Zuip
par le 26/10/23
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La petite jeune fille avait l’air innocent.
Petit corps gracile, petits seins qui remplissent les paumes, mais l’arrondi des hanches et le plein des fesses attirent les mains qui empoignent.
C’est Elisabeth qui l’avait repérée lors d’une soirée chez des amis communs. Une de ces soirées où l’on se croise en buvant un verre, échangeant des banalités avec des inconnus. Mais qui sont ces gens ? Certainement des amis de Pierre et Marie, comme Elisabeth et moi sommes leurs amis.
La petite jeune fille avait l’air perdue.
Si sage dans son pull léger et sa jupe plissée. Tout droit sortie du lycée ?
Elisabeth l’avait déjà alpaguée. Et papotait déjà complice, fascinée par la proie. Tandis que je déambulais d’un groupe à l’autre, riant d’une plaisanterie, affirmant d’un ton ironique quelque vérité péremptoire.
– Je vous présente Edouard, mon mari. Edouard, voici Anne. Elle est étudiante en arts appliqués.
Je me mêlais distraitement à leur conversation. Art Nouveau. Paul Guimard. Victor Horta. Nous revenions d’un week-end à Bruxelles où nous avions beaucoup marché en quête de ses constructions.
Mais rapidement je m’éloignais.
J’aime laisser Elisabeth à la manœuvre. 

Plus tard, lorsque les premiers invités commencèrent à quitter la fête, c’est Elisabeth qui proposa à la jeune Anne de la raccompagner.

Serrés à l’arrière du taxi, je sentais la chaleur d’Anne, son émotion, son trouble lorsque Elisabeth, tournée vers elle, accompagnait ses mots d’un geste : posant familièrement sa main sur la cuisse d’Anne, ou frôlant comme par inadvertance son sein.
La situation était excitante. J’avais moi aussi très envie de la toucher. D’ouvrir ses cuisses. De laisser remonter ma main jusqu’à la culotte, que j’imaginais blanche et sage. D’empoigner un sein et de remplir ma main. De tourner ce joli visage pour fourrer la bouche de ma langue et goûter sa salive.
Mais j’aimais aussi le manège d’Elisabeth. Il était sans ambiguïté. Mais la jeune fille en percevait-elle réellement la signification ?

Il était passé minuit et rendez-vous fut pris pour l’après-midi même. Elisabeth tenait absolument à lui montrer certains beaux livres que nous avions rapportés de Bruxelles.

*

Le lendemain, Elisabeth accueillit Anne et la mena jusqu’au bureau où je les rejoignis. 
Les livres avaient été préparés sur une table de lecture, et Elisabeth entreprit aussitôt de les feuilleter pour Anne. 
L’invitant à se pencher pour apprécier certains détails, Elisabeth posa une main ferme au milieu du dos de la jeune fille. Si elle en fut surprise ou étonnée, elle ne le manifesta par aucun geste. 
La main d’Elisabeth se fit plus ferme, et la conversation cessa.

J’avais pris place de l’autre côté de la table. Et la jeune Anne gardait la tête baissée, semblant absorbée par la gravure. Elle gardait la posture.
Seule sa respiration qui s’accélérait marquait son trouble.
Scène muette.
J’aime cette tension des premiers moments. J’aime qu’ils durent. Et que dans ce silence s’affirme l’acceptation et la docilité de la jeune fille.
Je me penchais par-dessus la table, et avec beaucoup de douceur je pris les mains d’Anne et les plaçais de part et d’autre du livre ouvert. Les paumes bien à plat.
– Creuse davantage les reins, lui intima Elisabeth.
L’ordre avait bousculé le silence. Pour la première fois, Elisabeth l’avait tutoyée. Et Anne obéissait.
Elle creusa les reins et fit saillir sa croupe.
Mes yeux allaient du visage baissé d’Anne, visage que je ne voyais pas, suivant les épaules et le dos, contournant la main d’Elisabeth, jusqu’à la croupe offerte, remontant jusqu’au visage d’Elisabeth et plonger dans son regard. Nous étions liés. Liés par le corps de cette jeune fille. Et qu’elle allait m’offrir.
Je bandais. Elisabeth le savait.

Anne s’abandonnait. S’abandonnait aux mains d’Elisabeth qui remontait sa jupe, dénudait son cul. Et le caressait avec douceur et fermeté. Je pouvais voir les deux hémisphères rebondis, séparés par la lanière du string qui disparaissait entre les deux globes, à la peau que j’imaginais soyeuse.
– Tu es vraiment une petite salope obscène.
Fustigée par la violence des mots crus, Anne accusa le coup en baissant encore davantage la tête.
Elisabeth la testait. Je le savais. Nous avions enfin trouvé celle dont nous allions faire notre « chose », notre esclave consentante.
La main d’Elisabeth disparut sous la croupe. Je compris qu’elle explorait la chatte de notre jeune amie.
– Elle est complètement trempée, la salope.
Et sa main s’abattit sur la croupe offerte. Elle entreprit aussitôt de la fesser copieusement.
De là où j’étais, je ne pouvais voir ni le con ni les fesses rougies de notre jeune esclave. Pas encore. J’attendais.
J’attendais. Et relevais d’une main sous le menton son visage. Je voulais voir : la tête qu’elle faisait à ce moment-là. Sous les coups que lui infligeait sans ménagement ma compagne.
Je ne fus pas déçu.
Son visage m’apparût brouillé par le plaisir. Les yeux humides me fixaient sans ciller. Les lèvres, légèrement ouvertes, laissaient passer le souffle court. Elle encaissait. Et visiblement : elle aimait ça.
Elle était terriblement émouvante, la petite Anne.
– Tu me fais bander, petite pute.
Et je lui crachais au visage.
Mon glaviot atterrit sur sa pommette droite, juste sous son œil, et suivant le nez, entreprit sa lente descente vers la bouche.
Le regard toujours fixé sur mes yeux, elle subissait. Elle laissait faire. C’est à peine si l’iris était plus foncé. Etait-ce de la haine ou du désir ?
Arrivé sur sa lèvre, mon crachat y resta suspendu.
Nos yeux ne se quittaient pas. Et j’étais fasciné par ce visage souillé, qui se rapprochait à chaque fois qu’un nouveau coup tombait. Et les claques pleuvaient.
– Avale.
Alors je vis sa langue pointée entre ses lèvres, et venir balayer le glaviot. Elle déglutit. Elle avala. Sans me quitter des yeux.
J’étais certain qu’Anne serait une bonne élève.

*

Enfin je contournais la table pour admirer le postérieur offert, les fesses bien rougies par la main d’Elisabeth. Je pouvais voir les marques de ses doigts imprimés sur la peau.

Elle écarta le string et les fesses :

– Regarde cette jolie rosette. On pourrait croire qu’elle est vierge du cul. Mais je suis sûr que cette garce aime se faire défoncer l’oignon.

A la vulgarité d’Elisabeth, je compris dans quel état elle était. Et tandis qu’elle travaillait du bout des doigts l’anus de la jeune esclave, je l’enlaçais et nos langues fouillèrent nos bouches. Ma main se glissa sous sa robe, s’empara de sa vulve. Elle était trempée, ouverte. Bonne à baiser.

Elisabeth est une insatiable chaudasse lubrique. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Et nos désirs pervers se lient pour satisfaire tous nos plaisirs.

Nous aimons copuler comme des bêtes. J’aime l’asservir à mes instincts. J’aime la voir souffrir sous mes mains. Et jouir. Terriblement jouir. La faire jouir encore pour lui faire rendre gorge et gicler tout son jus. La laisser pantelante, lamentablement vautrée sur le lit où je l’ai clouée de mon pieu.

Pour l’heure, tout en fourrageant son con de mes doigts et sa bouche de ma langue, je lorgnais sur le cul de la jeune donzelle.

Ce cul charmant, qu’Elisabeth ouvrait pour satisfaire ma curiosité. Rapidement, elle déplissa la rosette, et l’assouplit si bien que le cul si serré s’ouvrit pleinement en un trou béant.

Obscène. La petite putain était véritablement obscène.

Aussi, j’appuyais sur la nuque d’Elisabeth pour qu’elle glisse à genoux et enfouisse sa langue dans le cul ouvert.

Et contournant à nouveau la table, je soulevais la tête d’Anne pour voir l’effet de la langue qui lui prenait le cul.

Elle haletait. La petite salope haletait sans vergogne, ouvrait, fermait les yeux, et son menton pesait lourd dans ma main. Aux mouvements d’Elisabeth, je comprenais qu’elle ne se contentait pas de lui lécher le cul, mais qu’elle la doigtait. Lui imposant son plaisir.

– Je crois que notre jeune amie va jouir…

Je savais qu’alors Elisabeth était terriblement partagée entre le désir de la faire jouir et la laisser repartir frustrée.

La tête d’Anne dodelinait dans ma main. Tout son corps tressautait sous les assauts de la langue et des doigts. Parcourue de spasmes, prise, elle était prise, prête à tout subir pour jouir. Femelle en quête de sa jouissance. Soudain son corps, secoué de frissons se tétanisa, la tête se releva, yeux révulsés, bouche déformée par un affreux rictus, elle couina. Jouit. Elle couina, jouit. Elle couina plusieurs fois. Tremblant convulsivement. Avant de s’écrouler sur la table et de se laisser glisser sur le parquet.

Debout, nous la contemplions, vautrée au sol. Nous souriant, réjouis par ce que nous venions de lui faire subir. Nous profitions du spectacle offert par son délabrement. Voir cette petite femelle gisant à nos pieds…

Prestement, Elisabeth saisit des chaines dans un tiroir. Et l’attacha à la lourde table.

– Laissons-la dans sa déchéance.

(A suivre)

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Beau début ! Tout y est. J’aime l’alternance de délicatesse et de coups. La subtilité du préambule et les mots très crus qu’on aime entendre (je ne m’attendais pas à lire l’expression « se faire défoncer l’oignon », mais elle fait son effet !). La description tendre du corps d’Anne et les images détaillées de son sexe et de son cul bien ouverts, tout cela offert sans pudeur à ce couple si délicieusement pervers ! Les caresses et les outrages. Anne... sans un mot. Sans une plainte. Sans retenue. Bravo Mr Zuip !
J'aime 26/10/23
SlaveMaster84
Le Libertinage et même la "débauche" sont indispensables au sein d'une Société véritablement évoluée et créatrice. Je pense que c'est la raison principale de la créativité intellectuelle et artistique prodigieuse du Monde Antique de la Grèce Classique et de la Rome Impériale qui, comme chacun le sait, étaient des Sociétés extrêmement libertines, où régnait une Liberté Sexuelle extraordinaire, et dont nous ne pouvons plus que rêver aujourd'hui!...1f62d.png1f62d.png1f62a.png1f62a.png
J'aime 27/10/23