par Comte de Noirceuil
le 13/08/20
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Quand on parle d’exhibition, on imagine souvent le mec un peu pervers la queue à la main qui essaye d’attirer la fille à se montrer afin qu’il arrive à prendre son plaisir. L’image semble vulgaire, perverse et je l’avais aussi jusqu’au jour ou je me suis retrouvé être à la place du mec.
C’était un soir où j’étais seul face à mon écran toujours en train de fouiner sur internet pour je ne sais quelle chose quand mon MSN Messenger (oui à l’époque) se mit à sonner.
C’était « C ». Son homme était absent pour le boulot depuis deux jours. Cela faisait maintenant 3 ans que nous discutions ensemble. Pas en secret, son homme discutait aussi avec moi. C’était un couple libertin et très ouvert, mais nous étions toujours restées correctes comme des amis.
« C » était tout à fait le genre de femme qui me faisait et me fait encore fantasmer. Grande, fine Eurasienne avec donc les cheveux longs, fins et noirs. Elle avait (et à encore !) un corps parfait.
J’aimais bien quand nous prenions le temps de discuter de tout, de rien, de sexe aussi, car elle était très libérée. On plaisantait dessus et elle me racontait ses expériences libertines. C’était coquin sans jamais aller au-delà.
Je décrochais l’appel vidéo comme toujours. C’était toujours plaisant de la voir. Il devait être 22h30 à peu près. Nous parlions toujours tard. Ce soir-là, j’étais seul moi aussi sans pour autant me rappeler la raison. Elle me gratifie d’un salut avec un grand sourire comme à son habitude. Nous n’avions rien de particulier à faire à ce moment-là et nous profitions donc longuement de la soirée pour discuter et plaisanter. Elle était en chemisier blanc. Je ne voyais que le haut forcément dans ce type de visio.
Je ne sais pas pourquoi à ce moment-là elle me dit être excitée. Je l’ai pris sous le ton de l’humour, mais j’ai surenchéri en lui disant que si elle voulait se faire plaisir, ça ne me dérangeait pas. Les conversations très ouvertes sur le sexe dont nous parlions l’avaient sans doute amené à cela. J’étais moi-même un peu rêveur, il était tard, sans doute la fatigue jouait aussi.
– En fait, je ne t’ai pas attendu me réponds elle.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/initiation-a-lexhibition/
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Thèmes:
exhibition, voyeurisme, masturbations
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Suggestion
Par : SACHERO
Setting up all those hidden cameras when you were contracted to upgrade the ladies lockers, showers and sauna seemed like such a good idea at the time. And for the last six months, it had been a dream come true for a voyeur like you—a seeming endless supply of extremely fit, athletic women for you to fantasize about submitting to. But now you had been caught!
As the police were about to be called, you begged for any alternative—and now here you are—about to be punished and humiliated in front of all the women whose privacy you had violated. Unfortunately, you didn’t quite grasp the severity or duration of your comeuppance.
Several minutes later as you are crying and begging for an end to your anguish, you find out the true nature of these ladies retribution. Not only will your suffering continue into the wee hours of the morning, by any lady present; the ladies will also be filming all of your humiliation. You will report back for weekly punishment for as long as long as they see fit—or the films will be posted on the internet. And now it seemed like a good idea to be very afraid…
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Par : BDSM
1- Nous avons monté le site BDSM.FR par hasard, parce que nous avons découvert un jour que le nom de domaine était libre
2- Certains d'entre nous sommes à l'initiative de www.charnelleattitude.com
3- Les mêmes sont tout en rondeurs ou amateurs de femme ronde
4- La plupart des membres de l'équipe ont une expérience du BDSM plus ou moins poussée
5- Dans l'équipe, il y a une personne ayant connaissance de la soumission
6- Dans l'équipe, il y un switch
7- Dans l'équipe, il y a une domina
8- Dans l'équipe, il y a un couple dom
9- L'un de nous a un doctorat de sciences
10- Un ou deux vont tous les ans aux Festival des Vieilles Charrues à Carhaix (qui promet une superbe édition 2014)
11- Nous manquons de temps pour faire tout ce que nous souhaiterions pour le site
12- La plus vieille rencontre en ligne "sexuelle" faite par un membre de l'équipe date de 1990 (Minitel)
13- L'un de nous est électricien
14- Qu'on nous accuse de lire les MP dès gens est la pire insulte qu'on puisse nous faire ...
15- ... car quitte à être voyeur, on préfère l'être en vrai
16- On a voulu faire un site gratuit par idéologie et militantisme
17- ... et c'était encore plus vrai pour CharnelleAttitude
18- Notre site BDSM payant préféré est SensationSM
19- On met de la publicité sur le site pour payer les deux serveurs qui font tourner le site
20- Quand le serveur plante, on est plusieurs a recevoir des SMS pour réparer, ca nous reveille (ou pas) parfois à 3h du matin
21- On a envie de foutre des baffes à ceux qui agissent ou réagissent comme des clients/consommateurs
22- On vire parfois des membres qu'on appréciait mais qui enfreignent les règles, dura lex, sed lex
23- On supporte au quotidien des membres qui nous insupportent, on aimerait tant qu'ils transgressent les règles, mais dura lex bis repetitae
24- Gérer une communauté, c'est comme travailler dans un restaurant toute la journée, ça donne pas envie de faire la bouffe
25- ... et oui, la modération entame plus ou moins la libido
26- Comme ce n'est pas une activité alimentaire, on veut pas trop s'emmerder non plus ...
27- ... on fait les choses par instinct, par conviction, pas par intérêt
28- on ne doit rien à personne.
29- On ne sait pas à quel prix on accepterait de vendre le site si on nous le demandait
30- ... mais comme tout bébé, le prix qu'on demanderait serait sans doute suffisamment déraisonnable pour qu'en fait ca ne se fasse pas
31- Nous sommes propriétaires d'un autre joli nom de domaine orienté BDSM qui mériterait un site ... mais pas le temps !
32- Il y a deux modérateurs principaux
33- D'autres font de la technique, du brainstorming, du cheerleading ...
34- Il nous arrive de tomber sous le charme d'un(e) membre, et que cela nourisse le fantasme
35- ... mais nous n'avons jamais fait de rencontre sur notre propre site (voir 24-)
36- Certains membres de l'équipe sont bisexuel(le)s
37- Nos outrances "kinky" sont malgré tout surtout derrière nous
38- Deux d'entre nous voulait devenir journalistes mais ont fait autre chose
39- Nous sommes très attachés à la liberté d'expression, y compris pour raconter des énormités. Chacun prend ses risques...
40- ... mais à condition que cela ne blesse pas son prochain de manière directe et personnelle
41- La modération a déjà été faite sur un portable à partir de 3 continents différents
42- Quand on nous menace de procès, on rigole. On sait ce qu'on fait. Même pas peur.
43- 0% des lettres recommandées et des assignations en justice qu'on nous a promis n'est parvenue. Grandes gueules, pipeau !
44- Le jour où on en aura marre, on est du genre à tout envoyé chier plutôt que de vendre le site
45- Un membre de l'équipe a une maladie chronique incurable (Sclérose en plaques) mais ça va quand même pour le moment
46- Certains membres de la communauté nous touchent dans leurs écrits
47- Une plume élégante nous rend parfois d'une indulgence excessive ("O" tempora, "O" mores)
48- Pour avoir une plus belle communauté, il faudrait que les membres en parlent à leurs amis pour qu'ils nous rejoignent, mais on ne veut pas saouler les gens avec ca, donc on laisse les choses se faire naturellement (sauf là )
49- On aime Cavanna : "La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne."
50- ... et Maupassant, qui terminait son roman "Une Vie" par la phrase suivante : "La vie, voyez-vous, ca n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croît ..."
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Par : pourvous
1 : Adéléa, tu me demande 31 points mais désole c'est beaucoup, j'en ai fait 24
2 : Pour ceux qui liront ce post, merci de ne pas vous moquer, il parait que cela me ferait du bien d'écrire...
3 : je suis l'ainé d'une fraterie de 3 enfants. Je me suis toujours un peu senti responsable de ma sœur et mon frère
4 : dans ma jeunesse, je passais mes grandes vacances à la campagne chez mes grands-parents. Que de beaux souvenirs balade dans les champs à l'air pur, entre dans les poulaillers, les lapins dans l'écurie, les chevaux et les vaches dans les champs.
Quelle chance j'ai comparé aux jeunes qui ne voient que le salon de l'agriculture...
je dis toujours il ne faut jamais oublier d'où l'on vient.
5 : Mes études se sont bien passés, peu de filles dans les classes à partir de la seconde.
6 : J'ai eu la chance de connaitre un arrière grand-père. De mon jeune âge il me paraissait vieux mais il était très gentil.
7 : quelques points un peu tristes :
8 : entre 15 et 25 ans, j'ai perdu une grand-mère un grand-père, un oncle un petit cousin...
9 : j'avais un vélo rouge qui s'est cassé. Mon ongle l'a ressoudé. Après il était rouge et gris.
10 : a 18 ans, j'ai aimé une fille, mais trop bête, je n'ai rien fait. Après des recherches, je sais qu'elle est mariée (avec un con du lycée) et a un enfant. En même temps si je la voyait aujourd’hui, je ne sais pas ce que je lui dirait....
11 : je ne m'aime pas physiquement, pourtant on me trouve normal et pas moche....
12 : j'ai perdu mon deuxième grand-père et il y a 5 ans, ma grand-mère, c'était pour moi la femme de ma vie, celle qui m'aime.j'y pense tous les jours, elle me manque terriblement...
13 : je suis douillet, je n'aime pas avoir mal.
14 allez des points positifs maintenant :
15 : j'espère un jour trouver ma moitié qui pansera mon petit cœur et qui aimerais porter du latex (un petit peché mignon).
16 : j'aimerais avoir un ou une mini-moi.
17 : j’aime les voyages .J'ai voyagé en europe mais pas en avion, juste en voiture. Ceux qui veulent savoir me demanderont. Savez-vous que la distance Paris-Lisbonne est plus grande que Paris-Budapest ?
18 : j'aime bien les blagues, souvent je dis des conneries en étant sérieux au travail, du coup, on me croit plus tellement si je dis une vérité
19 : Je vais au cinéma, on m'a offert un abonnement
20 : Dans la musique, les goute sont vaste, je peux écouter dépêche mode, Jimmy Somerville, U2, omd, kebu, little boots, kraftwerk mais mon préfér é reste Jean-Michel Jarre.
21 : la chanson « marionnettiste » de Pierre Bachelet fait pleurer
22 : Si j'assiste a un spectacle ou un concert, je suis fasciné par les lasers. Mon rêve serais d'assister à un concert avec juste des lasers pour l'éclairage... (j’aime les concert de Jean-Michel Jarre)
23 : j’aime beaucoup de film comme, top gun, la traversee de paris, ghost ...
24 : Je détestes les personnes qui mentent ou qui prennent les autres de haut ou pour des imbéciles...
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
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1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
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3 le publier dans la section article
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Par : BDSM
... ou quand il convient de se méfier des partenaires à arrières pensées pécunières ...
Il est suisse, banquier, a de gros moyens, époux et papa, mais son couple ne lui apporte pas tout ce qu'il esperait. Ce qui lui manque, il va le chercher ailleurs, auprès de professionnels : des moments BDSM. Il a confié sa "destiné" à un couple de dominateurs qui ont vite vu l'opportunité qu'il pouvait y avoir a faire chanter le richissime homme d'affaire.
Pourtant doté d'une petite renommée à l'échelle européenne, le couple BDSM comparaissait mercredi 3 octobre 2012 par devant les instances judiciaires suisses, sous l'accusation de tentative d'extortion de fonds, en l'espère 250000 francs suisses (soit environ 200 000 euros) à notre malheur banquier. Les premières menaces avait été porter début 2012 : ils menacaient d'envoyer des photos de séances BDSM aux proches du "malheureux". Ils avaient également créer un compte Facebook au nom de leur victime afin de poster une photo des organes genitaux de celui ci à son employeur en guise d'avertissement, mais c'était l'homme du couple qui voulaint assumer la pleine responsabilité des méfaits.
Pour autant, les élements de l'enquête semblait démontrer que la dominatrice, des plus manipulatrices (même si dans un cadre sain, sur et consensuel, c'est une qualité !) étaient impliqué dans l'arnaque.
Les avocats des accusés ont choisi d'opter pour ce système de défense. Le conjoint de la dominatrice était jalou du client banquier tant qu'en a ses revenus qu'à l'égard des relations BDSM qu'il entretenait avec sa femme. L'opportunité de récupérer des espèces sonnantes et trébuchantes auraient pourtant scéllé un pacte d'escroquerie.
12 mois de prison avec sursis ont été réclamés par le procureur, le verdict sera rendu ce vendredi. Réquisition qui peut paraître clémente mais qui se justifie par la grande tolérance des lois suisses à l'égard de la sexualité tarifée.
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Par : Thutale
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique
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Enfances
(Récit pathétique)
Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite.
J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer.
Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer.
Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé.
Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux.
Invariablement, l’autre est hostile.
Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement...
...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit.
Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ?
Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise…
Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif.
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Par : Lily
25 choses sur moi pour Daybe...
1. Je suis gauchère.
2. Je suis une vraie blonde.
3. J'ai deux nationalités.
4. J'ai eu la rougeole deux fois.
5. Je porte des lunettes depuis l'âge de 16 ans. Pfff...
6. Je n'aime pas mes fesses. Bon, en même temps, je ne les ai pas sous le nez en permanence. Sauf, peut-être, quand j'ai la tête qui tourne ^^
7. Je suis une survivante. Accident, coma. J'ai eu une chance inouïe, avec une perte partielle de l'audition comme unique séquelle.
8. Même avant l'accident, j'ai toujours été plutôt une heureuse nature.
9. Je fais le métier que j'ai choisi mais, si c'était à refaire, je serais ébéniste.
10. Après avoir vu Alien, j'ai été amoureuse de Sigourney Weaver pendant des années.
11. Je pourrais écouter les Concertos Brandebourgeois en boucle.
12. J'ai 10 versions du Canon de Pachelbel. J'adore.
13. J'aime le disco et la pop, y compris électronique et alternative, et je ne supporte pas le hard rock. J'assume pleinement.
14. J'adore bricoler et je prends grand soin de mes outils.
15. Je cuisine très très sommairement, mais je déteste les plats cuisinés industriels.
16. Je n'aime pas les alcools forts, mais j'ai un faible pour le vin (surtout blanc) et le champagne. Peu, mais de qualité.
17. J'aurais aimé connaître Léonard de Vinci, Marie Curie et Nikola Tesla.
18. J'invente tout le temps des mots, ça m'amuse beaucoup.
19. Je suis accro à la course à pied et je cours au réveil. Au total, je fais 40 à 60 km par semaine, toute l'année et par tous les temps.
20. Je ne peux courir qu'en musique et je commence toujours par Sonnentanz (Klangkarussell). Ce morceau est dans toutes mes playlists.
21. Au repos, mon cœur bat à 40 bpm. Oui docteur, je vais bien.
22. En mode vanille et sex friends, c'est moi qui porte le gode-ceinture.
23. J'ai découvert le bdsm à 19 ans. Sauf que je ne savais pas que c'était du bdsm. Elle non plus, au demeurant.
24. Je suis brat (quel scoop), mais je ne défie pas ma Domina : le rapport de force, c'est pas mon truc.
25. Je ne suis pas masochiste, je n'aime pas la douleur pour la douleur. Mais j'aime énormément l'offrir à ma Domina si je vois le kif dans ses yeux.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
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2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Lily" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
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Par : Abyme
Disciple : Dis-moi la Vérité.
Maître : La vérité ? Quelle vérité ?
– La vérité sur les mystères, ceux qui nous interrogent, qui nous divisent, ceux qui nous font croire, espérer, ...
– ... et vivre ?
– Peut-être. Mais je sais que cette quête n'aura pas de fin, et que je risque de n'avoir jamais la réponse.
– Alors pourquoi me la demandes-tu ?
– Parce que je crois que toi tu la connais.
– Tu crois ? Tiens tiens...
– Je veux dire, je sais que tu en as une.
– Tu passes bien vite de "croire" à "savoir", donc de la foi à la connaissance.
– Trêve de rhétorique et d'atermoiements, donne-moi la réponse, la Vérité.
– Laquelle ? La mienne ?
– Celle que tu penses universelle.
– Crois-tu qu'il y ait une vérité unique ? Qui réponde à tout de façon universelle ?
– Oui, et j'ai besoin de cette réponse.
– Très bien, alors la voici : la réponse est dans ce point.
– Comment ? Quel point ?
– Ce point-ci, qui suit ce mot.
– Je ne comprends pas, c'est... ce n'est pas la réponse.
– Bien sûr que si. Tu veux une réponse précise, et je te l'ai donnée, très précise.
– Mais ta réponse est un nouveau mystère, un nouveau questionnement.
– Il en est toujours ainsi.
– Aide-moi au moins à comprendre, que dois-je voir dans le point qui suivait tout à l'heure le mot "mot" ?
– Non, la réponse est à présent ce point-ci.
– Je vois. Tu te moques de moi.
–Absolument pas, je suis très sérieux.
– Alors explique-moi !
– Le fait que ce ne soit plus le même point est pourtant clair.
– Pas pour moi.
–Le point représente l'instant, il laisse une trace dans l'espace, ici.
Mais le temps se déplace sans cesse (à moins que ce ne soit notre propre perception), et chaque maintenant peut-être marqué par un point.
Par exemple ici.
– Ici ?
– ...et maintenant. Et là. Et ici encore.
– Stop ! Et ce serait ça la réponse ? Ici et maintenant ? Ça ne répond pas aux grands mystères de l'univers, de la vie, de la vérité.
– Je t'assure que si. Ce point marquant le ici et maintenant peut, dans son individuelle particularité, se répéter à l'infini tout en n'étant jamais le même. En lui réside donc la vérité de l'univers tout entier.
– Je ne comprends toujours pas en quoi cela répond aux grandes questions, aux grands mystères.
– Peut-être parce que tu as trop besoin de tout définir et organiser, alors que tu pourrais comprendre sans la raison.
– C'est pourtant avec la raison que nous raisonnons en ce moment-même !
– En effet, et c'est bien dommage, mais je réponds à tes questions en m'efforçant de te faire prendre conscience de l'action, et non de l'outil.
– Les mots seraient donc l'outil ?
– Les mots sont les outils de la raison, et la raison est ton outil pour l'action. Mais l'action peut s'en passer, l'outil devient alors soi-même, et son harmonie avec tout le reste. Tu peux y arriver, mais il faut d'abord que tu te libères.
– Me libérer de quoi ?
– De ta façon de fonctionner, basée uniquement sur la raison, justement. Les enfants n'ont pas cette entrave. Il te faut désapprendre.
– Et redevenir comme un enfant ?
– Avec le bagage de ton expérience en plus, et de ton observation du monde.
– Mais les enfants ne comprendraient pas l'histoire du "point", par exemple, je me trompe ?
– Mais ils n'ont pas besoin de le comprendre ! ILS Y SONT DÉJÀ !
– Hum ! Et donc, à moi qui ai besoin de tout définir et organiser, et avec l'outil de la raison qui est le mien, comment définirais-tu ces fameuses "grandes questions" ?
– Soit. Toutes les questions sur l'inconnu peuvent trouver – ou trouveront un jour – des réponses, mais celles sur l'inconnaissable se réduisent à une trinité.
– Une trinité ? Comme dans le christianisme ? Le Père, le Fils et le Saint-Esprit ?
– Oui, et pas seulement d'ailleurs, en hindouisme on a la Trimurti : Brahma le créateur, Vishnou le protecteur et Shiva le destructeur.
– Les grandes questions résideraient dans la religion ?
– Je n'ai pas dit cela. Les religions ne sont que des palliatifs à leurs réponses qui sont inconnaissables. J'ai seulement dit que ces questions se réduisent à une trinité.
– Donc trois questions ? C'est ça ?
– En effet. Un ensemble de questions essentiellement incommensurables, réduites à l'état de trois paradigmes : la Création, l'Infini/Éternel, et le Chaos.
– L'infini et l'éternel sont associés en un concept ?
– Oui, l'espace et le temps ont la même portée et posent le même ordre de questionnements.
– Mais il y en a bien plus que trois, me semble-t-il ! Par exemple : y a-t-il un autre monde abritant la vie ?
– C'est une question relevant de l'inconnu, pas de l'inconnaissable.
– Hum, l'inconnaissable...
– Ce qui est définitivement hors de la portée de notre compréhension.
– Et la vie après la mort ? Hein ? Ça c'est de l'inconnaissable !
– ... qui entre dans le Chaos.
– Je vois. Et en quoi la religion est un palliatif ? Pourquoi pas la science ?
– La science s'intéresse à la recherche de l'inconnu et à l'application du connu ; pour l'inconnaissable, elle ne peut qu'extrapoler, mais c'est un horizon de référence qui lui permet tout de même d'avancer.
– La religion fait de même.
– La religion ramène l'inconnaissable au niveau de l'inconnu, en redéfinissant le connu... Elle crée tout un ensemble de mythes et de dogmes censés justifier l'anthropocentrisme de l'homme.
– L'anthropocentrisme ?
– Oui, le fait que l'homme serait le centre de l'univers, ou en tout cas sa finalité, en quelque sorte.
– Et si c'était le cas ?
– Ha... c'est une affaire de foi. Mais si c'est le cas, alors nous sommes tous des dieux, et si nous le sommes tous, aucun n'est au centre.
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Thutale, voici quelques petits secrets que je dévoile dans le cadre de ce portrait Québecois...
1- Ayant eu un père autoritaire, qui me donnait parfois des coups de martinet pour se faire comprendre, je fus une fois fascinée et intriguée par une marque légèrement boursouflée qui zébrait ma cuisse...
2- J’ai toujours aimé les scènes de flagellations dans les péplums ou westerns, je m’imaginais être à la place des femmes attachées recevant le fouet qui laissait des marques sanglantes…
3- Après une période d’adolescence rebelle et un premier mariage trop "calme", l’envie de sensations fortes est venue juste après mon divorce, il y a une bonne dizaine d’années. Cette liberté acquise, je découvrais alors des sites comme tiscali, wanadoo, ou msn qui proposaient des tchats divers (notamment des salles bdsm)et j’ai vite trouvé ça très prenant et enrichissant mettant des mots sur mes ressentis inconscients.
4- Puis, après quelques semaines de discussion sur un tchat, j'étais très excitée de devoir suivre des ordres pour rencontrer ce dominant que je trouvais charmant. Je me suis retrouvée les mains attachées en croix, les yeux bandés et des pinces aux seins...j'ai beaucoup aimé et j'en ai voulu plus...
5- Certaines de mes rencontres furent instructives… d’autres plus excessives m’ont permis de mieux définir mes limites.
6- Dans mon périple, une invitation par un dominant assez extrême m’a fait passé une soirée riche en sensations mais a laissé des traces trop importantes (les 2 fesses mauves)… une remise en question avec une pause s’est ensuite imposée.
7- C’est un peu plus tard que j’ai rencontré mon Maitre (un coup de foudre immédiat) grâce aux mêmes sites et qui a su me ramener en douceur vers des plaisirs BDSM communs en reprenant tout depuis le début.
8- En temps normal j’ai un caractère très fort à tendance dominante (merci maman..) ce qui fait que je ne me place pas d’entrée en "soumise" mais j’ai en moi un besoin d’être contrôlée et guidée pour équilibrer ma vie.
9- Je ressens une envie permanente de procurer du plaisir à l’être aimé, il est donc important pour moi que mon Maitre soit aussi mon mari. Je ne saurais mener une double vie (vanille et bdsm).
10- L’idée de dominer physiquement ne m’a jamais attiré. J’aurais trop l’impression de faire "mal" et je suis plutôt passive. Maintenant, s’il m'est demandé de le faire ce serait uniquement sous Ses ordres et Son contrôle, et ce qui me plairait le plus serait d’exciter tout en frustrant…
11- J’aime "offrir" ma soumission et mon plaisir passe par la fierté que je lis dans Son regard ou un sourire de ma bonne tenue en soirée.
12- J’aime les marques laissées par le fouet après une intense séance, mais je marque peu
13- J’adore sentir la cire chaude couler et figer ma peau jusqu’à sa délivrance au couteau…
14- Naturellement, je suis plus attirée par les pratiques SM que D/s, mais par amour et pour un certain équilibre dans notre relation, petit à petit j’apprends à bien me tenir en situation D/s.
15- J’aime beaucoup relever les défis, étant très joueuse et curieuse, mais il faut que cela respecte l’approbation de mon Maître qui connaît mes limites physiques et morales. Il arrive parfois que je souhaite aller plus loin que ce que je ne peux supporter.
16- L’absence de pratiques pendant une dizaine d’années pour raisons familiales, nous a permis de reprendre petit à petit nos jeux oubliés mais terriblement excitants, renforçant notre relation de couple.
17- Je suis plus endurante sous le fouet d’autres dominant(e)s, mais j’ai besoin d’être constamment sous Son regard et de sentir Sa présence.
18- C’est au pied du mur que l’on s’élève le mieux et c’est grâce aux épreuves de la vie que l’on se sent vivant et que l’expérience se développe.
19- Les cordes m’effraient et m’attirent en même temps. J’admire les suspensions, toutefois réaliste, je sais que je ne pourrais être aussi gracieuse que les personnes que je vois suspendues.
20- Pour vivre bien, il faut souvent accepter de se remettre en question et redéfinir nos priorités.
21- Je ne suis pas attirée par les femmes et pourtant j’ai vécu quelques expériences qui m’ont laissé de très bons souvenirs.
22- J’adore mes fesses et mes seins, et j’ai réussi à vaincre pas mal de complexes en prenant plaisir dans l’exhibition.
23- On ne peut pas changer le passé, mais on peut en faire une force pour s’améliorer dans l’avenir.
24- D’un naturel optimiste et toujours reconnaissante (quoiqu’on en dise), je suis parfois naïve et peut paraître manipulatrice alors que je ne cherche qu’à être appréciée de mon entourage (défaut des empathiques).
25- J’ai atteint ma limite au partage. Croyant faire plaisir (encore et toujours), je me suis brulé les ailes et je m’en mords encore les doigts…
26- Ce que j’ai raté dans ma vie, je le referais encore mais en mieux réfléchi.
27- Ce que j’aime dans le BDSM c’est qu’il y a tant de pratiques à découvrir de la plus soft à la plus hard, que l’on ne peut que s’épanouir et laisser exprimer nos sensations les plus intenses... Rencontrer, partager, discuter, apprendre et jouer avec d’autres adeptes sont aussi des moments exaltants… Cependant, on garde à l’esprit que tout doit être fait avec respect, sécurité, confiance et dialogue…
28- Ne jamais dire jamais, je découvre jour après jour que certaines choses qui me rebutaient commencent à me faire de l’effet.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife et se développe sur BDSM.fr.
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2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour saphyr »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Par : Lisa
1 - Je m'y colle que pour toi.
2- Je trouve Bruce Willis des années 80-90, super sex avec son Marcel blanc dans Piège de Cristal, une journée en enfer....
3 - J'adore Charlie Sheen et notamment dans Platoon, bref, j'adore les bad boy.
4 - J'aime mater des films d'horreur ou bien gore, seule et tard la nuit. Même pas peur !!!
5 - Je suis au lit avec mon doudou (cf. Ma première peluche refaite).
6 - J'ai fêter mes 30 ans à NYC, et mon fantasme est de coucher avec un américain. Je sais pas pourquoi, sûrement le côté bad boy....
7 - J'ai presque tous les péchés sauf l'avarice, l'orgueil, l'envie, la paresse.... Bon ben en fait non, juste le pêché d'être génial et formidable.
8 - Ma plus grande douleur avoir perdu un bébé, 48 h seulement après avoir appris que j'étais enceinte.
9 - J'ai déjà fait une opération de chirurgie esthétique.....remboursée par la sécu.
10 - J'ai adoré donner des lignes à des dominants pour qu'ils les fassent juste pour moi.
11 - J'adore les animaux, ils me déçoivent jamais et me rendent au centuple mon amour
12 - J'ai mal au doigt
13 - J'aime pas l'humour "cour de recrée"
14 - Je suis fan d'un chanteur qui fait pas l'unanimité.
15 - Je donne souvent un petit truc à un SDF que je croise avant d'aller au boulot. Il a 2 chiens, dont une âgée et il fait toujours attention à elle. Il me touche, il est très gentil.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour JolieRose»,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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1 Mon pseudo vient d’une traduction de traduction moyenne du nom d’un personnage de 2001, l’odyssée de l’espace qui n’est nommé que dans le générique de fin.
2 Je me présente comme switch, mais c’est surtout parce que bdsm.fr ne prévoit pas de catégorie “adepte de la soumination généralisée aimant à provoquer les innocentes oies blanches”.
3 On m’a souvent dit que j’étais un peu geek, mais je ne l’ai accepté que lorsque j’ai essayé de hacker la machine à café de mon école pour gagner des pièces de 5 centimes.
4 Je suis un littéraire refoulé, cf. point 21. Si je n’étais informaticien, je voudrais être historien.
5 J’aime chanter en breton parce que c’est la seule langue dans laquelle des chansons paillardes ont été en tête des ventes de disques en France, c’était en 1972 (“avec une fille j’ai couché / la petite vérole j’ai attrapé / à l’hopital on m’a emmené / ma queue on a coupé / par la fenêtre on l’a jetée / un chien l’a mangée / il est mort”).
6 J’aime les zeugmas, cf. point 17.
7 Ma langue préférée est l’allemand, au désespoir de la plupart de mes amis.
8 J’ai déjà utilisé un dictionnaire de rimes en allemand. Ce fut ardu, cf. point 7.
9 Quand j’étais petit j’étais fan des Nouvelles aventures de Robin des Bois, mais j’ai longtemps oublié que l’héroïne portait une tunique aussi rouge que courte et se battait à coups de fouet (et qu’il y a un méchant qui pratique le lancer de mouton...).
10 Je prie tous les jours pour que le CIO fasse passer la soumination comme discipline olympique, cf. point 2.
11 La première scène érotique qui m’ait marqué dans un film est la scène de Sacré Graal où l’on demande à Galaad le Pur de fesser tout un couvent de jouvencelles âgées entre 16 ans et 19 ans et demi parce qu’elles n’ont pas été sages.
12 Lorsqu’on m’a demandé de présenter une oeuvre littéraire anglaise célèbre à l’école, j’ai choisi La Geste de Beren et Lúthien.
13 J’aime chanter en langue régionale, cf. point 5.
14 Quand on me dit que je suis geek parce que je fais de l’informatique, je demande le rapport avec le lambda calcul en logique linéaire, cf. point 3.
15 Lorsque je suis en société, j’invente plein de raisons pour prétendre que Nantes ne se trouve pas en Bretagne dans le secret espoir de me faire frapper, cf. point 2.
16 Je n’ai jamais autant pleuré que devant les Parapluies de Cherbourg.
17 J’ai chanté des chants religieux dans une église. En public et en latin.
18 J’aime les jeux de plateau traditionnels méconnus. Surtout s’ils sont népalais ou tibétains.
19 Comme mes amis actuels savent que je suis un pervers, ils m’ont offert pour noël une encyclopédie illustrée montrant des centaines de façons de souffrir de la main d’une ceinture noire d’arts martiaux.
20 Je regarde quasiment autant de nanars que de bons films, cf. point 9. Mon nanar préféré étant Star Crash (“Oh mon Dieu ! Un neutron interstellaire !”).
21 J’aime les langues qui ont une grammaire constituée principalement d’exceptions ; je traine sur la rubrique Questions de langue de l’Académie Française.
22 Mon film préféré est 2001, l’odyssée de l’espace, cf. point 1.
23 Pour une présentation en anglais dans le supérieur, j’ai réussi à me faire féliciter en ayant expliqué d’entrée que mes transparents étaient des copiés-collés de Wikipédia (et j’ai eu une bonne note).
24 Je rêve de pouvoir déclarer un jour “Je vais dormir tranquille, car je sais qu’une domina sadique et perverse me voulant du mal veille sur moi”.
25 Pour les gens que je connais du collège et du lycée, j’ai la réputation d’être l’incarnation de l’innocence et de la pureté, cf. point 17.
26 La première fois que j’ai vu Lolita (la version de Stanley Kubrick), je n’ai remarqué aucun sous-entendu sexuel, cf. point 25.
27 Malgré mes racines, cf. point 5 et point 15, j’ai grandi à Annecy et son lac me manque.
28 J’aime obliger mes lecteurs à se balader en avant et en arrière pour suivre tous les cf. .
29 Une collègue argentine m'a un jour demandé de lui apprendre à prononcer convenablement le français. Je lui ai fait chanter "Ta Katie t'a quitté" de Boby Lapointe. (imaginez : "tout à coté des catins décaties taquinaient un cocker coquin" chanté par une non-francophone ).
Je lui ai aussi fait écouter "Pelot d'Hennebont" (chanté par Tri Yann entre autres) pour lui apprendre la grammaire française ("Que je sommes déjà caporal / Et serons bientôt général / A la bataille je combattions / Les ennemis de la nation / Et tous ceux qui se présentiont / A grand coup d'sabre les émondions")
30 Je ne fais rien comme tout le monde. Par exemple je joue un peu aux échecs, mais je pratique pas mal l'analyse rétrograde ("dans cette position, les règles autorisent-elles à roquer ?" )
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