Zuip
par le 27/01/24
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C’est un supplice…

Alors qu’ils sont debout, enlacés, lui légèrement sur le côté, une main sur sa nuque (douceur et fermeté), son autre main posée bien à plat sur son ventre (il la domine par ce geste ? il l’apprivoise par ce geste ? toujours quand il pose sa main sur son ventre, elle a un petit frisson de réticence, puis aussitôt sourit, silencieusement dit de son sourire et des yeux : « c’est bien parce que c’est vous »…) ; leurs bouches se trouvent, et leurs langues dans leur salive.

C’est animal.

Elle s’accroche à ses épaules. Sous la  pression plus intense des mains qui pressent sa nuque, son ventre, descendent : sur son dos, entre ses cuisses. Les mains parcourent. Caressent, échauffent, empoignent, s’approprient, il la fait sienne dans le désir. Il voudrait ainsi la marquer. Laisser l’empreinte de ses doigts sur sa peau, dans son corps.

Ses mains descendent : entre ses fesses, entre ses cuisses. Il aime ainsi la tenir : entre ses deux mains. Entre ses doigts dans son cul, ses doigts dans sa chatte. A l’écoute de son plaisir. De son abandon. Elle s’accroche à lui. Tenue, retenue par les mains qui la fouillent.

Elle monte, elle monte. Gémit plus fort. Râle son plaisir dans son cou.

Alors sa main quitte sa chatte, se saisit du martinet.

18 longues lanières de cuir carré. 18 longues lanières qu’il a nouées ensemble et qu’il tient par le nœud.

Il la cingle.

Fort. Il la flagelle. Sa hanche, ses fesses, ses cuisses. Il la flagelle.

Ses doigts dans son cul, il la flagelle. La sent peser contre son bras. Se tortiller vainement sous les coups cinglants du martinet. Gémir plus fort sous la douleur.

Jusqu’à ce qu’il réunisse les lanières en une boule dans son poing, et les fourre dans sa chatte.

Il glisse de ses doigts les lanières du martinet dans sa chatte. Et la branle.

Il la branle dans les lanières de cuir qui grouillent dans son ventre. Il la branle.

Il a pris soin de les laisser dépasser un peu de sa fente. Il appuie sur sa nuque pour qu’elle se penche :

– Regarde ce que je fais de toi…

Il la branle avec les lanières du martinet dans son ventre. Il la branle : chatte et cul.

C’est fort. C’est violent. Troublant. Intense.

La fera-t-il jouir ?

 

*

 

Après avoir libéré sa chatte et son cul, il lui attache les mains dans le dos, par le mousqueton entre les poignets en cuir.

La contraindre ! La contraindre ! Il faut qu’elle soit : entravée.

Et :

Il lui met le crochet anal. Dans son cul ! La boule dans son cul ! L’anneau du crochet enchainé au mousqueton entre les poignets.

Elle est nue. A genoux. Il la veut au sol. Il appuie sur sa nuque pour qu’elle s’agenouille :

– Au sol !

Chaque mouvement qu’elle fait imprime un peu plus la boule du crochet dans son cul. Et s’il tire sur ses poignets entravés, il tire sur ses épaules, en arrière. Dès qu’il la relâche, elle ramène ses épaules en avant, et le crochet est là : bien présent.

– Tu l’as dans le cul, hein ?... Tu l’as dans le cul !

Lui dire sa réalité. Lui dire sa réalité dans les mots. Il l’encule dans sa vulgarité.

Entravée. Contrainte. Vulnérable. A sa merci.

Et quand il glisse une main sous son menton pour voir son visage, il peut lire sa rage. Sa rage d’être ainsi impuissante. Sa rage de ne plus pouvoir esquisser un mouvement de défense.

C’est un plaisir. Un plaisir de la voir ainsi. De la tenir ainsi.

De lui ordonner de tirer la langue pour y poser une pince.

D’autres pinces sur ses tétons. Sur son clito. Et d’en jouer. Vite retirer une pince. La remettre. Vite. Jouer de la douleur qu’il lui impose. Sa langue. Ses tétons. Son clito. Tirer sur ses poignets. Pour qu’elle sente le crochet dans son cul. Il la brutalise. Il s’empare de son corps. Il la fait vivre. Dans le plaisir et la douleur. Il l’éprouve.

Et soudain brusquement brutalement la faire basculer en avant. La tête au sol. Croupe haut levée. Et vite, la prendre, fourrer sa chatte. Sa bite ou un gros gode dans sa chatte. Contre la boule du crochet anal. La prendre ! La remplir, la fourrer, la baiser ?

Jusqu’à la faire jouir ?

 

7 personnes aiment ça.
sylvie35
Très agréable à lire. On se laisse emporter par les mots. Un doux supplice 1f60a.png
J'aime 27/01/24
LE DEMON 83
ah ah oui un doux supplice à imposer à ma soumise...pour son plus grand bonheur ! 1f60b.png
J'aime 27/01/24 Edité
Onemoon4lie
Des pulsions très animales, brutales
J'aime 28/01/24
Dozable
J'ai jamais lu une histoire pareille je dois la relire bravo a l'autre d'oser
J'aime 06/05/24