Le net a le mérite d'étendre les contacts et potentielles rencontres à une plus grande échelle en plus du fait que l'on peut filtrer par domaine d'intérêt. Mais le contre coup, c'est que sous couvert d'anonymat on prend moins de risque et donc il est facile de se défiler, de ne pas répondre, etc... Donc le net est un moyen parmi tant d'autres de faire des rencontres après rien ne vaut la rencontre réelle c'est sûr mais quand on est novice, on n'ose pas forcément se pointer seul dans un club ou une soirée BDSM et c'est là que ça bloque en général. Le point d'entrée dans ce monde, c'est le plus difficile à mon avis.
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Ca c'est dans le cas où on prend rendez vous avec quelqu'un du milieu pour découvrir le club. Mais ce dont je parlais, c'est plus du novice qui décide de découvrir le milieu et qui se pointe dans un club BDSM sans aucun contact ou relation à l'intérieur et en espérant y rencontrer quelqu'un qui pourra l'initier. Le club, j'ai plus l'impression que c'est un lieu de réunion pour initiés et que pour un novice, il est préférable de privilégier les rencontres en privé d'abord quand on débute. Mais ce n'est que mon avis.
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Mon médecin de famille reste persuadé que le conjoint, le partenaire de vie souffre plus que la personne atteinte de dépression.
Bonjour à tous, après avoir réussi a l'avoir au téléphone bien plus tard que prévue, j'ai réussi a la convaincre de me laisser venir la voir. Sauf que 24 h plus tard je reçois un magnifique gigantesque message, disant qu'elle ne veut pas être sauvé. Qu'elle ce battra pour pas que je l'aide, qu'elle veut glisser dans ses ténèbres sans être sur de s'en sortir. Qu'elle m'aime mais qu'une fois renfermer dans ses sentiements elle sera égoiste et qu'elle s'en foutra car elle est comme ça. qu'elle ne veut plus faire d'effort de ce battre (attention pas dans le sens sucuidaire non plus). Et a décidé de ne plus être mienne et elle a couper tout contact.
Bonne fin de week-end à vous! Résultat bien que vous le savez déjà :prennez soin de ceux qui sont proche et profiter du moment présent de vous rien n'est éternelle !
Je fais partie des non adeptes des rites, je dirai presque anti-rite au sens d'une figure de style obligatoire pré-établie à la relation.
J'ai beaucoup épuré au fil du temps et de la vie ma conception d'une relation BDSM, j'ai affiné, concentré, recentré. Reste des bases de spontanéité primale, reste la domination de l'autre dans ce qu'elle a de plus brut et de moins policé. Dans ce cadre là, il est difficile pour moi de m'épanouir dans des rites/rituels, dans le sens où ils s'opposent pour moi à l'instinct, à l'envie du moment. Certainement parce que je fuis le répétitif, que j'aime être surprise, que j'ai plaisir à obéir/me soumettre à l'inattendu, que j'aime justement exploser les codes, ou plus précisément j'aime que mon autre soit de cet état d'esprit là. Le cadre me brime, m'étouffe et finit par m'ennuyer.
J'ai aussi une configuration d'esprit peu sensible aux symboles en bdsm, une habitude à considérer tout acte d'un point de vue factuel, et non à l'envisager selon une portée symbolique que je ne partage souvent pas, parce que ça ne me "parle" pas.
Et puis enfin, c'est certainement parce que ma relation n'est pas D/S, mais SM. Pourtant je le suis, avec un immense plaisir, là où il décide de m'emmener...
Bonsoir Silla.
Je ne crois pas que vous devriez regretter quoi que ce soit.. On ne peut pas en vouloir aux autres de tenir compte de ce que l'on exprime..
Et quand bien même il existait une ambiguïté entre ses dires et sa volonté, vous n'auriez pu l'aider si ce n'était pas sa réelle envie. On aide personne contre sa volonté..!