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VraiEsclavagiste
.Posté dans Bdsm et religion
Bonjour, Je pense que le problème se pose différemment. Toutes philosophies est en recherche de Vérité. La religion est une forme de philosophie avec une notion divine, d'Être Supérieur et ce, qu'elle soit mono ou poly théiste, et contrairement aux courants philosophiques, tournées plutôt sur la vie, les religions sont tournées sur la vie dans l'au-delà, la vie sur terre étant passagère, un battement d'aile de papillon dans l'éternité. Les religions sont donc la carte du chemin à suivre... La question n'est pas de croire ou pas... La question est :  peut-on se dire croyant si on ne suit pas les preceptes de sa religion, si on prend le chemin totalement opposé de celui qui est prescrit ? Et ne pas confondre les mortifications afin d'expier une faute avec du masochisme ! Mais le BDSM, si elle peut avoir une part de philosophie derrière, est tourner vers le plaisir terrestre, bien loin des considérations de la vie éternelle promit par les religions si on suit ses preceptes... D'où la question: comment atteindre la félicité promise dans l'autre monde si on ne prend pas le chemin qui n'est pas prescrit, et donc, peut-on croire en une chose en faisant tout le contraire? Telle est la véritable question....  
.Posté dans Bdsm et religion
  Nu et innocent devant Dieu, vêtu et conscient après avoir manger du fruit défendu, arbre de connaissance... sans vêtement on peut se sentir mis à  nu.. face à  l'autre... Dieu Maître suprême  des chrétiens et bien d'autres... nous nous sommetons à  lui, à sa Parole.  L'homme se soumet à  Dieu, la femme à  l'homme... La torture, la flagellation seul ou fait par quelqu'un, on n'implique que le nombre de personne qui y participe... La responsabilité  des deux parties, qui appliquent et qui supporte les actes, les propos...  Restent à  connaître les intentions de chacun, pour se punir, pour le plaisir de souffrir, pour les sensations fortes, le plaisir de faire souffrir l'autre, l'aider à  se sortir de ses conditionnements, lui faire accéder au plaisir par la douleur... transcender le corps et l'ego, pour n'être plus rien, mais toucher l'essentiel de son être,  la vie qui se cache en nous sous ces mouvements qui crient je meurs alors que,en réalité  il nous en faut plus pour passer l'arme à gauche... parfois un soupçon plus de la limite que nous pensons encore extensible... Aimer son corps? L'accepter, tel qu'il est, comme il nous est donné ? Par ce qu'il nous est donné, comme rattaché à  notre conscience... indissociable tant que nous sommes sur terre... quoique...  Dans le respect de soi et de l'autre on y trouve de l'amour? Par amour ne peut on pas imposer à l'autre ce qu'on sais être dur mais qui sera salutaire pour l'autre, libérateur?  Aimer, quest ce que cest?  Aimer sans souffrir, serait ce possible?  Apprendre à supporter la souffrance par amour pour l'autre? La soumission un témoignage d'amour ou un besoin animal?  Donner son corps à  l'autre, entièrement, en disposer complètement, ses pensées,  tout son être.... pourquoi faire? Quand sommes nous satisfait? En ayant ce qu'on désire ou en transcendant notre volonté  et notre désir en supportant de ne pas l'avoir pour changer son regard et voir les choses d'un autre angle? En étant aimé ou détesté,  lorsqu'on nous fait mal ou lorsqu'on nous fait du bien? Et le mélange entre le plaisir et la douleur nous ramène aux sensations... ça veut dire quoi avoir mal, avoir plaisir... lorsque les deux se confondent? Cela donnerait presque vie d'essayer pour savoir ce qui se cache derrière le rideau, comme si j.allais découvrir quelque chose qui à une étincelle d'éternité... quelque chose d'une vie éternelle, en jouant avec ce corps... un jouet avec lequel on s'amuse pour voir comment il réagit, il agit, découvrir un peu la magie de cet appareil si complexe et POUR QUOI? La curiosité me pique.. Mais je sais que je m'égare.... Tant de questions
Bonsoir ! Ah ben moi ! J'imagine cette scène dans un cycle de vie beaucoup plus précoce, 14 ans ne m'étonnerait pas, âge des interrogations Raison de l'estimation : Le sentiment de culpabilité devant une révélation enfouie dans l'inconscient et qui se libère à la puberté Ah oui ! Grande latitude différentielle avec Marie
Delena
.Posté dans Bdsm et religion
Je pense simplement que pour aimer "l'homme" au sens large,  humanité,  pas besoin de circonstances ,de croyances et je respecte tous les choix mais il ne faut pas tout mélanger et vouloir mettre des mots et des croyances sur un truc sensible et naturel et ben c'est le commencement d'un truc pas cool....on accorde pas le jour avec la nuit... . Et donc la religion interdirait d'être soi même sous couvert de bienséance....perso je ne crois qu'au karma....tu fais/ tu payes.....
kalina
.Posté dans Qu'est-ce qu'un bon maître
Qu'est ce qu'un bon Maître ? Qu'est ce qu'une bonne/vraie soumise ?  C'est la soumise qui choisit son Dominant, selon moi Une soumise peut être approchée par tel Dominant, échange divers et rencontre en la réalité   Libre à Elle d'accepter ou pas un début de relation BDSM, aucune obligation de sa part parce qu'elle a été choisi. Un "choix" se fait à deux  C'est plaisant d'avoir été remarqué par un D Est ce que le feeling sera réciproque c'est important également    Vous me faites sourire Silla : choisir sa soumise et ne pas se contenter d'accepter ce qui se présente   Nous avons Toutes et Tous nos exigences, j'ai parfois été choisi à mes débuts en 2006 et je n'ai jamais dérogé à la ligne de conduite que je m'étais fixé  Le soi disant dominant plus prompt à dégrafer son pantalon pour exiger une fellation niet que nenni  Suis de la vieille école, des coups de pieds au cul et des gifles j'ai reçu. Parce que j'ai refusé tel actes  Une soumise c'est connu, elle doit avaler le précieux nectar sinon elle n'est pas soumise  dominant de pacotille, se vider les couilles bref  Un Dominant est protecteur, bienveillant, à l'écoute, authentique, sincère dans sa quête, patient communication de chaque côté très important, la maîtrise de lui c'est super important pour moi, celui qui me gueule dessus il a tout faux. La maîtrise de telles pratiques. Un Dominant ne connait pas tout malgré x années d'expériences avec une soumise ou pas  L'humilité, j'apprécie pour ma part  Les personnes hautaines bof Les soi disant mètres de la mort qui tue Ceux avec un ego surdimensionné, le genre "c'est moi qui ait la plus grosse" Ce qui me hérisse les poils c'est " un Maître doit faire jouir sa soumise" c'est super important ha bon ! Pour faire sourire, à mes débuts je pensais que le sexe n'existait pas dans le BDSM, j'étais toute contente et candide   
.Posté dans Bdsm et religion
  J'entends votre position, mais la religion va au delà  de la simple imagination... cela dit on croit ou pas, on vit ou pas certaines choses, ou d'autres...  Mais effectivement, fonction de la connaissance d'une religion on peut se justifier de s'abstenir ou de faire quand même,  quand bien même c'est contre ou dans le sens de lois morales...  Je dirais que nous sommes des êtres complexe, avec une part animale qui se retrouve dans le plaisir de vivre des expériences de "chair", sensorielles, séquelles étant la dominante puissance de la part animale...  Mais nous avons aussi cette part de conscience, ou de croyances qui peuvent interférer dans nos pulsions, actions plutôt  bestioles... Je me demande si on peut vivre sans exprimer notre part animale...?  Pour les chrétiens il y a la vie dans la chair, au travers uniquement du corps et la vie éternelle par l'esprit je dirais...  et si nous utilisions notre corps pour nous découvrir un esprit nouveau?  Faire de notre corps un objet d'expérimentation, à  visée spirituelle?  Je sais que certains explorent seulement leur part animale qu'ils ont refoulée,  souvent à cause des codes qu'une société nous impose... certain se debrident, s'expriment naturellement selon ce qui les traversent, d'autre cherchent à découvrir l'autre ou soi, l'humain dans ses vices et ses vertus...  Car je me retrouve dans ce que vous dite à  savoir que de se priver de plaisirs charnels c'est une manière de se mentir à  soir même... mais d'un autre côté je me dis aussi que baiser pour baiser ça ne m'avance à rien personnellement, j'ai besoin de liens autre que l'assouvissement d'un plaisir. La domination soumission pourrait être entendue comme un rapport tout à fait animal car les relations animales sont fondées sur ces rapports. Mais j'aime mieux quand ce rapport possède des liens invisibles qui font qu'on se donne à  l'autre, au point qu'il puisse faire ce qu'il désire de moi. J'ai l'impression que la domination soumission peut mener à  une découverte au delà des plaisirs de la chair, peut être quelque chose de l'ordre de l'esprit, des connaissances, des sensations, des xomprehensions nouvelles de nous mêmes  qui peuvent nous conduire à  vouloir changer et chercher autre chose par la suite que le bdsm... mais je ne peux pas me prononcer la dessus, j'aimerais avoir des témoignages à  ce sujet... Et puis... tout le monde n'a pas la même  lecture des textes de la Bible... mais tendent tous vers la compréhension d'une vérité...  Si bien que les non croyants ont aussi des points de vue différents...    
Athéna 32
.Posté dans Qu'est-ce qu'un bon maître
Je suis tout à fait d'accord avec toi @Silla. Le choix est réciproque, et la continuité à mon sens est de la même veine. 
.Posté dans Bdsm et religion
Jésus n'a pas pris plaisir à  se faire torturer et crucifier. Il a endurer les douleurs que lui infligeant les hommes il s'est laissé  faire en témoignage de la violence des hommes.. Je dirai qu'il dépend du regard que l'on porte sur la croix, certain y voient la mort, la douleur, la souffrance, d'autres y voient le moyen de vivre sous l'aspect éternel, l'entre deux de deux vies matérialisé par le croix, d'autres le signe de croix au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit... le témoignage du passage de Dieu sur terre, de son geste pour nous. De plus, on ne peut pas dire que tous les hommes ont torturé  Jésus, il y en a qui l'adoraient et le reconnaissaient comme le Messie.. Il se dit que la religion chrétienne est avant tout une religion d'amour avant tout... Ils n'admirent pas la croix, ils admirent l'action de Dieu pour nous et notre salut. Le sacrifice de Dieu pour nous comme un témoignage d'où Il peut aller pour nous préserver de la mort, de la disparition. Jusqu'où peut on aller en amour....?
Je vous conseille des videos sur YouTube, qui ont l'avantage de vous permettre de connaitre les bases en mouvement, plus facile que les livres. Un exemple de bonne ressource ici : https://www.youtube.com/@pulseandcocktails2999 et ici : https://www.youtube.com/@epicrope5076 Et surtout, acheter de bonnes cordes de chanvre. Have fun !
Delena
.Posté dans Bdsm et religion
En recherche "sens et de conscience"....je vous avoue avec tout mon respect que je suis perplexe.... On ne fait rien sans sens ni conscience c'est un des principes important dans le BDSM pour moi... Alors certes je suis complètement athée en revanche j'ai toujours tendance à me poser plus de questions sur l'autre que sur moi même, je me connais, " l'autre" mérite toute ma bienveillance parce que même athée je n'en reste pas moins une personne bienveillante, pour moi la religion n'a rien a faire là dedans.....