lolita oracio-steven
par le 23/08/22
195 vues
Voilà, c'est fait, mes 4 nouvelles galeries sont ouvertes. Enfin de compte le projet de Chicago a été annulé et remplacé par Las Vegas. Ca n'aura pas été sans mal, surtout celle de Las Vegas. Dans cette ville ou l'argent est roi, tout se monnaye, tout s'achète, j'en ai fait les frais. Pour obtenir les autorisations d'ouverture, nous avons rencontré à la galerie un responsable chargé de donner son accord, mais ce monsieur a exigé de moi, que je me livre dans une soirée privée avec quelques amis. Après quoi cette autorisation d'ouverture sera acceptée. Il nous communiqua son numéro privé pour qu'on lui donne notre accord. Un chantage odieux, mais comment faire, porter plainte et se voir refuser cette autorisation. Je n'avais pas eu de problème à Miami, Los Angelès et San Francisco.
John était furieux d'être devant le fait accompli. Autant il est d'accord pour que me fasse sauter, avec mon accord, si ça venait de lui, mais être obligé de me "prostituer" pour obtenir une autorisation d'ouverture, il n'a pas apprécié et moi non plus. Nous avions donc le marché en main et ce salaud savait pertinemment que j'accepterai, car il a attendu la fin des travaux et à 12 jours du vernissage pour nous faire connaître ses intentions. Il avait également exigé que je vienne seule. John était à deux doigts de tout laisser tomber quitte à perdre beaucoup d'argent dans les travaux de cette galerie.
Après une nuit de discutions, d'enguellades, j'ai fini par le convaincre de me laisser aller à cette soirée, Après tout se ne serait pas la première fois que je me ferais sauter par plusieurs hommes. Je téléphonais au responsable sur son portable, en lui disant accepter cette soirée privée en présence plusieurs hommes. Mais une question me troublait, "combien seront-ils". Le lendemain toute la journée cette question est restée dans mon esprit. Quels étaient les intentions de cet homme. Nous étions mercredi et le rendez-vous avait été fixé dans 3 jours, soit le samedi soir, dans une suite de l'hôtel Wynn. N'étant pas en confiance, John s'est rendu dans cet hôtel et après avoir graisser la patte du réceptionniste, il obtins le numéro de la suite réservée pour cette soirée. Par une chance extraordinaire il réserva une suite libre la plus proche du lieu de débauche.
Nous avons convenu d'un code, si j'avais le moindre problème, je devais demander à mon hôte de téléphoner au service d'étage pour commander une bouteille de champagne bien spéciale qui ne figurait pas dans le bar de la suite. Bien entendu John serait prévenu immédiatement. Je vous ai dis que tout s'achète à Las Vegas, il suffit d'y mettre les moyens.
Nous étions descendu à l'hôtel le Venetia, là ou nous étions lors de notre mariage. Les trois jours précédents la soirée et pour nous changer les idées, nous avons profiter de tout ce que Las Vegas peut vous offrir, casinos, restaurants, spectacles etc.. Nous avons même ramener dans notre suite une charmante jeune femme, avec qui nous avons passé une formidable nuit.
Le samedi arriva très vite, j'avais rendez-vous à 21h. Je me préparais, je me suis fais une toilette intime, sachant pertinemment qu'ils me sodomiseraient, fantasmes de tous les hommes. J'avais décidé de porter une robe longue très chaste pour ne pas les provoquer trop vite. John me regardait me faire belle pour cet homme que je ne connaissais que par un rendez-vous de travail en vue de l'ouverture et dont je dépendais totalement pour la suite.
A 20h30, John appela un taxi, et à 21h je frappais à la porte de la suite. John s'étant rendu dans sa suite et attendait quelles tournures prendraient cette soirée.
Un homme m'ouvrit la porte et me conduisit dans un salon ou je reconnu l'homme avec qui j'avais rendez-vous. Je fus étonnée car il était seul dans ce salon hormis celui qui m'avait ouvert la porte. Je ne vous l'avais pas décrit, la cinquantaine. un peu bedonnant, les cheveux noir comme du jais, Il nous avait dis se prénommer Baldonero. Il me baisa la main, en sachant qu'il me baiserait autrement plus tard et après m'avoir complimenter sur ma tenue, il me conduisit dans un deuxième salon où là nous attendait un dizaine d'hommes de tout âges. Le salaud, il avait du ameuter ses amis en leur disant qu'ils allaient passer une très bonne soirée. Ce salon donnait directement sur une immense chambre ou le lit immense lui aussi trônait en son centre. Face au lit un écran de télé couvrait une grande partie du mur. Ce qui m'intrigua c'est cette caméra sur pied placé en face du lit. Après tout je me dis qu'il voulait garder un souvenir pour ses vieux jours en se branlant.
Il me présentât à ses amis qui me regardaient comme une bête qu'on traque à la chasse et prévoyant l'hallali, puis il me demanda ce que je voulais boire, j'en profitais pour jeter un œil sur les bouteilles de champagne du bar. J'avais déjà la marque du champagne qui manquait, c'était déjà ça.
J'étais au centre du salon et tous les hommes m'entouraient prêts à me sauter dessus dès le coup d'envoi du maître de maison. Baldonero s'approcha de moi, me pris ma coupe de champagne, la posa sur une table et me demandât comment je désirai que la soirée se passe. Je m'attendais à tout sauf à cela. Prise de cours, je me souviens avoir dit que c'était comme il voulait. Et là j'aurai du me taire.
Il acquiesçât et me dit que comme je n'avais pas de préférence, ce serait lui qui déciderait. Il me prit par la main et me conduisit dans la chambre suivi par la meute. Puis il fit descendre la fermeture éclair de ma robe, la dégageât des épaules. Elle tombait à mes pieds me laissant en sous-vêtements de dentelles noire.
Il s'éloignât en me regardant et me demandât de retirer tous ce que j'avais encore sur le dos. J'obéi et je me retrouvais nue et vulnérable. J'étais pas dans mes petits souliers comme dans des soirées où j'avais déjà participé. Je me doutais de ce qu'ils allaient me demander, mais j'étais loin du compte. Tout ce petit monde se rapprochât de moi, et commencèrent à me caresser, à pincer les pointes de mes seins, à pénétrer leurs doigts dans mes parties intimes. Un homme assis parterre et placé entre mes jambes ouvertes, essayait de faire pénétrer sa main dans mon vagin. J'étais sèche par cet assaut brutal et il me faisait mal. Il ne réussit pas et pour se venger, il pinçat violement mon clitoris.
Pendant tout ce temps, je ne vis pas arriver derrière moi Baldonero, il me prit les mains derrière mon dos et je sentis aussitôt le métal froid de menottes. Je me débattis, mais c'était trop tard, j'étais immobilisée. Il appuya sur mes épaules m'obligeant à me mettre à genoux. Aussitôt tous les hommes émoustillés par le scénario me présentèrent leurs sexes tendus comme des arcs, . Tour à tour je les ai avalés. Il pesait derrière ma tête pour s'enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J'étouffais à plusieurs reprises, mais rien n'y faisait, ils continuaient à me forcer à les avaler. Aucun d'eux n'a joui. ce qui me désespérât car au moins ils auraient été moins en forme pour la suite.
La séance a durer longtemps. j'avais mal à la mâchoire. Je sentais mon maquillage couler sur mes joues. Puis il arriva avec un bâillon, une boule qu'il me mis dans la bouche et munis d'une lanière qu'il m'attachât derrière le tête. Je commençais à paniquer. J'étais consentante, alors pourquoi m'attacher les mains et me bâillonner ? Qu'avait il derrière la tête ? La réponse arrivât très vite. Il m'obligèrent à me mettre en levrette la tête posée sur le bord du lit, puis je sentis qu'on m'écartait mon sexe et qu'on m'introduisait ce qui n'étais pas un sexe d'hommes mais un phallus dur et froid. Pourquoi ils ne me baisaient pas normalement.
Ce sexe en plastique était énorme, il forçât pour le faire pénétrer, je m'étouffais dans mon bâillon, puis il entra d'un seul coup jusqu'au fond de mon vagin. Il le retirera pour le faire entrer de nouveau plusieurs fois en le faisant tourner sur lui même. Puis je sentis qu'il le présentait devant mon orifice le plus étroit. J'essayais de me relever mais ils me ternaient fermement. Il appuya dessus de toute ses forces et millimètres par millimètres je le sentis pénétrer en moi. J'essayais de me détendre le plus possible pour ne pas être déchirée et comme dans mon vagin je le sentis taper au fond de mes intestins. Le supplice dura on long momement puis ils le retira.
Il se tourna vers moi et me dit : "Maintenant que tu est bien élargie on vas te baiser à plusieurs en même temps" et il ajouta :"tu vas voir tu vas aimer". J'étais prise au piège, je ne pouvais même pas prévenir John par le code que nous avions mis au point. Ils me portèrent sur le bord du lit, un homme se coucha sur le dos, les jambes dans le vide, ils me forcèrent à l'enfourcher pendant qu'un autre me pénétrait l'anus dilaté par le phallus en plastique. Mais ce n'était pas tout, celui qui me sodomisait se retira et forçant mon vagin retrouva son copain de jeu. J'en avais deux à la fois. Ils allaient et venaient de plus en plus fort quand je sentis le liquide chaud m'inonder.
Il se retirèrent aussitôt remplacer par deux autres mais qui choisirent l'autre voie. Mon cul déjà dilaté par la première pénétration acceptât sans trop de mal ces deux sexes. La séance continua jusqu'à ce qu'ils se vident presque en même temps. La dizaine d'hommes présents se suivirent deux par deux en alternant mon cul et mon sexe. Sur l'écran de télé, étaient diffusées en direct les images de la caméra ce qui accentuait le côté porno de la soirée.
Baldonéro n'avait pas encore participer, il attendait quoi ?. Il s'approcha de ma tête et me dis à l'oreille: "Maintenant on vas passer aux choses sérieuses". J'essayais de murmurer quelque chose dans mon bâillon, il me le retirât et me demandât de promettre de ne pas hurler. Je lui demandait d'aller dans la salle de bain, car j'étais inonder de leur sperme. Il acceptât mais sans me retirer les menottes. il me conduisit dans la douche, pris la pomme de douche ouvrit l'eau et me planta la douchette dans le vagin. J'ai retenu un cri de douleur, présageant qu'il serait encore plus sadique si je criais. Il en fit de même dans mon cul.
Comment j'allais sortir des mains de ce monstre. Revenant dans le salon, j'en profitais pour lui demander une faveur, qu'il me fasse monter mon champagne préféré, prétextant qu'après ce que j'avais déjà enduré, je méritais bien ça. Ill eu un moment d'hésitation puis il me dit "si t'as soif il y a ce qu'il faut dans le bar"
C'était foutu, il me ramena dans la chambre, un des hommes qui m'avait prise au début rebandait comme un âne, il se coucha sur le dos, ils me portèrent sur lui et pénétrât mon cul d'une seule poussée. J'étais sur lui son sexe enfoncé jusqu'à la garde, les jambes largement ouvertes, mon sexe ouvert près à recevoir un autre participant. Ils ne furent pas un, mais deux à pénétrer mon vagin. Je me sentais ouverte en deux, je commençais à avoir très mal. C'est après une temps plus long que la première fois qu'ils éjaculèrent au fond de moi.
Un autre homme s'allongeât aussitôt sur le dos mais cette fois-ci il pénétrât mon vagin. Je fus prise de panique, présentant qu'ils allaient me sodomiser à deux, et c'est ce qu'il firent. J'allais crier quand Baldorero se mis devant moi me força la bouche en enfonçant son sexe dans ma gorge. J'avais quatre hommes en moi. Ils firent durer le plaisir le plus longtemps possible puis n'y tenant plus le premier à jouir fut mon bourreau qui me me tenat la tête, m'obligea à avaler tout le sperme qu'il déchargeait en longs spasmes de plaisir, puis les trois autres successivement.
Je tombais sur le côté les mains toujours entravées, un homme se mit derrière moi et me sodomisât à son tour, puis un autre, puis un autre. Je les avait tous subis deux fois.
Je ne savais pas depuis combien de temps je subissais leurs assauts mais je n'en pouvais plus, je regardais Baldonéro en le suppliant d'arrêter. Il fut pris d'un énorme rire, et me dit: "Quand on a la chance d'avoir à sa disposition une fille comme toi et en plus consentante pour participer à une soirée privée, il faut bien en profiter". Je le vis aller dans le salon et revenir avec un petit dictaphone, il l'approchât de mon oreille et j'ai entendu ce qu'il avait enregistré. Ce salaud avait enregistré la conversation lorsque je lui avait téléphoné pour accepter cette soirée.
Je regardais autour de moi, comment faire pour me sortir de là. Une pendule sur un meuble marquait 1h. Ca faisait quatre heures qu'ils m'utilisaient à leurs guises. J'avais mal au ventre. Les hommes vidés pour la deuxième fois étaient déjà moins en forme et leurs sexes pendaient un peu lamentablement. C'était une bonne chose.
Baldonero s'adressât à moi en me proposant une autre petite séance. Mais laquelle ? ils ne bandaient plus. Il s'absentât un moment, j'ai entendu une porte se refermer, et entrer dans la chambre trois hommes blacks. Je me sentis blêmir et presque tomber dans les pommes. Il s'adressa aux trois hommes en leur disant qu'ils pouvaient faire de moi ce qu'ils voulaient. Et puis me regardant dans les yeux à dix centimètres, il me dit : "Tu vas voir, tu te souviendras longtemps de cette soirée.". C'était sûr, j'allais certainement ne pas l'oublier.
Si seulement John avait l'idée de venir voir si tout allait bien. Mais j'étais seule face à mes bourreaux. J'ai participée à de nombreuses soirées ou je me suis faite baiser de toute les façons, mais pas comme ça.
Les trois blacks se déshabillèrent, et j'ai pu voir leurs sexes monstrueux. Je m'étais faite baiser et sodomiser par des blacks hyper montés, mais là ils battaient des records. Je présentais le pire, surtout s'ils décidaient de faire la même chose que leurs prédécesseurs. Le plus grand des trois pris un tube de gel, s'enduisit le sexe et s'approchât de moi, me détacha les menottes, ce qui m'a fait un bien fou, mais de courte durée. Il se mit derrière moi, me pris par la taille et s'assit sur le lit. Un des autres blacks m'écartât largement les jambes, puis il me leva sans effort et me déposa le cul sur son sexe raide et droit comme un I. Imaginer une batte de baseball, mais en taille XXL. Me tenant par les hanches, il me força à descendre inexorablement. Je ne pu réprimer un cri de douleur intense par ce sexe disproportionné qui pénétrait en moi. Les hommes qui regardaient ce spectacle recommençaient à bander, ils se masturbaient en pensant sans doute à ce qui allait suivre.
La moitié de son sexe était en moi et il tapait au fond. Un deuxième black, son sexe dont le gland énorme bandait à fond s'approcha et sans aucun ménagement essaya de le faire entrer dans mon vagin. Mais là problème, la place prise par le premier ne permettait pas une deuxième pénétration. Il se releva et je vis s'enduire de gel et revenir à l'assaut et en appuyant de touts ses forces je le sentis me pénétrer, puis plus rien, je ne me souviens plus de ce qu'il c'est passé après. Le noir total.
Quand je me suis réveillée, j'étais allongé sur le lit, John était à côté de moi. Mon sexe saignait et débordait de sperme, ils m'avaient déchirée. Je me sentais salie en espérant qu'aucun de tous les bourreaux ne m'aient contaminé. Il me regardait des larmes dans les yeux. Je regardais la pendule, il était quatre heures du matin. Je demandais à John ce qu'il s'était passé, il m'expliqua que pris d'un doute, il avait décidé de demander au concierge des renseignements sur la personne qui avait loué cette suite. Le concierge rétissant au départ fut plus loquace après un généreux pourboire, il lui dit ne pas connaître personnellement ce monsieur, la chambre avait été payée par carte par un certain R.Baldwin. Alors que quand John était venu pour louer à son tour une suite ou il devait m'attendre on lui avait donné le nom de Baldonéro.
Commençant à comprendre que j'étais peut-être tombé dans un piège, il appela un de ses amis qui est procureur, il lui expliqua la situation en insistant sur l'urgence de l'affaire. Réveillé en plein sommeil il accepta de téléphoner à la Police, une demie heure plus tard, ils pénétraient dans la suite. Tout le monde fut emmené au poste de Police, et moi dans une clinique pour me faire recoudre.
Ils ont emmené la caméra, John leur ayant demandé une copie de l'enregistrement. Nous avons appris le lendemain que ce fameux Baldoreno n'avait aucune responsabilité dans les autorisations d'ouvertures, qu'il travaillait bien dans ce service, et qu'il avait prétexté qu'après s'être présenté à la galerie pour faire l'état des lieux, en me voyant très sexy et connaissant le style d'oeuvres d'arts que je présentais, il s'était dit qu'une petite soirée avec des amis pourrait être sympa. En fait la véritéil était tout autre, Baldonero était en cheville avec R.Baldwin qui se faisait par ces soirées préméditées, une collection de vidéos sadiques. Un bon nombre de ces vidéos ont été trouvées à son domicile lors d'une perquisition. Mais les autres victimes n'ont pas eu la chance qu'on vienne les secourir avant la fin de ces soirées sadiques.
Huit jours plus tard, remise de mes émotions et en forme, nous avons ouvert cette dernière galerie où était présent bon nombre de personnalités.
Un mois plus tard j'ai reçu le résultat les tests, ils étaient négatifs. John avait récupéré la copie de la caméra, nous l'avons visionnée plusieurs jours plus tard. J'ai vu ce que les 3 Blacks m'avaient fait subir tour à tour et pendant un long moment, après avoir subi d'autres pénétrations par d'autres participants et après que je sois tombée dans les pommes, pas étonnant qu'ils m'aient déchiré, des beaux salauds sans scrupule. Dans d'autres circonstances j'aurai apprécier leurs sexes en moi, mais surement pas de cette façon.
à suivre...
Thèmes: ma vie sexuelle
2 personnes aiment ça.
Hector
Vous composez des textes toujours aussi torrides et violents, Lolita. Cela faisait très longtemps que je n'étais pas retourné sur BDSM.fr et je vous retrouve égale à vous même. Aussi féérique sur vos photos qu'outrageusement hard dans vos propos. Fantasme ou réalité, je n'en sais toujours rien 10 ans après ! ^^
J'aime 08/05/23