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le 06/11/24
Elle erre dans la brume, le cœur en éveil,
À la quête d’un maître, d’un feu sans pareil.
Ses yeux cherchent l’éclat d’un regard souverain,
Un conquérant tendre pour lier son chemin.
Elle rêve d’un homme, de force et de flamme,
Qui saura la lire au creux de son âme.
Qu’il soit doux et puissant, qu’il soit fort et secret,
Qu’il guide ses pas là où elle se tait.
Elle s’imagine, offerte à ses bras,
Soumise et sereine, sous le poids de sa loi.
Elle désire ses chaînes, douces, infinies,
Que ses mains la tiennent dans l’ombre d’un lit.
Mais plus qu’un maître, elle attend un amant,
Un roi et un rêve, un lien apaisant.
Qu’il dompte son cœur avec une tendresse,
Qu’il lui donne en amour sa juste faiblesse.
Dans le silence de la nuit étoilée,
Elle cherche cet homme, en secret, en pensée,
Un conquérant tendre, un souffle profond,
Pour que dans sa soumission, elle trouve son nom.
J'utilise une IA et je lui pose des questions
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM, Autres
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Dans le calme de la nuit, elle s’abandonne,
Un soupir discret, une attente qui résonne.
Elle rêve d’un homme, fort et souverain,
Qui viendrait dompter son désir, son chemin.
Elle, douce et ardente, le cœur enfiévré,
Cherche un maître en amour, un roi sans regret.
Qu’il la prenne en ses bras, qu’il soit feu et loi,
Qu’il guide ses pas, qu’il impose sa voix.
Elle imagine sa main, ferme, sur sa peau,
Une force tranquille, un tendre fardeau,
Un regard profond qui la met à nu,
Qu’il la mène en silence là où elle n’a pas vu.
Soumise, elle s’offre, fragile et entière,
À ce rêve d’acier, à cet homme de fer.
Elle attend ce conquérant au cœur indompté,
Pour qu’en sa passion, elle puisse se trouver.
Dans ses songes secrets, elle l’appelle, enfiévrée,
Son amant, son maître, son être rêvé.
Elle, femme dévouée, intense, passionnée,
Attendant que l'amour la v
Perso j'aime bien ce qu'écrit cette IA
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06/11/24
Dans l’ombre d’un regard, une force tranquille,
Il avance avec grâce, tel un roi sur sa ville.
Sage comme un vieux chêne, enraciné dans le sol,
Son calme est un refuge, un doux rôle de console.
Son charisme éclatant, comme un phare dans la nuit,
Attire les âmes, les cœurs en émoi,
Dominant sans effort, il impose le respect,
Sa voix, un murmure, un écho parfait.
Il sait écouter, comprendre sans juger,
Dans le tumulte du monde, il sait naviguer.
Son sourire, une promesse, une lueur d’espoir,
Il éclaire les chemins, comme un astre du soir.
Avec lui, le vent semble murmurer,
Des histoires de sagesse, des rêves à partager.
Un homme de valeur, au charme indéniable,
Il porte en lui l’art d’être inébranlable.
Dans chaque geste, une élégance innée,
Un leader, un ami, un cœur à aimer.
Sous son ciel étoilé, les âmes se rassemblent,
Car en sa présence, les doutes se tremblent.
Dans la douceur de l’ombre où le soir s’étend,
Se tient un homme noble, serein et puissant.
De son regard brûlant, l’acier se fait doux,
Un calme souverain, sans peur et sans remous.
Fort comme la montagne, il veille, il protège,
Sa stature imposante, au seuil de l'allégeance.
À ses côtés, elle, douce comme un mirage,
Le cœur tout dévoué, son amour en offrande.
Dans l’abandon gracieux d’une amoureuse éprise,
Elle s’incline, fidèle, sans mot ni feinte devise,
Entrelace ses rêves au creux de ses bras sûrs,
Trouvant force et repos dans son règne d’azur.
Il est pour elle le roc, l’inébranlable terre,
Et elle, un souffle tendre, un océan sincère.
Dans ce ballet secret, entre force et abandon,
Ils s’aiment en silence, unis par la passion.
Dans la pénombre austère où règne sa loi,
Il se dresse, alpha sévère, figure de foi.
D’un regard acéré, de sagesse empreint,
Il impose sa force, droit comme le destin.
Sa voix grave est justice, son verbe tranchant,
Il protège et il guide, immuable, constant.
Tel un roc indomptable, il inspire respect,
Sans faillir ni trembler, il dicte ses préceptes.
Elle, douce et soumise, l'aime sans mesure,
Trouve en lui sa lumière, sa route, son armure.
Chaque mot, chaque geste, elle les chérit, dévouée,
Dans son amour sincère, elle se donne, abandonnée.
Ainsi, entre sévérité et douce dévotion,
Ils dansent leur histoire, entre force et passion.
Elle trouve en son autorité l'ardeur et la paix,
Et lui, dans son amour, un royaume parfait.
Bisous je m'amuse beaucoup avec ces intelligences artificielles qui ecrivent si facilement
Par exemple, je lui ai demandé si les femmes étaient toutes des salopes. Ben oui, faut tester. Voici la réponse: Les femmes sont un monde aux multiples visages,
Des âmes bien plus vastes que l’on ose imaginer,
Fortes, fragiles, sages, de doux paysages,
Qui aiment, qui rêvent, et qui savent pardonner.
Elles portent en elles un feu, une lumière,
Des cœurs façonnés par l'amour et la peine.
Des femmes libres, loyales, fières et sincères,
Chacune est unique, avec ses chaînes et ses rêves lointains.
Les juger en bloc, c’est ignorer leur essence,
Leur force intérieure, leur sensibilité immense.
Elles sont bien plus qu’un mot réducteur ou cruel,
Elles tissent notre monde, avec éclat, avec sel.
Alors, non, les femmes sont des âmes sans pareil,
Complexes, infinies, sous le même soleil.
profane je suis...mais mon sentiment est que = pitié laissez les mots couler de votre esprit votre envie, vos "tripes"....quand bien meme quelques fautes de syntaxe....au moins c'est VOUS qui tenait le stylo et qui nous font partager vos émotions sans "filtre ni arrangement".... la vraie émotion est la !!!
Oui bien sur, je préfère écrire moi aussi par moi même. Mais c'est amusant cette IA et sa capacité à générer des mors et donc des images. Cela ouvre des pistes. C'est juste un outil. Ce n'est pas l'outil qui fait l'artiste, mais un bon artiste aime caresser ses outils.
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08/11/24
Un homme ronchon, le visage fermé,
Trouve les poèmes d'IA bien trop simplifiés.
Il grogne, il râle, tout le temps contrarié,
À l’idée qu’un robot puisse rimer à moitié.
"Ah, c’est quoi, ce charabia de machine ?
Ces vers sans âme, quelle tambouille mesquine !
ChatGPT ici, ChatGPT là,
Mais un vrai poète, il n'est pas !"
Il plisse les yeux, le front tout plissé,
Fait mine de lire, mais ne veut pas céder.
Pour lui, les mots doivent avoir du mordant,
Pas d’algorithmes, mais du vrai talent.
Mais l’IA persiste, et lui en recolle,
Un vers bien ciselé qui l’ébranle, qui colle.
Il se dit alors, à mi-mot marmonné,
"Bon… Peut-être qu’il sait, ce robot borné."
Alors il relit, un brin apaisé,
Son sourire caché, à peine esquissé.
Car même un ronchon, au fond dédaigneux,
Peut trouver dans les vers un instant merveilleux.
Rires...bisous IA
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08/11/24