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Bonjour à tous,
Je voulais savoir comment vous avez fait quand vous etes entrer dans l'univers du BDSM, afin de trouver des personnes afin d'échanger et de se faire initier ?
J'ai souhaité aller à des Munchs mais malheureusement, il y en a peu et souvent des jours ou je ne suis pas disponible....
Avez vous des conseils afin d'éviter les mauvaise rencontre ?
En vous remerciant d'avance
Bonjour,
J'ai déjà 55 ans, soumis dans l'âme mais pas dans la vie.
Je suis de la région d'Amay en wallonie (Belgique)
Fétichiste des pieds des femmes. Urologie, fessées, bondage, camisole, momification, animalisation, ABDL voir encore plus.
Il y a, je crois, un mélange de situations. Je vais tenter d'être bref, et clair, mais n'hésitez pas si c'est trop abrupte, c'est le risque....
Tout d'abord, la situation où une personne dominante et une personne soumise sont en couple et que le dom viendrait donner un ordre. On n'est pas en séance, il n'y a pas de lien de domination soumission permanent, elle dit non, on respecte le consentement. Étayé ou non.
Ensuite, et c'est je crois normalement le propos principal : la situation D/s h24. Là, il n'est, à mon sens, pas question de "non" classique. Je précise. Les personnes ont donné un accord, par principe, pour être en relation de domination en permanence, cet accord doit être respecté SELON LES TERMES décidés au moment du passage en soumission 24/7. Si la soumise avait décidé d'obéir, elle obéit. Sinon, c'est que le contrat est mal adapté, et à revoir.
Nuançons. Si le dominant demande quelque chose qui n'est pas réalisable, ou ne semble pas, objectivement, réalisable. Là, dans la majorité des cas, je pense qu'il s'agit de la faute du dominant. Demander quelque chose d'impossible est destructeur. C'est la même chose pour toutes les demandes dépassant les limites pre-établies par la soumise.
Nuance, toujours. Il est, à mon sens, possible, et même tout à fait probable qu'à un moment où un autre la soumise ne souhaite pas faire quelque chose. Je parle d'expérience, puisque dans notre jeu pour soumise il y a par an plusieurs périodes "d'immersion" où nous basculons en h24. Donc, partons du principe que ça va arriver. Sauf que, il a été défini qu'elle devait obéir, point. Bon. Pour moi, une objection est possible, mais doit être formulée avec tous les égards liés à la situation. Concrètement, si elle me répond "non, j'ai pas envie" et se casse faire autre chose, je ne vais pas la forcer, mais le contrat aura été rompu et cela entrainement des conséquences, dont celle que j'aurai le sentiment d'avoir été pris pour un pigeon. Si elle me répond "mon Prince, s'il te plait, je suis fatigué, peux-tu me laisser quelques minutes" ou "peux-tu me faire un câlin que je me repose un peu", ou quelques chose de similaire, cela me semble plus correct.
Dans le cas d'un 24/7, il n'est pas, pour moi, en tous cas pas automatiquement, dans le rôle du dominant de "raviver cette flamme et pour cela quoi de mieux que de donner a sa soumise ce dont elle rafole?" pour reprendre les termes énoncés.
La question a été réglée chez nous pour la pénétration, également. Si j'ai un doute, je demande "je peux ?" et elle répond “Oui” ou bien “Je l’accepte pour toi mon prince” ou enfin “S’il te plaît, non”. En effet, elle m’a dit qu’elle pouvait vivre une pénétration au mauvais moment comme un viol, nous avons convenu de ce code avec ma soumise. Même si je peux en effet choisir de la prendre ou pas, quelle que soit sa réponse, lorsqu’elle est ma soumise.