par vaudoo69
le 15/09/22
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Doc's, Bretelles et Porte-jarretelles...
Elle jaillit hors de la douche, si pressée de redevenir la salope qu’elle a toujours été. Après avoir consommé le temps dont elle avait besoin pour s’apprêter, je ne le visualise pas encore. Mais je le sais, au bruit que je n'entends plus depuis 45 min, elle s'est préparée pour aller dans la pièce secrète, elle ne s'habille jamais dans cette pièce, à part quand elle a prémédité quelque chose.
Quand je l’aperçois sortir de la salle de bain, je découvre qu’elle s’est remise dans ses habits de petite salope,ceux que je n’avais pas revus depuis que nous avions quitté l’appartement, on dirait une skinhead girl un peu perverse sur les bords.
Elle porte ses Doc's à talons de couleur bourgogne, des bas résilles ténébreux surmontés d’un porte-jarretelle en dentelle noirâtre. Pour cacher ses mamelons, elle a enfilé une chemise à petit carreau rouge et noir, nouée au niveau de sa poitrine sur laquelle ses bretelles sont mises de façon à faire ressortir ses seins en les compressant, comme si elle exigeait que je les attache tout de suite.
Une micro-jupe en jean bleu qui oblige son cul pulpeux à rester dehors, qui ne couvre même pas la moitié de son cul, c’est vraiment ça qu’on appelle ras la chatte, ce tout qui a le don de m’exciter.
Je la regarde passer en me demandant comment je vais m’occuper de cette godinette… Mon cerveau fuse, et heureusement que nous existons dans une société compréhensive, que la fornication, la sodomie et le libertinage ne figurent plus dans la liste des délits de luxure, sans ça, je finirai au cachot pour de longues années. Elle, par contre, va terminer dans mon donjon pour mon profit et pour me divertir.
Elle réclame de me servir ou elle utilise mes pulsions pour assouvir les siennes, dans tous les cas, elle a été trop loin dans la provocation, pour que je ne lui fasse pas vénérer mon phallus et mes coups de trique.
Je lui impose de venir m’offrir à boire pour que je la scrute d’un peu plus près, elle se penche sur mon bureau pour récupérer mon verre. C’est à ce moment-là que je l’examine vraiment. Elle en profite également pour se cambrer, je lui mets une première fessée et lui demande d’un ton grave.
« Que cherches tu as accompli dans cette tenue, et surtout dans cette position ? »
Elle se penche encore plus et j’aperçois son nouveau plug…enfin, un dont l'existence m'était inconnue. Je lui remets une déculottée sur ce postérieur magnifique. Elle se cambre même un peu plus, je peux observer à quel point tout son corps a envie que je profite d’elle, voire pire que j’en abuse comme je sais si bien le faire avec elle.
Après une troisième et dernière fessée bien plus puissante que les deux précédentes, je mets ma main sur sa fesse qui est devenue chaude et commence à être rosée. Je lui demande si elle sait que ses faits et gestes vont engager des conséquences.
Toujours sans dire un mot, elle se contente juste de hocher la tête et de dandiner ses meules, de la même manière qu’une vulgaire chatte capricieuse, ce qui conduit à faire sonner les grelots de son bijou anal que je n’avais pas vu. Je l’attrape, l’examine et lui réclame de s’agenouiller entre mes pattes, et lui dit
« comme tu ne veux pas parler, je faire en sorte que tu le fasse pas ! »
Comprenant ce qui lui arrive, elle s’exécute d’un mouvement, elle se retrouve entre mes jambes en totale soumission, en total don de soi-même, son collier entre ses mains et sa langue tendue. Je m’approche avec son plug de sa gueule, pour l’arrêter à quelques centimètres de sa bouche dont le rouge à lèvres fait ressortir le côté pulpeux.
Hésitante, elle finit par s’avancer, et je lui annonce.
« Arrête-toi là, tu ne vas pas seulement le lécher. Je veux que tu le suces en me regardant dans les yeux ».
Je récupère son collier et la regarde sucer son plug, comme si c’était ma bite, ce qui finit de m’exciter. Elle l’a pris sans que le contrat ou le rituel du collier soit fini, elle pouvait refuser, mais voulait tellement servir qu’elle l’a fait, et a accepté.
Maintenant, je lui donne une série d’ordres à exécuter d’un ton sec.
« Garde-le dans la bouche et lève-toi… » « Retourne-toi ! »
Je lui applique une énième fessée avant de commencer à lui mettre son collier en lui disant :
« Si tu désires revenir en arrière, c’est maintenant ! Ce qui va suivre le verrouillage de cette boucle risque de te laisser des marques »
Elle me répond.
« Non, Maître, j’ai confiance en vous, je suis votre chose, votre chienne, votre bagasse ! Faites ce que vous voulez de moi ! »
J’achève de fermer le collier, pour y accrocher une belle chaine en inox doré et tout brillant.
« J’exige que tu sois à quatre pattes entre mes jambes sous mon bureau, le temps que je finisse mon projet et que je me retrouve à plein-temps sur le dressage de la petite salope que tu es ! »
Je la vois commencer à s’agiter, je tire une fois sur sa laisse ce qui l’a conduit à tomber à portée de bouche de ma verge encore enfermée dans mon pantalon. Elle relève un peu la tête et entame de me déshabiller, tout du moins elle a essayé de descendre ma braguette. Je l’arrête, ce qui l’a fruste, je l’analyse, son visage, on dirait qu’elle est pressée d’exister en tant que centre de mon attention, elle le sait que ce qu’elle a accompli a le don de me déplaire et je lui dis.
« Tu sais, je n’avais pas l’intention de t’emmener dans le donjon ! Je travaillais sur un projet, alors laisse-moi finir ! Ou ça ne va vraiment pas te plaire, ce que je vais faire de toi et de ton petit cul ! »
Au bout de 15 min, je sens qu’elle veut vraiment que je m’occupe que d’elle, ça tombe bien, j’ai fini, je vais pouvoir m’occuper de cette bagasse. Je me lève, tire la laisse et lui demande de se tourner, mais avant, je lui arrache le plug sur lequel elle a bavé au moins 20 min. Elle se retourne et se présente en position de la chienne soumise, les mains loin devant elle, les pieds au sol et les miches bien hautes. Son cul nous ferait presque croire qu'il essaye de toucher le ciel . Je lui remets son plug déjà tout lubrifié par sa salive.
« la petite chienne ! » pensais-je.
Par la suite, je tire la laisse pour qu’elle me suive, je lui mets la poignée dans la bouche, on marche, elle reste à 4 pattes presque à mes pieds. Elle est cambrée presque au maximum, épaules surélevées, ventre très bas et cul très haut comme toujours. Elle veut vraiment s’identifier à la petite chienne que j’aurais adoptée. Même si parfois ça change, elle a plus des allures de chatte en chaleur. Entre petite chatte et grosse chienne, son cœur balance.
On arrive au pied de l’escalier qui mène à la pièce qu’on a aménagée en authentique donjon, une espèce de salle de torture ou véritable paradis, tout dépend de mes envies.
Et là, j’apparais dans une humeur de diablotin. Je veux m’amuser un peu avec cette salope de skinhead girl !
...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM, Autres
Suggestion
Par : Thutale
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.)
1. Je suis née alors que mes parents n’avaient pas encore fini leur croissance. Ma seule existence a suffi à geler à jamais l’ambiance dans ce qui venait de devenir ma famille.
2. Quelques coups du destin plus tard, tout cela a dérapé en mode free-style dans un bad trip permanent dans mon entourage d’enfant. Héroïne, acides, overdoses, suicides.
3. Les premières années de ma vie, ça n’a pas été l’extase. Du coup par contraste, la vie c’est toujours génial maintenant.
4. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour accepter, tolérer, de poser le bout des orteils sur Terre.
5. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour oser me lier à un autre être.
6. J’ai fait beaucoup d’excès pour ne plus avoir mal, et encore davantage pour me faire mal, et il m’a fallu des années pour m’en remettre. Je ne pense pas être capable de faire une autre fois ce chemin.
7. Un jour, j’ai compris que si je ne changeais pas j’allais périr ou pire.
8. J’ai longtemps porté un abîme en moi, mais je suis sevrée de toute souffrance.
9. J’ai longtemps confondu être fort et bander ses forces pour tenir le cap dans le déséquilibre. Mais aujourd’hui je suis détendue et stable.
10. J’ai tellement changé au cours de ma vie que même moi je ne me reconnais pas. La métamorphose est devenue my way of life.
11. J’adore l’introspection.
12. Un jour, j’ai trouvé ma place sur Terre.
13. La spiritualité est le fil conducteur de ma vie.
14. Je suis bien à ma place dans mon boulot. Je crois que je suis exactement à ma place.
15. J’ai besoin d’intensité, peu importe que ce soit heureux ou malheureux ; toutes les sensations d’être en vie m’intéressent.
16. J’ai besoin d’authenticité. Et être d’une telle profondeur que la plus grande transparence ne la trahisse point. (C’est un idéal.)
17. J’aime chaque représentant de l’Humanité, chaque expression de la Vie, j’aime les choses animées et les choses inanimées, comme les galets ou les étoiles, et toutes les choses vertes et vivantes.
18. Je peux entrer en transe en scandant mentalement de la poésie, en contemplant un buisson de fleurs ou en posant le regard dans le profond du ciel.
19. J’ai un idéal de bodhisattva. Enfant je voulais prendre les souffrances de l’humanité sur mes épaules. J’aimerais encore mais j’ai compris que ça ne marchait pas comme ça. Et que la souffrance avait sa raison d’être.
20. J’ai fait partie de plusieurs fraternités.
21. J’ai vécu dans des communautés anarchistes, des ashrams, des fermes autogérées. Des villas avec piscine, des squats, des maisons troglodytes, des maisons aux carreaux cassés où le vent glacé s’engouffrait, des demeures classées monuments historiques.
22. Je porte une étrange pureté.
23. J’oscille sans cesse entre solitude et grégarité, fusion et individuation.
24. J’ai franchi plusieurs fois l’équateur. Je me suis baignée dans tous les Océans dont la température est raisonnable.
25. J’ai appris à aller vers mes points de fascination.
26. Je m’installe parfois debout sur la tête pendant dix minutes sans bouger.
27. J’ai glané des petits pois dans les champs par des nuits de pleine lune.
28. J’ai fait du béton toute nue (et c’est pas malin).
29. Je peux aimer et être aimée, fusionner sans me perdre, et perdre l’amour sans en être détruite.
30. Je lis et relis en boucle certains livres : Tolkien, Bradley, le Zarathoustra de Friedrich, la Consolation de philosophie de Boèce.
31. Je suis en tout sans mesure.
32. De tous les ressentis, celui qui m’est le plus nécessaire est le sentiment de liberté.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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4) me le faire savoir.
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Par : Maël
1. J'ai couché avec une fille pour la première fois à 18 ans. J'avais l'occasion de franchir ce cap avec ma première copine mais comme je comptais me séparer d'elle et que je considérais cette étape comme importante je ne l'ai pas fait.
2. Je pense que mon handicap à façonné ma vision actuelle de la vie, mes choix et mes désirs...
3. J'ai une vision parfois dur de la vie même si je me suis assagit.
4. J'ai fait partie de mouvements extrêmes et suis parfois encore sensible aux discours et idées fortes.
5. J'ai pendant longtemps complexé sur ma virilité et me suis souvent senti en insécurité. J'ai réalisé un gros travail sur ces deux thématiques ces derniers mois et me sent bien mieux depuis.
6. Je suis un grand fan des fellations et adore qu'on m'en fasse.
7. Je pense que mon père n'a pas été suffisamment dans son rôle et aurait du parfois faire preuve de plus d'autorité.
8. J'aimerai avoir des enfants mais c'est pour moi une démarche très forte qui va au delà de la simple acceptation social. J'attends d'être suffisamment mûr et porteur de valeur forte avant de m'engager dans cette expérience unique.
9. J'aime tout ce qui est underground : le cinéma, la musique et toute forme d'art en marge.
10. Je pense que toute forme de faiblesse doit être annihilé.
11. Mon réalisateur préféré est Lars Von Trier.
12. Le chanteur que j'aime le plus est Rochdi.
13. Les deux citations que je trouve les plus marquantes sont : "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" et "Il vaut mieux être seigneur en enfer qu'esclave au paradis".
14. Je me fixe régulièrement des objectifs et m'auto challenge pas mal.
15. Je n'aime pas me sentir humilié.
16. Il y a de fortes chances que je me rase le crâne à blanc le jour où je franchirait les plus grosses étapes de mes parcours spirituel et philosophiques.
17. J'adore dire putain. Je deviens vulgaire quand des sujets me prennent à coeur.
18. Je n'ai pas peur de la mort mais des maladies dégénérescentes. J'y pense régulièrement.
19. Je compte orner mon corps de tatouages à haute valeur symbolique pour moi.
20. Je me méfie des femmes.
21. Il y a des matins ou en me levant je me sent invincible.
22. Je me remet très souvent en question et je ne veux pas me faire bouffer par mon égo.
23. J'aime sentir la douleur physique (bdsm,boxe,musculation...). Je me sent encore plus vivant lorsque j'ai mal.
24. Je ne suis pas assez présent pour ma famille.
25. Le sexe à une haute valeur ésotérique à mes yeux.
26. J'ai fait cette liste pour ma Maîtresse Adeléa. Je ne sait pas comment l'avenir va se goupiller mais j'ai vécu des moments extrêmement puissant grâce et avec elle récemment. Si un jour notre relation Domina/soumis doit prendre fin, j'espère pouvoir garder contact avec elle.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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Par : BDSM
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être :
- Sûres
- Saines
- Consensuelles
Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger !
Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré !
Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE.
Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : SaraKajiraPanthère
Analyse d'un échange afin que vous appreniez à reconnaître et à déjouer les pièges ...
Il est clair qu'ici je fais part de mon interprétation quant-aux propos du maître XY, et que donc cela implique le fait que je puisse me tromper... c'est pourquoi je suis toute prête à entendre vos interprétations... alors n'hésitez pas...
maîtreXY: bonjour sara soumise
(le maître fait un rappel, en douceur, des statuts de chacun)
Moi: bonsoir Monsieur
maîtreXY: comment vas-tu ?
(le « tu » implique une emprise)
Moi: je vais fort bien et vous même ?
maîtreXY: très bien merci soumise
(le maître renforce son statut... statut que j'accepterais si il était mon maître, ce qui n'est pas le cas)
Moi: Monsieur je me nomme Sara... le mot soumise est et sera réservé à celui qui sera mon maître.
(compte tenu que le maître n'est pas MON maître, je me permets de remettre les choses au clair)
maîtreXY: ok ok sara si cela te fait plaisir
(le maître souligne qu'il accepte ma demande pour me faire plaisir, et il en attend donc un remerciement.)
Moi: ce n'est pas par plaisir Monsieur
(sauf que je fais remarquer au maître que c'est un état de fait et non un plaisir)
maîtreXY: tu mérites d'être cravachée sara
(réaction normale du maître devant le fait que j'aie omis de le remercier)
Moi: oui c'est fort possible Monsieur
(je lui fait comprendre que mon omission est des plus volontaire)
maîtreXY: sûr, c'est cela qui te manque un bon dressage
(le maître me fait comprendre qu'il sait que mon omission est volontaire et il me donne sa solution au problème)
Moi: si vous le dites Monsieur
(j'essaie de lui faire remarquer que ceux sont là ses paroles et non les miennes)
maîtreXY: tu es habillée comment sara ?
(le maître prend de l'assurance, un peu trop à mon goût)
Moi: et pourquoi devrais-je vous le dire Monsieur ?
(je lui fait comprendre qu'il a été présomptueux)
maîtreXY: tu dois obéir sara
(le maître se place en tant que tel tout en me faisant comprendre où est ma place)
Moi: non je ne dois obéissance qu'à mon maître quand j'en aurais un !!!
(je recadre les choses et je reprends le pouvoir)
maîtreXY: tu dois apprendre à obéir et à respecter les maîtres
(rappel à l'ordre des statuts, le maître exige mon obéissance)
Moi: je respecte les Maîtres mais je ne suis pas tenue à leur donner obéissance. Je ne confonds pas le "LES Maître" avec le "MON Maître"; Monsieur.
(je reprends le pouvoir en lui disant ma façon de penser)
maîtreXY: tu as la langue trop bien pendue sara
(le maître sous entend que je serais une « mauvaise » soumise et que j'ai besoin d'être dressée, et ce bien entendu, dressage donné par ses soins)
Moi: Non du tout Monsieur, je ne suis pas votre soumise et de ce fait, oui je vous dois le respect du à votre titre de la même façon que je le dois à tous les autres Maîtres, mais en aucun cas je vous dois obéissance; Monsieur.
(je fais comprendre au maître que je l'ai entendu, mais que je refuse sa proposition)
maîtreXY: je comprends pourquoi tu n'oses pas les rencontres, tu as trop peur d’être punie
(le maître essaie de me culpabiliser... )
Moi: Peur d'être punie Monsieur ?
Moi: Au cours d'une rencontre ?
maîtreXY: et de devoir te soumettre
Moi: Non pas du tout, au risque de me répéter... vous n'êtes pas MON Maître Monsieur, de ce fait je ne me soumettrais pas à vous et de même je n'accepterais pas d'être punie par vous.
(je refuse cette pseudo culpabilité et je le lui fait savoir)
maîtreXY: si tu ne veux pas être ma soumise alors salut
(le maître semble avoir compris qu'il ne sera pas Mon Maître)
Moi: je vous souhaite donc bonne chance Monsieur ainsi qu'une bonne soirée
(là je me permets une moquerie tout en finesse... )
maîtreXY: bonne nuit sara fait de beaux rêves
Moi: Merci Monsieur
maîtreXY: salut
Moi: Au revoir Monsieur
À ce moment je me dis que le maître a compris et que de ce fait l'échange s'arrête là... mais non...
maîtreXY: ton skype sara
(le maître voudrait reprendre la main sur et dans un autre « lieu » )
Moi: pourquoi faire Monsieur ?
(je lui en demande la raison, bien que je la connaisse déjà)
maîtreXY: pour te voir sara
(le maître me donne en effet la seule réponse possible)
Moi: me voir Monsieur ?
Moi: et dans quel but ?
(je demande au maître un complément d'information)
maîtreXY: faire mieux connaissance et voir qui est sara
(le maître m'explique le pourquoi de sa demande tout en me faisant comprendre qu'il aimerait aller plus loin avec moi)
Moi: Je me permets Monsieur de vous remettre en mémoire le fait que vous m'avez congédiée il y a peu et ce pour le fait que je me refuse d'être votre soumise. Ce qui est vrai. Du coup je ne vois pas l'utilité que nous allions sur skype pour faire plus ample connaissance, d'autant plus que vous m'aviez déjà fait cette demande en m'ordonnant de m'y montrer nue.
(je remets certaines choses passées au clair et je reprends le pouvoir)
maîtreXY: et bien tu veux ou tu veux pas me donner ton skype sara
(le maître sent que je lui échappe et cela ne lui plaît pas)
Moi: Monsieur, je vous l'avais déjà donné et vu la conversation que nous avions eu je pense que vous m'avez, par la suite, aussi congédiée de votre skype.
(Je lui rappelle à nouveau des mots dits il y a peu ainsi que la finalité de l'échange qui eu lieu entre nous sur skype)
maîtreXY: votre skype ne discuter pas
(le maître perd de son statut car il me donne du vous... de ce fait c'est comme si il me considérait comme son égal)
Moi: Vous n'êtes pas MON Maître Monsieur ! Je n'accepte donc pas vos ordres.
(j'ai le pouvoir et je lui confirme le fait que je suis en pôle position)
maîtreXY: ok donnes
(le maître tente une ultime fois tout en me passant de la pommade pour m'amadouer)
Moi: Non Monsieur. Je ne vous le redonnerais pas.
(je lui fais comprendre que la pommade ne sert à rien... )
et là a-t-il enfin compris ?...
à priori oui...
ACT II avec maîtreXY...
maîtreXY: bonjour sara
Moi: bonjour monsieur
maîtreXY: comment allez vous
Moi: je vais bien merci
maîtreXY: toujours rebelle
(le maître prend la température... )
Moi: en voilà une drôle de question Monsieur
(je lui faire part de mon étonnement...)
maîtreXY: et pourquoi çà
(le maître ne comprend pas...)
Moi: car cela sous-entends que je l'ai été il y a peu Monsieur
(... d'où mon complément d'explications)
maîtreXY: pour moi tu mérites d'être traitée très sévèrement et dresser sans ménagement
(le maître se souvient fort bien de mon côté rebelle... et par la même occasion il me redonne sa vision des chose)
Moi: ha oui? et pourquoi Monsieur ?
(je demande un complément d'information)
maîtreXY: pour que tu deviennes une très bonne soumise et faire la fierté de ton maître quand il t'offre
(le maître tente de me culpabiliser et de me faire douter des mes capacités à être une bonne soumise)
Moi: oui mais cela incombera à MON Maître, Monsieur; si tel sera son désir.
(je refuse cette pseudo culpabilité et je lui donne par la même occasion MA vision des choses)
maîtreXY: oui si vous voulez vraiment un maître?
(le maître essaie d'insinuer en moi le doute quand à mes envies et désirs)
Moi: oui je veux un Maître mais je veux MON Maître.
(je coupe cette tentative en lui mettant clairement par écrit ce que je cherche)
maîtreXY: vous êtes surtout une esclave devant être la propriété d'un maître, pour l'instant une chose, un meuble, qui bien dressé fera de vous une bonne soumise
(le maître essaie de reprendre le pouvoir en accentuant les positions de chacun.... tout en me laissant entrevoir que je pourrais, entre ses mains, devenir une bonne soumise)
Moi: et tout ceci pour dire quoi Monsieur ?
(j'oblige le maître à abattre son jeu)
maîtreXY: que j'aimerai bien vous voir pour vous testez et vous punir
(le maître me fait comprendre que pour pouvoir être sa soumise je dois accepter une mise à l'épreuve, sauf que ce faisant il a « oublié » que je ne suis et que je n'ai jamais été intéressée par son offre)
Moi: pour me tester Monsieur?
Moi: Ben voyons... c'est clair... quoi qu'il en soit je suis désolée, je me permets de refuser votre offre.
(ce que je lui fait comprendre de suite...)
maîtreXY: je le savais
(le maître abdique... ou presque..)
Moi: nos visions sont opposées ce qui fait que nous ne serions jamais d'accord Monsieur
(je lui donne un complément d'information pour expliquer mon refus)
maîtreXY: vos visions sur quoi ????
(le maître ne fait comprendre qu'en fait il n'en a que faire de ma façon de concevoir une relation D/s)
Moi: sur la relation Maître/soumise Monsieur
(simple rappel de ma part... )
maîtreXY: je ne sais pour quelle raison vous avez disparu de mon skype
(le maître s'étant rendu compte de son impair tente de passer à un autre sujet)
Moi: je n'en sais pas plus que vous Monsieur
maîtreXY: c'est quand même bizarre
(le maître met en doute ma parole)
Moi: je ne sais pas Monsieur... c'est ainsi... parfois le hasard s'en mêle...
maîtreXY: tu en fais une belle de hasard, tu aurais pu me prévenir
(le maître fait une accusation en bonne et due forme)
Moi: pardon Monsieur ?
Moi: vous prévenir de quoi Monsieur ?
(étant accusée je lui demande un complément d'information...)
maîtreXY: de m'avoir retiré de tes amis sur skype
Moi: non Monsieur... vous y êtes toujours sur mon skype... le retrait ne vient pas de mon côté.
(je lui fait comprendre que l'erreur vient de sa part...)
maîtreXY: bon ok, j'ai du faire une fausse manœuvre. mais vous n'êtes plus là
(le maître avoue qu'il a fait « une fausse manœuvre »...)
Moi: et donc ? que suis-je sensée faire ?
maîtreXY: remettre les chose en l'état
Moi: c'est à dire Monsieur ?
maîtreXY: que vous me contactiez sara
Moi: et pourquoi le ferais-je Monsieur ?
maîtreXY: parce que je pense que vous n'êtes pas une pétasse.
(le maître me passe la pommade « flatterie » ... )
Moi: et bien c'est gentil pour toutes les autres soumises Monsieur
Moi: donc si je vous comprends bien, toutes les soumises qui vous ont dit non sont des pétasses... et pour ne pas l'être je me dois donc de vous dire oui... est-ce cela Monsieur ?
(je fais comprendre au maître que la flatterie ne fonctionne pas sur moi... bien au contraire.)
maîtreXY: vous avez des ondes vraiment très négatives, soyez ce que vous voulez sara
(et rebelote le maître essaie à nouveau de me culpabiliser tout en voulant me faire douter de ma capacité à être une soumise... )
Moi: non Monsieur je n'ai aucune onde négative
(je refuse, à nouveau, cette pseudo-culpabilité)
maîtreXY: vous l'êtes tellement que vous n'arrivez plus à vous situez dans votre vie
(le maître tente encore de me déstabiliser... )
Moi: et je suppose que vous seriez tout prêt à m'aider à reprendre pied... n'est-ce pas Monsieur ?
Moi: sauf que, Monsieur, pour votre information... je me situe très bien dans ma vie et dans mes envies.
(je lui fait donc comprendre que cela ne fonctionne pas... )
maîtreXY: je le voulais oui, mais maintenant je pense que je ne peux pas grand chose pour vous rendre heureuse
(le maître avoue qu'il avait des vues sur moi, mais il avoue aussi son incapacité...)
Moi: et bien vous vous y êtes pris comme un manche avec moi Monsieur... vous avez juste oublié que derrière toute soumise il y a d'abord une femme et que pour avoir la soumise il faut avant charmer la femme.
Moi: sur ce Monsieur je vous souhaite bonne chance dans votre recherche.
maîtreXY: je ne cherchais pas à être ton amant mais ton maître, mais là vous avez un blocage qui prouve que vous n'êtes pas encore une soumise
(le maître se sent attaquer dans son statut...et comme il ne peut reconnaître sa propre incapacité, il voudrait me la mettre sur le dos en essayant de me culpabiliser)
Moi: les amants, comme vous dites Monsieur, je peux en avoir quand je veux... mais cela ne change en rien qu'une soumise est aussi et avant tout une femme... si vous n'avez pas compris ça vous n'avez rien compris...
Moi: de plus vouloir me culpabiliser ou vouloir me faire douter de ma soumission est indigne d'un Maître.
(je suis fatiguée de ce dialogue de sourd, du coup je lui fais savoir que je ne suis pas dupe quant-à ses tentatives de culpabilisation et autre, tout en lui faisant comprendre que cela accentue le fait qu'il ne soit pas digne de son statut)
maîtreXY: ouh ouh ouh on arrête là si vous voulez bien, une seule chose à dire " dommage"
(le maître a fort bien compris, du coup il prend la sortie de secours...)
Moi: oui Monsieur, il me semble que c'est le mieux à faire faute de quoi mes mots pourraient dépasser ma pensée.
maîtreXY: et des pensées vous en avez
Moi: bien sûr Monsieur, autant si ce n'est plus que vous.
maîtreXY: oui, mais moi je suis simple
Moi: moi aussi Monsieur je le suis
maîtreXY: alors tout est bien sara, et tout le monde a sa place.
Moi: oui Monsieur
maîtreXY: CQFD
Moi: CQFD Monsieur
maîtreXY: bises
Moi: bonne continuation Monsieur
maîtreXY: merci, au plaisir
Cela dit je me permets de dire à toutes les soumises... "Ne laissez JAMAIS un maître vous faire douter de votre soumission et/ou de votre capacité à être une bonne soumise... et refusez toutes tentatives de culpabilisation de sa part... sur ce prenez soin de vous mes toutes belles... (PS... cela s'adresse aussi aux soumis!!!)"
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Par : Lady Liliam
1 – Quand j’étais petite j’étais grande mais ça n’a pas duré… maintenant que je suis grande je suis toute petite…
2 – J’aimais jouer aux voitures et aux billes, grimper dans les arbres pour être plus proche du ciel plutôt que des humains, je me faisais des cabanes où je vivais dans mon univers.
3- J’ai grandi à la campagne, j’aimais arracher les pattes des sauterelles et pousser les filles dans les orties….
4 – A l’école, je me retrouvais souvent toute seule parce que les filles m’ennuyaient beaucoup, j’ai donc décidé de m’allier avec les garçons de ma classe et je me suis mise à jouer au foot.
5 – J’ai fini par avoir tous les garçons à mon service et ça rendait les filles folles et jalouses et ça m’amusait beaucoup.
6 – J’avais un vélo bleu et comme j’étais un peu kamikaze, je ne l’oublierais jamais car la plupart de mes cicatrices sont des souvenirs de nos ballades en tête à tête.
7- Près de chez moi il y avait un lavoir, il m’arrivait enfant de me demander ce qui se passerait si je poussais quelqu’un dedans, un fantasme que je n’ai malheureusement jamais réalisé !
8 – Mes premiers émois sexuels ont eu lieu dans les toilettes de mon école avec une fille…..bizarrement, celle que tout le monde rejeté….
9 – J’ai grandi entouré de vinyles (non non, pas les tenues…sourires) les fameux 33 tours, ceux qui se sont faits rares quelques temps et qui reprennent doucement leur place.
10 – Je passais des heures et des heures à écouter de la musique, grâce à cela sans le savoir je traçais mon avenir.
11 – Au fil de mes découvertes musicales mon style vestimentaire changeait, c’est comme ça qu’en une année je suis passée des jupes longues de baba cool au blouson de cuir et jeans déchirés. J’ai gardé mon amour du cuir, allait savoir pourquoi…sourires....
12 – Un soir, alors que j’allais sur un festival, je me suis arrêtée prendre un verre avec des amis dans un bar perdu en plein milieu de la campagne. Un billard au milieu de la salle m’appelait, j’ai joué avec un jeune homme, une partie, deux puis trois etc…. il a fini par nous inviter à finir la soirée dans son hôtel. C’était un des musiciens de Nino Ferrer, nous avons terminé au petit matin en sa compagnie à chanter à tue tête, un beau souvenir de ma période travellers….
13 – J’ai fait du bénévolat pendant longtemps pour des associations organisatrices de concert, vu passer des groupes qui n’étaient alors pas connus à l’époque et j’ai eu la déception de les recroiser plus tard quand ils avaient rencontrés le succès. Ils auraient mieux fait de ne jamais être connus, je confirme, le succès rend parfois très très cons….
14 – Je me suis faite renvoyer de mon collège pour incitation à la grève mais c’était bien marrant d’avoir fait ça.
15 – Un de mes meilleurs amis était le fils du commandant de la gendarmerie de ma ville, j’ai fait les pires bêtises avec lui comme entourer toutes les voitures du commissariat de papier toilette, heureusement son père n’a jamais su tout ce que nous avions fait sinon il aurait démissionné !
16 – J’ai réussi à m’endormir à côté des baffes pendant un concert au Printemps de Bourges, j’ai un sommeil de plomb, je dors n’importe où, dans n’importe quelle situation si j’en ai besoin, des amis m’ont longtemps appelé marmotte à cause de ça….
17 – Je me suis retrouvée à faire le marché en portant dans un sac 4 petits chiwawa avec une copine Domina, qu’est ce qu’on ne ferait pas pour ses amies….
18- J’ai eu les cheveux très très long, jusqu’aux fesses mais trop contraignant pour moi donc je me suis rasée la tête. Il ma fallu au moins un quart d’heure pour réussir à convaincre la coiffeuse de mettre le premier coup de ciseau, je crois que mes cheveux ont ensuite été récupérés pour faire une perruque, j’adorerai un jour la voir si elle existe !
19- Je me contente de peu, je ne suis pas matérialiste pour un sous, je préfère de loin m’intéresser à l’être humain.
20 – J’ai une facilité déconcerte à faire disparaître quelqu’un de ma vie si j’estime que cette personne est nocive pour moi, pour vivre heureux vivons tranquille pourrait être une de mes devises.
21 – J’aimerai que les gens comprennent que ce n’est pas parce qu’il m’arrive de vivre comme un ours dans ma grotte sans donner signe de vie que je ne les aime pas et que je ne pense pas à eux.
22 – J’ai travaillé pendant longtemps dans le secteur social en pensant pouvoir sauver le monde ou tout du moins le petit monde dans lequel j’exerçais, après 18 ans de bons et loyaux services j’ai jeté l’éponge, écœurée par les faux semblants et l’hypocrisie des têtes bien pensantes qui ne pensent qu’à une chose, le pouvoir et leur image….
23- J’arrive à passer de ma paire de Doc Martens à une paire de cuissardes sans aucun problème.
24 – Je suis autant à l’aise dans un squat d’artistes que dans un appartement luxueux des champs Elysées ce qui m’a permis de faire de fabuleuses rencontres et de déstabiliser plus d’une personne qui elles seraient en état d’apoplexie dans un squat….
25 - Je suis cash et sans détours, ce qui m’a joué bien des tours mais quel plaisir de se sentir en accord avec soi même !
26 – J’ai déménagé de nombreuses fois, tout plaquer pour tout reconstruire ailleurs, j’adore !
27 - J’ai dompté mon côté obscur il y a longtemps, je l ai transformé en plaisir c’est ce qui ma mené vers le SM et je n’ai jamais été aussi épanouie que depuis ce moment.
28 – Je fais toujours ce dont j’ai envie, quand j’en ai envie, peu importe que ça plaise ou non. Je me fiche éperdument de ce que les autres peuvent penser de moi.
29 – Je ne suis pas très branchée tenue et talons aiguilles, on ma dit une fois que j’étais vulgaire lors d’une soirée parce que j’étais nus pieds, ça m’a fait sourire et ce n’est pas pour autant que je n’enlève pas mes bottes dès que je suis posée dans un lieu.
30 – J’ai une faiblesse par contre pour les accessoires, j’en prends grand soin et je trouve que je n’en ai jamais assez. Imagination débridée quand tu nous tiens….
31 – J’ai créé Eveil des Inconsciences par pur égoïsme, pour me faire plaisir, frustrée de ne pas pouvoir participer à de belles soirées dans ma région, de ne pas rencontrer des artistes ou des intervenants du milieu SM qui m’émerveillaient, et bien je les ai fait venir à moi.
32 – Maintenant je prends plaisir à partager ma passion, à faire découvrir au public qui fréquentent mes soirées de belles personnes, à leur permettre à leur tour de pouvoir exprimer leur penchants SM dans la joie et la bonne humeur, comme quoi être égoïste peut aussi avoir de bons côtés.
33 – Je suis sadique et je l’assume pleinement, j’aime ce qui est hard, j’aime cette excitation que provoque chez moi les gémissements, les cris, les marques, le sang, j’aime voir un corps qui s’abandonne sous mon fouet, pour rien au monde je ne changerai.
34 - Je suis exaspérée de constater chaque jour le nombre de personnes qui sont intolérantes et si peu ouvertes d’esprit dans notre milieu mais bon, on ne change pas la connerie humaine, vaste sujet qu’on pourrait développer des heures….
35 - Je suis émerveillée de constater chaque jours que de belles relations se nouent, que le SM c’est aussi de belles histoires d’amour loin des clichés et des codes, loin de ce que l’on peut voir sur la toile ou sur des photos qui a mon sens ne reflètent pas du tout l’image de notre univers.
36 – J’aime la sensualité brute, la douceur épicée, la tendresse sauvage, la beauté décalée, ce qui dérange, ce qui heurte, ce qui provoque des réactions, ce qui ne laissent pas insensibles.
37 – J’aime le calme de la nuit, m’asseoir en pleine ville sur un banc pour écouter le brouhaha ambiant, observer le monde qui tourne à toute vitesse ;
38 - Mais ce que j’aime plus que tout… c’est le chocolat !!!!
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : Sôleille
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sôleille », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.)
1. Ma plus grande frustration dans la vie, c'est la langue française. J'adore parler, j'adore écrire, j'adore les jeux de mots, les jolis mots... Mais je n'ai jamais réussi à écrire convenablement et je ne sais pas jouer avec les mots.
Manier la langue française est une des choses qui me plairait le plus d'apprendre.
2. Ma plus grande fierté c'est le fait d'avoir toujours tout surmonter seule, la tête haute en restant positive et en apprenant de mes erreurs.
3. Je parle beaucoup trop souvent sans réfléchir, je suis impulsive et entière, ce qui m'a valut autant de belles amitiés que de petits soucis...
4. J'écoute de la musique peut conventionnelle (du moins pour quelqu'un de mon âge).
5. Lorsque je venais d'avoir 17 ans et que j'aurais du être avec mes copines à me préoccuper de problèmes d'ado avec toute l'insouciante que ça implique, je donnais naissance à ma première fille.
6. L'endroit où je me sens le mieux, c'est en haute montagne, là où la trace de l'humain ne se voit pas. Je m'y rends aussi souvent que possible.
7. J'aime les livres, tourner les pages, apprendre, découvrir, me divertir. Je tiens à chaque livre de ma bibliothèque, que je classe minutieusement. .
8. J'ai un problème d'addiction. Je deviens addict à tout très facilement. Le sexe, le chocolat, la cigarette, les jeux, les sites BDSM...
9. Dès que l'ambiance est tendue au travail, je vais me toucher dans les toilettes pour pas me laisser atteindre par les mauvaises énergies.
10. Les énergies ont une grandes importances dans ma vie. Et je parle aux arbres, aux rochers et à tous ce qui est dans la nature.
10. J'ai divorcé jeune.
11. J'ai refait ma vie depuis 10 ans, mais je n'ai pas voulu me marier.
11. Je suis bordélique et absolument nul en ménage. Du coup je ne le fait jamais. Heureusement que j'ai un homme et 3 enfants dévouées.
12. Par contre je suis très maniaque avec le rangement de mes armoires et bibliothèque qui sont rangées et triées obsessionnellement.
13. Je ne supporte pas de ne rien faire, même pas 2 minutes. J'ai un sac à main pleins de choses pour s'occuper au cas ou je serais bloquée quelque part.
14. Mes instruments de musique préférés sont l'accordéon et le violon.
15. Le premier objet que j'ai introduits dans mon vagin après mes doigts, c'était un Ken dans un préservatif.
16. Je passe des heures à marcher, pour trouver des geocaches et pour me ressourcer.
17. J'adore jouer au poker et être la seule femme autour de la table (surtout quand je gagne).
18. Je vais au théâtre au moins une fois par mois avec mes enfants. c'est le loisir que je préfère faire en famille.
19. J'emmène mes enfants individuellement dans les parcs d'attraction en prétextant que c'est pour qu'ils puissent plus profiter mais c'est juste pour que moi je puisse y aller 3 fois plus
20. Je voudrais savoir à partir de quel stade la douleur n'est plus un plaisir.
21. Je ne ment jamais (sauf en cas d'extrême nécessité). Je ne supporte pas de faire quelque chose de mal. Je m'applique à éviter de mettre des mauvaises énergies autour de moi.
22. Je considère mes erreurs comme des bénédictions qui m'ont appris à devenir meilleure, à comprendre la vie, à devenir plus forte et à grandir, tout simplement.
23. J'écris un roman érotique. Mais c'est long vu mes lacunes en Français (je passe des heures sur la correction).
24. Mon humeur est dépendante de ma vie sexuelle.
Mais également des saisons. En hiver je suis facilement déprimée alors que l'été je suis toujours en pleine forme.
25. J'ai passé ma vie à me prouver à moi même que je suis quelqu'un de bien, j'ai réussi presque tout ce que j'ai entrepris, je suis vraiment fière de ce que j'ai accompli jusque là... pourtant je manque cruellement de confiance en moi et je me dévalorise en permanence. Je me trouve jamais assez bien.
26. J'adore construire des cabanes dans la forêt avec mes enfants et courir dans les champs avec eux.
27. J'ai des serpents et j'adore les araignées.
28. Je ne mange presque pas de viande et quand j'en mange, je vais la chercher à la ferme. Je ne produis presque pas de déchets et je consomme quasiment que local.
29. Dans le train, je regarde les gens et j'essaie de m'imaginer quelle vie sexuelle ils ont et depuis quand ils n'ont pas baisé.
30. Je ne regarde la télé que pour regarder des reportages ou du porno.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
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Par : tissia
1 Mon prénom, c'est Laetitia mais tout le monde que je connais m'appelle tiss d'aussi loin que je me souvienne.
2 Je suis une grande fan de Tim Burton, J’adore tous ses films sans exception.
3 Je collectionne aussi les livres de Stephen king, je ne désespère pas d'un jour tous les avoir.
4 Je pense que j'ai passé la moitié de ma scolarité au coin ou dans le couloir a cause de de mon insolence et de mes bavardage et maintenant j'en pâti.
5 J'adore la pluie, j'aime la regarder quand je suis au chaud chez moi, j'aime l'écouter tomber et sentir les odeurs qu'elle fait ressortir dans la nature.
6 Je ne supporte plus la violence , qu'elle soit physique ou verbale, j'interviens toujours quand j'en suis témoin, en général, j'arrive à me faire entendre et apaiser les tensions, mais ça m'a valu des bobos plus ou moins gros.
7 J'ai une grande sœur handicapée, elle a subi beaucoup de brimades et de violences de la part des autres quand on étaient petites, je me suis battue tellement de fois à ses côtés avec des personnes bien plus grandes et bien plus fortes que nous qu'aujourd'hui j'ai peur de personne.
8 Je déteste parler au téléphone, ça me gêne énormément et je dois me faire violence pour ça.
9 J'ai beaucoup de mal à déléguer j'essaie de faire tout toute seule car je n'aime pas qu'on pense que je suis pas capable, même quand c'est le cas.
10 J’entends quand mon fils pleure et je sent quand il a mal même si je ne suis pas avec lui.
11 J’essaye de grandir et de ne plus croire aux le croque mitaine mais je dors toujours avec la lumière et avec avec mon doudou dans les bras.
12 J'ai souffert de terreur nocturne et de somnambulisme jusqu'à ce que j'accouche de mon fils,aujourd’hui je continue à parler pendant mon sommeil.
13 Je dis beaucoup, beaucoup trop de gros mots quand je suis en colère et ça m'arrive souvent.
14 J'ai honte de mes parents et je ne les présente aux gens que si je suis certaine que je peux avoir confiance en eux.
15 J'adore l'aventure, j'ai fait plusieurs Road Trip "pouce et sac à dos" quand j étais plus jeune seule ou a plusieurs, ça m'a permis de vivre des histoire folles et faire des rencontre improbable.
16 J'obtiens toujours ce que je veux, du moins quand je le veux vraiment.
17 J'ai fait du théâtre pendant plus de dix ans, C'était une grande passion mais je n'ai plus de temps pour ça, l’adrénaline quand on rentre sur scène, me manque
18 Je ne crois pas à la fatalité je pense que quand on s'en donne les moyens tout le monde est capable de faire tout ce qu'il veut.
19 Je suis incapable de parler trop longtemps de notre enfance à mes sœurs et moi sans me mettre dans une colère noire.
20 Je rie quand je suis gênée ou que je ressens une émotion trop forte; quand j étais plus jeune on aller à l'église le dimanche, et chaque dimanche je riais sans
pouvoir me contrôler jusqu'au moment ou le prête me gronder avec son micro devant tous les paroissiens et la seulement je me calmai .
21 Les compliments me mettent mal à l'aise, je minimise toujours ce pourquoi on me complimente.
22 J'ai un besoin maladif de toujours tout comprendre, je suis une personne hyper curieuse.
23 Je suis très empathique, je pleure souvent sur le malheur des autres même si je les connais absolument pas, je suis aussi l'avocat du pauvre,je ne supporte pas qu'une personne soit seule et mise a l’écart
24 Je suis fascinée par les endroits abandonnés, les lieux remplis d’histoire, de détails, d’objets qui donne l'impression que le temps c'est arrêté.
25 J'ai la phobie de clown et des oiseaux quand il volent ou battent des ailes.
26 J'aime le risque, j'aime avoir peur, c'est des sensations qui m'excitent enormement.
27 Je n'aie pas peur de la douleur.
28 J'ai aussi sucé mes doigts pour m'endormir jusqu’à l'âge de 16 ans, je me suis rendu compte il y a quelque temps avec tristesse que mon palais avait perdus la forme qui me le permettait.
29 Quand il fait très froid, j'adore m'ensevelir nue sous une montagne de couverture pour m'endormir
30 J'aime voir dans les yeux de l'autre, ce moment où il vrille, ou je sais que même si j'essaie je n'aurai plus aucun contrôle sur la situation...le fauve qui se prépare à sauter sur sa proie.
31 Quand on fait une soirée ou un séjour avec moi il faut s'attendre à ce que tout devienne du grand n'importe quoi.
32 J'ai un grand besoin d'être recardée pour me sentir bien et ça va au-delà du contexte BDSM.
33 J'ai aussi un besoin constant de défier l'autoriser et là encore ça dépasse le contexte du BDSM.
34 Jaime le rose, j'en aie partout dans ma déco, mes vêtements mes accessoires, il faut qu'au minimum au moins un élément le soit
35 Au collège quand mes copines regardées les plus sportifs et les garçons les plus populaires moi j étais subjuguée par leurs pères.
36 Plus tard j'ai couché avec le père d'une amie d'enfance, qui avais 30 ans de plus que moi,j'ai honte de la trahison que j'ai faite à mon amie et à sa femme mais je ne regrette aucuns de nos moment volés.
37 Je suis révoltée quand je pense que les mauvais parents ne se rendent pas compte qui sont les auteurs du déclin de la nature humaine.
38 J'aime les gens qui en ont rien à foutre des conventions, les atypiques, les hors des normes...
39 Je ne laisse jamais tomber quand je sais que j'ai raison je suis très entêtée.
40 Quand j étais petite et que je faisais des bêtises j'accusai les autres a ma place et comme j'ai un visage qui inspire confiance ça marcher quasiment a coup sur!
911 vues
Par : Abyme
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
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Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
488 vues
Par : BDSM
James Franco propose un documentaire sur l'un des principaux site de vidéo BDSM : KINK.
Si vous ne connaissez pas ce site vous pouvez le visiter en cliquant ici
James Franco, célèbre acteur américain a pu accéder aux coulisses des tournages du mythique site Kink, qui est spécialisé dans le contenu SM, le shibari et les fétichismes divers, autant hétérosexuels qu'homosexuels. Mettre en place ce documentaire n'a pas été chose facile : les promoteurs du site Kink était d'abord plutôt rétissant à donner accès à leurs studios.
Ce film dont la réalisation a été confiée à Christina Voros, donne la parole aux réalisateurs et aux acteurs et actrices de films orienté BDSM. On y découvre l'intensité de ce que vive les acteurs et les actrices et leur accès au "subspace". Non, ils ne font pas semblants.
Le site KINK : cliquez ici
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