par Urowhip54
le 21/10/22
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J’avais contacté la dominatrice sur un ‘3615 Domi’ ou quelque chose comme ça. Elle était de Thionville. Nous nous étions donné rdv sur un parking près d’un Macdo à la sortie de l’A31. C’est elle-même qui m’avait précisé le numéro de la sortie à prendre, par téléphone, aucune chance de se tromper. Elle l’avait fait d’une voix directive sans doute car je me souviens d’elle comme de quelqu'un de très sec dans sa façon de me parler. Mais c’était une femme avec de la classe, très bien vêtue et jolie, une vraie blonde, de taille moyenne, plutôt fluette. Je me souviens de ses jambes fines et sensuellement gainées de bas noir. Je suis monté dans sa voiture et nous avons discuté. Cette première rencontre a été uniquement destinée aux présentations. Elle m’a proposé l’uro pour notre prochaine et vraie rencontre mais aussi le scato. J’ai rechigné en lui disant que cela me révulsait, mais pas l’urine que j’ai appris à aimer et même à déguster depuis. Mais à l’époque c’était un fantasme non encore réalisé. Je n’avais jamais pratiqué l’uro. Elle m’avait dit que pour le scato il suffisait d’y penser. Ah bon. J’étais dubitatif. Vingt ans après je pense qu’elle a raison. Il suffit d’y penser, puis de pratiquer. Il faut y aller progressivement je pense. Pour le moment je ne pense pas au scato, mais il ne faut pas que j’oublie d’y penser.
La deuxième et ultime rencontre a eu lieu. Je l’ai vu qui attendait dans sa voiture, sur le parking. Elle me fit un appel de phare pour me signaler de la suivre jusque chez elle. C’est un petit lotissement bourgeois, hyper tranquille. La dame travaille au Luxembourg, elle possède un commerce de vêtements de marques. Elle et son mari semblent aisés. Lui-même est le soumis de madame. C’est lui qui fait les tâches ménagères m’a-t-elle dit. Notre séance s’est passée au sous-sol, en dessous d’un rez-de-chaussée surélevé. Aucunes fenêtres pour trahir mes exploits ni pour me permettre de fuir au cas où. Je n’ai pas fui et cette soirée fut la plus jouissive de ma vie. Je n’ai jamais connu un tel orgasme comme cette première fois. Après lui avoir longuement massé les pieds, après qu’elle m’eut adroitement mais de manière perverse humilié, elle m’a conduit au bout d’une laisse dans une autre pièce et m’a ordonné de m’allonger sur le dos. Mes mains ont été immobilisées par des chaines munies de légers cadenas. Elles étaient d’ailleurs assez mal fixées à mes poignets. Ma tête était encastrée dans une boite trouée par le dessus. Mon visage dépassait du trou circulaire. Madame, qui était nue en dessous de la ceinture, s’est assise sur cette boite comme sur une chaise trouée. En s’asseyant sur mon visage j’ai sorti par un réflexe instantané ma langue, ce qui provoqua une volée de coup de cravache sur mon corps et mes jambes. J’étais souvent en apnée pendant cette dure épreuve de face-sitting et cela devait l’amuser, l’exciter même. Je sentais si profondément son odeur de femelle que cela ne me dérangeait pas de ne plus respirer. Je baignais dans son odeur. Son odeur était mon oxygène. Il faut bien mourir un jour. Y a t’il plus belle manière de mourir ? Madame était donc assise sur mon visage tout en sirotant le Champagne que je lui avais apporté. Après longtemps, c’est-à-dire une bonne heure, le temps de vider toute seule sa bouteille, elle se leva brutalement et me dit que j’allais boire du Champagne à température ambiante, par comparaison je suppose, au Champagne frais qu’elle venait de boire. Passé dans ce jolie corps le voilà réchauffé ce Champagne et transformé en bonne urine chaude. Elle m’ordonna d’un ton sévère et menaçant d’ouvrir grande la bouche et de ne laisser rien couler sur le sol, sinon je devrais tout nettoyer. J’étais à partir de ce moment-là, sublime moment de réalité qui ressemble au rêve le plus érotique, dans un état d’excitation jamais ressenti. Elle m’ordonnait de fermer les yeux pendant l’opération, ce que je ne fis pas totalement. Je gardais les yeux mis ouvert pour attendre et voir sortir le divin nectar, ce nectar rêvé et fantasmé des centaines de fois peut-être et maintenant à quelques secondes de le recevoir. Mais Dieu que ces secondes sont belles, que ces secondes sont éternelles ! Et cette incertitude, coulera t’elle ou ne coulera t’elle pas la source chaude ? elle coulera c’est sûr, mais quand ? A quelle seconde ? Elle est toute proche, seconde magique qui en appelle d’autres, cette attente se termine et jaillit la source. Quand cela commença à couler, je sentis un chaud liquide clair comme de l’eau un peu amer et salé dans ma bouche puis couler au fond de ma gorge. Je bu ma première gorgée d’urine de femme, une urine de belle femme. Je sentais bien que cette urine avait un gout d’alcool. Il devait bien persister quelque pourcentage d’alcool dans cette urine. Je vais me saouler. La seconde coulée fut une giclée longue et abondante. Je bu tout comme me l’avait ordonné Maîtresse. Mais je bu avec délectation. Malheureusement je réussi à me libérer une main qui me servit à me toucher car je n’en pouvais plus. J’ai littéralement explosé et la jouissance a envahi toute ma tête telle un feu d’artifice cérébral indescriptible. C’est sans doute ça l’extase. Je l’ai connu c’est sûr. Ayant joui je n’étais plus apte à apprécier d’avantage. Je fus libéré. Je m’en suis retourné dans ma voiture, le cœur léger pour l’éternité. La Maîtresse m’a recontacté par téléphone quelques jours plus tard. Je m’en souviens comme-ci c’était hier car l’occasion que j’ai eu ne s’est pas représentée. Elle m’a proposé de venir chez elle, elle organisait une soirée avec d’autres gens bien sûr, des copines à elles avec leur soumis. Elle avait bien deviné que j’étais fait pour ça. Je dis ça maintenant, mais à l’époque j’étais bien trop peureux et n’avais pas bien compris ce qui pouvait me rendre heureux. Je n’étais pas dans mon assiette ce jour-là, j’avais trop fumé de cannabis sans doute, j’avais l’esprit embué. J’ai décliné l’invitation. Tu as tords de ne pas venir, il y a aussi des récompenses me dit t’elle. Je n’ai donc jamais su de quoi elle voulait parler. Un merveilleux souvenir en tout cas que cette soirée où je bu ma première urine de femme.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
initiation à l'uro
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J'ai vécu la même expérience avec ma maîtresse et l'expérience s'est renouvelé plusieurs fois, a la fin de chaque séance. Comme vous la scato ne m'attire pas du tout. L'urine c'est différent et il y a toute une symbolique (voir par exemple les japonais). Vous avez eu tort de ne pas participer à cette soirée vous auriez découvert un nouvel univers
Suggestion
Par : EN SOMMEIL Sisyphe_44
Cet article est destiné aux soumis et, plus particulièrement, à ceux qui aiment la femme.
Massage du clitoris : Techniques de Base
Le massage du clitoris est une excellente technique à avoir à votre disposition quand vous faites l'amour à une femme. Tandis que la plupart des couples commencent probablement par une petite caresse de la vulve et du clitoris avant les rapports sexuels, peu penseraient à le faire principalement. Si vous voulez vraiment impressionner votre partenaire, envisagez d'en faire le centre d'attention en lui massant le clitoris.
Le massage du clitoris peut être employé par les couples ayant des incapacités physiques temporaires ou permanentes. Les femmes enceintes peuvent éprouver un désir accru pour le sexe et l'orgasme mais se trouver dans l'impossibilité d'engager un rapport sexuel vaginal. Les partenaires ayant des paralysies peuvent ne pas être capables d'accomplir les gestes nécessaires lors d'un rapport sexuel. Les hommes qui sont impuissants peuvent encore vouloir donner à leur partenaire un plaisir sexuel et l'orgasme. Il est important de réaliser que les relations sexuelles peuvent avoir lieu en l'absence d'érection et de pénétration.
La première exigence du massage du clitoris est de savoir où se trouve le clitoris de votre partenaire, à quoi il ressemble et la sensation ressentie lorsqu'il est flasque et en érection. La seule façon d'apprendre ces choses est d'explorer. Avec les lumières allumées, faites dévêtir votre partenaire (il se peut qu'elle veuille garder une chemisette confortable). Elle devrait alors se coucher sur un lit, s'asseoir sur une chaise, ou s'asseoir sur le lit, redressée par quelques coussins. Soyez sûr d'avoir un accès facile à sa vulve, mais aussi qu'elle soit dans une position confortable. Assoyez-vous ou agenouillez-vous en lui faisant face. Si elle est assise sur une chaise ou au bord du lit, il se peut que vous aimiez vous asseoir dans une chaise ou vous agenouiller sur le sol. Elle peut aussi être assise sur vos genoux, vous faisant face. Vous devez êtes assez proche pour avoir le clitoris à portée de main. Vous pouvez très bien avoir l'envie qu'il y ait une proche source de lumière, comme une lampe de poche, pour éclairer sa vulve afin de pouvoir tout voir clairement. Il en va de même pour un petit miroir de façon à ce que votre partenaire puisse voir sa vulve et son clitoris, et ce que vous faites.
Commencez par observer sa vulve tandis qu'elle est au repos ainsi que les lèvres externes. Doucement, examinez tout avec vos doigts. Préférez la douceur des caresses. Notez la douceur de la peau et des poils pubiens. Si votre partenaire a beaucoup de poils pubiens, il se peut que vous vouliez les couper correctement avec des ciseaux. Il n'y a pas besoin de raser la partie pubienne. Puis, écartez doucement les lèvres externes avec vos doigts, et examinez ce qui s'y trouve. Identifiez les petites lèvres, le clitoris, et ses orifices vaginal et urinaire. Elle peut aussi vous aider en retenant ses lèvres externes ouvertes avec une ou deux mains.
Si vous ne pouvez pas identifier son clitoris, demandez lui si elle sait où il se trouve, et de vous le montrer. A cause des immenses variations de la structure génitale, certaines structures individuelles peuvent ne pas être immédiatement identifiables. Certaines femmes n'ont pas de petites lèvres, ou seulement une. Un clitoris bien développé sera facile à voir, mais certains clitoris sont si petits et cachés qu'une femme peut le savoir seulement en sachant où c'est le plus sensible au toucher, où elle se frotte en se masturbant. Si vous avez tous les deux du mal à situer le clitoris, allez voir les illustrations dans les pages Anatomie.
Une fois que vous avez situé son clitoris, essayez d'identifier toutes les différentes parties : le corps du clitoris/tige, la glande, et le capuchon/prépuce. Etant donné que cela dépend de la taille et de l'étroitesse de son capuchon, il se peut que vous ne puissiez pas l'écarter assez pour exposer sa glande clitoridienne. Si c'est le cas, vous pouvez le sentir sous le capuchon. Si sa glande est petite, il se peut que vous détectiez le corps de son clitoris quand elle est en érection mais non la glande elle-même. Certains sont très minces et difficiles à détecter. Dans ce cas, vous ne pourrez peut-être que l'identifier quand vous la sentez en érection à l'extrémité de vos doigts. Elle peut peut-être vous dire quand vous avez atteint sa glande clitoridienne si vous ne pouvez la sentir. Soyez très délicat lorsque vous examinez son clitoris. Beaucoup sont très sensibles.
Le pas suivant pour les débutants, ou en tant qu'échauffement pour ceux qui ont de l'expérience, est pour votre partenaire de se masturber jusqu'à l'orgasme. Elle doit aller lentement d'abord, décrivant ses différentes caresses, et la répartition de ses caresses. Cela, afin que vous puissiez comprendre ce qu'elle aime et ce à quoi elle est le plus sensible. Cela demandera beaucoup de pratique et de séances répétées de masturbation avant que vous ne deveniez aussi bon qu'elle à la masturber et il se peut même que vous ne deveniez jamais aussi bon qu'elle. Sa masturbation jusqu'à l'orgasme avant que vous ne commenciez les massages contribue à la mettre d'humeur et la rendre plus sensible à la stimulation sexuelle supplémentaire. Certaines femmes trouvent leurs organes génitaux très sensibles juste après l'orgasme, c'est pour cette raison qu'il pourrait être nécessaire de masser doucement les autres parties de son corps, poitrine et cuisses, pendant plusieurs minutes avant que vous ne commenciez le massage du clitoris. Il y a des femmes qui ne peuvent avoir qu'un orgasme au début, alors allez-y doucement et essayez seulement de lui faire se sentir bien si vous découvrez que cela est vrai pour votre partenaire. Si votre partenaire est réticente à la masturbation en votre présence, c'est parfaitement normal, ce n'est pas une nécessité. Suggérez-le mais ne mettez aucune pression sur elle à le faire.
Aux femmes qui lisent cela, soyez assurées que se masturber face à votre partenaire est parfaitement normal, beaucoup de femmes le font. La masturbation n'est pas seulement un acte solitaire. Les femmes sont très belles quand elles se masturbent et partagent leurs orgasmes avec leur partenaire. Vous ne pouvez pas le faire mal ni vous couvrir de ridicule. Vous ne perdrez rien de l'intimité que vous éprouvez lorsque vous vous masturbez seule. Je pense que la plupart des gens savent que leur partenaire se masturbent, alors vous n'allez pas le choquer en l'admettant, il est plus probable qu'il se masturbe aussi. Si vous maintenez le contact visuel avec votre partenaire pendant la masturbation je pense que vous serez emportée par l'expérience.
Vous savez où se trouve son clitoris, alors maintenant que demander ? Eh bien, premièrement, je dois souligner la sensibilité du clitoris et il peut être nécessaire d'ajouter un lubrifiant. La sensibilité du clitoris d'une femme varie grandement d'une femme à une autre. Certaines femmes éprouvent de la douleur si leur clitoris est touché directement, d'autres ne trouvent leur clitoris pas sensible du tout. Certaines réclament un très léger toucher au début, mais ont besoin d'un toucher plus ferme plus elles sont près de l'orgasme. Donc il est mieux de commencer avec un très léger toucher, puis doucement d'augmenter la pression tandis que vous la voyez devenir de plus en plus excitée. Regardez les mouvements de son corps et écoutez les bruits qu'elle fait pour voir si vous appliquez une pression trop grande ou au contraire, pas assez forte. Soyez prudent, vous ne presserez pas le clitoris fortement, peut-être fermement, mais presque jamais agressivement. Peu de femmes apprécient une pression ferme au point de l'orgasme, mais parlez lui en avant d'essayer réellement. Soit elle verra des étoiles, soit elle vous décochera une gifle.
Etant donné que cela dépend de la sensibilité du clitoris de votre partenaire et de la quantité de la lubrification naturelle, il se peut que vous ayez besoin d'appliquer une lubrification supplémentaire avant de commencer le massage. Essayez sans d'abord, mais si elle vous repousse ou rapporte qu'elle est trop sensible, ou ne sent rien, appliquez une couche généreuse de lubrification sur toute la surface de sa vulve. N'utilisez que des lubrifiants à base d'eau comme le K-Y Jelly. (L'utilisation de lubrifiants à base de pétrole peut entraîner une infection). Quand vous essayez au début le massage du clitoris, ayez un lubrifiant à proximité, juste au cas où. Faites attention à ne pas toucher la glande clitoridienne directement sans avoir lubrifié votre main, (mais ceci ne doit en aucun cas faire partie du massage). Il se peut aussi que vous envisagiez de porter des gants en latex ou en caoutchouc. Cela rendra vos doigts très lisses, ce qui sera utile si le clitoris de votre partenaire est très sensible, ou si vous avez une peau rugueuse sur les doigts. Ils seront également utiles si vous insérez votre/vos doigt(s) dans le vagin durant le massage, les ongles peuvent érafler les parois vaginales. La plupart des pharmacies vendent des gants en latex ou en caoutchouc.
Observation à propos du massage du clitoris. Gardez toujours un contact physique avec la personne qui reçoit le massage, une fois que vous avez commencé. Il est très perturbateur, de par le lien physique qui se développe, que vous enleviez vos deux mains du corps en même temps, et les remettiez. Ce peut être une sorte de choc. Avec de la pratique, il se peut que vous preniez conscience de l'énergie sexuelle qui circule entre vous et votre partenaire. Cela paraît étrange, mais c'est vrai. Ayez tout ce dont vous avez besoin à la portée de votre main libre. C'est aussi une bonne idée de toucher son genou, puis glisser votre main à l'intérieur de la cuisse, et finalement jusqu'à la vulve, de façon à ne pas pénétrer ses parties intimes trop vite. Placer votre main froide directement sur sa vulve peut être un choc et gâcher l'humeur. Chauffez tout lubrifiant que vous utilisez avant de l'appliquer sur sa vulve.
Vous masserez son clitoris en utilisant 1, 2 ou 3 doigts. La taille et la proéminence de son clitoris détermineront combien de doigts vous utiliserez. Si vous pouvez situer et sentir le corps du clitoris avec vos doigts, vous utiliserez le pouce et l'index. Si elle a un clitoris très développé, vous pouvez utiliser votre pouce et votre index. Si vous ne pouvez attraper le corps et la glande de son clitoris du fait qu'elle soit trop petite ou cachée, vous utiliserez juste le bout de votre index.
Si vous pouvez attraper son clitoris avec deux ou trois doigts, vous voudrez sûrement faire ce qui suit. Très doucement, attrapez le corps de son clitoris avec le pouce et l'index. Doucement, faites glisser la peau lâche couvrant son clitoris autour, principalement par aller-retour, afin de percevoir la forme et la fermeté de son clitoris. Déterminez de combien la peau s'étend le long du corps. N'attrapez pas la glande en premier si possible, si son clitoris est petit vous ne pourrez pas l'éviter. Tandis que vos doigts vont et viennent, le capuchon doit aussi aller et venir, stimulant sa glande. Allez doucement, observez votre partenaire pour savoir si elle aime ce que vous faites. Si possible, essayez de maintenir le contact visuel avec elle, ou du moins, le plus possible. Si vous ne pouvez pas le dire avec le langage du corps, alors demandez-lui si elle aime ce que vous faites. Demandez-lui si vous devriez aller plus vite ou plus lentement, ou appliquer un toucher plus ferme ou plus léger. Si elle ne sait pas, expérimentez.
Si vous ne pouvez attraper son clitoris, placez le bout de votre index au dessus de son corps clitoridien ou "tige". L'essai indiquera ce qui est le plus sensible. Bougez doucement la peau sous votre doigt en de petits cercles, ou en faisant des allers-retours pour stimuler son clitoris. Si tout va bien, vous sentirez les structures fermes de son clitoris sous le bout de votre doigt, quand il est excité et en érection, même si son clitoris est vraiment petit et caché.
Continuez à caresser son clitoris. Si elle aime ce que vous faites, continuez à le faire. Tandis qu'elle est de plus en plus excitée, vous pouvez lentement et doucement augmenter la pression que vous appliquez, mais toujours être doux. La rapidité de vos caresses peut varier ; très lent au début, puis peut-être plus rapide lorsqu'elle se trouve près de l'orgasme. Vos doigts doivent toujours tenir la peau lâche couvrant le corps du clitoris, de façon à la glisser d'avant en arrière du corps du clitoris. Continuez jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme. Dès qu'elle a un orgasme, revenez à des caresses très très légères, car il est fort probable que le clitoris soit très sensible. Après quelques minutes, vous pouvez recommencer ou arrêter. N'arrêtez jamais le massage brusquement, à moins qu'elle ne vous dise que son clitoris est trop sensible au toucher, dans ce cas, caressez sa vulve ou les lèvres internes pendant quelques minutes. L'idée étant de maintenir le contact physique après qu'elle ait atteint l'orgasme.
Elle peut l'avoir rapidement et facilement, mais ce ne sera pas toujours le cas. Cela demande de la pratique et du temps pour tous les deux avant que vous soyez à l'aise avec cette technique. Vous limiterez sûrement les périodes de massage à 15-20 minutes si elle n'a pas d'orgasme au début. Faites-la se sentir bien, mais n'irritez pas son clitoris et ne vous en fatiguez pas. Vous avez besoin d'être tous les deux relaxés. Si votre partenaire apprécie vraiment mais n'atteint pas l'orgasme en 15-20 minutes, vous pouvez continuez le massage pendant encore 10 à 25 minutes, tant que vous vous sentez tous les deux à l'aise. Faites attention à ne pas en faire un acte fastidieux, si l'un de vous se sentait mal à l'aise ou frustré, cela gâcherait le moment et lien sexuel nécessaire pour que cela soit une expérience agréable pour chacun de vous. Si elle n'a pas d'orgasme tout en étant très excitée, passez à une activité sexuelle que vous savez aboutissant à un orgasme. Si elle est seulement capable d'avoir un orgasme en se masturbant, permettez-le-lui de le faire, même si vous devez quitter la pièce. Si elle est heureuse juste par un échange de caresse, c'est bien aussi.
Durant le massage il peut être nécessaire pour la femme de fantasmer sur quelque chose de sexuel. Il se peut que cela soit meilleur si elle ne pense pas au massage en lui-même. Si elle trouve vraiment qu'elle a besoin de fantasmer, elle devrait essayer de penser au même fantasme pendant qu'elle se masturbe seule. Elle aura probablement besoin de fermer les yeux pour cela car la présence de son partenaire pourrait la distraire. Ce sera plus facile à faire si le massage est très agréable, sinon il faudra qu'elle guide son partenaire jusqu'à ce qu'il découvre une technique qui fonctionne pour elle.
Etant donné que cela dépend de la sensibilité de son clitoris, vous pourrez le stimuler directement, ou indirectement à travers le capuchon. Si son capuchon couvre la glande du clitoris, vous pouvez doucement attraper la glande au travers du capuchon avec votre pouce et l'index. Certaines femmes ont la glande clitoridienne toujours pleinement ou partiellement découverte. Comme cela dépend de sa sensibilité, vous pourrez peut-être appliquer le bout de votre doigt directement sur la glande, le faisant glisser de part et d'autre de sa surface, en ayant un toucher très léger et en utilisant beaucoup de lubrification. Si le capuchon ne couvre pas sa glande, masser le corps de son clitoris en attrapant la peau lâche peut ne pas apporter une stimulation suffisante à la glande. Dans ce cas, essayez une stimulation directe. Certaines femmes ne peuvent pas retirer le capuchon qui expose la glande, mais si vous placez votre doigt à l'ouverture de son capuchon et massez la glande, elle peut avoir une bien plus grande stimulation.
Vous pouvez faire un massage vaginal en même temps qu'un massage clitoridien. Pendant qu'une main stimule son clitoris, l'autre peut être utilisée pour stimuler son vagin. En insérant votre doigt dans le vagin, et en stimulant le fond de ses parois vaginales, dirigeant votre doigt vers l'os pubien, vous pouvez stimuler son point G, éponge urétrale. Le mouvement du doigt pour la stimulation du point G est le même que lorsque vous voulez demander à une personne qui est dans la pièce de venir vers vous, la paume de la main vers le haut, créant ainsi un crochet avec votre index. Cela peut produire de très forts orgasmes et des éjaculations prononcées de fluide provenant de l'urètre. Vous pouvez explorer et situer les endroits qui sont sensibles par une stimulation digitale, ou elle peut simplement apprécier la sensation de quelque chose se trouvant dans le vagin, sans bouger du tout, ou lentement. Vous pouvez insérer plus d'un doigt selon sa flexibilité et son désir d'être emplie. Vous pouvez aussi insérer votre main entière dans le vagin, en un poing (le "fisting"), ce qui peut avoir pour résultat une réponse sexuelle très forte de sa part. Cela est beaucoup plus facile pour les couples de femmes du fait qu'elles aient en général de petites mains. Le fisting demande beaucoup de savoir-faire, de pratique et de sensibilité.
Vous pouvez aussi inclure un massage anal. Cela nécessiterait tout d'abord un massage extérieur de l'anus, sans pénétration. Certaines femmes acceptent plus volontiers un massage anal que vaginal, d'autres trouvent que la combinaison des deux est très intense et agréable. Après avoir massé son anus pendant plusieurs minutes, vous pouvez insérer le bout d'un doigt, le faisant lentement aller et venir. Une fois que son anus est détendu, vous pouvez insérer votre doigt en entier, puis plusieurs doigts si elle le désire. Le doigt utilisé pour stimuler son anus ne devrait jamais être utilisé par la suite pour la vulve et le vagin à cause des bactéries présentes dans le rectum. L'utilisation d'un préservatif ou de gants en latex vous permettront de permuter les massages devant et derrière pour peu que vous changiez les gants lorsque vous passez de l'anus à la vulve.
Une bonne façon de commencer un massage du clitoris est de donner un massage complet du corps. Cela aidera à stimuler et réveiller les nerfs et contribuera à relaxer les deux partenaires. N'utilisez qu'un léger toucher coulant pour ce type de massage. Appuyez doucement avec le plat de votre main, vos doigts façonnant la forme de son corps. Ne jamais compresser (ce que fait la plupart des gens en faisant un massage). Si vous trouvez une zone de raideur, appliquez une légère pression en bougeant vos mains en un geste circulaire de va-et-vient. Même si vous voulez doucement et lentement dissiper la pression, ne passez pas trop de temps à essayer de la relâcher durant un massage érotique. Commencez par la face arrière du corps, puis par la tête et longez jusqu'aux pieds. Faites-la se retourner de façon à lui faire face, et continuez le massage des pieds à la tête, sans jamais briser le contact physique. Attendez la fin pour masser sa poitrine ou ses parties génitales. Après avoir massé son visage et les muscles faciaux, longez son corps jusqu'à la vulve, en s'arrêtant au niveau de la poitrine et des tétons. Puis, commencez le massage du clitoris. Pour le massage, augmentez le chauffage et mettez de la musique relaxante. Si elle s'endormait, cela indiquerait qu'elle est fatiguée et qu'elle a besoin de repos. Laissez-la faire une sieste ou dormir une nuit. Si cela survient un vendredi ou samedi soir, continuez le massage le matin suivant.
Ce que j'ai présenté ici sont des conseils basiques pour aidez un couple à entreprendre le massage du clitoris. Le but du massage du clitoris est de faire de son clitoris le centre d'attention. Etant donné que son clitoris est plus probablement son premier organe sexuel, excepté le cerveau, il est plus probable qu'elle trouve ce massage très favorable au plaisir sexuel et à l'orgasme. Etant donné que la constitution du corps et du mental varie grandement, il est impossible pour moi d'expliquer le "comment-faire" pour chaque couple. La seule façon sûre pour les couples de comprendre comment donner et recevoir le massage du clitoris est l'ouverture d'esprit et la pratique. J'ai eu des réponses de femmes très favorables à cette technique de massage en quelques minutes, mais cela peut ne pas être le cas pour toutes. La pratique amène à la perfection.
From the book "Masters and Johnson on Sex and Human loving"
Copyright 1982, 1985, 1986 By William H. Masters, M.D.,
Virginia E Johnson, and Robert C. Kolodny, M.D.
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Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux.
Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même.
En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part.
L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs ....
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
" Veux-tu prendre un verre avant de manger ?
- Volontiers, lui répond-il."
S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit.
Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains.
"Installe-toi ici, devant Moi".
Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche.
" A la tienne, Hestia
- A la vôtre, Maitre".
Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne.
Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps.
De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre.
En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front.
" Voulez-vous passer à table ? C'est prêt.
- Non, je préfère passer directement au dessert."
Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue.
Le Voyage débute ...
Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre.
A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol...
Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux.
Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois....
Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement.
La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains.
Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien.
Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre.
Puis, Il lui redresse la tête.
" Qui es-tu ?
- Je suis Votre soumise, Maitre"
Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance.
Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer....
Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever.
Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis.
Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires...
Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées.
"Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser.
Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin.
Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi.
Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois.
Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche.
Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture.
Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit.
Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite...
La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir.
Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires.
A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même.
Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut.
Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps.
D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle.
Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation.
Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre ....
D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise.
Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin.
Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé....
Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout....
Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme.
Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation.
Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici.
De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté.
Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète.
Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions.
Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus.
Pourquoi s'arrêter ainsi ......
Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre.
Le Graal n'est plus bien loin.
L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme....
Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu.
Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût.
Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur.
C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire.
Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout.
Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ?
Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher.
Une pause.... qui cesse enfin.
Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert.
« Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants.
Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements …
Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie...
Arriver à la maison est très rapide.
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Par : M des Sens
Elle était revenue de deux semaines d'un voyage professionnel à l'étranger.
Et pendant le week-end de son retour, nous avions flâné dans les rues de Paris, comme deux amoureux, que nous étions, se retrouvant. Passant dans des endroits qui étaient chers à nos cœurs...
Des petits bars s'ouvrant à la nuit, à la douce nuit de l'été ou nous avions l'habitude de nous retrouver, aux folies des boîtes de nuits Parisiennes...ou encore sous les ponts parisiens regardant passer les bateaux-mouches éclairant à leurs passages les arches des ponts, nous dévoilant quelques peu aux regards des touristes...
Nous étions heureux de nous retrouver, simplement, et nous n'avions fait que de roucouler comme deux tourtereaux...
Au petit matin, de ce lundi...Elle partit à son travail, j'avais la chance de ne pas travailler ce jour.
Elle demeurait dans une belle chaumière, dans le sud de la région parisienne...
J'aimais me retrouver chez elle, il y avait un doux parfum d'ancien... Pierres apparentes, grandes et vastes pièces, qu'elle savait savamment décorer de meubles forts en prestance, ainsi que de beaux bougeoirs qu'elle adorait user à la place de la lumière électrique...
C'était pour moi, un havre de paix, ou j'aimais me retrouver, même quand elle n'y était pas.
Dans la journée, elle m'appela pour me faire part de son stress de la journée. Il semblait que sa visite à l'étranger n'avait pas apporté tous les fruits escomptés pour ses patrons... et ils lui faisaient la remontrance...
Après l'avoir quitté, triste de la savoir désappointée, je me mis alors en tête de lui changer les idées pour le soir venu.
Je l'appelais alors et lui dis qu'il fallait qu'elle soit rentrée pour 20 h... pile et pas de faux-fuyant.
Elle savait, dès lors, au ton de mon discours que la soirée serait... à Elle, à Nous.
Elle raccrocha, mais je sentis que le sourire lui était revenue et je fus rassuré de son bien-être.
Je préparais la table du salon sur le son de DM.
Recouvrant d'une nappe rouge le bois de ce divin meuble, qui fut parfois le spectateur passif de biens des émois ...
Puis je dressais la table comme si l'on recevait, mettant les petits plats dans les grands, cherchant l'harmonie des couverts et des verres.
J'y ajoutais un bougeoir en plein milieu, ainsi que quelques Roses rouges posées simplement à même la nappe.
Le vin décantait dans un beau Cristal, et je me hâtais de préparer un petit repas simple, mais frugal quand même.
Le champagne était au frais. Tout était presque près à la fin de l'après-midi.
Je préparais alors, les affaires de ma Belle, car je voulais qu'elle soit Belle
.
Je lui choisis une belle robe de soirée, rouge Sang, offrant, quand elle l'a portait, une vue si délicieuse sur la cambrure de son dos à nu.
Je la déposais sur le lit, délicatement, laissant tomber presque au sol le bas de cette étoffe.
Mais je ne préparais rien d'autre... si ce n'est ses chaussures à hauts talons assorties à sa parure future.
J'aime à savoir ma belle libre sous ses vêtements, et je savais qu'elle raffolait de ce petit vice que j'ai parfois... offrant bien des tourments des sens.
Je préparais également la salle de bain...
Cette dernière était des plus spacieuse. En son milieu se trouvait une baignoire, sur un promontoire que quelques marches permettaient d'y venir. Une fenêtre, aux drapés chaud en ornait le contour, donnait sur le jardin, certes pas très grand au regard de la grandeur de la maison, mais suffisamment pour que l'on ne puisse voir à l'intérieur. Une coiffeuse se trouvait dans le recoin de la pièce, ou s'amoncelait ses bijoux du quotidien, et d'autres, dans un coin secret, ceux du moins quotidien...
Je disposais, sur les marches menant à la baignoire, quelques petites bougies parfumées, ainsi que d'autres autour
Je préparais, aussi non loin, la serviette délicatement pliée sur la chaise de la coiffeuse.
Je pris le temps de me préparer aussi, revêtant simplement une chemise tout en noir et un pantalon tout aussi noir...
Pour finir, à l'entrée de la maison, je déposais, sur la petite table d'entrée un ravissant bouquet de Roses.
Tout était près...
Peu avant 20 h, elle m'appela...
« Je suis bientôt arrivée, à tout de suite » et je souris
J'allumais alors toutes les bougies que j'avais disposées ça et là et commença à faire couler le bain.
J'éteignis toutes les lumières, laissant la lueur si plaisante des flammes qui dansent.
Et mis en route, la musique, que j'avais également préparée en fond...
Après avoir arrêté l'eau du bain, je me rendis sur la petite terrasse, profitant de la douceur du soir en attendant la proche arrivée de la Belle.
J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, et ma Belle apparu rapidement, avec les fleurs que je lui avais laissé, dans les mains, le sourire plus que présent.
Elle me déposa un tendre baiser, comme je les aime tant...Passionné, enivrant, fou et apaisant...
Elle prit une chaise et nous parlions quelques peu de sa journée pas si rose que cela.
Je sentais ma Belle, à mesure de notre discussion, repartir dans une frustration certaine. Je l'invitais alors à aller se détendre en prenant le bain que je lui avais préparé.
Elle me sourit, et me remercia de penser à Elle et surtout de penser à lui faire oublier ses moments de tensions.
Je la laissais seule se rendre dans la salle de bain, et de profiter de ce petit moment de solitude intime dans cette atmosphère que j'y avais créé pour Elle.
Au bout de quelques minutes, et après l'avoir entendu pénétrer dans le bain, je servis deux coupes Champagne.
Et je me rendis doucement dans la salle de bain.
Elle était là, dans cette eau chaude, parfumé et brouillée de bulles et de mousse...
La lumière des bougies apaisait l'ambiance, et la Belle, les yeux fermés, se délaçait de sa journée.
Aux traits de son visage, je voyais aisément, que ce décor lui apportait le repos tant désiré.
Je m'assis sur le rebord de la baignoire. Ma présence ne fut pas de suite perçu par ma Belle, et je souriais de la voir se détendre...
Ma main vint caresser la surface de l'eau, doucement, et un petit sourire se dessina sur son visage et elle garda les yeux clos, quand les remous vinrent troubler ce repos tant mérité.
Ma main vint au ras de sa peau...que j'aime pouvoir caresser une peau, juste à la surface de l'eau d'une belle O détendue, calme....
Son sourire fut plus présent et ses yeux s'ouvrirent au même moment...
Son regard croisa le mien, souriant de son bonheur...
Je lui tendis sa coupe...
Elle en but quelques gorgées, puis me la rendis....
Voulant se lever, je lui fis signe de rester encore...
Je déposais les coupes sur la coiffeuse, et revenant vers la Belle, je relevais mes manches, pour qu'elles ne tombent dans l'eau.
Mes mains vinrent dans un premier temps, juste sur ses épaules, massant doucement la base du coup...
Sa tête suivait, avec satisfaction, le mouvement de mes mains....partant tantôt à droite, tantôt à gauche...
Je la massais avec douceur, et...au bout d'un moment, mes mains quittèrent ses épaules pour, effleurant la surface de l'eau, se diriger vers ses monts, émergeant toujours juste à la surface, auréolé de la mousse du bain...
Son corps se cambrant pour chercher la douceur des doigts...
Les yeux toujours fermés, ma Belle frissonnait de la rencontre tant désiré sur ses monts de mes mains...
Jouant de la mousse, ses dernières caressaient la courbe de ses formes généreuses et attendrissantes de désir.
Son souffle devenait plus doux et un peu saccadé...
Dessinant des cercles dans l'eau autour des monts de l'O, je jouais ainsi avec délice, par moment, tiraillant avec douceur le pic de chacun d'entre eux, ou effleurant juste des ongles ses pics qui grandissait.
Ce jeu dura un moment, quand nos bouches, n'en pouvant plus, s'unirent pour danser follement...mélange de chaleurs et de frais, de goût de la liqueur pétillante au goût de ma belle...c'était des plus enivrants...
Durant cette danse de langues et de bouches...mes mains quittèrent les rondeurs, pour se diriger vers un autre mont...celui de Venus...
M'attardant légèrement sur son ventre, le corps de ma Belle se cambrait d'avantage, pour m'offrir plus facilement la conquête de son mont qu'Elle désirait m'offrir dans le trouble de la mousse...
Mais...je m'arrêtais avec dans cette ascension...ainsi que cette danse folle.....
Je me redressais...
« Tu n'as pas faim ? » lui dis-je ...
Elle sourit, connaissant ce jeu que j'adore faire, un peu déçue...mais, me connaissant, elle savait qu'il y aurait une suite...et que ce n'était qu'un petit « apéritif »...elle poussa juste un « Pfff » assortie d'un sourire coquin....
Je l'enroulais dans la blanche étoffe de la serviette...à la sortie de son Bain....L'embrassant tendrement comme elle m'avait fait à son arrivée...
« Va te vêtir...je vais préparer la suite »
Un sourire taquin illumina mon visage, un sourire illumina le sien....
Sans mots dire, Elle referma la porte de la salle de Bain, plus instinctivement qu'autre chose, et je la laissais seule se vêtir et se détendre encore plus....
J'étais plongé dans mes pensées, le verre de champagne toujours en main...quand un parfum si plaisant vint chatouiller délicatement mes sens...
Elle était dans l'embrasure de la porte, une main posée, à hauteur de son visage, sur le chambranle de la porte...un sourire taquin illuminait son visage...et son regard ne me quittait pas...
Elle était resplendissante dans cette robe qui dessinait si bien ses formes. Elle avait agrémentée sa tenue, que je lui avais choisit, par un maquillage très soutenue, dont elle connaissait si bien l'effet sur moi...Dessinant ses yeux avec excès, tirant celui-ci vers l'extérieur, suivant la courbe relevé de ses sourcils finement préparés... Ses lèvres, assortis à la couleur de sa robe, brillaient comme des diamants.
Je me levai et lui tendis ma main, qu'elle prit avec délicatesse.
Je la conduisis vers sa place, tirant d'abord la chaise avant qu'elle s'y assoit.
Elle tira sur sa robe, légèrement pour lui faciliter son assise, m'offrant une vue remarquable sur son dos à nue...s'assoyant d'abord comme une amazone, puis ramenant dans une douceur affolante ses deux jambes sous la table...et je rapprochais la chaise....
J'aime voir ces petits détails si féminins dans la mouvance d'une femme....cette façon sensuel d'user de ce charme si naturel et si envoûtant pour l'œil qui observe...que parfois on en reste si muet et Béa....
Le repas fut un délice tant pour la bouche que pour les yeux...
Nous mangions nos mots, nous dévorions nos regards, nous nous envoûtions de ce simple repas...Les sourires fusaient de ci de là...et toutes nos phrases n'étaient que subtiles sous entendus et jeux d'éveil de nos sens...déjà bien a l'affût.
Puis, le désert pris, je l'invitais à quelques par de danses.
La musique était douce.
Sa main posée sur mon cœur, recouverte par la mienne, mon autre main jouait dans l'ouverture de son dos, tantôt des bout des doigts tantôt de mes ongles long.
Lorsque j'usais de mes ongles, sa peau se parait de frisons, juste le passage, et la peau se couvre de ses petits signes...si visible sur la peau
Puis, après quelques chansons...et de mélanges de bouches, de langues et de salives...
Je pris d'une main, son cou...et de mes doigts je cherchais ce nœud...libérateur...
Ils trouveraient le fil, tirant dessus...
Elle baissa la tête pour mieux m'y aider...
Rapidement son étoffe tomba à terre...
Elle était nue...et je l'enlaçais pour sentir la chaleur de son corps...
Nous dansions encore sur une chanson...
Et machiavéliquement, je menais notre couple proche de notre armoire à secret.
Je m'écartais de la Belle, et ouvrit les portes de l'armoire...
Je fis en sorte de prendre ma convoitise sans qu'elle puisse voir ce que cela fut...
Mains derrière le dos, je retournais vers ma victime volontaire...
Elle m'embrassa.
Je l'écartais à nouveau, passant ma main devant ses yeux pour les clore...
Son visage sourit...mais elle s'exécuta sans peine...
Je passais d'abord derrière elle...Pris son poignet et y posa un bracelet...puis sans lâcher ce poignet, je pris le deuxième et y posa le second bracelet...
Ces bracelets étaient de cuir, reliés entre eux, par une petite chaîne....
Elle avait toujours les yeux fermés...
Je passais devant elle, et sans fléchir, sans prévenir...à la hauteur de ses pics dressés par la douce température....j'approchais...son deuxième ornement...
En même temps, je refermais sur ses pics, les deux pinces sur ses hardant promontoire...
Elle se redressa brusquement par la pression des pinces...un petit bruit sorti de sa bouche....
Les pinces étaient reliées par une fine petite chaîne qui pendait entre ses monts
Il me restait plus que deux éléments à mettre en place pour la parer définitivement... et se sentir Belle et soumise en ma possession....
Je regardais un instant l'œuvre que je venais de faire...
Une main posée sur son épaule, j'écoutais religieusement son souffle saccadé mais apaisé...
Je déposais un baisé sur son épaule, puis la laissa un instant sans qu'Elle puisse sentir ma chaleur.
Je pris dans notre secrète armoire, la suite de son tourment. Et je revins près d'Elle, posant à nouveau ma main sur son épaule...Elle se redressa brusquement, surprise un peu de ma venu, les chaines qui la retenaient se mirent un peu à tinter...bruits métalliques si agréable de la prisonnière de mes désirs.
Une de mes mains passa alors, doucement de sa vallée vers son cou, puis passa doucement sur le cotés de ce dernier. Mon pouce vint sous sa mâchoire, et l'obligea à redresser la tête...
Elle se redressa fièrement au dictât de ce doigt.
Mon autre main apporta ce cuir qui transforme une Belle en Possession.
Elle sourit, joyeuse en voyant ce présent.
Mes bras enlacèrent son cou pour fermer ce présent.
C'était un collier de cuir grand recouvrant la quasi-totalité du cou, finissant en pointe sur le devant juste à la naissance de la vallée. En son centre était présent un anneau.
Puis je finissais ce délice de parure en accrochant une laisse à l'anneau du collier.
Quand le fermoir de la laisse se fit entendre, très légèrement, Elle ouvrit enfin les yeux...
Elle me sourit, et baissa la tête, attendant qu'à présent, je la dirige vers là ou mes plus vils envies pouvaient l'emmener.
Elle n'était plus, ni femme de caractère, ni joueuse des sens, Elle était à présent cette captive de mes sens, de mes désirs. Elle était que ma Possession, belle et délicieux instrument de mes envies où seule, ma volonté n'avait que Foi.
Je pris son menton entre mes doigts, pour lui faire redresser la tête.
Nos regards se croisèrent.
Elle, heureuse d'être ainsi possédée et Moi, fière de son abandon.
Je lui souris, et je déposais un baiser sur ses lèvres.
Tirant sur la laisse, je la dirigeais alors vers le fauteuil. Je m'y assis, et tirant à nouveau sur cet instrument, sans mots dire, je la fis s’asseoir au près de moi,l'aidant pour qu'elle ne tombe pas, sur le sol qu'un tapis moelleux recouvrait.
Elle avait les jambes recroquevillées vers elle, le corps droit. Elle était là tête baissée, à mes pieds. Je tirais encore sur ce lien si fort, pour l'approcher tout près de moi.
Son corps était contre ma jambe et j'en sentais, au travers de l'étoffe qui la recouvrait, sa douce chaleur.
Je pris une cigarette, puis la boîte d'allumette qui se trouvait sur la table basse, face à nous.
Je fis tourner la tête de ma Possession pour qu'elle puisse me regarder.
Ses yeux étaient illuminés de bien-être et elle était suspendue à l'attente de la suite des événements.
Je lui offris la cigarette, qu'elle appât délicatement.
Je frottais une allumette contre le boîtier. Elle suivait le moindre de mes gestes...
Je dirigeais la flamme vers sa destinée.
Penchant la tête, pour éviter que la fumée puisse lui brûler les yeux, elle tira une grande lampée, allumant de ce fait cette cigarette.
Je lui repris, doucement, et la porta à ma bouche. Elle se pinça les lèvres, elle aimait ma façon délicate parfois sexy au dire de certains de prendre et d'user de cet objet.
Je posais ma main sur sa tête et l'obligeant à la poser sur ma jambe. Et je continuais, jusqu'à la fin, sans rien dire, caressant avec délice la chevelure de ma Possession à mes pieds, collée contre moi.
J'écrasais la cigarette dans le cendrier. Tenant toujours dans le creux de ma paume, la tête de ma Belle.
Je pris une coupe de champagne non loin que l'un de nous n'avait fini.
J'en bu une gorgée.
Ma main releva la tête de la Belle.
Je présentais ce divin nectar à ses lèves, et je l'y aidais, attendris de la voir ainsi dépendante volontaire de mes gestes et de son bien-être.
Je reposais la coupe, et souris au geste délicat et sensuelle de la langue de ma Belle sur ses lèvres, ne gâchant rien jusqu'à la dernière goutte...
Je fis quelques tours de main sur la chaîne jusqu'au collier, puis tirant à moi cette divine créature, j'approchais mes lèvres des siennes.
Nos lèvres s'unissaient, et le balle de nos langues suivait la musique si présente.
Je voyais cependant les traits quelques peux fatigués et tirés... ainsi que l'heure qui tournait.
Je me redressais, et tenant toujours près de moi dans cette étreinte délicieuse ma demoiselle, je l'aidais à se redresser.
Nos lèvres ne se quittaient pas...
Ma main libre parcourait avec douceur la chevelure de ma « prisonnière ».
Puis, elle descendit doucement le long de son dos, juste effleurant des ongles cette peau de satin, suivant le dessin de la colonne, jusqu'à arriver à la naissance des Lunes.
Elle avait les yeux fermés, mais son corps ondulait comme une Chatte que l'on caresse. Suivant, cherchant en chaque instant la pression marquante de ces griffes qu'Elle aimait tant.
Puis, la main vint, dessinant une parallèle au sol juste au dessus d'une Lune, sur le devant.
Passant sur sa hanche, Elle se cabrât sur le cotés, souriant par l'effet de chatouillis que cela lui provoquait.
Puis, à hauteur de son triangle d'Or, elle prit la direction montante d'un seul doigt, vers ses délicieux monts, effleurant son nombril.
Arrivant à la chaîne qui tenait prisonnier ses pics, le doigt suivi cette chaîne vers l'une des étreintes. Et d'un coup, je délivrais le premier pic, lui arrachant un souffle de soulagement.
Puis je délivrais le deuxième....
J'embrassais alors, tour à tour, ses « douloureux » avec délicatesse, apaisant, de ce geste, l'étreinte provoqué...
Elle murmura un « Humm » de satisfaction, me faisant sourire...
Puis brusquement, je m'arrêtais.
Je me redressai, approchai vivement le visage de ma Belle pour engloutir ses lèvres.
Elle savait que ce n'était pas la fin de son tourment...Elle attendait avec une envie certaine d'une suite qu'Elle devinait plus sauvage...
Mais là ...est une autre histoire...
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Par : Dame Meg
Je t'attends, à genoux. J'ai preparé le salon, suivant tes instructions... une ambiance, des jouets allignés...
Je ferme les yeux, un peu d'appréhension... je laisse mes ongles glisser sur mes cuisses, une main s'attarde sur mon sexe... je me concentre sur mon plaisir, cherche à me détendre... j'aime ces caresses humides, chaudes... je m'aventure en moi, mes cuisses s'ouvrent...
Ta main se pose sur mon épaule, et je me fige... je ne t'ai pas entendu arrivé... ai je mal fait de me caresser?
"Continue" Je reprends un peu mal adroitement mes gestes... je sens le cuir autour de mon cou... mon collier... tes mains me caressent, s'emparrent de mes seins, ils ont pris de l'ampleur et tu t'amuses avec mes tétons... c'est sensible, j'aimerais me rebeller... mais.. . Je te laisse faire, je gémis par moment... je tente de me concentrer sur mes doigts, mon sexe... tes doigts s'ajoutent aux miens, m'ouvre un peu plus... me guide un peu, vers un orgasme.. mon corps contre ton torse mon sein emprisonné dans ta main... je cède, ruisselle...
Tu m'invites à m'appuyer sur la table, te présenter mes fesses blanches... les caresses doucement avant de me faire sentir le martinet.... alternant le dos, mes cuisses, mon cul... je gémis, s'avoure cet instant... Tu me demandes si ca va... je te réponds, encore.
Tu poursuis, ta main claque sur mes fesses, qui se réchauffent un peu plus... je me laisse aller... tes doigts me pénètrent, je gémis... je sens ton sexe forcer mon cul...peu à peu je t'accueille... je viens à ta rencontre... tes mains sur mes hanches m'impose ton rythme, provoque mes râles. Le plaisir nous envahit, tu y cèdes, te répends en moi... T'absente un instant, je reprends mon souffle doucement... Tu reviens glisser tes doigts en moi.... il ne faut pas longtemps pour que je coule, encore et encore...
Tu finis par me laisser révenir doucement à moi... avant de retirer mon collier, avec un baiser...
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Par : Monsieur Jones
- Xaroff, si vous voulez bien vous allonger sur ce divan.
Avant de commencer, j'aimerais savoir pourquoi vous estimez avoir besoin d’une thérapie.
- Et bien disons que depuis tout petit j’ai des envies étranges et hier, alors que j’y donnais libre court, j’ai pris conscience qu’il fallait que je fasse quelque chose pour en comprendre l'origine...
- Ah oui? que s’est-il passé hier ?
- J’étais avec une femme à qui j’avais imposé une tenue de soubrette. Elle portait une robe noire assez courte, un petit tablier, une coiffe dans les cheveux et, puisqu’il faut tout dire, avait à me demande enlevé sa culotte et son soutien gorge. J’avais pris soin de faire jaillir sa poitrine en dehors de son décolleté.
- Je vois oui, et ?
- En regardant cette femme droit dans les yeux, j’ai émietté lentement une biscotte sur le sol en lui disant qu’elle allait devoir faire le ménage.
- Une femme de ménage donc... mais pourquoi cette biscotte?
- Vous allez comprendre docteur. J'ai exigé qu'elle reste immobile et suis allé chercher un pinceau avec un manche de belle taille, à la fois oval et épais. C'était un pinceau rond et bien fourni. J'ai ramené aussi une petite pelle en plastique, comme celle que l’on utilise avec les balayettes.
- Ah! un conflit ! Ménage ou Peinture... ?
- J’y viens docteur. Elle a écarté les cuisses à ma demande pour que je garnisse son sexe avec le manche du pinceau. Son sexe salivait tellement que, pour immobiliser le pinceau, il a fallu que j’utilise un ruban plastique, vous savez ces films plastiques sans colle qui adhérent sur eux-même. Je l'ai enroulé autour de la taille et des cuisses en suivant le chemin d’un huit imaginaire dont le nœud passait au niveau de la vulve immobilisant le manche dans le sexe.
On ne voyait, entre ses jambes, plus qu'une touffe de poils au bout d'un petit pédoncule.
- Et bien, vous avez de bien curieuses manières d’encourager une femme à faire le ménage… que s’est-il passé ensuite ?
- J’ai placé un fauteuil pas très loin des brisures sur le sol, m’y suis assis et lui ai dit de rassembler les miettes éparpillées pour en faire un petit tas qu’il lui faudrait pousser jusqu'à la pelle que je tenais posée sur le sol à un demi-mètre de là. …
Sans un mot, elle s’est accroupie et s'est appliquée à la tâche, ondulant du bassin à mesure que le pinceau léchait le sol pour guider les miettes comme un petit troupeau en transhumance vers la pelle. Tous ses muscles étaient sollicités avec cette unique ambition pastorale.
Je l'ai trouvée infiniment belle.
On pouvait voir, dans ses yeux et la tension de sa bouche, se concentrer les plus belles émotions du monde, l'excitation, la colère, la gêne, l'envie, la douleur et la liberté...
...
- Vous ne dites rien, docteur ? qu’est-ce que vous en pensez ?
- Et bien, comment dire... Est-ce que, à tout hasard, il lui arriverait de faire des heures supplémentaires, car cela pourrait m’intéresser... ?
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Par : Dame Meg
Tu as sortie mon collier. .. juste quelques mots "ce midi..."
La matinée m'a semblé longue et courte à la fois, mon corps est impatient et tellement tendu. J'ai préparé à manger, j'ai tourné en rond, imaginer des scénarios. ..
Un sms, "attends moi nue dans la chambre"... Je me déshabille, me blottis sous la couette. J'opte pour un peu de crème sur ma peau en attendant. J'entends la porte qui s' ouvre et se referme... Je me cache sous la couette, sans trop savoir quoi faire. Tu arrives. ..
"Assie toi", je m'a genoux sur le lit. Tu attaches le collier, m'allonges, mes mains attachées à la tête de lit, mes yeux bandés...
Tu en profites, tu t'attaques à mes seins, je peux difficilement me débattre... je prends sur moi, c'est si sensible... trop. Un instant de pose, j'entends des bruits. .. Tu me demandes ma langue, tu y déposes quelques chose, et le retire... comme un timbre poste... Je ressens les effets, chaleur piquante, et goût du gingembre, c'est si particulier... Tu écartes mes cuisses et frottes doucement mon clitoris avec le gingembre, la chaleur se répend... mes cuisses s'ouvrent, je cherche ton contact... tes doigts se glissent en moi, me font gémir, me font jouir rapidement... tu viens caresser le reste de mon sexe, parcourir mes lèvres, la chaleur m'envahit, m'excite...
Ta langue prend le relais, c'est si bon, la douceur de ta langue sur mon sexe gonflé.
Tu me retournes, caresses mes fesses, glisses ton doigt le long de ma fente... La chaleur se dissipe... mais tu commences à claquer mon cul... griffer mon dos... je me sens bien.... tu poursuis. ... juste des "encore" sortent de ma bouche. .. viens le moment où tu n'y tiens plus...où ton sexe m'enculle, où je gémis, où je suis à toi... où tu glisses le gingembre dans ma chatte humide.... et je suis bien...
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Par : #
tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse «
( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi )
j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis.
J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé.
puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! «
je m’instale à 4 pates tel es ma place !!!
je doit l’attendre.
les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !!
je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!!
elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !!
puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!!
« aller vien la « qu’elle me dit !!!!
je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps.
j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!!
elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! »
chose que je fait de suite …
elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! «
wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend …
se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!!
elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse.
cette fierté que je ressent !!
elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte …
j’entend « arrete de te branlé «
frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!!
elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !!
bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis.
je suis la le cul bien cambré.
et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! «
( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies )
gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur.
elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle
CLAQUE …. 1
CLAQUE ….. haaaa 2
CLAQUE ….. 3!!!!
CLAQUE ….. hooooo 4
CLAQUE ….. 5…..
silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse «
CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie )
Merci Maitresse
hoooooooo hummmmm….
la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit
j’entend « tu voulait jouet avec celui la «
et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!!
et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!!
je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!!
la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!!
elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent
« aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!!
hummmmmm quel excitation !!!
je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !!
De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !!
cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes
Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!!
elle me dit « vas’y joui !!!!!! «
hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase ….
elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort
hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!!
mon corp n’est plus mien il lui appartient
ELLE CONTROLE TOUT !!!!
hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo
elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!!
je suis perdu de la realité
mais je sais que se qui vient de se passer est simplement :
hummmmmmmm très bon.
elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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Par : #
Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : BDSM
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins).
Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article.
Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre :
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey
(à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ).
Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage.
On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ?
Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).
...
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Par : LaurentSensuel
A quatre pattes, nu, ma langue lèche la trace de tes pas.
Lentement derrière toi, je remonte le long de tes talons vertigineux et commence l’ascension de tes jambes par le haut de tes chevilles et l’arrière de tes mollets.
Toujours plus haut vers le creux de tes genoux, puis l’intérieur de tes cuisses fabuleuses, j’atteins sous la jupe corolle, la divine frontière de tes bas.
A quatre pattes ensuite, sortant du crissant plaisir de la soie, ma langue touche enfin ta peau nue, un carré merveilleux à la fois chaud, vivant, sec, goûtu.
Je m’y attarde, passe de l’une à l’autre de tes cuisses, enfoui ma tête entre tes jambes, prend plaisir au goût de ta peau.
A genoux enfin, ma tête se relève et je plonge entre le divin pli de tes fesses. Ma langue darde vers ton oeillet, ma bouche en ventouse sur ton orifice. Je titille, je lèche, j’aspire. Froid et serré, peu à peu il s’ouvre à moi, se réchauffe, se mouille, et tu commences à bouger. Je passe autour, dessus, dedans enfin ; je goûte et je sens tes fesses et ton trou magnifique. Mes mains en corolle, joue avec ton entre-jambe.
Longtemps tu résistes, enfin tu te donnes, vibres, bouges, serres, m’écrases, m’étouffes.
Longtemps je suis à toi, généreux et tendu, docile et écrasé.
Le plaisir croît et nous laisse enfin, toi tendue puis lourde, moi écrasé et etouffé sous tes fesses divines.
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