Mademoiselle_Lane
par le 13/07/21
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Ambiance musicale sur laquelle j'ai écrit... https://youtu.be/nz3I6OFXIIg
J'ai soif....
J’étais assise en petite culotte sur mon lit, un simple T Shirt bleu marine léger, laissant percevoir mes tétons libérés sous le tissu. Fièrement dressés
Je réfléchissais à la dispute que nous avions eu. Je savais que j’allais être punie de mon insolence, de ma désobéissance. Ce besoin intense de vouloir prendre l’ascendant était aussi fort de mon besoin de soumission. C’était animal. Je voulais qu’il me possède, qu’il me prenne, qu’il me domine sans me laisser le choix. Je voulais être sa poupée, sa chose, celle à qui il pouvait faire ce qu’il voulait mais de l'autre j'étais cette femme indépendante qui avait soif de s'exprimer.
Cette relation n’est possible qu’en réelle confiance, mais pouvais-je lui faire confiance ?
Cette volonté indépendante est venue au fil du temps où la vie nous oblige à être indépendante, pour ne pas être dépendante de qui que ce soit. C'est une ligne de vie que je me suis faite.
Ne jamais être dépendante..
Il pénétra la chambre, torse nu, avec son caleçon. Je ne voulais pas le voir.
- Je me demande sincèrement si tu as envie d’être soumise à moi. Tu testes toujours mes limites pour voir jusqu’ou je vais.
Je levais les yeux vers lui, perdue. Puis je baissais la tête, je ne voulais pas lui parler, ni lui répondre. Je ne voulais pas le voir tout simplement.
- Attache tes cheveux m’ordonna t il.
Je ne voulais rien lui céder.
- Attache tes cheveux répéta t- il en insistant sur chaque syllabe.
J’obéissais, malgré moi car au fond je voulais cela. Lui obéir . Cette dualité que je ne m’expliquais pas. Pouvions nous être les deux en même temps.. soumise, dominante?
Il s’approcha de moi en me caressant les cheveux puis me murmura à l’oreille.
- Voilà la bonne petite chienne que je veux que tu sois. Ma poupée.
Il caressa alors ma joue tout en tentant de m’embrasser.
Je détournais alors la tête. Je refusais qu’il m’embrasse.
- Regarde moi !
Il bougea son doigt devant moi me montrant le chemin pour le regarder.
J’étais toujours hésitante.
- Regarde ton corps, il appelle à cela. Tes seins qui pointent ( il s’en empara, les sous-pesaient)
Puis toujours de manière animale, il me respira.
- Ton odeur est si intense, je te mangerai bien là de suite ma louve.
- Ne me résiste pas. Ecarte tes cuisses !
Je le laissais faire, comme hypnotisée, incapable de lui résister. J’en avais plus qu’envie, il le savait. Ce besoin d’être traitée ainsi.
Tout le monde ne le comprend pas, c'est bien plus que sexuel.
Je sentais sa main s’enrouler autours de mon cou , m’agrandissant. Cette étreinte encerclante, ensorcelante me faisait défaillir. Il se mit derrière moi Tout en me maintenant contre lui. Je sentais sa respiration au creux de mon oreille. Son autre main en profitant pour s’occuper d’un de mes tétons en le pinçant fortement.
- Oui gémit ma chienne !
Je n’arrivais pas à répondre. Je me débattais.
- Tout doux ma belle effrontée, je vais te remettre dans le droit chemin. Je sais que c'est ce que tu veux au fond de toi.
Sa main se posa alors sur le dessus de ma culotte.
- Regarde combien tu es déjà trempée à travers le tissu.
Il prenait complètement possession de ma chatte avec sa grande main. Il commençait à la claquer de sa main. Je refermais alors mes cuisses
- OUVRE MOI CES CUISSES !
Il resserra davantage son étreinte autours de ma gorge. Son souffle était si animale. Je cédais.
Naturellement je les écartais, en voulant plus malgré moi. Je ne pouvais me défaire de cette emprise qu’il avait sur moi. Cette communion sexuelle et cérébrale. J’acceptais son emprise.
- Je sais que tu aimerais que je te fourre plusieurs doigts ou des queues ou des godes dans ta chatte, ou ton cul, mais tu ne me mérites pas petite salope.
Il relâcha sa main de mon cou, de mon sexe et se leva.
- Rejète moi autant que je peux te désirer ma douce.
- Mets toi à quatre pattes.
Son regard était pénétrant, perçant. Je savais que je devais lui obéir. Naturellement, je me soumettais à lui c"etait plus fort que moi, alors que mon autre voie me disait de ne rien faire. J’étais à quatre pattes, la tête vers le bout du lit.
Il plongea ses yeux dans les miens et appuya sur ma tête.
- Suce maintenant, montre moi tes talents.
Il remonta alors mon t -shirt et caressa mon dos. Puis il s’empara de ma culotte pour la resserrer dans sa main et tendre le tissu comme un string pour jouer avec.
- C’est ça excite toi dessus petite chienne.
Ma bouche glissa autours de son sexe. Je faisais des vas et vient et le contact du tissu sur ma chatte me rendait folle.
- C’est ça petite suceuse, applique toi, mange la.
Il me baisa la bouche, me laissant aucun répit. La bave commençait à couler. Puis il relâcha la culotte et appuya fortement sur ma tête.
- Hum bien au fond, chienne. Garde la. Hum bonne chienne de garde…
Il empoigna ma queue de cheval et pris en charge la cadence que je devais subir. Voila quelle était ma pénitence.
Il me griffait le dos, me fessait intensément et sauvagement la fesse droite. J’avais envie de lâcher un cri qui s’étouffa avec sa queue qui était au fond de ma bouche.
Il posa sa main sous ma gorge pour l’enfoncer davantage. J’avais presque envie de vomir.
- Au final tu n’es pas aussi bonne suceuse que tu le prétendais. Je vais t’apprendre à t’étouffer avec ma chienne.
Je rougissais de cette humiliation. Il se déchaînait. Je savais que c’était sa punition, celle de me mettre à un état de poupée destinée à m’occuper de lui. Sa poupée sexuelle.
Il me tenait par la queue de cheval pour me redresser.
J’étais face à lui.
- Branle moi !
Je m’emparais alors de son sexe pour le combler.
- C’est ça va y… hum ma petite salope.
- Enlève ton T shirt.
Je ne voulais pas obéir. Il me gifla.
- Continue de me défier ma chienne, je vais prendre plaisir à te mater à un tel point. Tu me rends fou.
J’esquissais un petit sourire. Il me gifla à nouveau.
Il prit dans chacune de ses mains mes seins puis glissa jusqu’à mes tétons. Il les pinça. Je retenais mon gémissement pour ne pas lui accorder ce plaisir.
Il le savait, je devinais un sourire caché. Je ne voulais toujours rien lui céder.
Je prenais ce malin plaisir à le masturber comme il l’aimait, je voulais le rendre fou, un peu comme se besoin d'avoir l'ascendant.
Au fond nous étions chacun le soumis de l’autre. Nous ne pouvions exister l’un sans l’autre dans cet univers qui nous est propre.
Il me repoussa, je tombais alors sur le lit.
- Recule. Reste assise sur tes genoux.
J’étais là obéissante, baissant la tête comme ne voulant pas croiser son regard. Comme si cela me permettait d’assumer la chienne qui était en moi.
Il s’allongea sur le dos.
- Viens a moi à quatre pattes.
Il me regardait avec cette intensité
Il tenait son sexe en main. Sans qu’il n’ait à me faire comprendre ce qu’il voulait, j’approchais ma bouche de son gland.
- Pas touche, admire le. Sors moi ta petite langue.
- Voilà qui est bon, je sais que tu aimes cela au fond de toi. Tu peux me rejeter, faire ce que tu veux, je sais qui tu es, je ne te juge pas.
Il me gifla la joue avec sa queue.
- Lèche moi mes couilles.
- Humm c’est bon ma chienne. Tu es si douée de ta langue.
Il se releva un peu pour mettre ses doigts dans ma bouche. Il me pénétrait avec comme pour combler un vide. Je bavais sur sa queue.
Il avança ma bouche à sa queue et avec ses deux mains sur ma tête me forcer à l’empaler dessus.
Il commença à me baiser si sauvagement. Je n’avais aucun répit. Je .bavais encore et encore.
Il pinça alors mon nez tout en maintenant ma tête avec sa main.
- Bonne putain.. hummmm. Je sais que tu aimes ça. J’aimerai tant te voir fourrer par derrière par une autre queue, je sais que tu le voudrais, mais tu n’assumeras pas de me le dire. N’est ce pas ma salope ?
Il relâcha son étreinte. Je me relevais, suffocante ; Cet assaut était si… Je n’arrivais plus à trouver mes mots, ni à savoir ce qui m’arrivait. Je me laissais faire. Je lâchais prise.
Il se releva et me regarda.
- Alors réponds ?
Je baisais les yeux comme un aveu mais ma pudeur m’empêchait de lui répondre.
Il me gifla et serra sa main sur ma bouche.
- Tu me l’écriras c’est cela ? sourit -il. Je sais ce que tu es, qui tu es.
Il me lécha alors le visage tout en me tenant la queue de cheval. Je savais que je lui appartenais dans ces moments là. C’était plus fort que nous..
Tout en me tenant ainsi, il me força à me lever. Une fois tous les deux debout, il me fessa encore et encore. Je ne tenais plus, admettre que je le voulais, j’étais bien trop fière pour lui dire. Je le défiais encore et encore.
Il me jeta au sol. Mon dos était presque contre le lit
- Reste à mes pieds, offerte.
Avec son pied, il m’obligea à ouvrir mes cuisses.
Il me tendit à nouveau son sexe.
- Tu as besoin d’un bon entrainement.
Ma mâchoire ne cessait de craquer depuis que je m’étais fait retirer mes dents de sagesse. J’avais du mal à tenir cette cadence.
- Je veux que tu aies des courbatures. Plus tu t’entraineras, moins tu en auras.
Il me tira par les cheveux et me baisa
- Reste ta bouche bien ouverte.
Je n’avais pas le temps de comprendre. J’étais son petit trou à pipe , comme il le disait sans ses moments d’humiliation.
Il me poussa la tête jusqu’au bord du lit. J’étais prisonnière de cet étreinte.
Il se retira.
- Ouvre ta bouche, salope, sors moi ta langue de putain.
- Tu sais que tu es ma putain ?
Je ne voulais toujours pas répondre. A la fois honteuse et fière.
- TU ne veux toujours pas me parler, ce n’est pas grave.
- Branle moi que j’éjacule dans ta bouche !
Il savait que jamais je ne voudrais.
Il tenait ma tête.
- Je t’ai dit de me branler.
Il me maintenant avec la queue de cheval. Je fermais les yeux. Craintive qu’il éjacule dans ma bouche. Jouait- il avec cette limite ? je lui avais toujours dit de ne jamais la franchir.
- C’est ça , continue bonne chienne. T’es bonne qu’à ça.
Je commençais presque à pleurer j’avais trop peur de cette situation. Je gémissais.
- j''aime te voir ainsi... suppliante.
Je pouvais toujours prononcer notre code d’alerte quand ça allait trop loin. J’étais à nouveau trop fière. Tant de question se posait en moi si je le laissais faire. Lui faire confiance ? vouloir contrôler ? Il me testait.
Je sentais son sexe se gonfler davantage. J’aimais ressentir ce moment où il ne pouvait plus rien contrôler, ou il se lâchait. De l’autre j’avais cette peur qu’il ne franchisse cette limite.
- C’est ça.. ohhhhh ohhhhhhhhhhh ohhhhhhhhhhhh petite vicieuse. Tiens moi bien les couilles.. hummmmm .. allez… s…ors cette ..Lan…gue. Apprécie mon jus.
Il tenait ma tête fermement et à ce moment là il prit sa queue en main et éjacula sur mes seins.
Le temps se figea comme une peinture laissant deviner la sutite.
Il me caressait le visage.
- Un jour tu baveras de mon sperme.. nous avons tout notre temps…
Il se recula et mis ses mains sur ses genoux.
- J’ai pour toi un réel profond respect. Sache que jamais je ne franchirais tes limites.
Il m’embrassa le front.
- Il m’aida à me relever. Il me jeta alors sur le lit et m’y attacha.
Je n’en ai pas fini avec toi. Je te laisse méditer à ta condition.
Je restais ainsi souillée à l’attendre comme une bonne chienne attend son maitre.
11 personnes aiment ça.
O-PEN
Du vécu, et pire encore.
J'aime 20/07/21
Griffon 59
Très joli texte Mademoiselle _Lane...
J'aime 23/07/21