par mael
le 12/05/20
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-Dans une heure. Tenue 21. Position 14. Maitre Pal raccroche sans un mot de plus.
Marion tremble déjà. Elle regarde sa montre. Elle n'y sera jamais à temps. Elle se met nue et enfile un imper vert avec des bottes caoutchouc rose. Elle saute dans sa petite auto et fonce tremblante dans les rues endormies.
Maitre Pal habite à la campagne, une maison isolée. Elle aura beau crier, personne pour l'entendre, à part les corbeaux qui volent bas. Elle a la peur au ventre. Elle aime sentir cette peur. Elle commence à mouiller.
Elle arrive enfin et fait crisser les graviers de la cour. Elle se précipite et sonne. Maitre Pal ne répond pas. Marion a la trouille. Elle n'ose pas sonner une deuxième fois. Avec la peur, elle a envie de pisser. Elle va dans le jardin et pisse comme une chienne au pied du marronnier. la porte s'ouvre. Maitre Pal, sort, torse nu, un jean et ses bottes cuir . Une montagne de muscles et de poils. Une véritable bête. Il est terrifiant. Marion baisse les yeux et se rapproche tremblante.
-Tu pisses dans mon jardin? Qui t'as donné la permission?
Marion ne répond pas, nouée par la peur. Une série de baffes partent. elle doit tendre les joues. Maitre Pal l'empoigne par les cheveux.
-Tu es en retard?
Des larmes coulent sur les joues en feu de Marion. Elle mouille et coule. Une bonne chienne docile.
Maitre Pal l'attache sur une chaise et sort sa cane anglaise. Les coups pleuvent. Elle saigne mais ne se plaint pas.
Maitre Pal la laisse et va boire un bourbon. Elle reste le cul sanglant bien à l'air. Sa douleur se transforme en plaisir. Oui elle adore recevoir et être martyrisée. Et cette trouille dans le ventre devient orgasme. Elle aime Maitre Pal. Lui, l'ignore, la traite en pisseuse. Marion est une loque, un chiffon mouillé, une serpillère. Elle obéit en tout et pour tout. Ce n'est plus une soumise, c'est une esclave. Elle a renoncé à tout. Maitre Pal est son Seigneur. Sa seule peur véritable, c'est qu'il vienne à se lasser d'elle.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : Dame Meg
Je suis venue à contre coeur, il n'y a pas de lien, pas de bulle cela me semble insipide... Il veut tester, pour apprendre... "souffrance"
Il va voir... pas d'anal soit... dommage moi j'aurais aimé.. un neophyte... un cul vierge bien sûr, il se pense dominant... je le percois soumis...
Juste le torse nu pour commencer... martinet... mouvement du poignet... je commence en douceur...avant de donner plus de force à mes coups... je dois reconnaitre que ça me fait du bien... je me focalise sur son dos... j'oublie le reste.
Il reste stoïque appuyé au mur...
Et moi j'ai envie de plus, mon ordre claque...il se met nu... il bande... ça m'amuse... quelques coups sur ses cuisses avant que je m'approche pour caler mon genou sur ses couilles... il suffirait de peu pour que je porte un coup... moment d'hesitation où je frotte mon genou... je percois sa respiration...
Juste un petit coup...et il se plie en deux...
Hmm, ca tombe bien, je lui demande de rester a 4 pattes...
Paddle pour commencer... ses fesses blanches ne vont pas le rester longtemps...
J'adore caresser la peau encore chaude après mes coups.
Faire glisser un doigt entre ses fesses, le tourmenter... appuyer sur son périné, zone sensible.
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Par : Elle.a
Lorsque je suis loin de lui, j'oblige mon soumis à entonner l'excellent "Tata Yoyo" debout devant son réfrigérateur ouvert, à l'heure la plus chaude de la journée.
Il se doit d'être en tenue d'Adam, le sexe plié à angle droit grâce à l'objet de son choix, sous le regard attentif de son berger allemand.
Il se doit bien évidemment d'être le plus droit possible, la main au képi, et le doigt sur la couture de l'absence de pantalon.
Tout ceci sous le chaperonnage de sa grand-mère qui m'envoie la photo avec le journal du jour pour preuve de son assiduité.
Je précise que je reviens dans 4 semaines.
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Par : BDSM
Il est des personnes qui aiment faire semblant de se défendre pour enfin céder au désir de leurs partenaires sexuels. Ces personnes jouent donc leur sexualité consentie comme un pseudo-viol. D'autres, leurs partenaires de jeu, prennent plaisir à jouer le rôle du violeur. Ces pratiques s'appellent l'agonophilie. Il est à noté que certains homosexuels masculins ont une fascination pour la lutte (lutte gréco-romaine, etc.). Il est fort probable que ce soit leur corde "agonophile" qui s'exprime en partie. Vous aurez noté que certains termes ont été mis en gras et/ou en souligné, pour des raisons évidentes : on parle ici sous l'appelation "agonophilie" de pratiques consensuelles entre les partenaires. Contraindre "pour de vrai" est sévèrement puni par la loi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol et c'est heureux !
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Par : M des Sens
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Après quelques verres et discutions, notre hôte apparut et annonçait la suite....
Enfin, j'allais découvrir ce qui m'attendait....
Muriel à mon bras, je suivais la foule.
Non loin, j’aperçus Serge et Claire qui discutaient sur le chemin nous conduisant à une grande Salle....
La salle était assez vaste, pas grand meuble, ni décoration ne montrant guère l'utilité première de ce lieu...en dehors des jeux....
Au milieu de la pièce se trouvait une table juste assez large pour qu'une personne puisse s'y allonger et pas très longue non plus....
Elle était entouré de ces sièges de prière....donc l'assise était basse avec un petit coussin pour les genoux...et le dossier montant assez haut pour y poser les coudes....
Je souriais à la vue de ces derniers, me disant que les Saintes prières n'auraient certainement pas la même Sainte dévotion...
Il y avait une de ses chaises à la tête de la table et deux autres de chaque cotés....
Le reste de la salle comportait différents fauteuils qui entouraient cette Sainte Table...
Et la pièce était éclairée par de très grandes bougies disséminées ça et là...donnant une atmosphère très intimiste et de quiétudes fortes agréables...
Certaines personnes prirent directement la direction des fauteuils et s'y posant, faisant face à la Sainte attraction...
Je remarquais, ce qui m'amusa beaucoup, que seul les dominants prirent par dans les fauteuils...et les « possédés » restaient soit debout bien à la droite de leurs « Mains », soit directement entre leurs jambes....
Muriel m'indiqua le chemin directement vers la table....
Et je senti la pression monter, et cette gène d'être en spectacle devant d'autres personnes... enfin surtout autant...même si ce n'était pas la première fois...mais j'avoue que je n'ai jamais trop apprécié ce genre de situation avec autant de monde....
Une petite pancarte avec le numéro « 3 » se trouvait sur l'un des dossiers de chaises...
Muriel s'agenouilla dans une élégance féminine remarquable...prenant soin de sa robe...relevant légèrement celle-ci, tout en descendant...et me laissait pleine vue sur le dessin de cette vallée fort « attire l'œil »...
Elle m'invita ensuite à me mettre de l'autre coté de la chaise...vérifiant que la distance me séparant d'elle était suffisante pour œuvrer à son aise...
D'autres personnes prirent part autour de la table de supplice...certains accompagnés comme moi...d'autres seuls...
Quelques instant après, notre suppliciée arriva, toujours accompagnée de son bourreau encagoulé la trainant par sa chaine ...
Le brou-ha des conversations se tue...et tout le mode n'avait d'yeux que pour cette suppliciée guidée vers sa destinée...
Les personnes non accompagnées, au tour de la table, laissèrent libre place à ce convois, pour que la belle torturée puisse s'y installer...
Elle était nue, son dos toujours bien marqué de sa « mésaventure » précédente...
Son bourreau finit de l'installer en lui écartant ses jambes et ses bras, qu'il prit soin d'attacher aux pieds de la table....
Le Maître de cérémonie entra...Le silence fut total...
....
A ces mots, les hommes seuls ouvrirent leurs pantalons...et commencèrent cette danse des Sens de leurs Saint Graal...
Je me trouvais à la hauteur des Seins de la suppliciée. En fasse de moi, un homme très décontracté, buvait sa coupe de champagne pendant que sa compagne s'attardait de sa bouche à dresser cet étendard...
Je sentis les mains de Muriel déboutonner délicatement mon Pantalon, et plongea sa main pour en tirer sa convoitise...
Sa main était un peu froide au contact de ma peau. Mais très vite, je sentis cette « Fierté » être entourée d'une douce chaleur des plus agréable....
Sa bouche était un véritable délice ...
Muriel s'activait savamment dans un doux mélange de va et vient de sa main et des jeux de langue...
Tournant, cherchant le moindre recoin qui me serait sensible agréablement....en ce Graal dressé pour l'honoré de ses gestes des plus fort et surtout délicieux....
Mon esprit ne s'occupait plus des gens qui nous entouraient, ni même de la raison pour laquelle tout cela était fait...en fait je ne voyais même plus ce qui se produisait tout autour de moi, d'elle...
Je me laissais simplement prendre à ce tourment des Sens...
Je ne fus pas le premier à répandre cette sève de supplice... mais je ne me rendis compte que de ce fait...que lorsque je sentis l'instant fatidique...pointer
Muriel sentit ce moment de Moi....
Elle retira sa bouche...
Et en continuant à jouer de sa main, dirigea mon corps pour faire face à la suppliciée...
Cela ne fit qu'augmenter mon plaisir...
Étrangement alors que le changement de chaleur aurait put engendrer l'inverse....tout comme le fait d'être perturber du déplacement....
Elle s'activa encore plus rapidement dans ses gestes...mélange de relâche et serrage de ce précieux Graal en sa main...
Je commençais à trembler...le plaisir était là...ne faisant qu'augmenter...
Je voyais alors les autres hommes, certains ayant déjà sévis, d'autres étant, tout comme moi sur le point de livrer leur sentences....
Je me souviens avant de livrer ma propre sentence, que mon regard regarda furtivement tout autour...
Je voyais juste quelques personnes souriantes, d'autres discutant....
Mais la délicatesse, la dextérité et surtout le plaisir d'exploser ne me permirent pas d'observer plus avant....
L'explosion me fit presque tressaillir, je me retins au dossier de la chaise....Le Jet, dans des soubresauts, se répandit, par à-coup sur le corps de cette belle suppliciée, déjà bien « marquée » d'autres sentences....
Malgré le plaisir qui me fut bien présent, je remarquai que la belle torturée, en fait, ne bougeait quasiment pas....aucun son ne sortait de sa bouche....elle subissait tout simplement...
Mais seulement, lorsque la chaleur de cette Mâle liqueur venait toucher une partie de son corps...elle frissonnait et se contractait par la brusque présence de chaleur....Mais rien de plus....
Je me sentais totalement me vider....et quand, de mon « Don » de supplice il fut finit...Muriel, tout en me souriant, me fit me retourner vers elle....Et de sa bouche termina son œuvre jusqu'à la dernière petite goutte....Nettoyant ainsi cet arme de torture dont elle était l'usagée....
Elle se releva. Me déposa un tendre baiser sur la joue....
Murmura-t-elle à mon oreille....
J'en souriais....
Comment ne pas en être satisfait...Elle avait l'art et la manière de jouer de cette instrument....
Elle reboutonna mon pantalon....Pendant que le dernier finissait encore son œuvre....
Puis tout le monde applaudi de ce dernier livrant...
La suppliciée, que je puis alors vraiment détailler, était totalement recouverte de cette liqueur de Mâles....de la tête presque aux pieds....
Étrange vision de salissure...étrange composante de ce liquide assez visqueux sur le corps joliment nue et fait....
Le bourreau détacha la torturée....
qui une fois fait....s'agenouilla devant notre hôte
Tête basse, bras tendus vers lui...
Dégoulinante et nue....
Bien que j'y pris plaisir, grâce à Muriel, de cette scène étrange....je ne compris vraiment pas l'intérêt d'un tel acte....le plaisir même que cette « torturée » pouvait y trouver....n'est-il que de satisfaire les désirs et vils sévisse de son Possédant...
Mais de cette expérience, j'en garde le fait qu'il ne m'est franchement pas d'intérêt....
Que je le fasse seul sur le corps de celle qui me fait l'honneur d'être pour moi ...oui....et je trouve cela très plaisant...Mais là que cette personne en soit totalement recouverte....et par d'autres......je ne m'y ferai vraiment jamais....
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Par : Olivier
Ceci est l'interview d'un addict du fétish, de son amour pour le latex et le cuir, de la scène fétichiste colombienne et de ce qui l'inspire à fabriquer son propre équipement et à créer son propre look fétish.
"J'ai commencé à faire du kink quand j'avais 18 ans et je sortais avec un homme qui me présentait officiellement dans le monde du fétish, mais j'avais toujours été curieux. Fétish pour moi signifie voir au-delà du sexe conventionnel et se retrouver, faire des choses que vous aimez et vous amuser avec elle. Encore et encore du fun.
Ce qui m'attire chez les autres fétichistes, c'est l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup de fétish, mais la plupart d'entre eux sont enclins à l'équipement. J'aime le latex et le cuir. Le premier équipement que j'ai acheté était une chemise et un pantalon en cuir, avec quelques gants en latex courts. Je suis un créateur de mode et j'ai utilisé mes antécédents pour commencer à concevoir mon propre matériel il y a environ 3 ans. Il était assez difficile de trouver le type d'équipement que je recherchais en Colombie, ce qui était l'une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à fabriquer des vêtements en caoutchouc et en cuir selon mon goût et mon style. Je peux facilement acheter du cuir ici en Colombie, mais je dois acheter du caoutchouc en ligne et le faire expédier.
Mon inspiration pour faire du matériel vient de partout - des films, des livres, des jeux vidéo. J'aime créer l'esthétique du bizarre sexy et jouer avec différents éléments, tels que des cornes et des lentilles de contact pour créer un look qui est en accord avec mes créations et mon équipement. J'ai quelques modifications corporelles - quelques piercings et tatouages. Ma langue attire le plus l'attention des autres - tout le monde veut savoir ce que l'on ressent lorsqu'on embrasse, lèche et rase. Je leur fais juste savoir que deux langues valent mieux qu'une haha.
J'aime jouer avec d'autres équipements non conventionnels comme les corsets, les talons et les grosses bottes. La plupart des gens parlent du mot corset et des talons à l'idée de l'utilisation féminine, mais si vous regardez en arrière, ils ont été utilisés par les hommes pendant des centaines d'années. Personnellement, j'aime les utiliser pour l'esthétique extrême qu'ils créent. J'utilise un corset de 18 " (= 45 cms) et des talons de 10" (25 cms) pour me donner de l'assurance et manipuler mes proportions et ma stature, me rendant puissant et sexy. La première fois que j'ai essayé un corset il y a 3 ans, j'en possède maintenant 12.
J'aime expérimenter et essayer de nouvelles choses et profiter du processus de création de choses à partir de rien. J'aime faire des harnais et des sous-vêtements. Avec les harnais, vous pouvez travailler avec autant d'éléments différents en matière de conception et de fabrication, qu'il s'agisse du matériau que vous utilisez, de la couleur ou de la façon dont il s'adapte à votre corps. Le temps qu'il faut pour faire une pièce d'équipement dépend; Je passe généralement une journée à faire une pièce, mais si j'ai l'impression de ne rien avoir à porter, je peux créer quelque chose en environ 2 heures.
J'aime travailler avec du latex et du cuir et infuser des éléments fétish dans l'usage quotidien. J'espère à l'avenir étendre ma petite entreprise et commencer à vendre dans le monde entier, mais je le fais pas à pas. Je voudrais en savoir plus sur les vêtements gonflables en latex et sous vide - Je suis très curieux du processus de fabrication et je veux en ressentir le sentiment sur mon corps.
Les médias sociaux sont une excellente plate-forme pour montrer mon amour du fétish, et l'équipement que je fabrique. J'aime mon corps, et mon apparence, et pour moi le fétish est une partie très importante de mon identité. C'est incroyable d'avoir différents médias pour montrer mon travail et ma créativité, non seulement dans un contexte sexuel mais aussi d'une manière artistique et axée sur la mode
La scène fétish colombienne n'est pas énorme, il y a quelques endroits où on peut porter des vêtements et rencontrer d'autres gars. J'ai rencontré beaucoup d'autres fétichistes et je me suis fait des amis grâce à mon travail. Beaucoup de gens m'ont demandé de leur confectionner des tenues et m'ont chargé de les fabriquer sur mesure - ça me fait toujours plaisir de voir quelqu'un qui aime vraiment porter une de mes créations. Les gars ici sont plus dans le cuir que dans le caoutchouc, car c'est plus accessible, mais la scène fétiche en Colombie est en train de changer - c'est déjà très différent de ce qu'il était il y a quelques années et ça grossit. Il y a plus d'endroits et d'événements qui répondent aux kinksters - nous avons même une semaine fétiche à Bogota.
Je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de voyager pour assister à des évênements fétish, je prévois cependant un voyage en Europe plus tard dans l'année - j'espère pouvoir assister à Folsom Europe en septembre et peut-être faire un petit tour fétichiste en Europe."
Traduction : Olivier
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Par : Switcher
Comment cette maîtresse, m'a imposé la bisexualité ?
Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. En revanche, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de « pédé ».
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement la sodomie.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré un certain désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami que je ne connaissais pas. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors ma maîtresse a dit qu’elle me faisait porter des sous-vêtements féminins et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir avec un string, des porte jarretelles et de bas résille. Quand je suis revenu, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j'ai très envie de voir te faire sodomiser. Viens nous rejoindre dans le lit » J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être sodomisé par un homme.
En arrivant dans la chambre,j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation. Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya ma tête d’une main et se branla le clito de l’autre. Peu après, tout en continuant à sucer, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ?» dit-elle.
Je sentais que le sexe de cet ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma maîtresse en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander et je pourrais profiter de le voir se faire mettre ».
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, réfréner un gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me traitait de pédé, d’enculé.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé, cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma maîtresse, en me faisant souffrir et il y réussissait. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas au fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de salope, de lopette…
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Par : #
Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !.
Je m'assois .
A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre...
RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ».
La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir.
A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent.
Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne.
Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle.
« Ne vous retournez pas ! »
Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus.
De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison.
….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ?
Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée...
On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses.
J'attends.
Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas.
Un long moment s'écoule.
Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins.
Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un « chchchut »
très doux me calme.
« Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute .
« Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! »
Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence.
Au loin, hors, une rame de métro repart.
Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux .
A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu.
« Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux .
« Gardez -les ouverts. »
Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer.
« Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! »
Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente..
« A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ».
De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée.
Mes genoux commencent à me faire mal.
Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent.
« Resservez -nous donc deux flûtes. »
Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif...
Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure.
« Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet.
« Léchez ! »
Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus.
Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence .
Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge.
« Maintenant !»
La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres.
Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même.
Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle...
Peine perdue.Je débande.
« Restez-là , reposez-vous.»
Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent.
« Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi.
Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm.
S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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Par : #
Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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