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par le 17/03/23
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A l'heure d'écrire cette chronique, je le rends compte que je n'ai toujours pas parlé de musique alors même que mes articles le suggère... réparons cela maintenant. 
si vous regardez mon profil, vous verrez que j'ai plus le physique d'un ours que d'une brindille. Cela a toujours été un complexe jusqu'à la soirée avec Alex et Axel (voir la chronique numéro 2). 
De fil en aiguilles que nos moments entre garçons, avec l'un ou l'autre ou les deux, se faisait réguliers, j'ai développé avec Alex un goût immodéré pour la musique si bien que nous décidons, un beau jour, de monter un groupe. Lui à la guitare, moi à la basse. Axel, lui, a pris un chemin complètement différent au bout d'un moment si bien que nous ne nous retrouvions plus qu'à deux pour partager des moments intimes avant, après voire pendant les répétitions. 
Un jour, alors que nous avions répété dans sa cave pendant plusieurs heures, nous faisons une pause pour discuter de l'avenir du groupe, de l'orientation que nous voulons prendre. Après s'être mis d'accord, nous décidons de remonter boire un coup (il y avait la chaufferie dans la cave, donc on avait chaud) mais patatras, il se prend les pieds dans les câbles de nos instrument et de fait mal au genou en tombant. Je l'aide à se relever et il s'assoit sur une chaise pendant que je monte chercher de la glace. A mon retour, et n'arrivant pas à remonter son jean au dessus du mollet, il me demande de l'aider à se relever pour qu'il l'enlève. Je ne me fais pas prier et je tombe nez à nez avec sa queue en demie molle dans son caleçon. Je ne m'en occupe pas (pour l'instant) et je lui applique la poche sur le genou. Après quelques minutes, son paquet est toujours gonflé et me fait de l'œil et je lui propose de se relever pour l'aider à se détendre en m'occupant de cette partie gonflée de son corps...

Bien sûr, il est partant et se relève, non sans difficulté. Son paquet sent le mâle, mélange d'excitation, de sueur et d'envie. Je me rapproche langoureusement de son entrejambe qui ne cesse de grossir et commence à l'embrasser goulûment. Sa queue est chaude et parcourue de soubresauts. Je descends vers ses testicules gonflées et je joue avec ma langue. Au bout de quelques minutes, et comme son caleçon se fait trop serré, je lui ôte et laisse son magnifique engin à l'air libre. C'est l'une des premières fois que je le vois en plein jour. J'ai beau l'avoir parcouru à de nombreuses reprises, je le découvre presque. Il n'est pas énorme mais de taille respectable, un gland à moitié dénudé par un prépuce un peu trop serré, une hampe bien veineuse. Son gland suinte déjà du liquide séminal alors que je le mets dans ma bouche avide. En plein jour, elle me parait plus grosse en bouche mais j'aime trop cette sensation de ne pouvoir m'occuper que d'elle. 
A mesure que je le suce, mes va et viens se font plus rapides et profonds. Sa queue commence a touche le fond de la gorge et les premiers râles se font entendre. Plus ça va, plus je commence à étouffer mais il place sa main derrière ma tête l'empêchant de le retirer. Je bave beaucoup et j'essaye de me détendre mais clé est trop et je l'enlève dans un brusque mouvement. 
il me laisse reprendre mon souffle pendant que je le branle pour ne pas perdre cette belle erection. 
Quand j'ai repris mon souffle, j'y retourne, plus fort, allant plus loin. Je veux qu'il vienne dans ma gorge. Je force un peu, j'étouffe mais au bout d'un moment, alors que mes lèvres touchent son pubis et ses testicules, je m'habitue à la sensation de cette belle queue dans ma gorge. 
Au bout d'un bon quart d'heure, il gémit de plus en plus, forcé sur la tête et lache tout son jus dans la gorge. Un régal !

Alors que je me relève, il m'attrape par la nuque et m'embrasse à pleine bouche. Alors que nous nous séparons, il me dit "à ton tour" ... 

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