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le 30/09/21
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Te voilà partie en week-end avec ton amie qui conduit une petite voiture. c'est une jolie brune d'un mètre 68 environ un tout petit peu plus grande que toi, un peu plus âgée d’un an ou deux l'ambiance est bonne vous discutez écoutez de la musique quand soudain le GPS se trompe et vous dirige sur une petite route de campagne mais l'humeur aidant vous décidez de poursuivre la route. la nuit tombe l’orage gronde soudain la voiture tombe en panne . rien autour de vous sinon la nuit sombre pas de réseau non plus c'est très embêtant mais vous apercevez de petites lumières diffuses d'une maison ou plutôt une demeure et vous décidez d'aller demander de l'aide . la pluie tombe soudain drue et vous voilà trompées sur le perron de la maison vous sonnez une ou deux minutes plus tard la porte s’ouvre une femme d'une quarantaine d'années grande et belle vous accueille et après lui avoir raconté votre aventure elle vous demande de vous installer dans le salon vous apporte des boissons chaudes. vous êtes fatigués est buvez avec plaisir le breuvage. Une torpeur s’empare de voux deux et vous sombrez dans le sommeil.
•
Tu te réveilles enfin doucement un peu groggy, la pièce est sombre tu devines la lueur des bougies et les paroles diffuses de plusieurs personnes.
Effarée tu te rends compte de ta nudité mais surtout des entraves aux chevilles et poignets et en tournant la tête sur ta gauche tu apercois ton amie dans les mêmes conditions
Vous êtes toutes deux sidérées surtout quand la femme de l’entrée vous montre le document que vous avez signé toutes les deux dans lequel vous acceptez de vous soumettre durant cette soirée en échange de l’aide et de l’hospitalité de vos hôtes
Abasourdies vos regards se croisent et acceptez la proposition. La musique douce envahit la salle, un homme vous dirige vers 2 roues une affichant des numéros et l’autre des symboles
Vous êtes devant les symboles et regardes ton amie nue si desirable et impuissante devant les chiffres
Deux hommes déshabillent votre hôtesse encore plus belle dénudée sur ses talons aiguilles ils l’amènent devant une table l’obligent à se pencher puis Luis attachent les chevilles aux deux pieds de la table et les bras sont étirés pour la maintenir pliee fesses pointées vers l’assistance composée d’hommes et femmes nus et masqués
On vous intime l’ordre de tourner les roues
La tienne indique une longue badine tandis que l’autre indique 20
Une femme s’approche se saisissant d’un bâton fin et long puis vous entendez le sifflet de la badine fendant l’air et s’abattre sur les fesses, une marque rouge zèbre la chair dans un cri étouffé et là vous comprenez le jeu
Les coups s’abattent lentement les marques augmentent et la femme ne peut plus retenir ses cris et ses pleurs tout en décomptant les coups
Vous regardez votre amie et vos regards sont emplis de désarroi et de peur imaginant subir le même sort
Le femme est détachée son visage inondé de larmes mais elle s’approche de son bourreau l’embrasse à pleine bouche et la remercie...
La femme s’approche de vous et vous demande de choisir sexe ou sado
Refusant les coups vous optez pour sexe ne sachant pas à quoi cela vous expose
La femme va oser la même question à votre amie, si elle donne la même réponse se sera sexe sinon l’inverse de vos choix
....vous tremblez à l’idée d’etre fouetter au sang mais votre amie a choisi sexe également
La femme vous met face à face et vous demande de jouer ensemble
Vous hésitez autant l’une que l’autre quand l’hôtesse vient vous susurrer à l’oreille le risque du fouet
Ta main saisit le sein de ton amie qui le yeux éberlués par l’audace autant que la crainte se saisit du tien
Tu ne réfléchis plus et passant tes bras au dessus de sa tête l’embrasses timidement au début puis avec fougue quand ton amie se livre enfin
Vos mains jouent avec vos chairs vos bouches s’enivrent de la peau de l’autre et sans résistance ni même réfléchir votre amie s’allonge sur le dos et vous vous positionnez en 69
Vos langues lèchent vos boutons et vos doigts fouillent vos grottes
Votre amie se livre totalement à vos caresses
Vous vous apercevez au dernier moment que les hommes vous rejoignent quand tu aperçois un sexe épais tendu pénétrer ton amie au même moment que tu sens une queue t’ouvrir et s’enfoncer en toi
Ils jouissent en vous libérant des jets brûlants de sperme puis un autre emmanche ton amie et un 2eme pour toi les mains pétrissent vos hanches d’autres plus fines jouent avec vos seins pinçant vos tétons sous vos râles
Vous êtes toutes les deux dans un état second quand les jambes de ton amie sont tirées en arrière dévoilant son œillet
Une verge en erecttion investit le cul de ton amie dont le cri étouffé et ses mains crispées sur vos cuisses indiquent la douleur de l’intrusion mais tu n’as pas le temps de réfléchir que ton fondement est investi aussi
Soudain ton amie crie sa jouissance
Les hommes se suivent maintenant chez elle chez toi dans vos vagins vos anus
Vos orgasmes s’enchaînent
Le calme revient peu à peu
Quand la maîtresse de maison pousse vos têtes vers vos grottes et vous demande de les nettoyer
Vous léchez tout le foutre qui ruisselle des orifices déclenchant de nouveaux orgasmes
La fatigue la peur rétrospective et tous ces coits ont raison de vous et vous sombrez tête bêche dans le sommeil
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Suggestion
Par : Parloire
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise..
D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant.
Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes.
Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même..
En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^
.
L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s.
Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul...
Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales:
Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues.
La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire.
La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran.
Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas.
La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée.
Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre...
A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien :
Exploration de soi
Exploration de soi à travers l’autre.
Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe.
Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle.
Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : M des Sens
Histoire d'un passé....bien éloigné, d'un monde que j'ai connu, qui me fit "naître" et "Être"
..............
Je m’approchais du premier bocal.
La main un peu tremblante, j’y plongeai la main pour en ressortir un petit bout de papier plié en quatre….
Serge, mon « Mentor » en ce Jardin des Sens, se trouvait derrière moi….et je me souviens de son ricanement moqueur à mon sujet….
….
Je dépliais le papier…
En de belles lettres, dans un style d’antan, y était écrit…simplement…
Je montrai à Serge ce bout de papier, avec une petite fierté..
J’avais donc le droit de me présenter devant le deuxième bocal…
Je tendis le papier à notre hôte de « Cérémonie »…
A nouveau, je pris un papier…
Dans la même écriture, le mot « Bukkake » s’y trouvait….avec un nota bene…
Là, fut mon étonnement, je ne savais ce que c’était…
J’ouvris des yeux des plus étonnés, et me tourna vers Serge en lui montrant, alors que lui-même venait de tirer le même papier de « Participant »…
, me dit-il en rigolant….
Je déplaçais alors vers le troisième et dernier bocal, tendant, une fois encore ce papier de providence ou de malchance.. Peut-être…
Un simple numéro se trouvait présent…:
Étrange jeu de chance, mais, je savais que j’allais encore découvrir biens des choses en mes pas de ces jeux de Sens…
D’autant que, Claire et Serge avaient, tous deux, un malin plaisir de se jouer de moi en ne me dévoilant que peu de temps avant « l’évènement » ce qu’il allait se passer…
….
Je me retrouvai avec une multitude de questions quant à ce fameux « Bukkake »…
Une pratique ?
Un accessoire ?
Et puis, à quoi pouvait bien servir ce numéro…..
Mais l’heure n’était pas encore aux réponses…Je le savais…
Nous étions là, dans cette somptueuse demeure, avec d’autres convives depuis près de 2 jours…
Nous avions reçu l’invitation d’amis pour fête l’anniversaire de la Dame des lieux…
J’adorai ces petits week-ends, qui étaient pour moi, la découverte, à chaque fois, de ce Jardin d’indécence …et qui plus est, toujours dans des situations vraiment différentes de ce que j’avais pu vivre jusqu’alors…
Le thème de ce week-end, en sus de l’anniversaire de notre convive, était l’époque napoléonienne….
Et j’avoue, pour la gente féminine, les tenues de cette époque laissaient libre évasion du regard sur les belles robes d’époques…invitation à s’engouffrer sous cette longueur trainante….et laissant deviner les courbes, en de beaux balcons, des Monts de ces Dames…
Mais l’heure fut de se préparer pour l’apéritif….qui sonnait le début des « festivités » encore inconnues …. pour moi
Serge et moi, nous nous étions rendues directement aux bars. Vêtu comme des Nobles de cette époque...
En bottes de hussard, qui claquait à chacun des pas, un « pantalon » d'époque bien moulant, blanc, rehaussées sur le devant par des boutons dorés, disposés sur chaque flan, permettant de laisser l'ouverture facile pour l'accès à cet « instrument » fort utile quand le besoin physiologique se fait présent....(mais pas que...)...Une chemise tout aussi blanche et à l'encolure droite, qui donnait à la tenue de tête un aspect bien strict...Une veste des plus cintrée, dessinant bien le corps, très haut sur le devant, presque à hauteur de nombril, et très longue sur l'arrière, presque comme une queue-de-pie...Le col en était tout aussi droit que celui de la chemise...
Serge avait agrémenté sa tenue identique à la mienne d'un beau couvre-chef, et d'une belle canne, qui, plus tard, servit à ses fins sur sa belle Claire....
A l'arrivée au Bar, nous avions reçu une cocarde, que nous devions arborer sur notre veste...Chaque cocarde correspondait à un thème qui allait suivre...
La mienne avait juste une Lettre « B », certaines avec un numéro en plus, d'autres des lettres différentes....Certaines avec « S », je compris, plus tard signifiait « Spectateur », d'autres avec « F », signifiaient « Fouet ».....
Lorsque je reçus la mienne, en échange de ce fameux passe, on me dit que je devais également profiter pour trouver le « 3 » qui m'était associé....
L'ambiance était des plus conviviales près du bar. J'admirai les belles, mais aussi les messieurs dans ses tenues vraiment plaisantes.
Les discussions étaient des plus variées, allant de la vie de famille aux trouvailles nouvelles de certains à user dans ces Passions des Sens.
J'aimais me retrouver dans ces genres de rencontres, entre découvertes et vivre un jeu de rôle le temps d'un week-end grandeur nature...Un dépaysement total et des plus variés.
J’aperçus alors, une damoiselle, dans une belle robe d'un vert « Pistache », très élégante dans cette tenue qui arborait la fameuse cocarde que je devais trouver...
Elle n'était pas tellement à mon gout physiquement, certes, pas laid, mais loin de mes propres critères de la gente féminine....
Je m'approchai d'elle pour me présenter...et entamait la discussion lui indiquant qu'Elle devait être celle qui devait m'accompagner pour ce fameux « Bukkake », dont, encore je ne savais vraiment rien....
Je me souviens qu'elle fut très amusée que je ne connaisse pas cela....
Ce qui eut le mérite de me détendre ...car il faut bien le dire, malgré cette tenue que j'arborai avec fierté, je n'en menais guère large sur la suite des évènements...Je savais bien qu'il s'agissait là, d'un jeu de Sens....mais parfois, difficile d'appréhender les choses que l'on ne connait pas....
Elle prit soin de m'expliquer les rudiments de base de ce « terrible » tourment...
Elle ajouta simplement, que son rôle, serait qu'elle œuvrerait en lieu et place de ma personne, pour en « tirer » ma Sève, sentence appliquer à la personne tourmentée....et qu'elle s'y appliquerait des mieux qu'elle puisse en espérant satisfaire aussi ma personne dans ce plaisir manuel....
J'avoue que cela me déconcertait quelque peu, mais j'étais aussi présent pour découvrir tous les chants de ce Jardin de Luxure et que l'envie d'en savoir, de gouter plus m'était des plus présent...
Notre conversation fut coupée par notre hôte. Il nous invitait tous, une trentaine de personnes, à le suivre à l'extérieur, et que le début des supplices allait commencer ...Pour la tourmentée....
Une petite estrade était là, dans le jardin, déjà présent, une tribune de discours en son coin.
Une mise en scène d'un bourreau cagoulé trainant au bout d'une chaine la suppliciée s'avançait vers cette estrade.
Notre hôte, dans un grand discourt de juge, annonçait ce qui allait se dérouler....
...
Bien sûr, cela n'était qu'un jeu, ou tous étaient là pour participer, tous étaient volontaires dans ce scénario anachronique...
Mais il faut l'avouer, cela est des plus déconcertant...
Mais cependant, l'excitation, le plaisir subtil des jeux, de la mise en scène m'étaient là...et je n'allais pas partir sans profiter de ce sublime séjour d'en-temps...
Notre hôte continua en invitant à monter sur l'estrade les « bourreaux » affublés de cocarde « F ».
Mon numéro « 3 », qui se prénommait Muriel, était à mes côtés. Elle se « crocheta » à mon bras, un sourire plaisant se dessina sur mon visage, qu'elle me rendit, et nous continuions ainsi, sagement à écouter....
Ils étaient trois, chacun leurs tours, ils se présentèrent.
Montrant, et démontrant leurs matériels et arts particuliers du maniement d'un instrument qui n'est pas à la portée de tous.
L'un d'eux donnait des conseils sur les différentes techniques. (Je me souviens de son accent très prononcé Australien...qui donnait à la scène un côté particulier et très cinéma)
Un autre, au pied de l'estrade, invitait certains à user, dans le vide, de leurs instruments de torture....
J'aimais ces côtés aussi, de découverte et de pratiques. Un enrichissement vraiment plaisant sur les divers Pans de cette Passion. Et qui plus est, permettait aussi de savoir, comprendre, mesurer potentiellement les risques ou pas de certaines pratiques. Tout comme aussi savoir si l'on peut fléchir vers ses affres.
Après le temps des démonstrations et explications, notre hôte indiquait au bourreau encagoulé, qu'il était temps, à présent de se rendre vers la première sentence de la suppliciée.
Chacun emboîtait le pas à cette « funeste » tête de cortège. Il était amusant, de voir que malgré un côté lugubre, ce cortège était très joyeux, et quelque peu indiscipliné. Entre rires de certains, et les coupes de champagne qui claquaient, il avait plutôt l'air d'heureuses retrouvailles....et non de « funestes » suppliques prochaines pour notre tourmentée....
Au fond du grand Jardin de la propriété était disposé des lanternes-tempête qui formaient un grand cercle touchant cette « terrible » potence....
Lentement, l'ensemble des convives prit part tout autour du cercle, à l'extérieur, pendant que le bourreau cagoulé, œuvrait dans l'attache de la suppliciée...
Les trois compères désignés bourreau de la sentence, prirent part dans le cercle, déposant leurs attirails de tortures sur une table déposée là.
Chacun leurs tours, vérifiaient la distance séparant tant la foule amassée que celle de leur cible de choix....
Ce n'est pas parce que cela est une « torture » qu'il ne faut pas prendre de précaution quand même...
Puis l'encagoulé s'éloigna, le Maître de Séance, prit la parole.
Il annonça alors à la pénitente le sort qui lui était réservé et le nombre reçu de « Marque ».....En disant ces mots, il dénuda le dos de la Belle...En releva la chevelure longue, qu'il attacha soigneusement sur le haut de sa tête....
Se recula en sortant du cercle....
....
Et les premières marques apparurent rapidement.....
Des applaudissements venaient parfois ponctuer les prouesses gestuelles qu'effectuait le tortionnaire...
Parfois, l'on entendait une rumeur d'exaltation, parfois d'étonnement....
Cela m'était étrange voir étranger, mais j'avoue avoir plus apprécié la gestuelle dans le maniement de pareil instrument que de la scène en elle-même...
Encore aujourd'hui, même si je trouve parfois beaux ces actes, je n'en suis cependant nullement Friant dans l'acteur...et surtout pas du tout intéressé outre mesure....
J'admirai la capacité de la Belle ainsi torturée et j'étais des plus admiratifs des marques laissées....
La séance fut terminée dans un tonnerre d'applaudissements.
Puis le Maître de cérémonie invitait, qui le souhaitait, à mirer le résultat sur la Belle toujours attachée....
Puis après un temps de « dégustation » de cette Belle attachée...elle fut détachée...
Notre hôte recouvrit cette suppliciée...et nous indiquait qu'il fallait retourner à la demeure pour prendre encore quelques verres avant de passer à la suite....
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Par : Maxxence
Une envie qui hésites, des "jeu t'aime" qui déchirent, jouer juste.
Monter, fréquenter le ciel. Ne jamais regarder en bas, de peur de tomber plus haut, lier nos âmes de nos maux, casser le faux, s'ouvrir aux vérités, ne plus rien cacher, se réveler, s'approprier, pour ne plus rien posséder.
Laisser glisser les mots, pour n'avoir de raison que les sens exacerbés, l'essence de nos envies inspirées, créer, pour mieux s'apprivoiser, de nos jouissances, retrouver l'innocence.
Ployer devant tes abandons, perdre la raison, s'oublier, laisser parler l'animal trop caché.
Démissionner sa vie verticale, retrouver l'animal, abandon du moi, que d'émois, en toi, sur toi, près de toi, à quatre mains nous jouons nos à corps.
A coeurs joints, sauter, ne plus rien retenir, se laisser jouir, pourquoi pas mourir, abandonner tout.
Tu m'emportes, tu me fait chavirer, de nos indécences, je retrouve mes innocences, de nos jouissances, oublie de nos souffrances, retrouver nos sens.
Dans ton ventre, je rentre. J'entre chercher ton âme, la prendre à pleine main, la caresser, te laisser t'abandonner, ne plus raisonner, savourer, savourer ces moments comptés.
Laisse moi t'aimer, t'aimer dans mes différences, dans mes insouciances, dans mes déviances, laisse moi t'aimer, à ma manière, chasser l'austère et l'amère, ne plus vivre que de mystères.
Plus de détresses, tout est allégresse, j'aime tes soupirs qui m'enchaîne, tes cris sonnent comme des "je t'aime", je me fout de tout, comme du reste, je sais qu'en toi je suis, je sais qu'en toi, je reste.
Ne plus rien sentir, se laisser partir, ne plus être que jouissance, retrouver l'innocence.
Encore, encore, toucher cette petite mort.
Maxence Lascombe(c)
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Par : #
Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !.
Je m'assois .
A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre...
RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ».
La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir.
A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent.
Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne.
Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle.
« Ne vous retournez pas ! »
Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus.
De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison.
….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ?
Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée...
On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses.
J'attends.
Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas.
Un long moment s'écoule.
Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins.
Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un « chchchut »
très doux me calme.
« Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute .
« Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! »
Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence.
Au loin, hors, une rame de métro repart.
Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux .
A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu.
« Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux .
« Gardez -les ouverts. »
Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer.
« Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! »
Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente..
« A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ».
De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée.
Mes genoux commencent à me faire mal.
Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent.
« Resservez -nous donc deux flûtes. »
Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif...
Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure.
« Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet.
« Léchez ! »
Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus.
Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence .
Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge.
« Maintenant !»
La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres.
Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même.
Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle...
Peine perdue.Je débande.
« Restez-là , reposez-vous.»
Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent.
« Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi.
Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm.
S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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Le son ne précède pas le contact comme elle l'aurait cru. Elle s'attendait à un cliquetis net, un carillonnage métallique mais le bruissement est mat, sourd. Mangé par le temps, le fer est devenu muet. A peine un frottement ou un craquement entre les maillons grossiers, épais.
La chaîne encercle son torse et son cou, plaquée sur sa gorge, embusquée derrière l'échelle, soulignant sournoisement un sein avant de retomber sur son flanc. Les mains sont retenues quelques échelons au-dessus par des poignets de vieux cuir raidi. Le métal presse ses chairs, appuie sur son cou, dur et froid, freine l'air qu'elle avale à petite gorgée. En descendant d'un cran, sa gorge s'écrase contre la chaîne qui bloque, étrangle. Le souffle court irrite la trachée, le fourmillement des mains gagne les tempes. La chaîne se relâche d'un cran. Elle aspire l'atmosphère dense de bois et de poussière humide à grosses goulées.
Allongée. La chaîne enserre, serpentine liane lourde et placide. Elle pèse sur son ventre comme une main, s'enroule autour de son corps pour venir, vicieuse, caresser l'entrejambe, pénétrer le sexe, langue glaciale, gode implacable qui glisse sa froidure à l'orée bouillonnante. Choc thermique.
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Par : Olivier
Ceci est l'interview d'un addict du fétish, de son amour pour le latex et le cuir, de la scène fétichiste colombienne et de ce qui l'inspire à fabriquer son propre équipement et à créer son propre look fétish.
"J'ai commencé à faire du kink quand j'avais 18 ans et je sortais avec un homme qui me présentait officiellement dans le monde du fétish, mais j'avais toujours été curieux. Fétish pour moi signifie voir au-delà du sexe conventionnel et se retrouver, faire des choses que vous aimez et vous amuser avec elle. Encore et encore du fun.
Ce qui m'attire chez les autres fétichistes, c'est l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup de fétish, mais la plupart d'entre eux sont enclins à l'équipement. J'aime le latex et le cuir. Le premier équipement que j'ai acheté était une chemise et un pantalon en cuir, avec quelques gants en latex courts. Je suis un créateur de mode et j'ai utilisé mes antécédents pour commencer à concevoir mon propre matériel il y a environ 3 ans. Il était assez difficile de trouver le type d'équipement que je recherchais en Colombie, ce qui était l'une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à fabriquer des vêtements en caoutchouc et en cuir selon mon goût et mon style. Je peux facilement acheter du cuir ici en Colombie, mais je dois acheter du caoutchouc en ligne et le faire expédier.
Mon inspiration pour faire du matériel vient de partout - des films, des livres, des jeux vidéo. J'aime créer l'esthétique du bizarre sexy et jouer avec différents éléments, tels que des cornes et des lentilles de contact pour créer un look qui est en accord avec mes créations et mon équipement. J'ai quelques modifications corporelles - quelques piercings et tatouages. Ma langue attire le plus l'attention des autres - tout le monde veut savoir ce que l'on ressent lorsqu'on embrasse, lèche et rase. Je leur fais juste savoir que deux langues valent mieux qu'une haha.
J'aime jouer avec d'autres équipements non conventionnels comme les corsets, les talons et les grosses bottes. La plupart des gens parlent du mot corset et des talons à l'idée de l'utilisation féminine, mais si vous regardez en arrière, ils ont été utilisés par les hommes pendant des centaines d'années. Personnellement, j'aime les utiliser pour l'esthétique extrême qu'ils créent. J'utilise un corset de 18 " (= 45 cms) et des talons de 10" (25 cms) pour me donner de l'assurance et manipuler mes proportions et ma stature, me rendant puissant et sexy. La première fois que j'ai essayé un corset il y a 3 ans, j'en possède maintenant 12.
J'aime expérimenter et essayer de nouvelles choses et profiter du processus de création de choses à partir de rien. J'aime faire des harnais et des sous-vêtements. Avec les harnais, vous pouvez travailler avec autant d'éléments différents en matière de conception et de fabrication, qu'il s'agisse du matériau que vous utilisez, de la couleur ou de la façon dont il s'adapte à votre corps. Le temps qu'il faut pour faire une pièce d'équipement dépend; Je passe généralement une journée à faire une pièce, mais si j'ai l'impression de ne rien avoir à porter, je peux créer quelque chose en environ 2 heures.
J'aime travailler avec du latex et du cuir et infuser des éléments fétish dans l'usage quotidien. J'espère à l'avenir étendre ma petite entreprise et commencer à vendre dans le monde entier, mais je le fais pas à pas. Je voudrais en savoir plus sur les vêtements gonflables en latex et sous vide - Je suis très curieux du processus de fabrication et je veux en ressentir le sentiment sur mon corps.
Les médias sociaux sont une excellente plate-forme pour montrer mon amour du fétish, et l'équipement que je fabrique. J'aime mon corps, et mon apparence, et pour moi le fétish est une partie très importante de mon identité. C'est incroyable d'avoir différents médias pour montrer mon travail et ma créativité, non seulement dans un contexte sexuel mais aussi d'une manière artistique et axée sur la mode
La scène fétish colombienne n'est pas énorme, il y a quelques endroits où on peut porter des vêtements et rencontrer d'autres gars. J'ai rencontré beaucoup d'autres fétichistes et je me suis fait des amis grâce à mon travail. Beaucoup de gens m'ont demandé de leur confectionner des tenues et m'ont chargé de les fabriquer sur mesure - ça me fait toujours plaisir de voir quelqu'un qui aime vraiment porter une de mes créations. Les gars ici sont plus dans le cuir que dans le caoutchouc, car c'est plus accessible, mais la scène fétiche en Colombie est en train de changer - c'est déjà très différent de ce qu'il était il y a quelques années et ça grossit. Il y a plus d'endroits et d'événements qui répondent aux kinksters - nous avons même une semaine fétiche à Bogota.
Je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de voyager pour assister à des évênements fétish, je prévois cependant un voyage en Europe plus tard dans l'année - j'espère pouvoir assister à Folsom Europe en septembre et peut-être faire un petit tour fétichiste en Europe."
Traduction : Olivier
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Par : #
Si tu ne considères pas la Femme comme une jolie utilité. Si quand tu regardes Son corps, il ne te t'évoque pas le repos du guerrier. Si en voyant Ses seins il ne te vient pas l'idée de les pétrir comme pâte à pain. Si Son sexe n'est pas con, mais temple de vie, de plaisir, de dévotion. Si tu considères Son esprit à l'égal de celui des hommes et Son courage souvent supérieur au leur. Si pour toi la Femme est intelligente, courageuse, sublime et dans cet ordre uniquement, alors approche.
Si tu vois dans la Femme, l'émotion, le goût du beau, l'intense création. Si tu sais que Sa magnanimité pondère Ses jugements. Si tu peux lire dans Ses yeux l'honneur de Son sexe, né de la générosité de Son cœur. Si tu comprends la vérité de Sa colère par Sa patience mise à bout. Si tu connais Son dévouement à apaiser toutes les peines. Si tu entends Sa ferveur à offrir l'harmonie. Si pour toi la Femme est amour, dévouement, générosité et dans cet ordre uniquement, alors approche.
Baisse les yeux, viens vers Moi et écoute.
Tu le sais, tu es né de la Femme
Tu le sais, la Femme est ta quintessence
Tu le sais, la Femme te régénère
Si tu conçois la Femme comme Déesse, tu es prêt
Si tu considères la Femme comme unique créatrice, tu es prêt
Si tu acceptes l'autorité de la Femme comme un bien nécessaire, tu es prêt
Si tu estimes le désir de la Femme au-delà du tien, tu es prêt
Si tu entends la parole sacrée dans les mots de la Femme, tu es prêt
Si tu ne désires vivre que sous la loi de la Femme, tu es prêt
Si tu prends les injonctions de la Femme pour un vœu à réaliser, tu es prêt
Si tu peux obéir sans limite à la Femme, tu es prêt
Si tu peux servir la Femme sans répit, tu es prêt
Si tu dédies ta vie au bonheur de la Femme, tu es prêt
Si tu abandonnes ton âme pour l'âme de la Femme, tu es prêt
Si tu te nourris de la Femme, tu es prêt
Si tu t'abreuves de la Femme, tu es prêt
Si tes pensées naissent de la Femme, tu es prêt
Si tout ces mots ne sont pour toi que fadaises, vas, pars, fuis, l'indifférence de la Femme est ton oubli.
Si par contre, ces mots sont pour toi la vérité des cœurs en offrandes, pose un genou à terre, lève les yeux vers Moi et entend le bonheur qui s'annonce...
...Dans le tréfonds de ton âme depuis le premier jour, tu ressentais ce vide. Longtemps, tu cherchas le pourquoi, le comment, les causes réelles de cette souffrance indicible. Un jour la lumière fut. Dès lors, ta quête fut inlassable. Tu connus des moments de grâce. Tu pus vénérer et adorer, mais ces instants furent fugaces. Enfin, Elle parut. Dans Sa mansuétude, Elle t'éduqua, Elle t’apprit le comportement adéquat qu'un mâle doit t'avoir en présence d'une Dame. Comme toutes Celles de Son sexe, Elle fut généreuse, ne comptant pas Ses heures à t'offrir l'opportunité de grandir, de t'améliorer. Aujourd'hui encore, tu lui sais gré de toute cette énergie qu'Elle déploya pour faire de toi, autre chose qu'un homme. Bien sûr, tu rampais. Mais qu'est-ce ramper quand ramper c'est évoluer ? Bien sûr, tu obéissais. Mais qu'est-ce qu'obéir quand obéir veut dire rédemption ? Bien sûr, tu servais. Mais qu'est-ce que servir quand servir permet d'anoblir ? Bien sûr, tu t'avilissais. Mais qu'est-ce s'avilir quand s'avilir te rend unique ? Alors, d'homme, d'imparfait, d'improbable, tu te métamorphosas, sous Son égide, en un esclave accompli. Plus rien n'existait qu'Elle. Tu fis le deuil des autres, le deuil de toi-même. Ta respiration venait de Sa respiration. Ses pensées étaient les tiennes, Elle ensoleillait ton existence, Elle éclairait tes nuits, Elle te restituait ton âme, réparée, transcendée, parfaitement subtile, parce que simplement en harmonie, avec la Féminité. Esclave, tu respirais, esclave, tu vivais, et pour la première fois, ta vie avait un sens.
Un jour pourtant, Elle te congédia. Non pas qu'Elle fût mécontente, non pas qu'Elle fût lassée, mais le temps était venu pour toi de trouver la Dame de ta vie, Celle qui ferait de toi un esclave à demeure. Cette Femme généreuse t'éleva. Elle te porta en son sein telle une Mère. Une fois de plus, une fois encore, tu pus mesurer l'indéfinissable noblesse de la Femme. La munificence de Son sacrifice, Elle engendre, Elle modèle et offre à d'autres le fruit de Son labeur. Le cœur lourd, plein d'incompréhension, tu pleuras lorsque Son huis se ferma dans ton dos. Les larmes amères mirent longtemps à se tarir. Tes joues ne séchèrent pas avant des années. Qu’est-ce qu'un esclave sans appartenance, qu'est-ce qu'un esclave sans Maîtresse ? Une loque, une épave, un moins que rien, il n'est plus homme, il n'est plus assez faible pour se défendre dans la jungle de l'imbécilité machiste, il ne connaît plus que la douceur d'appartenir et de servir. Tu erras l'esclave, tu dépéris, l'esclave. Tu ne savais plus à quelle Sainte te vouer. Tu vendais ton âme pour des riens, dans des rencontres importunes. Tu passas des annonces dans les journaux spécialisés, tu courus sur les vagues de l'Internet. Tu t'inscrivis sur des sites nauséabonds. Au fur et à mesure, tu te redressas. Le temps efface toutes les peines. Tu pris conscience du legs de la Dame. Tu ne pleuras plus, tu bénis Son nom, la remercia de tout ton cœur pour cette éducation sans pareille. Ta capacité à t'assumer pour être digne de servir revint. Ta dignité naît de ta condition. Madame t’honora du titre d'esclave, tu te dois à cette éducation. Ta fierté est d'être esclave, un mâle prêt au service, à l'obéissance. L'Internet fut dompté, tu trouvas enfin des sites de rencontres et de dialogues convenables. L'esclave en toi parlait à nouveau. La solitude règne encore dans ta vie, mais déjà, ton attitude positive te permet d'envisager d'autres perspectives. Là preuve, Je t'écris ces quelques mots. Je prends la plume pour t'annoncer la grande nouvelle. Le temps est venu pour toi de réapprendre à dire : « merci, Madame.» Le temps est venu de rompre à nouveau devant les désirs d'une Dame et de t'oublier en Elle. Je suis là. J'arrive. Écoute-Moi, entends-Moi...
La Dame est une prière et tu es Son servant. Par tes gestes, ta dévotion, par tes silences, tes renoncements, tu La sublimes et tu exauces Sa volonté. La ferveur de ta servilité, de ton obéissance sont les étoiles de Son firmament. Elle te domestique afin qu'il y ait en toi une once d'humanité. Tu en as fini avec la sauvagerie. Ta part d'homme n'est plus, tu es esclave, tu es mâle, tu intériorises les besoins de la Dame comme étant les tiens et tu renais dans la beauté et la conscience du devoir. Le monde, Son monde est empreint d'une ineffable musique. Cette mélopée t'enveloppe d'une suavité jusque-là inconnue. La Dame te tend Sa main, tu la baises avec passion. Elle te présente Son pied, tu Le lèches tendrement. Elle t'ordonne de La servir, tu t'exécutes avec célérité. La Dame te fouette pour te garder vif et joyeux, tu La remercies avec empressement. Elle te sodomise pour Son plaisir, ton plaisir est immense.
Le bonheur est dans l'appartenance, tu le sais. L’effroyable temps de ta solitude, l’incommensurable abandon d'être sans une Déesse à adorer, t'a fait prendre conscience de la nécessité d'un collier autour de ton cou. Plus jamais sans une laisse, voilà ton credo, ta quête, plus jamais sans une Maîtresse pour te guider, toi petit esclave, sur le chemin de la rédemption de l'homme dans la servitude. Elle pourra tout demander, tu lui donneras tout, non pas par annihilation de toi, mais bien parce qu'à partir de Sa prise de possession, tu n'es plus toi, tu es une part d'Elle. Et comment pourrais-tu refuser quoi que ce fût à Celle dont tu émanes ?
Que sera-t-il de toi ? Ce qu'Elle voudra que tu sois ! Un esclave, oui ! Un mâle reproducteur ou de plaisir, oui ! Un chien, un animal quelconque, oui ! Un meuble, une chaise, un reposoir, une part de son mobilier, oui ! Tu seras dans l'inventaire de Ses possessions, un objet surnuméraire, cependant utile. Le temps n'a plus d'importance, tu n'es plus régit par la montre mais par la volonté de la Maîtresse. En appartenance, il n' y a de place que pour Ses exigences. Tu as tant de temps pour remplir ta tâche, tant de temps pour satisfaire à Son ordre, et pas une seconde de ce temps ne t'appartient. La durée provient de la Maîtresse, tu es la petite aiguille de Son horloge. Il te faut agir vite, mais jamais dans la précipitation. Il te faut agir, précautionneusement, mais jamais trop lentement. Le rythme de Sa musique doit être en toi, comme Son esprit est en toi. L'unisson ne naîtra qu'au prix de ton écoute totale, de ta totale soumission à Ses improvisations de vie. Il te faudra être d'une constante attention qu'Elle n'est qu'un geste à faire pour être satisfaite. Elle claquera des doigts et suivant le code, tu accourras, te prosternera, te coucheras, te lèveras, fera le beau, etc. Elle clignera de l'œil et suivant ce qui fut décidé, tu obéiras dans le millième de seconde.
Tu ne mangeras plus qu'à l'aube de son appétit. Elle te nourrira dans une gamelle, avec des aliments jetés au sol, dans sa main, directement dans la bouche après avoir pré-mâché la pitance que Sa magnanimité t'abandonne. Tu boiras Son champagne ou tout liquide qu'Elle te voudra voir ingurgiter. Ta vie lui appartiendra et tu seras heureux de cet abandon.
Si tu crois en ces mots, si tu veux que ces mots soient vie, viens à Moi. Récite la phrase suprême. « La Femme est une prière et je suis Son servant.» tu dois répéter, cette vérité, en faire une incantation. La Femme est une prière et je suis Son servant.
Viens esclave, entre dans Mon monde. Je te bâillonne ! Je t'aveugle ! Je t'assourdis ! A Ma merci tu es esclave.
Viens esclave, entre dans Mon monde. Je t'éprouve ! Je te flagelle ! Je t'insulte ! Sous Mon joug tu es esclave.
Et tu renais esclave, dans Mon monde. J'incarne la prière ! J'invite à l'admiration ! Je chante en ton oreille ! Mien, tu es esclave.
Et tu revis esclave, dans Mon monde. Je t'asservis ! J'exige ! Je règne ! En Mon appartenance, tu es esclave.
Et tu pleures de joie esclave, tu implores la chaîne esclave, tu quémandes l'autorité esclave, tu supplies de subir le supplice esclave, tu n'es plus rien en dehors de Moi et tu rayonnes, esclave.
Alors, dans l'immensité de cette nouvelle harmonie intérieure, tu lances l'invocation au ciel :
La Femme est une prière et je suis Son servant.
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Par : Abyme
Le saviez-vous ?
Dans les bourses (scrotum), les testicules bougent la plupart du temps. Le système régulateur ou thermostat naturel qui est à l'œuvre à cet endroit est hautement au point : Il s'adapte en permanence.
Lorsque l'homme entre dans l'eau froide, les bourses se rétractent (ainsi que l'ensemble de la peau, qui ainsi se densifie et offre une protection plus épaisse = chair de poule), pour rapprocher les testicules du corps et les réchauffer. De même si l'homme entre dans de l'eau trop chaud : même rétractation.
Tout cela parce que la fabrication (spermatogénèse) et le stockage du sperme sont optimum autour de 34°, et donc le scrotum permet aux testicules d'être plus éloigné du corps qui est à 37 en moyenne, température trop élevée pour la mobilité et la survie des spermatozoïdes. Par temps chaud, ils doivent être éloigné d'un corps qui surchauffe, d'où les couilles pendantes, mais s'il fait trop froid, ils se rapprochent. Mais si la température externe s'éloigne vraiment trop des 34°, en froid ou en chaud, le muscle crémaster fait monter les testicules systématiquement, pour coller à celle du corps qui, au moins, n'est "que" à 37°, température se rapprochant le plus de 34°.
On raconte que jadis les samouraïs se baignaient dans de l'eau brûlante avant un rapport, en guise de contraception ; en effet, les spermatozoïdes exposés à une chaleur bien trop violente pendant un certain temps sont rendus infertiles.
Et si les testicules ne sont pas tous les deux au même niveau (gauche plus bas que le droit), c'est aussi pour qu'ils ne se tiennent pas chaud l'un l'autre (et probablement en cas de choc aussi).
Étonnante nature, n'est-ce pas ?
Mais voilà le détail le plus intéressant, sujet de cet article :
Les "ajustements" thermiques sont en fait permanents. Si vous regardez bien votre scrotum (dans un miroir, ou en le filmant en gros plan) pour les hommes, ou pour les femmes si vous regardez celui de votre compagnon avec attention, vous verrez : ça n'arrête pas de bouger ! Des vrais sables mouvants, constamment, ça remonte, ça descend, ça glisse sous la peau, ça se retourne... Ça bouge tout le temps ! Même de façon imperceptible au regard non attentif, mais si on regarde de près avec attention, c'est évident.
N'est-ce pas merveilleux ?
La vie est en action, au cœur même de la zone qui la crée, mouvante, incernable, indocile, capricieuse. Miraculeuse.
Filo
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Mon rôle était très clair. Table basse. Le seau était posé sur mon dos, froid, trempé, glacé. Le champagne devait couler à flot. Madame avait invité quatre de Ses amies pour fêter Sa promotion. J’étais donc posé face au canapé, nu, encagé (2 semaines que je n’avais pas joui), et les convives arrivaient les Unes après les Autres.
Elles étaient assises, jambes croisées, laissant apparaître la frontière délicieuse de leurs bas, sirotant leurs coupes pleines de bulles, et se moquant copieusement de celui qui était là, devant Elles, impuissant, tête baissée, dans l’impossibilité de bouger sous peine de faire tomber un seau de métal rempli d’eau.
La soirée était gaie, pleine de rires et de verres qui trinquent, et l’alcool étaient en train d’aviver leur envie de se défouler sur moi. L’Une d’entre Elles se leva et renversa le contenu glacial du seau sur mon corps qui tressauta. Elles vinrent les Unes après les Autres me distribuer des fessées d’intensité croissante, faisant rougir une peau douce qui aimait ça.
Elle retira ma cage. Chacune à Leur tour, Elles branlaient une queue qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour durcir. J’étais trait. La queue tirée en arrière, le seau positionné pour recevoir une semence qui ne pouvait plus être contenue, Chacune se donnait dix secondes pour me faire couler. Je ne pus résister plus de cinq tours. Le jus s’écoula dans le fond du seau.
Une fois vidé, Madame m’attacha dans le coin du salon, et me fit avaler le fond du seau. Le bâillon-boule reprit ensuite sa place. Elles continuèrent de S’amuser, puis sortirent terminer Leur soirée, sans même m’adresser le moindre regard. J’étais nu et abandonné.
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Pourquoi ressentons nous le besoin de nous soumettre, ou bien même de dominer ? L’un comme l’autre sont des situations courantes depuis l’enfance, rappelez-vous votre maitresse d’école, rappelez-vous vos instituteur, rappelez-vous la direction. La hiérarchie est au cœur même de notre raison d’exister, l’Homme et je parle bien de l’Homme avec un grand H, car que ce soit l’homme ou la femme les deux ont besoin de dirigé et d’être dirigé. Pour ma part, je suis le maitre et le chien à la fois, je vais vous raconter l’histoire de ma rencontre avec ma maitresse (si je puis l’appeler ainsi).
Depuis que je suis en âge, c’est-à-dire assez jeune enfaite quand on y pense, je ressens cette étrange attraction pour le coté sado maso de la sexualité, faire l’amour c’est bien, mais jouer à ce jeux c’est mieux ! J’ai rapidement remarqué que le coté de ma personnalité que je voulais exploiter étais celui du soumis. Je m’inscris sur plusieurs sites de rencontre mais étant mineur à l’époque il me fut impossible de trouver un maitre ou une maitresse en qui je pouvais avoir confiance (effectivement n’étant pas fou je n’allais pas me lancer dans une aventure dangereuse avec un malade mental, je préférais rester sur mes gardes dans mes contacts).
Après ça j’ai eu une petite amie, mais cette dernière n’appréciais guère ce genre de relation qu’elle trouvait mal seine (comme le pense la plupart des gens, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une plus large ouverture d’esprit). La rupture fut dure pour moi et pour oublier je me laissais aller à diverses aventures quand je trouvai enfin une fille avec les même penchants sexuel que moi, hélas elle voulait également être soumise ! Mince je n’avais pas de chance … Je fus donc contraint à endosser la peau du maitre (je tiens là à vous faire remarquer toute l’importance du verbe contraindre dans ma phrase, en effet quand on y pense j’ai été soumis à cette fille puisque c’est elle qui m’a forcé à devenir le dominant, les apparences sont parfois trompeuses !) et je dois bien l’avouer j’ai pris un malin plaisir à m’occuper de cette petite dévergondé.
Dès notre première séance elle s’est avérée ouverte à tous les niveaux, je lui ai forcé de venir avec une robe très serré qui plus est sans sous vêtement, et comme elle pratiquait l’équitation je lui avais demandé de rapporter ca cravache afin que je m’occupe d’elle comme une jument qu’il fallait dresser. Elle sonna a m’a porte, je l’embrassai et mis une main sous sa robe pour vérifier qu’elle avait bien respecté mes consignes, je fus agréablement surpris de voir qu’elle ne portait pas de dessous et que de plus elle mouillait comme une vulgaire chienne, puis nous montâmes à l’étage. C’est alors que je m’assis et que je la fis se placer sur mes genoux, elle portait une petite robe très serré verte à peine penché la robe courte laissais apparaitre son petit con bien mouillé et son cul tout séré qui n’avais encore jamais été violé. Je lui remontais alors la robe au-dessus de la ceinture et lui mis une belle fessé, je ne savais pas encore trop comment m’y prendre mais je la vis prendre du plaisir donc j’en ai conclu que la méthode était adéquate. Je lui remis de suite une fessé encore plus forte, celle-ci laissa une belle trace rouge sur sa petite fesse toute blanche, « Je n’ai rien entendu ! » lui dis-je, et une troisième puis une quatrième tombèrent, je lui maltraitais les cuisses et le fessier, ne lui laissant jamais le temps de parler, même mes mains commençait à me démanger, un parfais mélange entre le sadisme et la jouissance. J’étais tout excité et ça se voyais vue comme je bandais.
Elle était au bord des larmes et mouillai au point que ça coulais le long de sa jambe, je récupérai ce liquide et lui fit lécher une partie puis garda la seconde pour moi : « Hum c’est du bon jus de salope ça ! » lui dis-je, elle baissa encore plus la tête et me répondit d’une voix fluette : « Pitié maitre … ». Parfais on était arrivé à ce moment où le jeu se mettais en place tout seul, elle m’appartenait et je pouvais faire d’elle tout ce que je voulais. Je glissai alors un doigt dans sa chatte toute humide et je l’entendis pousser un petit cri, je me mis ensuite à agiter mon doigt à l’intérieur puis a en glisser un deuxième, elle se tortillais et régulièrement je récupérais un petit peu de sa mouille et la faisais glisser le long de ses fesses afin de lubrifier son petit trou. Je forçai alors l’entré de son anus qui fut légèrement raide au départ je dois l’admettre et lui dit : « Ne t’inquiète pas esclave, je prépare juste le terrain », pendant qu’elle poussait des cris de jouissance, je continuais de lui lubrifier l’anus naturellement.
Sans prévenir je me levai et la jetais sur le lit, d’abord elle se mit sur le dos, mais je lui lançai un regard sévère : « Qu’il y a-t-il monsieur ? » me demanda-t-elle. Je lui pris le bras et la retourna violement, « Une chienne, doit être prise comme il se doit, alors prépare toi à te faire enculer ma petite catin ! » et je pénétrai a l’intérieur de son petit cul tout séré mais l’ayant bien lubrifié ça rentrais comme … hum … papa dans maman (sans mauvais jeu de mot). Puis je l’a pilonnais pendant un long moment elle criait et hurlait comme une chienne : « Oh ouiiiiii, je ne suis qu’une salope, hannnnnn une vulgaire putain hummmm oh ouiiii », et c’était le cas. Mais vint le moment fatidique où je ne pouvais plus me contrôler, je sortis alors de son cul, j’enlevai la capote et lui dis : « Viens finir le travail esclave ». Elle se retourna tremblante, les larmes aux yeux d’avoir trop crié, et elle se jeta sur ma queue pour la lécher avec tant de ferveur que je ne la reconnaissais pas le temps de quelque minute elle s’était transformé en putain, ce moment étais tous simplement magique, lorsque le jeu deviens si réel que l’on arrive plus à le distinguer de la réalité (ce dont j’ai fait les frais pendant mon éducation avec ma maitresse, mais cette histoire viendra plus tard). Enfin ne pouvant plus me retenir, je répondis mon sperme dans sa bouche et la fit boire jusqu’à la dernière goute. Voici ma première expérience dans le domaine de la domination. La prochaine fois je vous raconterais la rencontre avec ma maitresse.
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