Le net a le mérite d'étendre les contacts et potentielles rencontres à une plus grande échelle en plus du fait que l'on peut filtrer par domaine d'intérêt. Mais le contre coup, c'est que sous couvert d'anonymat on prend moins de risque et donc il est facile de se défiler, de ne pas répondre, etc... Donc le net est un moyen parmi tant d'autres de faire des rencontres après rien ne vaut la rencontre réelle c'est sûr mais quand on est novice, on n'ose pas forcément se pointer seul dans un club ou une soirée BDSM et c'est là que ça bloque en général. Le point d'entrée dans ce monde, c'est le plus difficile à mon avis.
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Ca c'est dans le cas où on prend rendez vous avec quelqu'un du milieu pour découvrir le club. Mais ce dont je parlais, c'est plus du novice qui décide de découvrir le milieu et qui se pointe dans un club BDSM sans aucun contact ou relation à l'intérieur et en espérant y rencontrer quelqu'un qui pourra l'initier. Le club, j'ai plus l'impression que c'est un lieu de réunion pour initiés et que pour un novice, il est préférable de privilégier les rencontres en privé d'abord quand on débute. Mais ce n'est que mon avis.
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Après avoir lu attentivement les réponses ici apportées, je ne peut qu'aquiescer à ce que dit Louvia et Tindalos, certes de manières très différentes dans leurs propos mais l'essentiel y est. Elle demande le silence, donnez lui. Aucun ordre ne la fera sortir de sa léthargie si le processus de guérison n'est pas entamé. Je dirais même attention à l'effet rebond. Je vous souhaite beaucoup de courage Monsieur, et beaucoup de Paix à votre partenaire qui en a tant besoin. Savoir que vous êtes présent est suffisant. Enfin, @Tindalos je vous rejoins complétement le BDSM n'est pas une thérapie.
Pour avoir pratiqué le trouble psy en relation D/s, la réponse est non.
"L'autorité" D/s c'est de la poudre aux yeux face à la maladie, c'est le meilleur moyen de troubler d'avantage les choses et d'augmenter la confusion. Voir de créer des conditionnements dangereux. Le BDSM n'est pas plus une thérapie qu'une séance de footing.
Seul un professionnel pourra l'aider. Je n'ai pas tout lu, mais j'ai cru comprendre qu'elle n'était pas prête. À vous de la soutenir, mais en tant que compagnon, plus qu'en temps que dom. Et pensez à vous. Courage.
Déjà, vous avez fait preuve de bon sens en acceptant une thérapie. C'est un réel combat contre cette "entité dans le cerveau, qui colore tout en gris foncé, vous pousse à la procrastination, etc, etc... Combien se disent encore aujourd'hui, que "le psy, c'est pour les fous !"
Combien se sont déjà retrouvés à genoux devant le TGV !
Personnellement, j'ai une dépression dite "souriante", ce qui me permet encore de faire des conneries et de rire de celles des autres. A soutenir mon épouse dans ses PB de santé depuis moins de 25 ans, et vivre de très sales moments (une TS la veille de Noël, par exemple), on se croit fort, le mental finit par céder. Et quand on n'a plus que la tête qui sort de l'eau, il ne reste plus qu'à rendre visite au psy chez je m'étais promis de ne jamais aller !
Chacune, chacun mène son combat qui consiste à ruser avec cette entité qui noircit tout, qui fait procrastiner à fond.
Faire du sport régulièrement avec plaisir et en club, pour se sentir mieux dans ce corps qui ne nous appartenait plus. Ça impactera le mental. Se jeter des challenges qu'il est possible et que l'on doit réussir. Yoga, méditation, travailler les énergies qui traversent notre corps.
Il y a toujours des solutions pour diminuer cette dépression. Car elle nous accompagnera jusqu'à la fin.
Bon courage Nina, merci pour votre témoignage qui résonne.