par Tokyo66
le 02/08/25
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Premier jour de vacances et tu me manques déjà.
pourtant tu es passé ce matin et je sais que je te croiserai encore plusieurs fois dans la journée.
Mais cette distance, on y est pas habitué, les heures à discuter au tel vont me manquer.
Le sourire dans ta voix, les fous rires échangés, tout ces petits moments qui égaillent nos journées.
profites de tes vacances, car à ton retour, je ne vais plus te lâcher 🤣
A toi Mon Maître Adoré, passe une belle journée 😘
Posté dans: Histoires & Confessions
Thèmes:
la distance
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Suggestion
Par : Abyme
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
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Par : Lys
Disclaimer : Ce texte était a la base pour le couple que je fréquentais et a qui j'appartenais jusqu'à peu, je le met ainsi a disposition pour que les gens puissent le lire et découvrir une relation que j'ai pu avoir.
11/03/23
Je ne sais même pas où je pourrais commencer, il y a plein de choses qui se sont passées en à peu après 2 heures et demie, comme Monsieur l'a dit, c'était court mais intense, et Il a raison...
Je me sens un peu euphorique, je me repasse certains moments dans ma tête, j'en parle en même temps à Barbara ce qui me donne des grosses décharges de plaisir... C'était vraiment trop bien...
Je m'étais totalement préparée pour ce soir, autant psychologiquement en appréhendant certaines choses, et physiquement en prenant un peu soin de moi, me rasant, mettant de la crème et le vernissage de mes ongles, même s'il restait des résidus des débordements qui étaient un peu visibles, je prendrais soin de mes ongles jusqu'à la semaine prochaine, qu'ils soient beau et luisants.
J'étais vraiment stressée, j'espère avoir été a la hauteur pour cette soirée, Leur avoir donné autant de plaisir que ce que Monsieur et Madame ont pu me donner, c'était vraiment génial... La mise en place du collier était assez spéciale, je ne m'y attendais pas du tout a vrai dire, ni même tout ce qui s'est passé ensuite en fait...
Je suis rentrée chez Eux, je m'installe, j'essaie de me mettre doucement en place, de me détendre, de me laisser aller. On discute de deux trois choses, de ce que l'on a fait pendant les mois où l'on ne s'est pas vus, l'on discute de différentes choses jusqu'à ce que Madame vienne a parler de la cagoule, me demandant si je souhaite l'essayer, je réponds en rigolant a moitié que je peux mettre l'équipement que j'ai apporté en plus si Ils le souhaientent, puis Elle me demande de lui montrer ce que j'ai ramené, ce que je fais. Mes deux colliers en acier ainsi que mes menottes poignets et chevilles sont face a Eux. Ils les regardent, les soupèsent et discutent un peu autour du sujet, je Les regarde avec l'envie folle qu'Ils m'en posent un autour du cou, ce qui viens a se faire je ne sais plus suite à quoi, j'étais extrêmement concentrée sur la mise en place du collier tellement l'envie était grande... La mise en place était un moment où j'ai pu me détendre, ou j'ai pu commencer à me laisser aller et ou j'ai réalisé que les choses commençaient vraiment. Après que le collier ai été mis en place c'était le moment de la cagoule, j'ai pris Madame par la main et je L'ai suivie jusqu'à la salle de bain, Elle ramène une jolie cagoule en latex noire qu'Ils avaient acheté il y a peu spécialement pour moi, Madame me fais une queue de cheval haute afin de la faire passer dans le trou pour que cela sorte de la cagoule, puis je la met avec un peu de difficulté, ayant peur de la craquer mais j'y arrive finalement. Elle est douce, elle ne me serre pas énormément, elle me colle à la peau et j'oublie un peu qu'elle est la au fur et a mesure du temps. On la place comme il faut, Madame retire l'élastique pour que mes cheveux soient plus libres et que ce soit plus joli puis l'on sort de la salle de bain. Elle passe en avant et attrape une laisse qui était soigneusement préparée sur le meuble, des que je la vois je me dit "Oh oui !!!". Elle l'attache au collier et me voilà tenue en laisse, je La suis docilement, et même en prenant du plaisir puis nous allons rejoindre Monsieur. je me positionne a genoux aux pieds de Madame et Ils viennent a me complimenter sur ma cagoule, puis Madame nous laisse quelques minutes avec Monsieur afin d'aller chercher un produit pour ma cagoule en latex, donnant la laisse a Monsieur avant d'y aller.
Me voilà seule face à Monsieur, il tire légèrement sur la laisse afin que je vienne me mettre à genoux a Ses pieds. Je m'avance a quatres pattes, Le regardant avec toute la dévotion que j'ai pour Lui. Je me positionne a ses pieds puis il m'ordonne de baisser les yeux, ce que je fais directement. Il commence à doucement caresser ma tête, ma queue de cheval et là je me détends de plus en plus, doucement le plaisir viens envahir ma tête, Monsieur me dit que si je me sent mal a l'aise, qu'il faut que je le dise, mais au contraire, je suis a ma place, je me sent bien, j'arrive à me laisser aller totalement, j'ai du mal a réfléchir, a penser et je suis juste sur l'instant présent. Madame redescend avec le produit Vivishine, Elle m'en parle un peu avant de venir également caresser mon corps. Leurs mains sur mon corps, sur Leur propriété, s'amusant a le parcourir, mon dos, le dessus de ma poitrine, mon visage latexé, Madame s'amusant a me tirer légèrement ma queue de cheval, je me sent bien... Je n'arrive à me concentrer que sur leurs caresses, sur leurs douces mains maltraitant affectueusement Leur propriété... Ils viennent a me parler mais je n'entends pas grand chose, je reprends doucement mes esprits, je me reconcentre et je Les écoutes, discuter de la semaine prochaine. Une soirée avec le groupe de Madame et des amis de Monsieur et Madame a l'appartement, cela me fait un peu stresser, me poser des questions. Est-ce que je serais à la hauteur ? Est-ce que je serais capable de représenter Monsieur et Madame ? Serais-je capable de répondre aux besoins de chacuns en servant Leurs amis ? Cela me fait stresser, ça seras ma première fois mais ce n'est pas pour cela que je reculerais, au contraire, si je peux faire en sorte que Monsieur et Madame puissent eux même profiter de la soirée, ainsi qu'etre a
Leur disposition, a Leurs pieds, alors je le ferais. Monsieur et Madame disent que de toute manière sinon je serais attachée et mise dans un coin, et moi je réponds "Ho oui !!" Toute enthousiaste à l'idée de me faire attacher, et Madame saute sur l'occasion, se lève puis m'ordonne de fermer les yeux, ce que je fais. J'entends Madame préparer des choses derrière moi, je frissonne, j'ai hâte, je me détends, puis la, je sent une corde commencer à doucement s'enrouler autour de mon buste, venant capturer mes bras au passage, puis Elle fait doucement passer une deuxième fois la corde, un peu plus bas afin de bien me restreindre puis Elle viens doucement lier mes poignets grace a sa corde. Je garde les yeux fermés tout au long et même après que Madame a fini, profitant simplement du moment sous le regard de Monsieur. A nouveau, leurs mains viennent caresser mon corps, a nouveau ma tête est plongée dans le plaisir grâce aux gestes de Monsieur et Madame... Les caresses continuent jusqu'à ce que Madame m'ordonne de me cambrer, fesses en l'air et visage contre le tapis. Je La regarde, Elle prends un martinet, un martinet en latex, Elle me dit, ça risque de piquer mais je reste en place, j'attends docilement, les fesses prêtes a subir ce que Madame a prévu pour celles ci.
Les premiers coups sont plutôt doux, pour me chauffer j'imagine. La force mise dans les coups augmente au fur et a mesure, puis viens s'y ajouter la main de Monsieur entre les coups de martinets, venant caresser et fesser mes fesses toutes sensibles. Je sent ma peau devenir de plus en plus sensible, et en plus je me contracte ce qui rends les coups plus dur à encaisser... Je me met a gémir de plaisir entremêlé de douleur. Ma peau brûle, je gémis plus fort, j'ai une respiration saccadée puis Monsieur et Madame s'arrêtent. La douleur dans mes fesses s'estompe assez rapidement. Madame vas reposer le martinet puis je me redresse, toujours attachée. Madame me détache doucement puis Monsieur regarde les traces de cordes sur mes poignets avant de venir reprendre la laisse et tirer dessus afin que j'installe ma tête sur Ses cuisses. Il se remet à me caresser la tête, passant doucement Sa main sur mon oreille gauche et caressant ma queue de cheval qui sort de la cagoule. Madame dit quelque chose a voix basse que je n'arrive pas a entendre comme Monsieur en plus avait Sa main sur mon oreille. D'après Monsieur elle en aurais mouillé sa culotte hihihi.
La fin de soirée arrive, il est presque 23h. Toujours ma cagoule sur la tête, le collier autour du cou et la laisse dans les mains de mes Propriétaires. Je profite de Leurs dernières caresse car il vas falloir que je rentre. Toute bonne chose a une fin, mais celle ci n'est que temporaire. Je reprends doucement tout mes esprits, essayant de remettre tout ce qui viens de passer en ordre dans ma tête. Madame m'aide à retirer ma cagoule, Monsieur retire la laisse et je les regarde, restant docilement au sol. Nous discutons un peu, comme dit Monsieur, notre relation avance vite, tout se fait au feeling et a l'envie de chacuns et chacunes, l'on ne s'oblige a rien et c'est une très bonne chose. C'est sur que c'est allé assez loin mais j'ai l'impression que tout le monde y a pris du plaisir donc c'est super hihihi.
Grâce à Monsieur et a Madame, j'ai pu passer une superbe soirée, j'ai pu me sentir bien, j'ai pu me détendre, me laisser aller et être a ma place. Je Les remercie énormément pour ce qu'Ils m'ont fait subir, pour la cagoule qu'Ils m'ont offert, pour le temps qu'Ils m'ont donné et la douceur dont Ils ont fait preuve.
Je n'ai jamais été traitée ainsi, il n'y avais jamais eu un tel mélange entre restrictions physiques et mentales accompagnée de douceurs et de douleurs. Ils m'ont fait découvrir des choses ce soir. Ils m'ont fait découvrir ce que cela fait d'être une poupée, Leur poupée et rien que pour cela, je Les remercie énormément.
J'espère que j'ai pu Leur offrir autant voir même plus de plaisir que ce qu'Ils ont pu m'offrir, j'espère qu'Ils ont passé une belle soirée après ces mois de travail. J'espère avoir été a la hauteur de Leurs attentes, avoir satisfait Leurs envies.
Encore merci pour tout.
Avec toute sa dévotion.
prixie.
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Par : Luminae
(J'avais commencé cette histoire il y a quelques années et on m'a incité à la continuer, alors continuons !)
"Truie."
Je me réveillais en sursaut, quand m'étais-je ainsi assoupie ? Impossible de le savoir. Tout comme il m'était impossible de savoir combien de temps s'était passé. La bouche toujours pleine du gode qui me servait de bâillon attaché à la cagoule, je sentais des restes de bave qui avait coulé sur ma joue.
J'entendis la porte de la cage s'ouvrir et il me retira le bandeau accroché à la cagoule. Je pus enfin voir un petit peu à nouveau, puis je sentis les lacets sur l'arrière de ma tête se desserrer et enfin alors que la cagoule allait glisser d'elle-même, il me retira le bâillon qui était resté bien longtemps dans ma bouche.
Je sentais la bave séchée contre ma joue, et ma bouche me faisait mal d'être restée forcée aussi longtemps. Sa main passa sur ma tête comme on caresse un animal sans y penser, et il me fixa à nouveau une laisse sous le menton, qu'il tira sèchement pour me tirer de la cage et de ma torpeur encore endormie. Je me mis à le suivre tout en restant à quatre pattes. Il m'amena à nouveau dans la salle carrelée et me fit grimper dans la baignoire.
Me demandant ce qui allait m'arriver, j'essayais de deviner quelle heure il était, peut-être le début d'après-midi ? Comment le dire ? Je sentis brusquement sa main passer sur mon derrière et entre mes fesses comme pour me caresser avant de sentir quelque chose de froid s'insérer dans mon anus, sans le forcer. Du lubrifiant ? L'instant d'après quelque chose s'enfonça en moi, sans faire mal ni forcer mes sphincters, et l'instant d'après je sentais un liquide tiède me forcer l'intérieur. Un lavement, bien sûr.
"Ne bouge pas, truie, et garde bien en toi."
Il retira la poire puis j'entendis des bruits d'eau sans pouvoir voir quoi que ce soit ni oser me tourner de peur d'être punie. Très vite je sentis à nouveau la poire s'enfoncer et de nouveau un liquide tiède me remplir encore. Cela commençait à être dur de se retenir et je serrais mes petits poings et les dents. Il recommença son manège une troisième fois et je hoquetais à me sentir défaillir d'être ainsi remplie, sentant un peu de liquide couler malgré moi.
"Garde en toi, j'ai dit !" gronda-t-il tandis que je me concentrais aussi fort que je pouvais sur mes sphincters pour les empêcher de tout déverser. Cet enfoiré se mit alors à m'appuyer sur le bas ventre et le cul, j'eus envie d'hurler le temps d'une seconde, mais je tins bon. Enfin, il me donna une tape sur le cul.
"Allez, ouvre les vannes, truie. Montre à quel point tu es sale."
Je fermais les yeux en relâchant cette pression forte en moi, sentant surtout de l'eau mais pas que glisser, et ne voulant même pas voir la couleur de ce liquide horrible qui devait passer entre mes jambes. Mais bien que je garde les yeux fermés, rien ne m'empêcha de sentir ma propre odeur. Horrible.
"Ah, oui, tu pues truie !" ricana-t-il d'un ton moqueur. J'étais mortifiée, mais pourtant aussi soulagée. Mes poings se relâchèrent un peu, je baissais la tête machinalement tandis que je me sentais me détendre un peu. Mon repos fut de courte durée, car très vite il recommença à me remplir, et mortifiée je me rendis compte que je n'en avais pas fini. Heureusement, il arrêta au bout de deux remplissages, et me fit me vider à nouveau.
Là encore, je ne pus que garder les yeux fermés en me vidant.
Enfin, il prit le jet d'eau qu'il fit couler un peu jusqu'à avoir de l'eau tiède et se mit à me laver le cul, frottant bien l'anus avec un gant, et projetant mes "restes" vers le siphon. Après m'avoir rincé les jambes et les mains, il dut considérer que j'étais suffisamment propre et se mit à me frotter le corps vigoureusement avec une serviette pour me sécher.
"Debout, truie."
Surprise, je me redressai lentement, avec l'impression d'accomplir un interdit tandis qu'il me séchait plus vigoureusement le corps de sa serviette et que je me tenais face à lui. Je n'osais lever le regard vers lui, toujours terrifiée de ce qu'il pouvait me faire. Durant tout ce temps il avait gardé la laisse à son poignet, mais je ne m'en rendais compte que maintenant, tandis qu'il se mit à tirer dessus pour m'inciter à le suivre. Ce que je fis, le suivant à monter l'escalier avant qu'il ne m'amène dans la chambre avec le large lit.
Tirant sur la laisse, il me mit à genoux sur le lit, me faisant écarter les jambes. De sous le lit, il sortit des bracelets de cuir et m'en fixa un à chaque cheville avant de prendre une barre d'écartement et de fixer chaque extrémité aux bracelets, s'assurant que j'étais bien ouverte et exposée. Deux autres bracelets se retrouvèrent à mes poignets et il me pencha en avant pour attacher ceux-là ensemble à une chaîne qu'il tendit et accroché à la tête du lit en acier. Enfin, il prit un harnais de tête qu'il me glissa autour du visage, un épais bâillon mou enfoncé dans ma gueule tandis que des lanières de cuir se refermèrent sur mes joues, mon menton et mon crâne. Enfin, deux petits crochets vinrent se fixer dans mes narines, et je sentais sa respiration devenir plus forte tandis qu'il serrait l'attache les retenant pour être sûr que mes narines étaient bien tirées vers le haut.
Comme pour appuyer le groin de la truie que j'étais probablement à cet instant.
Enfin, il décrocha la laisse qui pendait encore sous mon menton, mais la rattacha à un anneau à ma nuque. Brusquement, il me souleva la taille vers l'arrière, et je sentais mon torse partir vers l'avant tandis que la chaîne retenant mes poignets me maintenait les mains devant moi. J'eus un petit cri de surprise alors qu'il semblait me grimper dessus, et que je sentais sa main droite venir me torturer le sein, pinçant mon téton, tandis que j'entendais sa main gauche défaire son pantalon. Il s'interrompit un instant, continuant à me malaxer le mamelon de la main droite tandis qu'il devait chercher à défaire son pantalon.
Il se releva un instant, et j'attendis patiemment sans oser bouger, toujours penchée sur le ventre, mes jambes maintenues écartées par la barre, les bras bien tendus en avant retenus par la chaîne. Levant les yeux je découvrais avec horreur le même point rouge qui m'avait fixé dans la nuit. Cet enfoiré était en train de filmer ces exploits. Mais je ne pouvais plus rien y faire à présent.
Une sensation froide se fit sentir à nouveau sur mon anus, et je le sentis enfoncer ce qui devait probablement être un pouce recouvert de lubrifiant. Qui fut suivi très vite par sa propre bite qui s'enfonça d'abord doucement, me forçant par petits à-coups tandis que je gémissais et me sentie remplie. Cela expliquait le lavement, me dis-je stupidement, comme si cela avait une importance à cet instant.
Son rythme s'accéléra assez vite, tandis que je sentais mes sphincters s'habituer à cette présence. Soudain, il se mit à tirer la laisse, m'étranglant et j'eus un sursaut, mais la chaîne retenant mes mains était bien tendue et je ne pouvais pas lutter contre son mouvement. Il relâcha la pression sur mon cou rapidement, mais recommença plus fortement lors de son va-et-viens suivant, m'étranglant fortement.
Et je me sentais aux anges.
C'était une sensation si étrange, si forte, une perte de contrôle complet, je ne pouvais absolument pas me défendre et on m'étranglait en me prenant par derrière, et pourtant je me sentais si bien à cet instant. L'excitation montait en moi, au rythme des coups forçant mon derrière, et des étranglements toujours un peu trop longs. Je me laissais aller complètement.
Enfin, il jouit en moi, et continua encore un peu son mouvement tandis qu'il tirait moins sur la laisse et me laissait respirer davantage. Ressortant de mon anus, il me détacha la chaîne qui retenait mes poignets, et me fit m'allonger sur le côté, puis me montra la capote remplie qu'il avait retiré qu'il tenait dans sa main, et la versa subitement sur mon visage. C'est amusant car si je fus surprise par ce geste, mon premier instinct allait pour ses draps ou le harnais de tête que je portais, et pas, disons, pour mon propre visage qui allait être ainsi souillé. Je sentais l'odeur de son foutre fort partout sur mon visage.
Il s'allongea à son tour à côté de moi, un peu à bout de souffle, et sa main vint se mettre sur mon crâne pour me caresser doucement, comme machinalement. Je crois qu'à cet instant je pus me mettre à ronronner de plaisir, bien que ce soit sans doute imprévu voire inattendu, c'était exactement ce dont j'avais besoin pour me remettre de mes émotions.
Quelques minutes passèrent et sa respiration devint plus lente. Je sentais le foutre sécher sur mon visage comme des restes de crème glacée sur mes joues. Il continuait encore de me caresser le crâne doucement, et je luttais fort pour ne pas m'endormir à cet instant, convaincue que je serais immédiatement punie. Bien que j'avais fait la sieste plus tôt, je me sentais physiquement et mentalement épuisée, mais pourtant étrangement satisfaite, bien que n'ayant bien sûr pas joui.
Enfin, il se releva pour me détacher la barre qui était accrochée à mes chevilles. Il me laissa un instant sur le dos, nue et ne portant que ces bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles, un harnais de tête et bien sûr ce collier, puis il retira le harnais de tête, comme s'il venait de changer d'avis. Je retrouvais ma bouche encore endolorie, ayant mordu le bâillon plus que de raison (et espérant ne pas avoir laissé de marque de dents dessus !).
Il se leva à nouveau et partit chercher quelque chose dans l'autre pièce. Revenant rapidement avec un tissu à la main, je compris que j'allais avoir droit à la couche à nouveau. Il m'enferma l'entrejambe dans du plastique à nouveau et me fit m'asseoir, me prenant dans ses bras. J'étais surprise par ce geste, et restais craintive, surtout lorsqu'il avança une sorte de gros biberon vers mon visage. Méfiante, j'eus un mouvement de recul tandis que je tentais de sentir toute odeur d'urine qui pourrait en sortir, mais il m'enfonça malgré tout la tétine, et je me mis à téter machinalement.
C'était simplement du thé un peu amer, mais sucré, et doux. Je ronronnais à nouveau. Ces instants de répit étaient vraiment les bienvenus après les difficultés rencontrées. Je bus plusieurs gorgées et ressortis la tétine de ma bouche, mais il me regarda en fronçant les sourcils d'un air grave, et sans avoir à faire quoi que ce soit de plus, je repris tout de suite la tétine en bouche. Il y avait beaucoup à boire... mais j'avais diablement soif. Le goût de la pâtée était parti, et cela faisait du bien de sentir quelque chose d'aussi doux.
Finissant ce gros biberon, il semblait satisfait de ma prestation, et accrocha à nouveau la laisse à l'avant de mon collier, tirant dessus pour m'inciter à le suivre. Nous redescendîmes les escaliers, il me ramena à ma place initiale, la cage. Avant de me glisser dedans, il me mit à nouveau les moufles cadenassées aux poignets, puis inséra un bâillon en forme de tétine dans ma bouche qu'il ferma sur ma nuque, et attacha ensemble mes chevilles avec un cadenas. Il me fit rouler plus qu'autre chose dans la cage avant d'enfin retirer la laisse accrochée à mon collier.
Refermant la cage et la cadenassant, il me dit sobrement : "Bonne nuit, truie."
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Par : Monsieur Jones
J'aime donner le bain. Vraiment.
L'heure du bain, est un moment que j'aime silencieux, il n'y a que les clapotis de l'eau et les poses qu'elle prend en écho aux injonctions douces et fermes de ma voix pendant que je la savonne.
Ensuite, je rince abondamment mon poupon et le sèche avec application en tamponnant d'une serviette les zones les plus intimes.
Sur le tapis de bain, je lui frictionne les cheveux avant de l'emmener par la main vers la chambre où j'ai posé une huile parfumée.
Je prends tout mon temps pour lui enduire la peau de cette huile aux senteurs d'orange.
Quand elle est prête, je lui dis de filer chercher son journal.
Quand elle revient, elle me tend avec une mine contrite le carnet coloré où elle mentionne jour après jour ses envies, ses bêtises, ses peurs, ses punitions et ses pensées les plus intimes.
Je pose le carnet à coté de moi et j'attrape dans le tiroir de la commode une petite pince.
Cette pince est spéciale. Son ressort de rappel est tellement mou qu'elle se ferme avec une pression d'une infinie délicatesse. Ses "lèvres" sont longues comme les deux phalanges d'un doigt, elle sont assez fines, feutrées et tapissées de soie.
Je lui demande alors de me faire face, debout et immobile, le sexe présenté.
Je lui signale que je distingue une humeur démonstrative dans le sillon de sa vulve. Sa bouche se tord.
Je saisis alors les lèvres de son sexe entre le pouce et l'index en les plaquant l'une contre l'autre afin d'y placer très délicatement la pince de soie.
Je lui fais signe de s'asseoir sur mes genoux, les cuisses légèrement ouvertes et lui dis:
bébé, je viens de fermer ton sexe, le temps de parcourir ton journal. Nous verrons ensuite si je l'ouvre à nouveau pour que tu ais ta récompense ou si je le laisse fermé en attendant que je te corrige...
Je commence alors la lecture du carnet en silence.
Et elle, assise, nue, les yeux délicieusement baissés, elle m'observe à la dérobée, à l'affût de tout ce qui pourrait trahir mes pensées...
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Par : soumis8968
Sur ordre de ma maîtresse " Madame Angèle"
Je dois partager avec vous mon journal de soumis ( sans aucune retouche)
Suite à un moment de doute, le journal a connu une pause, mais dans sa grande mansuétude, Maîtresse a accepté de me laisser une seconde chance
Bonne lecture
Jour 15
J'ai laissé Maîtresse sans nouvelles pendant 3 jours, mes hommages de ce matin sont restés sans réponses. Maîtresse a juste publié le jour suivant du journal. Cela me provoque toujours un mélange de fierté d'appartenance, de honte d'être exposé sans pouvoir intervenir, d'excitation d'être montré , de peur d'etre identifié. Surtout que je viens de m'apercevoir que les articles sont partagés, par qui ? Ou?
Nous avons brièvement échangé ce soir tard, elle me semble de plus en plus distante et agacée par mon attitude. Je sens que je suis en train de la perdre, cette perle que j'ai mis si longtemps à trouver mais c'est entièrement de ma faute.
Mes hommages de ce matin ont été vus mais restés sans reactions.
Je me suis marqué a nouveau
Et j'ai eu droit a une inspection, comme à chaque fois ce mot claque comme un coup de cravache et emballe mon cœur. Maîtresse a validé mais il faut que je me rase.
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Par : Monsieur Jones
- Dr Xaroff, je ne sais pas ce qui m'arrive, j'ai la libido en hibernation, je n'ai plus envie de rien, je ne me caresse même plus, je n'entretiens, avec mon corps, plus que des relations de bon voisinage.
- Je vois, je vois... Mademoiselle, je vais procéder à une auscultation précise afin d'établir un diagnostique complet. Je vous demande de vous y soumettre totalement et sans aucune réserve, il y va de votre santé !
D'abord vous vous mettrez debout, la tête droite et les mains le long du corps. Soyez totalement immobile ou vous fausserez mes conclusions.
J'apposerai mes deux mains autour de votre cou, pour en évaluer le flux artériel et les éventuelles tensions musculaires.
Je dégraferai ensuite votre décolleté pour mettre à l'air votre poitrine, il est important que je surveille ses réactions pendant l'examen.
Vous garderez vos talons mais je ferai glisser votre culotte sur vos chevilles afin d'avoir un accès total à votre entrecuisse, comprenez bien qu'il s'agit là d'un acte médical effectué par un professionnel.
Je roulerai votre jupe sur vos reins de manière à ce que vos fesses soient accessibles et, en pressant l'intérieur de vos cuisses, j'en ajusterai l'écartement. Surtout ne bougez pas! Il est important que je sente si votre souffle s'accélère ou pas, vous comprenez?
Une fois votre sexe accessible, j'y apposerai le plat de la main pour en évaluer la chaleur. De l'index, je creuserai le sillon qui le partage en observant scrupuleusement la pointe de vos seins. Je chercherai à déceler, par exemple, si vos seins se tendent et vos tétons se raidissent quand mon doigt procède à cette inspection. Ce serait une très bonne nouvelle, vous savez?
Je prendrai alors, l'un après l'autre, les tétons entre mes lèvres pour en estimer la tension. Si vous bougez, je serai obligé de vous sermonner voire de vous menacer d'une fessée, alors respectez mon examen en restant immobile s'il vous plait.
Après avoir ôté votre culotte, je vous demanderai de monter sur la table et de vous y mettre à quatre pattes. j’appuierai sur vos reins pour obtenir la juste cambrure et écarterai légèrement vos cuisses pour que votre sexe soit parfaitement accessible et disponible.
Un examen visuel précis devrait me permettre de déterminer l'intensité de votre lubrification.
Je vous demanderai d'éviter toute oscillation du bassin, même imperceptible, pendant cette inspection, je sais que c'est involontaire mais vous fausseriez tout !
J'irai ensuite pointer ma langue sur votre bouton clitoridien, afin d'en mesurer la turgescence et de déterminer les réactions de cette stimulation.
Restez silencieuse, il est crucial que je décèle toute altération de votre souffle. Normalement avec une telle sollicitation, vous devriez mouiller d'une façon plus abondante, mais il faudra le vérifier précisément.
Ensuite je vous écarterai les fesses afin de pointer le bout de mon index sur votre anneau. Je le ferai avec une juste pression pour que la pulpe de mon doigt pénètre légèrement votre oeillet sans que ma phalange ne s'y invite.
Restez à quatre pattes et plaquez alors votre poitrine contre la table. Mon geste vise à évaluer la tonicité de votre périnée. Je vous dirai alors de le contracter et je compterai à voix haute jusqu'à 30. Pendant que je compte, vous devrez absolument maintenir votre périnée contracté au maximum.
Sachez que mon doigt au contact de votre muscle et sa chair ressentira immédiatement le moindre relâchement que je serai obligé de sanctionner par une fessée (oui encore, mais il ne faut pas prendre les choses à la légère)parce que vous faussez mes investigations.
Quand j'aurai atteint 30, je vous autoriserai à relâcher votre muscle périnéal. En fonction de vos capacités nous recommencerons cet exercice avec différentes variantes. Faites de votre mieux pour vous y soumettre, il en va de la pertinence de mon diagnostique final.
Pour finir, Mademoiselle, j'irai sonder votre vagin avec un appareil vibrant. Je sais, ça peut être impressionnant mais dites-vous que c'est pour votre bien et qu'il en va de la 'profondeur' de votre bilan. Cet examen n'est pas douloureux, bien au contraire, vous verrez...
Est ce que vous avez des questions?
Heuuu Docteur...j'ai très... comment dire... très envie d'être baisée, là, maintenant...
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Par : #
Un de nos clients du gîte fétichistes souhaitait vivre une expérience de selfbondage associant couche, BDSM, féminisation, Espace-game, chasteté mais quelque chose de long et contraignant. Il m’a demandé si je pouvais le guider puis lui organiser quelque chose et surtout, le sécuriser. (Nous avons des hommes seuls qui viennent s'amuser et parfois sous prétexe de voyage d'affaire ou mission...)
Avant toute chose, je lui ai posé quelques questions en lui demandant de me préciser un peu plus ses envies en terme de jeu et pratiques.
Lors de cet échange, il n’a pas arrêté d’insister sur le fait qu’il voulait que cela soit à la fois long sans pour autant être attaché toute la nuit.
Il me fallait donc lui trouver un scénario adapté à ses besoins. Je lui ai demandé si il voulait vraiment quelque chose de long et vraiment contraignant avant de lui proposer un scénario, ou plutôt, d’associer plusieurs scénarios. Comme il a accepté mes idées de pervers (rire) je suis donc allé lui chercher le matériel de base : couche + culotte plastique + le plug en lui demandant de s’équiper pendant que j’allais chercher les vêtements + sous-vêtements nécessaires.
Le pauvre !
Il portait déjà sa cage de chasteté et s’est donc mis un plug dans les fesses puis une des couches puis avec une culotte plastique que FranceABDL nous a offertes pendant que j’allais lui chercher ses « tenues ». A mon retour, il était très gêné. Je l’ai rassuré et surtout félicité pour son courage car rares sont ceux qui s’assument.
Pour l’aider à garder son plug, je lui ai fait voir comment se faire un string avec une corde passant bien entre les fesses sur la couche mais sans trop serrer le devant de la couche. Ensuite, je lui ai prêté un de nos serres taille en lui demandant de se le mettre sans trop serrer quand même puisque il allait devoir le garder longtemps.
Il voulait aussi des pinces à sein, comme le scénario allait durer longtemps, encore une fois je l’ai dissuadé de prendre les modèles de notre placard à « jouets » car sur la durée, cela risquait de poser de réels soucis, surtout lors du retrait. Il s’est donc mis des pinces à linge soft d’un air de dire « « que ce n’était rien pour lui » ».
« Oui, oui, cause toujours, on verra demain » ai-je pensé à ce moment là. A la suite de quoi, je lui ai passé une brassière et lui demandait de l’enfiler et de s’en servir pour plaquer les pinces à linge vers le bas. Pour concrétiser sa féminisation et aider au maintien de la couche, il a ensuite enfilé un de nos bodys.
Si ce n’était pas très esthétique, c’était déjà très efficace !
Pour finaliser son habillage, il a enfilé la grenouillère d’été qu’il a du fermer avec un de nos cadenas. Là, il n’était « pas belle du tout » RIRE, mais c’était son trip, alors, il était parfait pour moi, le principal était qu’il s’amuse.
LE SELFBONDAGE
Je suis allé déposer les clés (pas celles de sa cage ni ne la grenouillère) sous le sling au fond du couloir. Je lui ai ensuite passé des chaînes + deux cadenas pour qu’il attache ses chevilles. Et pour ça, il a du s’asseoir par terre et, à sa grimace, j’ai bien compris que le plug...
Je lui ai passé des menottes qui ne s’ouvrent pas sans clés en lui disant de les bloquer dans la chaîne attachant ses pieds mais SANS les fermer. Ensuite je lui ai prêté une cagoule d’isolation BDSM en lui expliquant qu’une fois qu’il l’aurait mise et bien fermée, il ne verrait plus rien et devrait donc bloquer ses poignets dans les menottes bloquées dans la chaîne de ses chevilles à l’aveugle puis, qu’il devrait aller chercher les clés comme il pourrait. J’ai déposé le premier indice de l’Espace Game n°1 sur le bar en lui souhaitant « bon jeu et bonne nuit ».
Et là, je l’ai laissé seul, j’avais de la marche à pied et du vélo à faire. (Si si, c’est important pour la suite) Je suis donc allé déposé les indices sur le terrain que je connais parfaitement pour qu’il puisse trouver la clé de la grenouillère et l’indice lui indiquant où se trouvaient les clés de sa cage de chasteté. Là, je me suis amusé...
Il a du me maudire X fois ! MDR
En effet, comme il était 22 heures, ce n’est pas avec la lumière de son téléphone mobile qu’il risquait de trouver les indices dans les arbres au milieu de la nuit. Étant tranquille, je ne suis allé cacher les clés de sa cage de chasteté en vélo électrique que le lendemain. Sauf que ces clés étaient dans une boite en plastique cachée dans un sac plastique en dehors de la propriété. Si moi j’avais fait 10 minutes de vélo à 7 heures du matin, lui allait devoir marcher au moins 30 minutes avant de se faire son « self service ».
RESULTATS
D’après lui, il a mis plus d’une heure à trouver les clés des menottes et cadenas dans le donjon. Si il a bien aimé la cagoule d’isolation, faire du « sport » habillé comme il était, lui a donné si chaud qu’il n’osait plus ouvrir les yeux à cause de la transpiration.
Il a bien essayé ensuite d’aller trouver les indices de l’Espace Game, mais a rapidement changé d’avis, car de nuit, cela lui paraissait impossible. Son téléphone mobile n’éclairait pas assez loin.
Il n’avait jamais mis de serre taille et a donc « goûté » à cette contrainte physique que les femmes s’imposent souvent pour se plaire mais aussi plaire à nos yeux. En clair, il a mal dormi déjà à cause de ça.
Ensuite, une des causes du trouble de son sommeil a été la brassière bloquant les pinces à linges qu’il portait sur ses tétons. N’aimant pas dormir sur le dos, cela a été compliqué pour lui. Il m’a avoué avoir essayé de retirer les pinces, mais qu’avec la brassière rembourrée et la grenouillère il n’y était pas arrivé. (Comme si cela n’avait pas été le but.... heureusement pour lui que je l’avais dissuadé de mettre des pinces à sein plus sévères)
Si ce n’était pas la première fois qu’il mettait une couche, marcher le lendemain sur le terrain avec ce « truc » lesté d’urine entre les jambes ne l’avait pas beaucoup amusé surtout qu’il avait peur d’être vu en grenouillère par le voisin venu travailler sa terre.
Arrivé dans son gîte après 30 à 40 minutes de marche et de recherche, son déshabillage fut, d’après lui, compliqué. Je pense qu’il parlait des pinces à linges sur ses tétons, une nuit entière c’est long et dur le lendemain lors du retrait. En plus, cela devait presser « derrière » avec son plug et que la corde avait du se mouiller quand il a transpiré. Défaire les noeuds d’une corde mouillée n’est pas facile. Il voulait du long, alors....
Monsieur s’est offert une grasse matinée, je le sais parce qu’il m’a dit avoir souffert de la chaleur pour aller chercher les clés de sa cage de chasteté. Logique, en Espagne on part marcher de bonne heure car après 11 heures, le soleil commence à taper.
Lorsque nous nous sommes croisés à la piscine le soir, il m’a dit, avec humour, que j’étais un sacré enfoiré de pervers. Je l’ai remercié de ce compliment en lui demandant s’il désirait un autre scénario. Sa réponse a été « oui mais sans pince à sein », on se demande pourquoi ? (Rire au départ, il les avait trouvées trop soft...)
Il avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou encore plus taré que moi a souhaité que je l’associe à un Espace game.
Le pauvre....
Je vous raconte ça un autre jour.
TSM (qui s’est bien amusé en lui faisant plaisir)
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Par : sylvie35
[Les nombres entre crochets renvoient aux références citées en fin de texte, qui peuvent éclairer le lecteur sur certains aspects évoqués]
Mon Maître sort un mètre ruban de sa poche et mesure mon tour de taille, sous l’œil intrigué, voire amusé, de certains passants. Instinctivement je bande mes abdominaux et je baisse la tête de honte, n’osant plus regarder autour de moi, et cherchant dans quelques cheveux la protection d’un bien dérisoire voile. Car même si la scène n’a rien de provocant ni d’ostentatoire, même si mon Maître est discret et que nous ne sommes pas en plein milieu du passage, je suis consciente que cela ne manque pas de susciter questionnement et amusement chez les témoins occasionnels. Puis c’est au tour de mes hanches et de ma poitrine d’être mesurées. "On reverra cela plus précisément quand tu seras nue".
Il semble satisfait et me dit que l’on va y aller, que je peux descendre du pèse-personne [1]. Alors que je m’apprête à le ramasser pour le remettre dans le sac à dos, une voix peu sympathique me fait sursauter. "Police Nationale. Contrôle du fucking pass [2]."
Je ne l'avais pas vu venir. "Je ne la baise pas..." répond mon Maître. "Nous sommes seulement de bons amis".
"Vous me prenez pour un demeuré?" répond le policier. "Pourquoi est-ce que la demoiselle porte ce genre de collier?"
Je me sens paralysée par le stress. Cette affaire va mal finir...
"C'est bon, c'est bon, je m'en occupe" dit son collègue, que je n'avais pas vu tout de suite.
Pendant que l'autre s'éloigne, il s’adresse à nous à voix basse "Désolé, on a des ordres. Soyez plus discrets si vous ne voulez pas vous attirer d'ennuis".
Alors que mon Maître le remercie, il nous dit sur un ton pessimiste "Ce n'est qu'un début. Soyez prudents à l’avenir."
Est-ce à ce moment-là que j'ai pris la décision qui fera de moi une hors-la-loi [2] ? Difficile à dire. Parmi une multitude de gouttes d'eau, laquelle est celle qui a fait déborder le vase ?
Mais je ne dois pas penser à cela maintenant. J'y penserai quand je serai de retour à la maison. Pour l'heure, je dois me concentrer. Donner satisfaction à mon Maître. Ne pas me laisser dépasser par mon esprit bouillonnant.
Je suis mon Maître jusqu’au parking. Sa voiture est garée tout au fond, dans une zone peu passante. Il ouvre la portière et me demande de me pencher en avant. Je m’exécute, les coudes posés sur le siège. Après avoir mis mon sac dans le coffre, il revient vers moi. Je sens un doigt qui appuie fermement dans le bas de mon dos. « Cambre-toi correctement ! ». J’essaie de corriger ma position, faisant reposer ma poitrine sur le siège au lieu des coudes, creusant mes reins. Cela tire à l’arrière de mes cuisses. Je manque visiblement de souplesse : c’est décidément un point qu’il faudra travailler. J’écarte davantage les jambes pour réduire la tension.
Ma robe est si courte que je me retrouve les fesses à l’air. Instinctivement, je la retrousse un peu plus, dégageant ma croupe, et j’écarte mes fesses avec les mains.
« Belle initiative, Salope ! Je suis fier de toi. Tu as bien retenu la leçon »
La voiture file sur l'autoroute. Impossible de me rappeler comment je me suis retrouvée là. Il y a deux secondes j'étais encore sur le parking, les fesses à l'air. Le trou. Trop d'émotions, trop de stress, mon esprit a dû déconnecter.
C'est angoissant d'avoir un trou de mémoire, comme si des minutes de ma vie avaient été effacées.
Pourtant, je me sens presque soulagée d'être là: le trac dans les jours précédents a été terrible, j'ai mal dormi, je ne suis pas au mieux de ma forme. Mais je dois tenir bon. Peut-être que finalement le plus dur a été fait: prendre la décision et m'y tenir. Ne pas renoncer au dernier moment, avant de monter dans l'avion. Ne pas me laisser submerger par la peur.
Mon Maître a été très clair: cette relation sera non consensuelle. J'ai goûté à mes derniers moments de liberté. Maintenant je vais obéir. Je suis une esclave. Je suis sa propriété.
"Non consensuelle"... Ces mots auraient dû me faire peur et pourtant je me sens presque sereine. Je lui fais confiance. Je sais qu'il n'abusera pas du pouvoir immense qu'il possède à présent. Je sais qu'au fond de lui c'est un homme bon. Je l'ai senti. J'en suis persuadée. Je me répète cela dans ma tête. Pourquoi? Ais-je encore un petit doute, encore besoin de me rassurer? Est-ce parce que je sais que je vais être fessée, giflée, fouettée, baisée comme une chienne ? Pourtant j'avais aimé quand il me l'avait annoncé, j'avais aimé cette franchise.
Il faut que j'arrête de cogiter. Alors je regarde le paysage défiler, j'essaie de faire le vide dans mon esprit. Je sens que mon clitoris est gonflé à bloc. La tension sexuelle est à son paroxysme. J'ai l'impression d'être à deux doigts d'avoir un orgasme spontané. Mon esprit cogite encore, mais visiblement mon corps n'a pas d'états d'âme. Cela me rassure.
J'ose jeter un rapide coup d’œil sur Mon Maître. Il semble heureux. L'expression de son visage est rassurante. Zut, il s'en est rendu compte. Je détourne le regard et baisse les yeux immédiatement. J'espère que je ne vais pas être punie pour avoir osé lever les yeux sur mon Maître. Il faudra que je sois plus prudente à l'avenir. Il faut vraiment que je me mette bien en tête que ma vie de femme libre fait partie du passé, que je suis une esclave à présent et que je dois me comporter comme telle.
Il me parle, avec gentillesse. Se pourrait-il qui ait senti cet immense besoin d'être rassurée?
Il m'incite à m'exprimer. Mais je ne suis pas une grande bavarde. Pourtant, quand on me branche sur certains sujets, je peux devenir intarissable. C’est bizarre la psychologie.
Je préfère éviter de lui parler de mes sentiments, de notre relation, de peur d'être submergée par mes émotions. Je lui raconte le décès soudain du jeune homme dans l'avion, qui m'a perturbée [1]. "Probablement qu'il ignorait les risques qu'il courait en prenant l'avion", lui dis-je. "S'il avait su, il aurait évité... C'est triste".
Puis, consciente que je n'ai pas choisi le sujet de discussion le plus réjouissant, je me permets de le taquiner en lui demandant si c'est pour m'impressionner qu'il a loué cette magnifique Aston Martin de collection pour venir me chercher. Ca le fait rire. Il sait que je ne suis pas attachée au paraître. Pourtant j'adore conduire et j'aurais bien aimé pouvoir prendre le volant de ce bijou, mais malheureusement mon permis de conduire m'a été retiré. Une étude de 2022, financée par le gouvernement Canadien, démontre que ceux qui ont refusé les injections salvatrices ont 72% de risques en plus d'être impliqués dans un accident de la route [3]. Cette étude a été ressortie par l'OMS et a fait tache d'huile dans les nations fondatrices de la suprême alliance démocratique [2]. Partout, le monde politico-médiatique s'est emballé et les appels ont fusé pour prendre d'urgence des mesures radicales afin d'écarter ces dangereux chauffards de nos routes. Les experts ont défilé sur les plateaux télé pour expliquer qu'il faut suivre le consensus scientifique et mettre les anti-science hors d'état de nuire.
Pendant que je parle, je sens soudain un objet dur qui me fait très mal au cul. Quand me l'a-t-il mis? Sur le parking, sans doute. Comment se fait-il que je ne l'ai pas ressenti avant? Je ne suis vraiment pas dans mon état normal. Mon cerveau filtre mes sensations. Est-ce un mécanisme de défense face au trop plein d'émotions? Dans mon enfance j'ai eu une méchante blessure au bras. Je n'ai rien senti tant que je n'ai pas regardé et quand je l'ai vue la douleur a surgi d'un coup et j'ai hurlé. Est-ce le même type de mécanisme?
On s'arrête sur une aire d'autoroute, très peu fréquentée. La journée touche à sa fin et il fait déjà un peu sombre. La voix de mon Maître est soudainement devenue plus dure. Il m'ordonne de retirer ma robe sur un ton qui me fait comprendre que je n'ai pas intérêt à l'obliger à répéter.
"Tu peux profiter des toilettes, mais ne traîne pas".
En temps normal j'aurais demandé à remettre ma robe, mais je sais qu'une telle insolence ne serait pas tolérée de la part de l'esclave que je suis à présent. Alors, c'est la boule au ventre que je sors de la voiture, nue, sous les yeux de mon Maître, mon propriétaire, celui qui à présent a tous les droits sur moi.
à suivre...
Références
[1] "Un prénom qui n'existe pas", article publié sur bdsm.fr le 16/11/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8242/Un-pr%C3%A9nom-qui-n'existe-pas/
[2] "Le perchoir d'Ysideulte", article publié sur bdsm.fr le 15/09/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d%E2%80%99Ysideulte/
[3] D. A. Redelmeier, J. Wang, D. Thiruchelvam, "COVID Vaccine Hesitancy and Risk of a Traffic Crash", The American Journal of Medicine, 2022, https://doi.org/10.1016/j.amjmed.2022.11.002
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Par : Thutale
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique
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Enfances
(Récit pathétique)
Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite.
J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer.
Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer.
Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé.
Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux.
Invariablement, l’autre est hostile.
Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement...
...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit.
Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ?
Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise…
Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif.
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Par : sylvie35
Debout à l’avant du pont, cheveux au vent, je ferme les yeux pour me sentir en communion avec la nature, ressentir le souffle de l’air frais sur mon visage, entre mes cuisses. Je ne porte pas de culotte. Jamais ! Ordre du Maître.
Le ferry s’approche du petit port de Rønne. Il va être temps de quitter le pont et de regagner ma voiture pour le débarquement.
Les attaches du porte-jarretelles qui dépassent largement de la micro-jupe me donnent un air de pute, j’en suis persuadée. Toujours cette gêne que je ressens. Difficile de se débarrasser de ma pudeur instinctive issue de mon éducation de fille bien sage. Mais je n’y peux rien, c’est mon Maître qui choisit mes tenues, même quand nous sommes séparés.
« Ainsi tout le monde sait que tu aimes la bite, et moi ça m’excite de le faire savoir » me répondait-il en souriant quand je lui faisais part de ma gêne. Ce n’est pas faux. J’adore la bite. Mais de là à le faire savoir aux inconnus que je croise…
Un jeune homme m’aborde. Même pas sûre qu’il soit majeur. Pour moi qui suis dans la trentaine, j’avoue que c’est flatteur.
« Hej frøken, rejser du alene? »
Je lui réponds en anglais, que je suis française et que ne comprends pas le danois.
Surprise ! Il me répond en Français, avec un fort accent, mais très compréhensible.
« Ah la France ! Quel beau pays ! Blablabla… »
Je comprends surtout qu’il aimerait bien me mettre la bite. Mon Maître n’a pas tort, le message délivré par ma tenue est sans ambiguïté.
Il me demande combien de temps j’ai prévu de rester et me propose de m’accompagner pour me faire découvrir l’île.
Les consignes sont claires : je ne suis pas autorisée à prendre des décisions importantes toute seule. Je dois contacter mon Maître pour lui demander la conduite à tenir. Mais là je n’ai pas le temps, il faut que je regagne ma voiture pour le débarquement. Alors je décline poliment. J’en informerai mon Maître plus tard et il décidera s’il y a lieu de me punir pour cette entorse au règlement.
Il me demande mon mail. J’apprécie la délicatesse, c’est moins intrusif que le tél. Il est sympa finalement. Je crois que je l’aime bien. Mais même ça je ne veux pas. Je lui demande quand même le sien pour garder une possibilité de contact, au cas où. Il me l’écrit sur un papier et me souhaite bon voyage. Il ne me met pas la pression. J’apprécie.
Depuis l’instauration du fucking pass [1], les jeunes redoublent d’envie de baiser en cachette, malgré les risques encourus. L’attrait de l’interdit… Cela me donne un peu d’espoir. Peut-être qu’il reste encore un peu d’humanité dans cette société lobotomisée.
Je suis très concentrée pour débarquer, cramponnée au volant. La passerelle est étroite, et j’ai l’impression que je n’ai pas intérêt à faire un écart. Cela ferait certainement rire mon Maître, comme à chaque fois que ma nature de grande anxieuse remonte à la surface.
Je pousse jusqu’ à Gudhjem, sur la côte Nord-Est de l’île. C’est un bourg pittoresque aux maisons colorées. Mais je n’arrive pas à profiter de l’endroit. Mon Maître me manque. Quand je suis à ses côtés, même le plus quelconque paysage me semble magnifique. Quand je suis loin de lui, tout me semble gris.
Allez, il faut que je me ressaisisse ! « Un bon coup de pied au cul, rien de tel pour sortir de la spirale des idées sombres » m’a dit mon Maître quand un jour j’ai osé lui confier le découragement qui me traverse parfois l’esprit lorsque son absence me pèse trop. Je grimpe en courant à toute vitesse jusqu’au sommet de la colline pour admirer le panorama. Un sacré sprint… J’y arrive complètement essoufflée, mais ça m’a fait du bien, comme si courir jusqu’à la limite de mes capacités m’avait aidée à évacuer mes pensées toxiques.
Sur la route vers l’hôtel, je me fais arrêter pour un contrôle du pass carbone. Ce n’est pas la police, visiblement. « Demokrati Forsvarsbrigader », c’est ce qui est écrit sur leurs casques. Ici aussi ils ont leur milice, apparemment. J’ai intérêt à me tenir à carreau pour ne pas attirer l’attention, mais dans la panique je n’arrive pas à retrouver mon pass. Ouf ! Le voilà. Je dois avoir l’air d’une fille qui a quelque chose à se reprocher, parce que dans la foulée il me demande aussi mon identifiant pour vérifier mon solde de crédit social.
L’hôtel qui m’a été réservé est correct, sans plus. Mais, peu importe, j’y suis juste pour dormir, je dois me lever très tôt. Je ressors la pochette dans laquelle j’ai mis les documents étranges que j’avais reçus dans ma boîte aux lettres. Quelqu’un les y avait déposés, j’ignore qui, mais pas le facteur en tout cas. Un itinéraire, des réservations d’hôtels, une feuille listant quelques consignes avec, en filigrane, à peine visible, le pangolin fou.
Rapide petit déjeuner. Beurk ! Viennoiseries à la farine d’insectes, confiture d’asticots… Tant pis, je vais me contenter du café, ce sera bon pour ma ligne.
Je laisse mon téléphone portable dans la chambre, comme indiqué sur la feuille de consignes. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, tous les téléphones sont maintenant équipés d’un dispositif de traçage, actif en permanence même quand le téléphone est éteint. L’intelligence artificielle qui analyse les données va peut-être trouver bizarre que je ne quitte pas la chambre de la journée, mais espérons que ça sera jugé sans grande importance.
J’emprunte le sentier côtier, collier d’esclave au cou, conformément aux consignes. Le soleil est à peine levé, pas un brin de vent, mer d’huile, silence absolu. « Matin calme à Bornholm ». C’est le prochain titre que je donnerai au mail quotidien que j’expédie à mon Maître, pour lui raconter mes journées, mes émotions, mes joies et mes peines, …
J’arrive à la destination qui m’a été indiquée. Un long escalier en bois, à l’accès envahi par la végétation, descend à pic le long de la falaise. Cela fait un moment que personne n’est passé par ici. Je dois me faufiler parmi les ronces qui entaillent méchamment mes jambes nues.
J’emprunte prudemment la descente, en faisant attention à ne pas déraper sur une marche instable. Le périple valait la peine. J’arrive à une magnifique petite crique déserte. C’est superbe. Mais qu’est-ce que je fais là ? Je l’ignore, mais autant profiter du cadre, puisque j’y suis. Je me déshabille entièrement, je range mes vêtements dans mon sac à dos, et je m’accorde une petite baignade. Aie Aie Aie ! Ca saisit ! L’eau est bien fraîche ici. Mais je suis bien rôdée avec les douches froides que m’impose mon Maître, alors j’y vais.
Le sel me brûle, à cause des profondes lacérations que les ronces ont infligées à mes jambes, alors je ne m’attarde pas trop.
Après m’être séchée et rhabillée, j’aperçois à l’autre extrémité de la crique un objet que je n’avais pas remarqué. A mesure que je m’en approche j’en distingue de mieux en mieux la forme.
Une cage identique à celle qui se trouve chez mon Maître. Mais ce n’est pas la même. Ca j’en suis sûre. J’y ai passé du temps dans cette cage ! J’ai rayé les barreaux avec mes ongles dans mes moments de rage. Je la reconnaîtrais entre des millions tellement elle m’est devenue familière. Pourtant c’est exactement le même modèle.
Dans la cage se trouve un petit coffre. Je l’ouvre. Il contient trois pénis parfaitement imités, de taille impressionnante, des accessoires de fixation, des bracelets, des anneaux, des cadenas, et un schéma explicatif.
J’essaie d’organiser mes pensées rapidement pour déterminer ce que je dois faire. Pas de doute, cette cage m’est destinée. Cela ferait trop de coïncidences si elle était là par hasard. Je dois y entrer, mais il n’y a personne ici, cela me paraît risqué. Je laisse mon sac à côté de la cage et je parcours la plage en courant à la recherche du moindre indice. Mon Maître serait caché quelque part, à observer mon comportement ? Mais rien, je ne trouve rien. Je suis seule, ou alors celui qui m’observe est très bien caché.
Tant pis, je retourne vers la cage. Soit je ne prends pas de risque, je n’y vais pas, mais ce n’est certainement pas ce que l’on (c’est qui « on » ?) attend de moi, soit j’y vais mais ça me fait peur. Affronter ma peur ou décevoir celui qui a installé cette cage pour moi ? Mon Maître ou quelqu’un en lien avec lui, sinon ce serait une incroyable coïncidence que le modèle soit parfaitement identique. Pas besoin de réfléchir très longtemps, je sais ce que j’ai à faire.
Je me déshabille à nouveau et je range soigneusement mes vêtements dans mon sac à dos, que je dépose prudemment tout près de la cage. J’ai un peu hésité, mais je doute que l’on attende de moi que j’entre dans cette cage habillée. Chez mon Maître, j’y entrais toujours nue.
J’enfile les lourds bracelets métalliques autour de mes chevilles, et en haut des cuisses. Clic ! Ils se verrouillent automatiquement, comme je m’en doutais. Les anneaux de cuisses sont très serrés, mais c’est sans doute nécessaire pour qu’ils ne bougent pas. Malheureusement je me suis coincée la peau dans celui de gauche en le verrouillant et je n’arrive pas à la dégager. Ca fait un mal de chien. Il va falloir supporter.
Un dernier anneau, garni de pointes acérées, autour de l’abdomen. Clic ! Me voilà équipée. L’anneau me serre très fort le ventre ce qui, par contraste, souligne mes hanches. Mon Maître adorerait mes formes de femelle, s’il pouvait me voir. J’ai l’impression que les pointes vont me transpercer l’abdomen, mais non, c’est certainement bien étudié pour que ce soit sans risque.
Je cadenasse mon collier d’esclave. J’ai bien fouillé le petit coffre. Aucune clé. Pas du tout rassurant, mais le choix entre les deux alternatives qui s’offraient à moi m’est apparu comme une évidence. Je fixe solidement deux pénis aux barreaux, conformément au schéma. Ils sont tous les trois différents, chacun étant adapté à un orifice. Le troisième, celui qui est destiné à ma gorge, devra attendre que je sois dans la cage et que j’aie descendu la grille coulissante.
Il faut que je me lubrifie le cul en prévision de la pénétration. Pas de lubrifiant dans le coffre mais heureusement j’en ai dans mon sac à dos. Je dois toujours avoir du lubrifiant anal à portée de main. Ordre du Maître !
C’est au moment d’entrer dans la cage que j’ai un flash.
« Zut, la marée ! »
Est-ce qu’il y a des marées en mer Baltique ? Je n’en sais rien. Je réfléchis rapidement. C’est une mer presque fermée, 2000 km de longueur, à la louche. Probablement pas assez pour déclencher de puissantes ondes de marée. Mais je ne suis pas très rassurée malgré tout. Je ressors de la cage pour examiner le rivage, à la recherche d’indices, algues, couleur des rochers, qui me permettraient d’avoir une idée du niveau maximal, mais je ne vois rien de très concluant. Sans doute que les variations de niveau sont de trop faible amplitude, conformément à mon intuition. Sur la plage, la cage n’est qu’à une cinquantaine de centimètres au dessus du niveau actuel. En Bretagne, j’aurais été submergée dans ma cage en moins d’une heure.
Je retourne dans la cage, en veillant bien à emporter avec moi tous les accessoires non encore utilisés, et je referme la grille, qui se verrouille automatiquement comme chez mon Maître. Maintenant les dés sont jetés… Pas de retour en arrière possible.
Heureusement que le schéma est clair, car je n’aurais pas su comment fixer tout cela et dans quel ordre m’attacher. Je fixe le dernier pénis à une hauteur qui devrait me permettre de le sucer sans me tordre les cervicales.
Avant de m’attacher les chevilles, je m’introduis les orifices pour vérifier l’écartement et l’orientation. L’introduction simultanée de la chatte et du cul est difficile, les pénis étant de diamètre généreux. J’y arrive péniblement, mais ça ne va pas, ils sont trop rapprochés, ça me comprime douloureusement la paroi. Je ne tiendrai pas longtemps comme ça, d’autant plus que je n’ai aucune idée du temps que je vais passer dans cette cage. Je dois les écarter un peu plus. A ce rythme là, je vais y passer la matinée avant de trouver le bon réglage, me dis-je. Mais par chance le deuxième essai est le bon, l’écartement est parfait.
Je peux enfin m’attacher les chevilles. Pas facile à faire quand on est à quatre pattes en cage.
Le schéma stipule que les anneaux de cuisses doivent être reliés à deux courts et larges élastiques préinstallés. Il faut tirer fort sur les élastiques pour arriver à les fixer et l’attache me glisse entre les doigts à plusieurs reprises. La tension est trop forte. Une fois fixés, je comprends leur utilité. Ils plaquent mes fesses très fort contre les barreaux, entraînant par là même une profonde pénétration de mes orifices, à laquelle il m’est impossible de me soustraire à moins de dépenser une énorme énergie pour lutter contre la tension. L’anneau abdominal est plus facile à attacher à une courte chaîne qui pend du haut de la cage, heureusement.
Deux gros hameçons sont au sol, reliés au plancher par de larges élastiques. Je ne suis pas encore annelée, alors il va falloir que je me perce les tétons. Le schéma ne laisse place à aucune ambiguïté. La tension des élastiques maintiendra mes mamelles en extension. Je commence par m’occuper de la mamelle gauche, après m’être bien badigeonné les tétons de la solution antiseptique que j’ai trouvée dans le coffre. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y arriver. Dès que ça commence à piquer trop fort, je renonce et là je vois que je n’ai rien percé du tout. C’est laborieux. J’y passe un temps fou, à me faire très mal à chaque fois, mais sans rien percer. Enfin j’y arrive ! L’hameçon est équipé d’un crochet anti retour. Impossible de l’enlever sans avoir une pince pour le couper.
Pour la mamelle droite, ça va plus vite, j’ai enfin compris, il faut serrer les dents, ne pas réfléchir et y aller franchement. C’est le seul moyen.
Après avoir introduit le pénis dans ma bouche, je fixe, péniblement, mon collier d’esclave à la courte chaine qui pend du haut de la cage.
Et maintenant ?
J’attends, à quatre pattes dans ma cage. La position n’est pas confortable, c’est le moins que l’on puisse dire.
Personne à l’horizon. Le soleil monte rapidement. J’espère que je ne vais pas prendre un coup de soleil. J’aurais dû y penser et me mettre de la crème. J’en avais dans mon sac à dos. Mais maintenant c’est trop tard. Quand on n’a pas de tête…
Je contemple la mer d’huile, mes yeux se fixant sur la ligne d’horizon. C’est ici qu’au milieu de l’été 2022 les plongeurs de combat formés à Panama City, en Floride, ont introduit de puissantes charges de C4 dans l’armature en béton qui protège les pipelines NordStream 1 et 2. Deux mois plus tard, le 26 septembre 2022, un avion de surveillance P8 de la marine norvégienne a effectué un vol prétendument de routine et a largué une bouée équipée d'un puissant émetteur d'ondes acoustiques [2]. Le signal acoustique codé s'est propagé sous l'eau à la vitesse 5 300 km/h vers les gazoducs. Depuis deux mois, les récepteurs associés aux détonateurs analysaient en continu les signaux acoustiques sous-marins dans l’attente d’un code particulier.
Pourquoi m’avoir conduite ici, sur les lieux du crime ? Ce n’est certainement pas une coïncidence. Plus le temps passe, moins je comprends les plans du pangolin fou.
C’est long !
Chez mon Maître, je me masturbais pour faire passer le temps. Mais là, à quatre pattes dans ma cage, enchaînée, empalée, aucun mouvement ne m’est possible. Seuls mes bras sont restés libres. Je pourrais, bien que difficilement, atteindre mon clitoris. Mais quand bien même, je n’ai aucune sensation depuis que le zebralyvox y a élu domicile, alors quel intérêt ?
Désœuvrée, je me mets dans l’idée de sucer le pénis qui est profondément enfoncé dans ma bouche. Difficile, car le collier relié à la cage ne me laisse quasiment aucune possibilité de recul. Mais je fais de mon mieux, avec ma langue, mes lèvres.
Je suis surprise par une puissante éjaculation au fond de ma gorge, qui a failli m’étouffer. Je tousse, je suffoque et heureusement j’arrive à retrouver ma respiration très vite. Ils auraient pu prévenir ! Je reconnais le goût du sperme de mon Maître. Pas de doute.
Cela me donne d’un seul coup une énergie incroyable, l’impression que je peux soulever des montagnes. Ma peur a disparu. Quoi qu’il doive m’arriver, je sais maintenant à 100% que j’ai fait le bon choix en entrant dans cette cage. Le sperme de mon Maître, c’est ma potion magique.
Je savoure le sperme, je le garde le plus longtemps possible en bouche.
Peut-être qu’il en reste dans le pénis ? Je me remets à sucer, longtemps, très longtemps, mais malheureusement rien ne se passe. Le réservoir est sans doute vide. Ou alors je ne suce pas assez bien. J’essaie de m’appliquer. Je me souviens des moments où je suçais la bite de mon Maître, quand il me mettait des baffes jusqu’à ce qu’il soit satisfait. « Je dois sentir ton émotion, sentir que tu y mets toute ta sensualité, toute ton énergie de chienne ! »
Enfin ! Une nouvelle décharge au fond de ma gorge. Qu’est-ce que c’est bon, la semence du Maître !
Un dispositif électronique qui analyse la manière dont la femelle suce la bite et qui ne la récompense que si elle le mérite ! On n’arrête pas le progrès.
Un canot motorisé apparaît à l’horizon et s’approche lentement. Deux grands gaillards blonds en débarquent. Ils parlent entre eux en danois je crois, ou bien dans une langue scandinave. Ils me sourient. L’un d’eux me dit quelque chose que je ne comprends pas. Impossible de lui répondre avec le pénis dans la gorge. Je crois qu’ils plaisantent entre eux. Une femelle nue, enchaînée et pénétrée, … Il y a certainement de quoi s’amuser. J’espère qu’ils apprécient le spectacle. Mais au moins ils ont l’air bienveillants. Je ne me sens pas en danger. Je suis rouge comme une tomate. Je me sens tellement humiliée que tous les seuils de honte sont probablement franchis.
Ils ont remarqué les lacérations sur mes jambes et semblent s’en inquiéter. Je crois qu’ils me demandent ce qui m’est arrivé. Mais on ne peut pas communiquer.
Ils embarquent la cage sans ménagement, et la balancent dans le canot. Heureusement que je suis bien sécurisée par mes multiples attaches, mais chaque secousse se fait brutalement ressentir dans ma chatte, mon cul, ma gorge via les pénis, dans mon abdomen via les pics de mon anneau ventral, dans mes mamelles via les hameçons. J’ai morflé. J’ai hurlé malgré le pénis dans la gorge. Je ne comprends pas ce qu’ils disent, mais visiblement ils s’excusent, mes hurlements leur ayant fait réaliser à quel point ils ont manqué de délicatesse. L’un d’eux me caresse la joue comme pour me réconforter.
C’est donc pour être transportée que j’ai dû me sécuriser de manière aussi complexe ? La science du transport des femelles en cage a visiblement privilégié le côté humiliant sur le confort.
Je pensais retrouver un peu de tranquillité une fois sur le canot, mais dès que le moteur deux temps du canot est démarré, je comprends mon malheur. Les vibrations du moteur se transmettent à mes entrailles de femelle multi-pénétrée. C’est une vraie torture. Je ne sais pas si je vais tenir le coup longtemps comme ça et je n’ai aucune idée de la durée du trajet. Je n’ai aucune idée du lieu où ils me conduisent.
à suivre…
Références
[1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[2] Seymour Hersh, “How America Took Out The Nord Stream Pipeline”, https://seymourhersh.substack.com/p/how-america-took-out-the-nord-stream
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