Mademoiselle_Lane
par le 20/05/20
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Je suis navrée pour les fautes commises non corrigées. Le violoncelle est si difficile comme instrument, il m'a complètement ensorcellée…
J'ai trouvé cette photo sur ce site, j'avoue l'avoir piquée mais elle reste une des plus belles que j'ai pu voir. Le violoncelle étant mon instrument de musique favori.. J'ai été très inspirée aujourd'hui.
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Me voilà assiste sur mon canapé, j’écoute Nicola Porpula, Salve Regina in fa maggiore.
Les musiques sacrées ont toujours eu cette grâce divine dont la voix des anges me transpercent. Je suis en train d’écrire comme la frénésie que ces notes me procurent un peu comme sur un clavier de piano. Je ne m’appartiens plus.. J’écris.. encore et encore.
Il y a toujours eu ce compositeur qui pour moi a été touché par la grâce. Un prête un peu défroqué. Un homme capable de vous faire vibrer sur les quatre saisons tout au long de l’année. Vivaldi était un génie.
La musique baroque a toujours fait partie de ma vie. Elle m’apaise tant. Voulez-vous me toucher un peu? je m'expose. Là, maintenant.
J’en écoute, mon cœur s’envole, mon esprit s’égare, divague un peu comme une mélodie dont le flot traverse mon âme pour me cueillir à son passage. Elle peut me faire pleurer de beauté, de bonheur. J’en frisonne.
La musique est comme un vêtement. La choisir en fonction de notre envie, de notre humeur. De la même manière que vous choisissez votre vêtement, le parfum, un éclairage.. tout a son importance. Le sens du détail. Certains n’y voient rien, dépourvue de toute intelligence émotionnelle, sans aucune saveur à vivre dans la simplicité. Parfois je les envies. Parfois, je me dis que mon hypersensibilité est ma bénédiction comme ma croix.
Voir, ressentir ce que d’autres ne peuvent ressentir. Cette sensation pour les autres que je passe la barre haute. Il faut apprendre à jouer, à étudier, à comprendre, à vibrer et à respecter.
La musique est un art impalpable capable de nous toucher et d’être partager dans tout le monde sans avoir à bouger ou à être dans un musée. Une seule musique et le lieu où vous êtes change. La vie c’est la manière dont on regarde les choses.
Je me préparais pour le week end à ses côtés. La musique m’accompagnait. Je courais dans l’escalier de son immeuble. Mon cœur battait, j’étais essoufflée. Je voulais me jeter dans ses bras, me perdre, me retrouver.
Quand il ouvrit la porte, j’entrais. Tout de suite, je tombais à ses pieds.
Je lui avais demandé pour aujourd’hui s’il était possible d’être dans une ambiance baroque, j’en avais besoin. Il m’avait écouté. Philippe Jarousky.. mon chanteur favori. Un homme que j’ai eu la chance de rencontrer. Sa musique forcement me touche quand on se rend compte que l’artiste dégage tant de choses.
Je l’avais rencontre à deux reprises. La première fois où je l’avais écouté. A baden Baden. Il a l’art de rendre la musique accessible, à même provoquer du rire sur scène. Oui la musique classique est aussi de la joie et du rire loin des carcans que certains se donnent.
J’étais là à ses genoux. Je posais ma tête contre sa main.
- C’est si bon de vous voir. Je n’en pouvais plus.
- Il est bon de vous voir ma muse.
- Puis-je aller me changer ?
- Oui bien sur.
J’avais décidé pour notre soirée de porter un sublime déshabillé de soie violette dont les manches longues arrivaient jusqu’à mes genoux. Il y avait de la dentelle noire. Il se fermait à la taille avec une ceinture intégrée. J’aimais le contact de la soie sur ma peau.
Je sortais alors de la chambre. L’ambiance était feutrée. Le son du clavecin, du violoncelle donnait une ambiance impalpable, comme si nous étions transportés dans un autre temps.
Je me plaçais alors à genoux sur mon cousin au centre de son salon. Je disposais mon déshabillé en corolle.
Ma tête était baissée. Mes mais dans le dos. Je l’attendais.
Je sentis alors le son de ses bas. Il était derrière moi, il effleura ma chevelure. Il tournait autour de moi. Il posa sa main sous mon menton et ma tête vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Il descendait alors son autre mains sur mon sein droit. Il franchissait la douceur de la soie. Je vibrais. Quand il en prenait possession avec cette fermeté.
Il m’embrassait en même temps, faisant ensuite de même avec le second.
J’étais alors contre lui. Il travaillait mes seins à travers le tissus. Les malaxant, les sous pesant, tirant sur mes tétons avec ce que la soie lui permettait comme mouvement.
Puis il rebaissa ma tête. Il partit se servir un verre et s’asseoir face à moi. Il m’observait.
- Le violet est une couleur qui vous va à ravir. Vous êtes intemporelle. Vous me surprenez à chaque fois.
- Levez vous et venez vers moi.
Avec délicatesse je me levais pour aller à lui. J’étais debout face à lui. Il effleura alors mes jambes comme s’il touchait une toile dans la plus grande douceur voulant s’imprégner de mon essence. Il arriva jusqu’à la ceinture de mon déshabillé. Il me regardait dans les yeux tout en tirant dessus. Le nœud cédait.
- Voilà qui est mieux… Mettez vos seins dehors.
- Asseyez vous à mes pieds, je vous prie.
- Tendez vos mains.
Il prit une gorgée de son verre et le déposa dans mes mains.
- Baissez votre tête et tenez mieux mon verre !
- Quand je vous vois ainsi, j’ai terriblement envie de vous punir.
- Je..
- Ne dites rien je vous prie. Je ne vous pas vous entendre aujourd’hui. Vous allez subir, je vais vous donner, vous punir, vous prendre.
Il se leva et défit mon déshabillé pour le faire tomber à mes fesses. Il parcourait ainsi ma cicatrice, elle faisait toute la longueur de mon dos. Il commença par me mordre dans le cou puis à m’embrasser avec passion tout en m’étranglant.
Je gémissais.
Il s’était levé. Je ne bougeais pas.
Il me saisit les cheveux. Les peigna de ses mains. Il m’attacha alors les cheveux. Je sentais que notre séance, si je puis dire allait être différente. Quand je sentis alors le bout de la cravache sur mon dos, je sentis qu’il avait été sérieux. J’avais besoin que mes tensions soient apaisées.
Il commença a cravacher mon dos. Les coups me faisaient du bien. La sensation n’était pas comme d’habitude. J’en avais envie. Ce besoin d’être punie comme il le disait. Il alternait douceur et fermeté. Je sentais les coups de cravache m’apportait cette douleur. Quand il stoppa, l’apaisement.
- Vous voir ainsi tout à moi, à ma disposition. Vous aurez quelques marques. Celle de mon affection.
Le bois du plancher craquait sur ses pas. Il était revenu avec un collier.
- Il est tant ma chère, de vous sertir d’un collier. Votre cou est si délicat. J’aime votre port de tête. Vous serez sublime avec, quand je vous tiendrez à la laisse, vous faisant la plus belle des chiennes.
Je me sentais si réservée quand il me complimentait ainsi.
Une fois le collier mis en place, je le touchais. Il saisit alors les poignets.
- A moi.. vous êtes à moi..
J’entendis alors le cliquetis du mousquetons de la laisse. Il alla s’asseoir et m’attira alors à lui.
- Défaites moi je vous prie dit il en tenant la cravache.
Doucement, j’enlevais ses chaussures, ses chaussettes., sa ceinture. Je déboutonnais son pantalon. Il m’aida à le glisser tout comme son caleçon. Il tenait fermement sa queue dans sa main.
IL m’approcha alors en tirant sur la laisse à l’orée de son gland.
Je le regardais avec dévotion.
- Sortez votre langue.
J’allais commencer à lécher.
- Non.. je ne vous ai pas autoriser à lécher.
Il tira alors sur la laisse et me maintenait la tête ainsi. Il mit alors ses deux mains sur ma tête et me pénétra sauvagement la bouche.
- Hum.. ma petite chienne.
Puis il me rejeta la tête au sol. Mes jambes étaient contre mes cuisses. Il posa alors son pied sur mon cou.
- Qu’est ce que vous êtes ?
- Je suis.. votre chienne.. Monsieur.
- Oui, ma chienne.
Il me fit alors marcher pour monter sur sa table.
- Redressez vous.
J’étais assise à genou face à lui.
La chaine de ma laisse tomber entre mes seins. J’étais nue.
Il me saisit alors par la bouche me forçant à ouvrir la bouche. IL y mis ses doigts. Il me scrutait l’intérieur de ma bouche. Il faisait des va et vient jusqu’au fond de ma gorge. Je le regardait avec des yeux soumis à ses envies.
Dès que je l’ai regardé, il me gifla. Il recaressa ma joue.. je fermais les yeux. En les ouvrant et le regardant il me gifla une seconde fois. Je soupirais. Il me ressaisit par la gorge.
- Tenez vous droite petite putain.
- Donnez moi un chiffre entre 1 et 5.
- 3, monsieur.
Je souriais il me regarda à nouveau.
Il me gifla sur la joue gauche.
- 1. Commença t il à compter
- 2
- 3.
- Humm.. murmurai je.
- Cela vous pose un problème.
- Non.. Monsieur.
- 4.. pour votre insolence.
Avec sa main animale à me tenir le visage il me maintenait droite. Il s’approcha pour prendre possession de ma bouche.
Je pinçais mes lèvres. Je le regardais droit dans les yeux comme une bonne petite chienne soumise attendant encore plus d’affection.
Il saisit alors mes tétons . Il les pinça et les tourna.
Je râlais de plaisir. Il tournait encore plus fort. Je baisais les yeux.
- Regardez moi.
Je soulevais ma poitrine encore plus fort tout en le regardant. Je supportais ses supplices pour mon éducation. Il les relacha puis recommenca. Tout en me regardant il gifla mon sein gauche.. Je prenais une respiration. Je haletai. Puis il gifla le sein droit. Il recommença. Je pinçais mes lèvres. Il y allais de plus en plus fort.
- Taisez vous !
Puis il ressaisit mes tétons pour à nouveau les tourner.
- Vous avez un problème dit il en tirant sur mes seins.
- Non.. Monsieur murmurai je.
Je le regardais apeurée mais demandeuse.
- Qu’est ce que vous êtes ?
- Je suis votre chienne Monsieur.
- Mais encore !
- Je suis bonne à me faire fourrer la chatte, le cul et la bouche Monsieur. J’ai besoin d’être éduquée, dressée pour mon bien être. Je mérite tout ce que vous m’apportez.
Il me gifla alors la joue et m’embrassa. Il saisit le gag ball.
- Ouvrez votre bouche de putain.
- Serrez.
Une fois mis en place, Il se remit sur le canapé. il tira sur la laisse pour m’amener à lui.
- Aimez vous la queue ?
- Oui.. répondais je maladroitement, ma voix étouffée par le gag ball.
- Ah oui vous aimez la queue.
- Hum hum..
- Celle là ? me montra t il en tenant la sienne entre ses mains.
- Hum hum
- A quatre pattes !
- Donnez moi la cravache, dépêchez vous !
C’est là qu’il commença a me fesser les fesses. Il se leva et appuya sur ma tête. Je mettais mes avant bras contre la table.
La cravache s’abattait encore et encore. Parfois il me caressait pour stopper le feu. Il tenait en même temps la laisse dans sa main. Il l’avait bien enroulé pour me faire comprendre combien il me tenait en laisse. Comment il était le Maître. IL passait la cravache entre mes fesses
- Hum des fesses bien rouges !
- Avancez d’un pas
- Allez..
Il tapotait alors sur ma petite chatte.
Il posa alors devant moi un gode.
- Maintenant vous allez sucer comme une bonne pute.
Il appuya sur mon dos pour me faire comprendre que je devais bien l’avaler.
- Je veux que vous le preniez bien profondément comme vous le faites avec ma queue.
- Voilà C’est ça…
Il tourna autours de moi et alla s’asseoir.
- Regardez moi !
- Appliquez vous !
Il appuya sur ma tête pour me faire comprendre le rythme à avoir
- Sucez !!
- Voilà.. gardez là au fond de votre gorge de putain.
- Humm.. vous bavez …
Il releva ma tête et me regarda. Il me caressa la joue. Me gifla. Il tira sur ma queue de cheval et me remit en position.
- Sucez !
Il me redressa nouveau en tirant par la queue de cheval et m’embrassa.
- Déplacez le gode et mettez le dans votre chatte.
Il se leva et me tenait bien fermement.
- En haut.
- En bas..
- En Haut
- En bas
Je suivais le rythme qui m’imposait.
- Quelle bonne petite putain.
Il se rassit en tenant la laisse et la cravache entre ses mains. Il me motivait en cravachant mes seins.
- Voilà au fond maintenant.
- Hummm…
- Baisez vous.. allez.. baisez vous.
- Oh… oh…
- Baissez vous plus ! bien au fond !!
Il me cravachait…
- Cambrez vous.
Il saisit ma gorge et me parlait.
- Humm.. il est bon de vous voir ainsi empalez à vous baisez comme une chienne en chaleur.
- Ohhhhhh… ohhhhhh….
Il me dévorait des yeux
J’avais mes mains sur mes chevilles, je jouais avec le gode qui était dans ma chatte. Il veillait, m’éduquait. IL observait.
Il me laissait alors ainsi en train de me baiser.
- Je n’ai pas dit de vous arrêter !
- - Ohhhh… ohhh….
- Bonne chienne !
Il me gifla.
- Vous faîtes trop de bruit.
Il glissa alors sa queue dans ma bouche..
- Voilà qui est bien mieux.
Il aimait posséder ma bouche. A nouveau avec frénésie il empoignait ma tête pour me prendre.
Il glissait sa main sous ma gorge comme pour mieux m’utiliser. Quand il se retira, il me fit descendre de la table. Je marchais a ses cotés à quatre pattes. Il corrigeait ma démarche pour que je me cambre plus.
Avec la cravache il me montra le cousin.
- Ici.
- Plus vite allez !
Je me retrouvais là à attendre ses ordres, haletante.
Il s’agenouilla face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et m’embrassa si tendrement. Il me fit comprendre de baisser ma tête puis il me fit comprendre que je devais me mettre sur le dos.
- Relevez vos jambes je vous pris et écartez les biens.
Il se mit au dessus de moi. Il saisit alors mes fesses et les releva. J’étais ainsi en chandelle.
- Votre cul est une invitation au crime. Vous êtes une sublime chandelle qui apporte la chaleur à cette pièce.
Il saisit alors une bougie. Doucement, il faisait couler la cire sur ma chatte mes fesses et mon auréole. Il le faisait en étant debout. Je ne ressentais alors que chaleur et plaisir. Tout était des plus supportable.
Avec douceur avec la pulpe de ses doigts, il retirait la cire qui moulaient les lèvres de mon sexe.
Il lécha ensuite ma chatte et commença à me doigter. Il allait profondément, à me rendre complètement folle..
-Ahhhhhhh… ahhhhh.
Il y a allait frénétiquement, je n’arrivais à me contenir. Il m’achevait en aspirant mon clitoris.
Puis il inséra un doigt dans mon cul et l’autre dans ma chatte. Un savant cocktail pour me faire défaillir.
- Ohh.. Monsieur.. Encore .. Encore.
- Vous aimez en avoir de partout petite catin.
- Oui.. Monsieur j’aime quand vous me doigter de partout.
- Je veux vous voir jouir, en mettre partout, douce fontaine à laquelle j’ai envie de m’abreuver.
- Qu’est ce que vous mouillez. Regardez, j’en ai plein les doigts !
- Vous me rendez folle Monsieur. Vous me rendez si chienne.
Il enfonça a nouveau ses doigts pour me faire couler fortement. Je sentis alors le liquide jaillir de ma chatte.
- Humm.. voilà…
- Tenez ! prenez bien ça…. Petite pute ! allez lâchez vous.
Je jouissais au son de cette musique interne qui me faisait voyager dans les chemins pervers. J’entendis alors à nouveau les doux sons de la musique baroque quand il prit possession de mon cul sans aucun ménagement. Il était assis sur moi à me besogner comme la petite catin que j’étais.
J’adorais cela. Me sentir prise de cette manière avec tant d’intensité. Mon loup était comme un fauve à lâcher les rennes, à conquérir mon cul.
Il écarta alors mes fesses pour entrer tout doucement et ressortir. Je sentais la pression de ses mains sur mon fessiers. IL en profitait pour me claquer les fesses.
Il m’enculait comme j’aimais. IL écartelait mon petit anus. Je le sentais serré, tenir sa queue comme pour le garder en moi.
Ma jouissance m’avait rendue complètement docile et malléable à tout ce qu’il voulait. Il était le musicien j’étais sa partition. C’était lui qui me lisait, me jouait, me faisait jouer, me faisait chanter.
Il jouit en me regardant sur mon anus.
- Merci Monsieur de m’honorer autant.
- Ne bougez pas, rester ainsi que je vous admire , vous ainsi si chiennement installée.
Quand il revint, il me mit un bandeau sur les yeux.
- Ecoutez juste la musique, laissez vous transporter me chuchota il .
Il avait mis du Bach.. La Dolce Fiamma.. la douce Flamme.. tout un symbole.
Je reconnais Philippe Jarrousky. Il savait comment non pas m’emmener au sommet mais vers ce paradis perdu qu’est le notre.
Il s’était accroupi pour me murmurer cela au creux de l’oreille en tenant ma tête. Il avait son visage face au mien, tête à l’envers.
Il déposa un baiser. Il fit glisser un bandeau en satin sur mes yeux pour m’ôter la vue.
- Vous m’inspirez tant de choses m’avoua t il.
- J’ai tellement envie de prendre soin de vous, comme ensuite vous faire subir les pires sévices. Votre regard, votre bouche.. vous tout simplement. Vous méritez tout cela.
Avec soin, il fit la toilette de mon petit anus qu’il avait souillé.
- Voilà ma petite chienne toute propre.
Il mis mon déshabillé autours de ma taille afin qu’il tombe de manière négligé autours de moi.
- Ma chienne dans la soie.
- Ouvrez votre bouche.
Il y glissa quelque chose de rond et métallique. Je reconnu ce que c’était.
- Voilà, trempez le bien. Gardez le bien en bouche.
Puis avec douceur, il me releva en le laissant dans ma bouche.
- A genou… voilà… parfait.
- De la tenue ! écartez moi vos cuisses.
Je corrigeai naturellement ma posture. Je sentis alors qu’il passait des cordes au niveau de mes cuisses.
- Relevez votre taille, sil vous plait.
Je sentais alors son torse contre mon dos. J’aimais ce contact, cette chaleur. Je devinais durant quelques secondes qu'il me respirait.
Il m’encordait alors les cuisses et les jambes ensemble . Sa passion artistique pour le Shibari lui donnait une vision esthétique à faire des tableaux. Ensuite il passait la corde au niveau de ma taille pour me faire comme une culotte en corde. Il serra bien.
- Ecartez bien vos fesses pour me présenter votre anus.
J’agrippais alors mes fesses et j’écartais au mieux mes fesses.
Il prit alors le crochet anal et le mit à l’entrée de mon auréole. Naturelllement, je sentis que je devais alors m’empaler dessus. Je devinais qu’il le regardait disparaître dans mon anus.
Il l’attacha alors à mon collier pour tendre la corde.
- Votre anus est si délicat. On a envie qu’il reste si serré et j’ai tellement envie de le défoncer, de l’agrandir pour qu’il soit si béant. Ma douce chienne.
Je souris en pinçant mes lèvres. J’aimais quand il pouvait faire preuve de douceur et à la fois être aussi cru. Je ne prenais pas cela pour de la vulgarité. Dans ces moments là, pas du tout. Il me respectait. Nous nous étions simplement trouvé.
- Donnez moi votre main je vous prie.
Il était face à moi. Il la saisit. Il l’encordait. Il avait saisi je devinais un petit escabeau. Il montait dessus et fixa alors ma main à un crochet fixé au plafond.
Ma main était tendu au dessus de ma tête, attachée. Il saisit alors les cordes de ma taille. Ils fit partir les bout pour les attacher à ma main.. Je me demandais ce qu’il était en train de faire.
Je ne faisais que ressentir. Ma poitrine se soulevait .
Toujours aucun mot échangé. Soudain il me parcourait avec quelque chose de si doux dans le dos. J’en avais la cher de poule. Au bout de quelques minutes, cette douceur s’était transformée en quelque chose d’humide.
IL dessinait alors sur ma peau au creux de mon dos juste au dessus de mes salières de vénus. Il m’était compliqué de deviner ce qu’il faisait, je me laissais complètement oublier, à vivre ce érotisme si intense. On ne se parlait pas on ressentait. La musique me transportait. La manière dont il m’encordait me berçait. Et là il me dessinait comme un compositeur écrit sa musique sur sa partition.
Il m’abandonna ainsi. Je me sentais complètement à nue. Impuissante. Et pourtant je le sentais il était là.
Soudain, il prit ma main libre. Il la tendait. Nos doigts s’entrecroisaient. Il était devant moi. Je sentais son souffle dans le creux de mon épaule. Il ôta alors mon bandeau.
La pièce était éclairée uniquement à la bougie. Il prit alors sa télécommande de musique et choisi une musique. Je reconnais Brookyn Duo.. la musique de Nothing Else Matter.
J’entendis alors les premières notes du son du piano.. des notes graves, simples. Il prit alors la badine dans sa main…
Il jouait de mon corps sur les sons de la musique quand le violoncelle jouait.. Puis il mis alors la badine dans ma main. Il la plaça.
- J’ai trouvé mon instrument de musique pour jouer ma partition.
Je le regardais alors en pleurant. Comment pouvons nous appelez cela ? un état d’esprit fusionnel ?
Il commença alors à me photographier Il me servit un verre.
- Je veux t’immortaliser. Tu es juste si magnifique.
Il reposa ensuite l’appareil à mes pieds pour se blottir contre moi puis posa alors sa tête sur mes jambes, enveloppé à moité dans mon déshabillé de soie. Abandonné.
8 personnes aiment ça.
Mademoiselle_Lane
Merci pour le lien. C'est un artiste que je suis et où je vais le voir régulièrement en concert. C'est un homme adorable et d'une gentillesse, si accessible.
J'aime 20/05/20 Edité
Quatuor
J'admire ! Pour vos fautes, ce n'est pas grave, d'abord parce qu'on ne résiste pas au violoncelle ensuite parce que vous avez un vocabulaire brillant et surtout un vrai pouvoir d'évocation. Je penserai longtemps et avec tendresse à ce que votre anus a subi.
J'aime 21/05/20