par Abyme
le 02/03/15
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J'ai vu dans tes yeux
comme l'étincelle
qui adrénalise nos corps
quand nos âmes sont paumées
et que la bienséance nous injecte pourtant
des avatars illusoires de normalité
J'ai perçu tes signes
tes lèvres et tes pores
m'ont appelé
sans équivoque
trahissant une voracité
que toi-même ignores
J'ai lu en toi
à travers ton masque
ton appel effréné
ta soif de me rendre miroir
ta désespérance,
ton vide
dans ton coeur
et dans le creux de ton ventre
Mais…
Je ne remplis pas les vides
et mon tain est rayé d'écorchures
Je ne suis que le forçat
de mon faible intérieur
l'illusion déchue
de mon moi erratique
en réfection
Je pourrais m'enfouir
dans ta fente vorace
en un artefact
de come back
à l'alma mater
Je pourrais t'offrir un éclair
et t'emplir de foutre
mais ton vide personnel
ne serait pas comblé pour autant
ton vide n'est pas plein de néant
vois-le comme une force
un sas nécessaire
à ton cheminement intérieur
explore-le
Je ne suis pas un bon parti
t'investir serait mal venu
mon coeur n'est pas à prendre
car il a trop donné
mon corps n'est pas à donner
car il a trop pris.
Filo
comme l'étincelle
qui adrénalise nos corps
quand nos âmes sont paumées
et que la bienséance nous injecte pourtant
des avatars illusoires de normalité
J'ai perçu tes signes
tes lèvres et tes pores
m'ont appelé
sans équivoque
trahissant une voracité
que toi-même ignores
J'ai lu en toi
à travers ton masque
ton appel effréné
ta soif de me rendre miroir
ta désespérance,
ton vide
dans ton coeur
et dans le creux de ton ventre
Mais…
Je ne remplis pas les vides
et mon tain est rayé d'écorchures
Je ne suis que le forçat
de mon faible intérieur
l'illusion déchue
de mon moi erratique
en réfection
Je pourrais m'enfouir
dans ta fente vorace
en un artefact
de come back
à l'alma mater
Je pourrais t'offrir un éclair
et t'emplir de foutre
mais ton vide personnel
ne serait pas comblé pour autant
ton vide n'est pas plein de néant
vois-le comme une force
un sas nécessaire
à ton cheminement intérieur
explore-le
Je ne suis pas un bon parti
t'investir serait mal venu
mon coeur n'est pas à prendre
car il a trop donné
mon corps n'est pas à donner
car il a trop pris.
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Posté dans: Art/Dessin/Poésie/Musique
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Le message est adressé à une femme qui ne veut que du sexe, et rien d'autre de moi.<br />C'est en général l'apanage des femmes, de devoir décliner ce genre d'offre, et je voulais intervertir les rôles.<br />Mais merci d'avoir tout de même commenté au lieu de laisser un "je n'aime pas" sans justification.
C'est le propre de beaucoup d'humains, hommes ou femmes, mais les femmes utilisent plus souvent le sexe pour attirer l'homme vers ce rôle de combler. Le remplissage des orifices serait donc une version matérielle d'un besoin plus sentimental que chez l'homme. <br />Mais ce n'est que théorie et généralisation, je te l'accorde.
Suggestion
Par : KAPA🅒•••🔺rt
Heinrich Lossow, artiste allemand du XIXe siècle, est reconnu pour son talent exceptionnel dans le domaine de la peinture et de l'illustration. Né dans une famille d'artistes, Lossow a hérité d'un sens aigu de l'art et a suivi une formation qui l'a préparé à devenir l'un des peintres les plus provocateurs de son époque. Sa capacité à explorer des sujets controversés avec un réalisme frappant et une sensibilité artistique a marqué les esprits et continue de susciter l'intérêt.
Parmi ses œuvres, "Die Versündigung/Le Péché", peinte vers 1880, occupe une place particulière et est souvent considérée comme sa création la plus transgressive. Ce tableau à l'huile s'inspire librement du thème du Banquet des Châtaignes, un événement entouré de légendes et associé à une orgie présumée organisée par le Pape Alexandre VI (Rodrigo Borgia) et son fils César Borgia à la fin du XVe siècle. Cependant, Heinrich Lossow transpose ce contexte historique dans une scène à la fois intime et provocante, illustrant un moine et une nonne engagés dans un acte sexuel à travers la grille d'une église.
Dans "Le Péché", Heinrich Lossow ne se contente pas de représenter une scène de désir charnel; il interroge également les notions de moralité, de péché et de culpabilité au sein d'institutions censées incarner les valeurs spirituelles et éthiques. La grille qui sépare le moine de la nonne symbolise les barrières physiques et morales que leurs vœux religieux sont censés imposer. Cependant, leur transgression souligne la lutte intérieure entre les désirs humains et les obligations spirituelles, un thème récurrent dans l'art et la littérature de l'époque.
La technique d' Heinrich Lossow, caractérisée par une attention méticuleuse aux détails et un réalisme saisissant, renforce l'impact de la scène. L'utilisation de la lumière et de l'ombre, ainsi que la précision avec laquelle sont rendus les expressions et les textures, contribuent à l'atmosphère chargée et à la tension émotionnelle de l'œuvre.
À sa présentation, "Le Péché" a provoqué une vive controverse, reflétant les tensions entre les valeurs traditionnelles et les courants plus libéraux de la société de l'époque. L'œuvre a été à la fois critiquée pour son audace et sa provocation, et admirée pour son audace artistique et sa capacité à défier les normes sociales et religieuses.
L'œuvre de Heinrich Lossow, en particulier "Le Péché", demeure un témoignage puissant de la complexité des relations humaines et de la perpétuelle confrontation entre les désirs individuels et les contraintes sociales ou religieuses. En choisissant de représenter une scène d'une telle intimité et transgression dans un contexte religieux, Lossow a non seulement mis en lumière les hypocrisies et les dilemmes moraux de son temps, mais a aussi ouvert la voie à une exploration plus libre et plus audacieuse des thèmes érotiques dans l'art.
523 vues
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues)
.
Les preuves d’amour éclairent nos vies.
Cette lumière nous invite à explorer,
Ou nous pousse à l’envie de nous libérer.
Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur.
Elle nous met au centre de tout,
Mais nous enveloppe d’obscurité.
Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
673 vues
Par : BDSM
Quand le scénario et la grille d'écriture de Twilight , bouquin chouchou des ados, est exploité pour faire des livres pour adultes, cela donne une trilogie : Fifty Shades of Grey.
Succès phénoménal aux Etats Unis, avec 10 millions d'ouvrage vendu, de nombreux éditeurs dans le monde se sont arrachés les droits de l'adapter dans leur langue nationale. La sortie de la version français est imminente.
L'histoire est simple (trop simple ?) : une étudiante vierge tombe sous le charme (puis dans les griffes) d'un homme d'affaires et découvre peu à peu l'univers du sadomasochisme.
E. L. James (Erika Leonard de son vrai nom), a acommencé son travail d'écriture il y a deux ans.Si l'histoire avait d'abord fait l'objet d'une publication sur internet, la nature sulfureuse du récit a privé l'auteure de ce média (nombreuses plaintes !), et c'est donc chez les libraires que la version définitive de l'histoire a été publiée.
Le succès foudroyant a convaincu Universal d'acheter les droits d'adaptation au cinéma. L'achat des droits cinéma ne veut pas forcément dire qu'un film sortira effectivement, mais cela en prend le chemin.
Nous ne manquerons pas de relayer l'information sur la disponibilité de cet ouvrage en français : livre de référence ou historiette pour titiller les vanilles, on ne le sait pas encore. Réponse bientôt.
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Par : Abyme
Donner sans recevoir
Pardonner
Aimer sans être aimé
Enrichissement
Vertu de la frustration
et de l'épreuve
Chaque jour nouveau
devrait être une renaissance
A chaque matin son sourire
et son pas en avant
Car chaque jour
est une nouvelle chance
de donner
de créer
de se réjouir
d'apprendre
La chance d'apprendre
est une délectation du sage.
Filo
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Par : Abyme
L'affront réitéré
de cette lumière molle
pas de joie, pas de vice
et ce néon arrimé
à ce chapelet de journées torves
à ton pas de vie
que tu dévales en spirale concentrique
tu t'éloignes peu à peu
du bord
de l'inconnu
dehors
tu verrouilles l'axe
collections
séries
manies
la voix de l’œil du grand frère
toujours branchée
qui t'enseigne
te conforte
t'entretient
ton monde bétonné
couleurs vives
grand choix
rayons & gondoles
les figurants dehors
derrière ta forêt de cadenas
alors que le dedans te défigure
te recharge d'illusion
de rites
de passé
Sur son autel
la lucarne t'aide
à remplir le temps mort
le présent mort
en attendant
car tu attends toujours
un jour ton putain de prince
viendra enfin
te baisera
et tu y croiras
puis comprendras
puis pleureras
jusqu'à ce qu'un autre recommence
et tu pardonneras
et une autre spirale
un autre néon
une autre voix
rassurante
pré-requiem inachevé
d'incontinence
de tes petits riens
A ta dernière heure
le pire serait que tu te retournes
et comprennes tout enfin, d'un bloc.
Filo
465 vues
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues)
.
Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".
Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.
Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante.
Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork
sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.
A quoi reconnait-on une "Brat" ?
-----------------------------------------
Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues...
Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation.
Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.
Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement.
Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.
Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé.
La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer.
Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence.
Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu.
Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience.
Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.
Par quoi une "Brat" est elle attirée ?
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Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci.
Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger.
Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.
La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :
- Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face.
- Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne.
- L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.
Que fait fuir une "Brat" ?
-------------------------------
Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite,
comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant.
Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.
L'excitation compulsive d'une "Brat"
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Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée.
Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.
Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ?
Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.
Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.
La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.
En conclusion ?
--------------------
Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.
Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004)
marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille.
L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.
https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I
(Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")
A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat".
Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.
Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.
Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles.
Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...
Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice.
Cette liberté qui n'aura jamais de destination.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
4.9000 vues
Par : KAPA🅒•••🔺rt
Allen Jones est un artiste britannique né le 1er septembre 1937 . Connu pour son style audacieux et controversé, Jones est entre autre reconnu pour ses œuvres explorant des thèmes fétichistes et BDSM. Après des études à la Hornsey College of Art et au Royal College of Art de Londres, Allen Jones émerge sur la scène artistique dans les années 1960 en tant que membre du mouvement pop art britannique. C'est à cette époque qu'il commence à développer un style unique et provocateur, marqué par des représentations graphiques et colorées de figures féminines idéalisées et sexualisées. L'une de ses séries d'œuvres les plus célèbres et controversées est "Hatstand, Table and Chair",créées à la fin des années 1960. Dans cette série où la femme se fait objet stricto sensu, Allen Jones réalise des sculptures prenant la forme de femmes nues, vêtues de bottes à talons ou de bas résille. Ces pièces érotisées de femmes soumises, simples objets, ont suscité des débats intenses sur le sexisme, l'objectification des femmes et la représentation des fantasmes masculins dans l'art. Les critiques ont souvent accusé Allen Jones de renforcer des stéréotypes sexistes et de perpétuer une vision dégradante des femmes dans ses œuvres. Malgré les controverses, l'artiste a toujours défendu son travail en affirmant qu'il cherchait à explorer la fascination de l'humanité pour l'érotisme et la sexualité. Au-delà de la série "Hatstand, Table and Chair", Allen Jones a continué à produire des peintures et des sculptures qui se concentrent sur la sensualité et la sexualité. Sa carrière artistique prolifique lui a valu une reconnaissance internationale, avec des expositions de ses œuvres dans des galeries et des musées du monde entier, notamment en Europe et aux États-Unis. En dépit des critiques persistantes, Jones est considéré comme un artiste majeur du mouvement pop art et son impact sur l'art contemporain est indéniable.
Des livres sur Allen Jones
#AllenJones
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Par : Abyme
Petit exercice :
Comme l'habit ne fait pas le moine, les mots ne font pas le sens
Je bande mon arc
monarque
je touche la récompense
un doigt de plénitude
au cul de la bouteille
Vicieux le cercle de l'addiction
la diction
se désamarre,
elle en a marre
le noeud de ses amarres s'est défait
la bitte devait être humide
La chatte reste sereine
sa queue enlace sa culasse
lasse
elle m'enseigne
le détachement
car je mens je saigne
je fus concupiscent
j'ai vaincu, convaincu
Ma conscience
science des cons
suce ma force de vie
troue mes fondements ambitieux
pénètre mon esprit
gorgé de pulsions
et de règles
alors comme ma fidèle bête
à poils
je me délasse
Une pipe au bec
pour le look
je débite les mots
concurrents acculés
j'écarte l'animal de ma couche
je m'étale de tout mon long
je me répends
je jouis du temps
qu'il me reste
avant que la nuit
ne capote
et ne m'use, âgé.
Filo
* L'exercice consiste en un choix des mots, et à leur usage trompeur dans leur agencement.
Si on ne prend que les mots-clefs, on est sûr que le propos est sexuel ou grossier, alors qu'en fait à aucun moment il ne l'est dans le fond.
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Par : MonsieurN
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.
Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.
Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.
Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café
-Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.
Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt.
Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.
-Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac
-Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore
Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.
Toujours avec un large sourire, il dit:
-Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.
Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.
Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:
-C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.
-Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…
Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.
Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro.
A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier.
-Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.
Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.
-Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il
-Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.
Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie:
-Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?
Gaspard hésita et répondit:
-Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.
Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti
Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.
La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans:
-Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait.
Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.
-Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer
-J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier
-Non mai…, commença Léa
-Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.
Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.
Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.
-Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle
-Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable
Elle hésita quelques instants et dit:
-Une seule soirée et tu effaces?
-Exactement, dit-il
-D’accord…, répondit-elle à contre-coeur
-Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire
Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.
-A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire
Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées.
17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive.
Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.
Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.
Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;
-C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête.
Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…
Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.
-Debout, dit-il fermement
Il se plaça alors face à elle et dit:
-Maintenant après une journée de travail, tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.
La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:
-Déshabille moi
Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.
Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:
-Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.
Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle
Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas.
Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla.
-Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou.
Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit:
-Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie…
Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos
-Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes.
Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.
Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire
Un récit par Monsieur N.
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Par : KAPA🅒•••🔺rt
Tetsari Imai, un artiste graphique japonais, qui marque et attire par son style unique et provocateur. Né au pays du soleil levant, si riche de traditions et de culture, Tetsari a dès son plus jeune âge été attiré par les arts, en particulier par l'expression graphique.
Ses oeuvres sont caractérisées par une exploration audacieuse des thèmes de la beauté et de la douceur féminine. Ce qui distingue particulièrement Tetsari Imai, c'est sa capacité à mêler l'érotisme à ses œuvres, en y intégrant souvent représentations de femmes dans des poses de shibari, une forme d'art japonais de bondage. Ces illustrations érotiques ne sont pas seulement des expressions de sensualité, mais elles explorent aussi les aspects de foi, de vulnérabilité et de douceur.
Tetsari joue régulièrement avec les codes et symboles de la religion catholique. Ses œuvres incluent souvent des représentations de bonnes sœurs, de la Vierge Marie, et d'autres icônes religieuses, mais dans un contexte qui défie les conventions. Cette alliance audacieuse entre érotisme et symbolisme religieux est source à la fois d'admiration et controverse, plaçant Tetsari au cœur des discussions sur les limites de l'expression artistique en matière de religion.
Son travail, profondément ancré dans l'esthétique japonaise, allie tradition (évoquation des geishas) et modernité (pinup façon manga). Ses illustrations ne sont pas seulement visuelles; elles invitent à une réflexion plus profonde sur les thèmes de la liberté, de la contrainte, et de la spiritualité.
Tetsuro peut être suivi sur Instagram (@tetsuro_imai) et certaines de ses oeuvres sont vendues en ligne (https://imaitetsuro.store/).
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