par Rnbi
le 21/08/21
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Je vous ai laissé en m’endormant très vite après ma journée en cage. Le matelas était le bienvenu et c’est Allan qui me réveille pour la préparation du jour.
-«Nouvelle Maîtresse pour toi aujourd’hui alors je vais te refaire une beauté surtout qu’elle te veut féminisé, alors on se dépêche»
Je n’échappe pas à la douche d’eau froide mais cette fois-ci, il me tend une serviette pour m’essuyer.
-«Tu trouveras sur le lit tous ce que tu dois mettre avant de recevoir ta Maîtresse et après tu reviens dans la salle de bains»
Je retrouve mes bracelets qui m’avaient été retirés, un plug de bonne taille, une paire de bas noir avec un porte-jarretelle, un string, une jupe courte en simili noir, un soutien-gorge et un chemisier dos nu noir, une perruque brune et des escarpins avec de hauts talons. Je me presse de m’habiller au mieux et je retourne à la salle de bains où je retrouve Allan qui me réajuste un peu tout pour que je sois présentable.
Il m’assoit sur un tabouret et me maquille comme une star mais je ressemble quand même plus à une fille de joie !
C’est avec la laisse qu’il m’entraîne dans la pièce principale où il me lie les mains et m’attache à un anneau au plafond par une corde qui me tend les bras vers le plafond. Mes chevilles sont écartées par une barre et je suis bien incapable de bouger dans cette position.
Comme d’habitude, Allan s’éclipse discrètement avant l’arrivée de cette Maîtresse.
Je n’aurais pas longtemps à attendre. Je vois arriver ma nouvelle Maîtresse. Elle est assez grande, habillée d’un body en cuir rouge, sur des talons immense mais le plus étonnant sont ces longs cheveux rouges. Maquillée discrètement, elle en impose avec sa cravache en main qu’elle triture comme impatiente de l’assouplir.
-«Bonjour Soumis, il faudra que tu me prouves que tu es capable d’être dévoué corps et âme»
-«Bonjour Maîtresse, je ferais le maximum pour que vous ne soyez pas déçu»
Sur ces quelques mots, elle m’impose le silence et tourne lentement autour de moi, sa cravache vient me caresser comme si elle aussi voulait me découvrir.
Maîtresse me soulève ma jupe et lance un «bien, il y a de quoi s’amuser» . Toujours en tournoyant, elle continue à me découvrir écartant mon chemisier pour faire apparaître mes dessous. Sur le dos, le contact est plus dur. Il faut dire que le dos nu attire la cravache qui me cingle quelques fois mais sans insister.
Maîtresse me détache poignets, chevilles et me tire vers un divan où elle s’assoit élégamment. Avec la laisse et la cravache, sans un mot, elle m’agenouille devant elle. Jambe croisée, elle me fait comprendre de lécher ces escarpins. Je lèche avec enthousiasme et le cuir brille de ma salive. M’intimant de le lui retirer, j’essaye de lui enlever avec douceur. Malheureusement, je ne suis pas très doué et je reçois vite un gros crachat en pleine figure comme signal de sa réprobation. C’est humiliant et je réussis à adoucir mes gestes.
Je met sa chaussure de côté pour lui tendre la main où elle déposera une noisette de crème de massage. Je lui masse délicatement toute la cheville et le pied, puis les orteils un par un en les étirant pour les faire craquer légèrement. J’ai la tête basse mais je crois qu’elle apprécie. La preuve puisqu’elle me tend le deuxième pied pour un nouveau nettoyage de chaussure. Je réussis à lui retirer sa chaussure plus délicatement et j’entame un nouveau massage pour lequel je suis beaucoup plus doué.
Maîtresse ne semble pas pressée et elle passe tranquillement quelques appels téléphonique à ses amies.
Je commence à faiblir. Sans doute l’a-t-elle senti car je reçois l’ordre de la rechausser délicatement bien sûr comme je sais faire sous humiliation.
Elle se relève et me fait faire le tour de la pièce à quatre pattes sans doute pour voir mon allure. Je reçois d’amples coups de cravache sur les fesses pour me faire avancer plus lestement.
Satisfaite, elle me ramène au centre de la pièces pour s’asseoir sur mon dos. Je ne peux voir ce que Maîtresse fait mais je m’attache à rester immobile comme un vrai tabouret.
Elle se relève prestement et me pousse avec son pied me retrouvant ainsi étalé sur le sol. Elle m’entraîne sur le ventre avec ces talons et grimpe sur mon dos en marchant tranquillement depuis mes épaules jusqu’à mes fesses. Je souffre car ces talons fins me rentrent dans les chairs, Je serre des dents mais je ne peux m’empêcher de gémir, la contrariant suffisamment pour qu’elle descende de mon dos pour aller chercher un bâillon boule qu’elle me met prestement en serrant fort la lanière. Elle refait quelques aller-retour sur mon dos avant de me retourner comme une crêpe et me monter sur le ventre. C’est largement aussi douloureux que l’autre face mais le bâillon boule fait son effet et je garde le silence.
Finalement, elle redescend de son strapontin vivant et sors d’une armoire à supplice, un boîtier d’électro-simulation et les accessoires adéquats. Je n’en avais jamais vu de si imposant avec autant d’électrodes. Maîtresse me raccroche à l’anneau au plafond et me remet ma barre d’écartement. Je suis à sa merci.
Elle me remplace le gros plug par un plug électro. Puis, elle dégage mon chemisier pour pincer des électrodes sur mes tétons relève ma jupe pour me sangler ma bite avec un autre accessoire. Une fois, toutes les électrodes raccordées, Maîtresse commence à s’amuser avec les différentes électrodes en passant du plug à mes tétons, puis mon sexe. Je me tord de douleur malgré que l’intensité ne soit pas excessive. Ah mince, elle m’a sans doute entendu car les frémissements augmentent. Mes tétons sont douloureux, puis mon anus, et je ne maîtrise plus rien. La douleur va de l’un à l’autre et même simultanément sur deux, voir les trois en même temps.
Je suis à bout mais Maîtresse s’emballe et je finis par pendre lamentablement sur ma corde complètement vidé.
Elle me détache et je m’étale au sol. Pas sûr que je puissent enchaîner d’autres misères, ce que Maîtresse a compris.
Elle me libère de mes électrodes et fait appel à Allan qui me ramène à ma cellule complètement pantelant.
Maîtresse s’est éclipsée sans avoir oublié de me rassurer sur cette première journée à ces pieds.
-«Tu as été résistant mais demain, il faudra faire mieux et je te réserve une belle surprise. Alors repose toi bien, tu en auras besoin»
A suivre ….
Merci à Ma Maîtresse de m'autoriser à publier ces fictions.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : HCL
Ainsi les cordes étaient venues, vous étiez là, à même le sol, dans cette position d’’exhibition encore essoufflée de l’instant précédant.
Poignets attachés à un bambou de fort diamètre, passant le long de vos bras, les cordes en serpent constricteur, vous y ont immobilisées : Crucifiée. Vos jambes, repliées, obligées à garder la position par le chanvre en d’esthétiques circonvolutions se terminant à vos chevilles. Un dernier brin, pure contrainte perverse, liant le bambou à vos chevilles, vous ouvrant délicieusement, offerte à ma vue dans cette pose impudique : Ecartelée.
Oh… ce n’est pas là une recherche affolante dans les nœuds, pas même dans les passages de cordes, ou les figures, non… Tout cela a été très vite. Un corps à corps tendu, farouche, ou vous ne vouliez céder ni par désir ni par devoir, mais par abandon après avoir lutté, sans vous rendre, me demandant de gagner pied à pied votre corps, votre nudité, vous n’aviez que faire de l’état dans lequel vous seriez, que faire que je dusse pour cela déchirer vos vêtements, pas plus d’attention aux marques de mes mains sur vos poignets, sur votre corps, qu’importe cette lutte, ces traces, vos cris… A vous abandonner, vous ne vouliez pas vous offrir, je devais vous conquérir pour vous posséder.
Votre souffle est encore court, vos yeux fermés. Assis là, entre vos jambes, je profite de la vue, mettant à mal les derniers remparts de votre pudeur de mon index explorateur savourant le satin de votre peau et cette douceur humide entre vos lèvres. Il vous reste encore quelques forces sans doute, vous tentez de vous y soustraire, balbutiant des « non » et autres suppliques dont vous savez très bien qu’ils n’ont pas lieux ici…
Un cri de surprise mêlé de douleur vient contraster avec les murmures que vous aviez juste avant, ma main s’est abattue à plat sur votre pubis, pour vous intimer cette fois l’ordre de votre reddition sans concession. L’exploration reprend alors doucement, séparant lentement vos lèvres, agaçant votre clitoris, le pinçant, le malaxant doucement, cherchant ce bouton sous capuchon, faire éclore le bouton de rose, le sentir doucement gonfler, et voir vos ondulations revenir, mais cette fois sans chercher à fuir mes gestes. Des soupirs naissent alors que je grogne aux plaisirs grandissants.
Vos joues s’empourprent, et là une autre chaleur vient à vous et commence à vous inonder. Continuer lentement cette découverte, ce corps que vous m’abandonner pour la 1ere fois. Je suis le chemin tracé par le trouble naissant, jusqu’à sa source, pour la fouler, la pénétrer un peu plus, plus profondément. Vous sentir vous contracter pour emprisonner mes deux doigts inquisiteurs, vous relâcher aussitôt, comme pour mieux les avaler en vous, cherchant de votre bassin à accompagner leur mouvement, ou à le refreiner, m’offrant ainsi une carte au trésor pour y trouver ce point précis…
« Venez »… « Venez »… D’abord à peine audible, ce mantra roule dans votre bouche, entre incantation et supplique… votre demande de plus en plus pressante, de plus en plus impérieuse… « VENEZ ! »
« Chut… Pas encore », je veux profiter de ces caresses, tour à tour, mes doigts vous fouillent, puis vous écartent, vont et viennent, accélèrent ou s’arrêtent un bref instant… …avant de s’enfoncer comme un coup de poignard se plantant dans votre sexe jusqu’à la garde. Votre corps se tend, se crispe, vos poings se serrent, votre appel ne vient plus de votre bouche, les mots n’ont plus de sens, vous vous évadez dans un ailleurs, vous vous êtes enfin rendu entièrement.
Soyez mienne, maintenant que vos défenses ne sont plus là, je vous possède enfin, ma bouche est avide de vous, elle coure sur votre peau, elle avale vos seins, elle les mord, les suce, les étire, je vous dévore, je m’enivre de vous, et sans plus de façon me plante en vous, sans même avoir pris le temps de me dévêtir. Vagues de plaisirs, elles montent, marée aux parfums âcres de nos effluves. Notre corps à corps n’est plus un combat, nous dansons, portés par cette transe. Vos mots confus, inaudibles, insensés, ne sont plus que des cris animaux, félins, feulement, primal exutoire du plaisir d’avoir perdu pied de ne plus être vous, de me sentir en vous.
Nos chairs mêlés, nos esprits égarés, à bout de force je me suis perdu en vous, nos folies sont venues à bouts de notre résistance à la fin de notre endurance. Allongé sur vous, agonie délicieuse, je cherche l’air, apnée impossible, je sens votre cœur raisonner dans ma poitrine, le mien explose dans mes tempes...
Aujourd’hui, vous et moi devons nous…
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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Le noir. Rien que lui. La bouche ouverte et baveuse sur une boule de cuir attachée fermement autour de mon cou. Les mains menottées autour d’une tringle métallique. J’entendais Ses talons claquer le parquet ciré depuis un long moment désormais. Elle aimait m’abandonner piteusement, nu et encagé, dans un placard où flottaient Ses robes légères et Ses guêpières de dentelle noire. Son parfum m’envahissait, me faisait frémir. Dès que je l’entendais s’approcher, je pensais qu’Elle allait venir ouvrir la porte pour tourmenter un peu plus celui qui éprouvait une Frustration et un Plaisir difficiles à décrire.
Lorsqu’enfin Elle vint constater si je bavais toujours et si je coulais irrépressiblement, Elle se saisit de ma cage, l’entoura de Ses mains, et fit glisser Ses doigts pour effleurer un gland qui n’attendait que ça pour grossir et se frotter aux barreaux métalliques et froids. Elle aimait me voir couler. Deux semaines que je n’avais pas joui. Son sourire en coin, et Sa voix pour me dire que je n’étais pas prêt d’être libéré me faisait tressauter. Je n’étais pas au bout de mes peines. La porte se referma.
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Oui allo, bonjour…
…
– Oui avec plaisir
…
– Quand ?
-…
– Vendredi prochain ? Le 6 c’est ça ?
-…
– Ha non je suis vraiment désolé je ne peux vraiment pas
-…
– Non je suis en congés vraiment désolé, s’il y a une autre date je peux m’arranger
-…
– Non ? Désolé, si jamais une autre date se libère n’hésitez pas à me rappeler, au revoir Madame.
… dingue je viens de refuser une invitation d’un grand DG tout ça parce que dans une semaine à la même heure j’ai prévu de me faire fouetter dans une cave déguisé en femme devant des gens que je ne connais pas….
…10 minutes plus tard on me propose un nouveau rdv pour le mercredi 11 ????
J-7 : j’avoue que je ne suis pas encore sûr à 100% d’avoir le courage de me présenter devant la porte, mais l’expérience est tellement tentante… et je n’ose plus faire machine arrière, Madame m’a gentiment relancé par mail. C’est décidé je ne peux plus faire machine arrière, alea jacta est…
H-6 : j’ai pris mon après-midi, mon sac avec mes affaires est prêt, j’ai du mal à me concentrer sur mon boulot, mélange de craintes, d’angoisse, de curiosité, et aussi d’envie contradictoire de dépasser tout ça
H-1 : je suis passé en voiture pour repérer l’entrée préalablement visualisée sur google street view, une petite porte renfoncée sans signe distinctif, est-ce bien là ? Je sens mon coeur qui s’accélère,… vraiment fort. Dans ma tête deux petites voix s’interpellent
– “tu vas voir ça va être incroyable comme sensations ! Tu as de la chance, tu ne trouveras pas mieux pour une première fois, elle est vraiment gentille douce et vraiment très belle ! Je t’assure je suis sûre que tu peux lui faire confiance ça se passera bien, en plus elle a dit qu’il n’y avait personne l’après-midi, tu t’inquiètes pour rien, en plus elle a déjà tout préparé, l’hôtesse qui doit m’accueillir est très sympathique parait-il”
et l’autre petite voix :
“Non n’y va pas il est encore temps de faire demi-tour, va faire un tour, il fait beau, tu ne te rends pas compte, tu t’es toujours fixé une règle, jamais en club, jamais en public, là tu cumules tout, la soumission, le public,..etc…”
Je gare ma voiture sous la mairie toute proche, il me reste une heure à attendre, trop de stress, je prends mon PC et vais travailler dans le bar en face de la Mairie, je crois que je n’ai jamais traité autant de mails en une heure !!
C’est l’heure, mon cœur s’emballe à nouveau, je retourne à ma voiture échanger mes sacs. J’avance doucement vers l’adresse, normalement une charmante hôtesse m’attend, je dois me présenter comme Camille, elle a des instructions… quelles instructions ???
“Bonjour Stéphanie, je suis Camille, je crois que vous avez des instructions me concernant.” “Bonjour Camille, je suis Stéphanie, je crois que vous avez des instructions me concernant”, non c’est pas ça, les mots se bousculent dans ma tête un peu trop irriguée d’adrénaline. Je ne sais pas si c’est moi qui marche trop vite ou si la porte se rapproche de moi toute seule mais je me retrouve d’un coup devant la dite porte tant attendue et crainte, je ne me rappelle même plus si j’ai sonné ou frappé. Rappelles-toi, “Bonjour Stéphanie, je suis Camille vous devez avoir des instructions me concernant”…
La porte s’ouvre, je m’apprête à réciter les quelques mots comme mécaniquement quand un géant à la barbe de Merlin ouvre, tout d’un coup Stéphanie est plus proche du bûcheron canadien que de la poupée Barbie imaginée.
Un petit court circuit cérébral m’arrête 2 secondes…
– “Euh…. bonjour,….. je suis Camille et….
– “Oui bonjour on est au courant, Stéphanie va venir s’occuper de vous, entrez…”
Finalement le grand gaillard à barbe est plus proche du gentil Père Noël que du bûcheron bourru.
J’aperçois Stéphanie en train d’encaisser un visiteur, diable je croyais qu’il y avait personne… m’aurait on menti ? Madame aurait elle voulu me rassurer en minimisant l’affluence ?
– “Bonjour Camille, je suis au courant j’ai quelques instructions, où préférez vous vous changer ? ici dans l’entrée ? Sinon il y a les toilettes”
Je ne me vois vraiment pas me changer dans cette entrée où commencent quelques va et viens bien trop denses à mon goût
-“Je préfère les toilettes”
– “Parfait, allez-y ensuite je vous donnerais vos instructions”
Je rentre dans les toilettes et ferme le loquet, frêle protection contre ce qui va arriver ensuite, comme dernier moment suspendu .
Je me change, difficile dans cette pénombre, le rouge blafard que diffuse asthmatiquement la lampe ne me facilite pas la tâche.
La clenche se baisse plusieurs fois comme pour mieux me presser, j’entends de nouveaux visiteurs, ça parle ça rigole dans le vestibule, j’ai l’impression que tout Paris s’engouffre dans cette petite entrée, chaque accessoire enfilé correspond l’arrivée d’un nouveau groupe de personne et dire que Madame m’avait assuré qu’il n’y avait personne le vendredi après-midi, ai-je finalement écouté les conseils de la mauvaise petite voix qui m’a guidé jusqu’ici ?
Ca y est j’ajuste ma perruque, mes affaires “civiles” sont au fond du sac, je regarde le loquet, dernier rempart protecteur contre mon futur proche, le bruit sec libère l’ouverture de la porte, Camille fait face au public qui est massé dans l’entrée, je sens quelques regards des hommes et des femmes qui attendent manteau à la main, les discussions continuent. Je baisse les yeux, je ne vois personne, me persuader qu’il n’y a personne autour de moi, non, non il n’y a personne.
Stéphanie me complimente sur ma tenue et me demande de la suivre, elle est charmante, de longues jambes fines mises en valeur par des talons aiguille. Elle me demande de descendre les escaliers, je descends doucement, trop doucement, vite, vite allons en bas il dois y avoir moins de monde, à chaque marche descendue la vision du sous-sol se découvre lentement à mon regard.
Mon Dieu, il y a des gens au bar, et assis à toutes les tables, mon cœur s’emballe à nouveau j’ai à peine le temps de prendre la mesure du piège dans lequel je suis tombée que Stéphanie me demande de m’agenouiller par terre au pied des escaliers juste à côté d’un groupe de trois personnes, un homme et deux femmes. je m’exécute, je suis à genoux, assise sur mes talons aiguille je baisse la tête pour ne pas voir les invités et me cacher moi-même par la même occasion.
Je vois les jambes de Stéphanie qui remontent l’escalier, j’ai l’impression d’être abandonnée,combien de temps dois-je attendre, est-ce déjà une punition ? Madame m’avait demandé d’être à l’heure, j’espère qu’elle ne va pas tarder. De la peur de rencontrer Madame, j’ai maintenant hâte qu’elle vienne me sauver, qu’elle me fasse n’importe quoi pourvu qu’elle m’extrait du regard des autres. Le pire c’est les bribes de conversation du groupe derrière moi je perçois un mot de temps en temps, les femmes posent beaucoup de questions, l’homme semble habitué à l’univers.
blabla…belles jambes pour un travesti…blabla…pourquoi à genoux…blabla…c’est comme un rite…blabla…montrer sa soumission…blabla…position d’attente…blabla…respect…blabla…
les mots se bousculent je sais qu’ils parlent de moi, j’ai les yeux baissés, je ne vois que mes cuisses. Je m’aperçois que les jarretières de mes bas ne sont pas tout à fait alignées, j’espère que Madame ne le verra pas… je ne sais pas depuis combien de temps j’attends j’ai l’impression d’une éternité… quand va elle arriver me sauver ??? Un visage, une voix déjà entendue me manque tout d’un coup.
Mes genoux commencent à être douloureux et à genoux sur mes talons aiguille n’arrange rien
derrière la conversation continue…blabla…cage de chasteté…blabla…
D’autres personnes continuent de descendre cet escalier, de plus en plus de monde, est-ce que ça va s’arrêter ? J’en entends encore d’autres, je ne vois que les chaussures, qui défilent sous mon regard, des chaussures d’hommes, des escarpins,…
Tout d’un coup je sens deux mains me prendre le visage comme on prend affectueusement le visage d’un enfant, une voix douce, me demande de me relever, je ne me rappelle même plus des paroles mais elles sont pour moi comme une libération, heureuse, enfin sauvée alors que ça n’a même pas encore commencé. Madame est toujours aussi belle, elle me présente à ses deux amis qui me paraissent charmants, je dois maintenant l’aider à se transformer, je deviens l’actrice de ma propre soumission.
Me voilà maintenant dans une alcôve bien accueillante et moins peuplée malgré quelques regards curieux, Madame commence à se dévêtir et je participe à cet effeuillage, elle sort ses bas, porte-jarretelles, chaussures, il fait sombre, j’adore cette ambiance tamisée qui laisse deviner les formes sans les dévoiler complètement.
Je suis accroupie pour mieux libérer Madame de ses vêtements, ses jambes se dévoilent, elles sont fines, magnifiques, le dernier rempart de la pudeur tombe au sol.
Elle s’assoit et tend ses jambes vers moi pour que je lui enfile ses bas, je sens un gonflement entre mes jambes, alors que je suis dans mon univers érotique préféré, étonnamment le réveil de ma partie masculine n’est que bref, ma concentration pour enfiler correctement les collants est telle que mon esprit masculin n’est pas capable de gérer les deux.
J’ai dû enlever mes gants afin d’être plus précis dans mes gestes, je remonte les bas doucement le long des longues jambes de Madame, je sens à la fois le nylon que j’adore et la peau si douce de Madame. Les deux bas sont enfilés, elle se lève mon visage est maintenant à la hauteur de son entrejambe, j’ai une envie irrésistible de déposer un baiser sur ce triangle à portée de lèvres. mais cela ne se fait pas, je ne veux pas faire honte à Madame, je remonte très haut ses bas et mes phalanges touchent doucement son entrejambe, elle ne dit rien et est attentive à mes mouvements.
Je dois maintenant attacher son porte-jarretelle, il fait noir je n’y vois rien, mes doigts essaient de trouver les minuscules crochets, les fesses rebondies de Madame sont magnifiques, que j’aurais envie de les embrasser, mais ça ne se fait pas. Je suis tellement concentrée que je ne bande même plus je n’ai même plus le temps d’y penser je veux juste que Madame soit fière de mon travail.
Ouuuppss, une petite erreur, il faut recommencer, je suis à la fois désolée de cette erreur et ravie d’avoir à recommencer et prolonger ainsi le plaisir. Je lui enfile ses talons, j’ai l’impression d’être dans un rêve, je l’aide à enfiler sa robe qui met en valeur sa poitrine ferme et qu’elle porte fière. J’ai envie de lui embrasser les tétons de jouer avec du bout de ma langue, mais ça ne se fait pas…
Il est temps de passer aux choses sérieuses, que va-t-il se passer maintenant ? Je suis Madame dans sa longue robe, elle est aussi belle et désirable qu’inaccessible et qu’impressionnante.
Nous arrivons dans cette salle qui me parait immense comparée à l’alcôve que nous venons de quitter. Madame enlève sa robe, elle a une poitrine vraiment magnifique, j’ai l’honneur de devoir l’attacher au niveau des poignets, son Maître me demande de la caresser je ne me fait pas prier, j’en profite pour caresser ses seins qui me font si envie je regrette d’avoir mes gants, je ne peux profiter de ce trop court instant comme suspendu dans le temps. On m’invite à m’asseoir en face. Des spectateurs commencent à faire un demi cercle pour profiter du spectacle, il y a une autre travestie qui assiste à la scène.
Je suis maintenant assise pile en face de Madame qui est passé en un instant de Maitresse à Soumise, elle a maintenant un bandeau sur les yeux, les bras en l’air, sa poitrine dégagée, la lumière rouge tamisée diffuse derrière et découpe la silhouette parfaite de Madame qui n’est plus que l’ombre de celle qui me demander de la vêtir.
Ses jambes sont légèrement écartées droites, magnifiques. J’ai une envie irrésistible de venir me mettre à genoux devant elle et de venir lui embrasser les jambes et remonter doucement vers son entrejambe pour goûter à ce fruit défendu. Alors même que ma partie masculine commence à se sentir à l’étroit entre mes jambes croisées, son Maître lui afflige un premier coup ce qui calme dans la seconde mes ardeurs masculines.
Mon cœur manque de sortir de ma poitrine sur 3 battements, les seins de Madame s’agitent sous les coups, Dieu que c’est beau de la voir s’abandonner, les coups vont crescendo, je n’arrive pas à décrocher mon regard de cette poitrine qui s’agite. Le bruit des coups m’impressionne, je ne réalise pas encore que je vais être à sa place, maintenant son Maître viens la caresser entre ses jambes j’aimerais encore venir l’aider, étonnement je n’ai même pas envie de lui faire l’amour juste de sentir ma langue s’enfoncer doucement pour son plaisir. Les coups pleuvent de plus en plus fort et de plus en plus vite même sur cette poitrine, on sent que la violence des coups s’approche de la limite de Madame mais elle a confiance, ça se sent, elle se donne en spectacle et elle a des spectateurs, je sais qu’elle aime ce théâtre. Les spectateurs passifs semblent hypnotisés par la scène et ils peuvent maintenant entendre la jouissance de Madame se libérer. Madame tient à peine debout et semble épuisée. On la détache, j’ai envie de la prendre dans mes bras pour la soulager et lui dire mon admiration. Mais il semble que c’est à mon tour, je passe de l’anonyme spectateur à l’actrice passive, il y a beaucoup trop de monde autour à mon goût, beaucoup trop, Camille est très timide.
Mais je suis là aussi pour connaitre cette nouvelle sensation alors je me laisse faire, j’ai pleine confiance en Madame et je la laisse m’attacher les poignets, il commence à y avoir du bruit autour de moi, des conversations, du mouvement.
Madame utilise un bas pour me bander les yeux, j’adore, je suis maintenant dans le noir, mon sens favori est annihilé. Madame me sussure des mots à l’oreille, sa voix est à la fois douce et ferme, étrange sentiment émotionnel.
Je sens maintenant de petits coups pas très agréables sur les fesses, le haut des cuisses, je m’attendais à un martinet mais ça doit être une badine, plusieurs petits coups rapides, j’avoue que je n’aime pas du tout, puis un blanc, j’attends, quelle va être la suite ? La même chose plus fort ? Je ne supporterais pas cette sensation.
Puis tout soudain je sens des lanières qui me caressent doucement le dos comme pour bien me faire comprendre de profiter quelques secondes de ce moment de fausse douceur.
Le premier coup est pour mon postérieur, je sens qu’elle relève ma jupe, le second est plus fort je serre les mains accrochées aux poignées qui pendent du plafond, je ne peux me libérer et reste prisonnière, le troisième coup est encore plus fort dans le dos, je sens une décharge dans toutes mes jambes, incroyable sensations jamais ressenties, mes jambes ne sont plus que du coton je serre les poignées de plus en plus fort et pourtant je cambre les reins pour présenter encore et encore mes fesses au supplice, les lanières me caressent maintenant le dos.
Madame vient me chuchoter dans l’oreille, je sens son souffle sur mon lobe, ses paroles sont denses comme un liquide qui entrerait dans l’oreille et iraient directement irriguer le cerveau, il n’y a plus de filtre, mes sensations sont directement connectées à la voix de Madame et aux coups qu’elle m’inflige, il n’y a tout d’un coup plus personne autour de moi mon cerveau a fait le vide, il y a Camille, Madame et son martinet.
Maintenant je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et qui s’agrippe fermement à mes bourses juste pour me rappeler ma condition masculine soumise. Je n’arrive pas à bander mais je sens la jouissance. Le coups reprennent, je n’entend plus rien autour de moi, je sens des mains qui me caressent les jambes, quelqu’un est à mes pieds et profite de mon corps sans que je ne puisse et ne veuille rien faire. Mon abandon est total, j’ai joui, sans jouir, une grande première pour moi.
On me détache, ça n’a pas dû durer très longtemps mais je suis épuisée, mes jambes me tiennent à peine ma respiration forcée a dû suroxygéner mon cerveau car mon esprit est complètement embrumé, suis épuisée mais heureuse d’avoir franchi le pas dans ce nouveau monde pour moi.
Madame a été parfaite, rassurante et ferme, elle m’a beaucoup apporté, j’espère qu’elle a eu elle aussi plaisir à m’accompagner dans ce parcours initiatique. Je mets plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Ca y est je l’ai fait.
Nous descendons au bar, scène surréaliste, une femme nue sous sa robe largement ouverte sur son intimité, deux hommes qui discutent deux travestis autour de la même table… rien ne semble étonner les convives. Comme si cela ne suffisait pas une charmante jeune femme vient se joindre à nous avant de se faire dénuder, attacher et suspendre au plafond…
Je prends congés, le papillon se transforme à nouveau en chenille dans les mêmes toilettes, je rentre chez moi il semble que je sois seul encore 1/2h je ne peux résister de me caresser en rejouant la scène dans ma tête comme si j’était sorti de mon corps et assister à ma propre flagellation, je revois l’ombre chinoise de Madame, ses longues jambes gainées de nylon, sa poitrine fière qui s’agite, tout s’accélère dans ma tête, je jouis, étonnamment ma jouissance est légèrement douloureuse, est-ce dû à cette jouissance non aboutie tout à l’heure… mon dos me brûle tout d’un coup, tellement que je dois allais voir dans un miroir si il y a des marques dans le dos, je suis rassuré, aucune marque, Madame me l’avait promis.
Ca y est il y a maintenant du monde dans la maison, je redescends sur Terre, Madame m’a sorti de mon quotidien pour m’accompagner sur une autre planète, bien bien loin… et j’ai aimé ça…
merci Madame ????
Votre dévouée
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Par : Lady Spencer
Plusieurs personnes dont Tendresseab voudraient avoir des conseils sur le marquage au fer : je propose ici un récapitulatif non exhaustif sur cette pratique EXTREME : il ne s'agit pas d'un simple tatouage, il s'agit d'une brûlure bien réelle, qui est réalisée pour durer plusieurs années.
D'où une réflexion profonde à discuter entre deux personnes au sein de la relation DS, et pas, à mon sens, un désir de poser son empreinte sur un coup de tète !
Je ne place dans cet article QUE mes avis et ma pratique, sans exclure d'autres avis bien-sûr, toujours les bienvenus, en précisant 2 points importants :
j'ai réalisé 2 marquages au fer rouge
je suis infirmière, ce qui a facilité l'approche de la technique et les soins "post-op"
Je n'aborderai pas les désirs de marquage : ils sont propres à chaque couple et ne se discutent normalement pas .
Que l'on trouve cette pratique extrème, oui car c'est le cas : mais merci de ne pas porter de jugement hâtif sur le bien ou le mal de cet acte
Voici donc quelques conseils techniques sur les fers en alliage de bronze : pour les autres fers, voir avec le créateur du fer
l'emplacement du marquage : toutes zones charnues du corps (fesses, bras, cuisses, abdomen, épaules, seins.....)
Eviter les zones cicatricielles, zones de peau fine, zones osseuses
Le fer de grande taille, devra être en contact complet avec la peau
l'état de santé de la personne marquée : ne pas réaliser le marquage lors d'une maladie même bénigne , reporter l'acte .
Précision qui peut sembler "logique" mais qui ne l'est pas tant que cela : si la personne devant subir un branding est en phase dépressive, ne pas pratiquer l'acte non plus : physiquement, les brûlures peuvent être beaucoup plus difficiles à cicatriser, et psychologiquement, le vécu du branding peut en être modifié
réalisation : contention de la personne : ça me semble indispensable !
Le fer est chauffé entre 800 et 900°, son application est certes brève mais la douleur est très violente : attacher sur une table par ex, bras et jambes solidement écartés et immobilisés pour éviter tout mouvement incontrôlé
bloc de glace : pour analgésier la zone, vous pouvez mettre un bloc de glace pendant quelques minutes avant (enveloppé dans un tissu et sorti du congel 1/4h avant le marquage : sinon,risque de brûlure par le froid)
L'analgésie n'est pas recherchée par tous, à voir selon vos désirs
asepsie : la zone de marquage sera lavée eau et savon, rinçage +++ et séchage +++ (rasage éventuel)
puis, compresse alcoolisée (alcool à70°) à passer sur la zone large
préparation du fer : prévoir un récipient pour poser le fer en fin de marquage
Le chauffer sur une flamme de type camping gaz par ex, jamais sur un brasero qui laisseraient des résidus charbonneux (tant pis pour le coté western)
Précision : commencer par chauffer l'extrémité du fer (jointure) et finir par le fer lui-même
Conseil : lors de cette phase, mettez vous dans la pénombre pour surveiller la couleur de chauffe : le fer ne doit jamais être ROUGE VIF, pour un fer en bronze
2 à 3 minutes suffisent pour atteindre la bonne température
Lorsqu'une couleur rouge sombre apparait sur les extrémités du fer, le sortir de la flamme et attendre 5 secondes environ pour que la chaleur se répartisse dans tout le fer : la couleur rouge sombre disparaitra alors.
Le fer est prêt pour l'application
Application : d'une main ferme, geste sûr, sans trembler, appliquer le fer sur la peau , sans forcer (vous constaterez combien le fer pénètre la chair)
Temps de pose : ATTENTION : 2 à 3 SECONDES, PAS PLUS (c'est long pour celui qui reçoit et très court pour celui qui applique)
Entrainez vous avant, avec le fer froid sur un tissu par ex : vous pouvez prononcer une phrase calmement, du style "Par ce fer, je te marque"
Pour stopper la brûlure qui continue après le retrait du fer, posez immédiatement le bloc de glace avec une compresse sur la plaie.
Là, c'est un instant d'émotion pure : je ne vous donne aucun conseil (sourire)
Soins post-marquage : le but du marquage par brûlure de la peau, est de la remplacer par un tissu cicatriciel donc, les soins sont essentiels
La cicatrisation sera plus ou moins longue (3 à 4 semaines, voire plus)
La plaie sera de suite nettoyée avec des compresses stériles et du sérum physiologique à 0.9 %, pas de coton qui s'accrocherait et laisserait des micro fibres .
Pansement tous les jours la 1ère semaine puis tous les 2 jours
Si plaie inflammée (rouge et sensible) : nettoyage à la Bétadine (jaune)
Protéger la plaie avec un pansement sec, compresse et pommade pour brûlure ou avec un pansement hydrocellulaire (vendu en pharmacie suivant la taille)
Ne jamais gratter les croutes, elle tomberont seules
Si un problème infectieux survient, rougeur anormale, douleur lancinante, fièvre....consulter immédiatement un médecin et ne pas hésiter à lui expliquer le marquage : il n'est pas là pour juger mais pour vous aider et vous soigner
Le marquage obtenu aura une couleur nacrée dans les semaines suivant la fin de la cicatrisation : plus visible sur une peau bronzée par exemple
Conseils en collaboration avec Marc Sainteul de "Corpus Delicti" ,créateur de bijoux BDSM
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Par : Abyme
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Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre.
Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée.
Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses.
?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes.
À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude ....
Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi
Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme .....
_________________________________________________
Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : BDSM
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins).
Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article.
Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre :
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey
(à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ).
Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage.
On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ?
Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).
...
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Par : maitregold
Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir..
Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir.
Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin.
En attendant la vie avait repris son quotidien.
Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore.
En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes.
Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto :
- « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... »
puis :
- « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée »
A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre.
Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant.
Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante :
- « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir »
et de rajouter :
- « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc »
La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité.
Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée.
La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous.
Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait :
- « Vous êtes très belle mademoiselle... »
Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment :
- « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment.
Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir...
Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là...
Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles...
Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer.
Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit.
Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre.
Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir...
Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait.
Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer.
Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous.
La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins.
D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru.
C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur.
Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes.
Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine.
Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment.
Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée.
Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre.
Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer.
Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée.
Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi .
Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment.
Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable .
Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela.
Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite..
J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations..
Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux.
J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises.
Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore.
Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul.
Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors.
La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer..
Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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"Tu vois, un bon Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut l'attirer. Et un mauvais Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut la tirer"
(c) Jidé, inspiration libre des Inconnus (sketche des chasseurs) XD
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Ont se fait toujours une idée de la réalité ne considérant pas qu'en vérité elle est déformée.
On attend le superhéros, son héroïne celui/celle qui nous donnera vie. On se dit qu'une fois attrapé(e) on va le/la mettre en cage, une bonne fois pour toute et qui plus est, pour l’Éternité.
Voilà la seul réalité... La vérité à reconsidérer. Le quotidien des ménages Français, leurs cinq à sept pas franchement désopilant. Les trois coup vite fait inscrit sur le semainier, le frigo qui s'ouvre et se ferme et le troisième samedi du mois où l'ont sait qu'il va falloir être au Top...
Parce que la quinzaine est déjà dépenser, c'est à la maison dans un recoin de son monde, que s'apprête à vivre l'extase d'un moment toujours bien trop court, l'orgasme que Madame à demandée.
Expressément, accessoirement, rudement, tendrement aussi au début bien entendu.
Et il faut se faire à cette idée !! Bander sur ordonnance, à la commande.
Celui qui sait qu'après tant d'années Madame sera toujours aussi séduisante, il sait également que, seul, dans son froque, Mister SuperHéros n'est pas toujours du même avis bien qu'il se languit d'avoir au lit son Héroïne.
Sentir si là journée c'est bien passer puis finir par quand même le demandé pour ne pas qu'elle hurle son manque d'attention.
Se rapprocher pour qu'elle puisse, à son tour, sentir la domination, toutes les situation qui auraient pu nous faire flancher.
Mister SuperHéros à demi-molle sais bien faire savoir lui aussi lorsqu'il y a de l'inattention. Un manque de considération, la réalité des faits, la seul vérité.
Madame ne se soumet pas, nous lui soumettons les idées du débat. Elle décide de la vérité à observée et dans la réalité nous mettons à contribution ce qu'elle aura décider et que nous aurions valider, expressément, accessoirement mais surtout tendrement au début, bien entendu.
Poussez-vous je fais le ménage devant ma porte, je passe un coup de balai, il n'est pas midi mais ça ne saurait tarder. Autant de proverbe que ce que le vent emporte le temps. Tant de principe de vie, autant en philosophie.
Madame attend mais est-ce qu'elle sait seulement qu'en moi sommeil un superHéros. Parfois laid, tantôt beau, sur du papier glacé ont voient tout le temps le reflet d'une fausse réalité, en photo et, mis en scène, c'est parfait j’achète. Le prix à payer de la dur réalité des faits.
Tantôt bon ou plutôt mauvais en moyenne c'est trois minutes que cela me prend pour vider... mes valises. Je m'attache vite, je déteint rapidement.
Je râle souvent, éternel insatisfait, perfectionniste et persévérant.
Madame devra se rendre compte du temps que j'ai à lui offrir c'est un cadeau, un présent. Un patient, impatient.
Et puisque ma notoriété laisse à désirée est-ce qu'elle saura dominé la situation ???!!
Plus aucun doute... Elle attend aussi quelque part, là où se perd se tas d'années. Un refrain, j'avoue, l'une d'entre elle me l'as soufflée.
Maître Lasky
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