par Sitaël
		    le 12/07/21
        
	
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                            Merci de m'avoir fait découvrir  cette autrice,dont les mots sonnent et dansent ,s'entremêlent pour à  la fin ,que son  questionnement  nous ouvre des portes de vérité. 
Sont ils féminins  ? Sont ils masculins ?...ils sont pour moi universel....
Alors que voilà  une belle ode à  votre Swann  qui vous merite tant.
            
Suggestion		
	
Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.
 
L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.
 
Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité.
J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.
 
Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer. 
 
confession:
j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas.
lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes.
depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶
             
            
                
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                Par : cherybybi
            
            
            
Ah ! Non, c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… bien des choses en somme,
En variant le ton, par exemple, tenez :
Érotique :
« Cette chair, palpitante comme un fruit mûr sous les doigts,
Ouvre un abîme moite où les plaisirs se noient. »
Obsédante :
« Ce pli obscur, luisant sous la lumière,
Respire des promesses de plaisirs singuliers. »
Vulgaire :
« Une fente large comme un gouffre, prête à engloutir
Le moindre désir, jusqu’à en rugir. »
Visuelle :
« Ces lèvres gonflées, ourlées d’un rouge carmin,
S’ouvrent comme une corolle trempée de matin. »
Hédoniste :
« Un calice suintant, offert à la langue gourmande,
Où chaque goutte de vie s’abandonne et s’épanche. »
Cynique :
« C’est un trou, oui, rien de plus, et pourtant tout commence là :
Les cris, le chaos, et souvent même l’embarras. »
Cruelle :
« Une crevasse profonde, humide comme une terre gorgée,
Prête à boire l’homme jusqu’à le laisser brisé. »
Amoureuse :
« Une source de vie où l’on dépose son cœur,
Et qui parfois répond par un spasme de ferveur. »
Lascive :
« Ce repli odorant, aux contours presque féroces,
Aspire les âmes perdues dans un râle fécond. »
Dramatique :
« Sous ces plis de chair, le destin se forge,
Mélange de jouissance et de douleur qui dévore. »
Réaliste :
« Une odeur qui s’impose, un goût qui enivre ou dégoûte,
Mais qui ne laisse jamais l’homme tout à fait intact. »            
            
                
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                Par : mael
            
            
            
Anitson et Patrick viennent de se marier, dans la plus pure tradition catholique du village, un petit bourg d'Irlande battu par les vents du nord et du grand large. La nuit de noces se passe très mal. Ils sont vierges tous les deux et ce crétin de Patrick, pour ne pas  montrer à son épouse qu'il n'y connait rien, est allé chercher des infos sur le net. Il a voulu faire de longs préliminaires,  un cunni, et il a failli se prendre une baffe. Il n'a pas pu la sauter et pourtant il en meurent d'envie tous les deux. On ne déflore pas une rousse irlandaise traditionaliste, comme cela. 
Patrick est désespéré de ne pas avoir consommé ce mariage. Il ne veut pas devenir la risée du village. Il va trouver le prêtre qui vient de célébrer la noce pour lui demander conseil. Ce dernier le confesse, c'est plus discret et plus libre.
-Mon Père, j'aime ma femme et je n'ai pas pu lui faire l'amour, elle a failli me gifler, comme si je m'y prenais mal. J'ai honte.
-Qu'as tu donc fait? Je sais qu' Anitson t'aime. Tu es son homme, son époux.
-Je suis aller chercher des conseils sur internet pour savoir comment bien faire l'amour à ma femme. Je n'ai aucune expérience, vous le savez bien, mon Père. 
-Pardonnez le Seigneur, votre Fils s'est égaré sur internet, le royaume de Satan. Pardonnez le. 
-Je croyais bien faire.
-Allons mon fils, récitons ensemble, le "Notre Père" et allons voir Madame Suzan, elle va t'expliquer. 
Ils partent vers la belle demeure de Madame Suzan, qui est fort riche, fort pieuse et veuve. Lorsque le Prêtre explique les raisons de leur visite, elle éclate de rire:
-Patrick, oh mon Patrick, toi le beau bagarreur pendant les fêtes du village, toi qui boxe si bien, tu ne sais pas baiser ta femme ! Ce n'est pas sur internet que tu vas apprendre à sauter une belle  irlandaise rousse comme Anitson.  Tu as l'épouse la plus racée du village. Il faut faire comme avec une jument rétive, le fouet. Ta femme n'attend que cela, que tu la prennes en main et que tu la montes pour de bon. 
-Ah, j'ai eu peur de lui faire mal. J'ai voulu être doux et caressant.
-Tiens je te fait cadeau de la badine de mon regretté époux. C'est avec cette verge cinglante qu'il m'a  bien rougi les fesses le premier soir et fait filer droit. C'est cela qu'aiment les irlandaises comme Anitson et moi, des hommes qui savent manier la badine. 
Le visage de Patrick s'est éclairé. Il a prit la badine et il a filé chez lui, bien colère cette fois. L'orgasme  violent d'Anitson a été entendu par tout le village. Les chats se sont couchés, les poules ont levé la tête inquiètes, les coqs ont chanté. Un beau rayon de soleil a illuminé ce paisible village battu par les froids vents chargés des pluies venues de l'Atlantique Nord.            
            
                
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                Par : Cplefdouce
            
            
            
Je suis une vieille grosse salope très gourmande pour qui la luxure est une passion.
Je suis à nouveau seule. Je recherche en priorité des Hommes entre 20 et 85 ans, endurant, dominateur. 
Les photos sont indispensables afin d'effectuer le premier tri.
Si ce monde vous attire, si vous avez l'âme d'un dominateur ou si vous l'etes déjà, venez me prendre 
Je suis une véritable garage à bites vide couilles dans tous ses trous : mise à disposition totale possible, ouverte à tous et à toutes bites, seuls ou en groupes constitués pour tous plans tous lieux même Xtreme.... blacks, creampie, bareback, etc...
Je ne veux que du réel pour des moments très chauds............ 
Hygiène bien évidemment respectée
Bises libertines de sa soumise
PS : 
IMPORTANT ! URGENT ! En 1er je veux un photographe pour faire un album de moi, de mes trous pleins et vides
2èm - La vieille grosse chienne que je suis, recherche un Professionnel équipé et vicieux pour tatouages piercings branding scarification - Médecin pervers pour bien être  inoculée et défoncée - et un Maitre chien ou animal.            
            
                
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                Par : mael
            
            
            
Valeri et Xian rentrent à  la base de la milice Stalin sur les bords de la Mer Noire, avec son petit aérodrome privé,  ses bâtiments pour les entraînements et les préparations d'opérations spéciales. Une base discrète, qui ressemble plus à une petite station balnéaire qu'à un camp militaire. 
Un coup de fil urgent.
- Salut Valeri, il faut que tu démontés l'opération Prigojine. Je te fais suivre toutes les instructions.
- ce sera fait camarade Président. 
Valeri attire contre lui Xian,  sa pire tueuse, une manchoue emasculeuse.  Il a encore envie d'elle. 
Xian comprend de suite. Elle baisse son pantalon et offre son superbe fessier sur le bureau de Valeri. Un petit cul très serré  et incroyablement jouissif. Valeri est son seul homme, celui qui l'a depucelee  Elle le laisse s'enfoncer sans le moindre ménagement dans sa chatte aussi tonique et serrée que son anus. C'est presque un viol à chaque fois. Valeri en a une grosse et n'aime pas les preliminaires. De toute façon, une fois passée la douleur, Xian adore cela. C'est une tigresse. Son mâle doit la prendre de force et lui faire mal, sans quoi ce n'est pas son mâle. 
Elle hurle et jouit. Valeri grogne son orgasme. Xian est vraiment jouissive. Rassasié de sexe, il allume un cigare et réfléchi. Xian ne se rhabille pas. Elle montre sa chatte qui dégouline de sperme. Elle se masse son clito et se fait encore jouir devant son maître. 
Valeri lit le dossier secret reçu via le canal sécurisé.  Un coup facile cette fois.
- Rhabille toi Xian. Tu pars dans trente minutes. Tu te souviens du faux Prigojine et du faux coup d'état, de la substitution dans la station?  Il faut tout démonter. Bonne chance. Tu as tout la dedans. Un bon 100xe fera l'affaire. Allez file. 
Xian ne dit pas un mot. Elle ne parle jamais de toute façon. Une femme d'une fidélité  et loyauté à toute épreuve.
Le soir Valeri regarde Russie one. On parle en boucle du crash d'un avion avec Prigojine et son état major à bord. Il s'allume un cigare et se sert un excellent cognac de Géorgie. Il boit à la santé du camarade Président.  Et un autre verre à  la santé du joli cul serré de Xian. 
La base dort. Il fait une nuit d'encre sur la Mer Noire. Il est temps de rentrer à la maison. Roxana et Valentina doivent l'attendre. Il sourit. Elles en sont aux tours de chauffe. Une femme et une trans dans le même lit,  elles ont de quoi faire quand il n'est pas là.  Encore une mission réussie.  Et chaque fois, il a une forte envie de baiser.             
            
                
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                Par : petrale
            
            
            
Aimer la femme au point de fantasmer à être contraint de vivre une transformation humiliante . Phase première , se mettre à poils ,et chausser des chaussures de femmes ,se munir de cette accessoire féminin ,à lui seule ,le plus fantastique ,le SG, sentir les bretelles sur ses épaules ,1ère excitation. enfiler robe ,mi jupe ,chemisier, enfin bref,parfaire sa tenue et sentir le bout rose de son organe intime frotter sous le tissu . Ensuite place au fantasme à l'imagination de l'acte suprème : "Prendre une chaise ,en s'asseyant à l'envers dessus ,donc,face au dossier, relever le devant de la robe pour dégager le pénis et à l'aide d'une ficelle nouée derrière le bourrelet du gland ,serrer très fort en tendant le lombric au maximum par devant en nouant la ficelle au bois du bas de dossier de chaise .le gland gros et raide ,dépasse bien de l'autre côté et la tension extrème fait souffrir ;c'est très bon!!! Prendre une paire d'escarpins à talons aiguille et ficeler un, de chaque aux extrémités du dossier et scotcher 1 punaise à l'envers sur les reposes talons ,car escarpins à brides , En l'occurence ; avec robe à manches courtes ,retrousser les brassières sur les épaules ,cela est déjà excitant,car fait penser à une sorte de viol ,enfin je n'aime pas ce mot ,forced,humiliation,; tout cela pour dégager le SG ,qui devra être à son tour retroussé ,mais par le bas ,pour dégager les tétons ,ce qui les fait gonfler vers l'avant . Régler la hauteur de la punaise en face le centre des tétons . les bras comme attachés derrière le dos et les jambes en arrière avec les pieds dressés sur le bout des sandales . Pencher le torse en avant ,et griffer les tétons sur les punaises ,c'est vraiment excitant !!!! le fantasme ressenti ,est d'être humilié ,forcé à devenir une femme en détruisant les parties intimes du mâle ; (du porc) . Transformer un brave porc en génisse ,c'est lui faire éprouver le plaisir à détruire ses parties érotiques et génitales afin de devenir femme .(excusez j'emploie des termes choc (porc) et autres pour le ressenti uniquement) . options fantasme à la scène décrite : enfoncer une tige de fer dans l'urètre du lombric en situation d'arrachement ,et planter carrément la pointe de la punaise dans les tétons ,afin de crever l'alvéole canalaire ,en faisant peser tout le poids de son torse sur les repose talons .La déchirure de l'alvéole va enfin faire juter ce gland dure . Option 2 : se prendre un collier de femme autour du coup et une autre paire d'escarpins pointus et s'enfoncer les deux bouts pointus bien au fond de la gorge ,le soumis bave ,c'est sublime !! une alliance dans le nombril et une gourmette nouée autour des couilles . Viens ensuite ce que j'appelle l'étalonnage des tétons d'homme soumis au sacrifice ; choisir une paire d'escarpins à talon et les rentrer dans le ST ,en tournant la pointe des talons sur les tétons et s'allonger au sol ,en faisant peser le poids de tout son corps . l'Ecrasement des tétons par l'accéssoir fétiche est un régal d'humiliation pour enfin exprimer son désir mammaire ,avoir des vraies mamelles au lieu de ces ridicules petits boutons              
            
                
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                Par : ChatMOnYou
            
            
            
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues)
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Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes.
Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! :
-> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido..
-> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter.
-> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens.
Et tout s'avère possible !
Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue :
01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité.
Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être.
Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ?
Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239
02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres.
Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM.
03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ?
Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre.
Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience.
Bon séjour sur le site !
 
*Trait d'humour caché dans le titre de cet article.
Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.
 
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
             
            
                
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                Par : MmeJulie
            
            
            
Ce qui se cache au début de la grande majorité des relations hommes-femmes est une petite ''gamique'' plus ou moins consciente. 
Les hommes, comme les femmes, lors de la courtise et après, chercheront à tester l'emprise qu'ils peuvent avoir sur l'autre et je soupçonne qu'ils testent également la hauteur du défi (dans le cas des plus alphas). 
Exemple: 
Un homme et une femme en premier rendez-vous viennent de finir de dîner. L'homme payant l'addition lui demande « Je te ramène chez toi?». La femme, très avisée, est surprise de cette fin de rendez-vous précipitée, mais choisira de ne pas laisser ses questionnements dominer. Elle a passé un agréable dîner. Certes elle se demande si elle a fait quoi que ce soit qui justifie que le rendez-vous ne se poursuive pas (Insécurités générales féminines). Mais elle choisira de contenir celles-ci pour elles-mêmes en répondant avec un haussement d'épaule et un sourire. 
«Oui, d'accord! »
L'homme en voiture, ne lui dira pas un mot. 
Elle, consciente de ses insécurités face à ce silence, regardera par la fenêtre afin de ne pas envahir l'espace du mâle, de respecter son silence et de ne pas devenir la proie de ses émotions négatives. 
Notre homme, qui porte une veste à capuchon, se met à avoir des gestes nerveux. Il a l'habitude qu'on le questionne, que les femmes réagissent à son mutisme. Mais, elle ne réagi pas et ne pose aucune question. C'est inattendu. 
Se met en branle ses propres insécurités. « Elle s'en fout de moi? Je ne lui fais rien? » 
il ressent un inconfort marqué et tente de se couvrir et se couper de la demoiselle. Il met son capuchon. 
Elle le remarque. Il cherche à se couper d'elle? Qu'est-ce qui lui arrive? Mais, elle sait qu'il s'agit de ses peurs à elle et ne les confiera pas ainsi au premier venu. Elle souhaite néanmoins lui signaler qu'elle ne l'ignore pas. Si elle était rationnelle, que penserait-elle. 
Peut-être a-t-il simplement froid...
« Tu peux éteindre la climatisation si tu as froid, ça ne me dérange pas. » :blush:
L'homme est circonspect. 
Dépendamment de son niveau d'estime et de confiance, de son goût pour le défi peut-être également, il sera
refroidi 
ou
intrigué et accroché. 
Que certains veuillent le reconnaître, l'accepter ou non: nous sommes tous, sans exception, pris d'insécurités et de peur. C'est une polarité de la condition humaine. Mais notre art, c'est que nous nous les avons pris comme un levier, un outil. Nous carburons parfois à celles-ci qu'on le veuillent ou non. Ce que l'on fait avec détermine qui l'on est? 
Avez-vous la force de reconnaître que votre peur à vous est celle qu'on fasse de vous asservisse, qu'on vous domine et qu'on vous prive de votre liberté?
Peut-être vos peurs ne sont pas celles-ci, ça ce sont les miennes. Et elles ne me dominent pas. Je leur dois carrément qui je suis et ce qui me distinguent. Elles m'ont fait combative à ma manière et triomphante. 
Et vos insécurités (oh! Comme j'espère que vous soyez capable d'admettre que vous en avez) font probablement de vous « Dominants et Dominantes » (le terme sera grandiloquent) des conquérants. 
Philosophie amoureuse à deux balles: 
« Un couple fort est peut-être un couple où chacun veille à ce que les 2 partenaires ne soient plus la proie de leurs insécurités. 
Après tout, mes observations marquent que tous les conflits de couple ou presque ont comme racine les insécurités de chacun. »
Les alphas, nous aimons nos protégés, nos soumis et soumises parce qu'ils nous confère pouvoir, emprise et contrôle. 
Nous voulons paraître de roc, et nous arrivons mieux que la moyenne à nous dominer nous-mêmes (Stoïcisme!) c'est merveilleux!
Mais nous sommes peut-être de ceux qui protègent le mieux nos insécurités et (hopefully) celle de nos protégés. 
Nos rapport de force sont assumés (hopefully ;-) ) et la qualité de nos relations est plus profonde parce que nous jouons directement avec nos insécurités. Celles-là même qui constituent nos abysses.  
Soumis sont puissants. Ils sont les pierre philosophales de nous Alphas. Ils nous confèrent paix, aise et pouvoir (etc, etc.:stuck_out_tongue_closed_eyes:). Et ce au travers leurs peurs de ne pas nous plaire, être adéquats ou autre. Ils jouent et tirent du plaisir au travers ces craintes qui pourraient les terrasser.
Dominants sont puissants parce que nos bras s'étendent pour prendre sous nous un autre individu et c'est nous qui pouvons littéralement devenir maître de son sort. Nous soufflons pour lui ou elle, le chaud et le froid. 
Nos insécurités sont à la source de nos triomphes! :fist::wink::sparkling_heart:            
            
                
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                Par : #
            
            
            
Ma bouche est remplie, mais les mouvements ont cessés, ce que je pense être un gode, reste fixe, mais il semble fixé sur la table, sur laquelle mon torse est plaqué.
il l'est d'autant plus que je ressent un poids, qui m'empêche de bouger, si j'en eu envie.
des doigts saisissent mes fesses et les écartent. Je ressent le froid d'un liquide sur mon orifice, et un doigt s'introduit en moi.
"je te l'ai dit, tu es a moi cette semaine, et je décide de tout, ne  t'avise pas a bouger".
Le poids qui me plaque sur la table, disparait, et j'attend obéissant. j'entend des bruits dans la cuisine, et avoue avoir peur.
Le poids, que maintenant j'ai identifié comme celui de la dame, qui me chevauche, retourne avec ses doigts sur mes fesses, les écartant. 
je ressent une sorte de brulure sur mon orifice, qui progresse en moi. En fait, j'identifie que c'est de la glace qui me pénètre, des petites billes, qui sont des glaçons qui me remplissent.
Les brulures sur mon orifice, s'estompent, mais mon corps veux les expulser, et j'avoue avoir peur d'être à l'origine d'une débâclé peu ragoutante. Je supplie Madame de me laisser aller aux toilettes.
Madame, joue un peu de mon empressement, puis me libère, mais j'ai toujours les yeux bandés. Je ne sais vers ou aller, Madame, s'en apercevant, m'enlève le bandeau, mais l'envie étant tellement pressente je me précipite sur les toilette, ayant peur des fuites, et la débâclé a lieu sur les toilettes.
C'est ainsi que je fis connaissance visuellement de Madame, qui apprécie la situation, me regardant me vider, en riant.
Situation on ne peut plus humiliante.
Je demande l'autorisation de prendre une douche, qui m'est accordée avec un grand sourire, moqueur.            
            
                
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                Par : Maxxence
            
            
            
Révision du monde, sous le signe du "patriarcat".
En lieu et place de proposer des études et des connaissances qui se fondent sur les cadres scientifiques, de plus en plus de publications sociologiques, ethnologiques et cramouille sur le paternalisme, en phénoménologie. Ainsi, pour déconstruire le concept du "mâle alpha" créer de toute pièce par un incertain Schenkel tout juste après la Seconde Guerre mondiale. A-t-on la nécessité, en ce début de troisième décade du XXIe siècle, de forger des arguments à la sauce woke afin de ne pas sombrer dans un propos qui ne serait pas compatible avec la déconstruction et le féminisme politique extrêmes.
Autant en résumé la connaissance contemporaine :  —— Le mâle alpha n'existe pas chez le loup.
Pas plus qu'il n'existe dans la nature animale mammifère, la moindre démonstration d'une prévalence d'un mâle sur la communauté. Voilà-voilà.
Un monde devrait s'écrouler, non pas pour les kéké-alpha, ceux-là ont depuis toujours brillé par la niaiserie de leurs besoins de faire plus que le voisin, sans se soucier de la viande à l'étalage, de la grasse qui accepte volontiers d'exposer ses bourrelets à la cadavérique qui n'a plus de peau sur les os, quiconque à jeter un oeil distrait sur l'iconographie BDSM, à largement de quoi prendre du cliché le plus anorexique aux bottérines silhouettes, que le corps soit mâle ou femelle, cela ne se genre pas ces choses-là, Môssieur !
Qu'ont-ils donc besoin de justifier par des biais méandreux, des sophistications malsaines, dans le but d'acculer le quidam qui n'est en rien responsable de la situation induite par ces sophismes?
En quoi, la terreur, les harcèlements des intersectionnels se légitimeraient du fait qu'un ethnologue à la petite semaine ait un jour cru voir (dans un zoo) un loup qui castagnait les autres et en fit une déduction hasardeuse et oisive.
Qu'est-ce qui pourrait justifier les violences scripturales en bande organisée, lorsque les amateurs de rôles de pouvoir, questionnent les degrés de responsabilité?
Par quelle tricherie, les sectaires de la wokosphère, peuvent-ils détruire les échanges que certaines spécialistes de la philosophie ou de la sociologie des sexualités alternatives et plus particulièrement le BDSM, considèrent comme un des environnements particulièrement conscients des principes de consentements de l'équité des rapports de pouvoir dans le couple, dans les rapports de genre ?
Force est de constater que nous vivons, dans le péribole BDSM, un encerclement par une armée de colons qui s'en prennent aux groupes les plus progressistes de la relation humaine dans ses aspects sensuels, sexuels, sentimentaux, un environnement qui est probablement des plus sensibles aux abus, aux excès, aux dépassements des responsabilités communément engagées.
Comment les acteurs du BDSM peuvent-ils tolérer ces assauts quotidiens, cette pollution des débats, ces attaques jusque dans les plus infimes espaces des relations de pouvoir. Comment, celles et ceux qui s'inclinent, se soumettent, aspirent à être sous le joug d'une amante, car il est notoire que la demande de lien asymétrique est d'abord et avant tout recherché par des individus du genre mâles, loin des salamalecs patriarcaux des porteuses de lances ultra-féministes.
En niant ici, dans le cénacle BDSM, le fait que les personnes qui s'intéressent aux relations de pouvoir, qui s'éveillent aux sensualités atypiques, aux sexualités alternatives, sont soucieuses du bien être psychique, physique de leurs partenaires. Que les notions de genre sur ici, des plus fluides et des mieux partagées, de la soumise phallique à la prêtresse enculeuse, du Totor réac et sectaire à Monsieur Switch for ever, qu'icelle se réveille en icelui, que celui qui dort au pied du lit se réveille perclus de saines douleurs qui font son bonheur d'être sous le joug d'une amante intraitable.
Toutes ces variations amoureuses, sensuelles, sexuelles, démontrent que les attaques dans le domaine du BDSM sont le fruit de personnes ayant ostensiblement le désir de créer de la difficulté, de perturber les débats, de parasiter les progrès et les consciences prudentielles, en détournant du fond, par des artifices, des sophismes pervers, les êtres en désir de sensualité, de plaisir, de jouissances, sont harcelés, poursuivis par quelques intrus véhéments dont la santé mentale est à questionner.
Pour s'en convaincre, il nous suffit de regarder quelques mois, quelques années en arrière, pour nous rendre compte que les vindicatifs, les intégristes déterminés qui ont promu ces idées, qui ont violenté par le verbe de nombreuses personnes nouvellement venues, sans connaissance ou conscience de la présence de ces régiments de forcenés du devoir de culpabilisation de tout homme blanc hétérosexuel. Il est interdit de nommer ici, fait est. Il n'en est pas moins vrai que nous pouvons regarder vers l'Est et ses quelques crânes rasés au genre diffus et à la personnalité définitivement troublé. Nous pouvons sans aucun doute mettre en évidence les propos délétères de personnes transitionné, qui par leurs maux, n'ont de cesse de diffuser une haine des personnes à la vie sociale ordinaire. Il est frappant que des "alliés" des intersectionnels, nous prouvent quotidiennement, qu'à 45, 50, 60 ans et plus, les "grandes révélations" du non-binaire et de la fluidité de genre ou des affres du patriarcat justifie leurs agressions perpétuelles à l'endroit de quiconque s'exprime dans les normes sociales en vigueur aujourd'hui.
Aucune volonté de ces bandes organisées pour instruire toute présence nouvelle, d'y apporter peu à peu une bienveillante instruction, les "éveillés" (comme ils se définissent) agissent comme une secte ou celles et ceux qui ne sont pas dans leurs extrémismes, dans leurs volontés de dresser les femmes contre les hommes, les indéterminés contre le mâle-cis, dans l'unique but de pourrir, de brûler les terres d'un espace que sociologues et philosophes considèrent, à la lumière de leurs études, comme un univers avant-gardiste, précurseur, sensible aux notions de pouvoir et à ce qui en découle tant sur les champs intimes que dans les domaines sociaux.
Les sexualités alternatives ont le bénéfice d'éduquer à la prudence.
Les sensualités atypiques permettent de stimuler les consciences à la responsabilité de soi, conséquences de ses choix, de ses actes pour soi comme sur autrui.
Les amours différentes offrent à celles et ceux qui s'en approchent, le pouvoir de cheminer dans des pratiques qui s'accompagnent de réflexions dont la qualité dépasse le cadre du pret-à-penser, il n'y a que de très rares comportements marginaux, qui sont rapidement mis en lumière, pour démontrer combien ces d'explorations de soi sont propices à la recherche d'un épanouissement intime et non une zone borgne, de non-doit, de prédation hors norme.
Je sais, simplement, que mes pairs dans cet environnement sont largement instruits sur les devoirs de prudences, sur les examens de responsabilités, sur les consciences de la qualité de la communication, qu'ils sont attachés à la qualité de leurs paroles, à la sincérité de leurs émotions, à la vigueur de leurs désirs. Tout ce dont les miliciennes et la soldatesque woke abhorrent.
Par delà de ces êtres acariâtres et malséants, il est un fait : l'amour, le désir, les jouissances seront plus grands, indéniablement riches d'universalités.
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• Science : Les meutes de loups n'ont pas réellement de mâles alpha et de femelles alpha, l'idée est basée sur un malentendu.https://phys.org/news/2021-04-wolf-dont-alpha-males-females.html
• Clichés : « Mâles alpha », « violence naturelle », « exclus du sexe » : ces mythes d’extrême droite qui grignotent le discours sur la sexualité. https://www.nouvelobs.com/idees/20210504.OBS43637/males-alpha-violence-naturelle-exclus-du-sexe-ces-mythes-d-extreme-droite-qui-grignotent-le-discours-sur-la-sexualite.html            
            
                
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