FemmeFemelleEsclave
par le 25/04/20
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Dimanche soir, après le dîner, Maxime m’a ordonné d’aller me rafraîchir et de lui rapporter mon collier d’acier, signe qu’il avait l’intention de faire pleinement usage de ses prérogatives de Mâle.
Apres une douche rapide, tremblante du désir de ce qui allait suivre, j’ai pris le collier et suis revenue m’agenouiller à ses pieds. Le temps qu’il me le mette autour du cou, toujours à genoux, je caressais, embrassais, reniflais, léchais l’emplacement de son sexe, pour lui prouver mon désir et ma soumission.
Très vite, j’ai senti monter le sien, sa queue durcir sous son pantalon, se tendre sous mes caresses.
Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever, pour que je le dévête à son tour.
La chatte humide, je lui ai retiré sa chemise, avant de me frotter contre lui, pour embrasser, sucer, mordiller doucement ses tétons et les faire durcir.
Puis, toujours lovée contre lui, je me suis laissée glisser le long de son corps, pour revenir à ses pieds, retirer ses chaussures, ses chaussettes, embrasser, lécher ses pieds avant de dégrafer sa ceinture, lui retirer son pantalon et découvrir, jaillissant de son boxer noir, l’objet de mon désir, cet arrogant symbole de sa virilité triomphante.
J’ai relevé la tête, croisant son regard, attendant ses ordres pour aller plus loin.
Parce que si mes trous appartiennent à mon Maitre, cela ne me donne aucun droit sur ce qu’il a entre les jambes.
Le sexe du Maître ne m’appartient pas, il est une récompense, que je peux désirer, adorer mais que je dois mériter et dont lui seul peut décider de l’usage qu’il en fait.
Finalement, l’ordre est tombé, « continue », me permettant enfin de vénérer pleinement son corps nu, d’embrasser, de lécher ses couilles, de les prendre en bouche, de les sucer doucement, avant de parcourir avec la langue son phallus tout puissant pour goûter aux prémisses humides de son désir en léchant son gland.
Il m’a entraînée dans la chambre, m’a ordonné de m’allonger sur le lit, avant de m’attacher, bras et jambes en croix, les membres tendus à l’extrême pour m’immobiliser totalement. Puis, il m’a bandé les yeux.
Immobilisée, entravée, incapable de bouger et au surplus dans l’impossibilité d’anticiper, de me préparer à la suite puisque ne voyant rien, j’étais totalement offerte, sans autre possibilité que de supporter ce qu’il déciderait.
Mais je savais en même temps que quoi qu’il décide, m’impose, je n’avais rien à craindre.
J’étais à ma place, dans la fonction qui est la mienne, celle d’une esclave, son esclave, offerte à son plaisir. Et je mouillais d’être à sa merci.
19 personnes aiment ça.
Karl Sarawa
Très belle posture de soumission, votre désir et votre soumission sont palpable dans votre texte.
J'aime 25/04/20
Anoa féline
Magnifique évocation d'un de mes rêves favoris. Combien heureuse vous devez être de le vivre. Merci de ce beau récit.
J'aime 25/04/20
c'est un bel hommage de soumission et confiance
J'aime 25/04/20
macadams
J'attends la suite 1f609.png
J'aime 25/04/20
FemmeFemelleEsclave
La soumission, et surtout le sm, n’ont de sens que si la confiance existe, est là.
J'aime 25/04/20
thomasreplay
C'est bien. Bonne femelle.
J'aime 25/04/20
Jokjc
Rien d'extraordinaire... Et la suite ?
J'aime 26/04/20
Stefane
Merci pour ce récit. En tant qu'homme, j'aime connaitre le point de vue, l'excitation d''une soumise. C'est tjrs très enrichissant. Au plaisir de lite la suite :-)
J'aime 26/04/20
je reste fasciné par cette photo et plus je la regarde nul texte ne peut en dire plus qu'elle n'exprime:don -offrande-attente-sérénité-soumission-concupiscence-bonheur
J'aime 26/04/20
Lady Bitch
Je mouille en imaginant la scène
J'aime 12/07/21