Mademoiselle_Lane
par le 01/02/21
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Ambiance musicale : KOVACS, my love
Le Froid me paralysait. J’aimais tant le froid sec mais quand je suis bien au chaud.
J’avais pris mon après midi. Ce temps où l’on se fait belle pour son mâle.. Ce soir il m’attendait avant le couvre feu. Cela présageait une douce soirée en perspective, pleine de détente, de surprise.
Alors que j’étais dans le bain, il m’envoyait un message..
« Nue sous ton manteau et ton joli petit anus serti d’un beau bijo u »
J’avais qu’une envie lui dire qu’il est en train de rêver avec ce temps…
Mais au fond de moi, je savais qu’il ne faisait jamais rien au hasard, que j’en étais capable. Je me disais toujours que certaines situations provoquent une adrénaline pour ensuite laisser place au plaisir. Un peu comme une bonne séance de sport où l’on se dépasse pour ensuite être sur son nuage. C’est ce que je ressens quand je suis avec lui.
Ainsi, il me voulait nue.. sous mon manteau.. soit..
Comme une adolescente, je prenais soin de me faire belle pour le satisfaire et me satisfaire au passage… Un doux gommage pour la peau douce, une huile sentant les îles et pour parfaire ce que je porterais.. quelques paillettes pour faire briller mon corps.
Puis j’ouvris dans ma chambre mon armoire chinoise où se cachait mes petits jouets et autres fantaisies. Je pris alors ce plug en cristal ni trop gros, ni trop petit.. Je relevais alors ma jambe sur mon lit. Puis avec douceur, j’enfonçais ce petit bijou dans mon petit cul. Quand je le sentis céder et le sentir disparaitre en moi, une excitation forte m’envahissait. Je commençais à mouiller.
Presque l’heure de partir, je trainais en peignoir, chaudement emmitouflée. Je saisis alors mon manteau violet en laine. Un dernier regard dans le miroir.. hum je me trouvais des plus jolies.
Je descendais les escaliers qui menaient à ma cave pour chausser mes plus beau escarpins d’un rouge vernis de Nina Ricci que j’affectionne particulièrement. Heureusement que chez lui, je ne marche jamais beaucoup.
Je mettais le chauffage au maximum dans la voiture. Mon coupé avait l’avantage d’être au garage et rapidement agréable niveau température.
Je me garais devant chez lui. Juste quelques mètres à faire pour accéder aux portes du paradis..
Je toquais..
Il me laissa quelques minutes dans le froid. Je le maudissais.
Je commençais à avoir la chair de poule. Je trépignais pour me réchauffer, mes mains commençaient à rougir.
Heureusement que la Chapka blanche sur ma tête m’éviter encore d’avoir trop froid.
Mon téléphone vibra, un nouveau texto
«Entre , je t’interdis de parler. Tu te présenteras face à moi. Tu enlèveras ton manteau, puis tu présenteras ton cul comme il se doit.»
J’ouvris alors la porte. La lumière était tamisée, il nous avait préparé une ambiance très relaxante. Des bougies, allumées de partout, donnaient cette ambiance d’un autre temps. Du jazz..
IL était assis sur son canapé, un verre de Rhum à la main.
Je m’avançais pour me mettre face à lui. Il ne me quittait pas des yeux, un regard intransigeant un sourire dévastateur qui laissait deviner le bonheur de me voir ainsi.
Fièrement je me mis face à lui, tête haute. Je le regardais droit dans les yeux. Je soutenais son regard. J’étais si fière.. J’avais écartée doucement mes jambes . Je défis ma ceinture. Puis, un à un avec une certaine longueur j’enlevais mon manteau.
IL m’observait.. Son regard aurait fait fondre n’importe quelle glace. Mon désir était brulant.
Je posais alors le manteau sur le fauteuil art déco bleu marine qui se trouvait juste à coté. J’étais nue face à lui portant uniquement mes talons, tête droite je baissais naturellement le regard.
Il ne disait toujours rien. Le silence était d’or.
Quand soudain, il me dit.
« A genou, et viens te présenter à moi »
Je m’exécutais. Je descendais sur mes genoux, tête baissée pour lui offrir ma soumission. Le plus beau cadeau que je pouvais lui faire car cette confiance entre lui et moi était d’une telle intensité et d’une telle force que je me sentais libre.
Je mis mes mains au sol pour m’avancer à lui à quatre pattes, une démarche féline, prenant mon temps. Arrivée devant lui j’étais agenouillée, les jambes offertes, ouvertes. Les mains posées sur mes cuisses paumes vers le haut. En attente.
Il releva de sa main ma tête. Il plongea ses yeux dans les miens. Il me rendait alors timide comme une gamine. Je détournais alors le regard en regardant à nouveau en bas. Il caressa mes lèvres puis s’en empara comme pour marquer son territoire et me montrer que je lui appartenais.
Puis, je devais maintenant me présenter à lui. Je me retournais. Je levais alors mon postérieur, je mis ma tête au sol, dans une position des plus provocantes.
Je sentis alors ses mains caresser mon fessier. Il inspectait ce qui était à lui. Ses mains étaient chaudes, douces mais aussi inquisitrices.
« Quel postérieur ».
- Mets toi à quatre pattes, dresse bien ta tête, cambre toi.
Je lui obéissais, sans aucune envie de résister. Je sentis alors le froid de son verre au niveau de mes lombaires.
- Tu es la plus belle table de salon qui soit.. en plus elle est des plus artistique et unique.
Il écarta alors mes fesses. Je restais concentrer sur le verre, pour ne pas qu’il tombe. IL joua avec le plug.. à appuyer dessus, à doucement le sortir, puis le mettre au fond de mon fondement.
- Alors, tu aimes ?
- Oui.. j’adore…
- J’adore … Qui ?
- J’adore… Monsieur..
- Tu vas le garder toute la soirée dans ton petit cul. Ce soir je vais m’occuper de ta petite chatte. Cette double pénétration te fera le plus grand bien. Gourmande comme tu es… Je sais que tu aimes être remplie.. N’est ce pas ?
Il savait que j’avais du mal à dire les choses… Je n’osais répondre.
- Alors ?
- Je..
- Réponds.. dis moi ce que tu aimes..
- J’aime.. être remplie, Monsieur..
- Tu vois ce n’est pas si difficile. Et dans cette position d’attente, tu ne pourrais dire le contraire.. Il manque encore juste une queue dans ta bouche pour être totalement comblée..
Je rougissais intérieurement..
Il reprit son verre.
- Viens te mettre sur moi à plat ventre.
- Tes mains dans le dos, je te prie.
Il y plaça son verre.
- Hum en plus d’être sublime, ma table est si pratique… Un modèle si unique.
Il me caressait le corps. Je sentais ses doigts me parcourir, me masser légèrement, parfois me malaxant les fesses et autres parties du corps. C’était si érotique. J’avais tellement envie de lui… Il me caressait les cheveux. Cela m’hypnotisait
- Je vois que le froid n’a eu aucun impact sur ses blanches fesse ma petite blanche Neige.. tu sais que j’aime le rouge…
Je commençais à deviner ce qui allait se passer.
Je sentis le premier claquement s’abattre sur mon postérieur. Il jouait avec l’intensité.. Une fois forte me laissant échapper un cri, l’autre plus douce, puis à nouveau plus intense. Je devais me concentrer sur ce verre à ne pas faire tomber. Un vrai challenge.
Je criais.. certaines fessées, il n’y allait pas de main morte, mais ce qui était doux, c’était sa main caressante après.. Je sentais le rouge à mes fesses, comme légèrement boursouflées.
Puis il commença à me griffer avec délicatesse le corps… Pour ensuite malaxer mes fesses et les embrasser et reprendre la fessée qu’il avait décidé de m’administrer.
Il repris son verre. Il but une gorgée.
- Relève toi.
Il défit sa robe de chambre. Il portait cette robe de chambre qui lui donnait ce style rétro que j’adorais. Il prit la ceinture puis me noua les poignets dans le dos.
Il tenait sa queue dans sa main..
- Empale toi ma chatte, tu la mérites.
Me mettant à califourchon sur lui, il plaça sa queue afin qu’elle soit bien placé. Un râle de plaisir s’échappa quand je sentis le gland à l’orée de ma petite chatte. Doucement, elle glissa en moi. Je m’assis alors sur lui. On se regardait, profitant de ce moment si intense. Cet instant où nous n’avions pas de parler, où plus rien n’existait.
Doucement il commença a donner quelques coups des plus doux. Parfois il s’amusait aussi avec mon plug à appuyer dessus, à s’assurer qu’il était bien à sa place.
- Hum, je sens ta mouille sur mes couilles..
- Je crois que c’est l’effet du plug.. et de toi.. tu me rends folle.
Il pris de pleine main mes fesses pour m’indiquer comment le chevaucher. Parfois il me les claquait fortement. J’aimais aussi me déhancher, profiter de ce dard en moi. Il me saisit alors les deux tétons et les tira à lui.
- Chut…
Je tentais de rester droite, alors que mes tétons étaient en train de s’allonger. Il les relâcha brutalement pour ensuite les pincer fortement. Soudain il me les gifla… encore et encore.
- Oh ouiii.. hurlais-je..
- Tu aimes ça, être baisée comme une reine…
- Humm.. oui..j’adore ça
Il me mit alors ses doigts dans ma bouche. Il m’attira à lui pour me mordre ensuite dans le cou. Il m’étrangla ensuite en me regardant droit dans les yeux pour ensuite me donner une petite gifle.
Malgré ses apparences, je me suis toujours demandée pourquoi j’aimais cela.. Je pense qu’il voulait me punir de lui provoquer peut être un tel désir…
Puis il me jeta sur le coté pour calmer le feu entre nous.
Il dénoua mes liens.
- Va t’asseoir sur le fauteuil..
- Mets bien ton cul au bord, sois outrageante, tes jambes écartées… que je vois bien comment ta chatte est bien béante maintenant que je t’ai prise.
Je m’exécutais. J’allais sur l’autre fauteuil très confortable qui m’arrivait à hauteur de la taille. Il y avait une sorte de tétière qui était là pour maintenir le dos.
Je me posais ainsi les jambes bien écartées, au bord.
- Caresse toi.
Doucement, j’aventurais mes mains sur mon sexe, à la recherche de mon petit oiseau du paradis, mon clitoris. J’aimais me caresser doucement. J’étais bien trempée.
- Enfonce toi deux doigts dans la chatte... non trois.. autant qu'elle peut en prendre..
Alors provocante, je le regarfais tout en mettant progressivement quatre de mes doigts fins et longs.. Il me regardait toujours aussi intensement. Il bandait si fort. Il se caressait doucement.
Il se rapprocha de moi au bout de quelques temps comme un tigre sautant sur sa proie. Il releva alors mes jambes au niveau de mes chevilles et me posséda.
- Tiens.. prends ça dans ta petite chatte de salope… Je..
Il ne terminait même pas sa phase que chacun de ses coups allait au plus profond. Le fauteuil reculait tellement son assaut était puissant.
Puis il écarta mes jambes en grand, me tenant par les chevilles..
- Allez, branle toi petite chienne
Je me caressais alors encore et encore en le regardant dans les yeux.
- Tu transpires le sexe.. me dit il
- Tu es trop bonne à baiser.. à chevaucher…
Quand il s’arrêta, il se mit à genou pour prendre en pleine bouche ma chatte et l’aspirer de partout.
- J’adore te sucer et ton jus.. hum un délice.
Puis il me pénétra de trois doigts tout en continuant de me lécher. Je perdais alors pied.. Il m’aspirait si divinement mon petit clitoris et je sentais ses doigts me fouiller…
Je commençais à avoir les jambes tremblantes… je ne me contrôlais plus.
- Je vais Jouir….
- Jouis ma putain.. Jouis.
Il me tenait.. je ne me contrôlais plus. Je serrais alors mes jambes. Il tenait ma chatte encore et encore à me fouiller. Je me contractais. Cette vague était si intense… Je le regardais, le regard rendant les armes, comme une biche sans défense. Ce paradis éphémère, laissa l’orage gronder. Je pleurais de bonheur.
Il se releva pour se mettre à ma hauteur.. Il me caressa alors le visage pour essayer mes larmes.
- Tu es si belle comme ça.. si angélique, si démon.. J’ai tellement envie de t’embrasser, de te punir, de te cajoler.. Ma petite chatte.
Je me blottissais alors dans ses bras.
- Lève toi.
- Regarde ce que je t’ai préparé..
Il m’avais installé une sorte de petit lit au sol, avec plein de couverture et coussins.
- Ton lit, ta place de petite chienne à disposition de son maître.
Je le regardais souriante. Je m’installais sur cette place préparée avec tant d’affection.
- Profite de ce moment.. Je n’en ai pas fini avec toi..
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M des Sens
Toujours un délice de lire vos mots ma chère ...Ces derniers, comme Vous, sont trop rares...mais toujours autant appréciables..Belle nuit à vous
J'aime 01/02/21