Zuip
par le 30/06/22
309 vues
Elle a honte.
Elle a honte d’avoir choisi cet homme pour sa bite.
Elle a honte d’avoir choisi cet homme parce qu’il a une grosse bite.
Mais tel est son désir. Son fantasme. Son désir.
Elle en veut. Elle veut une grosse queue. Elle veut se sentir pleine. Déchirée. Investie. Forcée. Obligée de subir cette grosse queue énorme. En avoir le souffle coupé. Et en jouir. En jouir !
Maintenant c’est une réalité.
Et elle a honte et elle a peur.
Comment va-t-elle faire pour engloutir ce monstre dressé là devant elle, pour elle ?
Elle qui pourtant en a subi des bites, des moyennes, des petites, des longues. Et par tous les trous.
Mais là…. Cette bite est vraiment énorme…
Et elle reste là, accroupie, fascinée… par cette énorme bite qu’elle va prendre. Et par tous les trous. Elle le veut. Elle l’a voulu. Elle le veut…
– Ne fais pas timide, lui dit l’homme.
Son humour la rassure… un peu.
Elle, timide ?
Pas si timide que ça. Même si elle est fondamentalement, viscéralement soumise, c’est bien elle qui l’a contacté. Parce qu'au fond de son ventre elle veut se sentir pleine, remplie. Elle veut suffoquer quand il va la prendre. Elle veut sentir qu’il la force.
Et maintenant là voilà nue, accroupie devant cette queue dressée. Enorme. Si énorme que les couilles dures et pleines paraissent ridiculement petites.
Elle ne voit plus que cette queue.
Elle la contemple. Elle la dévore des yeux. Elle prend son temps avant de s’en approcher. De la toucher.
Intimidée ? Oui.
Mais quand l’homme pose sa main sur sa tête, cela la rassure. Il la touche. Cela crée le lien. Alors elle aussi pose sa main sur sa queue. Sa main qui ne peut pas faire le tour du membre, alors elle la serre dans ses deux mains. Voilà. Elle la tient.
Elle la tient et elle la serre. Elle s’y accroche. Elle la fait sienne.
La bite de l’homme devient la bite de son désir.
Elle est dure et pleine comme son désir. Elle est énorme et monstrueuse comme son désir. Elle pourrait la battre, la gifler, la griffer, la mordre. Elle la veut.
Cette bite est à elle. Elle bande pour elle.
Et elle la malaxe. Elle ne la branle pas. Ne la caresse pas. Mais elle s’en empare. La presse, la serre, la malaxe.
Et c’est avec rage qu’elle la prend en bouche.
Tout de suite.
Brusquement brutalement.
Elle l’enfourne dans sa gueule. Tout ce qu’elle peut. Obligée d’écarter largement les mâchoires, de forcer. De ravaler sa langue et ses dents. Elle veut sa bite au fond de sa gorge. Elle insiste. C’est énorme. C’est trop. Rien que le gland. C’est énorme. Elle force encore pour s’ouvrir. Les larmes lui montent aux yeux. Sa salive remplit sa bouche. Mais impossible de déglutir les mâchoires prises…
Mais elle sent la main de l’homme sur sa nuque se faire plus pressante.
Alors elle s’acharne, se fait mal aux mâchoires, empoigne les hanches de l’homme, pousse la bite dans sa bouche. Elle la veut. Elle en veut encore. Encore plus…
Mais rouge de confusion, le visage défait, en larmes, elle doit reprendre souffle… Et elle ose relever son visage. Le regarder… Avant de replonger sur la queue…
Et elle recommence. Elle s’en étouffe. Elle bave. Elle enfourne tout ce qu’elle peut. S’en arrache pour respirer. Reprend souffle. Repart. Elle s’acharne. Elle en veut. Elle aime ça.
Quand elle relève la tête, des fils de bave relient la bite à sa bouche. Le gland énorme luit, sa salive mousse autour.
Et elle recommence.
Jusqu’à ce que brutalement brusquement il l’empoigne. Par les cheveux la tire, la bascule, l’allonge. D’instinct elle s’ouvre. Ecarte les cuisses. Elle s’ouvre pour l’accueillir.
Haletante, elle se redresse sur les coudes pour voir cette bite énorme qui se rapproche de sa chatte, le gland qui se glisse entre ses lèvres, alors elle s’abandonne, et elle est heureuse quand il serre son cou dans sa poigne et commence à l’investir.
Il faut qu’il prenne sa place, qu’il la force et la fore. Il faut qu’il ouvre son trou comme il n’a jamais été ouvert.
La bite énorme lui coupe le souffle.
Elle se sent déchirée. Blessée. Elle a mal. Et pourtant elle mouille comme une folle. Mais il la prend sans ménagement. Elle l’a voulu ainsi. Elle le lui a dit. « Prends-moi. Baise-moi. Remplis-moi ».
Elle a mal. Mais c’est ce qu’elle veut : avoir mal. Elle veut la sentir passer. Mais là c’est trop, c’est épouvantablement trop. Ce n’est pas possible…
Elle est au bord de la panique. Prête à se rebeller.
Mais il la tient.
Il pèse sur elle.
Il appuie sur ses épaules et la cloue sur le lit. Il la tient, la maintient. Impossible de s’échapper.
Il pèse sur elle pour enfoncer son pieu. Et ça va passer.
Elle a beau crier, agiter sa tête dans tous les sens. Il est sans pitié.
Et le monstre poursuit son chemin. Il se glisse petit à petit. Elle halète et elle crie. Elle martèle le dos de l’homme de ses poings. Elle l’insulte. Mais la queue poursuit son chemin. Il pousse toujours sa bite en elle. Toujours plus loin. Elle se sent complètement distendue. Ecartelée. Ouverte. Brisée. Anéantie. Investie. Fouillée. Pleine. Pleine. Enfin !
Elle sent qu’il est au fond. Qu’il ne peut pas lui en mettre plus.
Alors elle pousse un râle et s’abandonne.
Elle s’abandonne, elle se donne, elle se rend. Elle se laisse investir. Au plus profond.
Enfin ! Enfin il la baise !
Et elle s’abandonne au plaisir. Elle se laisse aller. Manipuler. Manipuler comme il le veut. Quand il soulève ses reins. Quand il presse brutalement ses seins. Quand il serre son cou pour l’étrangler. La queue énorme va et vient. D’abord lentement. Puis plus fort. Au rythme de son désir. La queue énorme qui la laisse béante et vide quand il se retire presque entièrement d’elle, alors elle ressent cette angoissante du vide au fond de son ventre et se tend vers lui pour qu’il la remplisse vite. Vite. Vite ce bonheur de se sentir pleine. Cette plénitude qui la remplit et la fait monter. Le salaud la baise comme un dieu. Le salaud la fait monter. Elle sent qu’elle va jouir. Alors elle râle, bave, et elle rit. Nerveusement. Cela vient de son ventre. Elle s’agite dans tous les sens, crie, rit. Jouit. Jouit comme une folle. Jouit comme une bête. Jouit et jouit encore. Car il ne cesse pas. De la baiser. De la pilonner. Avec cette queue énorme. C’est son bourreau. Il la fait jouir jusqu’à ce qu’elle le supplie d’arrêter. Crie qu’elle n’en peut plus. Mais elle doit subir encore ses assauts avant qu’il se calme. Qu’il arrête vraiment. Ne bouge plus. Laisse sa queue palpiter au fond de son ventre. Elle est heureuse. Elle est bien.
Ils en rient.
Mais il n’a pas joui.
Et quand il se retire et qu’elle voit cette queue, cette queue dressée, gonflée, magnifiquement, incroyablement dressée et gonflée, cette queue énorme qu’elle vient de prendre, elle en veut, elle en veut encore.
Ses yeux brillent. De gourmandise. De convoitise. Elle a faim. Elle est affamée. Son ventre a faim. Elle veut sentir encore la bite en elle. Au plus profond. Elle veut encore être écartelée, brisée par cette queue. Et elle se précipite, bouche ouverte, pour l’absorber, à nouveau s’en goinfrer, remplir sa bouche de cette belle grosse queue qu’elle dévore.
Mais il ne lui laisse pas le temps d’aller jusqu’au bout.
Il l’attrape, l’empoigne et la retourne.
Appuie sur sa tête, soulève ses hanches pour la mettre à genoux, écarte largement ses cuisses, appuie à nouveau sur sa tête, il l’écrase sur le matelas, appuie sur ses reins pour faire saillir son cul, il la dispose, il dispose d’elle, elle est son jouet entre ses mains, elle est son jouet pour sa bite qui aussitôt retrouve sa place, s’engouffre, d’une seule poussée, à nouveau la déchire, et à nouveau elle crie, à nouveau c’est horrible et horriblement bon, de la sentir là, de sentir cette belle grosse bite l’ouvrir et la remplir, distendre les chairs, les forcer, les forcer encore, toujours plus loin, jusqu’à ce qu’elle soit pleine, à en feuler, à en râler, à en baver, et ses ongles griffent le drap, elle agite sa tête dans tous les sens, grogne, grogne comme un animal, grogne ses cris rauques, ces cris de gorge de femelle pleine, de femelle tenue qui subit le mâle. Elle est sous lui et il la baise. La tenant aux hanches, la tenant par les cheveux. Il la baise. Il la baise en force. Il la baise de toute la grosseur de sa queue, empoignant ses fesses, soudain les claquant. Il frappe. Il lui échauffe la croupe. Il frappe en la baisant. Il frappe ses fesses comme sa queue cogne au fond de son ventre. Il frappe, empoigne les fesses, les écarte, les sépare, ses mains ouvrent ses fesses, il la prépare. Elle a compris. Elle le redoute, elle le craint, elle en a peur, vraiment peur d’être enculée par cette queue énorme. Mais pourtant elle le veut…
Elle sait qu’il va l’enculer quand il crache entre ses fesses, quand il ouvre son trou de ses doigts. Elle sait que cela va être épouvantable, mais pourtant elle veut. Prendre cette énorme bite dans son cul.
Et elle le crie. Dans sa rage et sa crainte, elle le crie :
– Vas-y encule-moi ! Déchire-moi ! Défonce-moi !
Elle ose et tend la croupe.
Elle le veut… là maintenant. Sentir sa bite entre ses fesses. Sentir sa bite forcer son cul. L’élargir. Le remplir. Elle le veut.
Et c’est presque un soulagement quand elle la sent entre ses fesses, quand elle sent le gros gland buter contre son trou, son trou ouvert par les doigts de l’homme qui la baise, son trou gluant de ses crachats, son trou qu’il va remplir.
Et la bite lourde et chaude pèse sur son cul, travaille son trou pour y prendre sa place, elle pousse et pèse, irrésistiblement pousse, entre les fesses écartelées, entre les doigts de l’homme qui la travaille au corps. Et millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, lentement, inexorablement, l’énorme bite entre sans son cul. Tant pis si elle a mal, tant pis si elle souffre. A en crier. A en gueuler. A en chialer. Elle l’a voulu. Il l’encule. Et la bite est chaude et lourde dans ses entrailles. Présente. Horriblement présente. Délicieusement présente. Elle la remplit. Elle la remplit toute. Elle sait qu’il l’encule de toute la longueur de sa queue. Qu’il la lui met profond. Son cul est plein. Son cul est chaud. Elle est bien.
Elle est heureuse de le sentir aller et venir dans son cul. Heureuse de l’entendre râler et grogner son plaisir. Heureuse de sentir ses mains qui se crispent dans ses hanches, qui la poussent et la tirent, qui la bousculent, qui la manipulent. Elle est chienne, sa salope. Il l’encule !
Et son cul est chaud. Bouillant. Brûlant. C’est du feu qui lui brûle le cul. Qui remplit son cul. Plein, rempli, bourré, pilonné, plein. Elle va jouir. Elle le sent. Elle va jouir par le cul. Elle le sent. Elle le sent venir cet orgasme. Ça gonfle en elle. Ça bouillonne dans ses entrailles. Ça bouillonne dans son ventre. C’est chaud et puissant. Cette montée de lave. Elle sent qu’elle va exploser. Et c’est un cataclysme qui la submerge. Elle explose, oui, elle explose par le cul, elle hurle comme elle n’a jamais hurlé. Elle jouit dans son cri, le cul en fusion, le cul bouleversé, ça vibre dans sa chatte, ça explose dans sa poitrine. Et le salaud la pilonne, la martèle, bourre son cul de sa bite, il la cogne dans son cul jusqu’à ce qu’il crache son foutre en hurlant lui aussi, et se vide les couilles en elle, au fond d’elle, tout au fond, au cœur de sa jouissance.
Quand il se retire, elle se sent vide. Horriblement vide. Abandonnée.
Mais son désir est toujours là. Elle est repue, mais elle en veut encore. Encore. Encore.
Il va lui falloir réveiller la bête
5 personnes aiment ça.
sublime
J'aime 04/07/22