Méridienne d'un soir
par le 03/02/21
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De nos jours encore, l’orgasme féminin est un fascinant mystère et son fonctionnement euphorisant suscite bien
souvent des questionnements, chez la femme comme chez l'homme. À l'origine, il y a toujours le désir qui contient
une substance biologique, une neurohormone et une disposition psychoaffective particulièrement développée chez
la femme. On peut différencier ainsi le désir sexuel spontané en rapport direct avec des stimuli immanents affectifs,
fantasmatiques et cognitifs et un désir sexuel réactif en réponse à la stimulation physique. L’excitation sexuelle se
manifeste chez l’homme par l’érection et l’éjaculation doublée de l’orgasme. Chez la femme, l’excitation conduit à un
afflux de sang au niveau du vagin et de la vulve responsable de la lubrification vaginale, de l’érection du clitoris et
d’une congestion vulvaire. Pendant bien trop longtemps, avant l'évolution de la société conduisant à la libération de
la femme, les relations sexuelles hétérosexuelles se résumaient en une chevauchée effrénée garantissant le lignage
et la satisfaction du mari. Phénomène naturel, l’orgasme féminin résulte de l’excitation sexuelle que ressent chaque
femme et qui influe autant sur son esprit que sur son corps. Il est grand temps d'évincer définitivement la vision
réductrice du plaisir féminin non autonome et dépendant totalement de celui de l'homme. Pour quelles obscures
raisons, le plaisir de la femme serait de moindre importance que celui de l'homme ? N'est-il pas aussi fondamental ?
Le cerveau reçoit la stimulation sexuelle du corps féminin. Il la conditionne et l'a déchiffre, puis il suscite un réflexe,
établi sur l'acquis, l’expérience, et la personnalité de la femme. Il est capable dès lors de provoquer différentes
émotions provoquées par la stimulation de tous les sens, la vue, le toucher, le goût et l'ouïe. Alors, le corps peut ainsi
se mettre dans un état d’excitation extrême en raison du contact de son propre épiderme, ou celle de sa ou de son
partenaire. Les caresses ou les succions sur les parties érogènes, les seins ou sur le clitoris, la vulve et l'entrée du
vagin, le cunnilingus ou sur la région de l'anus, l'anulingus sont autant de stimuli différents pouvant amener la femme
à la jouissance. De même, une simple pensée érotique, un propos romantique ou parfois plutôt cru ont également le
pouvoir, de conduire à l'orgasme. Dans tous les cas, il y a dans l’orgasme féminin une interaction entre le corps et
l’esprit. Les diverses images issues de notre cerveau, réelles ou fantasmées font naître une réelle sensation physique.
Durant l’orgasme, le corps de la femme perçoit alors deux flux organiques. La vasodilatation se caractérise par la
concentration de sang dans les parties génitales et dans les seins. Dès lors, le corps féminin se sature de sang au
niveau de ces zones, entraînant une augmentation de la tension artérielle, une modification de la température, de
la sensibilité et enfin de la pigmentation de l'épiderme. Certains sexologues évoquent même l'idée d’érection féminine.
La deuxième réaction corporelle ressentie est la myatonie ou la décontraction musculaire, pendant laquelle tous les
muscles du corps se relâchent provoquant ainsi cette sensation de bien-être. Il y a donc quatre phases notables, la
phase d’excitation, la phase de plaisir, la phase de l’orgasme et la phase de détente. Des spécifications évidemment
théoriques et qui peuvent, bien entendu, être différentes d’une femme à l’autre et ressenties diversement chaque fois.
Le corps féminin met en moyenne douze secondes pour retrouver un état normal. Notons en revanche que tous les
orgasmes sont identiques organiquement et varient seulement selon la longueur et l'amplitude. Mais une femme ne
ressent pas un orgasme de la même façon. Les effets induits par la masturbation sont par exemple très différents de
ceux ressentis lors d’un rapport sexuel avec une ou un partenaire. Il est significatif de noter que certaines femmes
évoquent un orgasme plus satisfaisant lorsqu'il est atteint solitairement. Sans doute, est-ce dû au fait que toute leur
concentration est alors dédiée à leur propre plaisir. Encore une fois, rappelons que ce n'est pas une règle commune.
Lors d’un rapport sexuel, le cerveau libère des hormones essentielles: la dopamine, les endorphines, la sérotonine
et l’ocytocine. La dopamine, l’hormone du plaisir et de la motivation joue un rôle important dans les mécanismes de
l’addiction. Ce qui la motive à reproduire l’acte sexuel générant ces instants de plaisir. Ainsi l’addiction peut s’installer
insidieusement. L’endorphine provoque, elle, un état de bien-être après la relation sexuelle. Ces deux hormones ont
donc un rôle crucial dans le plaisir et l'orgasme. Une autre hormone joue un rôle important pendant l’acte sexuel, c'est
l’ocytocine, l’hormone du bonheur et de l’attachement. Enfin, une dernière intervient à l’occasion de l’orgasme, c’est
la vasopressine. Ce neurotransmetteur libéré par la partie postérieure de l’hypophyse joue un rôle central dans la libido.
Il n’y a aucune recette miracle pour atteindre l’orgasme et ses caractéristiques physiques varient de femme en femme
et même d’orgasme en orgasme. Il est parfois difficile pour une femme d’identifier la limite entre l’orgasme fantasmé,
stimulé par des sensations érotiques et le réel orgasme physique. Mais il faut savoir, qu’étrangement, l’orgasme n’est
jamais lié aux sentiments éprouvés pour son partenaire. De même, l’orgasme n’est pas systématique, il est donc
essentiel de déculpabiliser le partenaire qui ne doit pas se sentir fautif d'être en incapacité de procurer du plaisir à sa
compagne, car plaisir ne rime pas forcément avec orgasme. La femme, de son côté, ne doit pas voir d’échec quand elle
ne jouit pas. Car ces situations, souvent sources de non-dits peuvent provoquer des frustrations dans le couple et
amener à des blocages parfois irrémédiables dans des cas extrêmes, et les blocages freinent directement l’orgasme.
Que la question de la sexualité doive être abordée à partir du langage et de ce qu’il crée chez les individus qui le peuple
n'est pas fait pour nous surprendre. La psychanalyse dès ses balbutiements a avancé que rien de la sexualité ne saurait
être regardée sans l’envisager comme événement psychique, c’est-à-dire déterminé par le langage. Dès l'invention du
stade phallique par Freud, il est survenu que ce que l’on nomme les rôles sexuels était constitué autour d’un symbole,
de sa présence ou de son absence, de sa perte possible ou de son attente, et qu’ils étaient faits de langage et de nature
signifiante. Et très tôt, Freud a fait figurer dans les défilés de ce symbole phallique tous les caractères des organes
de la jouissance, décrivant par exemple le phallicisme de la jouissance clitoridienne dans l’enfance, tout en proposant
son remplacement par la jouissance vaginale chez la femme adulte. L’ensemble de la sexualité se trouvait soumise à ce
que forgeait le langage, le rapport entre les sexes s’organisant en termes symboliques de complémentarité, déterminés
par le discours, autour de l’avoir et le donner, pour l’un, ne pas l’avoir et le recevoir, pour l’autre. En effet, le moindre
diagnostique nous montre que c’est ce que l’inconscient dit du sexe, à quoi la névrose objecte de quelque façon, et c'est
pourquoi Lacan a réarticulé d'abord et longuement le propos freudien. Montrant qu’il était justifié parce que le phallus est
pris comme un signifiant, ajoutant dès lors qu’à partir de ce signifiant s’organisent toutes les significations du sexe.
Il faisait observer en outre que la théorie organisée autour du phallus englobait la femme comme ce qui est le phallus,
le sujet phallique, sur le socle qu’elle ne l’a pas, tandis que l’homme l’a pour autant qu’il ne l’est pas, et qu’ainsi avoir et
être s’excluaient en se complétant pour l’un et l’autre sexe. La Genèse prouvait, avec la métaphore de la création d’Ève
à partir de la côte d’Adam, ce discours de l’inconscient qui constitue la femme comme un fragment phallique, du corps
de l’homme, ce complément qu’il retrouve après l’avoir perdu. Dans l’intervalle de ces quelques années, toute une
distance venait de s’instaurer entre la vérité d’un discours de l’inconscient, équivalant à cette loi presque immémoriale
de la sexuation et du rapport des sexes, qui s’était déployée au travers de l’échange des femmes comme équivalents
phalliques dans les structures de la parenté, et un réel qui était en fait tout autre. Notre pratique avait affaire en effet à ce
discours de l’inconscient. Mais il était seulement une fiction construite par les effets du langage, qui ne pouvait recouvrir
la réalité du sexe comme telle. Il se présentait comme la vérité, notamment à partir du discours des religions, ou plutôt
il constituait la vérité qui n’avait dès lors pas d’autre structure que de fiction, tandis que le réel en était bien distinct.
Plus prosaïquement, pour appeler la convocation des jouissances dans le rapport sexuel, il y a deux complices. L’homme
qui a une jouissance rapide et conclusive, comme les sexologues l'ont démontré, soit une phase d’excitation indispensable,
avant que puisse se produire l’orgasme, relativement courte et comportant ensuite une phase réfractaire. La femme qui a
une jouissance lente à se produire et persistante, une phase d’excitation longue et pas d'épisode réfractaire, de sorte que
plusieurs orgasmes successifs sont physiologiquement possibles. Or il faut manifestement les deux facteurs pour produire
cette non-conjonction des jouissances organiques, et non un seul. Ce qui les lie ne peut se concevoir au regard d’une
jouissance sexuelle qu’il n’y a pas au sens d’une conjonction entre deux sexes, mais d’une jouissance organisée autour
de ce qui consiste à disposer d’un corps. Qu’est-ce qui revient au féminin, de cette difficulté dans le rapport sexuel, ou
encore comment une femme se détermine-t-elle face à cela ? Voici deux propositions pour introduire la question très
complexe de la jouissance féminine et sa place dans le rapport sexuel. Du point de vue de la jouissance, le désir n'est plus
refoulé dans la demande mais causé à partir de la jouissance, à la limite comme une défense contre cette jouissance.
Mais si la stimulation sexuelle est avéré chez la femme, comme chez l’homme d’ailleurs, l’orgasme féminin ne se dévoile
pas avec des accents aussi tangibles que l’orgasme masculin. Que spécifie l'expression jouissance sexuelle ? Jouissance
physique et jouissance morale sont à démêler dans l'approche analytique du coït, bien qu’elles puissent arriver en même
temps dans l’orgasme en effet. Orgasme qui n’est pas pourtant synonyme d’éjaculation ou "décharge." Une éjaculation ne
comporte pas forcément une jouissance psychique, et par conséquent, elle n’est pas consubstantielle de l’orgasme. Le
croisement des fantasmes, rencontre qui n’est pas synonyme d’accord, d'harmonie, ou de fusion est indispensable pour
qu’on puisse parler d’orgasme dans le rapport sexuel. La décharge, en revanche, n’implique pas forcément cette rencontre.
Le fantasme du sujet est toujours en action, mais il n’est pas nécessairement en consonance avec celui du partenaire. C’est
à ce titre qu’on ne peut pas assimiler les concepts d’orgasme et d'éjaculation. Celle ou celui qui jouit sans se préoccuper
du tout de la jouissance réelle de l’autre demeure plus proche de la jouissance masturbatoire que de la jouissance du coït.
Car la relation sexuelle peut présenter, dans certaines situations, le même rôle que la masturbation. La masturbation ne
revêt pas le même mode que l’orgasme, car celui-ci nécessite la présence de l’autre et il peut prendre une forme intense
quand l’autre y participe, grâce à son fantasme, bien sûr. L’orgasme féminin comporte des modifications physiologiques,
contractions musculaires, éjaculation, mais ce sont des conditions organiques existantes aussi pendant l’excitation sexuelle.
On ne peut pas se baser sur toutes les modifications corporelles pour déterminer la nature réelle de l’orgasme féminin, les
modifications physiques n’en apportant pas la preuve. En revanche, chez l’homme, excitation et orgasme sont des phases
totalement distinctes. L'érection de son sexe est évidente lors de l’excitation, de même son éjaculation pendant l’orgasme.
Pour la femme, ce n’est pas le corps qui parle de son plaisir. Car son corps ne montre pas forcément ce qui se passe au
niveau de la jouissance psychique. Les hommes peuvent penser qu’ils savent, ou qu’ils sentent leur femme atteindre
l’orgasme, mais cela demeure très hypothétique, car il peut toujours rester le doute, s’agit-il d’excitation ou d’orgasme ?
Il s’agit de connaître les effets réels de l’éjaculation: une simple décharge physiologique ou un orgasme. Cette question
peut-être encore mieux explicitée. Car les conséquences et les motivations sont dès lors très différentes. En effet, la
femme est-elle en train de jouir ou de feindre la jouissance volontairement ou non ? L'explication est d’autant plus ardue
à fournir que la femme peut aussi confondre les deux, simulation et jouissance. C'est ainsi que c’est souvent pour faire
plaisir au partenaire masculin que la jouissance est feinte. Plaisir de l’autre qui, lui seul, crée une satisfaction du sujet.
Ce plaisir du plaisir de l’autre est en contiguïté avec la douleur, une douleur érotisée, que la femme dissimule afin de se
présenter à son partenaire comme occasion de plaisir. La femme qui simule la jouissance accepte d’assumer un désir qui
n’est pas le sien. Désir qui pourtant la traverse, faisant d’elle un objet capable de répondre à l’exigence de jouissance de
l’autre. Un autre qui devient Autre. La femme s’y soumet, elle se fait l’instrument de sa jouissance, en oubliant la sienne.
Mais le sacrifice de sa propre jouissance est une différente jouissance, connexion entre le sujet et l’autre, jouissance
apathique et solitaire. Pour qu’il y ait rapport sexuel au sens de l’orgasme, l’autre, le partenaire, s’oppose à l’autre, sans
se préoccuper de l’unité fusionnelle. C'est alors la rencontre de deux fantasmes sous la forme d'opposition ou d'encontre.
C'est alors que le duo sexuel devient un trio. Le complice prend en effet le rôle d'un tiers, non pas dans le sens d’un
observateur neutre. Durant le coït, il est en même temps l’élément permettant l’unité et celui qui la brise grâce à l'écho
des fantasmes, l’agent instituant le contentement phallique en même temps que son échec. Car tous les orgasmes se
terminent toujours par la détumescence du pénis et du clitoris, et invariablement par la suspension du désir. Simuler
en oubliant son propre plaisir ou alors, en le sacrifiant pour celui de l’autre est une forme de frigidité, mais toujours une
frigidité jouissive. Jouissance solitaire, puisque le désir du sujet n’est pas soutenu et stimulé par celui de l’autre, mais
seulement par sa demande. La femme qui jouit comme Sainte Thérèse pour certains psychanalystes devient l’icône,
l’idéal de la jouissance. Et aussi une sorte de femme idéalisée. Femme, représentation de la jouissance sans limites.
Pour les Romains, le mot phallus n’existait pas. Ils l'appelaient fascinus, ce que les grecs appelaient phallos. Fasciner
signifie contraindre celui qui voit à ne plus détacher le regard. C’est l’homme qui subit le fascinus de la femme. Simulation
comme expression de la toute-puissance de la femme, forme d’identification au phallus. Excès dans la forme, car il ne
peut pas être ressenti, marquant isolement, distance, ou altérité de la femme. Négation de l’autre et de son désir, autre
qui existe seulement comme spectateur inerte d’une brillance vide. L’excès est mis en scène pour nier la castration.
Tandis qu'une grande majorité de femmes jouissent comme des hommes, par grandes décharges ou petits jets, aucun
homme avance qu’il a joui à mort. Probablement évoque t-on l’homme terrassé par l’orgasme, mais ce qui est en jeu,
c’est la partie et non le tout. Si d’ailleurs, l’homme, après l’amour, est impuissant, temporairement mais indiscutablement,
il n’est qu’impuissant, il n’est pas mort. Il semble bien que chacun préfère s’en tenir à ce que l’on connaît, au schéma
masculin tension-décharge, au jouir ponctuel, à l’orgasme fini, bien précisé dans l’espace d’un corps et dans le temps
d’un plaisir. La métaphore violente du coup que l’on tire a certes des relents de "haine" plus ou moins intriqués à l’amour,
mais elle présente l’avantage de bien délimiter ce qu’elle désigne. Que le refoulement participe à cette affaire, c’est assez
évident, mais encore conviendrait-il de le démontrer. Car de cette peur, mal dicible, peur reconnue, il faut bien s’arranger,
travail de systématisation et de camouflage dont se charge la littérature car que ce qui est écrit rassure celui qui lit. Dans
"La Vengeance d’une femme", de Barbey d’Aurevilly, un homme à femmes, expérimenté et même blasé, rencontre une
fascinante prostituée dont l’ardeur inextinguible, inattendue dans de pareilles circonstances, l’intrigue au plus haut point.
Encore que blasé, le démiurge se méfie de lui, mais immédiatement déplace le sujet sur l’autre, sur son talent, ses sens,
sa singularité, son altération. "Si souveraine qu’elle fût dans son art ou dans son métier de courtisane, elle fut, ce soir-là,
d’une si furieuse et si hennissante ardeur que même l’emportement de sens exceptionnels ou malades n’aurait pas suffi
pour l’expliquer." C’est une jouissance sur fond de sauvagerie, de combat, de mort. Si cependant le héros reprend quelque
peu sa maîtrise, c’est au moment où son intégrité narcissique risque de s’effondrer, et c’est par le doute douloureux qu’il
va se protéger du fantasme de l’orgasme infini et envahissant de cette femme. L’orgasme suivi est exceptionnel, il ne
peut être induit que par des motifs extraordinaires. Il consume celle qui s’y est abandonnée et seuls quelques hommes
ont approché cet enfer. Tel est, en résumé, le sens profond du conte de Barbey d’Aurevilly. Si l’élaboration de Barbey
d’Aurevilly est dans le registre du fantastique, une autre, littéraire, elle aussi, se situe dans celui de la rationalité de la
recherche érotique dont le but est de retrouver, dans le comble de la maîtrise, au bout de nuits d’orgies et d’orgasmes,
la lueur de l’esprit qui n’a cessé d’animer le débat et les ébats. Emmanuelle dépasse son évanouissement et s’astreint à
établir le nombre des hommes qui la prennent successivement. Ce qui l’amène à une "toute nouvelle forme de délectation."
Bibliographie et références:
- Élisa Brune, "Le Secret des femmes"
- Odile Buisson, "Qui a peur du point G ?"
- Pierre Foldes, "Le mystère de l'orgasme féminin"
- Bernard Andrieu, "La peur de l'orgasme"
- Robert Muchembled, "L’orgasme féminin"
- Pascal de Sutter, "La mécanique sexuelle"
- Catherine Solano, "Le plaisir féminin"
- Thierry Lodé, "Histoire du plaisir"
- Ovide, "Métamorphoses"
- Barbey d’Aurevilly, "Une vieille maîtresse"
- Emmanuelle Arsan,"Emmanuelle"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
Thèmes: littérature
14 personnes aiment ça.
Méridienne d'un soir
Bonjour gitane sans filtre, bienheureuses femmes en effet ^^ Hum, tous ces mots qui riment en "in" ... 1f607.png
J'aime 03/02/21
Claudie🌸
Chère méridienne, c'est sans doute la complexité et la subtilité du plaisir féminin qui ont été la cause de ce regard sur les femmes. Ou la peur de sa puissance par les hommes?
J'aime 03/02/21
Méridienne d'un soir
Cher claudie, la vérité se trouve souvent au milieu, et comme le diable, elle se cache dans les détails.
J'aime 03/02/21
Méridienne d'un soir
Bonsoir malestelle, tout comme l'horlogerie, le plaisir féminin nécessite un certain savoir-faire, antisèches bienvenues 1f607.png
J'aime 03/02/21