maitreLouis
par le Il y a 8 heure(s)
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Entre deux lignes parcourues à la va-vite, je pose mon regard sur sa silhouette exposée.

À genoux, les bras derrière la tête, ses jambes écartées dévoilent son intimité trempée et la mouille voyage sur ses cuisses à flot. Quelques goûtent viennent perler ma botte installée sous sa fente.

Je tire la chaîne rattachée à son collier. Elle gémit. La pression l’attire à moi, mais elle a ordre de rester parfaitement immobile.
Elle tremble. La panique se lit dans son regard et son air de chien battu me supplie. La frayeur dans ses yeux m’amuse. Que c'est drôle.

Je pousse du pied entre ses cuisses pour forcer le jouet à la pénétrer jusqu’au bout. Un long gémissement lui échappe.

Je pose alors mon roman et quitte ma chaise. J’empoigne sa chevelure et lui relève la tête. Nous nous fixons en silence. Elle, si chienne, si fragile... Quand mon pouce s’attarde sur ses lèvres, elles les écartent sans attendre.
Je souris, fier de mon dressage.

Je laisse ma salive glisser en abondance dans sa bouche, m’assurant de bien la remplir.
Dès que je sors une pince à linge de la boîte, elle tire la langue comme une chienne.
Clac ! C’est accroché. « Bien dressée », je me félicite.

Je retourne m’assoir afin de l’examiner sous toutes ses coutures. Je la dévore d’un regard insistant : ses tétons pointés et exposés, ses aisselles imberbes et son pubis lisse comme la soie. Elle baisse les yeux. Je sais à quel point elle se sent humiliée.
Son visage alterne entre plaisir et tourment.
Je saisis la télécommande et, bientôt, le jouet dans son sexe vibre violemment.
La chaîne, que je tire, presse toujours son cou.
Je m’amuse à faire varier la pression. Je torture ma victime et son expression désespérée m’encourage à continuer. Une vraie suppliciée.

Je resserre la chaîne. Elle perd son souffle. Chaque respiration fait danser sa langue pendue. Une perle de sueur glisse de son front et trouve refuge sur son téton pointé. Elle chancelle.

La perle roule sur sa peau écarlate, glisse sur son doux ventre et s’écrase sur le cuir de ma botte.
Elle m’observe, en attente. Je claque des doigts et lui pointe ma chaussure.
Le message est clair.
Elle recule pour prendre de l’espace, puis, difficilement à cause de la pince, sa langue s’affaire à nettoyer tous les fluides que son corps à versés sur le cuir.

Je m’avance alors vers elle. Ma main vient caresser sa joue et l’excitation grandit en moi. Je lève le bras. Elle ferme les yeux. Une gifle résonne dans la pièce.
Son mouvement de recul fait chuter le vibro d’entre ses cuisses.
Elle scrute le jouet, et remonte son regard vers moi. Elle a peur et ça m’excite.

J’échange alors le vibro pour un rabbit bien large. Je sais qu’il s’agrippera mieux à ses parois trempées. Quand je l’enfonce, sa voix délicate s’élève encore dans une douce mélodie. Je lui caresse la joue, puis lui indique lui un coin de la pièce.

Lentement, à quatre pattes, elle finit de s’y installer.
Face au mur, nue, à genoux, bras croisés dans le dos. Je me rapproche alors et, en silence, je lui la plonge dans l'obscurité avec un sac de jute sur la tête.

Ma lecture m’attend.
Qu’elle demeure donc là. Excitée, privée et ignorée. La seule trace de sa présence étant désormais le ronronnement entre ses cuisses.

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sylvie35
Super ! Un article qui n'est pas écrit par une IA ! Cela va devenir de plus en plus rare et bientôt ce sera collector 1f600.png J'aime bien cette suite dans laquelle on reconnaît votre style, doux et ferme à la fois. 1f44d.png Affection et sévérité, attentions et détachement, le secret d'un bon dressage ?
J'aime Il y a 4 heure(s)