La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 04/11/23
15/10/2022 Je met ce rapport qui date un peu pour V/vous faire attendre l'arrivée de mes prochains rapports. J'espere que cela V/vous plaira.   J'ai fait ma demande vendredi 14/10/2022 après une journée ou c'était compliqué, beaucoup de remises en questions, beaucoup de pleurs mais j'ai arrêté de réfléchir et j'ai fini par me laisser porter, donc je l'ai fait. Il m'a donné un baiser puis il m'a embrassé avec la langue longuement plusieurs fois. A ce moment là mon cerveau vrille, je n'arrivais plus à penser, je me sent juste bien, légère, heureuse. L reviens de son pipi et moi j'essayais de reprendre mes esprits, essayer de penser à ce qui venais de se passer avec Maitre. Peu après il part faire pipi, et moi je souhaitais aller au lit. Il sort des toilettes et la chambre où j'allais dormir étant juste devant les toilettes, il me vois et viens discuter avec moi, l'on discute de cette journée qui fut remplie en émotions et elle n'était pas finie encore. Nous avons joué ensemble, il commence d'abord par me masturber tout en me posant des questions afin que je puisse comprendre que mon sexe lui appartiens et que pour faire quoi que ce soit avec, c'est a Maître qu'il faut demander et que Maître c'est lui qui contrôle. Il m'a faite basculer sur le dos et continue de jouer avec mon sexe, malaxant mes testicules et mon sexe dans sa globalité. Je me sent comme paralysée entre ses mains, le regardant dans les yeux et prenant du plaisir à être sienne. Nous avons joué ainsi une trentaine de minutes, puis comme nous étions extrêmement fatigués, nous sommes partis dormir chacuns de notre côté.  Le lendemain nous nous préparons toutes a l'arrivée d'une personne qui n'étais pas calculé, on pars vers 14h et dans la voiture c'était un peu compliqué, de rester 5h sur la banquette arrière, au millieu, comme je suis la plus fine de nous 4, au millieu j'ai retiré mes chaussures comme mes pieds s'engourdissaient a la fin. Sur la route on a discuté un peu de tout et de n'importe quoi, on a pas trop discuté avec F, l'arrivante car elle était fatiguée, elle avais fait plusieurs heures de train avant. Sur la route je pense a plein de choses, je calcule énormément tout ce qu'il peux se passer et je pense même au fait que je puisse me faire kidnapper ou séquestrer mais c'est rapidement écarté, c'est juste que je pense trop. Au fur et à mesure des kilomètres, les pensées s'apaisent, et a chaque fois que je ferme les yeux, j'ai une décharge de dopamine et je me souviens de ma demande, des baisers que Maître m'a offert, et de la séance de jeu juste après. Nous arrivons vers 19h-19h30 dans un village dans les montagnes a proximité de Lyon. C'est une vieille bâtisse devant laquelle nous nous garons. On sort et on se met près de Maître qui parle avec un Monsieur, le propriétaire de cette bâtisse. Je prends les glacières pour les poser la ou le Monsieur le souhaites et je fais très attention, je reste patiente, sage et a l'écoute, je n'ai pas envie de faire une bêtise et que l'on pense que Maître éduque mal ses soumises, même si c'est mon premier jour d'appartenance et la première fois que je vais en donjon. Je pose les glacières puis je rejoinds Maître et les filles sur la terrasse. On commence à discuter de notre côté et un peu a "critiquer" les tenues des gens mais sans volonté de blesser, mais A, parle très fort et a ce moment là, elle critiquait a voix haute, L l'a grondée directement, car cela doit rester entre nous, que ça n'aille pas blesser les gens. On viens a rentrer dans une salle qui fais office de salon a ce moment là, Maître s'asseois sur les vieux canapés en cuir et nous le suivons. On patiente ainsi sagement durant une dizaine de minutes jusqu'à ce que le Monsieur arrive et demande si il y a des gens, des petites soumises ou petits soumis qui veulent faire le service et faire rentrer les gens pour le repas. Je regarde Maître, n'ayant pas vraiment envie et n'ayant pas les connaissances pour bien servir et bien faire, mais ça va, Maître n'a rien dit. Je surveille beaucoup autour de moi, ce qu'il se passe, et je fais aussi très attention aux sacs qui sont toujours sur la terrasse. Il y a vraiment tout type de personnes, A qui est en little, des punks, une kitten, une personne qui est habillé en paysan avec une tétine en guise de pendentif. Le Monsieur reviens pour nous dire que l'on peux monter à l'étage avec Maître, alors nous le suivons. Nous ressortons sur la terrasse, prenons les sacs et l'on rentre par l'entrée principale pour directement prendre les escaliers. Les marches grincent et sont assez petites, marcher en talon dessus ce n'est pas la joie. On monte au premier étage et l'on nous montre une pièce presque vide, un trône et quelques matelas sont placés dedans et on nous dit que c'est là où l'on vas se changer. La porte grande ouverte nous laissais a la vue de tous et toutes, c'était intimidant mais Maître sauras s'occuper des choses si cela déborde. Je change la robe noire avec les petits boutons dorés que je portais pour un corset bien serré et une petite jupette en tissu avec mes talons hauts. Comme ce n'est pas encore l'heure et que nous sommes en tenues, nous faisons des tours dans la maison, et Maître sort fumer. Nous rencontrons a ce moment là Maîtresse M, une Dame toute souriante et sympathique d'une cinquantaine d'années qui discute avec nous et qui nous raconte les histoires de son doudou qui a 10 ans je crois. Nous continuons à faire des visites avec Maître qui a son fouet en main puis viens l'heure du repas. C'est une grande salle qui est juste en face des escaliers pour aller au premier étage et plusieurs tables ainsi que des bancs sont placés là pour former une sorte de banquet. Avec Maître et mes soeurs nous nous installons vers le centre, ainsi nous sommes bien placés pour tout voir et être bien servis. Sur la table il y a déjà des entrées, des toasts au thons et salade de tomates avec du poulet ainsi qu'un liquide jaunâtre qui d'après Maître, serais du jus de pommes. Je regarde, j'observe les personnes qui passent et qui s'installent et face a moi, un couple, une Dame Dominante et son soumis, ils étaient venus s'habiller avec nous également, je les avais déjà remarqués. Maître commence par se servir dans les entrées puis se sert du "jus de pommes", j'attends qu'il finisse pour se servir puis je propose a la Dame si elle en veux, elle dit oui alors je vais pour lui donner la bouteille puis L, qui est assise à côté de moi me dit a l'oreille :"C'est une Dominante, tu dois la servir", alors je m'exécute et je la sert ainsi que son soumis tout en ayant un peu honte et un peu peur d'avoir fait honte à Maître. Je repose la bouteille entre Maître et nous 4, ses soumises puis je prends une gorgée de "jus de pomme" qui n'avais pas du tout le goût de jus de pommes comme c'était du vin blanc ! Maître et L rigole et afin de pouvoir me servir autre chose je bois mon verre assez rapidement, ce qui les choques. Le fait de ne pas avoir su qu'il fallait que je serve la personne Dominante ma poursuivie le reste de la soirée, je me sentais assez bête de ne pas avoir su cela, même si je n'avais aucune chance de le savoir avant que ça n'arrive mais bon... La soirée continue, je reste assez calme, sage et a l'écoute. Après le repas les filles et Maître sortent pour fumer, moi je pars seule avec Maître afin de lui parler seule a seule, lui posant des questions sur ma manière de faire, et lui parler du fait que je ne savais pas que je devais servir la Dame, et il m'a dit que ce n'était pas grave. On remonte assez rapidement et les gens partent assez rapidement aussi pour partir jouer au grenier et dans la cave. Nous on reste et on discute entre nous 5, parfois avec le couple qui est a côté de nous, nous discutons pendant bien 30-40 minutes avant de partir à notre tour pour faire un tour et trouver un bon endroit afin que l'on joue avec Maître. L'on descend dans la cave en repassant dans le salon et on se retrouve dans une sorte d'écuries avec un haut plafond de 5 mètres de haut, et des petits box en pierre, de la terre battue au sol. Quelques croix de saint André sont placés dans les box ou même au millieu du passage principal. Les personnes avaient déjà commencé à jouer, les fouets sifflaient dans l'air accompagné de cris. Maîtresse M avais attaché une personne travestie a une toile d'araignée en chaînes et qui la fouettais en l'insultant de salope et de connasse. On observe plus ou moins et F elle stressais beaucoup, alors je l'ai prise par la main un petit moment en passant mes doigts entre les siens pour essayer de la rassurer. Après un petit moment, on remonte puis l'on vas dans le grenier, avec de la chance, une personne était avec nous sur la croix de saint André et se prépare à partir, alors nous on se prépare, on enlève nos corsets, on se dénude pour Maître. La première a passer c'est A, elle se fait fouetter un peu au dessus de ses vêtements, ne pouvant pas enlever son body blanc car elle a ses règles et elle n'a pas écouté L, se retrouvant avec l'entrejambe taché de sang. S'en suit de F, qui avais peur des martinets. Avec L on regarde, et on ressent ce qui se dégage du moment entre F et Maître, avec L qui fait des petits commentaires sur ce qui se passe, que F se sent en confiance et bien, c'était un beau moment. Je pensais que ça allais être au tour de L mais elle en a décidé autrement... Je defais lentement mon corset avec le stress qui monte. Pendant la soirée, Maître jouais avec son fouet et ça faisais quand même assez peur, le son que ça provoquait et la vitesse c'était flippant, et les marques sur F également. je garde ma jupette mais je me retrouve la poitrine a l'air. Il m'ordonne de me pencher sur le chevalet ce que je fais puis le stress continue de monter. Je tourne ma tête doucement puis je vois qu'il prends le paddle. Il commence les coups sur le dos, puis sur les fesses. Ma peau commence à se réchauffer, la douleur a augmenter et je commence à vraiment avoir très mal. Maître me dit de me détendre pour que je puisse avoir moins mal, plus simple a dire qu'à faire, mais j'essaie tout simplement de me concentrer sur ma respiration et a ma position, venant même fermer les yeux, cela fonctionne et ça m'apaise légèrement. Il continue de me faire chauffer le dos avec la paddle et cela viens même a me brûler. Après une bonne cinquantaine de coups de paddle, il passe a son martinet spécial pour continuer de faire chauffer mon dos, il est plus simple a encaisser que la paddle, mais aussi je suis bien plus apaisée et détendue qu'avec le martinet. Il me donne une bonne vingtaine de coups de martinets puis il passe au clou du spectacle. Je l'entends marcher et fouiller dans le sac de jeu, je reste en position, je reste concentrée. J'entends ses pas revenirs vers moi, puis le fouet claque a ma droite, puis a ma gauche, puis au dessus de moi, et finallement, dernière moi. Il prends ses marques et continue ses coups de repérage jusqu'à me toucher les premières fois. Les premiers coups sont assez simples a encaisser comme ils me frôlent a peine, mais dès que ça touche bien, c'est plus compliqué... Des gros coups de jus, c'est la sensation que chaque coups me fait. Une grosse douleur me prends a chaque coups et la concentration et la détente deviens impossible et donc je me contracte, ce qui fait que la douleurs augmente. Les coups deviennent plus forts, ma peau brûle, la douleurs deviens insoutenable et je me met à pleurer a la fin de la séance. Maître viens caresser mon dos, et il me regarde, me disant que c'est fini. Je me retourne doucement, je vais voir F et je tombe a genoux face a elle puis elle me fait un câlin. La douleur s'estompe rapidement, les larmes arrêtent de couler, je me calme doucement et puis j'écoute L qui viens vers F et moi. Elle dit qu'elle est fière, car j'ai réussi à tenir jusqu'à ce que Maître a décidé que ce soit fini pour ma première fois, que j'ai réussi à encaisser tout cela pour ma première fois. On prends du temps, pour discuter et on regarde une autre personne qui se prends des coups de fouets, j'en profite pour discuter et me relaxer. Maître n'a pas pu jouer avec L car son poignet avait trop travaillé alors on se met a ranger les affaires dans le sac de jeu puis on se prépare au départ. On continue de discuter, on discute de nos marques que l'on auras demain, l'on parle de ce qui s'est passé, on partage ce que l'on a ressenti en rangeant tout. Pour la suite il ne s'est pas passé grand chose. Le lendemain, les marques étaient bien plus visibles, et surtout une grosse sur la fesse gauche qui vas durer, et finallement j'ai adoré cette soirée, ces moments avec mes soeurs et Maître. Lorsque je suis rentrée dimanche soir, j'étais vraiment euphorique pendant une petite heure, a me remémorer de tout, je souriais un peu bêtement, je rigolais sans raison, j'étais très heureuse, heureuse d'être la soumise de Maître, heureuse d'avoir passé du temps dans ce donjon.
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Par : le 12/04/21
Imaginez-vous face à moi, l'inconnu. A la fois effrayée, à la fois fascinée. Ne sachant quoi ressentir, ni comment vous comporter. Je vous dévisage de haut en bas, sans aucune gène, à vous faire ressentir qu'à cet instant vous êtes ma proie, et que vous n'avez pas mot à dire. Votre esprit vous pousse à vous hérisser par instinct de défense, mais vous fait rougir l'instant d'après, en voyant mon sourire narquois à constater que cela ne va en rien me faire sourciller. Vous entreprenez de me parler, pour éloigner cette gène des plus oppressantes, de vous ressentir enfant à l'heure de la punition. La punition d'une vie, mise sur le bas côté. J'empoigne votre cou de ma main ferme, et de l'autre vous lie à moi derrière votre dos. Incarcérée de mon étreinte, vous sentez la chaleur de votre corps s'intensifier, et votre cœur battre à la chamade. Vous regardant droit dans les yeux, j'entreprends maintenant de vous prendre par la tignasse, projetant votre tête à l'arrière. "Voilà ce que j'attends de toi" ; Vous dis-je d'une voix limpide et sans équivoque : "Je veux que tu me fasses Bien Bander. Et pour cela, tu vas faire exactement ce que je te dirais de faire. Est-ce Bien Clair !?" Me regardant, sans bouger d'un pouce, de peur de voir vos émotions déborder, et se disperser aux 4 vents, je prends en bouche votre cou. Vous sentez mes lèvres sulfureuses... puis mes dents, pouvant vous croquer et vous assener un coup fatal. Un coup pouvant vous marquer de mon empreinte de Mâle, prêt à se rassasier de votre chair devenue bien tendre... Tout en maintenant mon étreinte, je vous laisse les bras ballants pendant que je caresse votre visage, et parcoure votre corps, en insistant bien sur cette poitrine qui ne tient qu'à être martyrisée par mes soins. Faire ressurgir cette envie de servir l'homme dans son avilissement, et sa bestialité. Je bute déraisonnablement contre vos tétons maintenant très durcis, avouant que ce n'est pas la délicatesse qui vous fera jouir. Mais bien mes besoins à me satisfaire entièrement de vous, sans la moindre concession. Je vous retourne prestement, juste pour avoir le plaisir de sentir votre "petit" cul se frotter contre mes couilles. Une jolie attention que je m'octroie, et qui vous suggère, qu'il va falloir vous donner entièrement à moi pour que je vous offre ma Pine. Nous dansons d'un ballet tournoyant, et constate que vous suivez bien le rythme de mon excitation. Je vous amène prêt de mon lit, je m'assois, et vous met debout, droit devant moi. Fébrile à ma vue, je fais le nécessaire pour dégrafer votre pantalon, l'abaissant jusqu'à vos pieds. Je m'attarde maintenant sur votre culotte, que j'abaisse de gauche à droite de coups secs. "Tu te dois de bien être mouillée, pour que je puisse bien te démonter la chatte." "Mais peut être que j'aimerais plus encore que tu sois entièrement sèche, afin de me régaler de tes parois serrées." "Voyons cela..." D'un geste précis, j'engouffre mon index dans votre intimité, ne vous ménageant pas à bien tourner à l'intérieur, pour un recueillir toute la sève. Ressortant ce doigt odorant et humide, je vous l'engouffre l'instant d'après, au fond de votre gorge. "C'est un bon début." "Alors comme ça, tu as laissé à l'abandon ce corps qui ne demandait qu'à servir !? Quelle honte." Vous retournant sur le lit en position de levrette, je vous fesses maintenant d'une main claquante. "C'est tout ce que tu mérite." Marquant simplement quelques arrêts à empoigner votre tignasse, et regarder ce visage honteux qui ne sait plus où se mettre, à part se soumettre. Je vous met à nue, vos vêtements volant dans la pièce. Vous êtes sur le dos, vos mollets fermement empoignés par mes mains. Je vous relève, et vous écarte les jambes, pour m'offrir l'entière vue de votre corps m'appartenant. "Ne bouge pas d'un pouce, Tiens la pause." Je vous attache les mains aux pieds, de sangles en cuir. Offerte, dans la position la plus obscène qui soit, je vous cale à hauteur de ma queue, que je ne vais pas sortir pour rien. Je vous goûte d'une langue appuyée, de toute la longueur de votre fente, vous regarde de toute ma candeur d'homme, et vous pose la question suivante : "Tu es quoi pour moi !!?" « Je suis... tienne. Je t’appartiens. Je suis là pour ton plaisir. Je veux te montrer à quel point j’ai envie » Je te prends par la mâchoire, et te fesses d'une main cinglante ton "petit" cul relevé. "Tu parle trop." "Tu es quoi Pour Moi !!?" "Ta soumise." A ces mots, tu te raidis de tout ton être, ne comprenant que trop bien ce que tu me signifie ouvertement. Tu te sens calme dans l'esprit (Tu arrives à transformer cette situation en "défi"), mais ton corps lui est pris de panique, et se contracte au maximum. Je ne desserre en rien ta mâchoire, et t'impose à bien ouvrir la bouche, et te faire tirer ta langue à l'extrême. Lorsque j'estime l'avoir ouverte à ma convenance, je laisse écouler une longue coulée de salive, tombant d'abord sur ta langue, et s'infiltrant irrémédiablement au fond de ta gorge. "Si tu l'ouvre, ce n'est pas pour raconter ta vie. Tu existes pour me servir. Ta bouche est un orifice que je vais éduquer à me satisfaire." Appuyant bien ta tête contre mon oreiller, pour bien te le faire mémoriser. Je m'éloigne l'instant d'après de ton corps, et commence à me déshabiller entièrement. Tu as une sensation de fraicheur "bizarre", comme si la pression que je t'avais donnée, te gelait maintenant de toute tes entrailles, de mes deux mètres de distance. Nue, offerte, souillée, attachée, tenant cette pose obscène... Tu refusais de t'avouer, d'autant plus à cet instant, que tu avais besoin d'un homme. Mais tu ressentais ce "vide" mainte fois convoité par ton esprit. Laissant tes obligations et tes principes de côté, devenant bien obsolètes face à ta condition actuelle. Ton regard était fixé sur mon corps, te remettant en "apnée" (Le souffle coupé). Après avoir enfilé une capote, je me mettais à ta hauteur, ma queue butant maintenant contre ta vulve. Je te fixais d'un air exigeant. "Qu'est-ce que je t'ai dis !!!" Spontanément, tu te surprends à ré-ouvrir ta bouche, et bien tirer ta langue comme jamais. "J'aime mieux ça !" Prenant ma queue et te la mettant directement au fond de ta chatte. Je prenais maintenant un malin plaisir, à assoir mon poids sur toi, pour bien te la mettre jusqu'à la garde. Tu te sentais plus vulnérable que jamais, laissant échapper un râle de satisfaction, autant d'inconfort. Je maintenais cette pose, voulant que ta sève imbibe mon membre de l'intérieur. A la fois, tu te ressentais serrée, à la fois ton corps se sentait à sa place à me recueillir. Je commençais à te vriller le vagin en tournant à l'intérieur. Une danse que je t'avais préalablement appris à faire..., et ton corps emboitait le pas. Mon premier coup te prit par surprise. Un coup de reins te faisant avoir un soubresaut. Une sensation nouvelle de possession prenant tout son sens. "Tu es quoi pour moi !!?" "Je suis celle qui est là pour te servir." Je te caresse la joue, attendant une nouvelle mauvaise réponse de ta part. "Ta soumise." "Alors comme ça tu veux être Ma Soumise..." doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. "Parce que tu crois que tu me mérite !?" doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. Je te prends maintenant de mes deux mains sur ton cou, et simule une strangulation. doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. Par défi, et parce que le rythme te convient, tu te complais à avoir un sourire revanchard et rebelle. Je me retire de toi prestement... Me rapproche de ton visage et te dis : "Tu te crois où ici !!?" Te sentant penaude. Tu aurais tendance à tourner le visage... Mais je te recadre la tête aussitôt, remettant ma pine au plus profond de toi. Un coup sec te signifiant que tu m'appartiens, et qu'à chaque coups de ma queue, je te donne de la valeur à mes yeux. "Tu es quoi pour moi !!?" "Ta soumise. Reconnaissante." Te culbutant maintenant ouvertement avec excès, je visualisais ton devenir. Toi, cette femme qui parlait beaucoup trop. Une projection, qui n'avait d'égale que ton sourire à encaisser mes coups de queue bien ancrés dans le présent, avec un plaisir non dissimulé. (Ce qui était une avancée en soi) Je m'arrêtais, me mettais à la hauteur de ton visage, et te murmurais à l'oreille : "Qu'est-ce que j'attends de toi !?" La suite par vos mots... *Jeu ludique sans limitation de durée. Scénario à construire et à incrémenter par "vous" femmes prétendantes Soumises /Soumises Novices ou expérimentées. Un écrit dans les commentaires de votre part = Un écrit du mien à sa suite, pour conserver le rythme du scénario. Si doublon, par deux membres s'exprimant dans le même temps dans cet exercice de style = Je choisirais l'écrit le plus pertinent. Je m'occupe de la modération pour conserver la lisibilité des écrits.
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Par : le 04/05/20
Come, awaken and consenting Take a seat, now my affair I'm driving you elsewhere Forget about Prince charming Firmly tied to your armchair Sadness, poorness and ill being Under my strokes, cheerfully leaving Exhale those darken odd smoke Wrists, chest, ankles are heaving throat Enjoying tight ring around your spot Beyond subside, you're denied firm pressure Live your role, worship my pleasure Under firm control my beloved beggar Pervasive scents, intrusive fluid glisten From your overwhelmed body, tighten Falter proudly to your idolized love burglar Sweat, wet it more, yawn and lick Drip tray, ashtray, bring it unique Feel it sting, knelt to sadistic Eternity MarquiSadistic aka MarquiSadik
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Par : le 19/01/20
Un milliardaire japonais vient de réserver le premier vol privé autour de la lune. Il pense inviter des amis artistes pour compléter son vol. Mais les artistes c'est bien sauf qu' une bonne femelle à bourrer dans l'espace c'est mieux. Notre milliardaire a passé une annonce avec un questionnaire très précis. Il sait ce qu'il veut ou croit le savoir, en bon machonaute qui a réussi. Plus de 20 000 femmes ont répondu en très peu de temps et il a du fermer son annonce. Il a assez de candidatures de prétendantes, du moins pour la première partie de la sélection. Notre brave milliardaire commence par dégager son pénis et par se branler devant toutes les fiches des candidates. Lesquelles l'excitent le plus, font bien monter sa sève? Il en reste mille possible. Il organise un second tour avec ces mille, un nouveau questionnaire plus précis, il veut tout savoir. Nouvelle série de branlettes et il en reste 300, les plus bandantes d'après lui et son pénis. Là il utilise les services d'une agence privée de détectives pour faire des enquêtes discrètes, voler des photos etc...Il se branle encore devant toute cette documentation et il en reste 10 seulement, dix perles rares, sublimes, qui ont toutes, les dons requis. Il a beau se branler, il ne peut choisir. Aussi il les invite dans le centre spatial où il doit s'entrainer, chaque jour. Notre milliardaire ne lache rien, il suit ses idées jusqu'au bout. Ses dix perles se présentent dans la même combinaison bleu, en coton, style salopette avec une fermeture sur le devant. Il les met de suite en compétition. Laquelle pourra écraser les autres et devenir sa femelle? Toutes n'ont qu'une envie, c'est d'écarter les cuisses pour le rendre définitivement accro. Toutes, sauf une, Yoko, le garçon manqué, cheveux courts, regard perçant, toute en muscles. Le milliardaire se saute toutes les autres, mais lorsqu'il veut écarter les cuisses de Yoko, il se prend une dérouillée monumentale. De rage il veut la virer sur le champ mais il n'a pas le temps de donner quelque ordre que ce soit. Yoko, experte en arts martiaux l'a déjà maitrisé, attaché et bâillonné. -c'est toi pauvre con qui va faire la femelle. Yoko lui administre une fessée à la main si terrifiante que notre milliardaire a ses cheveux qui blanchissent d'effroi. Comment cette folle avait elle pu le faire bander et passer les sélections? Il n'a pas le temps de connaître la réponse. Déjà la folle a enfilé un god énorme et se place derrière son cul rouge sang et encore tout tremblant. Elle le viole d'un coup et le pilonne avec rage, Les 30 cm rentrent jusqu'à la garde à chaque fois. Le milliardaire tombe vite dans les pommes, sa seule façon de fuir la douleur. De bonnes baffes et un seau d'eau froide le réveillent vite. -mais t'es une petite crevette toi. Et c'est avec un con pareil que je dois faire le tour de la lune. Les neuf autres femelles attirées par les cris arrivent. Yoko les attend avec un fouet. -cassez vous les pouffiasses ou je vous explose à votre tour. Aucune n'insiste. Toutes savent que même à neuf, Yoko peut vite les réduire en pâtée ron ron pour chatonnes castrés des ovaires. Là le milliardaire a vraiment peur. Il va se retrouver seul avec une dingue. -t'as fini de bander et de te branler pauvre carpette immonde. Voici une petite cage pour ta petite bite et un bon cadenas. Et si tu n'obéis pas, je te la coupe à raz. Et baisse les yeux. Une carpette comme toi n'a le droit que de me regarder les pieds. Les chevilles c'est la limite. Au delà tu dérouilles. Et tu m’appelles Maitresse. Toi t'es plus rien, pas même un chien. D'ailleurs donne ton cou que je te passe aussi ton collier de dressage avec des pointes contre ta gorge. Crois moi, tu as intérêt à obéir en tout et pour tout. Yoko enferme son milliardaire dans la centrifugeuse, à genoux et à l'envers, avec un gros plug acier bien lourd dans le cul. Elle lance la machine et s'installe confortablement dans une chaise longue. Elle sirote une vodka bien glacée. en croisant ses longues jambes bien galbées. Comme cela elle peut serrer son clito et se donner de délicieux orgasmes. La centrifugeuse commence à tourner. La milliardaire a compris ce qui l'attend. Le plug très lourd commence à pousser. Il implore. Appelle sa mère, se maudit d'avoir passé cette annonce. Il est trop tard. Cette folle de Yoko va détourner tout le matériel d'entrainement, pour former les spationautes, en instruments de torture. Le pire c'est qu'elle a beaucoup d'idées. Il se souvient de ce détail sur sa fiche.... Yoko lève son verre et éclate de rire. -Jouit pauvre con ! Et c'est ce que fait le milliardaire, il obéit. Il tapisse de sperme la centrifugeuse et enchaine les orgasmes. La cage de chasteté ne les empêche pas. A partir d'un certain nombre de tours, il ne sent plus rien. Il lui semble être au nirvana. Yoko est bien la bonne. il l'aime. Pour son malheur son cœur le brule ...Cela c'est le pire de ses supplices....
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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