Méridienne d'un soir
par le 16/03/21
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Nés du ciel "Nut" et de la terre "Geb", Isis et Osiris s'accouplèrent dans les entrailles de leur mère pour donner naissance
à Horus, l'Apollon des grecs, symbolisant l'union des pouvoirs actif et passif de la création. Père, mère et fils constituent
la célèbre triade de la religion égyptienne qui lutta contre Seth, le typhon grec, dieu du mal et des forces maléfiques de
la nuit, personnification de la perversité et frère d'Osiris. Ils régnèrent sur l'Égypte, enseignèrent à leur peuple l'écriture,
le tissage et l'agriculture, instituèrent le mariage tout en civilisant la terre de Kemet. Puis Osiris partit à la conquête du
monde, laissant la régence du royaume à son épouse. Les victoires qu'il remporta suscitèrent la jalousie de son frère
Seth qui, avec l'aide de sa femme-sœur Nephtys, déesse des régions humides, lui tendit un guet-apens au moment de
son retour triomphal. Ayant pris l'apparence d'Isis, Nephtys l'attira dans sa couche sur les bords du Nil. De cette union
devait naître Anubis, le gardien de l'enfer à tête de chacal qui abandonné par sa mère, fut élevé par Isis. Lorsque le roi
s'endormit, Seth le tua d'un coup de trident, le dépeça et jeta ses membres dans le fleuve. Folle de douleur, Isis se coupa
les cheveux, se couvrit le corps de cendre, fit construire une barque et partit à la recherche des restes de son époux sur
le Nil jusqu'à la côte phénicienne. Lorsqu'elle les eut rassemblés, elle cacha le corps d'Osiris sous un acacia gigantesque
et se retira dans la riche région de Bouto dans la Basse-Égypte pour accoucher d'Horus. Dans la mythologie d'Héliopolis,
les dieux naissent deux par deux, plutôt quatre par quatre, à partir d'Atoum qui engendre ses enfants en se masturbant.
Quatre par quatre, car à chaque couple divin plutôt lumineux et bienfaisant, par exemple Isis et Osiris, va correspondre
un second couple plutôt sombre, voire malfaisant, par exemple Nephtys et Seth. Les uns personnifient les forces de
régénération dans la nature et la psyché, les autres en incarnent les aspects de déclin. Ici, à l'inverse du mythe fondateur
biblique, le mal est d'emblée perçu comme une propriété des dieux, un aspect des archétypes et non pas, comme dans
la Genèse, le résultat d'une faute humaine, voire féminine. À l'inverse aussi de beaucoup de cosmogonies, le ciel, ici, est
personnifié par une déesse, Isis, rayonnante image de la nature tout entière, alors qu'Osiris représente la terre dans son
aspect fertile, le Nil dans sa force féconde ou encore la lune. Nephtys, sœur d'Isis, est l'épouse de Seth ennemi juré
d'Osiris. Typhon-Seth incarne les forces en chaos de la nature, l'amertume saline de la mer indomptée et les vents
desséchés du désert. Nephtys, en miroir, personnifie les terres en pentes arides que l'inondation du Nil n'atteint pas.
Cependant, selon Plutarque, elle demeure fidèle à Isis et aide la déesse à ensevelir son époux après que Seth l'ait tué.
Cette légende qui prône l'amour maternel et conjugal et le dévouement, devint l'histoire sainte de l'Égypte et donna alors
naissance chez les grecs, par voie d'initiation, aux mystères orphiques et à ceux d'Éleusis. Isis et Osiris sont mère et fils,
dit la légende, mais aussi frères jumeaux. Amoureux l'un de l'autre, avant même de naître, ils font l'amour ensemble dès
le ventre de leur mère. Osiris devenu roi parcourt la terre, édicte des lois et répand partout la civilisation. Il persuade les
peuples en les charmant par la musique et le chant. Il fait cesser les coutumes anthropophages et développe la culture
pacifique du blé, de l'orge et de la vigne. Alors Typhon réunit soixante-douze complices et fait construire un coffre superbe
de cinq mètres de long. Au cours d'une fête, il le promet à celui qui pourra le remplir. Osiris s'y étend. Typhon-Seth et ses
complices en referment le couvercle et on jette le coffre au fleuve et du fleuve jusqu'à la mer. Après un long temps de
désespoir et de recherches, Isis retrouve le coffre qui contient Osiris et le cache dans un endroit secret. Mais Seth, une
nuit de chasse, le trouve, l'ouvre et découpe le corps en quatorze morceaux qu'il disperse de tous côtés. Isis, repartant
dans une quête éperdue à travers le pays, réunit tous les morceaux sauf un, le pénis du dieu, mangé par trois poissons.
Isis en sculpte une effigie et en fait distribuer des images partout dans les temples. Finalement, Osiris ressuscite des
enfers et peut poursuivre l'éducation de son fils Horus. Isis donne naissance à Harpocrate, symbole du soleil levant,
renaissant, qu'elle a engendré avec Osiris après la mort de celui-ci, lorsqu'il était encore aux enfers. Osiris règne ainsi
désormais sur tous les cycles qui animent l'élan vital universel. Les Égyptiens en font le principe des métamorphoses de
l'âme au cours de la vie et le garant de son immortalité lorsque le mort devient lui-même Osiris en pénétrant alors dans
l'au-delà. Sous les premières dynasties, seul le pharaon est jugé digne de posséder cette qualité qui confère l'immortalité.
Isis, celle qui pleure est la figure féminine la plus connue du Panthéon égyptien. Elle incarnait le trône, siège mystérieux
et sacré du pouvoir royal, elle devint par la suite la bienfaitrice universelle, dont le pouvoir s'étendait sur la terre, dans les
cieux et dans le monde souterrain. C'est l'une des raisons qui expliquent la facilité avec laquelle le christianisme des
commencements a séduit l'Égypte. Après des centaines d'années d'un culte voué à un dieu, soumis à une passion, mis
à mort et revenant ressuscité des enfers, les Égyptiens étaient tout préparés à s'ouvrir au message du même symbole.
En revanche, à trop chanter les côtés romanesques de ce dieu de la lune et de la terre humide, amoureusement mais
passivement croit-on, enlacé à sa puissante épouse céleste, on affadit considérablement les forces que révéraient les
peuples du Proche-Orient dans la haute antiquité. La lune n'était pas alors un satellite de la terre, un modeste miroir du
soleil, comme nous le ressentons dans nos contrées nordiques depuis les astronomes de la Renaissance. Au second
siècle après J.-C., Plutarque, à la suite de ses maîtres préférés Pythagore et Platon, se passionne pour la pensée
mystique de l'Égypte. Bien avant la découverte d'un inconscient collectif, il affirme l'existence d'une âme du monde dont
la variété des philosophies, des mythes et des cultes, ne fait que traduire les facettes innombrables d'un unique joyau.
Pour Plutarque, le mythe est à la fois réel et symbolique. Il peut, dans le cas du mythe d'Isis et d'Osiris, nous parler du
soleil et de la lune, de la végétation ou des flux du Nil et, en même temps, révéler, à tous les degrés du mouvement de
la vie, la puissance de l'âme unique en action. Derrière la trame des amours et des luttes divines, les joies et les pleurs
d'Isis, les crimes de Seth, le démembrement et la résurrection d'Osiris, c'est l'unité de l'âme qui est à l'œuvre. Une unité
très paradoxale, au-delà des ombres et des lumières de la conscience, bien au-delà du plaisir et de la peine des dieux
et de ce que le moi humain éprouve comme bien ou mal. La figure d'Isis était la personnification même de la nature.
Dans le Tarot, elle est représentée comme la Papesse immobile, calme, impénétrable, hiératique, prêtresse du mystère.
À la fin du mythe, lorsque Isis a perdu et retrouvé son frère-époux, Osiris le dieu-Nil poursuivi par Typhon-Seth, le vent
brûlant du désert, leur fils Horus parvient à se saisir de Seth. Impatient de venger sa mère, il le livre à Isis, mais Isis le
délie en disant qu'il n'est pas bon que le mal disparaisse de la Terre, que sans l'imperfection, la douleur et le deuil, la
nature cesserait de croître, de décroître et d'évoluer. L'âme, comme Osiris, a besoin de mourir pour devenir, et la nature
privée de son ferment diabolique, selon Isis, risquerait de susciter un mal bien pire que le dieu Seth, un carnage absolu.
Car l'amertume de la mer, attribuée à Typhon, est aussi le sel de la terre qui pollue les puits mais conserve les aliments.
Horus, nous dit Plutarque, est l'atmosphère qui entoure le monde terrestre lequel n'est jamais totalement affranchi de la
corruption et de la génération, qui forment le mouvement de la vie. Horus, incapable, comme nous le sommes souvent,
d'accepter cette dure leçon de sagesse, pris de fureur, arrache le bandeau royal d'Isis et même, dans une autre version
du mythe, la décapite. Hermès-Thot la ressuscitera, en lui donnant le visage et les cornes de vache de la déesse Hathor,
la déesse de la vie érotique, l'Aphrodite égyptienne à laquelle on l'identifiera par la suite. Isis, l'amoureuse déesse éplorée
en quête de son frère amant, est aussi à la fin du mythe, l'image, la personnification de la source irreprésentable de la
divinité, de l'archétype, au-delà de toutes les catégories de la perception humaine dans l'espace-temps de la vie. Principe
d'une lumière qui contient les ténèbres, d'un sens qui accueille et transcende le non-sens, elle est ce vide essentiel, dans
lequel s'accomplit la conjonction des opposés, après chaque passion et chaque sacrifice en nous, chacune des morts
symboliques que comporte un trajet d'individuation. Le mythe d'Isis se fond plus tard dans celui de la nymphe-vache Io.
Isis avait pour attributs le ciste, la croix ansée, le globe, le palmier et le vautour, symbole du pouvoir des mères célestes.
Tandis que la chrétienté, entée sur les mythes juifs et grecs, développe son essor patriarcal, l'alchimie, quant à elle, va,
dans le secret de ses oratoires et laboratoires, recueillir et faire fermenter les valeurs que l'esprit nouveau réprime pour
mieux asseoir son empire. Chaque cycle de civilisation, à sa naissance, agit ainsi comme un jeune roi impétueux qui,
pressé de régner et d'imposer son style, néglige les palais et les temples de son enfance, voire les détruit purement et
simplement. Les amours incestueuses d'Isis et d'Osiris seraient bien lointaines pour nous dans le temps si l'alchimie
occidentale n'en avait conservé le souvenir vivant et opératoire. Elle fait des jumeaux divins des principes actifs dans
la mutation de la "materiae prima" des passions en pierre philosophale, en élixir de sagesse, comme Jung l'a montré
au cours de ses années de recherche, d'interprétation des textes alchimiques. Ceux-ci, depuis l'antiquité égyptienne
jusqu'à l'Europe du XVIIème siècle, forment une véritable pré-psychologie et nous transmettent, aujourd'hui, les images
des dynamismes à l'œuvre dans la psyché inconsciente occidentale au cours des trente derniers siècles. L'éros indique
la tension vers l'autre, l'inceste l'attrait pour le même. L'éros incestueux est une belle trouvaille symbolique pour exprimer
la tension vers la réunion de composantes différentes dans la même psyché, dans un même sujet, dont l'axe moi-soi se
forge au rythme des différentes séparations et conjonctions. Dans leur quête vers l'un, soulignera Jung, les formes de
civilisation à leurs débuts ont posé l'inceste comme sacré, ne devant être mis en acte que par des souverains, symboles
vivants de la réalité de l'âme. Le pharaon épouse ainsi sa sœur, c'est-à-dire son anima, son double kantien et spirituel.
Apulée, qui fut initié aux mystères de la déesse la décrit comme la mère de la création, l'ancêtre primitive des ombres.
Témoins des valeurs oubliées, dans l'alchimie, en place du roi et de la reine, on rencontre souvent Osiris et Isis. Isis,
mère première et finale, eau de sagesse sophianique, quintessence ou encore rusée déesse, qui arrache les secrets du
dieu Ra, son père vieillissant, ou se refuse coquettement à l'ange Amaël, là aussi, pour lui soutirer le savoir qu'il détient.
Après le furieux combat dans lequel Horus, principe solaire de l'ordre, coupe les testicules de Seth, la passion chaotique,
qui l'a aveuglé, tous deux sont soignés par le dieu lunaire Thot. Isis délie Seth, Osiris ressuscite et, sur ce happy end,
survient un "kaïros", "un moment juste", favorable à l'évolution de l'art sacré, c'est-à-dire de l'alchimie. Dans l'alchimie,
les kaïros jouent un rôle extrêmement important. Ce texte date approximativement du Ier siècle après J.-C., mais treize
siècles plus tard, un savant comme Paracelse, considère toujours que, pour progresser dans les secrets de la matière
ou pour soigner quelqu'un, il faut que la constellation astrologique du moment soit en résonance avec le but recherché.
Ainsi, Isis qui veut connaître de l'ange ce qui concerne la fabrication de l'argent et de l'or, les stades les plus précieux de
la pierre sacrée, doit-elle attendre que les passions se soient apaisées, sous la forme d'Horus et Seth, et que le principe
de conscience Osiris ait ressuscité pour marcher dans son œuvre. Son œuvre qui n'est autre que les transformations
qu'elle opère sur son frère époux Osiris, dont Isis représente plutôt l'aspect stable, actif et solaire, c'est-à-dire supérieur.
Le culte de la déesse s'étendit jusqu'aux frontières du Rhin et fut institué en Grèce au IVème siècle avant J.C, à Rome
au IIIème siècle avant notre ère. Dans l'analyse, les moments de séparation et de réunion psychique semblent souvent
se produire en fonction d'un mystérieux "moment juste", où se déclenche soudain un mouvement, une progression ou un
apaisement des conflits, un lâcher prise des résistances. L'analyste fatigué ou en régression dans son propre parcours
constate souvent que, peu à peu, tous ses analysants se bloquent et regimbent d'une manière ou d'une autre. Lorsque
le flux de la libido commence à dépasser l'obstacle, qu'Osiris ressuscite, il constate que le processus de croissance se
réactive aussi chez ses analysants. Ou encore parfois, blessé, irrité ou bloqué par les circonstances de la vie, l'analyste
entendra, à deux ou trois reprises dans sa journée, le message d'un rêve ou un commentaire de la part de l'un de ses
consultants qui, bien entendu, ignore tout de ce qui l'occupe. Cette étincelle du dedans, venue par le dehors apparent,
suffit alors souvent pour réanimer la flamme du sens et le sourire intérieur. Les vicissitudes du lien amoureux entre Isis
et Osiris sont l'image d'alternance de systoles et diastoles, du mouvement de respiration, au sein du lien transférentiel,
au rythme des "moments justes" et moins justes. On se déprime avant chaque nouvel élan psychique mais aussi avant
chaque nouvelle réalisation créatrice, une période d'examen, par exemple, un article ou une promotion professionnelle,
voire une nouvelle saison sentimentale. Osiris est en même temps son propre cercueil et la suffocation qu'il y endure.
Ces représentations constituèrent à la fois la base de l'enseignement des sages de l'antiquité et celle des analystes de
l'époque contemporaine. La conscience, déprimée dans la phase de décomposition, doit accepter de s'introvertir au
maximum, jusqu'à toucher l'énergie brûlante des désirs ou des complexes refoulés, désirs trop infantiles, libido clivée du
moi par les traumatismes de l'enfance, ou encore énergies encore enfouies d'un archétype. Ce n'est qu'après une longue
pérégrination analytique à la rencontre des blessures et des souffrances du passé, de la sphère de feu contenue dans le
sous-sol de la personnalité, que l'énergie vitale, l'eau de la vie, peut remonter réanimer la conscience. Osiris a suffoqué
tout le plomb jusqu'à la prochaine phase de dépression créatrice. Comme le plomb dégage, en brûlant, des fumées
fortement toxiques qui peuvent empoisonner l'utilisateur inexpérimenté, les alchimistes croyaient tout naturellement que
le plomb renfermait un démon qui rend fou. Comme chacun le sait, lorsqu'on se sent déprimé, on se sent le cœur lourd
comme du plomb, tout figé et suffoquant d'ennui devant le jour qui s'avance. Mais pour la psychanalyse, comme pour
l'alchimie, ce n'est qu'en descendant jusque dans les enfers à la rencontre du tombeau d'Osiris, à condition de ne pas
y rester prisonnier à son tour, que de nouvelles conditions peuvent émerger, tel un nouveau lien entre le moi et le soi.
"La vie a mis sous sa main son eau et son vent, son herbe et tous ses troupeaux, tout ce qui vole et tout ce qui se pose."
Pour l'analyser et comprendre sa portée allégorique, il faut replacer le mythe dans le contexte. Il a été perpétué afin de
justifier les alliances consanguines au temps de l'ancienne Égypte et des civilisations nubiennes. En effet, la plupart des
pharaons épousaient leur demi-sœur ou des cousines. L'inceste légal s'avère ainsi exceptionnel jusque dans les familles
pharaoniques. Il n'y a guère que la dernière dynastie, celle des Ptoléméens, qui se croit obligée de l'appliquer à la lettre,
sans doute parce qu'elle a beaucoup à se faire pardonner. Osiris, dans l'alchimie, est bien sûr un analogue du Christ.
Comme lui, il subit sa passion, est mis au tombeau, descend aux enfers et revient ressuscité. Mais là où la Passion du
Christ s'effectue en fonction du Père, pour monter trôner à la droite du Père, la passion et la résurrection d'Osiris se fait
tout entière au service des valeurs du féminin mutilées par l'église officielle. Car Isis, sœur lumineuse et secourable, est
aussi le tombeau obscur dans lequel gît Osiris tout le temps de sa passion. La lumière du sens inclut les épreuves qui
affligent l'âme et font douter du sens. Isis est tout autant la partie consciente que la partie encore inconsciente de la
création. Accepter le temps de l'épreuve allume une lumière au sein de la nature elle-même qui, a besoin de l'œuvre de
réflexion humaine pour se parachever, passer ainsi de l'excès du chaos à l'équilibre et à la mesure des contraires. Les
grands créateurs sont souvent de grands orphelins. En eux, le jardin merveilleux, les fleurs d'or et les amours magiques
du soleil et de la lune demeurent bien vivants. Mais recentrés dans le champ du symbole, dans le territoire de la psyché,
ils éclairent et fécondent le monde du réel. Alors la terre, embrassée par le rêve, produit de beaux fruits de conscience.
Bibliographie et références:
- Camille Aubaude, "Le mythe d'Isis et d'Osiris"
- Françoise Dunand, "Isis, mère des dieux"
- Aude Gros de Beler, "La mythologie égyptienne"
- Plutarque, "Isis et Osiris"
- Dimitri Meeks, "Mythes et légendes"
- Florence Quentin, "Isis l'éternelle"
- Alain Verse, "Manuel de magie égyptienne"
- Nadine Guilhou, "Aux origines de l'Égypte"
- Claire Lalouette, "Textes sacrés égyptiens"
- Erik Hornung, "Les dieux de l'Égypte"
- Christian Jacq, "L'Égypte ancienne"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
Thèmes: littérature
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Méridienne d'un soir
Bonjour et merci numen pour votre commentaire; bonne journée à vous, mon ami. 1f607.png
J'aime 22/03/21
Méridienne d'un soir
Bonjour mon ami MINETGRIS, merci pour votre commentaire; agréable fin de journée à vous également.1f607.png
J'aime 22/03/21
insolence
Joli texte Méri, merci, bises
J'aime 24/03/21
Méridienne d'un soir
Merci insolence, belle journée à toi, bises. 1f607.png
J'aime 25/03/21