Méridienne d'un soir
par le 30/08/25
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Le silence m'oppressait. Ma pensée fuyait. Pas un bruit, sauf le son des feuilles automnales qui dansaient sur le sol sous le vent dans le noir crépusculaire. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit sombre de nouvelle lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, lorsqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les reins et l'avait pénétrée ainsi, habillée. Jamais la jeune femme n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol simulé, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de l'homme. Une romance torride et violente se noua alors entre les deux êtres. Au diable le remugle de leurs élans baroques. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Elle n'arrivait pas à trouver les mots adéquats pour décrire ce qu'elle ressentait, l'appréhension de se retrouver à sa merci, le dégoût de lui laisser accès à une partie aussi intime de son corps, un plaisir contradictoire qui vibrait au plus profond de son âme. Elle cria lorsque son membre s'enfonça encore plus profondément; une douleur vive la traversa de part en part. La jeune femme gémissait de plaisir sous cette nouvelle sensation érotique. Il n'y avait plus de douleur, mais une jouissance intense qui ne faisait que croître. Les extrémités sensorielles de l'étroit pertuis charnel étaient si névralgiques qu'elle pouvait discerner chaque nervure du membre de l'homme. L'orgasme arrivait à travers les brumes de la lasciveté. Longtemps et à son rythme, il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car sans la moindre honte ou hésitation, elle lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. Ses reins la brûlaient, et elle ne pouvait se détacher de la pensée du membre puissant qui l'outrageait. Un afflux de chaleur envahissait l'entrecuisse de la jeune femme. Elle se mordit les lèvres en le sentant exploser et se répandre en elle. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait malmenée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois pour son plus grand bonheur. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes, nue et au milieu du séjour.

 

Elle n'était plus libre. Son cœur battait, sa gorge était nouée. Incapable de détacher son regard des longues mains fines qui tenaient, avec une désinvolture attentive, la mince cravache noire. Un cri étranglé jaillit de sa poitrine lorsque ses doigts s'introduisirent entre ses fesses pour les maintenir écartées. La jeune femme l'inséra finalement entre ses lèvres, écartant au maximum sa bouche pour s'accommoder de la grosseur du membre impétueux et s'adonna alors à une ingestion résolue. Elle l'absorba totalement, non car il l'exigeait mais car elle le souhaitait. Elle en concevait une irrépressible délectation. Les lèvres électrifiées et la bouche contractée, elle le flattait encore plus énergiquement, comme pour tempérer son ardeur. Lorsqu'il se répandit enfin au fond de sa gorge, la jeune femme avala jusqu'à la dernière goutte la semence virile et onctueuse. L'humeur musquée inonda sa bouche, à la limite de l'asphyxie. Contrainte de respirer par le nez, elle ne put esquisser le moindre sourire. La jeune femme était pourtant radieuse. Dans leurs extases illégitimes, elle lui ordonnerait elle-même d'être fouettée, et plus les coups cingleraient sa chair, plus elle réclamerait ces friandises inattendues. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. "- Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... ". Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la douleur, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de l'homme s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. Pour leur plus grand bonheur. "- Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi". Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où il la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. Les couples heureux sont des machines à ne pas se comprendre et à consommer du rêve. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel la jeune femme, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles. Là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? "- Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau". À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. "- Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ?". Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois m'allonger, les jambes écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le strict protocole de nos relations. La manière dont je devrais me mettre à nu et à genoux. La tenue que je devrais porter dorénavant, uniquement une paire de bas, un porte-jarretelles et des talons hauts.

 

Il y a dans mon âme un chant pur, personne ne le tuera, pas même moi. Au diable mon double visage. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, sur une sorte de lourd guéridon bas, reposait là une fine cravache. L'inconnu m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les seins, en stries parallèles bien nettes. "- Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. J'aurais tant aimé qu'il me fouette entre les cuisses. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plu, mais il est d'abord venu dans ma bouche. Je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure. C'était pure folie de l'avoir pris comme amant. Lorsqu'il se lasserait de moi, aucun autre homme ne pourrait plus jamais me satisfaire.

 

Bonne lecture à toutes et à tous.

Méridienne d'un soir.

Thèmes: littérature
19 personnes aiment ça.
Idaelle
Je suis venue attirée par la simple curiosité, me disant que peut être il y aurait de la lecture....et je me retrouve au beau milieu d'une riche bibliothèque. Je vais prendre le temps de revenir car en diagonale seulement ma première impression de lectrice et d'être tombée dans un univers moelleux et accueillant. Donc je vais dire, à bientôt .
J'aime 30/08/25
Méridienne d'un soir
Bonjour et enchantée Idaelle, soyez la bienvenue. La bibliothèque est ouverte 24h/24. Les mots sont mes amis et parfois la nuit, ils me le rendent bien ! Un agréable week-end à vous ! ... 1f607.png
J'aime 30/08/25
Idaelle
Je vais certainement venir picorer ici quelques belles aventures durant mes pauses récréatives d'écriture matinales. 😉
J'aime 30/08/25
sylvie35
Une belle écriture, bien émoustillante. On se laisse flotter sur les mots 2665.png Puis-je vous demander (si ce n'est pas indiscret, bien sûr) à quoi correspond le premier mot du titre, qui semble servir de label (Boudoir, Littérature, BDSM, ...). Est-ce une méthode de classification personnelle de vos articles?
J'aime 30/08/25
benedictecarlini92
🔥🔥🔥
J'aime 30/08/25
Méridienne d'un soir
Merci chère Sylvie ❤️. Rassurez-vous, rien d'indiscret entre consœurs d'écriture ! 1f600.png . J'ai à ce sujet particulièrement apprécié votre intervention auprès de la Team BDSM.fr au sujet du recours abusif à l'intelligence artificielle qui sévit actuellement dans la rubrique "articles" du site. Des kilomètres de mots le plus souvent insipides, plats, et surtout à moindre prix ! Et tout cela pour un résultat sans âme, totalement déshumanisé, et pire parfois même "doctrinaire", voire "propagateur" ! J'écris tout cela, sans aucun esprit polémiste ou méprisant. Et surtout, il ne s'agit nullement d'attaque "ad personam" de ma part. 1f60a.png. Nous savons, vous et moi, outre la sélection de la photographie illustrative, que la création d'un texte, (rédaction, mise en page, correction ...) exige en moyenne deux à trois heures de travail ! 1f631.png. De façon plus générale, il ne s'agit pas de rejeter en bloc l'I.A, elle a toute sa place en particulier dans le domaine de la recherche scientifique mais il me semble que dans la chronologie historique littéraire, le scribe a précédé l'informaticien et la plume, la robotique!! 1f60f.png. "L'intelligence artificielle peut imiter le style, générer du texte, mais elle ne remplacera jamais l'âme d'un auteur". (Yann Bourdon). De façon plus légère et pour répondre à votre question, le terme "Boudoir" correspond juste à l'esprit général du récit. Quand il s'agit d'érotisme et non d'un article de fond, (biographie, étude ...), j'emprunte ce mot pour faire écho au petit salon élégant de dame, très usité au XVIIIème siècle !! Aucune prétention de ma part ! 1f600.png. Je trouve tout simplement cela élégant, poétique et intimiste ! 2665.png
J'aime 31/08/25
sylvie35
Merci pour votre aimable réponse, Méridienne. Effectivement, c'est l'impression que j'ai eue en lisant des articles artificiels: des kilomètres de textes sans âme... J'avoue que maintenant je ne les lis plus car je n'y trouve aucun intérêt (à la limite, si je voulais lire de l'artificiel, je pourrais demander directement à une IA de m'écrire une histoire, je n'aurais pas besoin de venir sur ce site). On vit une drôle d'époque... Bon courage et merci de relever le niveau du site.
J'aime 31/08/25
Good Girl 佩玲
2 à 3 heures pour la création d'un article.... Mais Méridienne, donnez moi quelques neurones omg! Je suis archi contente quand j'arrive à un premiet jet de 4 heures! Sinon, si je peux apporter de l'eau au moulin aussi pour la vague de l'ia (un peu partout, anyway), je veux bien le lien de votre discussion avec la team BDSM. Sans parler de la qualité des textes générés par ia et zffectivement le côté docteinaire et propagateur, je trouve aussi que bien souvent, ça empeche certaines personnes de pouvoir profiter de ces memes espaces, et que ça reduit aussi les libertés individuelles en remplaçant le verbe choisir par le verbe subir. Sur Instagram par exemple, il est demandé de cocher une case pour preciser si le contenu d'une publication est entierement ou en partie créee par ia. Meme si techniquement ce n'est pas faisable ici, ce serait interressant d'eriger une regle pour demander de mettre un petit (IA) devant leur titre, pour éclaircir la vue des lecteurs, après tout, sur le murG, la plupart des gens arrivent à prendre le pli pour preciser #photodunet quand ç'en est une....
J'aime 01/09/25
Idaelle
C'est désormais la hantise l'IA. Et ce dans tous les domaines de la créativité à vrai dire. Qu'est ce qui provient d'elle ou pas ? Qu'il s'agisse de musique, de récits peinture aussi dans tous les domaines on va désormais se demander où elle se niche. Déjà une chose est certaine mais cela je pense est propre à chaque créateur, je ne vois pas où se situe le plaisir d'y avoir recours. Par là je veux dire qu'il existe, du moins en ce qui me concerne une part importante sinon primordiale de racler sa personne pour extraire un récit qui plus est intime. Une douleur presque nécessaire pour aboutir à un résultat.
J'aime 01/09/25 Edité
Good Girl 佩玲
Hello Idaelle, permettez moi un grain de sel. Je trouve que l'IA reste un outil qui génère apres analyze d'un prompt humain; c'est un outil au même titre qu'un bescherelle ou une tablette graphique. Et comme toutes les ressouces ou outils utilisés par l'homme, le problème n'est pas l'outil ou la ressource en eux-même, mais l'usage abusif car intensif et non réflêchi, qu'on en fait... Pour illustrer mon exemple, l'huile de palme est consommée depuis des siècles. Mais le fait que l'homme en fasse une culture intensive et choisisse de détruire la diversité pour étendre sa culture pour en mettre partout, c'est un peobleme humain, pas d'huile de palme. L'usage abusif fait ici et partout, c'est au fond la malhonneteté intellectuzlle lors de son utilisation..... S'aider de l'ia pour un récit, pourquoi pas, si on le dit clairement. S'aider de l'ia pour rédiger un prfil, ok, dans ce cas, un avertissement serait utile. Utiliser l'IA dans un échange, il faut esperer que le réel n'aura jamais lieu. On est bien dans de la publicité mensongère, on ne s'assume pas et on donne l'illusion à l'autre qu'on s'exprime d'une certaine façon. Le pire étant de dire après que c'était de la faute de l'ia...🤣
J'aime 01/09/25
Idaelle
Coucou Good Girl . Oui certes, on peut le considérer comme un outil, une aide mais je situais le débat sur une autre échelle , le ressenti propre à chacun en terme de rédaction. Evidemment l'IA peut aider de la même façon qu'un correcteur d'orthographe. Je suis d'accord avec vous, il faudrait que chacun puisse signaler qu'il a eu recours à cette aide. Mais dans cette perspective, il va falloir désromais qu'à l'instar de tout produit de consommation courante, l'on stipule combien de glucide, de lipide d'adjuvant et autre seront contenus dans un récit. J'avoue que cette perspective n'est pas réjouissante
J'aime 01/09/25
Méridienne d'un soir
Merci chère Sylvie 2665.png, il y a Dieu merci d'autres belles plumes dans notre bibliothèque, chacune avec sa spécificité et son tempérament1f642.png. Elles contribuent toutes à relever le niveau du site ! Ce qui différencie l'écriture de l'Homme et celle créée par l'intelligence artificielle, c'est la sensibilité et le souffle vital de l'écrivain. Son âme et sa spiritualité. Une fleur artificielle n'est qu'une fleur fanée. L'I.A appauvrit la Littérature et rend paresseux ! Quant à moi, j'ai dû recevoir un livre sur la tête quand je traînais, adolescente, dans la bibliothèque de mes parents ! 1f600.png. Bon courage à vous également et mes amitiés au Pangolin fou !
J'aime 01/09/25 Edité
Idaelle
Méridienne a parfaitement résumé la différence notable entre les deux types. L'ÂME et son souffle. Autant avant j'avais honte de laisser passer entre les mailles du filet ça et là quelques fautes d'orthographe ou autres erreurs grammaticales, autant désormais j'avoue que je serai moins exigeante , histoire de me démarquer avec ma bêtise naturelle inégalable. N'en déplaise à Musk et consorts.
J'aime 01/09/25
Idaelle
Pour en finir je dirais que l'IA est à l'écriture ce que le surgelé est à la cuisine mijotée maison.
J'aime 01/09/25 Edité