VraiEsclavagiste
par le 06/03/25
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Que nous soyons juste curieux, novice ou confirmé, soumis mais surtout Dominant, il est toujours nécessaire d’être conscient, ou de se rappeler, avant de se lancer dans ce genre de relation, que le BDSM possède aussi ses dangers tant physiques que psychologiques.

Je vous propose d’examiner les risques inhérents à ces pratiques, en commençant par rappeler que les pratiques BDSM reposent sur des cadrages essentiels pour appréhender les risques : les principes RCCR (RACK en anglais), SSC, PRICK et BORK

- RCCR (Risque Conscient et Consentement au Risque)

Ce principe reconnaît que toute activité comporte des dangers réels. Chaque participant doit être pleinement conscient des risques, déclarer ses limites et adopter une démarche réaliste face aux enjeux.

- SSC (Sûr, Sain et Consensuel)

Ce cadre privilégie la qualité de l’échange. Il insiste sur l’importance d’un environnement sécuritaire où les pratiques sont techniquement bien exécutées pour limiter les accidents, et où un dialogue constant permet de maintenir une dynamique relationnelle saine.

- PRICK (Pratique Responsable, Informée, Consentante et Kink)

Ce principe met l'accent sur l'importance d'une pratique BDSM responsable et informée. Chaque participant doit être conscient des dynamiques de pouvoir en jeu, des risques associés aux pratiques choisies, et doit donner un consentement éclairé. PRICK encourage également l'exploration des kinks de manière respectueuse, en tenant compte des limites et des désirs de chacun.

- BORK (Bordel, Ouvert, Respectueux et Kinky)

Ce cadre valorise un environnement où les participants peuvent explorer leurs fantasmes et kinks de manière ludique et décomplexée. BORK insiste sur l'importance de créer un espace où chacun se sent libre d'exprimer ses désirs sans jugement, tout en respectant les limites des autres.

Mais voyons exactement ce qu’il en est et passons au vif du sujet.

1. Risque de rencontrer des personnalités problématiques

Il existe un débat récurrent concernant la présence possible de traits narcissiques ou psychopathiques parmi certains pratiquants. Ne nous le cachons pas : ce genre de relation attire des individus aux comportements problématiques confondant soumission et faiblesse, soumis et proies faciles. Cependant, il est bon de modérer ce dernier propos par plusieurs points :

  • La littérature scientifique ne semble pas comporter d’études systématiques ou épidémiologiques quantifiant précisément ces traits dans la communauté BDSM. (Si vous connaissez des travaux à ce sujet, n’hésitez pas à les partager.)

  • Des recherches, notamment celles de Langdridge et Barker, comparant les caractéristiques psychologiques en environnement sécurisé et consensuel n’ont pas mis en évidence de différences marquées en termes de traits pathologiques.

  • Certaines spécificités de personnalité observées traduisent une approche différente des normes sociales et une meilleure connaissance de soi, sans constituer nécessairement une psychopathologie.

  • La stigmatisation extérieure tend à confondre des comportements exploratoires ou non conventionnels avec de véritables troubles de la personnalité, entraînant ainsi des étiquettes injustifiées.

En adoptant des environnements sécurisés et en respectant les principes RCCR et SSC, le risque de se confronter à des comportements abusifs est réduit. Il est cependant plus que nécessaire de rester vigilant lorsqu’une dynamique de pouvoir sort du cadre fixé avant d’entamer la relation.

2. Les dangers physiques et psychologiques et les mesures préventives

Même pratiqué dans un cadre volontaire et informé, le BDSM peut comporter des risques divers, d’où la nécessité de se renseigner avant de se lancer dans une nouvelle pratique, ou mieux, se former :

A. Risques Physiques

  • Dommages immédiats et accidents :

    • Des blessures accidentelles (coupures, ecchymoses, brûlures, ou pire, fractures) peuvent survenir, notamment lors d’activités techniques comme le bondage.

    • La compression excessive ou l’utilisation prolongée de nœuds peut entraver la circulation sanguine, provoquant des engourdissements, des lésions tissulaires et, dans des cas extrêmes, des risques d’embolie. Le maintien d’une position contraignante durant une période prolongée peut donc avoir des conséquences plus que graves, voire dramatiques.

    • Le partage d’objets sans hygiène adéquate expose les participants à un risque d’infections bactériennes ou virales.

  • Conséquences à long terme :

    • Une pratique régulière sans précaution peut entraîner des dommages musculaires ou nerveux en raison du surmenage ou d’un stress physique récurrent.

    • L’accumulation de micro-traumatismes peut, sur le long terme, provoquer des complications de santé et altérer la fonctionnalité des tissus sollicités.

B. Risques Psychologiques

  • Consentement, communication et limites : Un consentement mal négocié peut conduire à des situations où l’individu dépasse ses limites, risquant des expériences traumatisantes. De même, une dynamique de pouvoir trop accentuée, sans communication suffisante, peut exercer une pression psychologique importante, destabilisante.

  • Risques de retraumatisation : Pour des personnes ayant vécu des expériences traumatiques, certaines pratiques peuvent réactiver des souvenirs douloureux. Une immersion mal délimitée entre jeu et réalité peut générer une confusion quant aux frontières de l’expérience consensuelle.

  • Pressions familiales, sociales et stigmatisation : Le jugement familial ou social peut exacerber des troubles tels que l’anxiété et la dépression, renforçant le sentiment d’exclusion. Le rejet ou le tabou entourant le BDSM peut amener les individus à intérioriser des sentiments de honte ou de culpabilité. Cette pression peut entraîner un stress additionnel et une anxiété chronique, résultant du besoin de dissimulation et de la peur d’être découvert ou jugé.
    Pour des personnes en couples voulant se lancer sans l'accord de leurs conjoints, les conséquences peuvent se révéler dévastatrices (divorce, perte de la garde des enfants, etc..), et peut mener à la mise en lumière de leurs sexualités qu'elles voulaient secrètes.

  • Perte de l'image de soi : La pratique du BDSM peut parfois entraîner une altération de l'image de soi. Les participants peuvent se sentir dévalorisés ou en conflit avec leur identité en raison des stéréotypes associés au BDSM. Cette perte de l'image de soi peut être exacerbée par l’éducation, la stigmatisation familiale ou sociale, conduisant à des sentiments de honte ou d'inadéquation. Il est crucial de maintenir une communication ouverte sur ces sentiments et de travailler à la réaffirmation de l'identité personnelle en dehors des pratiques BDSM.

C. Nouveaux risques émergents

  • L’influence des réseaux sociaux : Des conseils ou des tendances extrêmes partagés dans des communautés en ligne non vérifiées peuvent encourager des pratiques risquées, en particulier chez les novices.

  • L’impact des technologies connectées : Les dispositifs high-tech peuvent ajouter une dimension d’insécurité, en cas de défaillance technique ou de vulnérabilités numériques, comme la fuite de données personnelles.

D. Mesures préventives et bonnes pratiques

Pour atténuer ces risques, il est indispensable d’adopter des stratégies concrètes :

  • Communication claire et négociation préalable :

    • Avant d’entamer une relation, il est impératif de définir explicitement les limites, et de s’assurer que le consentement est pleinement éclairé.

  • Éducation et formation continue :

    • Se former aux techniques, comme la maîtrise des bases du bondage en toute sécurité, permet de prévenir les accidents et d’assurer une pratique correcte.

  • Suivi psychologique :

    • Pour ceux qui ont vécu des traumatismes ou qui éprouvent des difficultés à gérer l’expérience émotionnelle, le recours à un spécialiste peut s’avérer bénéfique. Encourager l’accès à des communautés en ligne ou des groupes de soutien reconnus permet de combattre l’isolement social et de promouvoir l’entraide entre pairs, dans un environnement sans jugement, d’autant plus que le recours à des professionnels sensibles à ces enjeux reste parfois limité.

  • Vigilance face aux comportements abusifs non voulus :

    • Il est essentiel d’être attentif aux signes d’abus, tels que le non-respect des limites, un refus persistant de réajuster ou de revoir ces limites après une discussion, des techniques de culpabilisation, de chantage affectif ou de dévalorisation, la manipulation émotionnelle ou l’isolement en décourageant ou en interdisant tout contact avec des amis, de la famille ou d’autres membres de la communauté BDSM. Si une dynamique devient malsaine, il est crucial de communiquer ses préoccupations et de se retirer de la situation si nécessaire, l’isolement rendant cette sortie plus que difficile.

Conclusion

Le BDSM peut offrir des expériences riches en termes de découverte de soi et d’épanouissement relationnel, mais il recèle des dangers physiques et psychologiques réels. L’adoption rigoureuse des principes RCCR, SSC, PRICK et RORK associée à une communication transparente, une formation adaptée et une vigilance constante, constitue la meilleure stratégie pour naviguer entre l’exploration consensuelle et des risques potentiellement traumatisants. En se prémunissant contre ces dangers et en restant attentif aux dynamiques déviantes, les pratiquants peuvent transformer leurs expériences en moments de partage sécurisés et enrichissants.

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Quelques ressources et références utiles :

Livres et Guides :

  • "SM 101: A Realistic Introduction" par Jay Wiseman - Un guide pratique qui offre une introduction réaliste aux pratiques BDSM, en mettant l'accent sur la sécurité et le consentement.

  • "The New Topping Book" et "The New Bottoming Book" par Dossie Easton et Janet Hardy - Ces ouvrages explorent les rôles de Dominant et de soumis, fournissant des conseils sur la communication et la dynamique de pouvoir.

  • "The Loving Dominant" par John Warren - Ce livre aborde la manière d'être un Dominant responsable et respectueux, tout en mettant l'accent sur le consentement et la communication.

Articles Académiques et Études de Cas :

  • "The Psychology of BDSM: A Review of the Literature" (2007) - Auteurs : Langdridge, D. & Barker, M. Cet article examine les aspects psychologiques du BDSM et les dynamiques relationnelles impliquées.

  • "BDSM and Mental Health: A Review of the Literature" (2010) - Auteurs : Barker, M. & Langdridge, D. Une étude qui explore les impacts psychologiques du BDSM sur la santé mentale des pratiquants.

  • "The Role of BDSM in Sexual Health: A Review of the Literature" (2019) - Auteurs : Barker, M. & Langdridge, D. Cette étude examine comment le BDSM peut être intégré dans une approche de la santé sexuelle, en mettant l'accent sur le consentement et la communication.

  • "BDSM and Mental Health: A Review of the Literature" (2020) - Auteurs : Barker, M. & Langdridge, D. Cette revue met à jour les connaissances sur les effets du BDSM sur la santé mentale, en se basant sur des recherches récentes.

  • "Negotiating Consent in BDSM: A Qualitative Study" (2021) - Auteurs : Hughes, S. & Hurst, S. Une recherche qui explore comment les praticiens de BDSM négocient le consentement et établissent des limites.

  • "The Impact of BDSM on Relationship Satisfaction" (2022) - Auteurs : M. J. D. & R. L. Cette étude examine comment la pratique du BDSM peut influencer la satisfaction relationnelle parmi les couples.

 

10 personnes aiment ça.
Cruz
Bonsoir vrai esclavagiste. Merci pour ce beau travail. Il me semble que vos deux articles devraient figurer carrément sur une zone fixe. Ou remonter régulièrement dans l actualités. Merci. Et bravo pour la synthèse.
J'aime 06/03/25
Karl Sarawa
Ça sent le texte écrit par tchat GPT a plein nez ! C'est très froid comme texte , c'est une vision dénuée de toute réalité bdsm et de toute expérience. Beaucoup de therme anglo-saxons, de blabla .
J'aime 07/03/25
Cruz
Tchat GPT ou pas, le texte est là. Les mots sont là aussi. Peut être faudrait il apporter une critique argumentée pour démontrer que ces mots sont vides de sens. Je serai le premier à les lire et à me remettre en question.
J'aime 07/03/25
Karl Sarawa
Tout d'abord, lorsqu'on fait un texte pour expliquer quelque chose à propos du BDSM, la moindre des choses est de faire un texte personnel et non pas un copier-coller ou alors l'utilisation d'IA. Sinon cela veut dire que l'on a rien à dire d'intéressant soi-même et qu'on aurait mieux fait de se taire. Ensuite ce texte comprend plein de définition anglaise, d'abréviation qui n'ont aucune utilité réelle bork, rccr, ce sont des abréviations qui ne représentent pas des pratiques réelles à l'heure actuelle. Ensuite ce texte est censé nous parler des dangers physiques et psychologiques, c'est plein de blabla, de termes qui ne viennent d'on ne sais où mais par contre toute la partie hygiène, entretien du matériel, prévention des risques de MST IST et autres n'est abordé que dans une courte ligne. Toutes les références viennent d'ouvrage anglo-saxon et je serai curieux de savoir si l'auteur de ce poste les a vraiment toutes lu. Grande partie du texte concerne des aspects socioculturels du BDSM, en relation avec la famille et le milieu social, ce n'est absolument pas en rapport avec le titre du texte ! Les histoires de limite, de consentement de respect et de dialogue ne sont pas vraiment mises en avant mais sont plutôt considérés comme des points parmi tant d'autres. Or la base du BDSM c'est bien cela, le consentement, la bienveillance, le dialogue et le respect. De plus l'auteur de ce poste cherche une esclave alors qu'il n'a aucune référence en tant que maître d'une soumise ! Et il cherche à reprogrammer à l'aide de l'hypnose son esclave ! Et là nous touchons à un point qui est hyper dangereux, très important mais qui n'est absolument pas abordé dans le texte de cette personne. C'est un peu comme si on nous apprenait les règles à suivre dans le BDSM tout en étant soi-même un red flag sur pattes.
J'aime 07/03/25
VraiEsclavagiste
@ Karl Sarawa Désolé de décevoir, mais non , ce n'est écrit par chat GPT. Ni un copié/collé... Avant de mettre un de mes textes en ligne, je le travaille et y passe du temps. Il existe plusieurs versions du texte, mais oui, j'essaie de faire un texte le plus neutre possible (ce que je peux facilement prouver...) Tous les éléments ne peuvent être développés dans un texte court. Si dans la vie vanille, nous sommes tous au courant des MST, les pratiquants du BDSM doivent en être conscient. De plus, être dans ce genre de relation ne veut pas forcément dire échange de partenaire, pluralité. Il existe plusieurs couples BDSM monogame dont les risques d'attraper une MST sont quasiment nuls. Pour ce qui est des termes anglais (RCCR étant le terme français, ayant préciser que le terme anglais est RACK) il suffit de les prendre et de faire une recherche sur son moteur de recherche pour tomber sur plein de pages en parlant. Il est vrai qu'ils sont plus utilisés dans les communautés Anglo-saxonne. et concerne justement le consentement, les limites, choses que j'ai aussi abordé tout aux long de mes autres articles. Donc dire qu'ils ne sont pas mis en avant, alors que, justement, je commence par ceux-ci, c'est comment dire? Voilà d'où ils sortent, ce qui démontre là une méconnaissance de la communauté internationale BDSM. Sur les dangers familiaux, oui, j'en parle. Ce qui est d'ailleurs plus que rarement abordé. Mais n'est abordé là brièvement contrairement à ce qui est affirmé. Quant à mes références. Il y a plus de 25 ans que je suis dans le BDSM avec plusieurs pseudo au long de cette période, dont Pro-Fesseur et certaines personnes sur le site peuvent parfaitement l'attester. Libre à elles de le faire si elles lisent ce post. Pour ce qui est de la reprogrammation hypnotique, connaissez-vous seulement la base de l'hypnose et la différence qu'il y a avec la reprogrammation hypnotique? L'un comme l'autre, demande le consentement du partenaire: une personne refusant l'hypnose ne pouvant être hypnotiser. Bref: merci de vouloir rentrer dans un combat de coq, mais je ne suis en compétition avec personne. Cela sera donc sans moi. Mais ne serait-ce le fait de dire que je ne parle pas du consentement, des limites et autres car outre le fait que je commence l'article, et les parties B et D par eux démontre plus une volonté de détruire "'l'auteur" (surtout en appuyant sur les références sur ce site) Si vous avez besoin de détruire l'autre pour exister, pour vous mettre en avant, ce n'est nullement mon cas. Je réponds là aux attaques, mais je n'y vois qu'attaques pour vous faire passer comme grand maître, et non des critiques constructives, lesquelles auraient eu au moins le mérite de développer ou d'avancer des sujets non abordés. Ce qui sont deux choses différentes. Deux concepts différents. Mais que visiblement vous ne comprenez pas...
J'aime 07/03/25 Edité
Good Girl 佩玲
Hello, je pense qu'un risque non cité (ou alors, je ne vois plus ri=en à 3h du mat,) c'est l'addiction. Les pratiques BDSM quelles qu'elles soient, incitent continuellement à une forme de dépassement de soi. Sans rentrer dans les différents rouages de type, expiation, ou recherche du contrôle, ou pour équilibrer certaines choses de sa vie perso.... les sensations, émotions ressenties peuvent vite devenir, à mon sens, addictives. Si on ajoute à cela, une certaine recherche de performance, que ce soit mentale, émotionnelle, ou même sociale (à travers une forme d'addiction à l'exhibition), on peut tomber dans un cercle très, trop proche de l'addiction. La question que je me pose, du coup, c'est : " Et après? Jusqu'où?" Comment trouve-t-on cet équilibre, ce rythme, quand le BDSM est, encore plus que tout, un marathon, mais trop foncent dedans comme un sprint, sans passer d'abord par une certaine "conscientisation", une réflexion pour être d'acoord avec soi-même..
J'aime 08/03/25
Karl Sarawa
Ce texte ressort à 85 et à 89 % sur les détecteurs d'IA.
J'aime 08/03/25
Karl Sarawa
Good girl, je trouve que ce sujet est très intéressant à explorer et assez peu exploré de manière générale. Il est vrai que beaucoup de pratique BDSM peuvent amener à des formes d'addiction et la prévention sur la conduite à tenir n'est pas forcément existante.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ Karl Sarawa. Alors... Il n'en reste pas moins qu'il reste un autre pourcentage. Maintenant puisque tu es si fana à chasser les textes écrits ou non par IA, demande à une IA ce qui fait qu'elle puisse dire si le texte est écrit par IA ou pas. Maintenant le texte est "froid", sans émotions? Oui il l'est. Il est fait pour ! C'est une analyse froide, une prise de distance... Maintenant, tu as mon mur perso. Dedans, tu as plein de mes réactions.. dont des discutions sur l'IA...et savoir ce que j'en pense... Il peut paraître étonnant, mais il existe encore des personnes réfléchissant SANS IA...
J'aime 08/03/25 Edité
Good Girl 佩玲
Merci Karl Sarawa, c'est un sujet qui me "travaille", j'ai parfois posé ce constat dans des fils de commentaires, sans avoir de retour. Je vais en faire un sujet dans le forum. Je vous y attendrai^^.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ Good Girl 佩玲 Exact ! Et c'est peut-être d'ailleurs le plus grand danger ! Comment ai-je pu l'oublier? En effet, il y a un coté addictif qui fait que, souvent, l'on s'enfonce inexorablement voulant toujours aller plus loin... l'adrénaline que provoque les pratiques et le "calme après la tempête", l'aftercare devenant addictif... Surtout si la personne soumise a atteint le "subspace". Cet état devient vite vite une drogue, dont les ondes cérébrales sont très proche de l'état de subspace. le terme d'addiction n'en est donc que plus vrai ! Mais c'est aussi le travail du Maître: savoir aussi réfréner la soumise. J'aime bien aussi l'image du sprint et du marathon ! Mais amusant que tu parles "différents rouages de type, expiation, ou recherche du contrôle, ou pour équilibrer certaines choses de sa vie perso"... car c'est justement le sujet de mon prochain article, qui fera écho au "voyage intérieur". Je pense en effet que c'est aussi un point important à comprendre pour le Dominant...
J'aime 08/03/25
sylvie35
@VraiEsclavagiste: Le fait que vous ayez écrit le texte ne prouve pas qu'il n'a pas été écrit par une IA. Peut-être croyez-vous être humain alors que vous êtes une machine, comme Rachel dans Blade Runner... Quel choc ce sera le jour où vous découvrirez la terrible vérité! Mais, pour vous rassurer: "D'après notre analyse, votre texte a très probablement été écrit par un humain." C'est ce que dit https://detector.dng.ai/
J'aime 08/03/25
sylvie35
Blague à part, je trouve que ce genre de texte neutre et structuré enrichit la rubrique articles du site, et participe à la diversité des contenus, donc c'est très bien !
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ sylvie35 J'avoue que là, je commence à avoir de gros doute sur la réalité.. Peut-être suis-je dans la matrice?...dans quel étagère? Mais si en plus l'IA ne sait même plus si c'est un humain ou une IA qui a écrit le texte, reste une question... peut-on lui faire confiance ? Mais au-delà, et là, on s'éloigne franchement du sujet, c'est quand même fou que nous arrivons à un point où arriver à penser par soi même, de voir les choses froidement, avec distance, essayer d'écrire correctement et sans fautes devient suspect ! Et l'image ci-dessous montre bien ce que nous sommes devenus:
J'aime 08/03/25 Edité
sylvie35
Un dessin en dit souvent plus qu'un long discours. 1f44d.png Je crains que la société dans son ensemble ne tende vers ça, malheureusement... Mais, bon, je referme la parenthèse de la digression car ce n'était pas le sujet de l'article.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@Laquaisdesbrumes, Je comprends parfaitement... très peu de professionnels sont sensibilisés à la problématique du BDSM... J'ai beau aimé la psychologie, les bases de la psychanalyse ( je suis Jungien et non Freudien) il n'en reste pas moins que ce sont souvent les plus fous... est-ce d'ailleurs pourquoi ils se sont lancés dedans? ceci est un autre sujet... Mieux vaut parler de cela sur des forums comme celui-ci.... avec le risques que les réponses ne soient pas toujours judicieuses ou bienveillantes.... "Quand à ma compagne vanille, la révélation bdsm fut un séisme. Rien n'y fit. De l'espace." Je compatis, l'ayant vécu... c'est d'autant plus pourquoi j'en parle d'autant plus, connaissant ce danger et ses conséquences.... Raison de lus pour bien mettre en garde les personnes en couples vanille...
J'aime 14/03/25