A propos du groupe
AngeouDemon
Créateur
Bonjour.
Amateurs, amatrices de sissyfication, féminisation, travestissement, ce groupe vous permettra de vous retrouver, vous découvrir, échanger vos pratiques.... Par contre, s'il vous plaît, pas d'annonces de recherche ici. Merci

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SissyDebutante
Je n'aime pas trop les échanges de photos sur internet c'est devenu une activité à part entière de certains hommes qui trouvent leur plaisir dans ce type d'excitation virtuelle. Je ne juge pas mais j'évite. Pareil je ne demande jamais de photo. Mais les hommes m'en donnent souvent, même s'ils n'ont pas l'intention de me recevoir. Sans doute un besoin de s’exhiber ou de se rassurer. C'est étrange comme ils ont besoin que j'apprécie leurs physiques. J'ai beau leur affirmer que quelque soient leurs corps ils seront toujours très beaux à mes yeux mais ils ne le comprennent pas. J'apprends à aimer ce que l'on m'offre. Les bedonnants ramollis, les barbus poilus, les imberbes rachitiques et tous les autres. J'apprends à les apprécier tels qu'ils sont sans me poser de questions, sans aucun préjugés. Même si je montre peu de photos, les hommes ont toujours une idée de mon physique. Mais souvent la première rencontre est une expérience, une découverte. Le dernier qui m'a proposé de venir chez lui n'avait que ma photo de profil pour se faire une idée et quelques éléments de description que je lui avait indiqué. Nous nous sommes retrouvé en bas de chez, j'étais habillée en garçon (je ne suis pas assez féminisée pour me déplacer en fille). Je suis silencieuse dans ce genre de situation et ne fais que répondre aux questions qu'on me pose. Je n'aime pas ma voix trop grave et je ne souhaite pas m'imposer. Il m'a ramené chez lui, petit propre, sobre. Sa femme était absente bien sur. A sa demande je me suis déshabillée complètement. Il a tourné autour de moi en me regardant et en tripotant certains lieux de mon corps. Je suis restée digne la plus imperturbable possible, même si certains attouchements étaient parfois un peu brutaux et parfois excitants. Puis il m'a expliqué que mon visage était trop masculin, mes jambes et mes fesses trop poilues et que devais être honteuse de gâcher mon joli petit corps avec ces vilains côtés. Je me suis empressée de lui demander des excuses d'être si vilaine a ses yeux et ferait de mon mieux en me montrant disponible pour satisfaire ses désirs. Il m'a dit qu'il ne savait même pas s'il me laisserait nettoyer ses toilettes et que même ainsi la tête dans la cuvette et mon vilain petit cul en l'air il n'est vraiment pas sur qu'un homme puisse avoir une érection suffisante pour forcer l'entrée de mon petit trou et espérer y trouver du plaisir. J'étais rouge de honte et je me suis répandue en excuses. Il m'a donnée une veille robe trop petite et trop courte qui me moulait de partout, une culotte rose bon marché et un collant assez ordinaire. Je suis habillée devant lui. Je ne ressemblait pas à grand chose, j'avais honte. Il m'a dit que j'étais encore plus moche comme ca. Il m'a demandé de le suivre au toilettes pour le regarder uriner, puis m'a donner une éponge et du produit de nettoyage et m'a dit de faire ca bien car je finirais avec ma langue. Alors j'ai tout nettoyer, bien comme il faut. Il me regardait, corrigeait ma position s'il trouvait que je n'étais pas assez cambrée, trop écartée, ou pas assez, que mes mouvement n'étaient pas assez sensuel, qu'il voulait que je lui montre que je faisais l'amour avec la cuvette des toilettes. Je crois que parfois il se caressait un peu sous son pantalon, mais ne le montrait pas. Alors j'ai fait l'amour à la cuvette de toilettes, le l'ai caressé, je me suis frottée contre elle, je l'ai masturbé et je l'ai léché amoureusement. J'ai presque eu un orgasme toute seule à faire l'amour avec ce cabinet de toilette brillant de propreté. On ne se refait pas, et même dans les situation les plus honteuses je suis capable d'avoir de misérables orgasmes de sissy. Vous comprenez maintenant pourquoi je suis capable d'apprécier tous les physiques masculins. Je suis presque capable d'avoir un orgasme en lavant les chiottes. Je crois que le propriétaire des lieux a aussi ressenti une légère excitation à me voir ainsi astiquer sa cuvette. Je ne pu m'empêcher de regarder le plus discrètement possible mais il m'a bien semblé apercevoir une légère bosse, sous sa ceinture. Il m'a dit que je puais le chiotte et que comme j'étais déjà une super mocheté il ne voyait pas qu'il pouvait faire d'autre que de me laisser ca et de m'utiliser comme toilette. Ca lui éviterait de salir le cabinet que je venais de nettoyer. J'ai pris peur... je me suis imaginé devenir la pissotière de cet homme et j'en ai presque eu envi de vomir. Mais en même temps je savais que je serais incapable de dire non! Je suis une sissy qui dit oui et qui est toujours heureuse de dire oui! Alors je peux bien devenir une gentille pissotière, ouvrir la bouche et avaler? Je me suis dit moi même que j'étais une petite horreur trop masculine et trop poilue et que si je pouvais seulement donner satisfaction en étant une pissotière je devrais m'en contenter. Je me suis calmée, mon coeure s'est remis à battre normalement. A genoux, j'ai tourné la tête souriante vers l'homme avec un joli sourire. "oui monsieur, je peux être une pissotière", me suis-je entendu dire effrayée. Il a ris! M'a regardé un instant et a fait demi tour pour retourner dans le salon me laissant à genoux seule à côté du cabinet de toilette. Je suis restée la quelques minutes avant qu'il ne revienne, une paire de gants à vaisselle en plastique rose à la main. "Enlève ta robe et ton collant et met ces jolis gants roses et ta petite culotte rose" et suis moi", m'ordonna-il avec un air amusé. Je me retrouvais bientôt devant l'évier en culotte et gants roses à laver la vaisselle. Il resta assis sur une chaise à mes côtés regardant des films pornographiques sur sa tablette, me tripotant par intermittence et se masturbant. Cela dura quelques minutes avant qu'il ne me donne l'ordre d’enlever mes gants, de baisser ma culotte aux genoux, de lubrifier ma petite chatte poilue avec du produit vaisselle, de remettre mes gants et de reprendre la vaisselle en écartant et en me cambrant pour m'offrir. La pénétration se fit sans attendre et sans douleur. Je gémis beaucoup pendant qu'il se masturba entre mes fesse. Ca ne dura pas longtemps avant qu'il ne sorte, enlève sa capote et lâche quelques giclées sur mes fesses, mes jambes et les carreaux du sol. Je restais immobile devant l''évier, les mains dans mes gants roses, pendant qu'il étalait son sperme dans les poils de mes fesses et de mes jambes avec sa main. Je ne sais pas si c'est le massage de mes fesses avec sa main ou cette odeur de semence masculine qui remontait à mes narines mais je m'abandonna à une petite vague de frissons en ma cambrant atrocement pour m’offrir à sa main et en poussant quelques gémissements. Il me tendis un petit sac en papier vide m'ordonna d'y mettre la capote souillée par mon vilain petit trou, de jeter le tout dans la première poubelle que je rencontrerait, de me rhabiller et de rentrer chez moi me masturber en pensant à ce qui était arrivé. Je ne l'ai jamais revu.
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AngeouDemon
Merci beaucoup pour votre belle histoire
J'aime 31/03/24