venir l’embrasser sur la bouche, comme nous avions pris l’habitude de nous saluer. Dès que je vins près de la baignoire je vis plusieurs étrons joncher le fond, baignant dans un liquide doré qui laissait peu de doute sur sa nature. L’odeur était très forte. Annie m’embrassa presque timidement et me dit, elle habituellement si sûre d’elle, presqu’un ton d’excuse : « Je ne sais pas ce qui m’est arrivé, je n’ai pas fait exprès… - Ah bon, vous n’avez pas fait exprès de vous mettre à poil pour chier dans la baignoire ? répondis-je en lui faisant un clin d’œil. » A ce moment elle comprit que j’étais excitée de la trouver en train de jouer avec sa merde. Elle me sourit et me rendit un baiser plus prononcé. Nous commençâmes à nous caresser. Je titillais ses nichons, pendant qu’elle défaisait les attaches de ma robe, me laissant en string. La baignoire était très grande, elle comprenait notamment un jacuzzi. Annie m’invita à y entrer et m’aida à m’allonger, tout en restant relativement loin des crottes qu’elle venait de pondre. Elle ôta mon string, fourra son visage entre mes cuisses et entreprit de lécher ma moule, qui n’était très propre. Elle sembla s’en délecter et m’affirma : « Oui, ta chatte est bonne petite salope. » Elle vint m’embrasser à nouveau pour que je goûte à ma moule. Notre baiser fut profond et baveux… Elle s’allongea ensuite à côté de moi et m’invita à venir goûter à son intimité. Je portai ma langue sur sa fente, très excitée à l’idée de lécher un entrejambe souillé. Le goût était très salé, à cause des restes d’urine qui s’y trouvaient. Je goûtai pour la première fois à de la pisse et l’excitation me poussai à aimer cette saveur bien particulière. Après avoir nettoyé de ma langue sa vulve sale et donné un plaisir visible à Annie, je portai plus loin ma bouche pour atteindre son anus maculé de merde grasse. Excitée comme une folle, je n’hésitai pas à goûter pour la première fois de ma vie à la merde d’une autre personne que moi. L’excitation me fit apprécier le goût particulièrement amer de ces fèces. Je pris en bouche tout ce qui bordait son. Je gardai cette matière dans ma bouche et approchai mon visage de celui d’Annie. Nous nous roulâmes une pelle mémorable, chargée de sa merde, de relents de pisse et de nos salives gluantes ! C’est à ce moment empli d’excitation que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir. Nues comme des vers, dans la grande baignoire jacuzzi, au fond de laquelle reposaient les étrons d’Annie, nous séparâmes nous lèvres sales pour voir Reynald entrer en déclarant : « Ah, je me disais bien que Hua était longue pour faire un brin de toilette. Je vois qu’elle a trouvé à s’occuper. » Il ne paraissait pas surpris de me voir en train de baiser avec sa femme dans ses immondices. Il s’approcha et nous reprîmes notre baiser sale. Sans que je ne m’en aperçoive Reynald sortit sa bite. Je reçus une grande giclée chaude sur mon corps et mon visage. Je mis une seconde à comprendre qu’il était en train de nous pisser dessus ! Annie rompit notre baiser et tenta de capter de sa bouche gourmande le jet doré qui volait. Elle parvint à en capter quelques flots et vint le partager en m’embrassant pendant que son mari nous souillait toujours de son urine brûlante ! Je savais que je franchissais une nouvelle étape dans la perversion en acceptant des pratiques totalement immorales et immondes avec mes beaux-parents, mais j’étais si excitée, que rien ne pouvait m’empêcher de m’enfoncer dans le vice le plus ignoble. Je pensais régulièrement à Alexis, je savais que lui aussi aimait les jeux sales et je l’imaginais nous rejoindre pour partager nos perversions. Lorsque la vessie de Reynald fut vide, il approcha sa queue de laquelle gouttait encore de la pisse, et il la fourra dans ma bouche. Je suçai avec avidité ce membre encore souple pour le faire durcir. Après avoir avalé directement de l’urine à l’instant, je ne trouvai pas le goût de pisse trop prononcé. Je m’appliquai à astiquer le chibre avec ardeur et il fut rapidement tout dur. Annie le prit quelques instants en bouche, puis elle le quitta et se retourna pour s’agenouiller dans la baignoire géante, présentant son derrière à son mari et faisant face aux étrons qu’elle avait chiés un peu plus tôt. Un pet gras fusa de son trou de balle ! Reynald comprit l’invitation de sa femme et présenta sa queue tendue sur l’anus qui s’offrait à lui. Une longue poussée continue ouvrit le cul de sa femme qui gémissait de plaisir. Je regardais la scène, très intéressée par cette sodomie qui promettait d’être bien crade. En effet, dès que Reynald eut enfilé son membre dans l’intestin d’Annie, il commença à la pistonner et à chaque fois qu’il sortait sa bite était couverte merde. La pénétration dura quelques minutes, puis Reynald sortit et Annie se retourna. Son visage et une partie de ses cheveux blonds étaient maculés de caca collant. Elle avait dû plonger sa tête dans les étrons qu’elle avait chiés ! Quelle salope elle faisait ! Sans vraiment réfléchir je portai ma bouche contre la sienne et goûtai à nouveau à ses excréments, au goût amer, infect et délicieux à la fois. Reynald semblait apprécier la vision de sa femme et de sa belle-fille se roulant une pelle merdique devant lui. Il bandait dur et sa bite était couverte des fèces de sa femme, il voulait la souiller encore davantage. Sans prendre la peine de se nettoyer, il me mit à quatre pattes dans la baignoire et planta son membre dans mon anus, pour me pénétrer sauvagement. Je savais que mon intestin n’était pas très propre, il allait mélanger la merde de sa femme à la mienne, quel acte pervers et excitant ! Il ramona mon cul pendant de longues minutes. Je crois qu’il embrassait Annie en même temps, j’entendais des bruits de déglutition, entre mes gémissements de plaisir. Lorsqu’il se retira, je me sentis me vider. Non seulement mon cul se libérait de son gros sexe, mais également de ma merde ! Un pet vint conclure ma vidange. Il fut accueilli par des exclamations de joie de mes partenaires. Presque aussitôt Annie appliqua sa bouche sur ma raie sale, pour venir laper les immondices qui s’y trouvaient. Elle me roula ensuite une pelle à la saveur de nos merdes mêlées, pendant que Reynald me bouffait le cul à son tour ! Nous nous vautrions dans l’ordure, jouissant de notre saleté et de notre vice sans limite ! C’est à ce moment qu’Alexis entra dans la pièce à l’odeur nauséabonde. Je vis qu’il restait interloqué quelques instants me voyant avec ses parents nus dans la baignoire jacuzzi et nous vautrant dans la merde et l’urine. Même s’il avait vraisemblablement apprécié notre première expérience sale l’avant-veille, il n’était pas familier du sexe crade. Toutefois, il ne quitta pas la pièce, sans doute était-il excité à l’idée de briser un nouveau tabou ! Une nouvelle fois Annie sembla perturbée : « Mon chéri, ce n’est pas ce que tu crois…, bredouilla-t-elle. » Reynald ne disait rien, guettant la réaction de son fils. Sachant qu’Alexis pouvait également être excité par le sexe sale, je réagis plus positivement, je pris une voie sensuelle : « Mon amour, viens nous rejoindre. Tes parents et moi t’avons préparé un petit cadeau bien savoureux. Ce sera encore mieux que l’autre jour… » Nous pûmes voir une lueur lubrique passer dans le regard d’Alexis. Une barrière venait de tomber dans son esprit vicieux. En quelque secondes, il se déshabilla et s’approcha de la baignoire. Déjà sa queue se raidissait, trahissant son excitation. Avant qu’elle ne soit trop dure, je l’invitai à être très cochon : « Libères ta vessie sur nous ! », lançai-je d’une voie provocante. Il sourit et dû se concentrer un moment avant qu’un jet doré et chaud ne sorte de sa verge. Il aspergea nos corps nus. Je me penchai pour recevoir son précieux élixir directement dans ma bouche. Annie se contorsionna pour laper le trop-plein qui dégoulinait sur ma poitrine. Lorsqu’il eut terminé, elle et moi nous roulâmes une pelle très humide pour partager les dernières gouttes de l’urine d’Alexis et les traces de nos merdes qui maculaient toujours nos babines et les cheveux blonds de ma belle-mère. Nous nous relayâmes pour faire durcir la bite d’Alexis avec nos bouches gourmandes et sales. En quelques secondes elle fut gonflée de désir. Je lui proposai alors de visiter mon anus encore sale. La pénétration était facilitée par l’intromission récente de son père et par la présence de matière bien grasse. Il m’encula d’un trait avant d’entamer des va-et-vient réguliers et puissants qui me comblaient. En me regardant me faire prendre l’anus par son fils, Reynald était à nouveau bien excité, il bandait fort et pénétra l’anus d’Annie, qui devait être encore gras de merde. Il s’enfonça en elle, ce qui lui fit pousser des cris qui en disaient long sur le plaisir qu’elle prenait, provoqué sans doute par les stimuli physiques et le sentiment de perversion engendré par le dépassement de nombreux interdits : l’inceste et la scatophilie ! J’atteins moi-même l’orgasme rapidement, entraînée par les coups de boutoirs appliqués par Alexis dans mon fondement et l’excitation de transgresser des règles morales profondément ancrées en moi. Lorsqu’elles se retirèrent de nos anus, les bites de nos partenaires étaient à nouveau souillées d’excréments. Par vice, je me dirigeai vers la tige de Reynald pour laper la merde d’Annie, tandis qu’elle venait goûter à mon caca chaud sur le sexe de son fils. A peine avons-nous eu le temps de nettoyer les queues, que les hommes éjaculèrent dans nos bouches. Nous partageâmes leur contenu immonde – composé de sperme, d’excréments et de salive – sous les applaudissements de nos partenaires. Après nous être légèrement remis de nos émotions, nous prîmes tous une douche bienfaitrice et nécessaire. Je posai alors naïvement une question : « Jouez-vous à des jeux sales avec Stéphanie ? » Ma question troubla beaucoup Annie : « Ça ne va pas ! Tu es folle ! Comment oses-tu penser de telles choses de ma fille ? protesta-t-elle. » Alexis et Reynald ne répondirent pas, j’étais sûre qu’ils avaient déjà envisagé d’inclure Stéphanie à leurs débauches sales… Ce soir-là je décidai de découcher de chez mes parents. Je dînai avec la famille d’Alexis, passai la soirée à avoir des rapp
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Magnifiquement bandant, j'ai joui en vous lisant
J'aime Hier, 20:03:11 Edité
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je cherche un jeune soumis virtuel pratiquant le scat, je suis ouvert à autres également
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AnneTravesti
Pourquoi pas ?
J'aime 19/06/25
Badoul
je me demande comment font les habitués, on sait que les selles peuvent contenir des virus assez dangereux, pour ma part j'ai souvent mal à la tête pendant plusieurs heures, signe d'une lutte de mon organisme. Alors comment faites-vous ?
Bonjour des gens intéressés pour venir boire ma pisse ou bouffer ma merde demain??? Je suis dans la région île de France et je peut recevoir, venez en privé si intéressé.
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latruy
Un peu loin....
J'aime 18/06/25
couple068
a partagé une photo
Jeux de cohon ce matin...
7 personnes aiment ça.
Orgarioss
Très jolie
J'aime 11/06/25
Adelaide
Il ne fait pas beau ce vendredi matin, le temps est gris. Cela change un peu de la veille où il a plu toute la journée. Là il ne pleut pas, il fait même plutôt lourd. Je prépare le petit déjeuner de ma Maîtresse, des oranges pressées et un bon croissant tout frais. Ma Maitresse se lève tranquillement, elle a le sourire aux lèvres comme d'habitude. C'est un bonheur une Maîtresse qui a le sourire, cela change de celles qui veulent toujours se donner un air méchant. Pendant que je suis à mes occupations de ménage, ma Maîtresse textote tranquillement. Une fois fini, je viens vers elle à quatre pattes, pose ma tête sur ses genoux. J'aime qu'elle me caresse les cheveux. Je viens aussi près d'elle pour qu'elle sente l'odeur de ma couche et m'autorise à l'enlever pour me nettoyer. Mais ça n'a pas l'air d'être sa préoccupation du moment car elle file dans la salle de bain. Elle ressort trente minutes plus tard douchée et maquillée, et s'enferme dans la chambre. Ma couche est saturée de pipi et j'ai envie de faire la grosse commission. Ma Maitresse ressort de la chambre avec une petite robe d'été très légère, ses baskets aux pieds. Au même moment, on sonne a la porte. Là, elle me dit : Ne bouge pas, tu restes sur ton coussin. Mon coussin se trouve au milieu du salon, difficile pour un visiteur de me rater. je suis nue, juste vêtue de ma couche qui pendouille tellement elle est pleine. Je suis rassurée de voir que c'est son amant, il me connait et connait ma condition de truie. Ils s'embrassent tendrement comme deux amoureux, à ce moment-la je suis invisible à leurs yeux. Après dix bonnes minutes de bisous et caresses, j'ai même cru qu'ils allaient faire l'amour dans l'entrée. Ils viennent vers moi. Lui me salue avec juste une petite caresse sur la tête en me disant : Tu pues la truie. Ma Maîtresse arrive avec mon collier et la laisse. Elle me passe le collier autour de mon cou, me pose mon groin en plastique sur le nez et un écarteur dans la bouche en forme de lèvres. Avec ça, je peux difficilement fermer la bouche. Ma Maîtresse me tire vers la porte de la maison. (Ah oui je dois vous dire, ma maison est une maison de ville, le jardin est sur l'arrière et la porte d'entrée donne directement dans la rue.) Elle m'autorise à me mettre debout et elle ouvre la porte en me tirant à l'extérieur. Je suis paniquée si un voisin me voit ou si une voiture passe. Elle me conduit en vitesse sur l'arrière de la voiture de son homme, ouvre le coffre en me disant de monter dedans. Je ne demande pas mon reste et saute dedans vite fait. Elle referme le coffre, je suis dans le noir, c'est une voiture où le coffre ne communique pas avec l'habitacle. Je reste là dans le noir, on ne démarre pas de suite. C'est la première fois que je sort dans cette tenue de chez moi, je suis un peu paniquée. Avec la peur et l'appréhension, ma vessie ne tient plus et je me lâche. La couche fuit mais je me rend compte que tout a été prévu et que le sol du coffre est recouvert de plastique. Dans le noir, pas facile de se rendre compte du temps mais on finit par démarrer. J'essaye de savoir où nous allons en écoutant leur conversation mais j'entends surtout les bruits de roulement et des éclats de rire. Le reste est très confus. Au début, en fonction des virages, j'arrive à me repérer mais je suis vite perdue. Je suis un peu ballotée mais ça va, il conduit doucement et sans à-coup. Je pense qu'il ne souhaite pas avoir d'accident ou être contrôlé avec une truie humaine dans son coffre. Nous roulons un long moment, puis je sens la route plus cahoteuse. Je suppose que nous sommes sur un chemin. Enfin le moteur s'arrête, je dois dire que cela fait du bien, car le confort d'un coffre ce n'est pas terrible. La porte du coffre s'ouvre et, malgré l'absence de soleil, je suis éblouie. Ma Maîtresse prend ma laisse et me fait descendre de la voiture. Elle me demande: Comment c'est passé ton voyage, pas trop mal installée? Je lui réponds que ça va bien. A partir de maintenant, tu restes à quatre pattes. Tu ne devrais pas avoir mal aux genoux, la terre est trempée et donc moelleuse. Tu as interdiction de parler, juste grogner comme une truie. Si on croise du monde, tu restes comme tu es, mais bon il y a peu de voitures sur le parking, cela devrait être calme. De toute façon, tu restes une truie quoiqu'il se passe. Si tu te lèves, ou que tu parles ou que tu désobéis, je te plante la. Nous on rentre en voiture et toi tu te démerdes à rentrer à pieds dans la tenue où tu es. Pour être sûr que je ne puisse pas enlever mon groin, celui-ci est accroché a mon écarteur de bouche et fermé avec un petit cadenas derrière ma tête. Mon collier est lui aussi fermé avec un cadenas. Ma couche est enlevée et son amant arrive avec une espèce de harnais qu'il passe entre mes jambes. C'est une ceinture de chasteté qui vient couvrir mon sexe et qui est munie d'un plug rose en forme de queue de cochon. Il se verrouille autour de ma taille et un cadenas dans mon dos ferme le système. C'est harnaché de manière poussée mais comme cela je ne souhaiterais pas rentrer à pied chez moi, surtout que je n'ai aucune idée de l'endroit où nous sommes. Pour compléter le tout, ma Maîtresse prend ma couche et l'essore au dessus de moi. Je suis couvert de pisse qui sent fort, elle finit par me l'écraser sur le visage pour finir de bien m'en étaler partout. La couche finit dans la poubelle qui se trouve à proximité. Nous commençons à marcher, eux se tiennent la main et moi je dois marcher devant. Nous entrons dans la forêt par des petits chemins. Le sol est couvert de boue. Ma Maîtresse, en plus de la laisse, a apporté une cravache et ne manque pas de me fouetter sur la fesse droite si l'on doit aller à droite et la gauche si l'on doit aller à gauche. C'est pour eux une ballade en amoureux car à quatre pattes, je ne marche pas vite. Au bout d'un moment, je ne tiens plus et la grosse commission que je retenais depuis le matin se fait sentir. N'ayant pas le droit de parler, j'essaye de faire comprendre à mes dominants que je dois faire caca. Je baisse mes fesses comme ferait un chien et je les regarde. Ma Maîtresse comprend vite mais avec le plug c'est compliqué. Son amant me détache la ceinture pour retirer le plug. Comme il ne sait pas où le mettre vu son état, il ne trouve rien de mieux que de me le fourrer dans la bouche tenue ouverte par l'écarteur. Je me retrouve avec un plug queue de cochon plein de merde dans la bouche, le cul baissé à chier devant eux qui me regardent. Une fois un bon gros caca sorti, Monsieur me prend le plug de la bouche, le trouvant trop sale me l'essuie sur les joues et le front. Il replace le gode dans mes fesses et referme la ceinture. Je pense que nous allons repartir mais ma Maîtresse décide que je dois avoir le cul sale comme les truies donc me force à m'asseoir dans mon caca tout frais. Je remue bien les fesses pour bien en étaler. Je dois dire que la sensation est très agréable. Une fois le cul bien sale, ma Maîtresse me dit qu'une bonne truie recouvre toujours sa merde avec son groin. Donc j'obtempère l'histoire que mon groin soit bien recouvert de merde et de terre, ce qui me donne une bonne odeur à respirer. Nous reprenons la ballade, eux doivent avoir une vue magnifique sur mon postérieur merdique. Nous arrivons sur le chemin à une grande flaque de boue. A croire qu'ils sont venus repérer les lieux avant. Ma Maîtresse détache ma laisse et me demande de lui montrer comment je suis une truie heureuse. Je m'avance dans la flaque de boue en essayant de m'en mettre le moins possible sur moi. Là, je sens une douleur atroce. Ma Maîtresse, armée de sa cravache, vient de me mettre un coup de toutes ses forces sur le cul. C'est quoi cette truie??? Tu te prends pour une diva??? Je te propose une belle ballade et tu fais ta mijorée de petite merde, montre-moi la vraie truie que tu es!!! Un nouveau coup de cravache m'aide à me jeter dans la flaque de boue, je me roule dedans, je m'en étale partout et je plonge même mon groin dedans, mais avec la bouche ouverte, pas une bonne idée. Ma Maîtresse a raison, en fait je kiffe vraiment cela, et si je n'avais pas la ceinture de chasteté, elle verrait ma petite bite toute dure. Ma Maîtresse finit par savoir mieux que moi ce qui me plait vraiment. Je suis vraiment dans mon élément comme ça et, chose bénéfique, le goût de la terre vient remplacer celui de la merde. La texture dans la bouche n'est pas des plus agréable mais le goût est moins fort. De plus, le temps est lourd et la boue me rafraîchit. La récréation se termine et ma Maîtresse me rappelle à ses pieds pour raccrocher ma laisse. Je n'ai plus une parcelle de peau visible. Sur le chemin, nous croisons un joggeur, il passe en nous regardant et une fois plus loin on entend Bande de tarés! Je n'ai même pas relever, en fait j'éprouve une fierté à être traitée ainsi, je peux m'assumer, je suis bien et dans mon élément. Je ressens des petits coups de cravache sur la fesse droite, mais il n'y a pas de chemins à droite. Je me retourne et ma Maîtresse me fait signe avec son menton d'aller à droite. Je commence à m'enfoncer dans les broussailles qui ne sont pas très hautes mais quand on est nu et à quatre pattes, ce n'est pas facile. Je les entends rigoler, eux me suivent facilement debout, moi je me fais griffer le ventre, les bras, les jambes, heureusement que mon sexe est enfermé dans sa prison. Nous parcourons une dizaine de mètres qui nous éloigne et nous cache du chemin. Ma Maîtresse me fait allonger sur le dos, elle vient chevaucher ma tête et reste comme ça. Je sens les pieds de son amant de chaque coté de mon corps. Ma Maîtresse baisse ses fesses au contact de mon groin et de ma langue, ce qui, je suppose, veut dire que je dois la lécher. Je parcours de ma langue son anus, c'est une caresse que j'adore lui faire mais là avec le nez de cochon et l'écarteur, ce n'est pas simple. Je la sens faire des mouvements, je pense qu'elle suce son homme. Il va la relever et me demander de me remettre à quatre pattes. Ma Maîtresse se place au dessus de ma tête, les mains en appui sur le haut de mes fesses et son homme vient la prendre en levrette. Leur coït dure quelques moments et lui se retire et s'accroupit pour venir jouir sur mon visage. Nous prendrons le chemin du retour où ma Maîtresse me dira qu'elle a été fière de sa truie. C'est pour moi, une véritable preuve d'amour la reconnaissance de ma Maîtresse. Je retourne dans le coffre pour le retour et au vu de mon état. Arrivée a la maison, je passe pas mal de temps dans le coffre, en attendant le bon moment pour sortir sans me faire voir. Voilà une superbe sortie pour une truie avec la meilleure des Maîtresses.
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Kagami-Alex
Quel plaisir de vous lire !
J'aime 11/06/25
Femelle docile cherche rencontres réelles sur Quimper et alentours .:.
Tendre pervers
a partagé une photo
Magnifique <3
8 personnes aiment ça.
Qui est partant pour me faire ça ? ☺️
J'aime 10/05/25
Ffloydrv
Bonjour à tous =) Je vis dans les bouches du Rhône et je suis nouveau sur ce site. Ce qui m'a amené à venir ici, c'est le fantasme très ancien de tenter une expérience riche en goût, avec une femme donneuse. Respectueux et expérimenté en terme de sexualité, je cherche une initiatrice pour me lancer dans cette nouvelle pratique qui m'attire et m'excite énormément. Sans forcément rentrer des jeux de rôles (à moins que ce soit votre souhait), un annulingus suivi d'un léchage de vos doigts/ objets rentrés au préalable dans vos fesses me conviendrait tout à fait. Je n'ai pas forcément d'autres attentes sexuelles, si ce n'est le plaisir de vous lécher, de vous goûter et de vous montrer ce que signifie réellement " Savoir recevoir ".
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DEINOVE
Quand je pratiquai déviances et autres avec l 'excellent Loisirs2000 il y a 12 années j'avais rencontrer un couple résidant un pavillon à la Batarelle Haute
J'aime 19/04/25
DEINOVE
Ha pas de retour sympathique ni commenté , certainement encore un fabulateur, du grand classique dans ces pratiques non conventionnelles
J'aime 22/04/25 Edité
Ffloydrv
Du tout Deinove ! Merci d'ailleurs pour ton retour d'expérience 1f642.png Il est vrai que ce n'est pas facile du tout de rencontrer une femme qui est dans ce même délire, en dehors de certaines escorts qui le pratiquent certainement. Mais c'est moins " Authentique ".
J'aime 23/04/25
des soumis dispo pour du virtuel?
4 personnes aiment ça.
on peut en parler....
J'aime 19/04/25
jeeancouche
Oui
J'aime 19/04/25
Pour du réel, oui ...
J'aime 21/04/25
mon psuedo est un fruit colombian , qui fait un jus de fruit delicieux que j'ai decouvert a Medellin
3 personnes aiment ça.
Puis-je goûter à ce fruit ?
J'aime 21/04/25
Et déguster son jus ?
J'aime 21/04/25
Orgarioss
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AnneTravesti
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Moment de détente
6 personnes aiment ça.
de jolie formes ,des lignes minces .....
J'aime 18/04/25
AnneTravesti
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Dégustation
5 personnes aiment ça.
scatie-molly
Salut Anne , tu es merveilleuse ma merdeuse d'amouur
J'aime 11/02/25
tres jolie...
J'aime 18/04/25
Domination, avec finesse et raffinement dans la modération sans extrêmes .:.
AnneTravesti
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En plein dressage…
9 personnes aiment ça.
C beau…
J'aime 27/02/25
super , ca donne envie ...........
J'aime 18/04/25
mich86
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6 personnes aiment ça.
Orgarioss
J'adore, merci du partage_^
J'aime 08/03/25
bonne idea le camping ! elle est super ....
J'aime 18/04/25
mich86
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5 personnes aiment ça.
Orgarioss
Type 2
J'aime 18/03/25
mich86
type 7 pour moi svp...
J'aime 18/03/25
Sub4hardtop
Je les aime toutes mais de 4 à 7 c'est trop bien pour pouvoir avaler juste en déglutissant 😛
J'aime 09/04/25
Loos72belg
Type 4. Agréable à étaler
J'aime 11/04/25
sissy
[SARREBOURG][Homme soumis ou travesti] – 37 ans, célibataire, sérieux, propre et respectueux. Je recherche une femme ouverte, curieuse ou joueuse, intéressée par l’idée d’utiliser un toilet slave humain (urine + selles). Je suis totalement receveur, sans attente sexuelle, dans un cadre clair, consenti et hygiénique. Je peux recevoir discrètement près de Sarrebourg, dans un lieu calme et soigné. Que je sois en homme ou en version travesti, je suis à l’écoute, motivé, et prêt à me mettre au service de vos envies. Un échange avant rencontre est bien sûr souhaité, pour que tout soit limpide et respectueux. Discrétion, hygiène, et respect garantis. Photo en privé sur demande.
Orgarioss
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Loos72belg
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Quand tu en as envie, tu goûtes, tu joues avec, puis tu jouis...
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Espièglecoquin
Exactement ❤️
J'aime 28/03/25
mich86
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