Il était une fois un homme nommé Jonathan qui menait une vie apparemment ordinaire. Il avait toujours été fasciné par le monde de la domination et de la soumission, mais il n'avait jamais osé explorer ses désirs les plus profonds. Cependant, un jour, tout changea lorsqu'il rencontra une dominatrice expérimentée du nom d'Isabella qui adorait soumettre un homme.

Isabella était une femme énigmatique et captivante, avec une présence indéniable. Elle avait une connaissance approfondie des jeux de pouvoir et savait comment exploiter les fantasmes les plus sombres de ses soumis. Lorsque Jonathan la rencontra pour la première fois, il fut immédiatement attiré par sa beauté, son assurance et sa sensualité.

Intrigué par cette dominatrice au charme envoûtant, Jonathan osa lui confier ses désirs secrets. Isabella, avec son regard pénétrant, sourit en lui disant qu'elle était prête à l'emmener dans un voyage de découverte et de soumission totale. Cependant, elle lui fit promettre de lui accorder une confiance absolue et de se soumettre à toutes ses demandes sans hésitation.

Jonathan était à la fois excité et nerveux. Il savait qu'il s'embarquait dans un territoire inconnu, mais son désir de se soumettre à Isabella était plus fort que ses doutes. Il accepta les termes de leur accord et se rendit dans le donjon secret d'Isabella.

Le donjon était un endroit sombre et mystérieux, rempli d'une ambiance érotique. Isabella, vêtue d'une tenue en cuir noir, lui fit signe de s'agenouiller devant elle. Jonathan s'exécuta, sentant le poids de son propre abandon et de sa soumission prendre le contrôle de son être.

Pendant des heures, Isabella le guida à travers un labyrinthe de sensations intenses. Elle utilisa des accessoires de bondage pour le retenir, lui faisant découvrir des plaisirs qu'il n'avait jamais imaginés auparavant. Elle usa de sa voix douce et autoritaire pour le punir et le récompenser, faisant monter en lui des vagues d'excitation et de plaisir.

Au fur et à mesure que le temps passait, Jonathan se rendit compte que la soumission n'était pas seulement une expérience physique, mais aussi un voyage émotionnel. Il se sentait libre de se libérer de toutes les inhibitions qui le retenaient dans sa vie quotidienne. Avec Isabella, il se sentait en sécurité pour explorer ses désirs les plus profonds sans crainte de jugement.

Isabella devint plus qu'une simple dominatrice pour Jonathan. Elle était devenue sa confidente, sa guide et sa muse. Elle lui montra comment le pouvoir et la vulnérabilité pouvaient coexister harmonieusement, et comment la soumission consentie pouvait être une voie vers l'épanouissement personnel.

Finalement, après de nombreuses sessions intenses, Isabella décida qu'il était temps de mettre fin à leur relation dominatrice-soumis. Jonathan avait atteint un niveau de confiance et de compréhension de lui-même qui lui permettait de prendre le contrôle de sa propre vie. Il était prêt à affronter le monde extérieur avec une nouvelle perspective.

Jonathan remercia Isabella pour son enseignement précieux et se sépara d'elle avec gratitude et respect. Leur temps ensemble avait été une expérience transformative qui avait élargi ses horizons et enrichi sa vie d'une manière qu'il n'aurait jamais imaginée.


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par le 06/04/22
3,152 vues
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes.
Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable.
Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part.
Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance.
A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu.
Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité.
«Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ».
Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné.
Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition.
13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger.
« Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. »
Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin.
L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité.
« Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires.
J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche.
L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse.
Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé.
Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ».
Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction.
« Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant.
Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement.
« Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation.
Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant.
« Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il.
« Oui, elle est particulièrement appliquée ».
« Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle.
Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort.
Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis.
À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables.
Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond.
Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
12 personnes aiment ça.
thomasreplay
Histoire vécue ?
J'aime 06/04/22
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Non juste de la littérature..
J'aime 07/04/22
Pour une pur fiction entre un soumis et une domina, c'est impressionnant comment tu m'as captivé. Chapeau l artistes pour ces tournure de phrase et l émotions insuffler au texte qui fait de la dévotion un royaume. La description est tellement fine que l'on dirait un film cinéma ou une vidéo haut de gamme. messages
J'aime 15/01/23 Edité
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Je pense que Pauline Réage érait meilleure que mo.
J'aime 08/04/22