Je vous remercie Maître.
J’ai joui une dernière fois pour vous Maître et vous en remercie. Je vous lèche les pieds de ma langue de chiennasse pour faire plaisir au meilleur des Maîtres. Je vous léche les pieds sans utiliser les mains, pendant que je suis en dehors du lit Maître. Puis je monte sur le lit entre vos deux jambes Maître. Je les lève et vous lèche profondément l’anus comme une salope, pendant 10 minutes Maître.
Le jour où vous m’avez parlé de ce que vous vouliez faire, j’ai ressenti des sueurs froides. Pour renforcer mon appartenance, vous vouliez me mettre des anneaux. Mon cœur s’est serré. Je ne désirais pas cela, pas vraiment. Pourtant, j’ai hoché la tête. J’ai accepté de vous faire cette offrande.
Le lendemain, vous avez posé les objets sur la table avec soin : gants, alcool, ciseaux, aiguilles, bijoux. Moi, je tremblais déjà, de peur, mais également d’anticipation. Je savais que ce moment allait me changer. Je m’asseyais, le souffle court, mon esprit partagé entre la confiance et la crainte.
Quand mon Maître perce le premier téton, celui de droite, le temps semble se suspendre. Une douleur brève, vive, comme une brûlure éclatante, me traverse. C’est intense, mais rapide. J’ai chaud, je sens mon cœur battre plus vite, mes muscles se contractent sans que je le veuille. Puis la douleur se transforme en une chaleur supportable. Je ressens un mélange de fierté et de soulagement. J’ai passé la première étape. Quelques minutes plus tard vient le deuxième téton. Je sais à quoi m’attendre, mais l’attente rend les secondes plus longues. La douleur est la même, brève, fulgurante. Je serre les dents, puis tout se relâche. Les deux côtés chauffent, picotent, mais je suis calme maintenant. Quand il me perce la lèvre de droite, la douleur est vive et très brève, semblable à une piqûre. Je ressens chaleur et frissons, mon cœur s’accélère. Enfin, mon Maître perce la lèvre gauche. La douleur est à nouveau très vive mais brève. Je ressens une gêne dans mon entre-jambe. Je me rhabille doucement. Je me sens fière d’avoir traversé cette expérience avec calme et courage .
La douleur ne s’est pas dissipée immédiatement. Elle est restée, lancinante, comme si chaque mouvement rappelait l’acte accompli. J’avais mal à mon corps, mal à ma chair, mais il y avait pire : je me demandais si j’avais bien fait d’accepter. Je l’avais fait alors que je n’en avais pas vraiment envie.
C’est alors qu’une autre douleur s’est installée, plus profonde : celle de ma condition. Je n’étais plus libre. J’avais cédé. J’étais votre esclave, marquée non seulement dans mon corps mais aussi dans mon âme. J’ai pleuré, non de la brûlure que je ressentais, mais du poids de ce que j’étais devenue. L’impression d’être réduite, humiliée, m’a enveloppée. Et pourtant, au milieu de cette tristesse, il y avait une étrange chaleur, comme si cette souffrance me liait davantage à vous.
Lorsque nous rentrons, je me déshabille à la demande de mon Maître. Il s’installe devant la télévision. Je me tiens à côté de lui, sans défense, marquée par ces anneaux. Je me sens à la fois fragile et solide d’avoir supporté cette épreuve. Il me jette de temps en temps un coup d’œil. Et je vois de la fierté dans son regard.
Un peu plus tard, à sa demande, je prends un chiffon, un seau d’eau claire, et commence à nettoyer le sol. Je sens les anneaux me tirailler et me rappeler ainsi ma condition d’esclave. Mon Maître me contemple, dans cette position de chienne à quatre pattes et regarde mes fesses bouger au gré de mes mouvements. Il en profite pour les faire rougir à l’aide d’une baguette. Il m’ordonne de nettoyer doucement afin de faire durer le plaisir. Mes fesses chauffent et deviennent brûlantes mais je m’applique à bien tout nettoyer. Une fois le nettoyage terminé, pour me récompenser, mon Maître me permet de m’asseoir à ses côtés sur le canapé afin de me reposer de cette journée pleine d’émotions.
Le soir, devant le miroir, j’ai vu mon reflet changé.
Les marques étaient bien visibles : elles me rappelaient mon choix. J’ai passé mes doigts dessus, hésitante. J’ai eu envie de détourner les yeux, de ne pas voir. Mais je n’ai pas pu. C’était moi. Désormais, je n’étais plus celle d’avant.
Les jours ont passé. La douleur physique s’est estompée, mais la douleur intérieure, elle, continuait de me travailler. Chaque fois que vous posiez vos yeux sur moi, je sentais ce lien entre nous, plus solide qu’auparavant. Je me sentais fragile, vulnérable, et pourtant, une part de moi commençait à voir autre chose : une force nouvelle, née de l’abandon.
Peu à peu, l’humiliation s’est métamorphosée. Ce que je croyais être une défaite devint une victoire intime. J’avais traversé l’épreuve. Je n’avais pas fui, je n’avais pas dit non à la dernière minute. J’avais accepté. Cette douleur, ce marquage, c’était la preuve de mon courage. Preuve aussi de la confiance absolue que je vous portais.
Alors, une fierté a grandi en moi. Je n’étais plus seulement votre soumise, j’étais votre esclave, volontaire et marquée. Les anneaux que je portais n’étaient plus seulement synonymes de douleur, mais de lien. Chaque regard de vous sur moi me rappelait que j’étais unique à vos yeux, que je vous avais laissé entrer jusque dans mon intimité la plus profonde.
Aujourd’hui, quand j’y pense, je suis heureuse. La douleur, les larmes, la honte même, se sont transformées en autre chose. Je suis fière. Fière d’être à vous, fière d’avoir osé aller au bout. Fière d’être « annelée », comme un emblème que je porte. C’est dans cet abandon que j’ai trouvé ma liberté.
Puis je me mets à côté de vous, à genoux sur le lit, perpendiculairement et je vous suce en utilisant une seule main Maître. Je vous souhaite une bonne nuit Maître.
Votre traînée et souillon esouchisa