par Empathy-Sadist
		    le 14/03/24
        
	
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                        Si intenses sont tes yeux,
si macabres ton corps, sain influence mon sadisme.
Livres de sang, libres échanges, dans chacun de tes sens imposés cherche dans la pénombre la clarté.
Ta sensibilité inavouée serait le lien qui caractérise ton esprit,
tiraillé sans être excédé par les sentiments indécents, tu peux être lumineux sans avoir à te forcer.
Obéis et ressource-toi de mon être, tu ne ressentiras pas de douleur.
Écorche ton corps sans abîmer ton âme.
Ton esprit se libérera sans ailes pour se poser, tu ne feras que monter dans la pureté de chaque instant.
Cet avenir te sera plaisir, c’est tellement beau de te voir voler.
Posté dans:  Art/Dessin/Poésie/Musique        
        
Suggestion		
	
                Par : Abyme
            
            
            
Un morceau dont j'avais déjà posté le lien sur le mur général l'année dernière.
Au départ, je l'avais composé pour rendre hommage à Jimi Hendrix ; puis j'ai eu envie d'ajouter les cuivres et de doubler ma voix (grave + aigu), ce qui finalement s'éloigne assez du style du Maître, mais l'esprit du riff et des envolées de guitares subsiste. La dernière série de chorus est un échange de deux guitares lead, dont l'une à un moment fait un clin d'œil très clair à Hendrix.
J'ai une fois de plus demandé à mon complice Vava de collaborer à la guitare, avec sa Les Paul ESP. De mon côté j'ai utilisé ma Stratocaster.
C'est le premier morceau de mon album "Ici & Maintenant".            
            
                
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                Par : Orion  ☀️ ☯️
            
            
            
Si tu n'avances pas, tu tombes.
Qui donc peut bien l'arrêter
cette maudite destinée ?
Je ne vous ai pas oubliée,
et vous allez valser
bien loin ma sombre Circé.
Si tu n'avances pas, tu tombes.
Suis-moi ou pas, tu verras
ce qui t'arriveras.
Tu seras loin de moi,
et ce sera ton choix.
Si tu n'avances pas, tu tombes.
Tu tombes.            
            
                
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                Par : Abyme
            
            
            
J'envie ton visage
j'envisage
la quinte du Tout
la tierce paire sonne mon glas
de mes gammes impolies
de polygame
alors
mon regard se brûle
sacrificiel
pénètre l'éclipse
comme un phallus irraisonné
se perd
au sein d'une matrice inconnue
allégorie du Néant
ma mystérieuse altérité
Qui sectionnera tous mes nerfs
ces cordons ombilicaux de la matière ?
qui m'affranchira de mes derniers sens ?
Lourd dessein
l'introspection totale
dans un ultime détachement
égocide
Fin de moi difficile
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                Par : Abyme
            
            
            
L'espace est infini, le temps est éternel... Un jour l'enfant n'en est plus un lorsqu'il croit comprendre cela. Je dis 'croit' car qui peut vraiment en appréhender la signification?
La pierre d'achoppement de la foi, du moins de la croyance, n'est-elle pas à la limite du connu? Au delà il y a l'inconnu, ouvert aux supputations et délires divers... 
Mais l'éternité et l'infinitude vont encore plus loin, elles font partie, elles, de l'inconnaissable.
Mais si vous demandez à un bouddhiste zen de vous parler de l'espace/temps, il risque de vous rire au nez.
Car il ne s'encombre pas du ailleurs et du avant ou du après ; il n'observe pas le ici et le maintenant, il l'incarne. L'espace est le tout, et le temps n'existe pas. 
'Mais et le présent alors? Le maintenant?' risquez-vous d'insister, comment le perçoit-il?.
Il existe au Japon un célèbre recueil du XIe siècle intitulé konjaku monogatari shû, ce qui signifie 'Histoires qui sont maintenant du passé'.
Le titre rassemble en un seul terme deux caractères : kon, (maintenant) et jaku (jadis), exprimant l'idée bouddhiste que le présent lui-même n'existe pas, entre le passé qui n'est plus et le futur qui n'est pas encore. Chaque histoire commence par la même expression : ima wa mukashi (maintenant c'est du passé) qu'on peut interpréter par l'idée que maintenant est déjà parti, déjà fondu dans le passé.
Nul ne peut percevoir la nature dans sa totalité, ni les moindre détails d'un paysage ou, à fortiori la surface des astres lointains. 
De même le temps est inappréciable dans la durée, seul l'instant a une réalité. Mais, à un même instant donné en des lieux différents, peuvent se produire des événements simultanés. De sorte que l'instant nous échappe aussi, et rien ne sert de vouloir se l'approprier, ou même de le décrire.
Il suffit juste de le vivre, de le déflorer, comme on pose un pas sur un terrain enneigé vierge. Ou plutôt sur le sable, l'empreinte étant aussitôt balayée par l'eau purificatrice.
QUELQUE MAINTENANT
Quelque maintenant s'épanche d'un regard,
s'écoule le long d'une ridule, qu'il creuse, comme un sillon de larme
entre un tic et un tac
Un traître instant vous a ainsi pris par surprise
sitôt dit, sitôt enfui,
déjà dans l'abstraction d'un passé que vous n'osez encore admettre
Un éphémère scintillement, au coin de votre œil, 
ou était-ce un fantôme ex nihilo
qui a frôlé l'ennui de ce dimanche pourpre ?
Dehors, un aboiement meuble le décor
renforce le silence qui lui sert d'écrin
alors qu'il n'est pourtant déjà plus du silence
Étrange quiproquo subreptice, celui du temps qui passe en catimini
infime basculement entre l'à venir et le déjà passé
que vous appelez Maintenant
Quelque maintenant caresse l'attente, 
l'expectative d'un espoir converti en déception
par cette opération occulte et irrémédiable,
un mécanisme furtif dont l'emprise vous dépasse.
Au loin, ce sont à présent les cloches
qui appellent les dévots avides
leur intiment l'agenouillement
afin d'emplir un peu leur incomplétude
Entre un tic et un tac, le silence est aussi grand que l'univers
Maintenant en est le centre.
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                Par : KAPA🅒•••🔺rt
            
            
            
Dead Seagull est une artiste numérique polonaise dont le travail se distingue par ses illustrations étranges et dérangeantes, repoussant les limites du surréel. Son art se fait souvent des plus insolites, parfois perturbant, tout en figurant la beauté féminine. Elle réussit à marier des sujets délicats avec une touche de macabre, créant ainsi un contraste saisissant qui définit son style unique.
L'univers de Dead Seagull est caractérisé par une ambiance souvent sombre, parfois teintée d'érotisme, qui invite à la réflexion sur la dualité de la beauté et de l'obscurité. Cette dualité est au cœur de son œuvre, explorant les profondeurs de l'âme humaine à travers un prisme à la fois fascinant et inquiétant. Les thèmes abordés sont variés mais s'articulent principalement autour de l'exploration de l'identité, de la solitude, et de la complexité des émotions humaines, le tout enveloppé dans une esthétique visuellement originale.
Les œuvres de Dead Seagull ont acquis une certaine reconnaissance, étant exposées dans des lieux emblématiques à travers le monde. De Times Square à New York, en passant par le carrefour de Shibuya à Tokyo, jusqu'aux espaces prestigieux de Art Basel, ses créations interpellent et fascinent. 
Les créations de Dead Seagull se distingue non seulement par son contenu thématique riche et parfois provocateur mais aussi par son excellence technique. Utilisant les outils numériques avec une maîtrise exceptionnelle, elle donne vie à ses visions de manière à ce que chaque pièce soit à la fois une exploration de nouveaux territoires artistiques et un hommage à la tradition esthétique qu'elle contribue à réinventer.
En conclusion, Dead Seagull est une figure montante de l'art numérique contemporain. Son œuvre, à la fois belle et troublante, continue de captiver et de provoquer. Son talent unique pour fusionner l'érotisme avec des éléments sombres et surréalistes fait d'elle une voix incontournable dans le dialogue artistique moderne, défiant nos perceptions et nous invitant à regarder au-delà du voile du visible.
             
            
                
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                Par : Abyme
            
            
            
Fils de saltimbanques phtisiques et alcooliques, Edgar Poe voit le jour, commence à parler et à marcher dans les roulottes les troupes théâtrales et les jupes de sa mère Elizabeth Arnold, londonnienne émigrée en Amérique. 
Réalité et illusion, voyage et bohème, sont constamment pour lui aux limites du rêve. Son père, David Poe Jr, tuberculeux et ivrogne, meurt quelques mois après la naissance d'Edgar. Elizabeth fuit Boston et meurt à son tour à Richmond, Virginie, en 1811, à l'âge de 24 ans. 
Edgar a presque 3 ans, il est adopté par Frances Keeling Valentine, épouse du riche négociant John Allan, peu enchanté de cette initiative. À six ans, Edgar sait lire, dessiner et chanter.
Allan s'installera en Angleterre pour 5 ans, où Edgar sera confié à un collège religieux. Il y apprendra quelques éléments de français, de latin, d'histoire et de littérature. C'est peu, en revanche son imagination fiévreuse sera impressionnée par les vieux châteaux écossais, les caves humides, d'où découlera certainement son attrait du macabre et du mystère.
De retour à Richmond, Edgar fréquente l'English Classical School, où il s'amourachera de plusieurs jeunes filles en vain, jusqu'en 1826, où il sera inscrit par Allan à la Faculté de langues de l'université de de Virginie, et où il accumulera des frasques et des dettes qui le fâcheront définitivement avec son père adoptif. C'est là qu'il commence à écrire.
Un an plus tard, finie la vie bourgeoise, Edgar se retrouve seul et part pour Boston. Il se déclare alors "irrémédiablement poète".
Il y fait éditer un recueil de poésie : Tamerlan et autres poèmes, écrits par un Bostonien.
Aucun succès. Il s'engage comme simple soldat dans l'administration sous le nom d'Edgar Perry et compose le poème Al Aaraaf. 
Mais ce travail lui déplaît, il part à Baltimore, voir son frère Henry, et s'installe chez une sœur de John Allan : Maria Clemm. Il passe son temps à écrire et à jouer avec sa toute jeune cousine Virginia. C'est une des rares périodes heureuses de sa vie. Ses poèmes seront même publiés chez Hatch & Dunning.
Il entre à West Point, y contracte des dettes, manque des cours et se fait jeter. Il part alors à New York où il publiera un nouveau livre, Poèmes, mais revient bien vite à Baltimore, chez sa tante Clemm qui devient un peu son "bon ange", voire sa nouvelle mère adoptive.
En 1833, premier succès concret : il remporte le prix de 50$ (grosse somme à l'époque) à un concours avec son récit Manuscrit trouvé dans une bouteille, ce qui lui permet d'être embauché un an plus tard comme rédacteur à tout faire au Southern Literary Messenger, à Richmond (où John Allan vient de mourir sans rien lui laisser). Il commence à boire.
En 1835, il y rapatrie Maria Clemm et Virginia qu'il épouse secrètement, elle est âgée de 13 ans !
Edgar se met à travailler dur, et devient rédacteur en chef du journal, pour un salaire annuel de 800$. 
Il devient le critique littéraire le plus en vue, le plus redouté, chasseur de plagiaires. Mais il n'arrive pas hélas à se passer d'alcool et de drogue. Il est alors licencié. 
La petite famille va s'installer à New York, où le poète publie un roman : Les aventures d'Arthur Gordon Pym de Nantucket, mais ne parvient pas à trouver un emploi, puis à Philadelphie, où il collabore au Gentleman's, jusqu'en juin 1840.
Commence alors la misère noire, une période sombre. De plus Virginia tombe malade. Il retourne à New York et collabore au New York Sun et à l'Evening Mirror qui publie en 1845 son fameux poème Le Corbeau.
C'est un triomphe : succès littéraire, succès mondain. Il courtise ici et là, mais s'enfonce pourtant dans les dettes et une pauvreté extrêmes, et toujours l'alcool. 
En 47, Virginia meurt. Il écrit alors le douloureux Ulalume.
Il va désormais s'enfoncer, draguer des femmes dont l'une (une ex) va répondre à ses avances, la Veuve Shelton, à Richmond. Le mariage est décidé. Il cesse de boire et de se droguer. 
C'est en tentant d'aller chercher "maman" Clemm à New York, pour le mariage, qu'il s'enivre une fois de trop à Baltimore. 
Le 3 octobre, on le découvrira dans le ruisseau, sale, dépenaillé, inconscient. 
Transporté au Washington Hospital, il y meurt le 7 octobre 1849. 
À l'instar de plusieurs célébrités (Marilyn Monroe ou Jim Morrison par exemple), des polémiques et interprétations diverses coururent sur les causes exactes de sa mort.
L’ŒUVRE
Baudelaire, qui fit connaître Poe en Europe, estimait son oeuvre à environ 70 récits, 50 poèmes, 800 pages d'articles critiques, et un ouvrage philosophique, Eurêka.
Hormis les poèmes, ses contes sont incontestablement la part la plus connue de son œuvre, traduit par Baudelaire et regroupés en deux recueils : Histoires extraordinaires et Nouvelles histoires extraordinaires, auxquels il convient d'ajouter les Contes grotesques et fantastiques (ce dernier fut publié sous ce titre de son vivant, en 1840). 
Les aventures d'Arthur Gordon Pym est son seul roman, écrit pour raisons alimentaires, où alternent des scènes émouvantes et des passages ennuyeux et bâclés. 
Il en avait commencé un second (paru en feuilleton dans la presse), le Journal de Julius Rodman, qui resta inachevé. À noter que c'est l'un des tout-premiers westerns de la littérature américaine. 
Il fut également le précurseur de l'enquête à énigme à la Sherlock Holmes avec son héros Dupin (Double assassinat dans la rue Morgue, Le mystère de Marie Roget et La lettre volée). Conan Doyle avait reconnu s’en être inspiré pour créer le personnage de Sherlock Holmes.
Mais la mort reste le thème favori des récits fantastiques de Poe. Il faut dire qu'il l'a approchée tant de fois, sous la forme de la tuberculose, qui tua toutes les femmes de sa vie.
"La mort triomphait dans cette voix étrange" a écrit dans Le tombeau d'Edgar Poe, Stéphane Mallarmé, deuxième grand poète français à lui avoir voué un culte et des traductions.
Le compositeur Eric Woolfson, passionné par Poe, eut l'idée de composer un projet musical sur Edgar Poe et son œuvre, et le proposa à l'ingénieur du son de Pink Floyd : Alan Parsons. Un groupe est alors formé au milieu des années 70 : The Alan Parsons Project, et l'album sort sous le titre "Tales of Mysteries and imagination". Ce groupe sortira plus tard quelques albums remarqués (le meilleur étant "Pyramid" ), et même un tube : “Eye in the Sky". Mais Woolfson le quittera car il composait pratiquement tout alors que les honneurs revenaient à Parsons, piètre musicien.
- Connaissiez-vous Edgar Poe ?
- Si oui, quel récit de lui vous a le plus marqué ?
- Le considérez-vous comme un auteur majeur de la littérature américaine ?
- Si je vous dis "Quoth the Raven...", que répondez-vous ?            
            
                
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                Par : Abyme
            
            
            
Donner sans recevoir
Pardonner
Aimer sans être aimé
Enrichissement
Vertu de la frustration 
et de l'épreuve
Chaque jour nouveau
devrait être une renaissance
A chaque matin son sourire
et son pas en avant
Car chaque jour
est une nouvelle chance 
de donner
de créer
de se réjouir
d'apprendre
La chance d'apprendre
est une délectation du sage.
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                Par : Agathe
            
            
            
Là dans la douce chaleur protectrice, avec le cœur de mes yeux, vous explorer. Deviner votre enveloppe, les endroits lisses, les plis et les recoins et vous tenir comme un trésor. Déjà vous chérir. Jouer avec les rebords puis deviner les formes rondes. Attendre. Ne pas succomber sans avoir laissé grandir la douce impatiente.
Attendre encore et résister et désirer…
A cet instant précis, vous dévoiler doucement des deux mains et vous découvrir sans rien…
Vous tenir avec mes lèvres et vous déposer sur ma langue. Tout recommence. Le goût de vous qui m’étreint et m’emporte. Un goût de fruits, légèrement acide, légèrement sucré. Des fruits du sud. Ceux qui se gorgent de soleil, de lumière et du chant des cigales… Tout est léger. Délicat et léger.
Vous savourer. Une infinie douceur qui pénètre et se propage jusque dans les espaces oubliés de l'âme. Vous boire. Vous déguster. Jouer avec vos rondeurs, vos collines et vos  creux. Dessous, dessus, aspirer tout de vous, votre matière, vos goûts enivrants, le fait même que vous fondiez… et que tout se mélange avec mes propres substances.
Vous sucer de toute ma bouche et vous laisser fondre. M'abreuver et chérir. Doucement, presque au ralenti. Que tout devienne liquide : textures, saveurs, sensations uniques connues, reconnues et redécouvertes.
Vous laisser fondre lentement encore et magnifier chaque instant. 
 
Pour @Aura            
            
                
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                Par : #
            
            
            
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
 
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière, 
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
 
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine, 
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
 
Bouche offerte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échappé des gémissements.
 
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece. 
 
- Ouvre les yeux salope.
 
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête, 
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction. 
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
 
- Debout, danse. 
 
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.
 
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la chatte, la plante des pieds, elle pleure se debat, hurle, elle le supplie. 
 
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire avec douceur et application comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.
 
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.
 
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie.
Le maitre accepte. 
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance. 
Épuisés, ils se prennent dans les bras, s'enlace affrontant l'obscurité de la pièce, et finissent par rejoindre morphée. 
 
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.            
            
                
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                Par : BDSM
            
            
            
Quand le scénario et la grille d'écriture de Twilight , bouquin chouchou des ados, est exploité pour faire des livres pour adultes, cela donne une trilogie : Fifty Shades of Grey.
Succès phénoménal aux Etats Unis, avec 10 millions d'ouvrage vendu, de nombreux éditeurs dans le monde se sont arrachés les droits de l'adapter dans leur langue nationale. La sortie de la version français est imminente.
L'histoire est simple (trop simple ?) : une étudiante vierge tombe sous le charme (puis dans les griffes) d'un homme d'affaires et découvre peu à peu l'univers du sadomasochisme.
 E. L. James (Erika Leonard de son vrai nom), a acommencé son travail d'écriture il y a deux ans.Si l'histoire avait d'abord fait l'objet d'une publication sur internet, la nature sulfureuse du récit a privé l'auteure de ce média (nombreuses plaintes !), et c'est donc chez les libraires que la version définitive de l'histoire a été publiée.
Le succès foudroyant  a convaincu Universal d'acheter les droits d'adaptation au cinéma. L'achat des droits cinéma ne veut pas forcément dire qu'un film sortira effectivement, mais cela en prend le chemin.
Nous ne manquerons pas de relayer l'information sur la disponibilité de cet ouvrage en français : livre de référence ou historiette pour titiller les vanilles, on ne le sait pas encore. Réponse bientôt.            
            
                
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