par Switcher
le 20/06/22
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Un jour, j'ai fait connaitre le plaisir anal à mon amant.
J'ai commencé par lui caresser l'anus pendant les fellations et il s'est laissé faire , il faut dire que lui me léchait l'anus pendant les cunnis et que j'avais accepté la sodomie dès nos premières relations sexuelles, je lui avais demandé si il avait eu des relations homos, il m'avait répondu qu'il n'était pas du tout attiré par les hommes, j'avais rajouté que si cela le gênait, je ne lui toucherai plus les fesses, il m'avait dis que non, qu'il aimait bien, fait par une femme.
Un jour, pendant une pipe, je lui ai demandé d'écarter les jambes pour lui lécher les testicules, il adore, et ma langue a glissée dans sa raie que j'ai léchée de tout son long en m'attardant sur son petit trou qui ne s'est pas contracté et j'en ai profité pour le masser en cercle en le lubrifiant avec de la salive.
Il s'ouvrait sous mes caresses, j'ai raidie ma langue et l'ai fait pénétré dans son orifice, je le branlais d'une main et lui écartais les fesses de l'autre, il avançait le bassin à la rencontre de mes pénétrations, ce qui me fit passer au niveau supérieur de l'initiation au plaisir anal, le doigtage.
Couvrant mon index de salive, je le fis pénétrer doucement dans sa rosette de puceau, il eu un sursaut et je lui demandais s'il voulait que j'arrête, il dit non, je dis tu aimes?, il bredouilla, gêné, que oui, alors la, je lui annonçais d'une voix suave, que j'allais l'enculer avec mes doigts, il ne dit rien et je demandais, tu veux que je t'encule?, il dit oui, et je lui enfonçais entièrement mon index, et je commençais des vas et viens dans son sphincter tout en continuant à le masturber.
C'était serré, sa rondelle vierge ensairait mon doigt, je déposais de la salive dessus et mon index coulissa mieux, je le ressortis pour aussi le lubrifier et mon majeur aussi et lui enfonçais les deux doigts dans son cul, doucement, il poussa un râle de douleur et de plaisir mélangés, j'enfonçais toujours et lui dit de pousser pour détendre son sphincter, il poussa et mes doigts le pénétrèrent entièrement, j'enculais un homme, je mouillais comme une chienne et me frottais la vulve sur les plis des draps pour me donner du plaisir, j'animais mes doigts dans son anus, les écartant, les vrillant, je les retirais et les renfonçais, je sentis sa queue palpiter, j'accélérais le vas et viens, il cria et son sperme gicla très haut, plusieurs jets, son anus s'est resserré autour de mes doigts pendant l'éjac et je l'ai limé à fond, j'ai jouie de le voir jouir.
Depuis, nous sommes passés aux pénétrations avec vibros puis godes ceinture, une fois je lui ai mis un concombre devant une amie qui voulait savoir comment faire avec son amant, cela l'a vraiment excité de se faire enculer devant une femme, et je lui ai demandé de se faire dépuceler par un homme bien qu'il soit hétéro, il faut qu'il connaisse le plaisir d'une vraie bite dans l'anus, ça n'a rien à voir avec un gode, et j'espère assister à cela, pour vraiment le soumettre et en faire une vraie lopette.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Suggestion
Par : #
Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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Par : BDSM
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être :
- Sûres
- Saines
- Consensuelles
Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger !
Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré !
Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE.
Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : Moïra
J’ai baisser la tête,
Jusqu’au vertige.
J’ai troublé l’instant
D’un silence hurlant,
De tes yeux plongeants
A mes noeuds criants,
De ton talent, à ma contrainte
De ta bouche salivante,
A mon cul implorant.
Ondulante, affamée
Frottant le feu félin
A ton sombre dessein,
J’ai perdu pieds,
Servile, agenouillée.
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Par : #
Elle est Switch mais ne le sait pas encore, elle as voulut être dominé, prise en main puis s'est ravisé... nue à la fenêtre elle me disait que "non"... que "oui" elle prenait des décisions hâtives. Elle aurait voulu essayer ça puis ceci, ont en discuter, je la titiller, elle aimer ça, puis s'est ravisé.
Elle prenait des décisions, puis s'est envolée... Elle m'as laissé, là, las.
Elle m'as goulument avalé, puis elle as aimé recommencer. Je lui disais que non mais il lui fallait comprendre alors je prenais le temps de lui expliquer. Elle était nue à mes côtés. Enfin elle prenait les décisions et continuer à me les briser, mon bijou si précieux. Elle aurait du écouter, je lui donner la direction, elle as tout casser, brisé, milles morceaux de mon bijou elle en as fait.
Elle est Switch et d'ailleurs quelques mois après ne le sait toujours pas. Elle veut encore et toujours... les yeux vers le bas... elle prend ses propres décisions. Ne veut pas m'écouter... Je la revois nue dans les cabinets.
Je n'ose pas décrocher mon combiné elle me reprocherais de ne pas l'avoir prise en main, d'avoir fauté. Mais c'était sa décision... Elle n'entend pas les cris d'amour... elle ne verra pas l'écrit de mes sentiments que j'avais à lui faire partager. Je n'ai même pas à en décider...
Mon bijou regarder dont ce qu'elle en as fait... Elle brille pour moi c'est un souvenir précieux... il s'est brisé.
Six mois que je n'ai pas écrit... je ne vous ai donc pas dit... une fois de plus ont m'as brisé. Mon bijou c'est "elle" que je souhaitais combler. Elle m'as dit que "non" un souvenir d'hier, "elle" m'as dit que non je ne suis pas maître de mes décisions.
Frapper plus fort ou laisser des marques indélébile, le temps l'aurait rendu amer, fébrile. Pour la rendre heureuse et docile j'ai préférer lui rendre sa liberté... et puis après tout c'est elle qui as décider.
Elle prend ses propres décisions sans écouter, elle entend juste le souvenir d'hier, l'image imparfaite d'une fessée bien mérité au-quelle elle as eu droit mais dont elle ne s'est pas donné l'accès, mettre sa main au creux de la mienne... puis lui donner la direction. Moi je me suis laissé tenter.
Mon bijou est de nouveau sur le marché, prenez ce temps si précieux pour apprendre à vous laisser Dominé avant de dire "je veux..." "Je souhaite..." je voudrai..." puis enfin prendre la décision de ne pas acquiescé aux désirs de celui qui veux vous emmener vers de nouveaux horizons, passionnés.
Mon bijou n'est pas à vendre, ni à acheter, il faut miser sur son avenir, investir son potentiel, le polir poliment, le choyer tendrement, lui donner matière à être fière et complaisant.
La seul et unique décision qu'il reste à prendre c'est de s'abandonner, non pas baisser les bras mais relever le menton, courber l'échine, monter sur ses hauts talons.
Se donner et s'abandonner... vers d'autres horizons, passionnés. Mon bijou... mes envies, mes passions... mes décisions... c'est mérité !!
Maintenant il va falloir cravaché... ;-)
Allons à l'encontre d'autres traîtrises et trahison, un cœur brisé c'est remplacer un hôte par son autre. Toujours veiller, faire attention lorsque l'un et l'autre cherche le mieux dans vos imperfections, la roue de secours, le meilleurs ami(e)s qui là/le baise lorsque vous êtes au charbon prétextant toujours : "il/elle à quelques imperfections" "il/elle ne le saura jamais"
Une caverne visitée par quelqu'un d'autre laisse des traces que le propriétaire reconnait à tous les coups.
C'est comme se servir de son gourdin pour débroussailler un terrain voisin, après l'effort le réconfort... comment se dire ou se laisser entendre que son hôte n'as pas de besoin, pas d'effort à faire s'il n'accepte même plus le réconfort que vous lui procuriez... une anguille sous roche. Quand il y a un doute c'est parce qu'il n'y a en réalité que des certitudes.
Mon bijou... Ma décision.
Maître Lasky
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prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état.
-” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..”
Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi.
Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber.
-” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique...
Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs.
“C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.”
Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!”
-“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!”
Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant.
Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau .
-”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.”
Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie.
”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.”
je me corrige - “Oui maitresse Sophie.”
Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires...
Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger.
je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes.
Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi.
Quand le repas est prêt je lui signale.
Elle me dit depuis le jardin.
-”Enlève ton tablier et sert moi à manger.
je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide...
” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle.
Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux.
Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.”
Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas...
” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ”
” Oui maîtresse ”
“Tu l'as gouté avant de me l'amener? “
Je perçois mon erreur
“ non sofie “
“ Il est éventé.” dit elle .
Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin.
“Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher.
Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon.
Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois.
- “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”.
Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire.
“ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant.
“Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.”
Tu étais ridicule.
Un peu honteux je rougi.
-” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.”
-” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ”
Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit.
Le repas touche à sa fin quand sophie me dit :
- “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “
Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination...
Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux.
Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier...
Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses.
Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander.
Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse.
Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant.
“Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “
“oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.”
Dit je d'une petite voix un peu honteuse.
“Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.”
En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut.
Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge.
Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir.
Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort .
Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur.
Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale.
Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”.
Mais rien y fait.
-”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ”
Me crie t elle en repartant de plus belle.
Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux.
Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé.
Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “
Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon.
“A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle.
Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table.
Elle comprend que je suis inquiet.
“Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “
Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo...
j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.”
Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête
”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.”
Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone.
”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ”
Dis je un peu honteux.
“Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “
“Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “
Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.”
Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver.
Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte.
Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin.
Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage.
Il ruisselle sur mon corp .
“Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope.
Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.”
Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse.
Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps.
Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Par : Lilas
Hello toi qui me lis. On va se tutoyer tiens de toute façon je suis trop ivre pour vouvoyer correctement qui que ce soit. Trop en colère aussi, la colère a ceci de juste qu'elle a vite fait d'éluder les tournures et les intermédiaires pour se concentrer sur l'essentiel.
J'ai très peur aujourd'hui. J'ai souvent peur avant une séance. Dans quelques heures, je vais faire très mal à quelqu'un, vraiment très mal. Je sais que j'oscille souvent entre des moments où je suis trop gentil et des moments où je suis un peu trop méchant. Pendant quelques instants, je sais qu'il va me haïr et les insultes fuseront probablement. Cruelle, salope, horrible, monstre, traînée, slut, Toi, torride, cage, supplice... Je le connais bien, je suis habitué à son corps et sa peau, je sais le faire jouir, je sais où le pincer, quand le brûler, quand lui murmurer, quand le bayonner, je sais où et comment nouer ses peurs les unes aux autres... Je sais quoi faire pour lui faire glisser des larmes rien qu'à l'évocation de ce que je vais lui faire.Je sais quoi faire pour avoir ses yeux suppliants ou son souffle extatique. Pourtant, malgré tout ça j'ai peur. Il y a une terreur sourde dans le bas de mon ventre et elle s'agrandit de minutes en minutes. C'est comme un orgasme lent, qui chemine à un rythme ridicule mais grossit par reptation en grignotant ce qu'il trouve sur son chemin. Aucune raison ne justifie cette peur; je vais jouer sur un piano dont je connais chaque touche de tête. Pourtant j'ai peur...
J'ai peur, très certainement, parce que c'est mon moteur à moi. C'est la peur de la masochiste que je suis qui avance tremblante vers son partenaire de jeu. C'est la peur du jeune garçon que les interactions sociales plongent dans une profonde terreur. C'est une peur qui a soif de rébellion et de revanche, c'est une peur d'enfant qui se hisse sur des épaules de grand. C'est ce qui enclenche le mouvement de balancier, ma peur c'est le point de départ d'une terrible inertie. Ce soir je vais jouer mon rôle et comme à chaque fois que je vais jouer à être un peu trop moi même,j'ai peur.
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Par : Dame Meg
Je suis venue à contre coeur, il n'y a pas de lien, pas de bulle cela me semble insipide... Il veut tester, pour apprendre... "souffrance"
Il va voir... pas d'anal soit... dommage moi j'aurais aimé.. un neophyte... un cul vierge bien sûr, il se pense dominant... je le percois soumis...
Juste le torse nu pour commencer... martinet... mouvement du poignet... je commence en douceur...avant de donner plus de force à mes coups... je dois reconnaitre que ça me fait du bien... je me focalise sur son dos... j'oublie le reste.
Il reste stoïque appuyé au mur...
Et moi j'ai envie de plus, mon ordre claque...il se met nu... il bande... ça m'amuse... quelques coups sur ses cuisses avant que je m'approche pour caler mon genou sur ses couilles... il suffirait de peu pour que je porte un coup... moment d'hesitation où je frotte mon genou... je percois sa respiration...
Juste un petit coup...et il se plie en deux...
Hmm, ca tombe bien, je lui demande de rester a 4 pattes...
Paddle pour commencer... ses fesses blanches ne vont pas le rester longtemps...
J'adore caresser la peau encore chaude après mes coups.
Faire glisser un doigt entre ses fesses, le tourmenter... appuyer sur son périné, zone sensible.
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Par : Dame Meg
Tu as sortie mon collier. .. juste quelques mots "ce midi..."
La matinée m'a semblé longue et courte à la fois, mon corps est impatient et tellement tendu. J'ai préparé à manger, j'ai tourné en rond, imaginer des scénarios. ..
Un sms, "attends moi nue dans la chambre"... Je me déshabille, me blottis sous la couette. J'opte pour un peu de crème sur ma peau en attendant. J'entends la porte qui s' ouvre et se referme... Je me cache sous la couette, sans trop savoir quoi faire. Tu arrives. ..
"Assie toi", je m'a genoux sur le lit. Tu attaches le collier, m'allonges, mes mains attachées à la tête de lit, mes yeux bandés...
Tu en profites, tu t'attaques à mes seins, je peux difficilement me débattre... je prends sur moi, c'est si sensible... trop. Un instant de pose, j'entends des bruits. .. Tu me demandes ma langue, tu y déposes quelques chose, et le retire... comme un timbre poste... Je ressens les effets, chaleur piquante, et goût du gingembre, c'est si particulier... Tu écartes mes cuisses et frottes doucement mon clitoris avec le gingembre, la chaleur se répend... mes cuisses s'ouvrent, je cherche ton contact... tes doigts se glissent en moi, me font gémir, me font jouir rapidement... tu viens caresser le reste de mon sexe, parcourir mes lèvres, la chaleur m'envahit, m'excite...
Ta langue prend le relais, c'est si bon, la douceur de ta langue sur mon sexe gonflé.
Tu me retournes, caresses mes fesses, glisses ton doigt le long de ma fente... La chaleur se dissipe... mais tu commences à claquer mon cul... griffer mon dos... je me sens bien.... tu poursuis. ... juste des "encore" sortent de ma bouche. .. viens le moment où tu n'y tiens plus...où ton sexe m'enculle, où je gémis, où je suis à toi... où tu glisses le gingembre dans ma chatte humide.... et je suis bien...
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Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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