Scatophilie

Un petit texte, une envie que j'ai : Je dors bien ce matin là quand la sonnette de la porte me réveille. Je me lève, enfile mon peignoir et je vais voir qui a sonné. Ah ! C'est le gars des services sociaux, M. Donnedur, c'est sûrement pour donner une suite à ma demande d'aide alimentaire. Je lui ouvre, je reste en peignoir, même si je suis à poils dessous. Je l'invite à s'asseoir pour discuter. " M. B... , j'ai bien reçu votre demande en fichier joint, voilà ce que vous m'avez envoyé." Il me montre son tel et horrifiée je vois que je lui ai transmis une vidéo où je suis installée sous une rimchair en train d'avaler une grosse merde que mon Maître me charge sans vergogne. Je regarde cette vidéo que je connais bien, j'ai tout avalé gouluement et je suis fière de montrer ma bouche vide à mon nourrisseur. M. Donnedur a un sourire et me dit qu'il est intéressé pour me nourrir. Je rougis, je bégaye, je m'excuse de la méprise mais sa voix est ferme quand il me dit : "à genoux salope, j'ai envie de chier" Comme un zombie je m'agenouille, j'ouvre grand ma bouche et bascule ma tête en arrière pendant qu'il baisse son fric et son caleçon. J'écarte ses fesses à deux mains, colle mes lèvres autour de son anus et enfilé ma langue dans son trou. "c'est bien, bon chiotte, prépare toi ça vient" Et aussitôt son anus s'ouvre entre mes lèvres, un gros étron repousse ma langue et se glisse jusqu'au fond de ma gorge. Je le déglutis rapidement, il semble ne pas finir et me gave et s'enroule dans ma gueule à merde. Je transpire, j'étouffe, je déglutis et enfin il s'arrête pour me laisser tout avaler. Je m'empresse et recolle mes lèvres à son trou et de nouveau il rechie une grosse charge de merde plus molle qui tombe en vrac, j'avale encore, sa merde est forte, il y en a tellement qu'elle en ressort par mes narines, j'ai la tête pleine de sa merde immonde, mon ventre se gonfle quand j'avale encore et encore, je suis tellement heureuse de lui servir de chiotte. Quand il a fini de chier il racle son cul avec ses doigts et les essuie dans mes cheveux, il me parle, me dit qu'il cherche depuis un bon moment une bonne pute à merde comme moi, qu'il va venir me nourrir chaque matin, qu'il va aussi me recommander à son collègue, que je vais avoir ma place de bénévole dans son association. Il se renfroque et part. "A demain bon chiotte, nous viendrons comme aujourd'hui à 9h tapante, sois prête salope..."