par mael
le 27/08/18
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Clara jeune, jolie, trop intelligente et trop belle, bref, Clara seule. Les hommes en ont peur? Dans sa boite, c'est vite elle qui s'est retrouvée aux commandes. une cinquantaine de mâles, des secrétaires, tous à devoir lui obéir et ça commander elle sait faire. Sauf que, lorsqu'elle rentre le soir, après avoir trop bossé, jusqu'à ne plus compter les heures, son lit est froid et vide. Pas le temps, jamais le temps. Un bon whisky. Pas même envie de lire , de regarder la télé, d'écouter quelques vinyles démodés, trop fatiguée. juste un peu de vaseline sur son clito, quelques caresses, un orgasme, et dodo...et nouvelle journée de boulot, nouvelle journée de combat, de compétition. Ses patrons à elle vont bien finir par l'user complètement.
Parfois Clara se met à rêver qu'elle n'est que la femme de ménage, mariée à Paulo, le plus con de ses subordonnés, le plus gros tas de muscles et cervelle vide, de Vladivostok à Brest.. Ah n'avoir rien à penser, préparer le repas, torcher les gosses et au pieu avec Paulo. Le devoir conjugal, écarter les cuisses et supporter toute la masse de ce pachyderme velu. C'est que Paulo doit en avoir une grosse à voir la bosse de son pantalon. Clara se demande comment elle pourrait supporter cela. C'est l'odeur qui doit être le pire. Paulo n'est pas du genre à aller souvent sous la douche. Combien de marmots avec ce crétin?
Un peu de vaseline. Clara se fait jouir en pensant à toutes ces histoires d'amour vide auxquelles elle a échappé. Se marier, Être avec un homme? Quelle horreur! Elle préfère être seule et libre. Elle pisse debout comme les Égyptiennes adoratrices d'Isis.
C'est lors d'un voyage au Japon que Clara a découvert la gynarchie, le bondage, l'art des liens et du fouet. Elle est vite devenue une experte. Finie la solitude, le boulot jusqu'à l'épuisement, le plaisirs furtifs en solo sous la couette. Elle règne...
Ses sujets dorment à tour de rôle au pied de son lit. Ils servent de vespasienne avec interdiction de perdre la moindre goutte de son liquide doré. Ils n'ont même le droit de lécher. Si les mâles bandent c'est une impitoyable séance de fouet pour leur apprendre le respect. Clara est divinement belle. Elle se promène nue chez elle. Les sujet doivent baisser les yeux pour ne pas entrer en érection. Un calvaire, un supplice, le suprême plaisir pour eux lorsqu'ils sont zébrés au rouge par le terrifiant fouet arabe de Clara.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Suggestion
Par : M des Sens
Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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Par : M des Sens
Elle était revenue de deux semaines d'un voyage professionnel à l'étranger.
Et pendant le week-end de son retour, nous avions flâné dans les rues de Paris, comme deux amoureux, que nous étions, se retrouvant. Passant dans des endroits qui étaient chers à nos cœurs...
Des petits bars s'ouvrant à la nuit, à la douce nuit de l'été ou nous avions l'habitude de nous retrouver, aux folies des boîtes de nuits Parisiennes...ou encore sous les ponts parisiens regardant passer les bateaux-mouches éclairant à leurs passages les arches des ponts, nous dévoilant quelques peu aux regards des touristes...
Nous étions heureux de nous retrouver, simplement, et nous n'avions fait que de roucouler comme deux tourtereaux...
Au petit matin, de ce lundi...Elle partit à son travail, j'avais la chance de ne pas travailler ce jour.
Elle demeurait dans une belle chaumière, dans le sud de la région parisienne...
J'aimais me retrouver chez elle, il y avait un doux parfum d'ancien... Pierres apparentes, grandes et vastes pièces, qu'elle savait savamment décorer de meubles forts en prestance, ainsi que de beaux bougeoirs qu'elle adorait user à la place de la lumière électrique...
C'était pour moi, un havre de paix, ou j'aimais me retrouver, même quand elle n'y était pas.
Dans la journée, elle m'appela pour me faire part de son stress de la journée. Il semblait que sa visite à l'étranger n'avait pas apporté tous les fruits escomptés pour ses patrons... et ils lui faisaient la remontrance...
Après l'avoir quitté, triste de la savoir désappointée, je me mis alors en tête de lui changer les idées pour le soir venu.
Je l'appelais alors et lui dis qu'il fallait qu'elle soit rentrée pour 20 h... pile et pas de faux-fuyant.
Elle savait, dès lors, au ton de mon discours que la soirée serait... à Elle, à Nous.
Elle raccrocha, mais je sentis que le sourire lui était revenue et je fus rassuré de son bien-être.
Je préparais la table du salon sur le son de DM.
Recouvrant d'une nappe rouge le bois de ce divin meuble, qui fut parfois le spectateur passif de biens des émois ...
Puis je dressais la table comme si l'on recevait, mettant les petits plats dans les grands, cherchant l'harmonie des couverts et des verres.
J'y ajoutais un bougeoir en plein milieu, ainsi que quelques Roses rouges posées simplement à même la nappe.
Le vin décantait dans un beau Cristal, et je me hâtais de préparer un petit repas simple, mais frugal quand même.
Le champagne était au frais. Tout était presque près à la fin de l'après-midi.
Je préparais alors, les affaires de ma Belle, car je voulais qu'elle soit Belle
.
Je lui choisis une belle robe de soirée, rouge Sang, offrant, quand elle l'a portait, une vue si délicieuse sur la cambrure de son dos à nu.
Je la déposais sur le lit, délicatement, laissant tomber presque au sol le bas de cette étoffe.
Mais je ne préparais rien d'autre... si ce n'est ses chaussures à hauts talons assorties à sa parure future.
J'aime à savoir ma belle libre sous ses vêtements, et je savais qu'elle raffolait de ce petit vice que j'ai parfois... offrant bien des tourments des sens.
Je préparais également la salle de bain...
Cette dernière était des plus spacieuse. En son milieu se trouvait une baignoire, sur un promontoire que quelques marches permettaient d'y venir. Une fenêtre, aux drapés chaud en ornait le contour, donnait sur le jardin, certes pas très grand au regard de la grandeur de la maison, mais suffisamment pour que l'on ne puisse voir à l'intérieur. Une coiffeuse se trouvait dans le recoin de la pièce, ou s'amoncelait ses bijoux du quotidien, et d'autres, dans un coin secret, ceux du moins quotidien...
Je disposais, sur les marches menant à la baignoire, quelques petites bougies parfumées, ainsi que d'autres autour
Je préparais, aussi non loin, la serviette délicatement pliée sur la chaise de la coiffeuse.
Je pris le temps de me préparer aussi, revêtant simplement une chemise tout en noir et un pantalon tout aussi noir...
Pour finir, à l'entrée de la maison, je déposais, sur la petite table d'entrée un ravissant bouquet de Roses.
Tout était près...
Peu avant 20 h, elle m'appela...
« Je suis bientôt arrivée, à tout de suite » et je souris
J'allumais alors toutes les bougies que j'avais disposées ça et là et commença à faire couler le bain.
J'éteignis toutes les lumières, laissant la lueur si plaisante des flammes qui dansent.
Et mis en route, la musique, que j'avais également préparée en fond...
Après avoir arrêté l'eau du bain, je me rendis sur la petite terrasse, profitant de la douceur du soir en attendant la proche arrivée de la Belle.
J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, et ma Belle apparu rapidement, avec les fleurs que je lui avais laissé, dans les mains, le sourire plus que présent.
Elle me déposa un tendre baiser, comme je les aime tant...Passionné, enivrant, fou et apaisant...
Elle prit une chaise et nous parlions quelques peu de sa journée pas si rose que cela.
Je sentais ma Belle, à mesure de notre discussion, repartir dans une frustration certaine. Je l'invitais alors à aller se détendre en prenant le bain que je lui avais préparé.
Elle me sourit, et me remercia de penser à Elle et surtout de penser à lui faire oublier ses moments de tensions.
Je la laissais seule se rendre dans la salle de bain, et de profiter de ce petit moment de solitude intime dans cette atmosphère que j'y avais créé pour Elle.
Au bout de quelques minutes, et après l'avoir entendu pénétrer dans le bain, je servis deux coupes Champagne.
Et je me rendis doucement dans la salle de bain.
Elle était là, dans cette eau chaude, parfumé et brouillée de bulles et de mousse...
La lumière des bougies apaisait l'ambiance, et la Belle, les yeux fermés, se délaçait de sa journée.
Aux traits de son visage, je voyais aisément, que ce décor lui apportait le repos tant désiré.
Je m'assis sur le rebord de la baignoire. Ma présence ne fut pas de suite perçu par ma Belle, et je souriais de la voir se détendre...
Ma main vint caresser la surface de l'eau, doucement, et un petit sourire se dessina sur son visage et elle garda les yeux clos, quand les remous vinrent troubler ce repos tant mérité.
Ma main vint au ras de sa peau...que j'aime pouvoir caresser une peau, juste à la surface de l'eau d'une belle O détendue, calme....
Son sourire fut plus présent et ses yeux s'ouvrirent au même moment...
Son regard croisa le mien, souriant de son bonheur...
Je lui tendis sa coupe...
Elle en but quelques gorgées, puis me la rendis....
Voulant se lever, je lui fis signe de rester encore...
Je déposais les coupes sur la coiffeuse, et revenant vers la Belle, je relevais mes manches, pour qu'elles ne tombent dans l'eau.
Mes mains vinrent dans un premier temps, juste sur ses épaules, massant doucement la base du coup...
Sa tête suivait, avec satisfaction, le mouvement de mes mains....partant tantôt à droite, tantôt à gauche...
Je la massais avec douceur, et...au bout d'un moment, mes mains quittèrent ses épaules pour, effleurant la surface de l'eau, se diriger vers ses monts, émergeant toujours juste à la surface, auréolé de la mousse du bain...
Son corps se cambrant pour chercher la douceur des doigts...
Les yeux toujours fermés, ma Belle frissonnait de la rencontre tant désiré sur ses monts de mes mains...
Jouant de la mousse, ses dernières caressaient la courbe de ses formes généreuses et attendrissantes de désir.
Son souffle devenait plus doux et un peu saccadé...
Dessinant des cercles dans l'eau autour des monts de l'O, je jouais ainsi avec délice, par moment, tiraillant avec douceur le pic de chacun d'entre eux, ou effleurant juste des ongles ses pics qui grandissait.
Ce jeu dura un moment, quand nos bouches, n'en pouvant plus, s'unirent pour danser follement...mélange de chaleurs et de frais, de goût de la liqueur pétillante au goût de ma belle...c'était des plus enivrants...
Durant cette danse de langues et de bouches...mes mains quittèrent les rondeurs, pour se diriger vers un autre mont...celui de Venus...
M'attardant légèrement sur son ventre, le corps de ma Belle se cambrait d'avantage, pour m'offrir plus facilement la conquête de son mont qu'Elle désirait m'offrir dans le trouble de la mousse...
Mais...je m'arrêtais avec dans cette ascension...ainsi que cette danse folle.....
Je me redressais...
« Tu n'as pas faim ? » lui dis-je ...
Elle sourit, connaissant ce jeu que j'adore faire, un peu déçue...mais, me connaissant, elle savait qu'il y aurait une suite...et que ce n'était qu'un petit « apéritif »...elle poussa juste un « Pfff » assortie d'un sourire coquin....
Je l'enroulais dans la blanche étoffe de la serviette...à la sortie de son Bain....L'embrassant tendrement comme elle m'avait fait à son arrivée...
« Va te vêtir...je vais préparer la suite »
Un sourire taquin illumina mon visage, un sourire illumina le sien....
Sans mots dire, Elle referma la porte de la salle de Bain, plus instinctivement qu'autre chose, et je la laissais seule se vêtir et se détendre encore plus....
J'étais plongé dans mes pensées, le verre de champagne toujours en main...quand un parfum si plaisant vint chatouiller délicatement mes sens...
Elle était dans l'embrasure de la porte, une main posée, à hauteur de son visage, sur le chambranle de la porte...un sourire taquin illuminait son visage...et son regard ne me quittait pas...
Elle était resplendissante dans cette robe qui dessinait si bien ses formes. Elle avait agrémentée sa tenue, que je lui avais choisit, par un maquillage très soutenue, dont elle connaissait si bien l'effet sur moi...Dessinant ses yeux avec excès, tirant celui-ci vers l'extérieur, suivant la courbe relevé de ses sourcils finement préparés... Ses lèvres, assortis à la couleur de sa robe, brillaient comme des diamants.
Je me levai et lui tendis ma main, qu'elle prit avec délicatesse.
Je la conduisis vers sa place, tirant d'abord la chaise avant qu'elle s'y assoit.
Elle tira sur sa robe, légèrement pour lui faciliter son assise, m'offrant une vue remarquable sur son dos à nue...s'assoyant d'abord comme une amazone, puis ramenant dans une douceur affolante ses deux jambes sous la table...et je rapprochais la chaise....
J'aime voir ces petits détails si féminins dans la mouvance d'une femme....cette façon sensuel d'user de ce charme si naturel et si envoûtant pour l'œil qui observe...que parfois on en reste si muet et Béa....
Le repas fut un délice tant pour la bouche que pour les yeux...
Nous mangions nos mots, nous dévorions nos regards, nous nous envoûtions de ce simple repas...Les sourires fusaient de ci de là...et toutes nos phrases n'étaient que subtiles sous entendus et jeux d'éveil de nos sens...déjà bien a l'affût.
Puis, le désert pris, je l'invitais à quelques par de danses.
La musique était douce.
Sa main posée sur mon cœur, recouverte par la mienne, mon autre main jouait dans l'ouverture de son dos, tantôt des bout des doigts tantôt de mes ongles long.
Lorsque j'usais de mes ongles, sa peau se parait de frisons, juste le passage, et la peau se couvre de ses petits signes...si visible sur la peau
Puis, après quelques chansons...et de mélanges de bouches, de langues et de salives...
Je pris d'une main, son cou...et de mes doigts je cherchais ce nœud...libérateur...
Ils trouveraient le fil, tirant dessus...
Elle baissa la tête pour mieux m'y aider...
Rapidement son étoffe tomba à terre...
Elle était nue...et je l'enlaçais pour sentir la chaleur de son corps...
Nous dansions encore sur une chanson...
Et machiavéliquement, je menais notre couple proche de notre armoire à secret.
Je m'écartais de la Belle, et ouvrit les portes de l'armoire...
Je fis en sorte de prendre ma convoitise sans qu'elle puisse voir ce que cela fut...
Mains derrière le dos, je retournais vers ma victime volontaire...
Elle m'embrassa.
Je l'écartais à nouveau, passant ma main devant ses yeux pour les clore...
Son visage sourit...mais elle s'exécuta sans peine...
Je passais d'abord derrière elle...Pris son poignet et y posa un bracelet...puis sans lâcher ce poignet, je pris le deuxième et y posa le second bracelet...
Ces bracelets étaient de cuir, reliés entre eux, par une petite chaîne....
Elle avait toujours les yeux fermés...
Je passais devant elle, et sans fléchir, sans prévenir...à la hauteur de ses pics dressés par la douce température....j'approchais...son deuxième ornement...
En même temps, je refermais sur ses pics, les deux pinces sur ses hardant promontoire...
Elle se redressa brusquement par la pression des pinces...un petit bruit sorti de sa bouche....
Les pinces étaient reliées par une fine petite chaîne qui pendait entre ses monts
Il me restait plus que deux éléments à mettre en place pour la parer définitivement... et se sentir Belle et soumise en ma possession....
Je regardais un instant l'œuvre que je venais de faire...
Une main posée sur son épaule, j'écoutais religieusement son souffle saccadé mais apaisé...
Je déposais un baisé sur son épaule, puis la laissa un instant sans qu'Elle puisse sentir ma chaleur.
Je pris dans notre secrète armoire, la suite de son tourment. Et je revins près d'Elle, posant à nouveau ma main sur son épaule...Elle se redressa brusquement, surprise un peu de ma venu, les chaines qui la retenaient se mirent un peu à tinter...bruits métalliques si agréable de la prisonnière de mes désirs.
Une de mes mains passa alors, doucement de sa vallée vers son cou, puis passa doucement sur le cotés de ce dernier. Mon pouce vint sous sa mâchoire, et l'obligea à redresser la tête...
Elle se redressa fièrement au dictât de ce doigt.
Mon autre main apporta ce cuir qui transforme une Belle en Possession.
Elle sourit, joyeuse en voyant ce présent.
Mes bras enlacèrent son cou pour fermer ce présent.
C'était un collier de cuir grand recouvrant la quasi-totalité du cou, finissant en pointe sur le devant juste à la naissance de la vallée. En son centre était présent un anneau.
Puis je finissais ce délice de parure en accrochant une laisse à l'anneau du collier.
Quand le fermoir de la laisse se fit entendre, très légèrement, Elle ouvrit enfin les yeux...
Elle me sourit, et baissa la tête, attendant qu'à présent, je la dirige vers là ou mes plus vils envies pouvaient l'emmener.
Elle n'était plus, ni femme de caractère, ni joueuse des sens, Elle était à présent cette captive de mes sens, de mes désirs. Elle était que ma Possession, belle et délicieux instrument de mes envies où seule, ma volonté n'avait que Foi.
Je pris son menton entre mes doigts, pour lui faire redresser la tête.
Nos regards se croisèrent.
Elle, heureuse d'être ainsi possédée et Moi, fière de son abandon.
Je lui souris, et je déposais un baiser sur ses lèvres.
Tirant sur la laisse, je la dirigeais alors vers le fauteuil. Je m'y assis, et tirant à nouveau sur cet instrument, sans mots dire, je la fis s’asseoir au près de moi,l'aidant pour qu'elle ne tombe pas, sur le sol qu'un tapis moelleux recouvrait.
Elle avait les jambes recroquevillées vers elle, le corps droit. Elle était là tête baissée, à mes pieds. Je tirais encore sur ce lien si fort, pour l'approcher tout près de moi.
Son corps était contre ma jambe et j'en sentais, au travers de l'étoffe qui la recouvrait, sa douce chaleur.
Je pris une cigarette, puis la boîte d'allumette qui se trouvait sur la table basse, face à nous.
Je fis tourner la tête de ma Possession pour qu'elle puisse me regarder.
Ses yeux étaient illuminés de bien-être et elle était suspendue à l'attente de la suite des événements.
Je lui offris la cigarette, qu'elle appât délicatement.
Je frottais une allumette contre le boîtier. Elle suivait le moindre de mes gestes...
Je dirigeais la flamme vers sa destinée.
Penchant la tête, pour éviter que la fumée puisse lui brûler les yeux, elle tira une grande lampée, allumant de ce fait cette cigarette.
Je lui repris, doucement, et la porta à ma bouche. Elle se pinça les lèvres, elle aimait ma façon délicate parfois sexy au dire de certains de prendre et d'user de cet objet.
Je posais ma main sur sa tête et l'obligeant à la poser sur ma jambe. Et je continuais, jusqu'à la fin, sans rien dire, caressant avec délice la chevelure de ma Possession à mes pieds, collée contre moi.
J'écrasais la cigarette dans le cendrier. Tenant toujours dans le creux de ma paume, la tête de ma Belle.
Je pris une coupe de champagne non loin que l'un de nous n'avait fini.
J'en bu une gorgée.
Ma main releva la tête de la Belle.
Je présentais ce divin nectar à ses lèves, et je l'y aidais, attendris de la voir ainsi dépendante volontaire de mes gestes et de son bien-être.
Je reposais la coupe, et souris au geste délicat et sensuelle de la langue de ma Belle sur ses lèvres, ne gâchant rien jusqu'à la dernière goutte...
Je fis quelques tours de main sur la chaîne jusqu'au collier, puis tirant à moi cette divine créature, j'approchais mes lèvres des siennes.
Nos lèvres s'unissaient, et le balle de nos langues suivait la musique si présente.
Je voyais cependant les traits quelques peux fatigués et tirés... ainsi que l'heure qui tournait.
Je me redressais, et tenant toujours près de moi dans cette étreinte délicieuse ma demoiselle, je l'aidais à se redresser.
Nos lèvres ne se quittaient pas...
Ma main libre parcourait avec douceur la chevelure de ma « prisonnière ».
Puis, elle descendit doucement le long de son dos, juste effleurant des ongles cette peau de satin, suivant le dessin de la colonne, jusqu'à arriver à la naissance des Lunes.
Elle avait les yeux fermés, mais son corps ondulait comme une Chatte que l'on caresse. Suivant, cherchant en chaque instant la pression marquante de ces griffes qu'Elle aimait tant.
Puis, la main vint, dessinant une parallèle au sol juste au dessus d'une Lune, sur le devant.
Passant sur sa hanche, Elle se cabrât sur le cotés, souriant par l'effet de chatouillis que cela lui provoquait.
Puis, à hauteur de son triangle d'Or, elle prit la direction montante d'un seul doigt, vers ses délicieux monts, effleurant son nombril.
Arrivant à la chaîne qui tenait prisonnier ses pics, le doigt suivi cette chaîne vers l'une des étreintes. Et d'un coup, je délivrais le premier pic, lui arrachant un souffle de soulagement.
Puis je délivrais le deuxième....
J'embrassais alors, tour à tour, ses « douloureux » avec délicatesse, apaisant, de ce geste, l'étreinte provoqué...
Elle murmura un « Humm » de satisfaction, me faisant sourire...
Puis brusquement, je m'arrêtais.
Je me redressai, approchai vivement le visage de ma Belle pour engloutir ses lèvres.
Elle savait que ce n'était pas la fin de son tourment...Elle attendait avec une envie certaine d'une suite qu'Elle devinait plus sauvage...
Mais là ...est une autre histoire...
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Par : Dame Meg
Je t'attends, à genoux. J'ai preparé le salon, suivant tes instructions... une ambiance, des jouets allignés...
Je ferme les yeux, un peu d'appréhension... je laisse mes ongles glisser sur mes cuisses, une main s'attarde sur mon sexe... je me concentre sur mon plaisir, cherche à me détendre... j'aime ces caresses humides, chaudes... je m'aventure en moi, mes cuisses s'ouvrent...
Ta main se pose sur mon épaule, et je me fige... je ne t'ai pas entendu arrivé... ai je mal fait de me caresser?
"Continue" Je reprends un peu mal adroitement mes gestes... je sens le cuir autour de mon cou... mon collier... tes mains me caressent, s'emparrent de mes seins, ils ont pris de l'ampleur et tu t'amuses avec mes tétons... c'est sensible, j'aimerais me rebeller... mais.. . Je te laisse faire, je gémis par moment... je tente de me concentrer sur mes doigts, mon sexe... tes doigts s'ajoutent aux miens, m'ouvre un peu plus... me guide un peu, vers un orgasme.. mon corps contre ton torse mon sein emprisonné dans ta main... je cède, ruisselle...
Tu m'invites à m'appuyer sur la table, te présenter mes fesses blanches... les caresses doucement avant de me faire sentir le martinet.... alternant le dos, mes cuisses, mon cul... je gémis, s'avoure cet instant... Tu me demandes si ca va... je te réponds, encore.
Tu poursuis, ta main claque sur mes fesses, qui se réchauffent un peu plus... je me laisse aller... tes doigts me pénètrent, je gémis... je sens ton sexe forcer mon cul...peu à peu je t'accueille... je viens à ta rencontre... tes mains sur mes hanches m'impose ton rythme, provoque mes râles. Le plaisir nous envahit, tu y cèdes, te répends en moi... T'absente un instant, je reprends mon souffle doucement... Tu reviens glisser tes doigts en moi.... il ne faut pas longtemps pour que je coule, encore et encore...
Tu finis par me laisser révenir doucement à moi... avant de retirer mon collier, avec un baiser...
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Par : Lady Gabrielle
Je VOUS livre , ici , les perversions mentales de Lady Gabrielle , qui , sommes toutes , ne sont pas aussi perverses que l'on pourrait le penser mais quand même très cérébrales.
Personnellement ,je n'ai jamais manipulé ma Maîtresse pour obtenir des faveurs .
Il m'est bien arrivé , comme beaucoup de soumis , de demander des choses que je n'ai pas souvent obtenu , d'ailleurs .
Mais je l'ai toujours fais en direct , sans utiliser de subterfuge.
En revanche , Lady Gabrielle , a fait preuve d'une certaine habileté mentale . Dans son cas le mot perversion est un peu fort .
C'est l'histoire que je m'en vais vous conter maintenant .
Au début de notre relation , nous ne vivions pas ensemble , pire , nous étions séparés par 150 km de plaines et de montagnes , heureusement pas infranchissables puisque traversées par une autoroute des plus pratique que je n'hésitais pas à emprunter maintes et maintes fois .
Et puis nous n'étions pas dramatiquement éloignés comme dans les contes romantiques et moralisateurs des temps passés.
Nous nous sommes beaucoup servi de nos téléphones portables . Vous voyez , nous n'étions pas dans un conte de Perrault.
Mais c'était et c'est encore une très belle histoire .
Je disais donc que nous étions reliés par téléphone. En effet, Lady Gabrielle avait exigé dès les premiers jours de ma soumission envers ELLE , un SMS journalier .
Pour moi , cela n'avait pas constitué une contrainte mais au contraire une joie et une preuve supplémentaire de ma soumission à Maîtresse .
Pour la petite histoire , sachez que j'ai changé 3 fois de forfait téléphonique entre août et décembre 2005.
Avec le numéro deMaîtresse illimité la nuit ainsi que les SMS illimités 24/24 .
Sinon j' aurai considérablement contribué à enrichir les actionnaires d'ORANGE .
Tout ça pour dire que ,au début , notre relation était essentiellement téléphonique et seulement épisodiquement physique.
Un jour enfin une nuit , au cours d'une de nos conversation , Maîtresse m'a suggéré la chose suivante : ELLE me demandait ce que je pensais de me prosterner devant ELLE à chacune de nos retrouvailles .
Il faut savoir , avant toutes choses , que les suggestions de Maîtresse Gabrielle , émises sur un ton doux et souriant sont tout ce que vous voulez ,mais certainement pas des suggestions ! ! ! Ce sont des ordres impératifs et péremptoires que soumis berny serait très mal venu de transgresser.
Ma réaction première fut un silence interminable que l'on pourrait comparer à celui des cimetières s'il n'était pas déjà éternel .
Ma surprise passée , la réflexion et mon esprit, au pouvoir hautement analytique , ayant fait leur travail, je voyais cette suggestion tout à fait réalisable . Sauf que . . .
Sauf que je ne connaissais pas encore très bien Maîtresse Gabrielle .
Moi je pensais que je devrais me prosterner devant ELLE discrètement , dans des endroits retirés , dans des coins sombres de portes cochères . . . Que nenni : je devais accomplir cet acte de soumission en public ! ! !
Et si possible , large , le public .
Notre rencontre suivant cette suggestion péremptoire et impérative eut lieu deux jours plus tard , à la gare de la Part -Dieu à Lyon , Maîtresse Gabrielle étant venu en train , dans le grand hall , un samedi à 11heures .
Ce matin là ,une foule de valises à roulettes tentaient de retenir des voyageurs en perdition , semblant leur dire ou Oui enfin bon . . .
Moi j'avais une suggestion à accomplir devant Maîtresse Gabrielle . Inutile de dire que durant les deux jours précédents, l'anxiété était monté en puissance dans mon esprit de soumis . Oserai je me prosterner , aurai je assez d'abnégation , aurai je le courage ?
Samedi matin , 11heures , octobre 2005. Il faisait beau ce matin là . Forcément je retrouvais ma Maîtresse .
Hall de la Part-Dieu à Lyon . Je suis planté au milieu , je domine la foule par ma taille , par mon épanouissement , par la force qu'ELLE me communique , parce que je suis à ELLE .
Voyageurs qui courrez , arrêtez de courir ! ! ! Cherchez LA avec moi ! vous verrez SA beauté .
Tout à coup ,une lumière . Ma tête se vide . ELLE apparaît en haut de l'escalier . ELLE est venue . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété , à chaque fois .
Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété . Mais ELLE est là . Les pas -perdus de la gare ne la regarde même pas . ? . ? . ? Sacrilège . Pourtant ELLE est belle dans son tailleur façon Chanel , son chemisier blanc à col ouvert , ses escarpins noirs , avec ses cheveux blancs et courts , son visage rondinet , son petit nez à la retroussette , ses yeux toujours souriants , ses lèvres fines et sévères . ELLE est là , radieuse .
Et moi , dire que je suis heureux ne serait qu'un doux euphémisme . Mon esprit est envahi de . . . mon esprit ? quel esprit?
Mon cerveau est en ébullition . . . mon cerveau ? quel cerveau ? Ma tête . . .oui ma tête ! mais elle est vide ma tête et elle n'a qu'une chose en . . . tête : L'IMAGE DE MAÎTRESSE GABRIELLE descendant les escaliers du hall de la gare de la Part -Dieu par ce beau samedi d'octobre 2005 .
Et toi berny . . . hou hou berny ferme la bouche , et ne reste pas planté là comme un benêt va prendre sa valise .
Je monte quelques marches , à sa rencontre . Que dis je des marches : je gravis une montagne et comme je rejoins Maîtresse tout disparaît autour de moi . , le hall est une vallée noyée dans le brouillard.
Il n'y a plus que la montagne , Lady Gabrielle , le brouillard à nos pieds et le soleil .
A ce moment là je me suis mis à genoux , je me suis prosterné , j'ai embrassé SES pieds tour à tour . Enfin paraît il .
Car ce n'est que plus tard , bien plus tard que Maîtresse m'a affirmé que je l'avais fait . J'avais été à la hauteur . . .
de ses pieds en l'occurrence .
C'était la première fois que je me prosternais en public pour Maîtresse , et comme toutes """ les premières fois """ ce fut une charge émotionnelle extraordinaire . Je ne l'avais jamais fais avant pour personne . Et bien sur , depuis , je ne l'ai plus jamais fais pour quelqu'un d'autre sauf sur SON ordre .
Ce WE fut effectivement un beau WE plein de BDSM , CHACUNE et chacun de son côté préféré du fouet .
La fin de ces deux jours arriva très vite , trop vite . Je raccompagnais Maîtresse à la gare le dimanche soir . Nous allions nous quitter . Je n'avais pas de tristesse . Je savais que nous nous reverrions . Et puis un fil nous reliait ::: le
téléphone . . . sans fil .
Je montais dans le wagon sans compartiment avec un couloir central , je déposais la valise de Maîtresse dans le filet .
ELLE me tendait la main pour que je l'embrasse , ce que je fis , et sans qu''ELLE me l'ai demandé je me prosternais à nouveau et embrassais ses pieds .
Maîtresse fut surprise mais , sommes toute , très contente . Et imaginez la surprise des voyageurs et la promiscuité du lieu .
Depuis ce jour ; j'ai accompli cet acte de soumission dans maints endroits comme la terrasse de plusieurs restaurants , dans divers magasin , galerie marchande etc . . . Et toujours avec un immense plaisir décuplé par le fait que j'ai la possibilité de laisser entrevoir ma soumitude aux profanes .
Oui je sais ça devient compliqué . En un mot ce n'est pas une humiliation c'est une joie pour moi .
Voilà l'histoire de ce que j'appelle l'habileté mentale de Lady Gabrielle . J'espère qu'elle vous a plu .
Je m'en vais vous conter la perversion mentale qui a traversé le cerveau hautement dominateur de Maîtresse Gabrielle
hier à 16 H 37 .
Elle est très semblable à celle que je vous ai contée dans cette rubrique ( la première ) .
Allez c'est parti .
En ce moment le calme est plat sur la mer du BDSM entre Maîtresse et moi . Je suppose que cela arrive dans tous les couples . Et comme nous sommes nombreux à le dire nous ne vivons pas BDSM 24/24 .
Donc hier , nous faisions nos courses dans un supermarché du Pays de Gex , quand à 16 H 37 précisément il nous vînt l'envie de boire du café . Pour accomplir cet acte salvateur nous nous rendîmes dans un bar à café sis au centre de la galerie marchande du supermarché sus-cité .
je déposais nos achats nécessaires ,utiles et même les superflus ( ceux qui font le plus plaisir ) au pied du guéridon .(et si tu n'es pas guai ou guay ou gué part )
Je tirais la chaise afin que Maîtresse puisse y prendre place aisément puis je commandais les boisson caféinées .
Nous devisions calmement , amoureusement , enthousiasmement ( je vous laisse trouver tous les mots en ement que vous voudrez ) sur un projet qui n'a rien à voir avec le BDSM .
Quand , tout à coup et soudainement Maîtresse Gabrielle , qui peut être agacée par mon verbiage de bavard , me """suggéra """ de me mettre à genoux ! Là ! Tout de suite !
Je peux vous dire que ma température passa en une nanoseconde , de 36,9 degrés Celsius à 391 degrés Farenheit
Imaginez le trouble qui était le mien à ce moment là . Nous ne sommes pas sur le mode BDSM, nous parlons d'un sujet qui nous fait rêver , et cet ordre qui tombe abruptement . Je dois dire que Maîtresse Gabrielle a le secret de ce genre de revirement psychologique . J'oserais ,même dire qu'ELLE est redoutable dans cette pratique .
Bon mais que croyez vous que je fis ? Que je refusai ? Que nenni ! ! ! je n'ai pas intérêt . Je demandais seulement quelques instants de préparation psychologie ( aussi ) . Hé oui je ne suis pas ""SUPERSOUMIS"" je vous l'ai déjà dis .
Donc je m'exécutais après un silence intersidéral de plusieurs siècles . Alors évidement ,je me suis concentré sur le visage de ma Maîtresse , incapable de regarder ailleurs , je devais être rouge ou blanc ou peut être bien vert enfin je n'en sais rien ;. Toujours est il que je n'en menait pas large malgré la largeur de mes 107, 500 kg .
Quand à Maîtresse Gabrielle , tranquille , souriante , sereine , calme , détendue , heureuse en quelque sorte , ELLE regardais alentour . ELLE m'a dit par la suite que les têtes et les regards masculins , féminins et les autres ont tous convergé , en un instant vers nous .
Et ELLE m'avoua , si tant est qu'une Maîtresse puisse avouer quelque chose , avoir eu cette pensée pour les femmes
et pour les hommes
Et là . . ."" pour un instant , pour un instant seulement "" je me suis senti dans la peau de """ SUPERSOUMIS """
Merci Lady Gabrielle , merci de me faire vivre des moments d'une telle intensité . Je dois dire que l' "" après immédiat"" puis le souvenir de cet acte me remplissent de fierté , de bonheur , de joie .
Fierté d'avoir osé pour la FEMME que j'aime , je dis bien pour la FEMME même si la Maîtresse fait partie intégrante de
cette FEMME .
En un mot j'aime la FEMME qu'est Lady Gabrielle . ( je crois que c'est plus simple exprimé ainsi )
Alors vous allez dire que ça ressemble à mon premier post sur cette rubrique ( je vous avais prévenu ) et vous avez raison mais la situation était différente .
Voilà , j'espère que vous aurez aimé cette petite histoire .
Berny
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Par : Switcher
Je suis une partisane de la Suprématie Féminine, et j’aime utiliser mon savoir élaboré du dressage des esclaves afin d’aider d'autres femmes à apprendre comment transformer un mâle en un véritable Esclave. Totalement dévoués et vraiment très obéissants. Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles : la bisexualité forcée. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des bites est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine et de mentalité machiste Doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre. J’ai d'abord entrainé mes soumis à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture et après leur pénétrer l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de mes lopettes. C'est aussi un mâle soumis, mais il peut être actif avec d'autres mâles soumis, Il est grand, musclé, bien monté. Il n’est pas véritablement homo, mais bi et vraiment très cochon. Pour préparer mon Esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très humiliante et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d'impuissance. Je lui ordonne de se mettre debout devant mon soumis. Il est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Il se déshabille et présente son sexe à mon soumis. Je le prends en main et oblige mon esclave à le sucer et à lui lécher les couilles, puis sur mon ordre il le met entièrement dans sa bouche. et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle puis je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Il reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon soumis trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. Ce type d’entrainement est très utile en faire une vraie salope mâle lui dilater sa chatte anale, et obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon esclave.
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Par : Dame Meg
Comme il me l'a indiqué je suis montée pour me preparer. Choisir une tenue, rassembler nos jouets, parfaire mon épilation. Je l'entend qui monte, je m'allonge sur le lit, cache mon visage dans l'oreiller. Il pose quelque chose sur moi et me demande de ne pas bouger. J'attends.
Il revient, me bande les yeux, puis un plug. Il me guide, je descends, arrive au salon avant de retirer mon bandeau. La table basse recouverte d'un plaid, une musique un peu étrange, la pénombre, une bougie de part et d'autre de la table. Je me retrouve à 4 pattes sur la table, jambes écartées.
Une fessée à la main pour commencer, la position n'est pas facile à tenir, puis un gode... difficile de me laisser aller, entre plaisir et douleur... les choses s'enchainent gode, vibro, un autre plug... les coups sur mes fesses, l'intérieur de mes cuisses, mon sexe...j'oscille entre orange et rouge... moment de pause où je le suce, et il continue de me fesser.
Je suis allongée sur le dos, poignets attachés à un pied de la table. Les choses se poursuivent... par moment la cire tombe sur ma peau. La tête en arrière, une nouvelle fellation... des sensations... la bille du plug qui bouge, le gode en verre qui s'impose... ses doigts me font jouir à plusieurs reprises. Je reviens à 4 pattes, il me prend sauvagement, l'envie qu'il jouisse... la roulette à dent sur mes fesses... c'est bon...
Le vibro, je me débats intérieurement... c'est trop, je ne peux pas poursuivre... je dis rouge.
Il me détache, me prend dans ses bras, je ne pensais pas dire mon safeword... pourtant... On finit dans un bain, pour débriefer.
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Par : Switcher
"Lèves toi je veux te sucer". je me levais et elle se mit à genou devant moi, avalant ma bite et commençant une pipe tout en passant ses mains sur mes fesses, ce qui m'excitait encore plus. elle me suçait tout en douceur.
Ses caresses se rapprochaient de mon anus et je la soupçonnais de vouloir y glisser quelques doigts. Elle joua ainsi un peu et bien sur je sentis qu'elle commençait à tourner ses doigts tout autour de mon cul. Elle profitait du moment où ma bite était entièrement dans sa bouche pour passer ses doigts sur mon petit trou. Je les sentais appuyer doucement, n'osant pas encore se glisser en moi. Ses caresses se faisaient plus pressentes, elle avait ralenti sa pipe pour observer mes réactions.
C'est moi qui capitula en disant dans un souffle, " Mets tes doigts dans mon cul". Elle sortit ma bite de sa bouche et me regarda "Redis-moi ça petite salope! " " j'ai envie de tes doigts dans mon cul". Elle savait qu'elle avait gagné et son sourire moqueur près de ma bite le montrait bien. "Tournes toi et mets toi à genoux, tu mouilles pas du cul, je vais devoir te lubrifier avec ma langue."
Bien que trouvant très humiliant de me placer ainsi devant elle, je me positionnais, bras croisés , serrant même un peu les fesses, honteux de lui montrer mon cul. Elle colla son bassin contre mes fesses et je sentis ses seins dans mon dos, chose qui m'excitait.. "Écartes tes fesses avec tes mains, je veux voir ton trou du cul bien exposé, petite salope".
J'hésitais encore à le faire mais je plaçais mes mains sur mes fesses. "Tu a l'air d'aimer ça. Allez écartes tes fesses que je te bouffe le cul avant d'y fourrer mes doigts."
Aussi gêné qu'excité, la queue bien dure, j'écartais lentement mes fesses, courbant le dos pour mieux les montrer. "C'est bien petite salope, je vais m'occuper de toi".
je sentis quelques instants plus tard sa bouche se poser entre mes fesses et sa langue commencer à parcourir mon sillon anal. N'ayant connu qu'une fois ce plaisir, je dois dire que ma honte fit rapidement place à un plaisir incroyable. La sensation de cette langue tournant sur mon trou et s'y glissant de temps en temps était électrisante.
Elle s'occupa ainsi de moi pendant un petit moment, enfonçant toujours plus loin sa langue qui fut rejointe par quelques doigts qui pénétrèrent sans mal dans mon cul.
Son autre main saisit ma bite et commença un mouvement de va et vient. Elle voulait me faire jouir et ça n'allait pas être long. Elle recula sa tête et glissa 3 doigts dans mes fesses. Elle me baisait littéralement le cul, ses mouvements synchronisés avec ceux de sa main tenant ma queue. Je ne pouvais m'empêcher de gémir maintenant et elle me le fit remarquer "Tu couines comme une trainée avide de sexe...Tu aimes que je te défonce le cul avec mes doigts n'est ce pas". Entre 2 gémissements je ne pu que dire "oui j'aime trop ça que tu m'encules avec tes doigts".
Elle accéléra ses mouvements et ne pouvant plus me retenir je laissais le plaisir couler de ma bite dans sa main. Sans retirer ses doigts de mon cul, elle plaqua sa main pleine de sperme sur ma bouche en disant "Lèches ton jus petite salope, je veux que tu avales tout. Et dépêches toi, j'en ai pas finis avec toi..."
Dans un instant, je vais me faire enculer par une femme et vivre un fantasme que je rêve d'assouvir depuis longtemps. Je cambre et remue mon cul devant ma Maitresse. Je sens alors le gode forcer l'entrée de mon cul.
Elle le pousse doucement entre mes fesses qui s'élargissent un temps pour le laisser rentrer. Mais le gode est très gros, 25cm sur 6.5cm me dira-t'elle plus tard, et mon cul résiste à cette pénétration. J'ai mal, mon visage se crispe. Je dois être un peu maso, car j'aime cette douleur quand je suis pénétré, c'est à ce moment qu'elle pose ses mains sur mes hanches.
Ses ongles se plantent sur mes hanches et elle commence à pousser le gode en moi, sans s'arrêter. Je sens l'action du lubrifiant en moi et j'ai l'impression que le gode déchire quand même mon conduit anal.
Lorsqu'elle marque un arrêt, j'ai l'impression de devenir une vraie salope. Pourtant je ne sens rien contre mes fesses, donc elle n'a pas tout entré. Elle passe alors ses mains sur mon dos et mes fesses, me caressant doucement. "On fait une petite pause pour que ton cul de salope s'habitue à la taille du gode".
La gêne et la douleur du gode se mêlent avec le plaisir et l'excitation que je ressens, et c'est presque inconsciemment que je me met à reculer mes fesses.
Elle sent le mouvement et replace ses mains sur mes hanches. "Regarde moi cette petite pute qui en veux plus. Elle replante alors ses ongles et je sens le gode reculer presque entièrement puis replonger encore plus en moi, m'arrachant un râle de douleur/plaisir. Elle me pilonne le cul pendant plusieurs minutes, par des mouvements amples mais peu rapides, faisant toujours un peu plus rentrer le gode.
La douleur se mêle a plaisir , sachant manier le gode et ne manquant pas de temps en temps à bien le frotter contre ma prostate. Je me sens vraiment salope et je veux qu'elle me défonce encore plus. Entre deux gémissements je lui réclame "Maitresse, s'il vous plait enculez moi plus fort, je veux sentir tout le gode en moi".
Elle n'attendait que ça et accélère ses va et vient, alternant profondeur et vitesse. Je commence à gémir comme une truie, ma bite laisse couler son jus, je perds pied et je réclame d'autres bites "Oh Maitresse c'est trop bon, baisez moi jusqu'au fond", "Maitresse je veux d'autres bites dans mon cul et dans ma bouche", "Maitresse je suis votre putain".
Le gode rentre alors entièrement en moi, je sens ses cuisses contre moi. "maintenant je vais te finir petite pute" me dis-t-elle en me relevant vers elle. Et là elle se déchaine, sortant et rentrant presque tout le gode ou me pilonnant les entrailles. Elle me traite de salope, de trainée, de lopette.
Chaque coup de gode me fais couiner, puis gémir et enfin râler. Je sens un plaisir inconnu monter en moi, je ferme les yeux et j'arrive à prononcer "je jouis...". Elle me donne l'estocade en me plantant le gode au plus profond de mon cul, lâchant ma tête et me laissant ainsi m'écrouler de plaisir sur le lit, l'entrainant avec moi.
Je crois que pendant quelques minutes je suis resté presque inconscient sur le lit. Je ne me souviens pas d'elle retirant le gode ou du fait de me mettre sur le dos.
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Par : Monsieur Jones
- Xaroff, si vous voulez bien vous allonger sur ce divan.
Avant de commencer, j'aimerais savoir pourquoi vous estimez avoir besoin d’une thérapie.
- Et bien disons que depuis tout petit j’ai des envies étranges et hier, alors que j’y donnais libre court, j’ai pris conscience qu’il fallait que je fasse quelque chose pour en comprendre l'origine...
- Ah oui? que s’est-il passé hier ?
- J’étais avec une femme à qui j’avais imposé une tenue de soubrette. Elle portait une robe noire assez courte, un petit tablier, une coiffe dans les cheveux et, puisqu’il faut tout dire, avait à me demande enlevé sa culotte et son soutien gorge. J’avais pris soin de faire jaillir sa poitrine en dehors de son décolleté.
- Je vois oui, et ?
- En regardant cette femme droit dans les yeux, j’ai émietté lentement une biscotte sur le sol en lui disant qu’elle allait devoir faire le ménage.
- Une femme de ménage donc... mais pourquoi cette biscotte?
- Vous allez comprendre docteur. J'ai exigé qu'elle reste immobile et suis allé chercher un pinceau avec un manche de belle taille, à la fois oval et épais. C'était un pinceau rond et bien fourni. J'ai ramené aussi une petite pelle en plastique, comme celle que l’on utilise avec les balayettes.
- Ah! un conflit ! Ménage ou Peinture... ?
- J’y viens docteur. Elle a écarté les cuisses à ma demande pour que je garnisse son sexe avec le manche du pinceau. Son sexe salivait tellement que, pour immobiliser le pinceau, il a fallu que j’utilise un ruban plastique, vous savez ces films plastiques sans colle qui adhérent sur eux-même. Je l'ai enroulé autour de la taille et des cuisses en suivant le chemin d’un huit imaginaire dont le nœud passait au niveau de la vulve immobilisant le manche dans le sexe.
On ne voyait, entre ses jambes, plus qu'une touffe de poils au bout d'un petit pédoncule.
- Et bien, vous avez de bien curieuses manières d’encourager une femme à faire le ménage… que s’est-il passé ensuite ?
- J’ai placé un fauteuil pas très loin des brisures sur le sol, m’y suis assis et lui ai dit de rassembler les miettes éparpillées pour en faire un petit tas qu’il lui faudrait pousser jusqu'à la pelle que je tenais posée sur le sol à un demi-mètre de là. …
Sans un mot, elle s’est accroupie et s'est appliquée à la tâche, ondulant du bassin à mesure que le pinceau léchait le sol pour guider les miettes comme un petit troupeau en transhumance vers la pelle. Tous ses muscles étaient sollicités avec cette unique ambition pastorale.
Je l'ai trouvée infiniment belle.
On pouvait voir, dans ses yeux et la tension de sa bouche, se concentrer les plus belles émotions du monde, l'excitation, la colère, la gêne, l'envie, la douleur et la liberté...
...
- Vous ne dites rien, docteur ? qu’est-ce que vous en pensez ?
- Et bien, comment dire... Est-ce que, à tout hasard, il lui arriverait de faire des heures supplémentaires, car cela pourrait m’intéresser... ?
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Par : M des Sens
Dans mon passé j'ai vécu, exploré, testé, goûté aussi tout les pans de ce Jardin des Sens avant d'en arriver à ce que je suis aujourd'hui...
On m'a souvent demandé...
"Mais pourquoi dis-tu que tu n'aimes pas ?"...
Et bien simplement parce que j'ai gouté...
Alors voilà un Pan de moi que vous dévoile....Et là je sais...que c'est vraiment pas pour moi... ;)..Peut-être certains seront surpris...Mais je suis ainsi ...
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(Gary Grant et Randolph Scott)
Il y a des années (pfff), alors que je ne savais si cette passion devait pleinement être le fil conducteur de ma vie, j’ai vécue une aventure je devrais dire plutôt une expérience différente.
A l’époque, je faisais mes études et je devais partir à l’armé.
Et oui je fais partis de ceux qui n’ont pu y couper. Je naviguais, en ce temps, entre les passions et une relation classique.
Cette dernière, j’en étais totalement fou amoureux…que voulez-vous…le cœur à sa raison que la raison ignore.
Puis vint le jour ou je dû me rendre à ce service d’intérêt que militaire. Et ce qui devais arriver arriva, celle qui faisait battre mon cœur me tournait sans raison le dos….
Comme si simplement elle attendait ce moment pour prendre la fuite…enfin
Coupé un peu du monde, même si j’étais sur Paris, je n’arrivais pas à l’oublier, même les passions que j’avais à l’époque avaient un gout âpre bizarrement.
C’est fou comment l’amour peut vous toucher si fort en vous.
Pendant près de 4 mois je tentais en vint de reconquérir sont cœur…
Désabusé par mes efforts, je décidais de tourner cette page.
Et je commençais à me poser moult question sur l’amour et mes relations avec les femmes.
Chaque soir, je sortais dans les rues Parisienne tentant d’oublier cette femme. Je résidais à l’époque dans le marais et de nouvelles et étranges pensées me traversaient l’esprit.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu très prisé et charmant, il est surtout réputé non pas pour la demeure de Victoire Hugo, mais pour sa couleur des plus gaies et étranges d’un monde très masculin aux relations très exclusivement…masculines
A force de me promener dans ce quartier avec une coupe de cheveux des plus évoquant pour cette population…je me fis mainte fois aborder
Il est des plus surprenant de constater, que ce milieu est très ouvert et n’hésite pas à vous aborder facilement par contre vous leurs dites simplement Non, ils n’insistent que très peu…Bon nombreux devraient en prendre bonnes graines ;-)
Un soir, plus sombre que d’habitude, je cédais à une invitation dans un petit bar près de la place des Vosges car la personne, déjà plusieurs fois croisé et charmant au demeurant, m’inspirait confiance dans sa démarche simple et sans « arrière pensée »….heu un peu naïf sur le coup, mais…la tentation d’être avec quelque et de parler simplement m’était plus important que ses éventuelles arrières pensées.
Nous parlâmes ainsi pendant la grande majorité de la nuit…
Il m’expliquait comment il avait découvert son homosexualité, je lui faisais part de ma vie un peu turbulente avec les femmes …
Tout se passait comme si nous avions été de vieux amis, rien ne transparaissait de ses intensions…un peu cachées…
Puis nous vinrent à parler de mon questionnement, plus précisément à mes déboires et le fait que je ne savais pas réellement ou j’en étais dans cette sexualité qui été la mienne…
Il m’écouta avec un grand intérêt…et me proposa d’aller prendre un dernier verre chez lui…
Je refusai sur le coup…lui indiquant qu’il était des plus tard pour moi, mais que le lendemain, je serai flatté, et ne verrai pas d’inconvénient à honorer sa proposition.
Il en fut des plus charmé, bien sur, et me donna son adresse en me donnant rendez-vous le lendemain soir.
Le lendemain, je me rendis donc à l’adresse indiquée, juste à cotés de la place des Vosges…
Son appartement était cossus mais pas extravagant comme je me l’attendais d’un homme de son bord, si je puis dire…
Il avait préparé un repas à mon honneur…un repas Japonnais….
Il fut très bon, enfin si je m’en souviens bien…
Puis nous terminâmes par un verre…heu que dis-je plusieurs verres Saké assis tout deux confortablement dans un canapé de son salon.
L’ambiance était des plus chaleureuses et conviviales…
A un moment donné…je ne me souviens plus exactement quand dans une conversation…mais… sa main venait de se poser sur ma jambe…
Avec l’autre il prit soin de déposer son verre, puis le mien sur la table basse.
Nos regards se croisèrent…une atmosphère différente venait de naître…
Sa main libre vint se placer derrière ma nuque...
Je restais impassible...
Il approcha sa tête de la mienne...
Des images me parcouraient l'esprit...mais je ne réagissais pas...
Ses lèvres se rapprochaient alors peu à peu des miennes.
Et je restais sans réaction, laissant aller l’instant, sans bouger.
Il me déposa alors un baiser, un simple baiser….
Je ne sais si c’était l’effet de l’alcool ou autre mais j’étais dans un brouillard, troublé aussi par l’instant, par ce qu’il venait de faire en toute simplicité…
Il écarta son visage, me souri, avec un petit sourire de coin…comme pour dire… « Et bien tu veux ou tu veux pas .. ?».
Je lui souriais alors en retour, son visage s’illumina…
Sa tête pris alors une direction plus descendante…et au passage, il prit le soin d’ouvrir mon pantalon…Sa main vint prendre l’objet de son désire, qu’il porta à sa bouche.
Je me laissais toujours faire, mais la réaction de sa quête lui indiquait bien l’émois que j’avais…c’est parfois mieux que des mots.
Il s’appliquait avec une dextérité redoutable…montant descendant lentement mais sûrement…j’avais rarement eu un délice aussi subtile, délicat…heureusement que depuis, certaines personnes féminines m’ont prodiguées pareil tourment…si non …rires
Puis, pour la première fois de ma vie, je sentis alors en mon endroit interdit, une entrée douce et délicate…un effet des plus étranges m’envahit alors…il assurait le rythme de cette entrée avec celui du tourment.
Étrange moment, je vous avoue, et encore aujourd’hui que cette endroit est pour moi des plus difficile d’entrée bien que j’en accepte parfois l’entrée…même un thermomètre y a une difficulté grande …Vive les nouveaux thermomètres qui n’empruntent plus ce chemin.
Mais également, je sais que j’adore le faire ‘subir’ à la gente féminine ce tourment, et je comprend que parfois cela est des plus difficiles, voir impossible…
L’homme a, en cet endroit, un point important et très sensible et qui lui procure un plaisir très certain parfois plus fort que le Saint Graal et les tourments que l’on puis lui faire subir.
Puis, il vint à y introduire un deuxième doigt…toujours avec une grande délicatesse…Un plaisir certain m’envahit, il le comprit. Il activa le tourment, les frissons m’envahissaient, les tremblements faisaient leurs apparitions…
Il tenta alors un troisième doigt…mais là…je l’arrêtai immédiatement…il n’insista pas, comprenant vite que cela était déjà bien…voir trop peut-être, heu…même sur.
Il arrêta donc ses tourments, comprenant que cela n’irait pas plus loin en ce qui me concernait.
Il m’offrit alors, un préservatif, qui mit délicatement sur ce mat dressé, je l’y aidais quelque peu. Il en profita alors pour retirer ses affaires.
Il se mit alors directement à califourchon sur moi…pris en main l’objet désiré et le présenta doucement à son antre…il était aussi très ‘tendu’, mais il se grandit encore plus lorsque peu à peu, il descendit sur ma ‘fierté’...j’étais des plus étonné que sans préparation cela pouvait avoir lieu…
Mais très vite ma réaction fut sans appel…pour lui, pour nous…
Le mat peu à peu dresser perdit de sa rigidité…
Comprenant que là c’était vraiment trop, en quelque sorte…il arrêta…nous arrêtâmes.
Nous continuions s cependant à discuter, à en discuter…le reste de la soirée
Mais une chose est sur et certaine…malgré cette expérience quelque peut délicieux…je ne suis nullement fait pour ce genre de rapport…
Et donc je pris conscience que l’homosexualité, même dans l’adversité du temps, ne serait pas du tout mon chemin. Et que malgré le cœur des plus blessé, les femmes auront toujours mes faveurs et ma préférence.
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