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Calamity, sans en connaître encore la réalité, je crois que ma soumise saura mettre en action son côté sadique de façon assez.... Intense. Mais toujours sous mon autorité, évidemment.   La "chanceuse" devra aimer cela 😏
Quand j étais en lien D/s, mon Dom jouait avec d'autres femmes en ma présence et sans sex c'était la condition pour que je l'accepte, il pouvait potentiellement aussi me prêter à d'autres hommes mais également avec sa présence. Nous avons beauçoup joué à trois à l'époque où j'avais moi même ma soumise, des séances à 3 mais nous n'avons jamais envisagé d'une relation à 3 , d'expérience je sais que ces relations en trouple finissent rarement bien...
Merci Lili broken doll pour votre retour. Il n'est pas question pour nous non plus de relation à trois. Au delà du danger que cela représente sans doute, nous n'en avons tout simplement aucune envie.  
  Je recommande le visionnage du film "My Wonder Women" , aussi appelé "Professeur Marston et la Wonder Woman". Ca parle de l'histoire (vraie) de William Moulton Marston et d'Elizabeth Holloway, qui ont fait de la place dans leur couple pour une troisième larronne. C'est sans doute passablement romancé, mais c'est très mignon et inspirant, et le propos est très centré sur les pulsions de domination et soumission. Ca reste un film américain assez "mainstream", hein. Bon, c'est juste pour dire que des histoires de trouple qui finissent bien, ça existe! Même si elles sont probablement, en effet, assez minoritaires...
Merci Munartis pour ce partage également et qui complète le post d'origine ! J'y pense à ce 6TM de fonctionnement, ou comment trouver une alternative avec ma soumise de cœur devenu vanille. Je suis avec intérêt les prochains ajouts ici-même : MERCI Atypik pour ceci, même si nos buts sont légèrement différents ;-)
Les femmes qui recherchent ou acceptent un couple portent un surnom qui traduit leur extrême rareté, ce surnom : Licorne, un animal imaginaire c'est vous dire à quel point elles doivent être rare dans les cercles dans lesquels je gravite je vois des couples D/s en recherche de soeur de collier depuis des années sans succès. Bonne chasse.
Neilerio, comme le dit SœurClo, nous ne cherchons pas de licorne. Pour tout dire nous ne cherchons même rien pour l'instant sinon des témoignages de personne ayant invité temporairement une tierce personne dans leurs "jeux". Je n'ai pas lancé de casting, n'ai pas l'intention de le faire prochainement. Nous en sommes a y pensé.  
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Le mariage offre une stabilité dans la relation. C'est un engagement pour une vie commune, des relations sexuelles, et plein de devoirs et de plaisirs l'un envers l'autre.  Créer un couplé qui fonctionne, ce n'est pas facile, mais l'amour est le vecteur principal.  Les pratiques bdsm....au debut cela peut être un jeu pour pigmenter des rapports sexuels. Pourtant c'est une pente douce. Si le plaisir est là,  on glisse inexorablement vers des pratiques de plus en plus hard.  Le mariage offre un contrat de stabilité. Pratiquer le bdsm dans le cadre du mariage, c'est rajouter un second contrat, qu'il n'est pas besoin d'écrire,  sauf avec le fouet ou la cane sur la peau de celui où celle qui va se soumettre à l'autre et se donner totalement.  Pratiquer en couple, cela renforce incroyablement le mariage et ce lien, et ce, même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant.  Les couples qui pratiquent le bdsm dans le cadre du mariage divorcent sans doute moins et semblent plus heureux que les autres. Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme.    Bises.....qu'en pensez vous ? 
Sisyphe_44
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Si les sentiments sont forts dans le couple, je doute que ce que vous appelez le cocufiage rende le soumis plus amoureux même si la Maîtresse est théoriquement en droit d'avoir d'autres soumis. Effectivement, avec un autre, des sentiments peuvent aussi naître, grimper en force, et reléguer définitivement au second plan l'autre soumis. Je ne parle pas de la souffrance psychologique ainsi générée et qui ne relève pas du SM.
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Je n'aime pratiquer qu'avec mon maso.  Les soumis m'ennuient beaucoup. Avec un.mado toute souffrance va devenir plaisir pour lui  Donc c'est clair des le début. Il aime souffrir. Et c'est grand raffinement que de le cocufier, de lui faire comprendre que lui n'a plus le droit d'honorer sa femme, etc...c'est source de jeu. Et plus il souffre et plus il est heureux et bien. Les masos, c'est pas compliqué.    
Bah, euh, pourquoi ? Ca peut en faire partie, mais ce n'est pas du tout le cas chez nous. Pour le reste je suis plutôt d'accord. Je pense que c'est un jugement, que cela nuit au propos général, les idiots qui condamnent les relations BDSM sont le pendant de ce type de jugements.
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Chaque couple pratique comme bon lui semble. Le principal c'est que les deux prennent du plaisir.   Rien n'est plus complexe que la psyché humaine.  Perso, je ne cherche plus à comprendre mon maso. Mais plus je suis sadique et plus je lui fait mal et plus il a de plaisir.  Et c'est jouissif pour une sadique de faire souffrir grave son maso.  Le seul problème c'est la sécurité car on a toujours envie d'aller plus loin.   
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales
Le mariage offre une stabilité dans la relation. C'est un engagement pour une vie commune, des relations sexyelles, et plein de devoirs et de plaisirs l'un envers l'autre.  Créer un couplé qui fonctionne, ce n'est pas facile, mais l'amour est le vecteur principal.  Les pratiques bdsm....au debut cela peut être un jeu pour pigmenter des rapports sexuels. Pourtant c'est une pente douce. Si le plzisircest là,  on glisse inexorablement vers des pratiques de plus en plus hard.  Le mariage offre un contrat de stabilité. Pratiquer le bdsm dans le cadre du mariage, c'est rajouter un second contrat, qu'il n'est pas besoin d'écrire,  sauf avec le fouet ou la cane sur la peau de celui où celle qui va se soumettre à l'autre et se donner totalement.  Pratiquer en couple, cela renforce incroyablement le mariage et ce lien, et ce même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant.  Les couples qui pratiquent le bdsm dans le cadre du mariage divorcent sans doute moins et semblent plus heureux que les autres. Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme.    Bises.....qu'en pensez vous ? 
Bonjour, je suis novice dans le monde bdsm et j'aimerais savoir comment faire la différence entre un vrai Dom qui aspire à une relation BDSM et tout ce que cela implique (Avoir des droits, implique des devoirs), d'un fantasmeur qui se sert de cette pratique pour juste assouvir ses fantasmes sexuels du moment ? (Et au passage se servir de vous)   Qu'est-ce qui doit rassurer et au contraire mettre la puce à l'oreille ?  Ma question semble peut-être évidente, mais pas tant que ça...