lolita oracio-steven
par le 22/04/13
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Saint Barth le 5 aout 2010,

Ce jour là où Justine était partie faire une promenade en bateau, je restais seule à la villa. Installée dans une alcôve au bord de la piscine, Sylvestine, la gouvernante vint me demander si je voulais un massage. « Oui, volontiers, c’est vous qui le faite ? » « Non » me dit-elle, « c’est le professeur, » « le professeur c’est qui ce monsieur ? » « Bien, c’est Bartemy le coach, dit le professeur », me répondit-elle avec son accent créole et un soupçon d’agacement. Mais c’est bien sûr, c’est évident pourquoi je n’y avais pas pensé plus tôt. Elle partit et revint quelques minutes plus tard avec « le professeur » Ce grand black, était torse nu, avec des traits de visages très fins, si je voulais faire une comparaison, je dirais qu’il ressemble à un présentateur d’un certain journal télévisé. Ca changeait tout, mais pourquoi pas, et j’acceptais. Je m’équipais d’une serviette autour de ma taille et suivis l’homme dans la salle de sport, je m’installais sur le ventre sur la table de massage, je calais ma tête dans le coussin creux, il m’enduisit le dos d’une huile très parfumée et commença de me masser. Ses mains étaient douces, il faisait cela en vrai professionnel. C’est peu être pour cela qu’on l’appelait « le professeur ».

Au bout d’un moment, visiblement ma serviette le gênait, et sans me demander mon avis, il la retira. Je me retrouvais nue les fesses à l’air. Il continua son travail, mais n’ayant plus d’obstacle, je sentais ses mains descendre sur mes fesses, me masser l’intérieur des cuisses que je serrais le plus possible, descendre sur mes jambes puis remonter en n’oubliant pas au passage un petit détour entre mes jambes.

Après un quart d’heure côté pile, il me fit mettre côté face. C’est alors que je m’aperçus ce que je ne pouvais pas voire avant, ayant la tête dans le coussin creux, c’est qu’il était complètement nu! Il sourit en voyant ma surprise et il me dit, « il fait chaud, je suis plus à l’aise comme ça ». Comme si tous les masseurs se mettaient à poil pour masser leurs clientes.
Il recommença la même opération sur mes seins, mon ventre, l’intérieur des mes cuisses, trouvant d’ailleurs qu’elles étaient trop serrées, il m’écarta les jambes d’un geste autoritaire. De ma position, j’avais une vue imprenable sur son sexe au repos, mais d’une taille plus qu’acceptable et de surcroit complètement épilé. Mon éphèbe, entrepris alors de me masser une partie particulièrement sensible aux caresses, la naissance de mon sexe, juste au dessus de mon clitoris. Je commençais à perdre pieds, et ouvrait inconsciemment mes cuisses. Il n’attendait que cela, pour pénétrer un doigt, puis deux, dans mon sexe, et me masturber délicatement. Il faut dire qu’après plus d’une semaine passée entre les bras d’un seul amant, j’avais du mal à résister à ses avances.

Je percevais un début d’érection chez mon masseur et puisque de toute façon ça se terminerais par une partie de baise, je décidais de l’encourager dans le développement de son sexe, je le prenais dans la main et commençais à mon tour un doux et long vas et vient, qui provoqua immédiatement chez lui une érection digne de celle que j’avais connue lors de soirées avec des blacks.

Il me demanda de me remettre sur le ventre, mais au moment ou j’allais remettre ma tête dans le coussin creux, il présenta son sexe juste devant ma bouche. Le message était clair et j’avalais son membre tendu à l’extrême. Il me tenait la tête et il se branlait entre mes lèvres. Je ne sais pas combien de temps cela à durer, mais il avait une résistance à la jouissance hors norme.

Puis trouvant que ce petit jeu avait assez duré, il monta sur la table, se couchât sur moi, écarta mes jambes et me pénétra d’une seule poussée. J’avais l’impression d’être complètement coupée en deux, puis il accentua le rythme de ses pénétrations. Je sentais son sexe taper au fond du mien, ses testicules se frotter contre mon clitoris, et il continuait de plus belle. J’explosais en orgasmes à répétition, et quand il jugeât que j’étais prête pour l’assaut final, il jouit à son tour en de longs jets brûlants.

Il se retira, je restais dans le vague, incapable de bouger, tellement j’étais bien. Debout devant moi, je constatais que son érection n’était pas retombée, Comment faisait-il ? J’avais connu des amants endurants, mais à ce point là, jamais car la séance avait durée plus de trente minutes. « Si mademoiselle veut que je recommence, c’est comme elle veut » me dit-il avec une formidable assurance et son accent créole « Maintenant il y a une autre solution, je peux demander à mon collègue de venir ». Là ça tournait à la partouze, je lui demandais, « il est comme toi ton copain », Il me regarda avec un grand sourire et dit « non, moi on m’appelle le professeur, lui son surnom c’est le perforateur ! ». Ca voulait dire quoi, le perforateur ? Pas de réponse.

Vous commencez à me connaître, je n’ai jamais sut dire non a des nouvelles expériences sexuelles, et j’acceptais la participation du « perforateur » dans notre salle de jeu. Il s’absenta un moment et revint avec Joé. Habillé d’un simple short comme en porte les surfeurs, il était aussi bien foutu que le premier. « Bonjour mademoiselle, je suis à votre service». Les présentations faites, je leur demandais de pouvoir prendre une douche. Tout était prévu, une douche était installée directement dans la salle, sans porte ni cloison. Je fis couler l’eau, tout en réfléchissant, pourquoi on l’appelait « le perforateur ».

Je n’ai pas eu le temps de me sécher, qu’ils étaient tous les deux venus me rejoindre sous la douche, le premier nu, mais son copain avait gardé son short ! Je sentais leurs mains se promener sur mon corps, fouiller mon intimité, devant, derrière. Je tenais dans ma main droite un sexe, que je connaissais déjà, mais je cherchais de l’autre main à attraper le sexe de son Joé. C’est là que j’ai eu un moment de panique. Au travers du short, je commençais à sentir une sorte de batte de baseball se dresser sous le tissu.

Il se décida enfin à retirer ce vêtement qui cachait l’objet du délit, et là, pour la première fois de ma vie, j’ai eue peur. Même mon copain des Beaux Arts à Paris était battu par cet homme, à l’époque je l’avais mesuré, 25 cm sur 7 cm de diamètre, mais là on dépassait tout les records. Imaginé et ça va être dur, une batte de baseball avec une tête encore plus grosse. Le tout monté à la verticale, son sexe se dressant comme un obélisque. Je comprends maintenant l’origine de son surnom, et pourquoi il avait gardé son short aussi longtemps, car bons nombres de filles de race blanches doivent fuirent en voyant un tel engin. J’étais devant le fait accompli, et ne pouvais plus reculer.

Nous sommes sortis de la douche, Bartemy se couchât sur un banc de musculation, il m’invita à venir me mettre à califourchon sur lui en lui tournant le dos, mais quand mon sexe toucha le sien, il le recula de la main pour le présenter à l’entrée de mes reins. Doucement, je descendais sur ce pieu de chair chaude et dure. Quand, je sentis qu’il ne pouvait pas aller plus loin, je montais et redescendais tout doucement en savourant cet instant.

J’ai toujours aimé la sodomie, elle procure d’autres sensations, et là c’était merveilleux. Son copain toujours dans les mêmes dispositions s'étais mis face à moi et regardais le sexe de son copain s’enfoncer dans mon l’orifice le plus étroit. C’est alors qu’il me fit pencher en arrière sur le torse de Bartémy, je vis la batte de baseball s’approchée de mon sexe, de ses doigts il écarta mes lèvres intimes, puis tout alla très vite. En trois poussées il avait fait pénétrer la moitié de son sexe dans le mien. J’ai criée, j’avais le souffle coupé, mais ils ne semblaient pas entendre mes cris, et ils accélèrent leurs mouvements de vas et vient. La douleur aigüe du début fit face à un plaisir intense. Il s’enfonçait de plus en plus, et finit par toucher le fond. Connaissant ce que je pouvais faire pénétrer, ayant fait l’expérience avec un sextoys, j’avais vingt bons centimètres de chair brûlante devant et derrière.

La séance dura un bon moment, puis ils décidèrent de changer de position. Dans un état second, Ils me retournèrent, toujours couché sur le dos, j’enfourchais face à lui le sexe toujours dans une forme olympique de Bartémy, il me pencha en avant pour m’allonger sur lui, mes seins plaqués contre sa poitrine brillante de sueur et dans cette position, mes fesses se présentaient à mon deuxième assaillant. Joé me pénétra doucement l’anus déjà lubrifié et dilaté comme il l’était, la pénétration fut moins douloureuse que je ne pensais.

Un pendule sur le mur égrainait les minutes, mais toujours aucune jouissance de leur part. Par contre, je jouissais régulièrement, secouées de spasmes, qui m’envoyait presque dans les pommes.

Chacun sait que le degré le plus élevé de la volupté chez la femme qui baise est atteint lorsqu’elle se sent injectée par le produit de l’éjaculation de l’homme et que, plus cette éjaculation est abondante et copieuse, plus son plaisir est vif.

C’est après plus de vingt minutes de ce traitement, que d’un commun accord, ils jouirent pratiquement ensemble, ce qui provoquât l’orgasme le plus formidable que je n’ai jamais eue. C’est qu’en effet, ainsi qu’ils l’avaient dit, ils m’injectèrent dans le corps, à eux deux, une quantité énorme de sperme. J’en étais gonflée, je le sentais, alors que leurs décharges inouïes et incroyables continuaient encore. Cela dura plusieurs minutes et ma matrice, noyée dans le foutre, pompait quand même les deux sexes. Mais elle ne pouvait suffire à absorber le torrent qui la submergeait.

A ma grande surprise, il ne se retirèrent pas de moi, et ils se mirent à me baiser une deuxième fois. Ils s'enfonçaient de plus en plus, forçant le plus loin possible. Je sentais leurs testicules frappées mes fesses, j'imaginais la longueur de leurs sexes au plus profond de moi. Mon sexe et mon cul déjà lubrifié par leurs premières éjaculations faisait qu'ils pénétraient de plus en plus loin. Ils me perforèrent encore un bon moment et ils se vidèrent une deuxième fois en quantité égale à la premières fois. Je sentais mon vagin se gonfler en recevant tout ce liquide chaud. Quand ils se retirèrent, je les inondés en ne pouvant plus m’arrêter. De là, je fus agitée par des spasmes violents et je suis tombée dans les pommes. Cette jouissance est invraisemblable et impossible à donner par une éjaculation simple.

Je sentis qu’ils me portaient sur la table de massage, qu’ils me caressaient doucement les seins, le front, ils m’apaisèrent ainsi de cette séance inoubliable. « Mademoiselle, il est 17h30, nous devons partir, Joé doit aller chercher mon patron et votre amie au port, vous savez, vous êtes une des rares femme blanche à avoir accepter mon ami, vous êtes fantastique, nous pourrons recommencer quand vous le voudrez. » me dit mon présentateur télé. Oui et bien pour le moment, il faut que je me remette doucement, en me demandant comment j’allais pouvoir m’asseoir ce soir pour diner, sans faire paraître que j’avais encore le feu de leurs sexes dans mon intimité.

Je reprenais une douche, mon sexe et mon cul n'en finissait pas de se vider des quantités de sperme qu'ils m'avaient injecté, puis me dirigeais vers ma chambre, Je croisais Sylestine la gouvernante, qui avait un petit sourire aux coins des lèvres. Je m’approchais d’elle, et sans un mot, lui faisait une bise sur les deux joues. « Ca a du vous changer des petites bites de vos amants blancs » Et elle éclata de rire.

Je rentrais dans ma chambre, me faisait couler un bain tiède, et je restais un long moment à rêvasser en contemplant, cette baie merveilleuse.

Vers 19 heures, J’entendis Justine revenir avec nos hôtes. Elle frappât à ma porte et entrât. Elle me trouvât sur mon lit. « Tu ne te sent pas bien » me dit-elle. « Oh si, je n’ai jamais été aussi bien qu’aujourd’hui ». « Et bien raconte moi » rétorquât Justine. Et je lui racontais dans les moindres détails mon après midi. Elle écoutait, et quand j’eue fini mon récit, elle s’approchât de moi, elle m’embrassât d’un long et tendre baiser.

Quelques jours passèrent toujours partager entre la piscine, le bateau, les invitations dans d’autres villas, ou je fis la connaissance d’une foule de personnes, ce qui enrichît mon carnet d’adresses, etc. Je refis quelques de séances de massage, auxquels j’associais Justine, lui faisant connaître les plaisirs des dilatations vaginales et anales. Elle n’aurait jamais imaginée pouvoir se faire baiser par des sexes aussi gros. Il y aura des déceptions à notre retour à Lyon.

Un soir où j’avais du mal à m’endormir je m’étais installé dans une alcôve au bord de la piscine, je suis restée là un long moment en pensant à la chance que j’avais de pouvoir vivre ces vacances dans ce cadre et ce luxe. Je rejoignais ma chambre quand j’entendais des bruits de voix, c’était Joé et Melissa qui sortait de la chambre de David et Johanna. Maintenant je savais que Johanna s’envoyait en l’air avec Joé « le Perforateur » et que David baisait la douce Melissa. Cette fille était vraiment sublime, elle inspirait l’amour, grande avec des seins à faire pâlir Paméla Anderson, mais chez Mélissa tout est naturel. Je me disais que si l’occasion se présentait, je passerais bien une nuit avec elle.

Le lendemain, je faisais part à David de ce que j’avais vu la veille au soir, et lui demandais de me raconter cette fameuse soirée dont il avait commencé à évoquer. « Tu es curieuse de tous les détails », me dit’ il. Et il me raconta. « Une nuit alors que Melissa et Joé était dans notre chambre, j’ai demandé à Joé de sodomiser Johanna. Elle m’avait toujours refusée cette pénétration, n’appréciant pas ce genre de rapport. Pour lui faire accepter, j’ai proposé, que si elle acceptait, Joé me ferait la même chose. Sûr qu’elle refuserait, j’avais fais cette proposition un peu à la légère. A ma grande surprise, après avoir réfléchi, elle accepta. Je me trouvais dans une situation inconfortable, n’ayant jamais pour ma part subit ce genre de traitement. Johanna, après avoir mis en forme Joé, ce dernier se plaça derrière elle, prit un tube de gel, masturbât Johanna avec un, puis deux et enfin quatre doigts en prenant bien soins de faire pénétrer le gel le plus profond possible, puis il présenta son énorme sexe sur son anus, il appuya, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Centimètre par centimètre le sexe de Joé pénétrait le cul de Johanna.

Je la maintenais sur le lit et l’empêchais d’avancer devant la puissance de pénétration de Joé. Rien ne pouvait prédire que son sexe pourrait pénétrer ses reins, et pourtant, malgré ses cris, ses pleurs, le sexe de Joé entra de plus de la moitié de sa longueur à l’intérieur. Il s’arrêtât un moment et commença des vas et vient de plus en plus rapides. Johanna gémissait non plus de douleur mais de plaisir, elle avait un sexe de plus de huit centimètres de diamètre à l’intérieur de son intimité la plus étroite. Maintenant les trois quart du sexe de Joé entrait et ressortait à un rythme de plus en plus rapide et il explosa en l‘ inondant de son sperme chaud et abondant. Elle s’écroula sur le lit, complètement hagard, ne pouvant s’arrêter d’être secouée de spasmes d’orgasmes».

« Et après », demandais-je à David. « Bien il a bien fallut reconnaître qu’elle l’avait fait, et qu’il me restait plus qu’à honorer ma promesse. Joé demanda un moment de répits pour faire reprendre vie à sa matraque, et quand il fut dans de très bonnes dispositions, aidées pour cela grâce aux fellations de Mélissa, il recommençât la même opération avec moi. Moi en position de levrette, Mélissa entre mes jambes suçant mon sexe, pour faire diversion, et puis tout alla très vite, je sentis le sexe de Joé à l’entrée de mes reins, mais à l’inverse de Johanna, il appuya de toutes ses forces, me pénétrant d’un seul coup. Je me souviens avoir hurlé, prié qu’il ressorte, mais Mélissa me tenait fermement les testicules dans sa main m’empêchant d’avancer sur le lit. Johanna regardait ce spectacle dans une excitation non dissimulée. Elle se masturbait allègrement, puis décida de se mettre sous Mélissa pour lui sucer le sexe, Celle-ci explosa dans sa bouche. Puis Joé joui à son tour suivi par moi quelques instants plus tard. Mélissa reçu mon sperme dans sa bouche et le bu jusqu’à la dernière goutte !. Quelle expérience ».

Je restais médusée qu’un homme puisse avouer s’être fait enculer devant sa femme. Au fond de moi de ressentais une douce chaleur humide m’envahir. David du le voir, car il m’entraina dans le garage, ferma la porte arracha presque ma robe, me coucha brutalement sur le capot de l’Audi de sa femme, et me baisa d’un seul coup. Notre excitation mutuelle fit que nous avons jouis très rapidement. Se retirant de moi, je me baissais, prenais son sexe encore raide dans ma bouche et récupérais le maximum de son sperme. Il s’excusa presque de sa brutalité, mais je l’ai rassuré en lui disant que ce « viol » avait été pour moi fabuleux.



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