par loic33
le 10/02/20
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(voici un texte d'une soumise que j'ai glané sur le WEB et que je trouve par certains cotés si juste que j'ai souhaité le partager)
Faisons fi de l’imagerie d’Epinal : le BDSM est tout le contraire de ce qui peut en être cru, c’est à dire l’opposé du « Lasciate ogni speranza, voi ch’entrate » de Dante.
Rien en effet de plus construit, de plus conduit, de plus négocié dans cette relation et c’est ce que, peut-être, je puis admettre qu’elle ait de plus repoussant aux yeux du béotien.
Parce qu’il est bien rare qu’elle naisse spontanément et mûrisse comme le font les autres amours? A quelques rares exceptions près, tous les couples que j’ai vu se former l’ont fait par le biais d’annonce ou assimilé?.
Quelquefois, il est vrai que c’est l’un des deux partenaires qui a eu la chance d’éveiller des méandres semblables aux siens chez son compagnon de vie? Ces couples-là ont eu ou n’ont pas eu d’avenir selon la force de motivation qui était dans le second : le faisait-il parce que « ça » parlait vraiment en lui ou seulement pour « suivre » ?
De la réponse à cette question allaient découler tous les lendemains de l’union de ces deux?
Les autres font donc connaissance virtuellement sur le papier ou sur l’écran, au téléphone ou autrement?. Ils prennent ( je vais choisir de me placer dans le meilleur des cas, c’est à dire celui de deux personnes conduisant une recherche authentique et sérieuse) leur temps, tout leur temps et leurs marques, chacun de son côté.
Ils partent aussi, comme tout couple qui se serait rencontré en forçant le hasard, à la recherche d’autres affinités, de celles qui leur donneront les moyens d’exister et de partager.
Il faut bien en venir ensuite à évoquer le sujet qui brûle et là encore on pénètre dans une très longue période d’exploration, de définitions puisque l’on est déjà au c?ur de la question, celle qui va permettre de définir la relation.
Et l’on en vient aux limites.
Bien étrange d’en parler pour cette sexualité cérébrale où tout l’enjeu consiste d’un côté comme de l’autre précisément à les repousser.
Mais pour comprendre, il faut s’entendre sur ce que l’on nomme limites.
Venons-en tout de suite aux dites « pratiques ». J’ai déjà écrit précédemment qu’un bon tiers des pratiques « extrêmes » assimilées au BDSM (et ce d’ailleurs par bon nombre d’adeptes eux-mêmes) n’étaient en fait rien d’autre que les classiques pratiques sexuelles « extrêmes » qui peuvent concerner ou ne pas concerner tout couple. Un petit détour chez Catherine Millet, qui n’est pas une pratiquante SM en témoigne aisément dans la littérature, de même qu’un coup d’?il au cinéma de Walerian Borowczyk , qui lui non plus ne mit pas en scène le BDSM ?.
Pour avoir laissé de côté ces pratiques sexuelles, vous me ferez grâce de toutes celles réprimées par la loi qui ne nous concernent pas plus.
Alors, ces limites ?
Et bien, nous en avons toutes et tous.
Certaines sont d’emblée infranchissables, quasiment phobiques et celui qui vous écoute sait le saisir mais d’autres sont et cela, il saura le sentir dès le départ, un mélange d’attraction-répulsion et c’est ce chemin qu’il vous amènera à faire à travers votre propre forêt, parcours initiatique s’il en est..
Non pas du jour au lendemain, mais pas à pas, très très lentement, puisque dans l’idéal cette relation devrait se transformer en amour et alors vous aurez toute la vie pour accomplir le parcours.
Le Dominateur (appelons-le ainsi pour simplifier) n’est pas non plus le sadique animal à sang froid qui veut enserrer sa proie dans ses anneaux pour l’amener au bout du bout du bout. Je vais en surprendre plus d’un en disant qu’il a lui aussi ses limites. Et qu’il arrive dans un bon quart des cas à des soumises un peu trop « exaltées » de tenter sans prendre la mesure du risque de « pousser » le Dominateur dans ses retranchements? Jouer avec le feu, quoi?.
C’est en cela q’un vrai « Maître » doit savoir se maîtriser lui-même, maîtriser aussi son sujet avant d’essayer de maîtriser sa sujette?. Savoir lui montrer l’abîme juste d’assez près pour qu’elle en ait mesuré la profondeur mais avec juste assez de confiance pour qu’elle sache qu’il y a toujours un filet de protection.
Les limites que l’on va être amené(e)s à franchir pas à pas donc relèvent tout autant du physique que du psychique. Soyez néanmoins assuré(e)s que les barrières insurmontables l’autre les a entendues et n’y touchera jamais.
Deux exemples concrets dont l’un au moins vous amusera : je l’ai écrit un autre soir, je joue et m’arrête juste avant « le premier sang » ; je sais que nous n’irons jamais au-delà et je me sens en pleine confiance. J’ai un écoeurement à l’idée du latex ; je sais que j’y échapperai pour mon anniversaire ;-)
En revanche, au début, j’avais une frayeur horrible et donc un rejet de la canne tout en restant fascinée devant ceux qui pratiquaient : M. m’a amenée vers ce plaisir parce que mon ambivalence sur ce point était claire. De même pour la laisse : j’y associais le mot « chienne » et donc totale impossibilité mais en même temps, je ne détachais pas les yeux des femmes qui en portaient une. M. m’ a simplement aidée sémantiquement à défaire mon association chienne-laisse, le plus simplement du monde : ma laisse, c’est moi qui la tiens partout où je la porte.
Je me suis une fois de plus placée pour ce post dans le cadre de mon expérience propre qui est une expérience amoureuse ; l’ensemble de ce que je dis (et qui n’engage que mon avis d’ailleurs) me paraît valable aussi dans le contexte d’une relation plus « indifférente ».
Mais alors, qu’il me soit permis d’évoquer le bonheur dont ceux-là se privent !
L’originalité de cette forêt que sont les limites en BDSM, c’est qu’elle est sans fin.
On sait que l’on n’en atteindra pas le bout demain et que le rapport se renouvelle ainsi par touches impressionnistes chaque jour.
C’est beau une histoire en marche, c’est beau un amour qui ne s’arrête pas même dans ses tâtonnements et découvertes érotiques.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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Par : chuken
Sur la route qui me conduit à son domicile, je suis étonnamment serein. Certainement parce que j’ai déjà eu un premier contact téléphonique très rassurant. J’ai senti Miss G bienveillante et à mon écoute. Bref, je suis calme mais je me pose principalement une question.
Comment vais-je l’aborder ?
Je suis totalement dans l’inconnu. Mis à part le traditionnel vouvoiement qui me semble naturel, je ne sais pas trop comment me présenter à Elle.
- Dois-je me comporter immédiatement comme un soumis et si oui, comment ?
- Dois-je l’appeler Miss G, Lady G, Maîtresse, Madame
- Dois-je lui baiser la main ou ne rien faire tout simplement. Je ne vais tout de même pas lui claquer la bise ou lui serrer la main
J’arrive devant son domicile, je ne pense plus à rien. La sérénité fait place à la fébrilité.
J’entre et Elle est là derrière la porte. Ma fébrilité est palpable, je n’ose la regarder. Instinctivement et après un simple bonjour, je décide d’être franc. Je lui avoue que je suis plutôt stressé et intimidé en espérant inconsciemment qu’Elle prenne rapidement les rennes et me montre la voie à suivre.
Une nouvelle fois, Elle se montre très rassurante et m’énonce le déroulement de la séance.
Il est temps de préparer la séance, nous nous retrouvons dans l’anti-chambre de son donjon. Elle me laisse ici, le rituel veut que je me déshabille complètement pendant qu’Elle prépare le donjon.
En cet instant, je n’ai même pas pensé « Mais qu’est ce que tu fous là ? Prends tes jambes à ton cou, c’est de la folie », je m’exécute simplement.
Une fois nu, je me présente à la porte du donjon et je frappe à la porte. D’un ton impérial, Elle me dit « Tu attends », je ne bouge pas. Peu de temps après, Elle me dit calmement « Tu peux entrer ».
J’entre dans le donjon, c’est une petite pièce avec un grand fauteuil où trône Miss G dont les jambes sont croisées. Elle porte une belle robe courte, noire et très près du corps. Je remarque un peu plus tard des tatouages sur ses jambes qui m’émoustillent. Miss G est ravissante !
Captivé par Miss G, je me rends compte à l’heure actuelle que je n’ai pas fait attention à grand chose dans la pièce à part une petite bougie devant ses pieds et une petite fourrure au sol.
Elle m’invite à m’installer sur la fourrure et sans réfléchir, je me place à genoux. Je baisse ensuite naturellement les yeux. J’ai toutefois une vue imprenable sur ses pieds chaussés de talons aiguilles et sur le début de ses jambes.
Afin de nous connaître un peu mieux, nous nous posons mutuellement des questions à commencer par « Pourquoi j’ai fait appel à Elle ? ». D’une voix tremblante mais sincère, je lui avoue que son annonce était très bien écrite, sensuelle et loin d’être prétentieuse, que sur les photos Elle semble très ravissante et élégante. Elle m’a tout de suite plu.
Miss G me raconte également quelques uns de ses traitements et j’ai du mal à masquer mon intérêt.
Une fois qu’on se connaît mieux, on passe à l’action.
Sur ses recommandations, j’accepte de me laisser guider au son de la voix de Miss G.
À sa demande, je me place face à une croix de Saint-André et Elle commence à m’attacher les poignées. Intérieurement, je suis un peu réticent à me faire attacher lors d’une première séance. M’ayant mis à l’aise depuis le début, je me laisse tout de même faire. Vient ensuite le bandeau sur les yeux. Je suis complètement à sa merci et dans l’inconnu.
Je suis maintenant attentif au moindre son, au moindre effleurement. Je sens beaucoup de caresses, de baisers et de mordillements. Un martinet vient me chatouiller l’intérieur de mes cuisses pour m’inciter à écarter les jambes suivi de quelques légers coups de martinet. Je sens ensuite de petits picotements chauds sur mon dos avec une sensation de liquide qui coule. Je comprends rapidement que j’ai eu droit à la caresse de la cire chaude :) Un peu fébrile et sur le coup de la surprise, je sursaute au moindre effleurement du martinet et de la cire, je commence à monter en pression. Miss G me libère une main afin que je puisse commencer à me masturber. La sensation est très jouissive.
Commençant à être très chaud, Miss G me propose un massage prostatique. Calmement, Elle m’informe qu’elle peut s’arrêter à tout moment si je ne me sens pas à l’aise, j’apprécie énormément sa bienveillance dans sa voix et je décide de me laisser faire. Entre le massage prostatique, le massage de mes testicules et de mon sexe, je ne sais plus où je me trouve, je suis au bord de l’explosion. Miss G décide alors de calmer le jeu et de finir le massage prostatique au sol. C’est intense et extrêmement jouissif, il est de plus en plus dur de me retenir. La libération vient enfin avec l’accord de Ma Maîtresse !
Nous passons ensuite à une séance de massage afin de me détendre. Je me couche sur le dos, Miss G me masse le torse et effectue par la même occasion de légère pressions sur mon cou comme si Elle souhaitait m’étrangler. Elle se couche ensuite sur moi, il me semble que sa poitrine est sur mon visage, inutile de vous dire comment je suis à ce moment :) Elle se place ensuite derrière moi et place ma nuque sur ces cuisses, Elle commence un massage de mon visage et finit par me pincer le nez et bloquer ma respiration. En cet instant, je lui fais assez confiance pour la laisser faire. Sur sa demande, je passe ensuite sur le ventre en calant mon visage au niveau de ces cuisses. Je suis encore une fois aux anges. Miss G se couche une nouvelle fois sur moi tout en me massant et me parlant avec des paroles très bienveillantes. Même si je suis de nature crispé et toujours aveuglé par le bandeau, je trouve cela très agréable.
Nous approchons de la fin du jeu, nous terminons avec une séance de relaxation pour revenir petit à petit à la réalité.
La séance finie, j’ai l’immense honneur de passer un moment privilégié avec Miss G afin de revenir sur mon ressenti. Il est vrai qu’on ne sait pas trop quoi penser quand c’est la première fois, je suis tout de même déboussolé depuis quelques minutes. C’est très rassurant de savoir qu’on peut parler avec notre Maîtresse.
J’apprends aussi que ces moments ne sont pas donnés à tout le monde, j’en suis d’autant plus fier :)
J’ai longtemps hésité à sauter le pas. Ce soir, je ne regrette pas d’avoir sauté le pas et de l’avoir fait avec Miss G.
Ce que je retiens de cette séance, c’est beaucoup de sensualité, de bienveillance, de chaleur, de domination avec une Maîtresse RASSURANTE. Je pense qu’Elle m’a plutôt bien cerné :)
La domination est restée soft pour une entrée en matière, elle sera peut-être plus forte la prochaine fois. Une chose est sûre, c’est Elle qui décidera. En venant à sa rencontre, je souhaite que les désirs et plaisirs de Miss G passent toujours en premier.
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Par : M des Sens
Dans mon passé j'ai vécu, exploré, testé, goûté aussi tout les pans de ce Jardin des Sens avant d'en arriver à ce que je suis aujourd'hui...
On m'a souvent demandé...
"Mais pourquoi dis-tu que tu n'aimes pas ?"...
Et bien simplement parce que j'ai gouté...
Alors voilà un Pan de moi que vous dévoile....Et là je sais...que c'est vraiment pas pour moi... ;)..Peut-être certains seront surpris...Mais je suis ainsi ...
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(Gary Grant et Randolph Scott)
Il y a des années (pfff), alors que je ne savais si cette passion devait pleinement être le fil conducteur de ma vie, j’ai vécue une aventure je devrais dire plutôt une expérience différente.
A l’époque, je faisais mes études et je devais partir à l’armé.
Et oui je fais partis de ceux qui n’ont pu y couper. Je naviguais, en ce temps, entre les passions et une relation classique.
Cette dernière, j’en étais totalement fou amoureux…que voulez-vous…le cœur à sa raison que la raison ignore.
Puis vint le jour ou je dû me rendre à ce service d’intérêt que militaire. Et ce qui devais arriver arriva, celle qui faisait battre mon cœur me tournait sans raison le dos….
Comme si simplement elle attendait ce moment pour prendre la fuite…enfin
Coupé un peu du monde, même si j’étais sur Paris, je n’arrivais pas à l’oublier, même les passions que j’avais à l’époque avaient un gout âpre bizarrement.
C’est fou comment l’amour peut vous toucher si fort en vous.
Pendant près de 4 mois je tentais en vint de reconquérir sont cœur…
Désabusé par mes efforts, je décidais de tourner cette page.
Et je commençais à me poser moult question sur l’amour et mes relations avec les femmes.
Chaque soir, je sortais dans les rues Parisienne tentant d’oublier cette femme. Je résidais à l’époque dans le marais et de nouvelles et étranges pensées me traversaient l’esprit.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu très prisé et charmant, il est surtout réputé non pas pour la demeure de Victoire Hugo, mais pour sa couleur des plus gaies et étranges d’un monde très masculin aux relations très exclusivement…masculines
A force de me promener dans ce quartier avec une coupe de cheveux des plus évoquant pour cette population…je me fis mainte fois aborder
Il est des plus surprenant de constater, que ce milieu est très ouvert et n’hésite pas à vous aborder facilement par contre vous leurs dites simplement Non, ils n’insistent que très peu…Bon nombreux devraient en prendre bonnes graines ;-)
Un soir, plus sombre que d’habitude, je cédais à une invitation dans un petit bar près de la place des Vosges car la personne, déjà plusieurs fois croisé et charmant au demeurant, m’inspirait confiance dans sa démarche simple et sans « arrière pensée »….heu un peu naïf sur le coup, mais…la tentation d’être avec quelque et de parler simplement m’était plus important que ses éventuelles arrières pensées.
Nous parlâmes ainsi pendant la grande majorité de la nuit…
Il m’expliquait comment il avait découvert son homosexualité, je lui faisais part de ma vie un peu turbulente avec les femmes …
Tout se passait comme si nous avions été de vieux amis, rien ne transparaissait de ses intensions…un peu cachées…
Puis nous vinrent à parler de mon questionnement, plus précisément à mes déboires et le fait que je ne savais pas réellement ou j’en étais dans cette sexualité qui été la mienne…
Il m’écouta avec un grand intérêt…et me proposa d’aller prendre un dernier verre chez lui…
Je refusai sur le coup…lui indiquant qu’il était des plus tard pour moi, mais que le lendemain, je serai flatté, et ne verrai pas d’inconvénient à honorer sa proposition.
Il en fut des plus charmé, bien sur, et me donna son adresse en me donnant rendez-vous le lendemain soir.
Le lendemain, je me rendis donc à l’adresse indiquée, juste à cotés de la place des Vosges…
Son appartement était cossus mais pas extravagant comme je me l’attendais d’un homme de son bord, si je puis dire…
Il avait préparé un repas à mon honneur…un repas Japonnais….
Il fut très bon, enfin si je m’en souviens bien…
Puis nous terminâmes par un verre…heu que dis-je plusieurs verres Saké assis tout deux confortablement dans un canapé de son salon.
L’ambiance était des plus chaleureuses et conviviales…
A un moment donné…je ne me souviens plus exactement quand dans une conversation…mais… sa main venait de se poser sur ma jambe…
Avec l’autre il prit soin de déposer son verre, puis le mien sur la table basse.
Nos regards se croisèrent…une atmosphère différente venait de naître…
Sa main libre vint se placer derrière ma nuque...
Je restais impassible...
Il approcha sa tête de la mienne...
Des images me parcouraient l'esprit...mais je ne réagissais pas...
Ses lèvres se rapprochaient alors peu à peu des miennes.
Et je restais sans réaction, laissant aller l’instant, sans bouger.
Il me déposa alors un baiser, un simple baiser….
Je ne sais si c’était l’effet de l’alcool ou autre mais j’étais dans un brouillard, troublé aussi par l’instant, par ce qu’il venait de faire en toute simplicité…
Il écarta son visage, me souri, avec un petit sourire de coin…comme pour dire… « Et bien tu veux ou tu veux pas .. ?».
Je lui souriais alors en retour, son visage s’illumina…
Sa tête pris alors une direction plus descendante…et au passage, il prit le soin d’ouvrir mon pantalon…Sa main vint prendre l’objet de son désire, qu’il porta à sa bouche.
Je me laissais toujours faire, mais la réaction de sa quête lui indiquait bien l’émois que j’avais…c’est parfois mieux que des mots.
Il s’appliquait avec une dextérité redoutable…montant descendant lentement mais sûrement…j’avais rarement eu un délice aussi subtile, délicat…heureusement que depuis, certaines personnes féminines m’ont prodiguées pareil tourment…si non …rires
Puis, pour la première fois de ma vie, je sentis alors en mon endroit interdit, une entrée douce et délicate…un effet des plus étranges m’envahit alors…il assurait le rythme de cette entrée avec celui du tourment.
Étrange moment, je vous avoue, et encore aujourd’hui que cette endroit est pour moi des plus difficile d’entrée bien que j’en accepte parfois l’entrée…même un thermomètre y a une difficulté grande …Vive les nouveaux thermomètres qui n’empruntent plus ce chemin.
Mais également, je sais que j’adore le faire ‘subir’ à la gente féminine ce tourment, et je comprend que parfois cela est des plus difficiles, voir impossible…
L’homme a, en cet endroit, un point important et très sensible et qui lui procure un plaisir très certain parfois plus fort que le Saint Graal et les tourments que l’on puis lui faire subir.
Puis, il vint à y introduire un deuxième doigt…toujours avec une grande délicatesse…Un plaisir certain m’envahit, il le comprit. Il activa le tourment, les frissons m’envahissaient, les tremblements faisaient leurs apparitions…
Il tenta alors un troisième doigt…mais là…je l’arrêtai immédiatement…il n’insista pas, comprenant vite que cela était déjà bien…voir trop peut-être, heu…même sur.
Il arrêta donc ses tourments, comprenant que cela n’irait pas plus loin en ce qui me concernait.
Il m’offrit alors, un préservatif, qui mit délicatement sur ce mat dressé, je l’y aidais quelque peu. Il en profita alors pour retirer ses affaires.
Il se mit alors directement à califourchon sur moi…pris en main l’objet désiré et le présenta doucement à son antre…il était aussi très ‘tendu’, mais il se grandit encore plus lorsque peu à peu, il descendit sur ma ‘fierté’...j’étais des plus étonné que sans préparation cela pouvait avoir lieu…
Mais très vite ma réaction fut sans appel…pour lui, pour nous…
Le mat peu à peu dresser perdit de sa rigidité…
Comprenant que là c’était vraiment trop, en quelque sorte…il arrêta…nous arrêtâmes.
Nous continuions s cependant à discuter, à en discuter…le reste de la soirée
Mais une chose est sur et certaine…malgré cette expérience quelque peut délicieux…je ne suis nullement fait pour ce genre de rapport…
Et donc je pris conscience que l’homosexualité, même dans l’adversité du temps, ne serait pas du tout mon chemin. Et que malgré le cœur des plus blessé, les femmes auront toujours mes faveurs et ma préférence.
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Par : BDSM
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être :
- Sûres
- Saines
- Consensuelles
Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger !
Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré !
Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE.
Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : #
Ont se fait toujours une idée de la réalité ne considérant pas qu'en vérité elle est déformée.
On attend le superhéros, son héroïne celui/celle qui nous donnera vie. On se dit qu'une fois attrapé(e) on va le/la mettre en cage, une bonne fois pour toute et qui plus est, pour l’Éternité.
Voilà la seul réalité... La vérité à reconsidérer. Le quotidien des ménages Français, leurs cinq à sept pas franchement désopilant. Les trois coup vite fait inscrit sur le semainier, le frigo qui s'ouvre et se ferme et le troisième samedi du mois où l'ont sait qu'il va falloir être au Top...
Parce que la quinzaine est déjà dépenser, c'est à la maison dans un recoin de son monde, que s'apprête à vivre l'extase d'un moment toujours bien trop court, l'orgasme que Madame à demandée.
Expressément, accessoirement, rudement, tendrement aussi au début bien entendu.
Et il faut se faire à cette idée !! Bander sur ordonnance, à la commande.
Celui qui sait qu'après tant d'années Madame sera toujours aussi séduisante, il sait également que, seul, dans son froque, Mister SuperHéros n'est pas toujours du même avis bien qu'il se languit d'avoir au lit son Héroïne.
Sentir si là journée c'est bien passer puis finir par quand même le demandé pour ne pas qu'elle hurle son manque d'attention.
Se rapprocher pour qu'elle puisse, à son tour, sentir la domination, toutes les situation qui auraient pu nous faire flancher.
Mister SuperHéros à demi-molle sais bien faire savoir lui aussi lorsqu'il y a de l'inattention. Un manque de considération, la réalité des faits, la seul vérité.
Madame ne se soumet pas, nous lui soumettons les idées du débat. Elle décide de la vérité à observée et dans la réalité nous mettons à contribution ce qu'elle aura décider et que nous aurions valider, expressément, accessoirement mais surtout tendrement au début, bien entendu.
Poussez-vous je fais le ménage devant ma porte, je passe un coup de balai, il n'est pas midi mais ça ne saurait tarder. Autant de proverbe que ce que le vent emporte le temps. Tant de principe de vie, autant en philosophie.
Madame attend mais est-ce qu'elle sait seulement qu'en moi sommeil un superHéros. Parfois laid, tantôt beau, sur du papier glacé ont voient tout le temps le reflet d'une fausse réalité, en photo et, mis en scène, c'est parfait j’achète. Le prix à payer de la dur réalité des faits.
Tantôt bon ou plutôt mauvais en moyenne c'est trois minutes que cela me prend pour vider... mes valises. Je m'attache vite, je déteint rapidement.
Je râle souvent, éternel insatisfait, perfectionniste et persévérant.
Madame devra se rendre compte du temps que j'ai à lui offrir c'est un cadeau, un présent. Un patient, impatient.
Et puisque ma notoriété laisse à désirée est-ce qu'elle saura dominé la situation ???!!
Plus aucun doute... Elle attend aussi quelque part, là où se perd se tas d'années. Un refrain, j'avoue, l'une d'entre elle me l'as soufflée.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : Lady Spencer
L’orgasme masculin serait plus complexe qu’on ne le croit…
« Point culminant du plaisir sexuel, l’orgasme est une expérience subjective de quelques secondes de plaisir intense, altérant l’état de conscience »1. Cette étude française confirme qu’il fait appel à des mécanismes psychophysiologiques complexes et à un contexte psychosocial spécifique. L’orgasme et l’éjaculation ne semblent pas opposables, et l’orgasme ne serait pas comme évoqué précédemment dans la littérature la réponse physiologique à l’éjaculation.
Pourquoi est-ce important ?
Investiguer le vécu et le discours sur l’orgasme masculin peut contribuer à apporter des informations sur les troubles rencontrés, aider les patients à aborder leurs difficultés sexuelles, offrir des éléments diagnostiques et favoriser au besoin l’alliance thérapeutique. L’orgasme masculin reste peu exploré par la recherche, qui lorsqu’elle s’intéresse à la sexualité masculine focalise principalement sur l’éjaculation.
Principaux résultats
Les ressentis de l’homme ne se résument pas au processus éjaculatoire physiologique, mais intègrent le contexte relationnel de l’orgasme.
Les auteurs indiquent que l’analyse des interactions entre troubles psychologiques, sexuels et vécu orgasmique indique que les dysfonctions sexuelles et les troubles psychologiques se potentialisent pour donner sens au vécu orgasmique masculin.
Les sujets interrogés se sont inscrits dans la temporalité du processus éjaculatoire pour en distinguer deux phases : l’émission (accumulation de tension conduisant à l’irréversibilité de l’orgasme) et l’expulsion spermatique (avec une phase de contraction expulsive et une phase de passage du liquide séminal le long de l’urètre).
En plus de ce processus physiologique, l’orgasme masculin intègre le contexte relationnel de l’orgasme. Le ressenti complexe oscille entre l’amplification de la sensation de force et de puissance et l’abandon de soi par fusion avec la partenaire.
Méthodologie
Les données ont été recueillies lors d’une enquête nationale explorant la sexualité masculine à partir de 923 témoignages de sujets francophones.
Les thématiques abordées ont été croisées avec des indicateurs socio-démographiques et avec les difficultés sexuelles et psychologiques auto-rapportées.
Quelques questions de fond liées à cette étude : L’orgasme masculin se confond-il avec le mécanisme physiologique éjaculatoire ? Le vécu orgasmique masculin est-il commun à tous ou peut-on mettre en évidence des variabilités interindividuelles ? Et si elles existent, peuvent-elles être mises en relation avec les caractéristiques sociodémographiques, avec les potentiels troubles sexuels ou encore la présence de troubles psychologiques ?
Principales limitations
Les données ayant été recueillies par internet, il est peu probable que les sujets interrogés soient représentatifs de la population générale masculine.
références :
Gouvernet B et al. L’orgasme masculin est-il complexe ? Étude exploratoire des discours sur l’orgasme de 923 hommes en couple. Sexologie 2018, disponible en ligne 12 mars 2018. https://doi.org/10.1016/j.sexol.2018.02.014.
1-Alwaal A, Breyer BN, Lue TF. Normal male sexual function: emphasis on orgasm and ejaculation. Fertil Steril 2015;104(5):1051-60,http://dx.doi.org/10.1016/j.fertnstert.2015.08.033.
parution : Univadis Nathalie Barrès Lecture critique 24 avr. 2018
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Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Par : Switcher
Comment cette maîtresse, m'a imposé la bisexualité ?
Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. En revanche, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de « pédé ».
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement la sodomie.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré un certain désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami que je ne connaissais pas. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors ma maîtresse a dit qu’elle me faisait porter des sous-vêtements féminins et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir avec un string, des porte jarretelles et de bas résille. Quand je suis revenu, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j'ai très envie de voir te faire sodomiser. Viens nous rejoindre dans le lit » J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être sodomisé par un homme.
En arrivant dans la chambre,j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation. Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya ma tête d’une main et se branla le clito de l’autre. Peu après, tout en continuant à sucer, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ?» dit-elle.
Je sentais que le sexe de cet ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma maîtresse en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander et je pourrais profiter de le voir se faire mettre ».
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, réfréner un gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me traitait de pédé, d’enculé.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé, cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma maîtresse, en me faisant souffrir et il y réussissait. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas au fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de salope, de lopette…
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Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux.
J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée.
Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher.
Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête.
Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner.
Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent.
Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs.
A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris.
Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé.
A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ?
Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée.
Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées…
On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer.
La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement,
Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial.
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Par : Abyme
Le saviez-vous ?
Dans les bourses (scrotum), les testicules bougent la plupart du temps. Le système régulateur ou thermostat naturel qui est à l'œuvre à cet endroit est hautement au point : Il s'adapte en permanence.
Lorsque l'homme entre dans l'eau froide, les bourses se rétractent (ainsi que l'ensemble de la peau, qui ainsi se densifie et offre une protection plus épaisse = chair de poule), pour rapprocher les testicules du corps et les réchauffer. De même si l'homme entre dans de l'eau trop chaud : même rétractation.
Tout cela parce que la fabrication (spermatogénèse) et le stockage du sperme sont optimum autour de 34°, et donc le scrotum permet aux testicules d'être plus éloigné du corps qui est à 37 en moyenne, température trop élevée pour la mobilité et la survie des spermatozoïdes. Par temps chaud, ils doivent être éloigné d'un corps qui surchauffe, d'où les couilles pendantes, mais s'il fait trop froid, ils se rapprochent. Mais si la température externe s'éloigne vraiment trop des 34°, en froid ou en chaud, le muscle crémaster fait monter les testicules systématiquement, pour coller à celle du corps qui, au moins, n'est "que" à 37°, température se rapprochant le plus de 34°.
On raconte que jadis les samouraïs se baignaient dans de l'eau brûlante avant un rapport, en guise de contraception ; en effet, les spermatozoïdes exposés à une chaleur bien trop violente pendant un certain temps sont rendus infertiles.
Et si les testicules ne sont pas tous les deux au même niveau (gauche plus bas que le droit), c'est aussi pour qu'ils ne se tiennent pas chaud l'un l'autre (et probablement en cas de choc aussi).
Étonnante nature, n'est-ce pas ?
Mais voilà le détail le plus intéressant, sujet de cet article :
Les "ajustements" thermiques sont en fait permanents. Si vous regardez bien votre scrotum (dans un miroir, ou en le filmant en gros plan) pour les hommes, ou pour les femmes si vous regardez celui de votre compagnon avec attention, vous verrez : ça n'arrête pas de bouger ! Des vrais sables mouvants, constamment, ça remonte, ça descend, ça glisse sous la peau, ça se retourne... Ça bouge tout le temps ! Même de façon imperceptible au regard non attentif, mais si on regarde de près avec attention, c'est évident.
N'est-ce pas merveilleux ?
La vie est en action, au cœur même de la zone qui la crée, mouvante, incernable, indocile, capricieuse. Miraculeuse.
Filo
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