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par le 24/05/13
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Par un soir d'été, rien au programme
nous buvons notre café, il fait chaud
un regard, un sourire, la dernière à l'eau à un gage
piscine a 27°, l'eau tiède sur notre peau
tu as perdu, trop de temps avec tout tes froufrous
ma tunique en deux temps j'ai enlevé
nue enfin j'ai plongé
le gage pour une fois que je le gagne
pour plus tard te dis-je en souriant, je le veux drôle
histoire que l'on rigole encore plus fort......
enfin détendu on sort
mais la fraicheur nous surprend
vite grelottante nous filons à la salle de bains
tu frissonne toi qui vient du soleil
je te frotte le dos, essuie chaque goutte
un désir me surprend, celui de te toucher comme on touche une statue
légèrement, lentement, ma main quitte la serviette, caresse ton dos
tu ne bouge plus, ton sourire bloqué, les yeux fermés
ma main descend lentement sur tes reins, je me colle à toi
« tu n'as qu'une chose à faire obéir,  »
et te voilà prette à te retourner, mais pas assez rapidement je te bloque
saisi tes poignets de mes mains, te plaque contre le mur, mon corps pousse le tien
ma voix te murmure à l'oreille
« tu savais que l'on y arriverait un jour »
« maintenant tu vas filer sur le lit allonge toi sur le dos et attend »
tu veux lutter, tu te retourne, me défie du regard
mais là je comprend aussitôt
ma main se dirige vers ton sexe, mes doigts te touche
tu mouille abondamment
je retire mes doigts, les lèches lentement
« file maintenant »
mon cœur tape dans mon corps, une vague de plaisir m’envahit
l'envie de te soumettre me fais gémir
j'arrive dans la chambre, tu es là
ton corps couleur sable, encore humide, tes seins que je connais
tu ferme les yeux....je sais c'est plus facile
tu entends le son du coffre que j'ouvre, tu sais ce qu'il y a dedans
je te sens fébrile, ton souffle est cours, tu as peur, cette peur qui fait du bien
qui te fait vivre
je sors quelques babioles, les disposent sur la commode en ligne
mes mains commence par te toucher, les pieds
je suis à genoux fasse à toi, lentement j'écarte tes cuisses
tu résiste un peu, pour la forme
mes mains remontent, caresse ta chatte si lisse, un doigt te pénètre
lentement profondément, tu t'écarte, je continue
un doigts, deux doigts, trois doigts tu résiste
j'insiste, te maintiens avec mon autre main
ma langue vient titiller ton clito, je te leche encore
je sens tes muscle se relâcher sous mes doigts
je te pénètre encore plus, tu gémis mais tu ne résiste plus
je te laboure le vagin de ma main, il ne reste que le pouce à l'extérieur
je me retire et écarte tes cuisses, je te contemple ouverte face à moi
lentement je me saisis des menottes et t'attache les poignets sur la barre en tête de lit
ma main caresse ta bouche, ma bouche la recouvre, ma langue te caresse les dents
ton palais, je te mordille les lèvres
« tu vas jouir , mais seulement quand je te le dirai »
mes doigts pincent tes seins, j'y met les deux crochets, je tiens la laisse et je tire
petits coups secs, tu te tortille
« ne bouge plus »
tu reste immobile là devant moi et je te contemple
tes jambes se ressèrent petits à petits
une claque retentis sur tes cuisses
« écarte »
une autre
« encore plus »
tes genoux pliés tu m'offre une vue de tes orifices
luisant d’excitation
je te caresse au passage, tire sur les pinces tu gémis de douleurs
je te masse les seins, laissant tes bouts à la douleurs de l'acier
encore un peu, mais je ne peux résister à l'envie de lécher tes auréoles si brunes
si congestionnées, j'en profite ma langue, fait bouger les pinces
ma main sur ton sexe, mon index qui presse ton clito, qui le tapote,
le triture doucement, tu alterne gémissement de plaisir et petits cris
je me remets face à toi a genoux sur le lit.......
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