par FemmeFemelleEsclave
le 09/12/19
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J’aime ton sexe, ta queue, tes couilles, ton gland,
et ce qui s’en écoule, ta mouille, ta semence.
Je me prosterne devant lui pour l’adorer, le vénérer.
J’aime sentir ses effluves,
ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse, de foutre
qui caractérise le Mâle.
J’aime te montrer le désir qu’il m’inspire, en le caressant, l’embrassant, le léchant.
J’aime te prendre en bouche, te sucer longuement.
Faire durcir, se tendre ta virilité
et faire monter en toi le désir de t’en servir
pour me posséder et jouir de moi.
J’aime le moment où tout bascule
quand ton désir de Mâle en rut l’emporte sur tout le reste.
Lorsque tu me prends la tête entre tes mains
Pour me pilonner, me défoncer la gorge.
Jusqu’au moment où tu ne n’en peux plus de te retenir.
Et que le foutre jaillit, à longs traits saccadés,
que je déguste au fur et à mesure que tu le répands en moi.
Puis, lorsque tu t’es libéré, que la tension est retombée,
que tu m’as comblée de ta semence,
j’aime nettoyer ton sexe, ton gland avec ma langue
pour ne gaspiller aucune goutte de ta liqueur sacrée.
J'aime te sucer.
Dans les lieux les plus insolites,
dans ta voiture, un parking, les toilettes d'un restaurant,
dans un ascenseur à l'arrêt, sur une aire d'autoroute.
J'aime te sucer.
Dans toutes les positions, à genoux devant toi, couchée sous toi,
accroupie sur toi, allongée à tes côtés.
Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle.
Parce que tu es mon Maitre et que je jouis de te faire jouir.
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fellation
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"Dans un ascenseur à l'arrêt" .............rien que de l'imaginer, je tachy-arythmise ....
Surtout pas, amie Lady. Aucune raison, au contraire, c’est très agréable.
Hélas, la plupart des ascenseurs modernes n’ont plus le bouton permettant de les bloquer entre deux étages 😀
@Akela.
Je ne sais trop comment ce texte déjà ancien est ressorti des limbes.
Mais je n'ai rien à y retrancher.
Cela étant , pour répondre à vos questions, je préfère encore, dans l'immédiat, profiter de lui sans vergogne, ni nous encombrer (du moins à ce stade) des questions de progéniture.
Quant à ma bouche, si elle est la plupart du temps un "point de passage obligé", mon anatomie ne se résume à un seul orifice :smile:
Suggestion
Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
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Par : mlle elsa S
1. J’ai subi pendant longtemps les remarques de mon frère et de mon père su mon poids jusqu’à ce que je réagisse ce qu’ils attendaient mais le mal a été fait quand même.
2. Je suis quelqu’un qui a très peu de confiance en elle.
3. Je suis quelqu’un qui s’angoisse et se stresse facilement pour n’importe quelle situation.
4. Je n’ai jamais été attirée par les sorties, les amis, la fête durant mon adolescence.
5. J’ai bu mon 1er verre d’alcool en octobre 2013.
6. J’ai fait ma première sortie en boîte en mars 2014.
7. Je suis en pleine crise d’adolescence, bon mieux vaut tard que jamais
8. J’ai perdu ma virginité tardivement.
9. Le mec qui m’a dépucelé a prétexté un black-out à cause de l’alcool pour ne pas admettre que nous avions couché ensemble.
10. Le 2e homme avec qui j’ai couché une fois l’acte terminé m’a gentiment dit : « ça ne doit pas se savoir sinon de toute façon je nierais ». Cela a été désastreux pour moi.
11. Le seul homme pour qui j’ai eu des sentiments m’a laissé du jour au lendemain sans nouvelles pendant 4 mois puis a repris contacts avec moi et à essayer de profiter de mes sentiments pour que je lui serve d’intermédiaire pour assouvir uniquement ses plaisirs.
12. J’aime m’occuper et aider les autres cela me permet de ne pas avoir à m’occuper de moi.
13. Même si je ne suis pas bien, malade et que je ne me sens pas capable de faire quelque chose pour moi et que quelqu’un me demande de le faire pour lui je le ferais.
14. J’essaye de changer les choses pour les points 12 et 13 mais c’est difficile mais je progresse…
15. J’ai assumé mon corps en étant enfant et ensuite des remarques, des regards ont totalement changé les choses… J’ai fait du chemin et cela revient progressivement.
16. Je ne suis même pas à la moitié et je ne sais déjà plus quoi écrire…
17. J’aime les carottes.
18. J’aime les chansons des années 80 mais j’écoute tous les styles de musique.
19. Je suis quelqu’un qui m’investit dans tout ce que j’entreprends.
20. J’ai été opérée 7 fois de la colonne vertébrale entre 2004 et 2008. Mais je vis avec et j’ai décidé que ce n’est pas mon dos qui déciderait de la vie et que je ferais ce que je veux…
21. Je suis quelqu’un qui aime parler, discuter, échanger et je m’adapte facilement en groupe.
22. J’ai pratiqué la clarinette et l’accordéon...
23. Je donne toujours l’image de la joyeuse, de la bout en train mais je craque souvent le soir seule chez moi. Même si en ce moment j’ai même du mal à faire illusion j’ai rencontré des personnes formidables sur ce site…
24. Je sais difficilement dire non car comme je n’ai pas l’habitude de le faire avec les amis quand je le fais cela prend tout de suite des ampleurs désastreuses. Mais je commence à comprendre que j’ai le droit de dire non, de toute façon quand moi j’ai un problème il n’y a jamais personne.
25. Je vis avec trois chattes (sans sous-entendu), je les appelle mes filles et au décès des personnes importantes dans ma vie leur présence a été cruciale… Je ne serais peut-être plus la sans elles car elles avaient besoin de moi…
26. J’ai un cœur d’artichaut et pour le moment la vie ne l’a pas épargné.
27. J’ai besoin de douceurs mais aussi de BDSM, un doux mélange des deux.
28. Je ne connais pas le mot bonheur et j’espère que cette année me le fera découvrir mais je pense que c’est bien parti.
29. Il paraît que j’ai un beau sourire mais celui-ci n’est pas le plus fréquent sur mon visage mais je veux changer cela.
30. Je suis quelqu’un qui de peur de l’échec va s’empêcher de faire les choses car je suis sûr de ne pas être confronté à celui-ci.
31. J’ai toujours eu peur d’être jugé sur mes envies sexuelles (je l’ai d’ailleurs été) mais je crois que j’ai perdu trop de temps inutilement et que j’ai perdu trop de temps à me préoccuper de ce que les autres pourraient penser de moi.
32. Je n’aime plus mon travail j’ai envie de changement et de retravailler dans l’informatique mais les années passées loin me font peur de ne plus être capable…
33. Allez contre ses envies ne fait que souffrir, pourtant c’est souvent ma façon de faire.
34. J’apprécie que certaines personnes veuillent prendre soin de moi, même si cela était quelque chose d’inenvisageable à mon arrivée sur le site.
35. J’ai l’impression d’avancer et cela me fait du bien, car cela fait longtemps que ça ne m’était pas arrivée.
36. Je suis contente d’être arrivée au bout même si cela a pris du temps et a été difficile…
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
Si vous cliquer sur "j'aime", je vous donnerais un nombre entre 1 et 50.
Vous devrez alors:
1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour Mademoiselle Joy
3 le publier dans la section article
4 me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Par : BDSM
C'est la marque Mango qui a décidé de proposer à ses clients par le biais de son site internet français des bijoux style "esclave" (dixit). Ces bijoux "esclave" ont en effet intégré la collection printemps-été. Intitulés "bracelet esclave tressé", "touch-bracelet esclave pierres" ou encore "collier style esclave", ces accessoires de mode n'ont pas manqué de faire des vagues.
Les associations antiracistes françaises (SOS Racisme et CRAN), se sont même emparés du sujet ce lundi : "Il s'agit soit d'un manque de culture coupable, soit d'une démarche indigne et perverse réduisant à une appellation design et mode ce qui relève d'un crime contre l'humanité, reconnu depuis 2001 en France par la loi," déclarait ce matin SOS Racisme.
Quant au CRAN il a fait par de son "indignation face à cette série de bijoux, qui vise à donner une vision élégante et colonialiste à un phénomène qui a fait le malheur de dizaines de millions d'êtres humains pendant près de quatre siècles".
Beaucoup de bruit pour rien, disent les hispanophones : le nom vient du mot "esclava" qui dans le contexte veut dire "bracelet" ou "gourmette". Le site anglais de la marque parle lui de "woven bracelet", c'est à dire de "bracelet tissé".
Il semble d'ailleurs que le terme "esclave" eut dans notre langue le même double sens qu'en espagnol, même si le terme serait tomber en désuétude pour la bijouterie.
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Par : Petite Soumise à croquer
1) Vlan01 veut savoir quelle partie de moi est la plus à croquer, j’aurais bien envie de lui répondre qu’elles sont toutes autant à croquer les unes que les autres, mais je crains qu’il ne se satisfasse pas entièrement de cette réponse, je vais donc tâcher d’être un peu plus précise…
2) Quand j’étais petite, j’ai toujours été la plus grande de ma classe (vous savez, j’étais parmi ceux qui sont toujours au dernier rang sur les photos de classe), j’étais également la seule à avoir de la poitrine, je courais plus vite que tous les mecs et je les battais tous au bras de fer. Je pensais donc qu’une fois adulte j’aurais les jambes d’Adriana Karembeu, la poitrine de Monica Bellucci et la force physique de je ne sais plus trop quelle sportive de haut niveau.
3) Résultat : je suis quand même plus grande que Mimi Mathy, mais pas tant que ça, j’ai la poitrine de Jane Birkin, et quand on me demande pourquoi je ne fais pas de sport, je cite Churchill qui avait répondu à un journaliste que son secret pour rester en forme était le sport : il n’en faisait jamais…
4) Je fais quand même de la danse classique, mais certains disent que ce n’est pas un sport….
5) En théorie, mon Maître pourrait profiter de ma souplesse, mais depuis un an j’ai mal à l’adducteur gauche et j’ai l’impression d’avoir un corps de mémé avant l'heure. Je repense alors à Churchill et je me dis que j’aurais dû l’écouter, car si je n’avais pas fait de sport, je n’aurais jamais eu cette douleur et j’aurais gardé mon corps de jeune fille !
6) Mais rassurez-vous Vlan01, mon corps n’est pas encore ridé, l’intégralité en est lisse comme un abricot…
7) J’ai l’impression de faire un gros hors-sujet, mais je me dis que cela serait un peu prétentieux d’expliquer en long et en large quelle est la partie de moi la plus à croquer, je vais donc continuer à développer mon hors-sujet
8) Quand j’étais petite, je voulais être médecin, coiffeuse, caissière et actrice. Résultat : je passe mes journées à répéter à de jeunes gens qu’un verbe conjugué dans une subordonnée se place à la fin de la phrase en allemand… C’est on ne peut plus passionnant…
9) Pour échapper à ce quotidien passionnant, j’aime repenser à mes rêves d’enfance et je me rappelle que je voulais être avant tout princesse. D’une certaine manière, cela se combine assez bien avec le métier d’actrice et j’étais donc très jalouse d’Isabelle Adjani qui a joué dans la Reine Margot.
10) Pour compenser cette frustration (j’ai compris un jour qu’il allait y avoir peu de chance que je sois actrice ou princesse), je me suis intéressée à l’histoire. J’avais décidé d’écrire un livre sur la Reine Margot, ce qui m’aurait permis, par procuration en quelque sorte, d’être princesse.
11) Résultat : je vais travailler de longues années et sans doute écrire un livre sur les causes de la Première Guerre mondiale. Je n’ai toujours pas compris le lien de cause à effet entre la Reine Margot et le déclenchement de la Première Guerre mondiale. En tout cas, si je le trouve, je vais révolutionner la recherche en histoire, ou alors être prise par les historiens pour une illuminée…
12) Je parle beaucoup de mes rêves d’enfance non réalisés, devrais-je aller voir un psy ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, je m’enfonce dans le hors-sujet, je devrais sans doute retourner à l’école.
13) Revenons-en à notre Reine Margot ! Pour être honnête, je n’ai jamais lu le pavé d’Alexandre Dumas ; en revanche, dans le film de Patrice Chéreau, il y a une scène où Margot est maltraitée par ses frères et où ils sont à deux doigts de la violer. J’avais enregistré le film, et je faisais systématiquement retour arrière dès que cette scène était passée ; en tout, j’ai dû la voir une cinquantaine de fois.
14) Je continue ma thérapie en 28 points et, en repensant à mon vif intérêt pour cette scène, je me dis que j’ai commencé très jeune à penser au BDSM, sans en avoir conscience.
15) D’où vient ce fantasme ? Aucune idée. Et vous ? Sauriez-vous dire d’où il vient ?
16) Au fait, Isabelle Adjani a interprété le métier que je fais actuellement dans « la journée de la jupe », je me dis que par procuration de procuration de procuration, je suis une princesse.
17) Je ne suis pas sûre d’utiliser à bon escient l’expression « par procuration ». Qu’en penses-tu Hearbeat ? Je dis Hearbeat, mais ça peut être quelqu’un d’autre, évidemment, c’est juste que je suis béate d’admiration devant un tel maniement de la langue française.
18) Si après la lecture de cette thérapie en 28 points, mon Maître ne comprend pas que je veux qu’il me traite comme une princesse, c’est qu’il manque un peu de perspicacité, et si Hearbeat ne comprend pas que je suis impatiente de lire le tout premier livre que j’espère qu’elle écrira un jour, c’est que…..hum… je ne sais pas comment finir ma phrase, je ne connais pas assez Hearbeat pour savoir de quel trait de caractère cela relèverait.
19) Je ne suis pas en train de dire que mon Maître manque parfois de perspicacité, mais si après lecture de ce texte je vois qu’il ne change en rien son comportement vis-à-vis de moi (comportement qui, par ailleurs, me convient très bien), je préfère penser que c’est juste une question de perspicacité : il me suffira alors de l’éclairer ou d’être encore plus explicite et mon rêve se réalisera !
20) Quand je lis une recette de cuisine, il faut que j’aie un dictionnaire à côté de moi et que j’aie accès à intérêt pour regarder l’aspect des ingrédients que je dois acheter.
21) Pardonnez-moi, je n’ai pas fait de transition, mais je sais que vous avez tous ici l’esprit alerte.
22) Bref, ce n’est pas en raison de mes talents culinaires que je suis à croquer.
23) Un jour, je me suis énervée contre quelqu’un ; cette personne m’a : « on dirait ta mère ». Depuis, je suis devenue la fille la plus calme au monde. Peut-être que ça fait de moi une soumise à croquer ?
24) Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais j’essaie désormais de traiter le sujet.
25) Mine de rien, en parlant de ma taille dès le début, je crois que je traitais déjà un peu le sujet : avant de découvrir le monde du BDSM, je me trouvais trop petite pour séduire, et dès le premier jour où je me suis inscrite sur un site BDSM, j’ai compris que ma taille était un atout ! Ces grands mâles dominateurs ont davantage l’impression de dominer s’ils peuvent s’emparer entièrement du corps de leur soumise…. Même remarque pour la taille des seins.
26) D’un autre côté, je me suis dit que c’était peut-être aussi parce que les grands mâles dominateurs sautaient sur tout ce qui bougeait : grande, petite, peu importe, ils disent toujours que c’est parfait. Alors les grandes soumises ? Est-ce que les dominateurs vous ont dit que votre taille se prêtait tout particulièrement au BDSM ?
27) Quelle que soit votre réponse, j’oserai faire confiance à mon Maître et continuer à croire que mon petit corps lui plaît beaucoup. En revanche, je suis quand même très curieuse de connaître votre réponse.
28) Vlan01, vous ne m’avez pas demandé dans quelle mesure j’étais une « petite soumise », mais, pour conclure, je vais quand même répondre à cette question (quand on veut éviter de faire des hors-sujets, c’est très pratique de faire les sujets soi-même) : vous aurez compris que c’est parce que je suis petite, mais c’est surtout parce c’est ainsi que m’appelle mon Maître.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
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Par : analogique
Zéro, ou la tentation du néant.
J’ai toujours rêvé d’avoir un flingue.
Pas pour me supprimer mais plutôt pour en avoir la possibilité, en soupeser le poids et le poli au creux de la paume. Un zéro potentiel, quoi…
Un, ou le contraire de l’autre.
J’aime dormir seul, j’aime me réveiller seul, j’aime décider seul de ce que je vais faire de ma journée. Ma solitude est sans doute ce que j’ai de plus précieux. Mais j’ai bien conscience que c’est parce que j’ai une vie sociale que je peux me payer le luxe de l’énoncer en ces termes.
Deux, ou le problème de la dualité.
En moi coexistent un monstre d’égoïsme et d’arrogance et un monstre de générosité et d’humilité. La plupart des gens qui me côtoient se contentent de voir tantôt l’un ou tantôt l’autre, sans se rendre compte que les deux sont inséparables. Je suis la réunion de toute mes contradictions.
Trois, l’art du trio.
Dans la musique comme dans l’alcôve, j’aime bien les trios. C’est le point d’équilibre d’une collectivité qui laisse de la place à l’expression des individualités qui la composent.
Dans une assemblée de plus de trois personnes, j’ai tendance à penser que l’intérêt qu’on peut porter aux humains est généralement inversement proportionnel à leur nombre.
Je songe déjà à sauter le quatre, ou la tyrannie du carré.
Je n’aime pas les carrés, je préfère caresser des courbes, mais je concède que les parties carrées peuvent arrondir les angles.
Je n’aime pas les mesures binaires à quatre temps, parce qu’elles sont en position hégémonique dans la musique occidentale. Par conséquent je m’emploie à en jouer et à en entendre le moins souvent possible.
Cinq.
C’est actuellement le nombre de femmes qui se disent ouvertement amoureuses de moi. Deux au moins espèrent vivre avec moi une relation exclusive. C’est beaucoup trop pour moi, et cela les condamne à être malheureuses. L’excès d’amour est aussi problématique que sa carence. Sans affects, la vie serait décidément plus simple. Mais sans doute aussi bien plus ennuyeuse, il faut l'admettre.
Six.
Voilà un chiffre qui ne m’inspire rien du tout.
Si, à y bien réfléchir, c’est la première énigme du nombre d’œufs dans la boite destinée à leur commercialisation. Pourquoi six? Je me pose parfois de drôles de questions.
Sept.
J’ai probablement beaucoup plus que sept amis. D’ailleurs je ne veux surtout pas entreprendre de les dénombrer: cela m’obligerait à faire des choix, à les mettre dans des cases, à les y inclure ou à les en exclure. Il m’est beaucoup plus agréable de penser qu’il y a un nombre indéterminé de personnes avec qui j’ai des relations indéterminées mais globalement sympathiques et parfois sexuelles.
Huit.
C’est le nombre de bit dans un octet dans le système binaire, que je m’efforce ne pas partager avec mon ordinateur. C’est ce refus du système binaire qui motive ma décision de ne jamais me positionner en terme de «j’aime» ou «je n’aime pas», raison pour laquelle je n’ai aucune raison de participer à ce jeu du portrait québécois autrement que par cette proposition spontanée, puisque jamais je ne dirai que «j’aime», même si je lis souvent avec intérêt.
Neuf. Quoi de?
Je m’autorise volontiers les glissements de sens.
Rien ne me glace autant qu’un logement neuf, qu’une voiture neuve, qu’un instrument neuf. J’aime la patine des choses qui ont vécu. C’est vrai aussi pour les gens; je m’acoquine souvent plus facilement avec ceux qui sont un peu cabossés.
Dix.
Je déteste le rapport que beaucoup entretiennent à l’endroit des chiffres ronds: cette manière de fêter les décennies, les centenaires, en perdant complètement de vue que cela n’a de sens que dans le système décimal, dont l’adoption est le plus arbitraire des choix humains.
Onze.
En référence au point précédent, je confesse que par esprit de contradiction un peu puéril, je suis enclin à développer une affection particulière pour les nombres premiers.
Douze.
La facilité conduirait à dire que c’est là la deuxième énigme de la boite d’œufs. Il m’arrive de ne pas reculer devant la facilité.
Treize.
En années, c’est l’âge où j’ai commencé à caresser les seins de Soraya. Elle avait dix-sept ans et ne semblait pas moins émue que moi. Il y a peut-être des affinités particulières entre les nombres premiers successifs?
Quatorze.
J’ai tendance à fuir les habitudes sociales de la période dite «des fêtes». Je préfère débrancher mon téléphone, m’enfermer chez moi avec des réserves de pâtes et de riz et attendre que ça passe pour remettre le nez dehors. L’affluence des foules dans les magasins me déprime. Mais indépendamment de la date retenue pour le faire, je peux concevoir qu’on se souhaite la bonne année parce que c’est un truc cosmique: une année, c’est un tour de manège autour du soleil. J’en profite pour vous souhaiter que la prochaine rotation vous soit délicieuse.
Quinze.
Ça y est, je commence à me lasser de la linéarité des chiffres énoncés les uns derrière les autres. C’est déjà étonnant que je sois parvenu jusque là. Je vais dorénavant en sauter quelques-uns. Et puis je trouve ça plus éloquent de laisser des trous et des zones d’ombre, ça laisse marcher l’imagination…
Dix-sept.
Aujourd’hui nous sommes le dix-sept janvier et j’ai une amie qui projette d’aller à la soirée «girl-power» avec moi… Ça peut être intéressant, et en même temps je ne suis pas sûr de m’y sentir très à ma place. Nous verrons bien: c'est dans plusieurs heures et tout peut arriver... Ou pas.
Dix-neuf.
Je n’aime pas trop parler de moi à la première personne, pas plus qu’en général je n’aime lire ou écouter des gens qui parlent d’eux à la première personne. Sans doute parce que je suis persuadé que quoi qu’on dise, on ne fait jamais que parler de soi, alors autant tenter de le faire avec un peu d’élégance et quelques détours. J’aime bien lire ce qu’écrivent les contributeurs de ce forum parce que j’ai cependant une insatiable curiosité des autres.
Oui, parce que pour moi, bdsm.fr est avant tout un forum. D’ailleurs, je ne lis presque jamais la rubrique «articles», trop souvent nombriliste à mon goût, et je crois bien que c’est la première fois que j’y publie quelque chose. Autrement dit, c’est un «dit-neuf»; oui, j’admets que c’est un peu tiré par les poils.
Vingt-trois.
Pourquoi le dire au début ou à la fin? C’est le jeu du portrait québécois, importé ici par Wondersalope qui a eu là une idée foutrement sympathique parce qu’il y a des gens qui écrivent des chouettes choses à leur sujet, et qui en plus se débrouillent pour être agréables à lire.
Vingt-neuf.
Pour une raison mnémotechnique très personnelle sur laquelle je ne m’étendrai pas, me fait penser au jeudi noir de la crise éponyme.
Trente-et-un.
Je n’aime pas me mettre sur le mien, j’ai l’impression d’être dans un déguisement qui ne me va pas. Je garde et porte mes fringues très longtemps. D’ailleurs je mets encore parfois des choses que j’avais déjà au lycée.
Trente-sept.
Impossible de me rappeler avec précision si, enfant, j’érotisais la prise de température rectale. Mais à y bien réfléchir, je crois que oui...
Quarante-et-un.
C’est le nombre exact d’ampoules électriques qu’il y a dans l’endroit où je vis. Mais elles ne sont pas toutes en état de marche parce qu’il m’arrive de négliger de les remplacer, parfois pendant plusieurs années.
Quarante-trois.
C’est le dernier nombre de bougies que j’aurais pu souffler si je me prêtais au jeu des cérémonies familiales avec leur protocole. Mais je fuis tous les protocoles et me soustrais à ces obligations: pour mon anniversaire, je me débrouille toujours pour laisser mon téléphone éteint. C’est une fête secrète, entre moi et moi, mais une fête tout de même: j’aime bien vieillir, et j’ai même tendance à penser que je me bonifie avec l’âge.
Quarante-sept.
Voici qu’approche la cinquantaine… de points, quand bien même il restera des trous noirs. Il est donc grand temps d’arrêter là la logorrhée. Bien le bonsoir.
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Par : Abyme
Depuis quelques années, je constate avec grande circonspection la montée de cette mode du développement personnel où tout est galvaudé à qui mieux-mieux, pour le plus grand plaisir de quelques charlatans sachant bien cibler et attirer les gogos crédules.
J'ai un bon nombre de connaissances dans mon entourage qui se proclament pseudo-thérapeutes ou qui proposent d'on ne sait où des ateliers ou stages de yoga de ceci-cela ou "découverte du soi sacré", etc... et ça marche !
Certains m'ont convaincu en 2010 de m'inscrire à un forum, ou plutôt un petit réseau social de gens "cools" détenteurs d'une "zénitude" positive...
J'y suis allé, mais j’ai vite constaté qu’on y trouvait tout et n’importe quoi, notamment des ateliers proposés par des inititateurs autoproclamés, payants bien sûr, et souvent les repas non-fournis, ni le couchage (camping), bref tout bénef pour l’organisateur.
En voici un exemple (copié/collé, je n’ai rien modifié) :
__________________________
ÉVEIL DE L’ÊTRE
L’ÊTRE SACRÉ...
Rassemblement
8-14 AOÛT
Le Sacré...
Accepter, accueillir, respecter... Tout sur Terre ;
Honorer le Vivant ;
Célébrer chaque instant.
Le Sacré se regarde, se respire, s'écoute, se touche,
se goûte, se partage, se parle, se vit consciemment.
Le Sacré EST LE TOUT : Ciel et Terre réunis.
« Il est temps que le rassemblement des Êtres ait lieu sur la Terre.
Ensemble, acceptez votre rôle, vivez et pratiquez le Sacré dans votre quotidien. »
Pierre ****
Invitation à s'incarner pleinement ;
Invitation à la réalisation, à la concrétisation ;
Invitation à savourer la Vie
Invitation à Vivre le Sacré...
Lieu du stage
Domaine des *****
(15 mn d'Orléans)
Stage
Prix exceptionnel 300€ (collations non comprises)
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Deuxième exemple :
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Week- end d’exploration corporelle de notre être intérieur……….
pour les hommes comme pour les femmes...
Je suis un Homme, je désire aller vers plus d’intériorité, oser des instants de vulnérabilité, en déposant le masque de l’homme tout puissant pour mieux vitaliser mon énergie de vie.
Je suis une Femme, je désire relier mon intériorité à mon expression créatrice pour danser en pleine lumière ma vie de femme.
OBJECTIFS :
Prendre conscience de sa dualité féminin –masculin, les mettre en relation, pour vivre l’HARMONIE & l’EQUILIBRE de leur UNION
Apprendre à déplacer nos rôles figés d’homme et de femme
Sentir la diversité et la richesse de notre nature en parcourant ses forces opposées
Explorer la rencontre et l’union de ses forces dans la nature environnante
Les outils mis en place :
Marche consciente
Pratique corporelle d’intérieur et d’extérieur
Souffle de l’arbre
Mise en situation d’éveil sensoriel
Programme :
Vendredi 13 août :
-accueil au **** entre 18H et 19H : rencontre et mise en place de la synergie du groupe,
Samedi 14 et dimanche 15 août: ateliers de 10H à 17H30 avec pause pique-nique
Dimanche : fin du week-end à 18H.
Renseignements pratiques :
Le prix de notre week-end de ressourcement (150 €) comprend :
Les ateliers de Isabelle ***** soit 100€ pour les deux jours,
La pension complète (petit déjeuner, repas pique-nique et repas du soir) soit 49€ pour les deux jours,
Ne comprend pas :
Le logement :
En camping : 12€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 12 personnes : 22€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 6 personnes : 31€ par personne pour les deux nuits,
En chambre double : 34€ par personne pour les deux nuits,
Le transport : co-voiturage organisé en fonction des inscriptions.
Matériel nécessaire :
Chaussures souples, tenue décontractée, sac à dos, gourde.
Conditions :
Nombre de participants limité à 12 personnes. Inscription avant le 15 juillet. Bulletin à remplir ici :
Participation garantie dès réception de l’acompte de 80€ sur le compte de *****
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J’avais commenté cette dernière annonce ainsi :
Je suis en train de me demander si je ne vais pas organiser un stage de jeûne et méditation en pleine nature. "Rencontrez votre être intérieur sacré par le jeûne et la méditation"
150 € par personne me paraîtrait honnête, et ça ne me coûterait rien en bouffe (hé hé), ni en hébergement. Juste avoir l'air un peu "gentil" et béat pendant un week-end, et me retenir de ne pas me foutre des gogos présents, je pense y arriver.
Je me tâte...
[je me tâte tellement, que je me demande si je ne vais pas proposer aussi un atelier de tâtonnements (sacrés, bien sûr), 50€/h]
Je suis aussi intervenu dans quelques débats, j’ai posté un coup de gueule, sur l’abus qui est fait des termes "yoga" par exemple (le rire, le son, la voix, ...et on peut en inventer encore plein, le mot "yoga" se chargera toujours apparemment de séduire un certain public). j'étais même intervenu avec humour sur une annonce de "yoga du rire", pour proposer d'inventer le "yoga du vélo", le "yoga de la cuisine", du massage, et autres yogâteries diverses et variées.
Je me suis fait modérer et tous mes posts et coms ont été supprimés.
Pourtant je proposais également des références utiles pour comprendre ce qu'est réellement le yoga, le vrai, tel que défini par la Bhagavad Gita, et qui est en premier lieu une voie de dévotion aux dieux hindous (Bhakti yoga).
Ce n'était pas un commentaire méchant ; sur le ton de l'humour, j'invitais à réaliser ce qu'est le vrai yoga, et à quel point l'utilisation de ce terme est fausse, galvaudée, et limite insultante à la BV.
Ainsi que d'autres termes à la mode, dont les utilisations interchangeables dans différents "ateliers" porteraient à rire si ce n'était pas aussi pathétique (et commercial, car n'oublions pas que ces soi-disant ateliers sont pour la plupart payants) ; des termes comme "sacré", "karma", "énergies", "être intérieur", "shamanisme", "méditation", "shakra", "ressourcement", "lumière intérieure", etc...
D'ailleurs, ce n'est pas compliqué à imaginer : on pourrait faire un petit jeu qui consisterait à créer un atelier ou stage, pseudo-thérapeutique ou non, contenant certains de ces termes à la mode, ou d'autres assimilés, voire inventés, par exemple "Atelier de thérapie par la méditation shamanique", ou "Découvrez votre lumière intérieure sacrée par le massage des énergies", ou encore "Stage d'ouverture des shakras et de prise de conscience du karma", etc.
Une fois qu'on a le truc,avec les bons mots-clefs, tout est possible : il y aura toujours des gens branchés, du moment qu'on cible dans les sphères adéquates, comme sur la plateforme en question.
D'ailleurs je vous propose ci-dessous de vous prêter au jeu et de proposer des faux stages de développement personnel selon ce principe, avec les bons mots-clefs !
Bref, je me suis amusé à surfer là-dessus à la limite de la provoc, tout en étant bien conscient que je risquais encore la censure, en leur proposant un atelier fictif intitulé "Yoga du sexe".
Son énoncé était assez crédible, les activités proposées et l'argumentaire tenaient debout, sans marcher sur les platebandes de la sexologie ou des yogas kundalini ou tantra.
L'événement est resté affiché pendant plus de deux semaines, a été abondamment consulté. Beaucoup de gens étaient intéressés. Faut dire qu'en plus le critère sexe était un atout ! Quelques jours avant l'échéance, j'ai mis un commentaire pour expliquer ma démarche, par souci d'honnêteté, et pour révéler qu'il s'agissait d'un gentil canular, destiné à éveiller un peu les consciences, à montrer à tous ces gens crédules, béats et avides d’expériences pseudo-mystico-exotico-ésotérico-bio-énergético-spirituelles qu’il ne faut pas se faire aussi facilement avoir.
Aussitôt, l'événement a été supprimé, avec mon commentaire.
Je ne l'ai pas ramené, me disant que c'était probablement de bonne guerre, mais j'y vois là tout de même une attitude relativement obscurantiste visant à entretenir à tout prix un certain esprit reposant sur cette béatitude crédule, un pseudo-mysticisme et autres spiritualités de pacotille à la mode.
Enfin, voici le texte de mon atelier-canular :
Après le yoga de la voix, le yoga du son, le yoga du rire, le yoga du visage, le yoga du cœur, le yoga de la nutrition, yoga du soleil, yoga du rêve éveillé, et autres yogâteries dont la liste n'arrête pas d'augmenter grâce à la bienveillante vogue du développement personnel new age, voici un nouveau yoga qui, lui, ne se prend pas au sérieux : le yoga du sexe.
À ne pas confondre avec le tantra yoga, le kundalini yoga, ou les consultations de sexologie.
Le sexe a trop longtemps souffert de diabolisation, tabous, morale, ignorance, traditions, routines, complexes, etc, alors qu'il est désormais communément admis que faire l'amour est bon pour la santé, l'énergie, l'assurance de soi, bref pour le corps et l'esprit.
Or, le sexe peut être un medium vers une conscience et une connaissance de soi et de l'autre, un moyen de ré-unification du corps et de l'esprit (comme le yoga, justement) et de transcendance, trop méconnu et qu'il est temps de faire connaître. Oser en parler honnêtement, au delà des tabous sociaux et religieux.
Côté observation scientifique, grâce au sexe, l'espérance de vie est augmentée, certains problèmes cardiaques peuvent être repoussés, voire même certaines formes du cancer.
Les chercheurs de l'Epidemiol Communitty Ealth ont démontré en 2002 que les risques cardiaques diminuent à mesure que la fréquence des relations sexuelles augmente. Le coït permet en effet d'éliminer des toxines, d'activer la circulation veineuse, de muscler le cœur.
Pour les hommes, le risque de développer le cancer de la prostate par exemple pourrait être réduit de 15% en faisant l'amour au moins trois fois par semaine (JAMA, 2004).
Pour les femmes la stimulation des mamelons et l'orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique aux seins (Breast Cancer Res Treat, 1995).
Le désir lui-même produit une amphétamine naturelle : la phényléthylamine (que l'on trouve aussi dans le chocolat). Elle active les neurones, efface toute trace de fatigue et anesthésie la faim.
Par ailleurs, faire l'amour permet au cerveau de produire de la sérotonine, de la dopamine, et surtout libère des endorphines, bref tout ce qui est bon pour les insomnies, les angoisses et le stress.
De manière générale, le sexe renforce également les défenses immunitaires.
En fait, tout l'organisme et le psychisme profitent des effets bénéfiques de l'acte sexuel.
Le yoga du sexe apprend tout d'abord à oser, à vaincre les inhibitions. Les séances sont plutôt naturistes, mais pas obligatoirement, l'atelier est chaleureux et invite au bien-être, dans un cadre à la fois feutré et confortable.
Chacun est invité au lâcher-prise sans aucun tabou, d'abord en s'exprimant oralement face aux autres sur ses atouts et ses faiblesses, ses refoulements et ses obsessions. Selon ceux-ci, des complémentarités sont vite définies : on s'aide soi-même en aidant les autres.
La honte, les complexes, les limites, les hésitations sont vite surmontés par un effet d'émulation et de disponibilité inévitable, les barrières tombent, et chacun peut s'exprimer à sa manière.
Le sujet du libertinage est abordé, de façon à redéfinir son authentique acception.
Une initiation anatomique est également comprise au programme, car peu de gens connaissent véritablement leur corps et à fortiori celui de leur partenaire, ainsi que certaines mises au point utiles (à titre d'exemples, sont abordés : le point G, les glandes de Skene, l'éjaculation féminine, l'importance de l'odorat, le contrôle du périnée, celui du shakra-racine, la prostate, l'intellectualisation lors d'un rapport, le problème de la taille, la peur de la sodomie, la recherche obsessionnelle de l'orgasme, les pratiques extrêmes, la domination, le BDSM, les frontières entre hétérosexualité, homosexualité et bisexualité, les réels risques de MST et les manières de se protéger, etc).
Une initiation aux massages érotiques et à l'art de la caresse est également proposée.
Pourront être abordés à la demande les problèmes de traumatismes, de frigidité, d'impuissance, d'insensibilité post épisiotomie, etc.
Un accompagnement psycho-thérapeutique et/ou pratique peut alors être induit au besoin, même en dehors des séances, après en avoir défini préalablement et mutuellement les limites et la portée.
La détente, l'humour et la bonne humeur sont encouragés tout au long de la séance.
Chaque participant est libre de partir quand il le veut.
Les séances sont proposées aux couples et aux femmes seules, mais les hommes seuls ne sont hélas plus acceptés en raison d'abus récurrents (des exceptions sélectives peuvent être faites après argumentation).
Les places sont limitées, les séances ne pouvant pas accueillir plus de 8 personnes.
Interdits aux mineurs, sinon pas de limitation d'âge.
La discrétion et l'anonymat peuvent être respectés à la demande.
Durée de la séance : 2 à 3 heures
Tarifs : 60€ par personne, 100€ pour un couple.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 01/05/2016 -> 23/03/2024 - 309 Vues)
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L'Homme est amoureux de la femme...
La Femme est amoureuse de la vie...
Nous condamnant à exprimer la véracité de notre amour,
en mordant cette vie de nos crocs vengeur.
Nous apportant la douleur, la justesse et l'empathie.
Et du haut de notre colline, difficilement accessible,
L'élévation de notre rugissement, n'aura d'égal que la profondeur de notre émoi,
se refusant que notre Eve, soit à l'intérieur de notre coeur,
car telle est sa place.
Faisant de nous, les plus grands de tous les hommes.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/3754/L'Homme-Enfant/ -> L'Homme Enfant.
724 vues
Par : Maël
1. J'ai couché avec une fille pour la première fois à 18 ans. J'avais l'occasion de franchir ce cap avec ma première copine mais comme je comptais me séparer d'elle et que je considérais cette étape comme importante je ne l'ai pas fait.
2. Je pense que mon handicap à façonné ma vision actuelle de la vie, mes choix et mes désirs...
3. J'ai une vision parfois dur de la vie même si je me suis assagit.
4. J'ai fait partie de mouvements extrêmes et suis parfois encore sensible aux discours et idées fortes.
5. J'ai pendant longtemps complexé sur ma virilité et me suis souvent senti en insécurité. J'ai réalisé un gros travail sur ces deux thématiques ces derniers mois et me sent bien mieux depuis.
6. Je suis un grand fan des fellations et adore qu'on m'en fasse.
7. Je pense que mon père n'a pas été suffisamment dans son rôle et aurait du parfois faire preuve de plus d'autorité.
8. J'aimerai avoir des enfants mais c'est pour moi une démarche très forte qui va au delà de la simple acceptation social. J'attends d'être suffisamment mûr et porteur de valeur forte avant de m'engager dans cette expérience unique.
9. J'aime tout ce qui est underground : le cinéma, la musique et toute forme d'art en marge.
10. Je pense que toute forme de faiblesse doit être annihilé.
11. Mon réalisateur préféré est Lars Von Trier.
12. Le chanteur que j'aime le plus est Rochdi.
13. Les deux citations que je trouve les plus marquantes sont : "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" et "Il vaut mieux être seigneur en enfer qu'esclave au paradis".
14. Je me fixe régulièrement des objectifs et m'auto challenge pas mal.
15. Je n'aime pas me sentir humilié.
16. Il y a de fortes chances que je me rase le crâne à blanc le jour où je franchirait les plus grosses étapes de mes parcours spirituel et philosophiques.
17. J'adore dire putain. Je deviens vulgaire quand des sujets me prennent à coeur.
18. Je n'ai pas peur de la mort mais des maladies dégénérescentes. J'y pense régulièrement.
19. Je compte orner mon corps de tatouages à haute valeur symbolique pour moi.
20. Je me méfie des femmes.
21. Il y a des matins ou en me levant je me sent invincible.
22. Je me remet très souvent en question et je ne veux pas me faire bouffer par mon égo.
23. J'aime sentir la douleur physique (bdsm,boxe,musculation...). Je me sent encore plus vivant lorsque j'ai mal.
24. Je ne suis pas assez présent pour ma famille.
25. Le sexe à une haute valeur ésotérique à mes yeux.
26. J'ai fait cette liste pour ma Maîtresse Adeléa. Je ne sait pas comment l'avenir va se goupiller mais j'ai vécu des moments extrêmement puissant grâce et avec elle récemment. Si un jour notre relation Domina/soumis doit prendre fin, j'espère pouvoir garder contact avec elle.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Maël"
3)le publier dans la section " articles"
4)me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : Adélea
1.Fille unique, je n'ai manqué de rien sur le plan matériel mais j'ai subi l'étouffement et la dépression de mes parents
2.A l'école, on me traitait de serpent à lunettes et de conne, je le croyais et ne savais pas me défendre
3.J'ai embrassais pour la 1 iere fois à 15 ans, mais il n'a pas mis que sa langue dans ma bouche
4.Je suis partie de chez moi à 20 ans pour gagner ma liberté
5.J'aime le chocolat mais mon corps ne l'aime pas
6.Je déteste la souffrance mais j'aime la soulager, j'en ai fais mon métier
7.J'ai pleuré en regardant Candy et Rémi sans famille
8.J'aime aimer
9.J'ai 2 beaux enfants avec l'homme de ma vie
10.A la naissance de l'un d'eux, le handicap est entré dans notre vie, l'avenir de mon enfant est mon combat
11.J'ai adopté une coupe de cheveux de plus en plus courte au fur et à mesure des étapes de mon combat
12.Je haie l'injustice et ai poussé mon 1ier cri au scandale à 12 ans à ma prof de math
13.J'ai coupé toutes les roses du jardin de ma grand-mère pour en faire du parfum
14.Je suis fière de ce que mon mari et moi avons construit
15.L'humour,l'autodérision sont salvateurs pour moi
16.Je suis fidèle en amour et en amitié
17.Je suis douée de conneries sans alcool
18.Je suis libertine mais pas une catin
19.Envie de voyager loin et en même temps pas trop loin non plus
20.J'aime les autres pour ce qu'ils sont et pas pour ce qu'ils ont
21.J'espère être une bonne mère et bonne épouse
22.J'ai toujours mes boucles d'oreilles assorties à mes vêtements et les ongles manucurés
23.J'adore faire la fête, danser, rire et voir les autres danser et rire
24.Je peux avoir l'apparence d'une femme froide mais c'est juste pour pas me faire embêter
25.Je ne suis blasée de rien
26.Adolescente acnéique, ma chambre était remplie de posters des New kids on the block, j'écoutais "step by step", et je rêvais de Tom Cruise
27.J'ai des seins d'une gamine de 12 ans et je l'ai assume depuis peu
28.Je ne parle jamais de ma vie, je préfére écouter celle des autres
29.Je suis une femme tigresse, une femme enfant, une femme sexuelle, une femme amoureuse, une femme mère
30.Une dernière pour vous dire que j'ai aimé réaliser cet exercice pour vous, je l'ai fais sérieusement mais il m'a été difficile d'écrire certains passages.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Adéléa"
3)le publier dans la section " articles"
4)me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : #
1- J'ai 48 ans et 3 enfants et le pire , je suis belge ...
2- Je n'aime pas les huitres..
3- j'ai la posture d'un camionneur (dixit mon Maître)mais si je veux, je sais être très féminine.. même un peu pétasse..
4-J'adore les animaux
5-J'ai un chien, un berger allemand
6-J'ai une jument, depuis 25 ans déjà
7-Le chiffre 13 est mon porte bonheur
8-J'aime la nuit, regarder les étoiles
9-J'adore danser
10-Je chante comme une casserole
11-J'aime faire des marches dans les bois
12-Je regrette de ne pas avoir plus de temps pour lire
13- Je ne porte des sous-vêtements que pour travailler
14-J'écoute aussi bien Aznavour que Ramstein, enigma ou Brassens
15-Je trouve qu'il y a des gens parfois bizarres sur ce site
16-J'ai eu il y a quelques années une vrai mauvaise expérience bdsm
17-J'ai un très bon Maître maintenant...
18-Ma vie professionnelle actuelle me comble vraiment, j'ai changé complètement d'orientation il y a 10 ans et j'ai bien fait!
19-Je te déteste sluttyboy
20-j'ai prévenu que j'allais mentir!!!!
21-J'aime beaucoup que mon Maître me pince les seins
22-l'optimisme est une de mes qualité principale (j'en ai d'autres aussi!)
23-La mort ne me fait pas peur..
24-j'ai du mal à faire confiance à un homme
25-J'aime les gens, je pense que leur manière d'être est le reflet de ma manière d'être avec eux
26-Dans chacune de mes galères, j'ai trouvé quelque chose de positif et ça m'a fait avancer, j'en suis fière..
18-
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